Revue de Presse réservée aux adhérents KALIMBA

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Revue de Presse réservée aux adhérents KALIMBA
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KALIM’
N°7
Revue de Presse réservée aux adhérents KALIMBA
27/04/2011
UN HOMME AVERTI EN VAUT DEUX
Parmi les multiples services qui sont fournis aux adhérents du GROUPEMENT KALIMBA, nous avons créé un petit magazine informatique qui
constitue une revue de presse quasi exhaustive de tout ce que la presse dit du monde des discothèques. On nʼy trouve évidemment pas que de
bonnes nouvelles, mais tout a son importance. Le «nez dans le guidon», beaucoup de gérants ignorent ce qui se passe ailleurs et sʼinstallent dans
une bulle et quand un pépin arrive, ils ne savent pas réagir comme sʼils y étaient préparés.
Ce «KALIMʼ+» est normalement réservé aux membres, mais nous avons décidé de vous en faire profiter pendant deux mois.
Celui-ci vous est envoyé par mail, pour les prochains, vous devrez les télécharger (gratuitement bien sûr) en vous rendant sur le site
www.jeanclaudemarchais.fr
rubrique «download.
Les publications ne sont pas fixes: elles sont faites lorsque les reproductions dʼarticles atteignent 8 pages. En moyenne, il y a à peu près deux
numéros par semaine.
En vous souhaitant une bonne lecture
Cordialement
Jean-Claude MARCHAIS
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Châtillon-sur-Marne Un après-midi réservé aux ados
Publié le mercredi 27 avril 2011
Un bel après-midi ensoleillé d'avril.
D'un côté, la quiétude autour de l'étang de pêche ; de l'autre, plus d'une centaine d'ados qui s'éclatent sur la piste de danse de la discothèque Le Carré, au son de DJ Flo,
16 ans.
Première boum réussie pour ces 12-18 ans ; ce qui permet aux organisateurs de confirmer la mise en place d'autres « after noon ».
« Il n'y aura pas de date régulière afin de ne pas lasser les jeunes, mais nous comptons reprendre la formule tous les mois ou tous les deux mois », précise Christophe
Marais, organisateur de la fête.
Quelques améliorations sont déjà envisagées, comme un système de transport à partir d'Epernay, par exemple.
Les jeunes sont, en effet, venus pour la plupart en scooter, ou encore ont été amenés par leurs parents.
A ce niveau, rien n'a changé depuis les années quatre-vingt.
27 avril 2011 Par Benjamin Ferret
Seignosse (40) : agressé au tournevis devant une discothèque, il ne se souvient
de rien
Hospitalisé depuis dimanche au centre hospitalier de la Côte Basque, le jeune homme de 20 ans sous l'empire d'un état alcoolique au moment des faits, ne se rappelle de ri
L'audition du jeune homme agressé devant une discothèque de Seignosse, dans la nuit de samedi à dimanche, n'a pas permis aux enquêteurs d'obtenir de nouveaux
éléments. Agé de 20 ans et hospitalisé depuis dimanche au centre hospitalier de la Côte Basque, la victime, sous l'empire d'un état alcoolique au moment des faits, ne se rappelle de
rien.Pas même de s'être fait frappé par une bande de quatre ou cinq jeunes qui s'étaient enfuis à bord d'une voiture grise après l'avoir blessé dans le dos à l'aide d'un
tournevis. De nombreuses zones d'ombre demeurent donc dans ce fait divers. Les auteurs des faits, évidemment, mais aussi savoir si la victime connaissait ses agresseurs
et si un différent avait démarré dans la discothèque.
Vannes.Deux discothèques menacées de fermeture
Une demande de fermeture administrative visant deux établissements de nuit de Vannes a été déposée par la police à la préfecture du Morbihan. Il s'agit en l'occurrence du
Bubble et de La Douche, deux discothèques appartenant à Hervé Lebreton et situées dans le parc du Golfe. C'est une série d'enquêtes judiciaires qui a amené la police à
réclamer une fermeture d'une durée de deux mois. Le dossier fait mention de plusieurs clients contrôlés en état d'ébriété au volant. Il s'appuie également sur le cas d'une
femme qui a été brûlée au troisième degré, en juin2010, par un mur de flammes destiné à «décorer» le bar de la discothèque La Douche. La préfecture, qui n'a pas
souhaité s'exprimer, devrait rendre sa décision dans les prochains jours.
