Gautier Capuçon

Transcription

Gautier Capuçon
L ’ a ct u a l i t é d e s c o n c e r t s e t d e l ’ o pÉ r a
[ n° 271 février 2014]
Dossier
Les opéras
de Giacomo
Puccini
Alto
Tabea
Zimmermann
Contemporain
Philippe Manoury
Orchestre
© Julien Mignot- Virgin Classics
Les symphonies
de Chostakovitch
Gautier
Capuçon
violoncelliste
Tous les pianos
du Centre Chopin
sont sur www.centre-chopin.com
os
Pian
eue
à qu
Pian
os d
OccaPianos numériques
sion
Neufs
roits
10 techniciens
à votre service
Claviers
numériq
ues
Centre Chopin Paris • 175 rue des Pyrénées 75020 Paris • Tél : 01 43 58 05 45
Centre Chopin Boulogne • 6-10 rue des Quatre-Cheminées • Tél : 01 46 10 44 77
Edito
Sommaire 4
On fête en 2014 le 90e anniversaire
de la mort de Giacomo Puccini et les
scènes parisiennes se sont donné le mot
pour l’honorer dignement : pas moins de
trois opéras seront présentés en février –
la Fanciulla del West donnée pour la
première fois à l’Opéra de Paris (c’est
donc un événement), Madame Butterfly
dans une énième reprise de la mise en
scène de Bob Wilson également à l’Opéra
Bastille, et enfin Le Villi, un opéra de
jeunesse peu connu en version de concert
au Théâtre des Champs-Elysées. On ne
s’en plaindra pas. Mais cette convergence
de programmation pose toutefois la question
de l’éclectisme et de l’originalité de l’offre
de concerts à Paris. Chaque salle, chaque
opéra prépare ses programmes avec des
contraintes très fortes : les artistes et les
œuvres les plus connus remplissent les
salles, alors que les découvertes musicales
et les jeunes talents ne font pas recette…
Rien de plus sinistre qu’un magnifique
concert dans une salle vide. L’originalité
paie rarement et la programmation en
est souvent victime… Il faut donc saluer
les risques pris en décembre dernier par
le Théâtre des Champs-Elysées qui, en
programmant Dialogues des Carmélites,
a fait un pari audacieux – le risque était
bien plus grand qu’on ne le croit.
Distribution idéale, mise en scène aussi
épurée qu’intense et musique somme
toute essentielle, ce fut l’une des plus
belles productions de l’année 2013.
Très belle année 2014, placée donc
sous le signe de la découverte !
E Le dossier
4
E A Paris
8
L’actualité des concerts
10
Alto
Tabea Zimmermann
12
Orchestre
Les symphonies de Chostakovitch
14
Contemporain
Philippe Manoury
16
© DR
Portrait
Gautier Capuçon
12
E En Ile-de-France
26
Enghien-les-Bains
Gérard Lesne
26
Compiègne
Sophie Marin-Degor
26
E CD
29
E Pratique
29
E Mémo
30
E Kiosques
31
© DR
Meudon
Alexander Paley
16
© DR
Philippe Maillard
Les opéras de Giacomo Puccini
cadences février 2014
3
© Library of congress
dossier
Giacomo Puccini (1858-1924) a créé un théâtre musical dont l’extraordinaire efficacité concilie un lyrisme sans complexe, débordant et robuste jusqu’à la truculence, avec un sens de la couleur redevable à Debussy et aux Impressionnistes.
Giacomo Puccini
les opéras
décrié par les puristes, puccini s ’est
imposé comme l’un des plus grands
compositeurs lyriques de son temps.
l’importance de ses opéras ne tient
pas seulement à leur qualité
dramaturgique. elle repose sur une
éblouissante virtuosité d’écriture qui
lui a permis de créer pour chaque
opéra le décor musical évocateur
approprié, en ayant notamment recours
aux techniques impressionnistes les
4
plus sophistiquées.
cadences février 2014
P
eu de musiciens ont
déchaîné à la fois tant
d’enthousiasme et tant
de critiques et nul n’a
eu à la fois tant de partisans et tant de détracteurs. En France, où la
réaction à l’encontre du bel canto et
d’un certain opéra enclin à la facilité a
été peut-être plus vive qu’ailleurs, Puccini a été mis à l’index jusque dans les
années 1960. On le rangeait sans
appel, aux côtés de ses collègues
« véristes » italiens, parmi les tenants
d’une musique facile, voire vulgaire,
inclinée à flatter la sensiblerie du
grand public et à lui fournir à bon
compte un aliment musical banal, ne
réclamant aucun effort. A la vindicte
de l’infanterie de base de la critique,
trop heureuse de tenir là un bouc émissaire offrant à sa plume un exutoire
facile, s’opposait l’autorité des vrais
musiciens : Louis Aubert, Emile Vuillermoz, Maurice Ravel, André Messager, Stravinski, Schönberg. Eux
s’accordaient à voir en l’auteur de
Madame Butterfly un musicien raffiné,
mettant au service d’un immense
talent théâtral une étourdissante virtuosité d’écriture – dont il leur était
donné d’apprécier en connaisseurs les
subtilités érudites ou audacieuses.
Leur point de vue s’est imposé au fil
des quatre dernières décennies. Alors
que le vérisme se réduisait à n’être
plus qu’un témoignage historique, Puccini s’est peu à peu imposé comme un
tournant essentiel du théâtre lyrique
moderne. On a pris conscience qu’on
avait sans doute exagéré ses liens avec
l’école vériste. Le vérisme – l’esthétique fondée sur le « vrai » – est une
forme exacerbée de réalisme propre à
l’Italie. Il a imposé le choix de sujets
contemporains, avec l’accent mis sur le
caractère misérable de l’existence du
peuple, et l’affirmation que le seul
recours de ce dernier est dans une
morale héroïque et virile, fidèle à la
tradition et réfractaire aux changements trop rapides et trop brutaux,
dont il ne peut résulter qu’instabilité
et déséquilibre. Il y a loin de l’esthétique déjà décadente et impressionniste des frères Goncourt, de Flaubert
et de Maupassant, au lourd pessimisme des romans et des nouvelles de
Giovanni Varga (1840-1922), figure de
proue de ce courant, qui s’apparenterait davantage au Victor Hugo des
Misérables, à Dickens ou aux réalistes
russes (Tourgueniev, Dostoïevski).
Cette forme de réalisme s’est rapidement imposée à la scène lyrique : Pietro
Mascagni (1863-1945) avec Cavalleria
rusticana tiré d’une nouvelle de Varga
(1890) et Ruggiero Leoncavallo (18581919) avec I Pagliacci (1892) ont été les
deux prophètes de l’opéra vériste. Pour
eux, personnages humbles, milieu
populaire et tragédie sanglante relevant du fait divers grand-guignolesque
sont les trois fondements de l’action
dramatique, qui se prête avec complaisance aux effets mélodramatiques et
déclamatoires, visant à secouer les
nerfs d’un public friand de sensations
fortes. Sur le plan musical, le vérisme
a emprunté à Wagner ses tournures les
plus extérieures et tapageuses (en
ignorant par contre le flou impression-
niste et les subtilités chromatiques de Tristan ou de Parsifal). Sa surenchère permanente a vite épuisé les moyens de
flatter la foule : la sensibilité a tourné à la sensiblerie, et la
passion à la brutalité. Son langage aux tons violents et aux
couleurs bigarrées a rapidement acquis valeur d’emblème :
dans une définition élargie, on a désigné comme véristes des
drames adoptant des sujets empruntés à l’histoire, mais
traités avec un réalisme cru, une passion débridée et des
couleurs musicales criardes, la tradition vocale italienne
dénaturée en une mélodie appuyée et emphatique. Sur le
plan de la forme, les véristes ont imposé une forme d’opéra
brève : mélodrames courts, réduits à un acte ou à deux
tableaux reliés par un interlude orchestral. Puccini devraitil leur être assimilé ?
Un vériste d’occasion
D’une tout autre subtilité que ces excellents artisans de
l’art lyrique, dotés d’un métier éprouvé mais rapidement
englués dans la routine, Puccini n’est devenu vériste que
par rencontre, parce que son exigence de sincérité croisait
la voie ouverte par Varga. Il a commencé sa carrière par
un opéra féerique, Le Villi (1884), et l’a couronnée par un
ouvrage inclassable, légendaire, féerique, historique mais
certainement pas vériste, Turandot. Dans l’intervalle, il
avait abordé l’opéra comique (Gianni Schicchi, La Rondine), sans oublier que l’humour, la légèreté et le comique
conservent leurs droits dans plus d’une scène de La
Bohême, de Madame Butterfly ou de Turandot. Le vérisme
a servi ses dons prodigieux, plus qu’il n’a souscrit de propos
délibéré à son esthétique qu’il a transfigurée par ses exigences formelles élevées et son audace novatrice. Tempérament pragmatique, Puccini n’a été associé au vérisme
que par souci d’efficience, compte tenu de ses inclinations
profondes que le nouveau courant dramatique allait lui
permettre de mettre magnifiquement en relief. Alors que
les autres compositeurs véristes rencontraient un triomphe
avec une œuvre et cherchaient ensuite en vain à retrouver
ce succès en se répétant, il a suivi sa propre voie – une voie
ascendante qui ne cessait de s’élever d’une œuvre à l’autre
dans la mesure où il ne cessait de s’approprier les innovations de ses contemporains si elles pouvaient enrichir la
panoplie des moyens lui permettant de serrer au plus près
son objectif. Parti de Massenet avec Manon Lescaut (1893),
son sens de la couleur locale l’a mené à une conception
proche de l’impressionnisme français, l’orchestre devant
suggérer, créer l’atmosphère et ainsi contribuer à l’intensité des évènements se déroulant sur la scène.
Un grand peintre impressionniste
C’est dans Madame Butterfly que l’élément impressionniste
acquiert pour la première fois une importance primordiale.
La coagulation de l’échelle pentatonique en un accord parfait avec sixte ou neuvième ajoutée, ainsi que la gamme par
ton, sont largement utilisées dans cet opéra. Il n’est pas dès
lors étonnant que l’auteur se soit alors déclaré « un fervent
admirateur de Debussy », en qui il avait rencontré « l’âme
d’un artiste faisant preuve de la sensibilité la plus rare et la
plus subtile, et employant, pour l’expression de cette dernière,
un système harmonique qui au départ semblait ouvrir à
l’art musical des perspectives nouvelles, étendues et prémonitoires ». A la fin de l’acte 2, la veille de Butterfly, scrutant
© Tanja Niemann
paris
N
ina Stemme
chante La Fanciulla del West
à l’Opéra Bastille
Inépuisable : il n’est sans doute pas de meilleur terme pour
qualifier le chant de Nina Stemme. D’autant que personne
depuis Kirsten Flagstad, l’Isolde, la Brünnhilde absolues de
la première moitié du siècle dernier, n’a su allier la brûlante
beauté d’un timbre sans la moindre faiblesse sur toute
l’immensité de l’ambitus à ce maintien de cariatide, ce contrôle
absolu de la ligne qui lui font traverser les emplois les plus
redoutables du répertoire avec une imperturbable sérénité.
