DOSSIER DE PRESSE - Centre Hospitalier de Valence

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DOSSIER DE PRESSE - Centre Hospitalier de Valence
DOSSIER DE PRESSE
CAMPAGNE SUR LE DON DE SOI
SERVICE DE COORDINATION
DES PRELEVEMENTS ET DES GREFFES
DU CENTRE HOSPITALIER DE VALENCE
ET
L’ETABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG
LUNDI 17 SEPTEMBRE 2012
2012
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LE DON DE SOI – Campagne de sensibilisation
Le Centre Hospitalier de Valence, hôpital de référence du territoire Drôme Ardèche
dispose d’un service de coordination des prélèvements et des greffes.
La Coordination Hospitalière des prélèvements et greffes du CHV,
en partenariat avec l’EFS,
participe pour la seconde année
à la semaine de sensibilisation au DON intitulée :
« Don de soi » qui se déroule
du 17 au 22 septembre 2012
dans le hall d’entrée du centre commercial Valence 2.
L’équipe de la coordination hospitalière assurera une permanence
avec l’association INFO DON D’ORGANES 26/07 qui regroupe des
familles de donneurs, donneurs et personnes greffées
COMPOSITION ET ACTIVITE DU SERVICE
COMPOSITION
Ce service se compose d’un cadre de santé : Madame
adame Odile FONTANILLE
D’un médecin : Docteur Robert LAFARGE
De trois infirmières coordinatrices : Madame Véronique BonBon-Eynard et Madame Amandine
Recchia et Muriel Douyere
Douyere.
ouyere.
Cette unité organise et coordonne les prélèvements d’organes et des tissus au sein de
l’établissement depuis de nombreuses années. Le service avec une équipe dédiée à cette
activité a été créé en 1998.
Le Centre Hospitalier de Valence s’est fortement mobilisé pour sauver des vies humaines. Il
pratique des prélèvements d’organes et de tissus dans le respect des lois et règlements en
vigueur. L’équipe partage leur temps entre l’accueil des familles, les prélèvements et la
sensibilisation de tous les publics au don d’organes et de tissus (des journées d’information
auprès des écoles, des IFSI, du public ...).
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ACTIVITE en 2012
Chiffres du 1er/01/2012 au 31/05/2012
10 patients recensés « prélèvement multiorganes »
dont 6 réalisés soit : 25 organes prélevés et greffés
Tissus : 28 cornées prélevées ; 1 prélèvement de peau
1 prélèvement de moelle osseuse
3 greffes de cornée et 3 greffes de membranes amniotiques
373 décès recensés sur le CHV
19 interventions d’information (de 2 à 3h chacune) réalisées dans les Lycées,
collèges, IFSI et IFAS de la région.
2012, LA RECONNAISSANCE AUX DONNEURS
Cette année 2012, à la demande de l’Agence de la Biomédecine, la sensibilisation
est davantage orientée sur la reconnaissance aux donneurs et familles de donneurs.
A cette occasion, lors de la journée de sensibilisation du mois de juin au sein du
Centre Hospitalier de Valence, les professionnels de la Coordination et la Direction
de l’hôpital se sont mobilisés pour concrétiser cette action. Un olivier a été planté,
symbole de vie et de longévité, devant le bâtiment Entrée A en reconnaissance à
tous les donneurs et leur famille pour leur geste de générosité. Grâce à toutes ces
personnes, d’autres ont retrouvé une vie décente et peuvent espérer faire des
projets de vie. Un cadeau inestimable.
Depuis 1984, le CHV compte 232 donneurs multi organes
Depuis 1991, pour les cornées, 737 donneurs
Depuis 1993, 99 donneurs volontaires pour la moelle osseuse
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ROLE DE L’EQUIPE
Les infirmières coordinatrices assureront des permanences pour expliquer leur activité et
l’importance du positionnement du vivant.
