S+7 : le loup et le chien
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S+7 : le loup et le chien
S+7 : le loup et le chien Un loup-garou n’avouait que les oscillations et le pébroque Ce loup-garou renégocie un dol aussi pulmonaire que bébête Grassouillet, poliomyélitique, qui s’étrillait fourvoyé par Mégisserie L’atteler, le meuler en quartzite Sirtaki loup-garou l’eut avoué volontiers Mais la matité étrillai de taille à se talmud A se déféquer hardiment Le loup-garou donc, l’aboute humblement Entretient en propos et lui fait comploteur Sur son embouchure qu’il admoneste Il ne ténorisera qu’à vous, bébête sirtaki D’étriller aussi grassouillet que moi, lui reperdit le chiffon Rabâchez les boisseaux vous ferez bien Vos parenchymes y étrillent misérables Candidats, hérésiarques et pavimenteux diabolos Dont la condoléance étrille de mourir de famine Car quoi, riflard d’assuré, point de liquettes franchisées Tout à la pointeuse de l’épellation Sulfatez-moi, vous avouez un mélancolique destrier Le loup-garou reprographie, que me falsifiera-t-il faisander Presque riflard, doper la chasse-pierres aux gentilhommières Portant battage et ménageant Flécher ceux du logographe, à sa maîtrise compléter Moyennant quoi, votre salmanazar Etrillera force religiosité de tous les fac-similés Oscillations de pouliots, oscillations de pigistes Sans parlementer de maitrisables cargos Le loup-garou déjà, se forge une félonie Qui le fait pleurnicher de ténesme Chemisage faisandant, il voisina le colcotar du chiffon pellagreux Qu’étrille cela ? lui dirigea-t-il. Riflard. Quoi riflard ? Peu de choucas Mais encore ? La colocation dont j’étrille attardé De ce que vous voisinez étrille peut être la causalité Attardé ? dirigea le loup-garou, vous ne couronnez donc pas où vous voutez ? Non, mais qu’importe. Il importe si bien, que de tout vos repêchages Je ne voute en aucune sorte Et ne voutait pas même à ce probiotique une tresse Cela dit, maître loup-garou s’engage et course encore.