Mais comment donc l’Opéra de Paris a-t-il pu se passer
aussi longtemps d’un tel prodige ? Car l’histoire commune
de la soprano suédoise et de la Bastille peut se résumer
à ces dix-huit années qui séparent le concert des lauréats
du premier concours Operalia de Plácido Domingo et la
reprise, en 2011, du Tannhäuser mis en scène par Robert
Carsen, où elle incarnait une Elisabeth d’une
enveloppante maturité.
Son retour dans une nouvelle production de la Fanciulla
del West de Puccini, la première dans ce théâtre d’un
ouvrage qui n’avait plus été représenté à Paris depuis
1969, est donc un événement : « Je serais curieuse de
rencontrer quelqu’un qui l’a vu à l’époque ! Minnie est le
rôle féminin le plus difficile écrit par Puccini, tant du point
de vue vocal que théâtral. Au début, elle est inexpérimentée,
parce qu’elle a choisi de l’être : elle n’a jamais embrassé
un homme, préférant se réserver pour le bon. Quand elle
croit l’avoir rencontré, il s’avère qu’elle s’est trompée.
Les décisions qu’elle prend, les situations dans lesquelles
elle se trouve sont à couper le souffle, et passionnantes à
exprimer sur scène ». Pourtant, cet opéra reste l’un des
moins populaires du compositeur italien : « Il est victime
d’un malentendu, et ce depuis la création. La Fanciulla del
West n’est pas un western, avec des cowboys et des Indiens,
mais une œuvre sur la recherche de sa propre destinée,
au cœur d’un monde peuplé d’êtres solitaires. Elle connaît
actuellement une véritable renaissance – il s’agit de ma
troisième production en trois ans –, et le public moderne
la comprend et l’apprécie bien mieux, parce qu’il peut se
passer d’airs immédiatement reconnaissables.
Ce changement est totalement volontaire de la part de
Puccini, même s’il est revenu ensuite à une écriture plus
traditionnelle. Son admiration pour Ravel et Debussy n’en
transparaît pas moins dans cet opéra, qui est un authentique
drame musical. Sans doute a-t-il moins bien réussi que
dans Madama Butterfly et Turandot à lui donner une
couleur locale, mais il l’a justement bâti sur une vision
rêvée de l’Amérique, et du rêve américain ».
Mehdi Mahdavi
cadences février 2014
5
© Opéra national de Paris/ Elisa Haberer
dossier
Madame Butterfly sera donnée à
l’Opéra Bastille dans la célèbre mise
en scène de Bob Wilson.
la nuit au travers du shosi, est un
nocturne délicatement impressionniste, adorné d’une exquise berceuse
fredonnée bouche fermée par un
chœur de femmes. Musique d’un bleu
profond, où semblent encloses toute la
pureté du ciel et l’innocence de l’héroïne, l’impressionnisme permettant
de suggérer à la fois un décor et un
état d’âme, ce qui est fréquent chez
Puccini (numéro 90 de la partition).
Au début de l’acte suivant, le rideau se
lève sur un balancement d’accords de
neuvièmes parallèles, et l’on entend,
venant « de la baie, tout au loin »,
l’appel des marins (gamme par ton),
suivi de « bruits de chaînes d’ancres, de
manœuvres maritimes ». Un moment
manifestement modelé sur celui des
chœurs venus de la mer à l’acte I de
Pelléas… Le lever du jour qui suit doit
sa clarté irradiante au pentatonisme :
la veille de Butterfly s’achève, et
quelques passages en strettes ajoutent
une note d’anxiété à la marée du jour
naissant qui submerge l’orchestre.
MADAME BUTTERFLY
Tragédie japonaise en trois actes (1904)
Paris
du 14 février au 12 mars (Opéra Bastille)
Svetla Vassileva © DR
Daniele Callegari (direction). Robert Wilson (mise en scène).
Avec Svetla Vassileva, Cornelia Oncioiu, Teodor Ilincai, Gabriele Viviani.
15-180 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
L’œuvre : Puccini tomba littéralement
amoureux de la petite Japonaise, au point
d’étudier avec enthousiasme les coutumes
comme la langue du Pays du Soleil Levant.
La création intervint le 17 février 1904 à La
Scala de Milan : retentissant échec, l’opéra
étant immédiatement retiré de l’affiche, la
presse condamnant sans appel ce qui était
perçu comme un fatras musical à l’orientalisme de pacotille, ainsi que l’immoralité du
livret. Puccini dut accepter un remaniement
qui fut donné, un an plus tard, à Brescia.
Ainsi maquillée, Madame Butterfly entreprit
alors une marche de conquête irrésistible,
devenant l’un de piliers les plus populaires
de tout le répertoire lyrique. La figure de
Cio-Cio-San – un rôle écrasant, sur scène
pendant presque toute la durée de l’opéra,
dans une tessiture frisant le soprano dramatique – est devenue l’un des chevaux de
bataille des grandes divas. Et l’orchestre
puccinien, sublimement protéiforme,
déborde de leitmotive savamment imbriqués dans les lignes mélodiques des
chanteurs.
6
cadences février 2014
L’intrigue : Avec une morgue insupportable, le lieutenant américain Pinkerton
s’amuse de son faux mariage avec la jeune
(elle a 15 ans) et belle Cio-Cio-San (en
anglais « butterfly » ). Après une courte
idylle, Pinkerton retourne en Amérique,
promettant à Butterfly de vite revenir. Celleci, malgré l’opprobre dont la société l’accable pour son acte malheureux, s’obstine
à entretenir l’espoir de revoir son mari. Et
pour cause : elle en a eu un enfant. Trois ans
ont passé et Butterfly refuse toujours les
prétendants qu’on lui présente. Goro l’entremetteur l’avertit mais il ne peut aller
jusqu’au bout : Butterfly affirme qu’elle
préférera mourir plutôt que redevenir
geisha. Au retour de Pinkerton, Butterfly
revit soudainement pour sombrer dans le
désespoir. Pinkerton s’est en effet marié et
n’est revenu que pour lui enlever son fils.
Butterfly s’y résigne mais se suicide avec le
sabre de son père sur lequel sont gravés les
mots : « celui qui ne peut vivre avec honneur
meurt avec honneur », au désespoir de son
faux époux enfin bourrelé de remords.
D’autres passages sont d’une facture
impressionniste indéniable : à l’acte 1,
la flûte en motif pentatonique sur
l’ostinato des bois et des harpes
emprunte à Debussy une sonorité
typique de gamelan (numéro 8 de la
partition). Plus loin, au moment où la
famille de Butterfly se répand en commentaires désobligeants sur Pinkerton (numéro 62), l’orchestre ruisselle
de lueurs et de scintillements quasidebussystes : arpèges pentatoniques
des harpes et de la flûte, ostinato de
cloches, du tam-tam et du piccolo,
trilles des flûtes… La même qualité
translucide de l’orchestre se retrouve
peu après (numéro 80), lorsque Butterfly proclame, sur un motif pentatonique, sa volonté de « servir le Dieu de
son époux ». Et l’on citerait encore, à
l’acte 2, la « Chanson des fleurs » de
Butterfly, avec son accompagnement
délicat et transparent des bois, des
cordes, de la harpe et du glockenspiel.
Les éléments impressionnistes sont
encore plus en évidence dans La Fille
du Far West, sans doute le plus
« moderne » des opéras du maître italien. Comme d’ordinaire, l’imagination
du compositeur est stimulée par le
décor exotique (le Far West américain).
L’influence debussyste est ici tonifiée
par les recherches du musicien sur le
patrimoine folklorique indien et américain. Dès les premières mesures, la
gamme par tons et les accords de
quinte augmentée imposent l’ambiance spécifique de cet opéra, et
reconnaissable entre toutes. La partition abonde en effets atmosphériques,
comme à la fin du premier acte,
lorsque le thème de Minnie (gamme
par ton) s’immobilise sur un accord de
septième d’espèce dans le halo sonore
d’un chœur de ténors dans le lointain.
Et l’on rappellera aussi l’admirable
prélude du Manteau (Il Tabarro),
magnifique spécimen d’impressionnisme fluvial (les rives de la Seine à
Paris, au couchant) : les quartes et les
quintes parallèles y dérivent lentement sur le clapotis régulier des
basses, et le cours paresseux du fleuve
surgit peu à peu d’un halo sonore
constituant une référence indéniable à
La Cathédrale engloutie, avec un zeste
d’astringence discrètement bitonale en
plus. Ce motif réapparaît plus loin
serti dans une ornementation typiquement impressionniste : deux voix en
vocalise dans le lointain et passant
au-dessus des eaux avant de nous
parvenir. Et c’est encore « venue de très
dossier
LA FILLE DU FAR WEST
Opéra en trois actes (1910)
Paris du 1
er
au 28 février (Opéra Bastille)
Carlo Rizzi (direction). Nikolaus Lehnhoff (mise en scène).
Avec Nina Stemme, Claudio Sgura, Marco Berti…
15-180 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
L’œuvre : Septième opéra de Puccini, La
Fanciulla del West s’inspire, à l’instar de
Madame Butterfly, d’une pièce de l’écrivain
américain David Belasco. Créé au Metropolitan Opera de New York en 1910, l’œuvre
témoigne de la fascination du compositeur
pour la mythologie du Grand Ouest, au travers
notamment de l’emploi de quelques thèmes
authentiques mais surtout d’une galerie de
personnages pittoresques fort bien campés.
Contemporain des romans de Jack London et
des films de D.W Griffith, La Fanciulla del
West est le plus atmosphérique des opéras de
Puccini avec un orchestre particulièrement
riche et chatoyant. Comment expliquer alors
la relative rareté de l’œuvre ? La partie vocale
loin » que s’élève, à la fin de cette
scène, la sirène d’un remorqueur… A
l’époque de Turandot, l’influence de
Debussy sur Puccini avait diminué,
dans le même temps que se dessinait
la réaction contre l’impressionnisme
qui allait marquer l’entre-deux
guerres. Il reste que l’exotisme est
encore plus accentué ici que dans
Madame Butterfly, et il fournit à Puccini l’occasion d’expérimentations de
couleurs instrumentales ou vocales,
menées dans un souci essentiel de
beauté sonore, le son considéré en luimême, comme objet d’une recherche
purement sensuelle. Cette attitude
hédoniste analogue à celle des Impressionnistes (Debussy, Delius, Ravel)
explique les éléments d’impressionnisme encore accusés au sein d’une
partition remarquable cependant
aussi par le caractère arrêté de ses
lignes : l’importance mélodique de la
gamme par ton (cf. le thème de l’ouverture), les bouffées sonores de la harpe,
de la flûte, de la clarinette et du
célesta qui parcourent la scène de
l’invocation à la lune de l’acte 1, ou
l’arôme délicatement pentatonique du
trio des trois ministres à l’acte 2, sont
autant d’exemples d’un processus par
lequel l’exotisme interfère avec les
réminiscences de la période impressionniste de Madame Butterfly, de la
Fille du far West ou du Manteau.