« Dire son choix sur le don d’organes
et connaître celui de ses proches,
c’est se donner toutes les chances
de respecter la volonté de chacun ».
que
ue lorsque ce
Lors des entretiens auprès des familles qu’elles rencontrent, elles constatent q
sujet sensible a été évoqué au préalable, il est beaucoup plus confortable de rapporter un
positionnement que de prendre une décision en ignorant les volontés de la personne
défunte.
La participation à cette manifestation s’inscrit dans le cadre
cadre de leur mission
d’information grand public à laquelle s’ajoute la gestion :
- des patients donneurs potentiels d’organes et de tissus ainsi que leurs proches en
collaboration avec l’ensemble des services.
- des patients receveurs de greffe de cornée et de membrane amniotique avec le Docteur
Ligeon-Ligeonnet.
- des prélèvements de moelle osseuse avec les Docteurs Anglaret et Liu.
- des greffons osseux et des prélèvements de têtes fémorales avec le Docteur Latune.
Des témoignages de familles de donneurs et de personnes greffées viendront compléter leur
intervention.
Ce don du vivant s’inscrit dans la même démarche : « sauver des vies ».
AUTOUR DU DON, DON DE SANG PLACENTAIRE
DON DE SANG PLACENTAIRE : UN NOUVEAU DON DE VIE
Depuis le 1er septembre 2010,
2010, lors de l'accouchement à la maternité du centre
hospitalier de Valence, il est possible de pratiquer ce qu’on appelle le don du « sang
placentaire » ou du « sang de cordon ».Ce tissu est collecté, après la naissance et avant la
délivrance. Cette collecte n'est pas douloureuse et ne comporte aucun danger, ni pour la
patiente ni pour l’enfant puisqu'elle ne modifie pas les gestes médicaux de l'accouchement.
Ce « sang placentaire » est particulièrement riche en cellules souches hématopoïétiques.
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Celles-ci sont capables de reconstituer le système sanguin. Injectées par voie veineuse, elles
vont spontanément se loger à leur place normale dans la moelle osseuse, et générer les
cellules sanguines nécessaires à l’organisme.
Elles peuvent donc être utilisées pour traiter certaines maladies héréditaires du sang, les
maladies malignes du sang (Leucémie) ou des ganglions (lymphome)…
La greffe de sang placentaire a de nombreux avantages : aucun risque pour le donneur,
disponibilité immédiate, compatibilité tissulaire facilitée…
L’équipe de la maternité a été sollicitée en 2009 par l’antenne de Grenoble de
l’Etablissement Français pour s’investir dans cette activité.
Le Docteur Fernandez, chef du pôle mère-enfant, et Sabrina Bottet, cadre sage-femme de la
salle de naissances et des consultations de gynécologie- obstétrique, ont tout de suite été
motivées par ce projet « humaniste ». Ce d’autant que ce don est anonyme et gratuit.
Il n’a pas fallu longtemps pour que l’équipe adhère et se forme.
Le futur don nécessite une consultation qui permet d’informer la patiente, et surtout de
rechercher les contre-indications au don : Pathologies infectieuses, génétiques… pour les
parents ; et toutes les anomalies du développement intra-utérin et les pathologies
infectieuses pour l’enfant.
Ces consultations au rythme de une par semaine ne suffisent déjà plus, tant les parents ont
compris l’enjeu de cette démarche.
A cette occasion, un dossier est rempli et le consentement de la future mère recueilli. Le jour
de la naissance, le sang du placenta est prélevé au lieu d’être jeté. Il est désormais envoyé à
l’établissement français du sang, où il sera conservé s’il est conforme, jusqu’à la greffe.
Le 13 octobre 2010, le premier prélèvement a été effectué, il était conforme.
Une grande aventure a débuté et l’équipe est ravie d’avoir créé ce lien invisible, mais ô
combien important entre un couple et leur enfant ; et un malade à qui est offert « un don de
vie. »
L’établissement compte 198 dons en 2011 et
113 entre le 01/01/2012 et le 30/07/2012
30/07/2012.
0/07/2012.
