U = f(I) La LDR II PROTCOLES PROPOSES II.1 verifier que la LDR
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U = f(I) La LDR II PROTCOLES PROPOSES II.1 verifier que la LDR
La LDR II PROTCOLES PROPOSES II.1 verifier que la LDR est bien un conducteur ohmique* Schéma : On contrôle avec le luxmètre que l’intensité lumineuse Reste constante pendant la manipulation Résultats (Yacine et Martin) I (mA) 14,9 13,9 12,9 11,9 10,9 9,9 8,9 7,9 6,9 5,9 4,9 3,9 2,9 1,9 0,9 0 -0,9 I (mA) -1,9 -2,9 -3,9 -4,9 -5,9 -6,9 -7,9 -8,9 -9,9 -10,9 -11,9 -12,9 -13,9 -14,9 4,8 4,5 4,1 3,8 3,5 3,1 2,8 2,5 2,1 1,8 1,5 1,1 0,9 0,5 0,2 0 -0,2 U = 3,1008 I R2 = 0,9985 U = f(I) -0,6 -0,9 -1,2 -1,5 -1,8 -2,1 -2,5 -2,8 -3,2 -3,5 -3,8 -4,6 -4,6 -4,9 20 15 10 5 U (V) U (V) U (V) 0 -6 -4 -2 -5 0 2 4 -10 -15 -20 I (mA) Le coefficient de détermination R2 est très proche de 1 , ce qui valide le choix d’un modèle linéaire . Notre LDR est bien un conducteur ohmique II.2 Verifier que la valeur de la résistance dépend de l’éclairement Schéma du montage proposé On mesure lintensité lumineuse grâce à un luxmètre R= f ( E) -1,8746 R = 4605,9 E 2 R = 0,9297 25000 La résistance de la L.D.R. décroît très rapidement lorsque l'éclairement reçu augmente A éclairement constant et à température constante, la résistance est constante : les L.D.R. suivent la loi d'Ohm U = RI. 20000 R (kohm) 15000 10000 5000 0 0 0,5 1 1,5 2 2,5 E (lux) 3 3,5 4 4,5 5 6 III.Etalonnage des stroboscope du lycée. But : Déterminer la période Te ( temps entre 2 flashs) Montage proposé On réalise le montage suivant ou le voltmètre et l’ampèremètre Sont les adaptateurs de l’interface ESAO. On enregistre i = f(t) Résultat obtenu LDR « éclairée » Intensité importante donc faible résistance i (mA) Te = 52,3 ms 55 50 45 40 35 30 25 20 t (ms) 20 40 60 80 100 120 140 160 180 Intensité faible donc forte résistance LDR « obscurité » 200 Pour une période plus faible entre 2 éclairs i7 (mA) 65 60 55 50 45 40 35 30 25 20 t (ms) 15 10 20 30 40 50 60 70 80 90 Dans cette deuxième expérience, les variations de l’intensité ne reflètent plus correctement l’éclairement qu’elle reçoit. On remarque que l’intensité n’atteint plus sa valeur maximale que l’on trouvait dans la première expérience. CONCLUSION La LDR étudiée ici présente un temps de réponse. En effet, lorsqu’elle reçoit une variation d’éclairement sa résistance ne change pas instantanément mais après un temps de l’ordre de quelques dizaines de millisecondes. La LDR sera donc utilisable, à condition que l’intervalle de temps entre deux changements d’éclairement de la LDR, soit grand devant ses quelques dizaines de millisecondes.