La programmation du VIP Room de Cannes a été annoncé! Ça va être show !
Strass, glamour et paillettes sont les maîtres mots du Festival de Cannes 2011. À cette occasion et ce depuis plus de 10 ans, une boîte de nuit VIP Room se construit sur la
croisette à la place du Palm Beach. Et pour la 64ème édition du Festival, le programme de la boîte de nuit de Jean Roch est bien chargé ! La discothèque ouvrira le 13 Mai
avec le MC Big Ali dont la résonance est internationale. Mais le meilleur reste à venir : Martin Solveig, Joachim Garraud, Bob Sinclar... Tous les grands DJs français
seront présents. Mais les DJs ne seront pas les seuls artistes à se produire dans l'établissement cannois. La sublime Dita Von Teese fera son show, et le styliste Christian
Audigier fêtera son 51ème anniversaire dans la boîte sélecte. Et pour l'occasion, Lenny Kravitz et Patrick Juvet investiront la scène. Ça va swinguer ! En bonus, l'actrice
Michelle Rodriguez mixera le temps d'une soirée : de quoi ravir nos oreilles ! Les stars du R'n'B investiront également le club : Will.I.Am, Kid Cudi, le groupe N.E.R.D,
Timbaland et la grande MaryJ. Blidge auront chacun leur date pour chanter devant un public 100% VIP. Même le kaiser de la mode, Karl Lagerfeld, a réservé sa soirée
dans le club de Jean Roch pour présenter son mini film pour la maison Chanel.
Que de stars et que de VIP. La discothèque porte définitivement bien son nom !
Gardons à l'esprit que le Festival de Cannes peut nous réserver des surprises, souvenons-nous des frasques de Paris Hilton en 2009 !
Et pour rappel, le Festival de Cannes 2011 aura lieu du 11 au 22 mai 2011. Des invités alléchants seront présents comme Angelina Jolie, Brad Pitt, Madonna ou encore
Johnny Depp.
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-chaque semaine les résultats de tous les adhérents pour se situer
-De soirées payées moins cher parce qu’achetées en nombre
-La confrontation des problèmes et des solutions
-Des réunions de travail toutes les 6 semaines
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vendredi 29 avril 2011
Après-midi dansant pour les ados dimanche
L'ambiance sera musicale et éclectique, dimanche, pour l'après-midi dansant réservé aux ados. C'est le deuxième rendez-vous proposé par l'association TKF School et la
discothèque Chistera. Jean-Pierre Custos, chorégraphe et responsable de TKF, donne des cours de hip-hop à Vierzon depuis l'an dernier. Il organise ces après-midi pour les
jeunes à partir de 14 ans.
Dimanche, de 15 h à 19 h. Entrée : 5 euros. Contact : 06 17 29 24 97.
Lyon : le monde de la nuit expliqué aux adolescents
La soirée « Teen party » à l’Officiel club, en début d’année, avait déjà amené de nombreux adolescents / Photo HSP
Mercredi, l’association High school party a organisé à Lyon une soirée pour les 14-17 ans, où alcool et tabac étaient bannis. Une manière de les initier à l’univers des discothèques en toute sécurité
Mercredi, à l’entrée de la discothèque la Voile, située dans le 2 e arrondissement de Lyon, toutes les cartes d’identités étaient vérifiées, pour être sûr qu’aucun majeur n’entre
dans les lieux.Une méthode bien curieuse mais qui ne devait durer que le temps d’une soirée organisée par l’association High school party, qui œuvre pour la promotion du
« safe clubbing » pour les adolescents de 14 à 17 ans, une façon d’initier les jeunes au monde de la nuit en toute sécurité.
Le principe est simple : entre 10 à 13 euros la place, la soirée en discothèque est sans alcool, sans tabac et en horaires avancées de 18 à 23 heures. Et à la vue de la longue file
d’attente pour accéder au club, le concept attire de nombreux adeptes. Comme nous l’explique Quentin Peronnin, âgé de 16 ans, « je viens pour m’amuser, danser et écouter
de la bonne musique. On est en vacances et c’est quand même mieux que l’option cinéma. On va pouvoir faire la fête dans une vraie boite ».