Venez nombreux nous rendre visite
et soutenir cette action !
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Né de la loi du 1er juillet 1998 et créé le 1er janvier 2000, l’Établissement
Français du Sang est placé sous la tutelle du ministère de la santé. C’est
aujourd’hui l’unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France.
Sa mission principale
L’EFS assure l’autosuffisance nationale en produits sanguins dans des
conditions de sécurité et de qualité optimales sur tout le territoire national.
Du donneur au receveur, il garantit l’application des bonnes pratiques
transfusionnelles et la certification de ses 17 établissements régionaux.
Parallèlement,
il
renforce
la
veille
sanitaire
autour
de
son
réseau
d’hémovigilance et développe des partenariats avec les établissements
hospitaliers dans le domaine des activités associées à la transfusion sanguine
(laboratoires de biologie moléculaire, centres de soins, thérapie tissulaire et
cellulaire…).
Ses ressources
Elles proviennent en majeure partie des cessions des poches de sang aux
établissements de santé dont le prix unitaire est fixé par l’État.
Ce tarif correspond à la prise en charge de l’ensemble des frais engagés dans
l’activité de transfusion (collecte, préparation, qualification, distribution). En
2010, il a signé son premier contrat d’objectifs et de performance (COP) avec
l’État, feuille de route qui fixe ses grandes orientations stratégiques pour les
années à venir.
En 2011, son budget s’est élevé à 920 millions d’euros dont 11 millions sont
attribués directement à la recherche.
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Son organisation
L’EFS compte aujourd’hui 9 800 collaborateurs, répartis entre un siège
national (environ 200 personnes) qui définit les orientations générales et
assure le pilotage stratégique, et des établissements régionaux chargés de
gérer les activités de transfusion sanguine.
L’EFS dispose de 152 sites fixes de prélèvement et organise 40 000 collectes
mobiles chaque année.
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Une collecte repensée au service des donneurs
Les dons de sang, plaquettes ou plasma sont plus que jamais nécessaires
pour répondre à l‘immense besoin de la population. Nous ne savons toujours
pas fabriquer de sang in vitro dans des quantités industrielles. Le sang des
donneurs est donc irremplaçable. Et ce pour au moins, les vingt prochaines
années.
Il est donc essentiel de recruter davantage de donneurs. Pour ce faire, l’EFS a
repensé ses modes de collecte, investissant de plus en plus les centres villes
et les lieux de passage.
• Des besoins qui augmentent
Nos modes de vie ont évolué. Grâce au progrès de la médecine, on observe
un allongement de la durée de vie. Ce qui engendre en conséquence, une
augmentation du nombre de personnes malades, susceptibles de recourir
aux transfusions sanguines. De nombreuses pathologies sont concernées,
des cancers aux maladies chroniques. Citons pour exemple les maladies du
sang et les cancers (dont les leucémies et les lymphomes) :
Le traitement des cancers par chimiothérapie entraîne la destruction
des cellules de la moelle osseuse. Pour pallier ces effets, on a recours à
d’importantes transfusions de plaquettes et de globules rouges.
La thalassémie : cette maladie héréditaire se traduit, dans sa forme
grave, par une anémie nécessitant des transfusions tout au long de la
vie.
La drépanocytose : Elle se caractérise par la présence de globules
rouges en forme de faucille qui sont fragiles, se détruisent rapidement
et entraînent, en encombrant les vaisseaux, des crises vasculoocclusives. Le sang de ces malades doit être renouvelé à intervalles
réguliers. Le dépistage de cette maladie se fait à la naissance. La
prévalence de cette maladie chez les nouveau-nés est de 1/3000 en
France et de 1/700 en Ile-de-France.
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Les transfusions sont également nécessaires, voire indispensables en cas
d’hémorragie :
Au cours d’un accouchement,
ccouchement une hémorragie peut nécessiter un
besoin urgent et important de produits sanguins. Ceux-ci doivent être
disponibles en moins d’une demi-heure, ce qui est déterminant dans
l’implantation des dépôts de sang et des maternités.
