le dossier de presse 2004 - Les Enfants du Rhône

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le dossier de presse 2004 - Les Enfants du Rhône
LE FESTIVAL ROCK
4 ET 5 JUIN 2004
DES ENFANTS DU
EN PLEIN AIR
RHONE
ILE BARBE - LYON
ème
2
EDITION
BUT :
Pérenniser ce nouveau festival Lyonnais avec la volonté de faire découvrir la scène locale
dans ses divers styles musicaux et de permettre à de nouvelles formations de jouer avec
des groupes au succès public plus affirmé.
Un objectif premier : la découverte des artistes régionaux, futurs talents nationaux dans
un cadre et une atmosphère privilégié.
Dynamiser le 9ième arrondissement, permettre aux gens de redécouvrir l’Ile Barbe et son
quartier, lieu charismatique oublié des Lyonnais.
DATES :
Vendredi 4 juin 2004.
Samedi 5 juin 2004
LIEU :
Ile Barbe – Plein air.
Quartier St Rambert – 69009 LYON.
DEROULEMENT :
4 groupes par soirée avec bar, installations culturelles diverses et marché artisannal.
Ouverture du site à 18h00 – Concerts de 20h00 à 2h00.
ARTISTES :
Vendredi 4 juin
REMINGWAY (Pop rock) - PICORE (Eléctro) - JACK THE RIPPER (Rock) MINIMUM SERIOUS (Punk rock)
Samedi 5 juin
LA MARGOT (Chanson) - DUCK BILLED PLATYPUS (Pop rock) - KAOLIN (Rock) STEREOTYPICAL WORKING CLASS (Rock métal)
Intervenants
Lerocképamort, association loi 1901, a pour projet de favoriser, développer la
démocratie musicale dans la région lyonnaise.
A travers « l’espace Lerocképamort », l’association veut créer un lieu de promotion,
diffusion, d’écoute et de rencontre. Pour le public, c’est dans un seul et même lieu
découvrir en les écoutant sur place, des disques d’artistes auto-produits ou de petits
labels, prendre un verre et échanger avec d’autres amateurs de musique, rencontrer les
artistes au cours de mini concerts, acheter des Cds ou tout autre produit dérivé.
Constitué autour d’un appel lancé en octobre 1993 par des syndicalistes et militants
associatifs, Agir ensemble contre le Chômage s’est fait connaître par les " marches contre
le chômage " qui durant plusieurs semaines organisèrent la convergence sur Paris.
Plus qu’une organisation, AC ! est un réseau de réseaux luttant contre le chômage, la
précarité et les exclusions.
AC ! est organisé en Collectifs locaux, une centaine à ce jour, réunis en coordination
régionale et inter-régionale. Au moins deux fois par an, des Assises organisées
nationalement statuent sur les questions importantes, la "ligne politique" d’AC !.
D’AUTRES STRUCTURES SERONT PRESENTES SUR LE FESTIVAL……..
PROGRAMME DES CONCERTS
Vendredi 4 juin
- REMINGWAY (Pop rock) Valence - 20h
- PICORE (éléctro) Lyon – 21h15
- JACK THE RIPPER (rock) Paris - 22h45
- MINIMUM SERIOUS (Punk rock) Grenoble - 00h15
Samedi 5 juin
-
LA MARGOT (Chanson) Lyon - 20h
- DUCK BILLED PLATYPUS (rock) Valence-21h15
- KAOLIN (rock) Montluçon – 22h45
- STEREOTYPICAL WORKING CLASS (rock métal) Lyon – 00h15
A partir de 18h
Prix des places :
Métro ligne D station gare de Vaise
Puis bus n°43 Gare de Vaise - Neuville
Arrêt St Rambert/Ile Barbe
12€ par soirée
Métro ligne C station Cuire
Puis bus n°75 Crépieux - Bords de Saône
Arrêt Cuire le bas
10€ Chômeurs / Etudiants
Bus 31 Perrache – La Chaux
Arrêt St Rambert/Ile Barbe
Pass 2 soirées 20€
(Hors frais de location)
Pour tous renseignements :
04.72.41.83.12
http://lesenfantsdurhone.free.fr
[email protected]
Bus 40 Pêcherie - Neuville
Arrêt Ile Barbe
Bus 90 Pêcherie - Genay
Arrêt Ile Barbe
Bus 184 Perrache - Genay
Arrêt Ile Barbe
Parking en Quais de Saône
Côté Caluire : Quai Clémenceau
Côté Vaise : Quai Sédaillan
L’ASSOCIATION LES ENFANTS DU RHONE
Bureau:
Eric Amblard, Président.