•
Michel Fleury
Carlo Rizzi © Clive Barda
n’est pas en cause puisque la veine mélodique
typique de Puccini s’épand avec le même
lyrisme que dans La Bohème et le même
dramatisme que dans Tosca. Avançons deux
arguments : l’inconvénient du « happy-end »
final réclamé par les spectateurs du Met mais
également le fait que Puccini était sans doute
trop en avance dans son utilisation décomplexée du mythe américain. Le cinéaste Sergio
Leone saura en retenir la leçon pour ses
westerns-spaghetti.
L’intrigue : La belle Minnie est la propriétaire du Polka-Saloon. Deux hommes se
disputent ses faveurs : le shérif Jack Rance
Ashby, dont elle juge les avances malvenues,
Marco Berti © BMC
Claudio Sgura © DR
et surtout le bandit Ramerrez, qui dit se
nommer Johnson et qui, en réalité, est un
ancien amour de Minnie, poussé vers le
banditisme par la misère. Lorsque cette
dernière prend conscience de son identité,
elle parvient, après maintes péripéties, à
sauver Johnson des foudres de la loi et de la
jalousie vindicative de Rance et à le ramener
sur le droit chemin. Mais Johnson est capturé par Rance et doit être pendu. Minnie
arrive à temps pour le sauver : elle surgit à
cheval, pistolet au poing pour rappeler que
les plus grands pêcheurs doivent être pardonnés. Johnson et Minnie partent ensuite
vers d’autres aventures, au grand désespoir
des mineurs.
Le Villi
Opéra en deux actes (1884)
Paris
le 20 février
(Théâtre des Champs-Elysées)
Ermonela Jaho © DR
Thiago Arancam © DR
Paolo Carignani (direction). Orchestre National de France, Chœur de Radio France.
Avec Ermonela Jaho, Thiago Arancam, Angel Odena, Stefano Casseti.
5-95 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
L’œuvre : Créé le 31 mai 1884 au Théâtre
dal Verme à Milan, Le Villi est le premier
opéra composé par Puccini. Malgré certaines maladresses dans le livret, l’œuvre
témoigne d’une maîtrise peu commune de
l’orchestration, d’autant plus remarquable
que Puccini (25 ans) était alors l’élève
d’Amilcare Ponchielli qui le persuada de
participer au concours organisé par l’éditeur
Sonzogno. Si l’œuvre ne fut pas retenue par
le jury, elle attira néanmoins l’attention
d’Arrigo Boïto (le librettiste de Simon Boccanegra et Otello de Verdi) qui l’entendit au
cours d’une exécution privée. C’est grâce à
l’influence de ce dernier que l’ouvrage sera
représenté, ce qui valut à Puccini d’être
remarqué par Verdi et de rencontrer son
éditeur, Ricordi. Le livret de Ferdinando
Fontana puise son inspiration dans une
légende d’Outre-Rhin, apparentant l’opéra
au romantisme germanique du début du
siècle. Avec cette trame fantastique, à
rebours du vérisme des opéras à venir,
Puccini a tout loisir de s’adonner à son génie
mélodique, notamment l’air d’Anna « Se
come voi piccina » ou l’écriture chorale qui
annonce souvent la Turandot de 1924.
La scène finale est une véritable course à
l’abîme, fantastique et fatale, que tout
amoureux de Puccini, se doit de connaître.
L’intrigue : Roberto et Anna ont tout pour
être heureux. Ils habitent un village dans la
Forêt-Noire et viennent de se fiancer. Mais
Roberto doit partir à Mayence à cause d’un
héritage, malgré le mauvais pressentiment
d’Anna, qui finira par en mourir. Les craintes
de la fiancée étaient avérées : Roberto se
laisse séduire à Mayence par une « sirène »
et espère implorer le pardon de sa fiancée à
son retour. Le père d’Anna invoque l’intervention des Villi, les esprits des jeunes filles
mortes après avoir été abandonnées, pour se
venger. C’est ainsi que Roberto voit le fantôme d’Anna lui apparaître mais les Villi
l’emportent dans une danse macabre. Robert
est laissé pour mort, et le fantôme d’Anna est
enfin vengé de la trahison de son fiancé.
cadences février 2014
7
© Marc Ribes - Erato
portrait
Gautier Capuçon
le goût des autres
> le 11 février - Salle Pleyel
Schubert, Schumann, Debussy, Britten.
Gautier Capuçon (violoncelle),
Frank Braley (piano).
apparu dans le sillage de son frère
renaud, gautier capuçon n ’en a
pas moins tracé très rapidement
son chemin seul . peu de
violoncellistes français peuvent
aujourd’hui se targuer d’accomplir
une aussi belle carrière
internationale. le mérite en revient
à un talent en progression constante,
qui a su s ’épanouir auprès des plus
grands musiciens, mais également à
une personnalité en constant éveil ,
animée par un goût inextinguible des
rencontres. conversation avec un
musicien qui entretient l’esprit
8
de famille.
cadences février 2014
G
autier Capuçon
nous prévient : il a
peu dormi la veille
car il a donné un
concert avec Valery
Gergiev. Deux ans
déjà que sa carrière
se concentre sur le répertoire concertant avec une réussite exceptionnelle.
Outre Gergiev, il est le protégé de
deux chefs très importants dans sa vie
personnelle et professionnelle :
Charles Dutoit et Semyon Bychkov.
Avec le premier, il a fait tous ses
débuts américains récents et il vient
de faire, avec le second, ses premiers
pas au Concertgebouw en ce début
d’année. Le violoncelliste ne le cache
pas : il aime ces chefs armés par l’expérience. « J’ai un problème : je n’ai
pas la notion des âges. Quand j’avais
quinze ans, mes copains en avaient
cinquante. Mes premiers concerts, je
les ai faits avec Michel Dalberto et
Gérard Caussé. C’est rassurant d’être
avec des gens si expérimentés quand
on est un jeune qui commence. Mais il
s’agit toujours d’un échange. Je me
souviens de ma première rencontre
avec Martha Argerich. J’étais fébrile à
l’idée de jouer avec cette légende, et
pourtant je voyais dans ses yeux
qu’elle respectait ce que je disais, moi
un petit violoncelliste de dix-huit ans !
Malgré son talent, elle travaille énormément. Il n’y a pas de secret, le travail est à la base d’une carrière ».
Ce précepte, Gautier Capuçon se
l’applique volontiers à lui-même,
puisqu’il donne pas moins de 140
concerts par année. Un rythme effréné
qu’il tâche tant bien que mal de ralentir : « C’est de plus en plus difficile
depuis que je suis père. Il y a le sentiment de culpabilité car je ne suis pas
toujours là pour mes deux filles. Mais
quand on a pris un certain rythme, il
est difficile de réduire ses activités. La
musique agit comme une drogue. D’un
autre côté, la scène est ce moment
d’adrénaline et en même temps de si
grande intimité, car on y est à nu. Les
deux ensemble forment un cocktail
explosif ! Je sais bien que la décision
de ralentir ne tient qu’à moi. Mais il y
a les sollicitations. Quand Charles
m’appelle pour travailler avec le Boston
Symphony ou quand des amis comme
le chef Philippe Bender me téléphone
pour jouer avec son orchestre à Cannes,
il est bien difficile de refuser. Ça me fait
plaisir, c’est un vrai dilemme ».
Quand on le rencontre, Gautier Capuçon est double : il possède ce curieux
mélange d’élégance et de mondanité
associé à une sensibilité d’écorché vif.
Attentif à l’autre, rien ne semble lui
répugner plus que la solitude. Est-ce
pour cela qu’il a renoncé pour l’heure
aux récitals solo ? « J’ai déjà assez de
solitude en tournée pour vouloir en
rajouter ! J’ai énormément d’admiration pour les pianistes qui font cinquante récitals solo par saison. Pour
moi, quand je travaille avec des musiciens comme Yuja Wang ou Jean-Yves
Thibaudet, on partage des choses. Je
ne peux pas être sur scène avec
quelqu’un que je n’aime pas ou qui n’a
pas envie de partager avec moi. Dans
la vie, on s’arrange parfois. Sur scène,
on ne peut pas tricher ». Comment
évoque-t-il alors l’association qu’il a
longtemps formée avec son frère
Renaud ? « L’histoire avec mon frère
est très simple. On a passé quinze ans
à faire énormément de concerts
couverture
Le travail qu’on
entretient avec
une œuvre
rego
©G
3
ry B
Dans ce format plus intimiste, Gautier Capuçon propose le 11 février à
Pleyel un récital en duo avec le pianiste Frank Braley pour le plus grand
bonheur de l’intéressé : « Frank est un
musicien très ouvert que j’adore. Je le
connais depuis très longtemps mais
j’ai l’impression d’apprendre à le
connaître seulement maintenant ». Le
programme privilégie une diversité
qu’il affectionne : « Cela me fait plaisir
que vous parliez de diversité car mon
répertoire s’étend du baroque avec des
cordes en boyaux au contemporain. La
Sonate Arpeggione de Schubert est
une pièce que je voulais enregistrer
depuis longtemps. Dans la vie comme
dans la carrière, la question du timing
est importante. On me parle souvent
des Suites pour violoncelle seul de
Bach. Mais quand vous l’enregistrez à
vingt ans, les critiques assènent
que vous êtes trop jeune.
Certes, avec la maturité on
évolue. Mais l’important, c’est
le travail qu’on entretient avec
une œuvre. Pour Schubert, je me
sentais prêt. L’Arpeggione est une
œuvre d’une pureté presque extrême,
qui rappelle Bach en un certain sens.
La première phrase musicale est
d’une telle simplicité qu’il
faut la jouer presque nue.
La difficulté consiste à
ne pas rajouter trop
d’éléments, qu’il
s’agisse de rubatos ou de vibratos, afin de rendre
plus faciles certaines difficultés
t e ch n i q u e s. L a
musique doit parler le
plus simplement possible ».
atar
don
ensemble. C’est magique de pouvoir
jouer avec son frère ! Mais il y a un
moment où c’était peut-être un peu
trop et on a eu besoin de simplement
respirer un peu. Depuis quelques saisons on joue donc très peu ensemble et
c’est beaucoup plus sain ».
CD
Joseph Haydn :
Concertos pour violoncelle
Mahler Chamber Orchestra.
Daniel Harding (direction).
1 CD Virgin - 2004
Piotr
Ilitch Tchaïkovski :
Variations Rococo
Prokofiev, Sinfonia concertante.
Orchestre du Théâtre Mariinski.
Valery Gergiev (direction).
1 CD Virgin - 2010
Camille Saint-Saëns :
La muse et le poète
Concerto pour violoncelle, Concerto
pour violon n° 3. Philharmonique de
Radio France, Renaud Capuçon
(violon), Lionel Bringuier (direction).