Entre distribution de cadeaux, DJ, espace VIP, boissons sans alcool à volonté et lunettes électros, tout était prévu pour ne pas infantiliser cette soirée et laisser la place au rêve
d’appartenir au monde de la nuit. Mais la fête, à ne pas s’y méprendre, ressemblait quelque peu à une boom moderne à en voir les visages encore jeunes et mal assortis aux
talons aiguilles, minijupes et chemises que certains s’amusaient à porter.
Après tout, c’était tenue correcte exigée. Et si les jeunes se pressaient au bar, ce n’était ni pour l’alcool ni pour la cigarette qui étaient bannis ; mais pour les jus de fruits,
boissons gazeuses et autres softs. Mais « ce qui compte, ce n’est pas l’alcool, mais le fait de trouver du plaisir en étant avec ses amis, et de rencontrer de nouvelles personnes.
Et puis, le cadre fait tout le reste. Je n’ai pas besoin de boire pour savoir profiter », explique Romana, 16 ans, assise autour d’une table et accompagnée de sa sœur et d’amis.
L’occasion, en tout cas, pour certains de s’approcher un peu plus du monde des jeunes adultes.
Et Mehdi Siboni, du haut de ses 15 ans, ne manque déjà pas d’aplomb. « J’espère rencontrer une fille qui me plaira. C’est plus facile dans ce genre de lieu. Et puis là, on a à
peu près tous le même âge, donc on peut danser et faire connaissance ». La soirée s’est déroulée sans encombre et s’est terminée par ce simple petit regret : « C’est passé trop
vite, on aurait bien continué à faire la fête », dit Marine, 15 ans. 23 heures : la fin du rêve a sonné et le retour s’est effectué en voiture avec papa ou maman comme chauffeur.
Les prochaines soirées « Teen party » se dérouleront à l’Officiel club (9 e) les 28 mai et 29 juin.
Julie Bény
Il se déchaîne quand on lui refuse l'entrée de la discothèque - L'Aigle
jeudi 28 avril 2011
Dans la nuit du dimanche au lundi de Paques dernier, à Mâle, un homme s'endort dans une boîte de nuit. Celui qui l'accompagne, un garçon âgé de 24 ans, intérimaire
demeurant à Vibraye (Sarthe), est prié par le personnel de le ramener à sa voiture, ce qu'il fait ; mais lorsque lui-même veut rentrer de nouveau dans l'établissement de nuit,
les vigiles se rendent compte qu'il est fortement alcoolisé et lui interdisent le passage.
Le ton monte alors, en particulier des injures racistes de la part du client et les gendarmes qui sont en surveillance sur le parking interviennent. Ils essaient de calmer
l'intéressé, sans succès et quand ils veulent l'appréhender, ils se font insulter gravement et même menacer de mort ; un coup de coude bouscule un gendarme qui tombe à
terre, son collègue féminin intervient mais prend un coup de pied.
L'individu est gazé et l'intervention des vigiles permet de le maîtriser et de lui passer les menottes. Malgré cela, il parvient à s'enfuir avant d'être rattrapé et plaqué à terre.
Emmené, vu son état, à l'hôpital de la Ferté-Bernard, à deux reprises et de la tête, il défonce une porte. Huit heures après les faits, il présentera encore une alcoolémie de
plus de 1 gr d'alcool par litre de sang. Entendu, il reconnaîtra l'ensemble des faits sauf les menaces de mort. Il a été jugé ce mardi après midi à Alençon dans le cadre de la
comparution immédiate. Interrogé par le président Chalamet, il a renouvelé ses aveux mais a affirmé ne pas se souvenir avoir proféré des menaces de mort. Il a expliqué
son comportement par le fait qu'il n'avait pas touché une goutte d'alcool depuis trois semaines avant cette soirée de violences.