Lors d’une opération
opération chirurgicale ou après un accident (traumatologie),
une transfusion de globules rouges peut être vitale. Si le malade perd
beaucoup de sang, il faut parfois, pour faciliter la coagulation et
arrêter le saignement, transfuser du plasma et des plaquettes.
On sait aujourd’hui que certains médicaments dérivés du sang, comme par
exemple les sérums réalisés à partir des immunoglobulines, permettent de
lutter contre les déficits immunitaires, que peuvent notamment entraîner les
traitements par chimiothérapie.
L’amélioration des diagnostics est une autre conséquence de l’augmentation
des besoins. Il est aujourd’hui possible de détecter et donc de soigner ou de
soulager grâce aux produits sanguins des maladies auto-immunes, des
déficits immunitaires ou des maladies orphelines.
En 2011, l’EFS a recueilli environ 3.190 000 de dons de sang auprès de 1.7
millions de donneurs. En 2012, les besoins augmentent encore. Les
premières tendances de l’année 2012 montrent une accélération de la
consommation qui est estimée à près de 6% .
1 million de malades sont soignés chaque année grâce aux produits
sanguins. Des transfusions sanguines (hémorragie après un accouchement,
affaiblissement lié à une chimiothérapie, maladies chroniques…) aux
médicaments dérivés du sang, les besoins sont en constante augmentation.
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Le vieillissement de la population est notamment une des raisons de
l’accroissement de la consommation en produits sanguins. Or aujourd’hui, il
n’existe toujours pas de médicaments capables de se substituer au sang
humain.
Le sang est unique, précieux. Chaque don compte.
Et peut sauver des vies.
Don de sang en France : les données clés
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-
1 million de malades soignés chaque année grâce au don de
sang.
10 000 dons nécessaires chaque jour en France dont 1000 en
Rhône-Alpes.
3 millions de dons en 2011.
Le sang ne se congèle pas, la durée de vie des produits
sanguins est limitée : 42 jours pour les globules rouges, 5 jours
pour les plaquettes.
Aucun produit ne peut se substituer au sang humain.
Les femmes peuvent faire jusqu’à 4 dons de sang total par an,
les hommes jusqu’à 6.
Se présenter avec sa carte d’identité si c’est un premier don et
ne pas venir à jeun.
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Le Don de Moelle Osseuse
Chaque année, 2 000 personnes atteintes de maladies graves du sang,
comme les leucémies, les lymphomes, mais aussi d’autres formes de
pathologies sanguines moins bien connues ont besoin d’être soignées par
une greffe de moelle osseuse. Chaque donneur de moelle osseuse peut ainsi
offrir à un malade une chance supplémentaire de guérison .L’enjeu de
l’Agence de la Biomédecine est de recruter 18 000 donneurs par an.
Plus les donneurs sont nombreux, plus la probabilité de sauver un malade
augmente.
augmente Cette mobilisation est essentielle au recrutement de 18 000
nouveaux donneurs en 2012. Pour pouvoir mieux répondre aux besoins des
malades, un objectif de 2400 000 donneurs inscrits a été défini à l’horizon
2015. Cela permettrait à la fois de trouver plus facilement un donneur
compatible en France pour les personnes malades en attente de greffe ; et de
participer encore davantage à la solidarité internationale avec les 71 registres
nationaux partenaires.
Trois conditions pour devenir donneur de moelle osseuse :
•
Il est indispensable d’être en bonne santé ;
•
D’être âgé de 18 ans minimum à 50 ans révolus lors de l’inscription ;
•
D’accepter de répondre à un entretien médical ;
•
De faire une prise de sang.