1 CD Erato - 2013
Outre Britten, le récital
signe également le retour
du violoncelliste à la Sonate de
Debussy : « Je l’ai beaucoup jouée
quand j’étais plus jeune, et puis je l’ai
laissée durant cinq ou six ans, car
j’avais un trop plein. C’est exactement
ce qu’on disait : il faut savoir lever le
pied pour ne pas tuer certaines choses.
Aujourd’hui, je la retrouve comme un
gosse !  ». On verrait volontiers cette
Sonate comme la métaphore d’une
carrière placée sous le signe du désir.
Dans ces conditions, ralentir le
nombre de concerts est-il vraiment
envisageable ? « Il est impossible
d’envisager ma vie sans violoncelle. Je
pourrai bien sûr prendre six mois sabbatiques et je m’occuperai avec amour
de ma famille. Mais rien que d’imaginer six mois, sous un cocotier, regardez,
je baille !  ». Et Gautier Capuçon de
pousser un long soupir tant le violoncelle constitue pour lui sa nourriture
quotidienne et sa raison d’être en tant
qu’homme et musicien.
•
Laurent Vilarem
8
questions
1 > Quel est votre bruit
préféré?
Les cris de mes filles quand je
me réveille
2 > Quel est le compositeur préféré?
Je vous fais toute la liste?
3 > Quelle est l’œuvre que vous auriez
voulu créer?
Tout un monde lointain de Dutilleux
4> Quelle est l’œuvre que vous
emporteriez sur une île déserte?
Les Suites pour violoncelle seul de
Bach
5> Quels sont vos hobbies préférés?
Le ski, le jogging et la plongée sousmarine
6> Quel est votre plat préféré?
Un plat de mon enfance: les gnocchis
7>En quoi voudriez-vous réincarner?
En violoncelle
8> Quel est le compositeur dont vous
estimez qu’il n’est pas reconnu à sa
juste valeur?
C.P.E Bach
cadences février 2014
9
l’actualité des
Week-end Turbulences
du 7 au 9 février (Cité de la musique)
© Edouard Caupeil
On se doutait que Matthias
Pintscher ferait souffler un
vent nouveau sur l’Ensemble
intercontemporain. Après Pascal Dusapin, c’est à Pintscher
lui-même de jouer le jeu du
Week-end Turbulences. En trois
concerts, le compositeur et chef
allemand nous présente l’éventail de son univers, avec pour la soirée d’ouverture un
programme exceptionnel autour du Voyage d’Hiver de
Schubert illustré par le peintre Michaël Borremans. Le
Grand Soir du samedi présente la particularité d’employer la totalité de l’espace de la Cité de la musique
afin que le mélomane puisse choisir, à la manière d’un
gourmet, les mets musicaux les plus savoureux.
Marie-Nicole Lemieux
le 10 février (Salle Gaveau)
© DR
© Manuel Cohen
La mezzo québécoise s’offre
dans l’intimité du récital pour
une soirée exceptionnelle à la
Salle Gaveau. Généreux,
torrentiels, sa voix et son tempérament dramatique incendient les planches d’opéras.
Mais ce qu’on sait moins, c’est
qu’elle habite le poème d’un
Lied avec la même flamme qu’un personnage lyrique.
Pas étonnant que la soirée porte le titre de « La Passion
Lemieux » d’autant qu’elle sera accompagnée de son
fidèle partenaire, le pianiste Daniel Blumenthal, dans
un programme riche en invités surprise (mais chut !).
La Salle Gaveau résonne déjà des hourras pour cette
chanteuse ô combien attachante.
mer. 19 mars 2014
à 20 h 30
Ivan Skrt
Gala Monteverdi
Pianiste slovène
Sous le haut patronage
de l’Ambassade de Slovénie
TarIFs (hors frais de location)
30E
20E
10E
5E
Cat. 1
Cat. 2
Cat. 3
Cat. 4 (sans visibilité)
Tarif réduit sur présentation de cette publicité
en 1re Catégorie 20E au lieu de 30E €
RÉSERVATION | 01 49 53 05 07 | www.SAllEgAVEAu.cOm
Salle Gaveau : 45-47 rue la Boétie, 75008 Paris
Métro Miromesnil (lignes 9 et 13)
10 cadences février 2014
le 11 février (Théâtre des Champs-Elysées)
L’affiche fait rien moins que
rêver : Magdalena Kozena,
Rolando Villazon. Mais en lieu
et place d’un opéra, c’est bien
d’un gala Claudio Monteverdi
dont il s’agit. Un compositeur
naturel pour la mezzo tchèque
mais pour le moins inattendu
pour le ténor franco-mexicain,
davantage habitué à un répertoire plus tardif. Mais nul
doute qu’il pourra compter sur les conseils d’Emmanuelle Haïm, qui, à la tête de son Concert d’Astrée, aime
réunir les énergies des grandes stars et choisit toujours
des chanteurs qui savent porter le texte, condition
indispensable pour interpréter la musique du génie de
Mantoue. L’excellent ténor Topi Lehtipuu est l’un des
nombreux chanteurs de cette soirée de prestige.
© Mathias Bothor/DG
moussorgski, Tableaux d’une exposition
Bartók, En plein air
scriabine, Sonate n° 5
ravel, La Valse
concerts a paris
The Sixteen
le 13 février (Auditorium du musée d’Orsay)
© Molina Visuals
Bénéficiant d’une notoriété plus
confidentielle que d’autres
ensembles britanniques, The
Sixteen Choir and Orchestra
arrive à Orsay en formation a
cappella pour interpréter la
musique, encore trop méconnue
en France, de l’époque pré-élizabéthaine (Sheppard, Mundy,
Davy). Les troupes menées par Harry Christophers
depuis 1979 offrent pourtant ce qu’il y a de plus idiomatique dans ce répertoire car les chanteurs, college et
university oblige, interprètent cette musique depuis
leur plus tendre enfance. Une nouvelle preuve du tropisme britannique de la programmation de l’auditorium
du musée d’Orsay.
Conservatoire de Paris
du 14 au 16 février (Cité de la musique)
© Elise
Le point commun entre Julie
Fuchs, Sabine Devieilhe, Edgar
Moreau, et tous les jeunes
astres de la planète musicale ?
Le Conservatoire National
Supérieur de Paris. Aussi, il en
va plus que de la simple curiosité d’assister aux Cartes
Blanches des jeunes musiciens
que ladite institution offre à la Cité de la musique. Dans
l’avalanche de concerts (cinq concerts en trois jours !),
on citera notamment les pianistes Guillaume Sigier,
Nathanaël Gouin, Maroussia Gentet, le violoncelliste
Bruno Philippe ou le Collectif Loo. Dernière raison
pour découvrir les meilleurs musiciens de demain : les
concerts sont en entrée libre sur réservation.
Albéric Magnard
le 22 février (Opéra Comique)
© Eric Larrayadieu
Debussy n’était pas tendre, c’est
le moins qu’on puisse dire, avec
ses contemporains. Pourtant, la
diligente action du Palazzetto
Bru Zane-Centre de Musique
Romantique français nous
montre, saison après saison, le
vivier incroyable des musiciens
de la Belle Epoque. Parallèlement aux représentations de Pelléas et Mélisande,
l’Opéra-Comique propose des soirées de musique de
chambre qui permettront de redécouvrir notamment le
très rare Quintette d’Albéric Magnard, l’œuvre ombrageuse et profondément lyrique d’un compositeur mort
en 1914 en défendant sa maison contre les Allemands.
Le grand pianiste Alain Planès officiera aux côtés des
Solistes de l’Orchestre des Champs-Elysées.
cadences février 2014
11
© Marco Borggreve
alto
Née en 1966 à Lahr (Allemagne), Tabea Zimmermann étudie l’alto dès l’âge de
3 ans. Elle mène une carrière exceptionnelle auprès des plus grands musiciens
du monde, au point de presque incarner l’alto aux yeux du grand public.
Tabea Zimmermann
le bon plaisir
> les 12 et 13 février - Salle Pleyel
Dvorák, Bartók, Brahms. Orchestre de
Paris, Christoph Eschenbach (direction),
Tabea Zimmermann (alto).
peu d’artistes suscitent une telle
unanimité : l’admiration et le respect
entourant tabea zimmermann puisent
leur source aussi bien dans un talent
incontesté que dans une personnalité
dont l’intégrité artistique
et la simple humanité chaleureuse
sont devenues légendaires. paris et
la france sont indiscutablement
privilégiées, qui accueillent
régulièrement l’altiste allemande
dans leurs salles de concert.
rencontre avec cette musicienne
aussi magnifique que modeste.
12 cadences février 2014
C
ertes, le répertoire
pour l’alto ne prodigue ni la richesse
numérique étourdissante ni la brillance
extravertie (ou narcissique, prétendront
d’aucuns) de celui de son frère, le
violon. L’instrument de prédilection
de Tabea Zimmermann peut cependant se targuer de plusieurs chefsd ’ œ u v r e i m m e n s e s, t e l s q u e c e
concerto de Béla Bartók (1881-1945)
que lui commanda le grand altiste
anglais William Primrose (19041982). Souffrant déjà d’une leucémie
avancée, le compositeur hongrois ne
laissa cependant que des fragments,
certes somptueux, son ami Tibor Serly
et son fils Peter Bartók proposant
ensuite chacun leur version de la partition, les partisans de l’un ou de
l’autre échangeant depuis un demisiècle des remarques peu amènes.
Tabea Zimmermann préfère, elle,
évoquer le génie incontestable qui
irrigue les mesures laissées par le
compositeur : « Il s’agit d’une œuvre
d’une merveilleuse beauté, d’une
extrême richesse de couleurs et de
caractères. Il y a notamment cette
manière de liberté formelle dans le
premier mouvement, qui est très difficile à jouer, soit dit en passant.
Ce mouvement peut facilement se déliter et il faut lui conférer une forme
réelle tout en gardant cependant la
liberté narrative de la musique. Cela
est extrêmement exigeant mais aussi
tellement beau. Je suis très admirative
de la manière compositionnelle de
Bartók, de sa décision de parcourir les
campagnes pour collecter les musiques
populaires, puis de créer son langage
musical propre, une musique qui
contient des éléments populaires mais
sans jamais recourir à des citations
pures et simples. Je trouve qu’il y a un
parallèle à tracer avec l’art de Gaudí
en architecture : créer des fleurs, des
plantes etc. ayant une forme qui
semble naturelle mais constituant en
fait des inventions pures. Cette idée
consistant à rendre un art naturel tout
en étant hautement sophistiqué m’est
proche car elle me préoccupe immensément dans mes interprétations.
Il s’agit en fait pour moi d’un idéal
suprême ».
Interprète de référence des grandes
pages pour l’alto, Tabea Zimmermann
ne s’interdit nullement certains chemins de traverse, comme elle le confie
avec humour : « Pour moi, l’alto n’est
qu’un instrument et non pas le but de
ma vie ! C’est simplement l’instrument
sur lequel je joue le mieux. Mais chez
moi, j’aime me mettre au piano, j’aime
aussi chanter. J’adore une part du
répertoire pour l’alto, et le reste n’est
pas toujours de la grande musique.