Le Parquet a requis à l'encontre du prévenu, déjà titulaire de cinq mentions à son casier judiciaire, deux ans de prison dont dix-huit mois avec sursis. Après délibéré, le
tribunal s'est montré plus indulgent en condamnant l'intéressé à un an de prison avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans, avec obligation de travailler, de se
soigner et d'indemniser les deux gendarmes. Il lui est également interdit de fréquenter la discothèque en question.
Prison ferme pour avoir frappé et outragé des policiers
samedi 30 avril 2011
Le 13 mars, un homme, qui est recherché par la police pour exécuter une peine de prison, est identifié cours Clemenceau alors qu'il sort de discothèque. Les policiers
veulent contrôler son identité. Refus. Le ton monte, l'homme jette un container à poubelles vers les policiers qui tentent de le maîtriser.
La situation continue de s'envenimer : un policier reçoit un coup de coude à la tête, la tête d'un second heurte le sol. Finalement menotté, l'homme continue de se débattre
dans la voiture qui le mène au commissariat et profère des menaces de mort. La garde à vue ne se passe pas plus calmement.
Les bras croisés, le prévenu qui était jugé jeudi par le tribunal correctionnel d'Alençon pour rébellion, outrage, violence et menace de crime à l'encontre de personnes
dépositaires de l'autorité publique, nie « avoir fait tout ça. Je voulais pas entrer dans la voiture mais j'ai pas mis de coups de pied, de coups de coude, rien. J'ai
juste pas compris pourquoi on m'arrêtait. »
Le président ne trouve pas la version des policiers « invraisemblable ». Le substitut du procureur estime « avoir affaire à des violences volontaires. Il y avait volonté
délibérée de commettre des violences et de porter atteinte à l'intégrité physique des policiers ».
Elle requiert la peine plancher de douze mois de prison avec maintien en détention. Le prévenu, détenu à Coulaines depuis les faits, est condamné à douze mois de prison
dont six avec sursis mise à l'épreuve. Il devra aussi indemniser ses victimes.
Bourges : un verre cassé sur le visage de son rival
Après avoir reçu un coup de poing, un homme a cassé un verre sur le visage du compagnon de son ex-petite amie, dans la nuit de jeudi à vendredi, dans une discothèque
berruyère. Quinze jours d'incapacité totale de travail ont été prescrits à la victime.
Après un premier accrochage, un homme de 36 ans a donné un coup de poing à l'ex-compagnon de sa petite amie, âgé de 47 ans.
Les deux hommes seraient ensuite partis chacun dans un coin de la boîte de nuit. Quelques minutes plus tard, vers 2h30, l'ex est revenu à la charge avec un verre à la main
et l'a explosé sur le visage de celui qui était au départ son agresseur.
Bilan : une profonde entaille d'une dizaine de centimètres sur le côté gauche. La victime, transportée au centre hospitalier de Bourges, a reçu une quinzaine de points de
suture. Quinze jours d'incapacité totale de travail lui ont été prescrits.
L'auteur du coup a été interpellé plus tard, vers 4h50, à proximité du domicile de son ex-compagne. Il était toujours en garde à vue au commissariat de Bourges hier soir.
Geoffroy Jeay
Plouisy (22). Un homme décède suite à un malaise en discothèque
La nuit dernière, vers 1 h 20, à la discothèque "La Plantation", à Plouisy (22), un homme, âgé de 51 ans et résidant à Pléneuf-Val-André, a fait un malaise. Les pompiers
de Guingamp ont tenté de le réanimer pendant une heure, sans y parvenir. Son décès a été déclaré à 1 h 55.
La victime était accompagné de son amie.
Les gendarmes de Guingamp étaient également sur les lieux.
dimanche 1 mai 2011 - 16:53
Un procès pour l'homme qui a cassé un verre sur le visage de son rival
L'homme qui a explosé un verre sur le visage du nouveau compagnon de son ex-petite amie dans la nuit de jeudi à vendredi en discothèque a été placé sous
contrôle judiciaire, samedi. Il comparaîtra le 27 mai devant le tribunal correctionnel de Bourges.
Âgé de 47 ans, le Berruyer reconnaît s'être approché de son rival, âgé de 36 ans et également Berruyer, avec un verre à la main, vendredi vers 2h30, mais seulement dans le
but de lui vider le contenu sur la figure.