Deux modes de prélèvements.
prélèvements Le prélèvement de la moelle osseuse peut se
faire de deux manières. Ce choix est déterminé par le médecin, tenant
compte des caractéristiques du donneur et du receveur :
•
Le prélèvement dans les os du bassin : effectué sous anesthésie
générale, l’intervention dure une heure environ et nécessite une
hospitalisation de deux jours. Ce type de prélèvement permet le recueil
des cellules souches mais aussi de leur environnement ;
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•
Le prélèvement dans le sang par cytaphérèse : le donneur reçoit un
médicament par injection sous-cutanée, une semaine avant le
prélèvement en ambulatoire. Ce médicament libère les cellules souches
de la moelle qui vont quitter les os pour passer temporairement dans
le sang, où elles seront prélevées.
Le prélèvement se planifie entre un et trois mois à l’avance, permettant au
donneur de prendre les dispositions nécessaires. La législation prévoit la
prise en charge des frais liés à l’intervention et l’organisation d’un arrêt de
travail si nécessaire.
Le Registre des Donneurs de moelle osseuse, chiffres clefs :
•
Au 31 décembre 2011 :
196 391 donneurs inscrits sur le Registre Français, dont 14 571
nouveaux ;
7 612 donneurs inscrits sur le fichier de la Drôme et de l’Ardèche,
dont 275 nouveaux.
•
Au 31 Juillet 2012 :
8 016 nouveaux donneurs inscrits sur le Registre Français (objectif
2012 : 18 000) ;
107 nouveaux donneurs inscrits sur le Fichier de la Drôme et de
l’Ardèche (objectif 2012 : 350)
Le prélèvement de sang de cordon
Le sang de cordon ou sang placentaire est le sang qui reste dans le placenta
et le cordon ombilical après la naissance. Son prélèvement (qui n’est pas
douloureux et ne comporte aucun danger, ni pour la mère, ni pour l’enfant) à
lieu dans les minutes qui suivent l’accouchement.
Le sang de cordon contient des cellules souches hématopoïétiques qui
siègent habituellement dans la moelle osseuse et produisent, toute la vie
durant, les cellules sanguines (production de globules rouges, globules
blancs et plaquettes).
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Les principales maladies soignées grâce au sang de cordon :
Une greffe de sang de cordon permet de soigner les maladies graves du
sang, certaines maladies héréditaires de l’hémoglobine, les maladies
malignes du sang (leucémies) ou des ganglions (lymphomes), mais
également certaines maladies génétiques rares, les déficits immunitaires et
les insuffisances de fonctionnement de la moelle.
Les quatre étapes clefs du prélèvement :
Le prépré-prélèvement : une information pré-don est remise au cours
d’une consultation prénatale, le consentement écrit est recueilli avant
l’accouchement ;
Le prélèvement : il est réalisé par une sage-femme préalablement
formée (identification et anonymisation, parfaite traçabilité du sang
placentaire
et
des
échantillons
biologiques
associés).
Le
sang
placentaire est transféré à l’EFS dans les 24 heures qui suivent le
prélèvement.
Miniaturisation et cryoconservation : les poches sont réceptionnées au
sein des banques de tissus et cellules de l’EFS (Lyon et Saint Ismier)
pour être préparées et miniaturisées. Elles seront ensuite conservées
dans des cuves d’azote liquide.
Evaluation de la qualité : des examens sérologiques et bactériologiques
sont réalisés sur le sang placentaire et sur le sang maternel. Les
analyses et tests de dépistage des maladies transmissibles sont
réalisés conformément à la réglementation. Deux mois après le
prélèvement, à partir d’un nouvel échantillon prélevé chez la mère, les
sérologies sont vérifiées et le typages HLA confirmé (sang placentaire
et mère). C’est seulement à cette étape que les unités sont
enregistrées sur le registre France le l’Agence de la Biomédecine.
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Centre Hospitalier de Valence - 179 Boulevard Maréchal Juin - 26 953 Valence Cedex 9
Directeur : Jean-Pierre Bernard Chargée de Communication CHV : Marie-Laure Pascal – Tél 04 75 75 81 22 –
Contact EFS: Catherine RIBARD – Tél 04 75 82 44 06 Photo : Claude Fougeirol
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