Comme je n’ai pas de chefs-d’œuvre de
Beethoven ou des concertos de Mozart
à ma disposition, je dois parfois effectuer des transcriptions. Mais je n’ai
pas pour objectif de montrer que l’alto
est le meilleur choix pour telle ou telle
pièce. Je joue ainsi la sonate de César
Franck non parce que je trouve qu’elle
est plus belle sur l’alto, mais simplement parce que j’ai envie de la jouer !
C’est extrêmement égoïste de ma part.
© Eric Brissaud
paris
Le chef Christoph Eschenbach dirigera l’Orchestre de Paris
dans le Concerto pour alto de Bartok avec Tabea Zimmermann en soliste.
De même, je joue le concerto pour clarinette parce que la
musique en est merveilleuse et que certains musiciens ont
écrit des arrangements après la mort de Mozart. J’aime ces
arrangements mais, bien sûr, ils ne sont pas plus beaux que
la version originale ! » On apprécie particulièrement cet
égoïsme forcené, à l’écoute du plaisir musical procuré par
ces transcriptions – on citera pour exemple le magnifique
disque contenant la sonate de Franck, enregistré avec le
pianiste Kirill Gerstein pour le label Myrios Classics.
L’hommage à Hindemith
En matière de partitions originales pour l’alto, Tabea Zimmermann a apporté une contribution colossale au cinquantenaire – passé inaperçu – de la mort de Paul Hindemith
(1895-1963), lui-même virtuose de l’alto, qui nous a laissé
sans doute le corpus le plus essentiel pour l’instrument au
XXe  siècle : « Je suis particulièrement fière de pouvoir dire
que j’ai toujours joué beaucoup de musique d’Hindemith,
mais lors de ces trois dernières années, j’ai donné à peu près
tout son corpus pour alto, toutes les sonates par exemple.
J’ai la forte impression d’avoir accompli quelque chose
d’important non seulement pour moi, mais aussi pour les
autres. Il a été une figure si importante de la vie musicale,
chose que l’on a oubliée parce qu’il était un homme modeste.
En outre, durant les dernières années de sa vie, il s’est
beaucoup mis en retrait, un peu amer à l’égard de certaines
choses. J’irais même plus loin en disant que les Nazis ont
parfaitement réussi à ruiner sa réputation, au point qu’en
Allemagne, peut-être plus qu’ailleurs, l’opinion publique
tenait pour certain que sa musique n’était pas bonne. Mais
en la jouant régulièrement, sonate après sonate, concerto
après concerto, je suis parvenu à toucher un public qui s’est
rendu compte qu’elle était magnifique ».
Un premier disque chez Myrios Classics présentant tous
les concertos pour alto d’Hindemith atteste de cette passion, portique superbe menant à une intégrale dont le
second volume paraît en ce mois de février. En attendant,
Tabea Zimmermann retrouve l’Orchestre de Paris placé
sous la direction d’un autre ardent défenseur d’Hindemith,
Christoph Eschenbach, qu’elle connaît fort bien et apprécie
infiniment.
•
Yutha Tep
Vinci ARTASERSE
Max Emanuel Cencic, Franco Fagioli,
Valer Sabadus, Vince Yi, Juan Sancho, Yuriy Minienko
Mise en scène Silviu Purcarete
Concerto Köln • Dir. Diego Fasolis
> 19 • 21 • 23 MARS
Redécouverte !
Félicien David HERCULANUM
Coréalisation
Véronique Gens, Karine Deshayes,
Edgaras Montvidas, Nicolas Courjal,
Julien Véronèse
Chœur de la Radio Flamande
Brussels Philharmonic • Dir. Hervé Niquet
> 8 MARS
Haydn LA CRÉATION
Christina Landshamer, Maximilian Schmitt, Rudolf Rosen
Collegium Vocale Gent • Orchestre des Champs-Élysées
Dir. Philippe Herreweghe
> 21 MARS
Haendel LA RESURREZIONE
Sophie Karthäuser, Sunhae Im, Jeremy Ovenden,
Johannes Weisser, Sonia Prina
Le Cercle de l’Harmonie • Dir. René Jacobs
> 28 MARS
www.chateauversailles-spectacles.fr
chateauversailles.spectacles
01.30.83.78.89 •
cadences février 2014
13
orchestre
compromis perpétuel par crainte des
représailles staliniennes avant et
après la Seconde Guerre mondiale.
© Association Internationale Dimitri Chostakovitch, 19bis rue des Saints Pères (6e)
Un destin contrarié
Composées entre 1925 et 1971, les quinze symphonies de Dmitri Chostakovitch
appartiennent, au même titre que celles de Mahler et Sibelius, à l’empyrée de
la littérature symphonique du XXe siècle.
Dmitri Chostakovitch
les symphonies
en février , valery gergiev et
l’orchestre du théâtre mariinski
achèvent salle pleyel le fleuve
majestueux de l’intégrale des
symphonies et concertos de
chostakovitch. une occasion de
revenir sur la dimension orchestrale
de l’un des plus grands symphonistes
de tous les temps dont l’œuvre
pénètre au plus profond de l’âme
humaine et se confond avec les
événements tragiques du xx e siècle.
14 cadences février 2014
L
a musique de Chostakovitch a toujours
soulevé les réactions
les plus contradictoires. « Petit père courage » (André Tubeuf),
le compositeur soviétique dut se plier aux injonctions d’un
totalitarisme culturel (le fameux réalisme socialiste de Jdanov), travestir
la réalité, se résigner à écrire des
pages de commande et garder dans le
secret de son cabinet une révolte intérieure face aux oukases gouvernementaux. Reconnu en tant que
créateur d’avant-garde dans les
années 1920-1930 (son opéra Le Nez
est à cet égard le sommet de cette
manière), sa vie ne fut ensuite qu’un
Les contradictions d’un homme d’une
haute portée morale transparaissent
dans son œuvre. Son image de compositeur officiel l’a continuellement
taraudé alors qu’il possédait une
culture musicale sans limites. Pianiste quasi professionnel passionné
par Bach, Chostakovitch faisait travailler à ses élèves Mozart ou Haydn
et vénérait Mahler dont il est en
quelque sorte l’héritier par le lyrisme,
le sarcasme et l’inspiration volontairement triviale. Tout en s’affranchissant du postromantisme trop
académique de son maître Glazounov,
il brassa les formes baroques de la
fugue ou de la passacaille au riche
contrepoint et se tint prudemment à
l’écart de toute avant-garde (autant
par goût personnel qu’en raison des
directives du Ministère de la Culture
de l’URSS). Grand architecte capable
de mêler équilibre classique et
humour décapant, son langage
demeure reconnaissable entre tous, ce
qui constitue le signe le plus évident
du génie. Musicien complexe que certains n’hésitent pas à qualifier de
Beethoven du XXe siècle, « il s’exprime
en musique aussi spontanément, naturellement et complètement que quand
il parle russe » (Michel R. Hofmann).
Héritière du Moussorgski des Chants
et Danses de la mort par son désir de
s’adresser au peuple et de peindre
l’âme humaine, la Symphonie n° 11
op. 103 « L’Année 1905 », la plus descriptive de toutes, répond par ses
procédés simples à un programme
détaillé, concret, citant des chants
révolutionnaires. « Russe jusqu’à la
moelle des os » malgré ses ancêtres
polonais, Chostakovitch est aussi le
successeur de Tchaïkovski dont il
reprend le sens de la construction
mais aussi le grotesque, le sens dramatique du contraste, l’héroïsme, la
gaîté, la méditation, le fatum. La
notion du temps, si fondamentale
pour lui, relève du rythme propre aux
Russes qui, sans se hâter, méditent et
développent – à l’image du premier
mouvement (Allegretto) de la Symphonie n° 7 « Leningrad » qui dure
presque une demi-heure à l’instar des
récits romanesques de Tolstoï ou de
Dostoïevski.
Un maître
de la grande forme
« Et moi qui écris ces lignes, parfois,
sans le vouloir, trop vite, j’écris hanté
par la seule peur de ne pas écrire avec
toute ma force ». Ces mots présents
dans la Treizième Symphonie « Babi
Yar » seront le credo d’un compositeur
hanté par le désir de s’accorder à
l’actualité et qui trouve dans la symphonie et le quatuor une véritable
philosophie personnelle. Ses quinze
symphonies couvrent toute l’étendue
de sa carrière où se reflète l’évolution
de sa pensée créatrice. La Symphonie
n° 1, écrite à l’âge de dix-neuf ans par
un étudiant à peine sorti du Conservatoire et popularisée par Toscanini
en Occident, date de 1925. Malgré des
éclipses liées à la situation politique,
Chostakovitch ne cessera d’aborder
un genre qui trouve son aboutisse-
R
epères
1906 : naissance le 25 septembre à
Saint-Pétersbourg
1919 : entre au Conservatoire Rimski-Korsakov
où il étudie le piano et la composition
1926 : Symphonie n° 1 qui lui vaut une lettre de
félicitations d’Alban Berg.
1930 : Création triomphale de l’opéra Le Nez
d’après Gogol
1936 : Staline fait interdire l’opéra Lady
Macbeth ; Symphonie n° 4 (qui ne sera créée
qu’en 1960)
1937 : Triomphe de la Symphonie n° 5
1941 : Symphonie n° 7 Leningrad, composée
au début du siège de la ville
1943 : Symphonie n° 8 dédiée au chef
Mravinski
1947 : Premier concerto pour violon
1948 : Perd son poste de professeur suite à la
doctrine Jdanov
1953 : Mort de Staline ; triomphe de la
Symphonie n° 10
1958 : reçoit le Prix Lenine pour la Symphonie
n° 11
1960 : Symphonie n° 12
1967 : Deuxième concerto pour violon
1972 : Quinzième et dernière Symphonie
1975 : meurt le 9 août à l’âge de 68 ans ; il est
enterré au Cimetière de Novodevitchi à Moscou.
ment dans la Quinzième Symphonie
de 1971 où le motif du destin de la
Walkyrie de Wagner est annonciateur
de la camarde qui le terrassera quatre
ans plus tard. Tribun musical et historiographe sensible de son époque,
Chostakovitch a choisi la voie la plus
inconfortable. Les quatre symphonies
que propose Gergiev pour clore le
cycle ont en commun d’être filles de
leur temps et de se référer à l’Histoire.