Sophie Juillat, Trésorière.
Marie-Pierre Roy, Secrétaire.
Michäel Fachinetti, Communication.
35 Adhérents, 30 bénévoles.
Contacts
Siège social : 15, rue Victor Hugo – 69002 Lyon
Tél : 04.72.41.83.12
06.80.59.43.67
[email protected]
http://lesenfantsdurhone.free.fr
Tout commence il y a six ans du côté de Grenoble dans un local de répétition où les affiches de Bad Religion et de
NoFx jouent les rôles d'anges gardiens. Le rêve n'empêche pas l'humilité. À l'heure où la télévision fabrique des stars en
quelques semaines, les quatre membres de Minimum Serious n'ont pas oublié de gravir les échelons un à un.
Guidés par l'envie d'imiter des modèles tels que Fat Mike et son légendaire label Fat Wreck Records, ils créent leur
propre structure, On The Ring Records pour se promouvoir, sans oublier d'aider les copains où les formations hexagonales
qu'ils apprécient. Les ambitions sont là et le groupe, après un Fantastic World en guise d'apéritif, stabilise son line-up autour
d'un deuxième album ironiquement intitulé Procapitalist. Ces quatre là manient le second degré avec dextérité, mais en
temps que fan de Spinal Tap, quoi de plus normal ? On peut s'amuser et rester sérieux. Enfin, un minimum.
Viens le temps de relever les manches et de tracer la route. Étape obligée pour toute formation indé, le quatuor
sillonne la France de long en large et se construit une solide base de fans. Mais il n'oublie pas pour autant de démarcher des
structures plus importantes, sait-on jamais, le succès sourie aussi à ceux qui savent le chatouiller. Fritz (basse/chant), Guish
(guitare), Cédric (guitare/chant) et Mr Barbecue (batterie) balancent leur démo à gauche, à droite. Qu'importe les lettres
de refus, la passion et l'obstination pour seul carburant, leur foi semble inébranlable. Mercury tombe sous le charme du culot
de ses garnements.
JACK THE RIPPER
La cause est entendue : depuis six ans, Jack the Ripper a écumé nombre de salles parisiennes, drainant derrière lui,
au fil du temps, un public grandissant, plus qu’enthousiaste et fidèle à chaque rendez-vous. Remarqué notamment par la
revue britannique Time Out (Paris Guide 1999 & 2000) comme l’un des tout meilleurs groupes de scène parisiens, cet octet
rock magnétisant, emmené par un chanteur charismatique, trouve également un écho de ses performances et de sa
réputation croissante dans une presse de plus en plus régulière et révélatrice (Aden, Libération, Télérama...).
Outre de nombreuses compositions originales, des textes ciselés qui épousent laconiquement les tourments
inhérents à l’âme humaine - le doute, la culpabilité, les frustrations, la compassion, les colères, l’orgueil, le désir, dressés
en un nouveau code des désordres psychiques - l’un des principaux atouts de Jack the Ripper est le temps.
Ce temps qu’il aura su prendre, appréhender, utiliser, se donner pour évoluer. Avant-hier, naviguant dans le sillage
d’un Leonard Cohen pris de frénésie électrique et des Doors revisités par Nick Cave (ou l’inverse ?) ; hier, plutôt sur les
traces de Calexico ou de Sixteen Horsepower, tour à tour cajoleur et rageur ; Jack the Ripper semble aujourd’hui avoir
véritablement trouvé une voie qui lui est propre, débarrassée d’influences et de figures tutélaires ô combien revendiquées et
admirées, mais qu’il a su s’approprier et revisiter. Son identité a toujours été forte ; ses prestations scéniques, depuis
longtemps remarquées et reconnues.
PICORE
- Musique cossue pour adolescents déprimés -
Le groupe PICORE prend sa genèse à la rouille (un appartement cossu des fentes de la proie rousse de Lyon) en
novembre 2001. Il est composé d'insupportables musiciens et non musiciens dont Carbon Copies ( nomenclateur exilé
d’Outre-Manche ) et Pierre Larbor (responsable danse, hygiène et massages ), tous deux issus du collectif hip-hop
expérimental, graphisme, vidéo, arts plastiques RP2F, Brenda Vache Folle ( ex. Mellowmood, groupe de ska jazz lyonnais et
grand amoureux des expériences éthniques), LHQVSPDCEO (ex chanteur guitariste du groupe noise grenoblois OWUN,
adorateur du cuir) et d'hommes courageux à savoir Serj Valeur ( clarinettiste, crieur convulsif et grand ami des espaces
forestiers ) et Clint ( saxophoniste revenu à la musique après une douloureuse expérience trop près du grand capital ).