L'explosion du verre sur le visage de la victime (qui lui avait assené un coup de poing quelques minutes auparavant) serait un accident. Une version difficile à croire pour
les enquêteurs au vu de la blessure infligée à l'actuel compagnon : une profonde entaille d'une dizaine de centimètres du côté gauche du visage...
Relâché samedi après-midi après plus de 24 heures de garde à vue et un passage devant un juge des libertés et de la détention, l'agresseur ne devra pas, d'ici son procès,
fréquenter les boîtes de nuit berruyères et entrer en contact avec la victime et les témoins. G.J.
Quatre blessés dans une rixe au couteau à Cimiez
Publié le lundi 02 mai 2011
Quatre blessés à l’arme blanche transportés à l’hôpital, dont deux dans un état grave : c’est le bilan d’une bagarre qui a très mal tourné, tôt hier matin en plein cœur du
quartier chic de Cimiez, à Nice. Plusieurs jeunes gens, âgés de 20 à 25 ans environ, se sont querellés pour une raison inconnue, peu après cinq heures du matin, sur le
parking du monastère de Cimiez. Et, à un moment donné, au moins un couteau est sorti d’une poche...
C’est le patron de L’Auberge de Cimiez, une discothèque réputée du quartier, voisine des lieux, qui a alerté les secours, vers 5 h 20 : « En fait, on a été surpris par des cris à
l’extérieur, alors qu’on venait de fermer, explique Jean-Marc Beraj. Mais ce sont des voisins qui nous ont prévenus. Je ne vais pas vous raconter d’histoire : les victimes
sont des clients de notre établissement. Le samedi soir, quand nos clients habituels s’en vont, après une heure du matin, on reçoit des plus jeunes. Jusqu’à 4 h 45, parce
qu’on a l’autorisation de fermer à 5 heures ce soir-là. »
Jalousie amoureuse ?
Que s’est-il donc passé après la fermeture du rendez-vous favori des danseurs quinquas de la Côte d’Azur ? Hier soir, faute d’avoir été autorisés par les médecins de l’hôpital
Saint-Roch à entendre les trois victimes encore hospitalisées, les policiers de la Sûreté départementale, à qui a été confiée l’enquête, peinaient à démêler les causes exactes
de la rixe et, surtout, à identifier le ou les auteurs des coups de couteau. Néanmoins, la jalousie amoureuse pourrait être à l’origine de la querelle.
Plusieurs personnes avaient été interpellées par les policiers peu après les faits, mais elles ont été mises hors de cause dans l’après-midi.
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VENDRESSE Le collectif Métissé revient samedi à La Marlière
Publié le lundi 02 mai 2011
Depuis plus de 42 ans, la discothèque La Marlière, entre Flize et Vendresse, est le rendez-vous hebdomadaire de la jeunesse ardennaise qui aime à s'y retrouver, les week-ends, pour s'éclater
sur les pistes de danse, dans une ambiance que viennent régulièrement surchauffer les plus « people » des groupes musicaux à la mode.
Ainsi, après Keen'v, Jessy Matador, Magloire, Giuseppe et Florent de l'émission « Qui veut épouser mon fils », Dj Daddy K, Dc Yugo & Mister KZ ou bien encore, plus récemment, le
groupe King Kuduro, qui sont tous venus faire leur show à La Marlière, c'est le collectif Métissé qui est attendu ce samedi 7 mai.
Collectif Métissé est un groupe français qui a la particularité de réunir plusieurs artistes d'influences musicales multiples, auteur déjà de plusieurs titres aux accents de zouk et de ragga et
qu'on entend souvent à la radio ou dans les discothèques.
Il s'était d'ailleurs déjà produit à Vendresse en juin de l'année dernière.
C'est par un premier titre « Laisse-toi aller bébé » que collectif Métissé s'est fait connaître, suivi, depuis sa création en 2009, de nombreux autres tubes…
D'autres invités sont par ailleurs attendus, toutes ces semaines prochaines à La Marlière, puisque sont d'ores et déjà programmés, pour le samedi 21 mai, le groupe Jessy Matador
précédemment venu ; le samedi 4 juin, ce sera la soirée Smirnoff avec deux gogo-danseuses et, le samedi 9 juillet, on fêtera la nuit du Bac avec… Mister France 2011 !