La Septième Symphonie « Leningrad »
(1941), véritable chronique de guerre,
emporte tout sur son passage par sa
force propulsive physique aux
rythmes massifs. La Huitième (1943),
lyrique, composée après la victoire de
l’Armée rouge à Stalingrad, est proche
du sarcasme. Mise sous le boisseau
par le régime qui attendait un déferlement patriotique, elle témoigne
d’une économie de moyens dans la
tradition de Haydn, Brahms et Bruckner d’un déroulement organique
sans cesse en expansion. La Onzième
« L’Année 1905 » (1956-1957), composée après la répression de la révolte
hongroise, semble servir les intérêts
du peuple, mais « ce que nous entendions dans cette musique, ce n’était
pas les salves de la police tirant sur la
foule devant le Palais d’Hiver en 1905,
mais le bruit de tonnerre des chars
soviétiques dans les rues de Budapest » (Lew Lebedinski). Monumental
poème symphonique sur des thèmes
de la Révolution d’Octobre, la Douzième (1961), composée au moment où
il adhère sans grand enthousiasme au
Parti Communiste, est moins puissante que la précédente et ne possède
ni la netteté, ni la carrure, ni la franchise brutale et déclamatoire. Mais
Chostakovitch reste Chostakovitch, si
bien qu’une œuvre même de circonstance (ici une commémoration de
Lénine) cache sinon une satire, du
moins la possibilité d’une parodie.
Autre versant abordé par Valery Gergiev à la Salle Pleyel, les concertos
pour violon. Au nombre de deux, ils
ont été écrits pour David Oistrakh
mais ont connu des fortunes diverses :
le premier toujours brillant et virtuose est entré immédiatement au
répertoire, tandis que le second moins
démonstratif, plus rarement joué,
reste relativement méconnu. Composé
en 1967, ce dernier nous renseigne
pourtant sur l’évolution musicale du
compositeur dans ses dernières
années. Les trois dernières symphonies, véritables chants du cygne, enta-
© Marco Borggreve
paris
Valery Gergiev dirigera l’Orchestre du
Mariinski dans les Symphonies n° 7, 8,
11 et 12 de Chostakovitch à la Salle
Pleyel.
ment à la fois un discours méditatif
hors du temps d’une force concentrée,
mais aussi dégagent des décharges
émotives parfois aux limites de
l’anéantissement. Décrié par les
tenants du sérialisme, Chostakovitch
a pris progressivement une dimension
planétaire auprès d’un public de mélomanes fervents et offre une source
d’inspiration à nombre de compositeurs d’aujourd’hui (Dusapin, Tanguy,
Bacri…) séduits par son langage
dense et immédiatement intelligible.
•
Michel Le Naour
DMITRI
Chostakovitch
les concerts
Le
16 février
Concerto pour violon n°2, Symphonie n°7 Leningrad
Orchestre du Théâtre Mariinski.
Dir.: Valery Gergiev. Alena Baeva, violon.
16h00. Salle Pleyel.
10-85 = . Tél.: 01 42 56 13 13.
Le
17 février
Symphonies n°8 & 12
Orchestre du Théâtre Mariinski.
Dir.: Valery Gergiev.
20h00. Salle Pleyel.
10-85 = . Tél.: 01 42 56 13 13.
Le
18 février
Concerto pour violon n°1, Symphonie n°11
Orchestre du Théâtre Mariinski.
Dir.: Valery Gergiev. Vadim Repin, violon.
20h00. Salle Pleyel.
10-85 = . Tél.: 01 42 56 13 13.
cadences février 2014
15
© privat
CONTEMPORAIN
Né en 1952, Philippe Manoury est l’un des compositeurs qui a le plus écrit pour
l’IRCAM. Il reçoit en 2012 la Victoire de la Musique du Compositeur de l’Année
pour son opéra La nuit de Gutenberg.
Philippe Manoury
passion orchestre
> le 14 février - Salle Pleyel
Rihm, Manoury, Zimmermann. Philharmonique
de Radio France, Peter Hirsch (direction),
Duo pianos GrauSchumacher.
> le 25 février - Théâtre des Champs-Elysées
Schumann, Manoury. Orchestre de chambre
de Paris, Thomas Zehetmair (violon et dir).
il est l’un de nos grands
compositeurs. réputé pour sa maîtrise
de l’électronique, philippe manoury
puise son art de l’orchestration autant
chez debussy que richard strauss.
germanophile avéré, la figure de
stockhausen a également beaucoup
compté pour lui. il était donc logique
qu ’il soit l’une des figures
de référence du festival présences
que radio france consacre à l’axe
musical paris -berlin.
16 cadences février 2014
D
epuis son retour en
Europe, Philippe
Manoury est un
compositeur heureux. « Il est vrai que
j’ai composé plus de
deux cents pages de
musique en un peu moins d’un an !
Aussi bizarre que cela puisse paraître,
j’ai développé aux Etats-Unis beaucoup
de contacts en Europe, notamment en
Allemagne où 60 % de ma vie musicale
se passe désormais. L’offre de l’Allemagne en matière de création est très
riche, due à sa décentralisation. Ce qui
m’a frappé à mon retour en France, c’est
la diminution de la place de la musique
savante dans les médias, même les plus
sérieux. J’écoute par exemple très
souvent France Culture qui est une
radio formidable. Autant les émissions
sur la science et la philosophie sont
passionnantes, autant je reste ahuri
par « l’habillage musical » que je
trouve d’une platitude et d’une banalité confondantes. Il faut absolument
que cela sonne « rock », quel que soit le
sujet abordé ».
C’est à Strasbourg que Philippe
Manoury vit et enseigne aujourd’hui
après huit ans passés à San Diego.
Une situation idéale, entre Allemagne
et France, où il peut s’adonner à loisir
à la réflexion et l’écriture musicales.
Le planning du compositeur est des
plus chargés : après un concerto pour
piano en juin, il vient de créer coup
sur coup pour deux festivals allemands un concerto pour deux pianos
et une grande pièce pour orchestre
spatialisé en huit groupes en attendant un concerto pour violoncelle pour
l’Orchestre de Chambre de Paris dont
il est le compositeur en résidence.
C’est le concerto pour deux pianos que
le Festival Présences donne à entendre.
« L’œuvre s’appelle Zones de turbulences car je m’intéresse à des passages instables, avec l’apparition
d’éléments inattendus. L’image qui me
vient à l’esprit est celle d’une pierre qui
ride la surface de l’eau. Il s’agit de cinq
pièces de caractère, dont les premier et
dernier mouvements sont les plus
développés. A l’intérieur, il y a des
mouvements très brefs, dont un qui est
peut-être le plus bref jamais écrit
puisqu’il fait huit mesures ! J’ai dû
resserrer le matériau au maximum
afin que l’idée agisse comme un flash ».
Créateur démiurge, poète de l’ombre
et du reflet – ses œuvres démultiplient souvent un matériau jusqu’à
l’infini, Philippe Manoury ne s’épanouit nulle part mieux que dans l’orchestre. « Avec l’électronique, c’est le
médium auquel je suis le plus attaché.
J’aime la multiplicité des sources, et je
ne me lasse jamais du son de l’orchestre, sa polyphonie, la richesse de
ses timbres et ses sonorités qui me
fascinent. L’écriture pour orchestre me
stimule car je m’y trouve chez moi : un
pied dans la tradition et un autre dans
l’expérimentation. D’un côté un effectif
traditionnel et de l’autre une volonté
de le faire bouger en le disposant
autrement, par exemple autour du
public ». On retrouve ici, la notion de
turbulence et d’accident, chère à un
compositeur au sommet de son art.
•
Laurent Vilarem
11 – 21 mars
d’époque
avec
Benjamin Alard Rinaldo Alessandrini Bob van Asperen
Olivier Baumont Violaine Cochard Aurélien Delage Céline Frisch
Pierre Hantaï Jean-Luc Ho Ton Koopman Béatrice Martin
Davitt Moroney Blandine Rannou Jean Rondeau Christophe Rousset
Christine Schornsheim Andreas Staier Kenneth Weiss…
Retrouvez cette intégrale sur
et
Cité de la musique
www.citedelamusique.fr 01 44 84 44 84
Clavecin Goujon/Swanen 1749/1784 (collection Musée de la musique)
Conception graphique : Neil Gurry Photo : Pierre-Olivier Deschamps/Agence VU Licences E.S. : 1-1041550, 2-1041546, 3-1041547.
Bach
intégrale
sur clavecins
[ février ]
1
er
samedi
Carte blanche à thomas zehetmair
Musiciens de l’Orchestre de Chambre de
Paris. Damase, Mendelssohn, Reinecke.
17h30. Salle Cortot.
5-15 =. Tél.: 0800 42 67 57.
Beethoven, Tanguy, Chostakovitch
François Robin, violoncelle ;
Suzana Bartal, piano.
18h00. Hôtel de Soubise.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 09 32.
ensemble calliopée
Palenicek, Adamek, Kaderabek, Dvorák.
18h00. Centre Culturel Tchèque.
Entrée libre. Tél. : 01 53 73 00 22.
tant qu’il y aura de l’amour
(et de la musique). Hervé Terrisse, mise en
scène. Elen Hervochon, Eugénie ; Jennifer
Moret, Vicky/Kevin ; Galatée Bonnet, la pianiste.
Bizet, Gounod, Offenbach, Rossini…
18h30. Théâtre de l’Ile St-Louis Paul Rey.
10-15 =. Tél.: 01 46 33 48 65.
Paul Badura-Skoda, piano
Bach, Première Partita ; Schubert, 6 Valses
D365, Impromptu en si bémol majeur
D935 ; Chopin, Mazurka n° 4, Berceuse
op.57, Barcarolle op.60.
19h00. Musée Jacquemart-André.
45-80 =. Tél.: 01 43 71 60 71.
www.autourdupiano.com
Puccini, La fanciulla del West
Orchestre & Chœur de l’Opéra. Dir. : Carlo
Rizzi. Nikolaus Lehnoff, mise en scène.
Avec Nina Stemme, Claudio Sgura, Marco
Berti, Roman Sadnik, Andrea Mastroni…
19h30. Opéra Bastille.
15-180 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
Prokofiev, Roméo et Juliette
Orchestre, Solistes et corps du ballet du
Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre. Dir. : Vadim
Nikitin. Leonid Lavrvski, chorégraphie.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
15-89 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
nicholas Angelich, piano
Orchestre du Conservatoire de Paris.
Dir. : Patrick Davin. Koechlin, Bandar Logs ;
Ravel, Concerto pour la main gauche ;
Roussel, Symphonie n° 1.
20h00. Cité de la musique.
18 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
Lebrun, Hymnodie
Chœur Stella Maris, Ensemble Furians.
Dir. : Olivier Bardot.
20h00. Collège des Bernardins.
15-20 =. Tél.: 01 53 10 74 44.
Chœurs et orch. des grandes écoles
Dir. : Simon Proust. Frédéric Pineau,
chef de chœur. Grieg, Peer Gynt ; Dvorák,
L’Ondin ; Mendelssohn, Psaume 42.
20h30. Amphithéâtre de l’Université
Descartes (6e).
9-26 =. Tél.: 07 86 39 59 78.
18 cadences février 2014
2
dimanche
trio les esprits
Beethoven, Dvorák.
11h00. Théâtre des Champs-Elysées.
12-25 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
Massenet, Werther
Orchestre & Chœur de l’Opéra. Dir. : Michel
Plasson. Benoit Jacquot, mise en scène.
Avec Roberto Alagna, Jean-François La pointe,
Jean-Philippe Lafont ; Karine Deshayes…
14h30. Opéra Bastille.