Leurs sons tordus et cris stridents vrillent le cerveau de leur gros voisin et plutôt que de suivre la fameuse
expression « va t’mettre chez le voisin, ça ira mieux»ils décident de vomir leur mixture dans un local bunker et plus
précisément au sein des locaux JARRING EFFECTS, célèbre label lyonnais qui accepte de les nourrir au grain issu de
l'agriculture biologique et de les élever en plein nerf lors d'une première partie d'High Tone le 17 mai 2002 au PEZNER (R.I.P).
Après avoir enregistré 6 titres en Septembre-Octobre 2002 au Studio Jarring Effects avec Jean Yves Gachon ( Mei tei
sho, L'oeuf Raide, Interlope, Löbe Radiant dub system, Ezekiel... ) le groupe Picore se met la chauffe en enregistrant quatre
autres titres en Février-Mars 2003 pour aboutir à l'album "DISCOPUNKTURE", qui sort en autoproduit le 15 juin 2003. Outre
les dix titres, le disque comporte une plage C.D rom comprenant un clip (avec morceau inédit) et une galerie de photos.
RéMINGWAY
«Si tu savais frangin
Comme on est bien ici
A penser à demain
Dans la bière et la nuit»
C’est sur les bancs du lycée que les
membres de Rémingway se rencontrent. Très vite
rapprochés par leur passion de la musique, de la
littérature et de la bringue, les Quatre Taberlos
ne tardent pas à s’allier dans une aventure aux
lendemains prometteurs. En effet, en l’espace de
deux ans, le groupe arrive à se forger une identité
sur la scène régionale et conquiert un public tous
les jours plus nombreux, séduit par la richesse
d’un répertoire original.
Aujourd’hui fort d’une cinquantaine de concerts, le quatuor Valentinois, formé en janvier 2001, fête ses deux ans
d’existence en sortant son premier album autoproduit : « Don Juans Juniors ». Titre qui reflète d’un coté le monde pré
adulte et ses manèges de séduction, de l’autre, la part de jeu que l’on garde en soi et les joies que l’on cultive… De
l’enfance aux autres plaisirs de la vie, nos Rémingways grandissent comme ils peuvent.
Ce premier opus, galette aux teintes agrumes, contient toute l’énergie acidulée du groupe, cocktail explosif de
rocks cuivrés, mâtiné de chansons en français, douces amères, mélancoliques et tendres. Quinze morceaux qui s’enchaînent
comme des antidotes à la monotonie, des ingrédients d’une potion magique qui raconte à son jus une seule et même
chose…la vie.
STEREOTYPICAL WORKING
CLASS
Martin SIMONET: chant
Christophe et David FERNANDES: guitares
Bertrand SIMONET: basse
Benjamin GALLINDO: batterie
Originaires du 69, les Stéréotypical Working Class décalquent les tympans des métal-freaks lyonnais depuis 1999.
Lauréats du FAIR 2002-2003 et présélectionnés Rhône-Alpes pour les Découvertes du Printemps de Bourges 2003, les
SWC nous proposent un son frais et revigorant dont la recette tient du secret de famille puisque les frangins Martin (chant) et
Bertrand (basse) forment le noyau dur du groupe avec deux guitaristes cousins, Xtof et David.
Les compositions du quintet, puissantes et émotionnelles (Incubus, Red Hot Chili Peppers, Staind...) tirent leur force
de riffs aux accroches imparables et de refrains “catchy”.
Un style alternant bonne humeur et mélancolie qu’ils qualifient eux même de “stéréométalypical”. Cette touche de
personnalité, alliée à un impact scénique “in yo’face”, leur a permis d’ouvrir pour Tripod, Mass HYSTERIA , Watcha, Backfire,
Pleymo ou encore les new yorkais de Madball.
Les SWC, c’est l’intensité du rock délivrée à 200% pour le plus grand plaisir d’un public grandissant.
Une expérience humaine dont on ne ressort pas indemne!
KAOLIN
Commençons par un peu de géologie : Kaolin, c'est l'argile friable et
réfractaire dont on fait la porcelaine. Le nom vient du chinois Kaoling qui
signifie « colline élevée ». Par delà ces précisions scientifiques et
étymologiques, il y a beaucoup à dire sur les quatre de Kaolin et leur goût
pour les reliefs. Non seulement ils vivent, composent et répètent à
Montluçon, cernés par des monts massifs, mais ils sont allés enregistrer leur
deuxième album au pied du Ventoux avant de le mixer au plus profond des
forêts des monts Catskill, près de Woodstock.