Nantes : Le corps d'un étudiant disparu en décembre repêché
Le corps d'un des deux étudiants nantais disparus en décembre a été retrouvé dans le fleuve ce lundi. Il s'agirait, à 99%, de Grégoire Rigault, qui n'a plus donné signe de vie
depuis qu'il est sorti de la discothèque le Calysto.
Grégoire Rigault avait disparu à la sortie du Calysto, une discothèque nantaise située sur les bords de Loire SIPA
Grégoire Rigault, 24 ans, était porté disparu depuis décembre : il n'avait plus donné signe de vie depuis une sortie de la boîte de nuit le Calysto. Son corps a été retrouvé dans
la Loire ce lundi, selon le parquet de Nantes qui a précisé qu'une autopsie doit être pratiquée mardi
Cet étudiant à l'Institut national des techniques économies et comptables (Intec) de Nantes, a été vu, pour la dernière fois à la sortie de la discothèque située en bord de Loire.
La nuit suivante, c'est un étudiant en fac de sports, Rémy Calméjane, 19 ans, qui avait disparu dans des circonstances similaires. Son corps a été retrouvé dans le fleuve en
février dernier. Il s'était vraisemblablement noyé. Deux autres jeunes ont également disparu à la même période, aux alentours de discothèques françaises, dans des conditions
mystérieuses. L'un s'appelait Anthony Carteron et vivait dans le Doubs. L'autre, Jérôme Cano, avait disparu à proximité d'une boîte de nuit calaisienne. Son corps avait été
retrouvé quelques jours plus tard dans sa voiture.
Missé (79). La discothèque a définitivement fermé ses portes
Après 35 ans d’existence, la discothèque du château de Missé a accueilli ses derniers clients le week-end dernier.Le gérant, qui va rester locataire des lieux en lui donnant
une autre destination, invoque une lassitude provoquée notamment par des contraintes administratives grandissantes.Le nombre de clients avait aussi diminué du fait de la
stricte application de la loi interdisant la vente d’alcool aux mineurs.
Une discothèque ferme après la découverte d'un corps dans la Loire
3 mai 2011
L'établissement nantais, qui a servi de l'alcool à une personne ivre, était en situation de récidive, d'après la préfecture de Loire-Atlantique.Fermeture provisoire. La discothèque Le Calysto,
située sur les bords de Loire à Nantes et fréquentée par un étudiant dont le corps a été retrouvé fin février dans la Loire, a écopé d'une fermeture administrative de six mois. Déja, fin
février, le corps de Rémy Calméjane, disparu le 3 décembre à la sortie de la discothèque, avait été retrouvé dans la Loire. L'autopsie a démontré que le jeune homme était très alcoolisé au
moment de son décès survenu après sa sortie de l'établissement vers 4h du matin.La préfecture de Loire-Atlantique a pris un arrêté ce mardi matin décidant de la fermeture administrative
de l'établissement pour six mois pour avoir "servi de l'alcool à une personne manifestement ivre" en précisant que l'établissement est "en situation de récidive".
Examens complémentaires
Rémy Calméjane avait disparu un jour avant un autre étudiant, Grégoire Rigault, 24 ans, étudiant à l'Intec (Institut national des techniques économiques et comptables) vu la dernière fois
le 4 décembre vers 4h non loin de la discothèque. Son corps a été retrouvé à proximité ce lundi, dans la Loire. Selon une autopsie réalisée ce mardi "aucune lésion traumatique ante
mortem" n'a été constatée mais "le médecin légiste n'a pas pu cependant se prononcer sur les causes de la mort du fait de l'immersion pendant plusieurs mois du corps dans la Loire", a
indiqué dans un communiqué Ivan Auriel, procureur de Nantes adjoint."Le parquet de Nantes a ordonné des examens complémentaires (toxicologie et anatomopathologie ) afin d'en
déterminer les causes. Les résultats de ces examens ne seront connus que dans plusieurs semaines", a-t-il ajouté.

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