15-180 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
Händel, Alcina
Les Talens Lyriques, Chœur de l’Opéra de
paris. Dir. : Christophe Rousset. Robert
Carsen, mise en scène. Avec Myrto
Papatanasiu, Anna Goryachova, Sandrine
Piau, Patricia Bardon, Cyrille Dubois…
14h30. Palais Garnier.
45-185 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
tant qu’il y aura de l’amour
Voir au 1er février.
15h00. Théâtre de l’Ile St-Louis Paul Rey.
Prokofiev, Roméo et Juliette
Voir au 1er février.
16h00. Théâtre des Champs-Elysées.
Offenbach, Ba-ta-clan
Jean-Christophe Keck, direction.
18h00. La Péniche Opéra.
Tél. : 01 53 35 07 77.
françois-rené duchable, piano
Alain Carré, comédien. Frago- création
« Au Salon des arts de Fragonard ».
19h00. Musée Jacquemart-André.
45-80 =. Tél.: 01 43 71 60 71.
www.autourdupiano.com
3 lundi
michael Nagy, baryton
Gerold Huber, piano.
Schubert, Ives, Eisler, Mahler.
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.
25 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
4 mardi
Ensemble arte musicale
Claire Pradel, épinette ; Hestia Tristani,
mezzo ; Laurent Gardeux, violoncelle ;
Jean-Marie Poupelin, hautbois. Bach, Vivaldi.
12h30. Eglise Saint-Roch. Entrée libre.
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
19h30. Opéra Bastille.
Offenbach, La Chatte métamorphosée…
Orchestre de chambre Pelléas. Dir. : Benjamin
Lévy. Alexandra Lacroix, mise en scène.
Avec Magali Léger, Pauline Sabatier,
François Rougier, Guillaume Andrieux…
20h00. Auditorium du musée d’Orsay.
Tél. : 01 53 63 04 63.
Schubert, Beethoven, Hindemith
Musiciens de l’Orchestre de Paris : Caroline
Vernay, violon ; David Gaillard, alto ; Marie
Leclerq, violoncelle.
20h00. Musée Gustave Moreau.
15 =. Tél.: 01 48 74 38 50.
lux fulgebit
Maîtrise Notre-Dame de Paris, Ensemble
Vocal de Notre-Dame de Paris. Dir. : Sylvain
Dieudonné. Chant grégorien et musique
médiévale.
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.
12-20 =. Tél.: 01 44 41 49 99.
La Serenissima
Ensemble Chanticleer de San Francisco.
Monteverdi, Willaert, Gabrieli…
20h30. Oratoire du Louvre.
22-38 =. Tél.: 01 48 24 16 97.
5
Mercredi
Massenet, Werther
Voir au 19 janvier.
19h30. Opéra Bastille.
Händel, Alcina
Voir au 2 février.
19h30. Palais Garnier.
Moussorgski, Boris Godounov
Orchestre National du Capitole de Toulouse,
Chœur Orfeon Donostiarra. Dir. : Tugan
Sokhiev. Avec Ferruccio Furlanetto, Ain Anger,
Anastasia Kalagina…
20h00. Salle Pleyel.
10-85 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
chœur de radio France
Dir. : Christiane Buttig.
Bruckner, Strauss, Krenek, Poulenc…
20h00. Eglise Saint-Eustache.
Tél. : 01 56 40 15 16.
roman Zaslavsky, piano
Liszt, Schumann, Rachmaninov, Prokofiev.
20h00. Théâtre du Châtelet.
30 =. Tél.: 01 40 28 28 40.
6
Jeudi
Quatuor Heath
Gernsheim, Quatuor ; Schubert, La jeune
fille et la mort.
12h30. Auditorium du Louvre.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 55 00.
Chostakovitch, Schumann
Karin Ato, violon ; Diederik Suys, alto ; Yoori
Lee, violoncelle ; Jean-Yves Sébillotte, piano.
13h00. Opéra Bastille, Studio.
5 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
Zelenka, Miserere, Mozart, Requiem
Insula Orchestra, Accentus. Dir. : Laurence
Equilbey. Avec Laurence Equilbey, Sandrine
Piau, Sara Mingardo, Werner Güra,
Christopher Purves.
20h00. Salle Pleyel.
10-60 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
Milhaud, Ravel, Honegger
Quatuor Danel. Tiago Matos, baryton ; Dana
Ciocarlie, piano ; Françoise Masset, soprano.
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.
25 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
25 ans des pièces jaunes
Fondation Hôpitaux de Paris - Hôpitaux de
France. François Chaplin, conception. Avec
Felicity Lott, Ruggero Raimondi, Laurent
Korcia, Nathalie Manfrino, Karine Deshayes,
Quatuor Voce, Claire Chazal…
20h00. Salle Gaveau.
10-40 =. Tél.: 01 49 53 05 07.
Offenbach, La Chatte métamorphosée…
Voir au 4 février.
20h00. Auditorium du musée d’Orsay.
7
vendredi
Boccherini, Dvorák
Etudiants du Conservatoire de Paris.
Jean-Marc Zvellenreuther, guitare ;
Jean Sulem, alto.
12h15. Grand Salon des Invalides.
5 =. Rés. sur www.musee-armee.fr
edoardo torbianelli, pianoforte
WF Bach, Steffan, Mozart, Beethoven.
12h15. Amphithéâtre Richelieu de la
Sorbonne.
4-12 =. Tél.: 06 89 17 49 35.
rita saher, piano
Chopin, Nocturne op.9 n°1,2,3 ; Schumann,
Fantaisie op.17 ; Albeniz, Sevilla, Castilla,
Evocation.
19h00. Musée Jacquemart-André.
45-80 =. Tél.: 01 43 71 60 71.
www.autourdupiano.com
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
19h30. Opéra Bastille.
Händel, Alcina
Voir au 2 février.
19h30. Palais Garnier.
Bartók, Sibelius
Philharmonique de Radio France.
Dir. : Vasily Petrenko. Sergej Krylov, violon.
20h00. Salle Pleyel.
10-60 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
Bertrand Chamayou, piano
Schubert, Douze Ländler, WandererFantaisie, Trois Klavierstücke…
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-55 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
week end turbulences - Pintscher
Ensemble intercontemporain. Dir. : Julien
Leroy. Georg Nigl, baryton ; Andreas Staier,
piano. Johan Simons, mise en scène. Schubert,
Winterreise ; création de Mark André.
20h00. Cité de la musique.
18 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
Takashi Kako Quartet
Takashi Kako, piano ; Mariko Aikawa, violon ;
Kaori Minami, alto ; Akio Ueki, violoncelle.
20h00. Maison de la Culture du Japon.
12-15 =. Tél.: 01 44 37 95 95.
purcell, King Arthur
Ensemble BarokOpera Amsterdam.
Dir. : Frédérique Chauvet. Sybrand van der
Werf, mise en scène. Avec Pieter Hendriks,
Mattijs Hoogendijk, Wendy Roobol…
20h00. Théâtre de l’Athénée.
9,5-43 =. Tél.: 01 53 05 19 19.
Ensemble Sudestada
Veronica Onetto, soprano. L’amante
segreto : Strozzi, Monteverdi, Frescobaldi.
20h30. Eglise des Billettes.
22 =. Tél.: 01 48 24 16 97.
paris
8
samedi
Sophie karthäuser, soprano
Eugène Asti, piano. Schubert, Schumann,
Honegger, Poulenc, Satie, Chabrier.
17h00. Théâtre des Abbesses.
14-19 =. Tél.: 01 42 74 22 77.
week end turbulences - Pintscher
Solistes de l’Ensemble intercontemporain.
Michael Borremans, plasticien. Pintscher.
17h30. Cité de la musique. Amphithéâtre.
Entrée libre. Rés. au 01 44 84 44 84.
mozart, schubert, strauss
Rika Masato, violon ; Eloise Bella Kohn, piano.
18h00. Hôtel de Soubise.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 09 32.
tant qu’il y aura de l’amour
Voir au 1er février.
18h30. Théâtre de l’Ile St-Louis Paul Rey.
jean-marc Luisada, piano
Chopin, 4 Mazurkas, les 14 Valses.
19h00. Musée Jacquemart-André.
45-80 =. Tél.: 01 43 71 60 71.
www.autourdupiano.com
Les Concerts Cantabile
Amaury Coeytaux, violon ; Geoffroy
Couteau, piano ; Raphaël Perraud,
violoncelle. Intégrale Brahms.
20h00. Théâtre Adyar.
15-30 =. Tél.: 01 47 41 99 91.
Bryn Terfel, baryton-basse
Orchestre national de Belgique. Dir. : Gareth
Jones. Airs de Mozart, Tchaïkovski, Gounod,
Verdi, Wagner.
20h00. Salle Pleyel.
10-95 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
week end turbulences - Pintscher
Ensemble intercontemporain. Dir. : Matthias
Pintscher. Marisol Montalvo, soprano ;
Diana Axentii, mezzo. Le grand soir,
concert en trois parties : Webern, Scelsi,
Kagel, Zimmermann, Szymanowski,
Stroppa, Gabrieli…
20h00. Cité de la musique.
20-25 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
purcell, King Arthur
Voir au 7 février.
20h00. Théâtre de l’Athénée.
Offenbach, La Chatte métamorphosée…
Voir au 4 février.
20h00. Auditorium du musée d’Orsay.
haim, à la lumière d’un violon
Gérard Garutti, écriture et mise en scène.
Naaman Sluchin, violon ; Dana Ciocarlie, piano ;
Alexis Kune, accordéoniste ; Samuel Maquin,
clarinette ; Mélanie Doutey, comédienne.
20h30. Salle Gaveau.
10-45 =. Tél.: 01 49 53 05 07.
Fuzjko Hemming, piano
Chopin, Liszt, Debussy, Scarlatti, Sukegawa.
20h30. Salle Cortot.
20-40 =. Tél.: 01 42 96 91 20.
Les concerts
au
Cantabile
Théâtre Adyar
Samedi 8 février
Dimanche 9 février
brahms
Intégrale des trios
pour piano et cordes
Amaury Coeytaux, Geoffroy Couteau,
Raphaël Perraud
Réservations :
www.concerts-cantabile.com
01 47 41 99 91
Ciné-concert
L’Aurore
de Murnau
Thierry Escaich
Exposition Sandra Lévy
Dessin et Musique
dans le foyer du théâtre
Les concerts Cantabile
cadences février 2014
19
CONCERT
EXCEPTIONNEL
9
dimanche
beethoven, Ravel, Bartók
David Grimal, violon ; Georges
Pludermacher, piano.
11h00. Théâtre des Champs-Elysées.
12-25 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
De mozart à broadway
Chœur d’Enfant Sotto Voce. Dir. : Scott Alan
Prouty. Richard Davis, piano. Concert tôt
Concert tea.
11h00. Théâtre du Châtelet.
5-10 =. Tél.: 01 40 28 28 40.