D'ailleurs, même lorsqu'ils chantent la mer et les plages, ils y mettent des
pics et des arêtes : riffs acérés de guitares Rickenbacker et breaks de
batterie abrupts hérissent les rivages de Loin de l'île et Plage et Gazole.
Même la plus sereine De Retour dans nos criques est parsemée de récifs et
d'amers.
On ne comprend pas toujours pourquoi des disques français transitent par les Etats-Unis. Cette fois, si. Disons même
que cela saute aux oreilles. Fridmann a magnifié la dynamique du groupe. Leur hargne mélodieuse a encore gagné en tension
et en passion. « Qu'avons nous fait de nos histoires ? » s'interrogent-ils dans l'émouvant Vide et silence. Un beau disque, a-ton envie de leur souffler. C'est l'urgence de la jeunesse qui résonne ici. Une urgence réfléchie parfois, mais souvent insolente
et toujours exigeante, qui transparaît jusque dans les textes, même dans une chanson d'amour comme C'est la vie.
Comprenez l'amour à la Kaolin, voyez plutôt : « J'ose et touche, Malinchka… …Montre-moi, montre-moi ». Quiconque a vu ces
quatre-là prendre possession d'une scène, ces derniers mois, doit se réjouir de la sortie de cet album : on y retrouve la même
énergie, tour à tour contenue et débridée, le même lyrisme à la fois tendu et élégant et la même absence de calcul. Quant à
ceux qui n'ont pas encore assisté à un de leurs concerts, qu'ils écoutent ce disque, ça devrait faire naître des désirs.
DUCK BILLED PLATYPUS
Duck Billed Platypus (D.B.P) est un groupe de musique pop-rock à tendance progressive composé d’un trio de jeunes
musiciens. Il s’agit d’une formation classique guitare-chant, basse et batterie. D.B.P a comme ambition première de
transmettre des émotions simples à travers une musique authentique, à exprimer ses sentiments à sa manière, sa couleur, en
conservant toute sa sincérité.
« Nous souhaitons exprimer notre regard et nos sentiments sans tricher en les valorisant par notre musique. Les
chansons sont composées autour de textes anglais conçus comme des poèmes, les rythmes et la voix lancinante sont coupés,
sectionnés comme des phrases et soutenus par des interventions sonores, des nappes, des boucles, comme pour approfondir
l’expression de nos sentiments et leur donner du sens. »
Depuis décembre 98, date de fondation du groupe, ils se sont illustrés dans divers concerts en région Rhône-Alpes à
la recherche de leur son, leur couleur, leur identité qui s’affirme en cette année 2004.
LA MARGOT
Chanson française, tendre, engagée et authentique
« J’ai perdu la tramontane
En trouvant Margot,
Princesse vêtu’ de laine,
Déesse en sabots…
Si les fleurs, le long des routes,
S’mettaient à marcher,
C’est à la Margot sans doute,
Qu’ell’s feraient songer… »
(Georges Brassens, Je suis un voyou, 1954)
Née en 1997, cette « Margot » (lyonnaise celle-ci) s’est forgée un style authentique au fil de ses 50 concerts
annuels. Des textes tout à tour tendres et engagés que servent des musiciens venus d’horizons différents. La formation
musicale originale (violoncelle, percussions, saxophone, guitares et basse) porte avec finesse les chansons d’amour du jeune
auteur compositeur Thierry Couchoud, et lorsque celui-ci parle de sa révolte, le quintet dégage l’énergie nécessaire pour
porter haut et fort leurs textes engagés. Entre tendresse, ironie et révolution, La Margot se promène, telle un chien errant,
métaphore que Thierry aime à définir comme sa propre vie : une vie de musicien, trimbalant sa guitare de bar en bar à la
rencontre du public. Ce public, qui de plus en plus fidèle, fait de La Margot un groupe qui promet de compter sur la scène
régionale… et nationale.
Depuis 2002, La Margot est produite par Poisson Bleu, de cette collaboration naîtra en 2004 leur premier album :
Chien errant
Alors pour rendre une nouvelle fois hommage à Georges Brassens qui inspire tant Thierry : « Quand Margot dégainait
sa guitare…Tous les gars, tous les gars du village, étaient là, la, la, la, la … » (inspiré très librement de Brave Margot,
Georges Brassens, 1952) : en espérant que vous soyez-là vous aussi !

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