MARIA PIA DE VITO
FRANÇOIS COUTURIER
ANJA LECHNER
MICHELE RABBIA
voix
piano
violoncelle
percussions,
électronique
Massenet, Werther
Voir au 19 janvier.
14h30. Opéra Bastille.
Offenbach, La Chatte métamorphosée…
Voir au 4 février.
15h00. Auditorium du musée d’Orsay.
tant qu’il y aura de l’amour
Voir au 1er février.
15h00. Théâtre de l’Ile St-Louis Paul Rey.
Bach & Telemann
Les Chanteurs de St-Eustache. Dir. : Lionel
Cloarec. Motets « Lobet den Herrn » &
« Jesu, meine Freude », Missa Brevis
« Ein Kindelein so löbelich », Psaume 96
« Singet dem Herrn ».
16h00. Eglise N.-D. des Blancs Manteaux (4e).
20-25 =. [email protected]
CAFÉ DE LA DANSE
PARIS | 10 FÉVRIER 2014 | 20H00
IL PERGOLESE
ENTRE MUSIQUE BAROQUE ET JAZZ,
UNE ŒUVRE VIBRANTE QUI ÉCHAPPE
À TOUTE IDENTIFICATION...
UN RENDEZ-VOUS
À NE PAS MANQUER
IL PERGOLESE
Nouvel album ECM,
déjà disponible
Réservations : 01 48 24 16 97 - www.philippemaillardproductions.fr - Fnac
20 cadences février 2014
Les Feux de l’amour
Les concerts de l’improbable de jean-François
Zygel. Jean-François Zygel, conception et
présentation. Passions, jalousie, Roméo et
Juliette, Verdi, Bellini, Pelléas…
19h30. Théâtre du Châtelet.
12,5-32,5 =. Tél.: 01 40 28 28 40.
händel, Theodora
The English Concert, Choir of Trinity Wall
Street. Dir. : Harry Bicket. Avec Rosemary
Joshua, Sarah Connolly, Andrew Kennedy…
19h30. Théâtre des Champs-Elysées.
5-85 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
19h30. Opéra Bastille.
Il pergolèse
Maria Pia de Vito, voix ; François Couturier,
piano ; Anja Lechner, violoncelle ; Michele
Rabbia, percussions, électronique.
20h00. Café de la Danse.
22 =. Tél.: 01 48 24 16 97.
max-emmanuel cencic, contre-ténor
Megumi Otsuka, piano. Rossini, Donizetti,
Mozart, Strauss…
20h00. Théâtre du Palais Royal.
20-70 =. Tél.: 01 42 97 40 00.
Bizet, Saint-Saëns
Les Siècles. Dir. : François-Xavier Roth.
Jean-Guilhen Queyras, violoncelle.
16h00. Salle Pleyel.
10-30 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
Hosokawa, The Raven
Ensemble Lucilin. Charlotte Hellekant, mezzo.
Dir. : David Reiland. Jan Speckenbach &
Charlotte Hellekant, conception et mise en
scène.
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.
18-29 =. Tél.: 01 46 07 34 50.
Les Concerts Cantabile
Ciné Concert : L’Aurore de Murnau.
Improvisation au piano de Thierry Escaich.
16h00. Théâtre Adyar.
15-30 =. Tél.: 01 47 41 99 91.
la passion lemieux
Carte blanche à la mezzo Marie-Nicole
Lemieux. Daniel Blumenthal, piano.
20h30. Salle Gaveau.
20-55 =. Tél.: 01 49 53 05 07.
purcell, King Arthur
Voir au 7 février.
16h00. Théâtre de l’Athénée.
week end turbulences - Pintscher
Ensemble intercontemporain. Dir. : Matthias
Pintscher. Eric-Maria Couturier, violoncelle.
Boulez, Messagesquisse ; Rihm, Tutuguri
VI ; Mozart, Gran Partita.
16h30. Cité de la musique.
18 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
haim, à la lumière d’un violon
Voir au 8 février.
18h00. Salle Gaveau.
Schubert, Schumann, Brahms
Philip Bride, violon ; Erik Berchot, piano.
19h00. Musée Jacquemart-André.
45-80 =. Tél.: 01 43 71 60 71.
www.autourdupiano.com
Händel, Alcina
Voir au 2 février.
19h30. Palais Garnier.
Café de la Danse, 5 Passage Louis Philippe
75011 Paris / Métro Bastille
10 lundi
11 mardi
Reinecke, Schubert, Andersen
Stephanos Thomopoulos, piano ;
Loic Schneider, flûte.
12h30. Auditorium du musée d’Orsay.
9-14 =. Tél.: 01 53 63 04 63.
harumi kinoshita, clavecin
Handel, Couperin.
12h30. Eglise Saint-Roch. Entrée libre.
purcell, King Arthur
Voir au 7 février.
19h00. Théâtre de l’Athénée.
Gautier Capuçon, violoncelle
Frank Braley, piano. Beethoven, Schubert,
Debussy, Britten.
20h00. Salle Pleyel.
10-45 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
Gala Monteverdi
Le Concert d’Astrée. Dir. : Emmanuelle
Haim. Avec Rolando Villazon, Magdalena
Kozena, Topi Lehtipuu, Katherine Watson,
Lenneke Ruiten, Emiliano Gonzalez-Toro,
Nahuel Di Pierro.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-125 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
paris
musique française du xxe
Maîtrise Notre-Dame de Paris. Dir. : Emilie
Fleury. Jolivet, Milhaud…
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.
12-20 =. Tél.: 01 44 41 49 99.
Bohèmes
Brahms, Zigeunerlieder ; Kodaly ; Ligeti ;
Tormis. Ensemble vocal Les Métaboles.
Dir. : Léo Warynski.
21h00. Eglise des Billettes.
12-15 =. Tél.: 07 81 02 27 71.
12 Mercredi
takaya sano, piano
Ravel, Moussorgski.
18h30. Maison de la culture du Japon.
5 =. Tél.: 01 44 37 95 95.
Massenet, Werther
Voir au 19 janvier.
19h30. Opéra Bastille.
Händel, Alcina
Voir au 2 février.
19h30. Palais Garnier.
orchestre de paris
Dir. : Christoph Eschenbach.
Tabea Zimmermann, alto.
Dvorák, Carnaval ; Bartók, Concerto pour
alto ; Brahms, Symphonie n° 4.
20h00. Salle Pleyel.
10-60 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
Schumann, Saint-Saëns, Bach
Orchestre de chambre de Paris.
Dir. : sir Roger Norrington. Fazil Say, piano.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-55 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
lise de la salle, piano
Schumann, Chopin.
20h00. Auditorium du Louvre.
16-32 =. Tél.: 01 40 20 55 00.
michalis Boliakis, piano
Ligeti, Janácek, Szymanowski, Chopin.
20h00. Hôtel de Soubise.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 09 32.
purcell, King Arthur
Voir au 7 février.
20h00. Théâtre de l’Athénée.
DOulce mémoire
L’ensemble fête son 25e anniversaire.
Dir. : Denis Raisin Dadre.
20h30. Salle Gaveau.
22-55 =. Tél.: 01 48 24 16 97.
13 Jeudi
Quatuor ehnes
Beethoven, Suk, Bartók.
12h30. Auditorium du Louvre.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 55 00.
Sinami, première étude sur le silence
Duo Sinami. Jean Rondeau, piano ;
Cosetta Graffione, danse.
12h30. Mairie du 9e.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
19h30. Opéra Bastille.
Levy, Widmann, Schneller, Henze
Orchestre National de France. Dir. : Ilan
Volkov. Jorg Widmann, clarinette. Festival
Présences Paris/Berlin.
20h00. Théâtre du Châtelet.
0-15 =. Tél.: 01 40 28 28 40.
Centre
de musique
les
Chantres
baroque
de Versailles
Directeur musical
Olivier Schneebeli
Centre de formation supérieure de chant baroque
RECRUTEMENT POUR LA RENTRÉE DE SEPTEMBRE 2014
DE CHANTEUSES ET CHANTEURS FRANÇAIS ET ÉTRANGERS,
DE 18 À 30 ANS, TOUS PUPITRES
UNE FORMATION PROFESSIONNELLE RECONNUE
the sixteen.
Dir. : Harry Christophers.
Sheppard, Mundy, Davy.
20h00. Auditorium du musée d’Orsay.
8-25 =. Tél.: 01 53 63 04 63.
cordoue 21. Sur les traces de sefarad
Sandra Bessis, voix ; Rachid Brahim-Djelloul,
violon et voix ; Nourredine Aliane, oud,
mandole…
20h00. Musée d’art et d’histoire du Judaïsme.
15-20 =. Tél.: 01 53 01 86 48.
orchestre de paris
Voir au 12 février.
20h00. Salle Pleyel.
UN CURSUS À TEMPS COMPLET, DE 2 À 3 ANS,
alliant les acquis théoriques et la pratique quotidienne du chant
(technique vocale, interprétation, chœur, musique de chambre,
solfège chanteur, ornementation, basse continue, direction de chœur,
travail éditorial sur les sources, danse et gestuelle baroques, déclamation,
langues étrangères – allemand et italien, culture musicale, connaissance du milieu
professionnel) aux masterclasses et à la mise en situation professionnelle
(concerts, productions lyriques et enregistrements)
UN PARTENARIAT
avec les Conservatoires de Versailles, de la Vallée de Chevreuse
et le Pôle Supérieur d’Enseignement Artistique de Paris – Boulogne-Billancourt
UNE INSERTION PROFESSIONNELLE EXEMPLAIRE
1er tour sélection sur dossier, à retirer ou à télécharger
et à retourner complet avant le 14 mars 2014
2e tour audition devant le jury, le 26 avril 2014 à Versailles
3e tour admissions le 28 avril 2014
droits d’inscription : 260 € par an – statut étudiant
mail : [email protected]
site internet : www.cmbv.fr – tél : 01 39 20 78 19
Gala Monteverdi
Voir au 11 février.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
orchestre de l’alliance
Dir. : Pejman Memarzadeh. Lekeu, Mozart,
Schubert.
20h30. Salle Gaveau.
12-100 =. Tél.: 01 49 53 05 07.
Polymago
chostakovitch, delerue, barber
Orchestre à cordes de la Garde Républicaine.
Dir. : Sébastien Billard. Romain Leleu,
trompette ; Tristan Raës, piano.
20h00. Cathédrale St-Louis des Invalides.
5-10 =. Tél.: 01 44 42 32 72.
mail : [email protected]
site : www.cmbv.fr
Centre de musique
baroque de Versailles
Hôtel des Menus-Plaisirs
22, avenue de Paris
CS 70353
78035 Versailles cedex
tél : 01 39 20 78 19
Bach & Telemann
Voir au 9 février.
20h30. Oratoire du Louvre.
14 vendredi
Haydn, Mendelssohn, Rachmaninov
Nicolas Dupont, violon ; Tatiana Gracheva,
violoncelle ; Olga Kirpicheva, piano.
12h15. Grand Salon des Invalides.
5 =. Tél.: 01 44 42 32 72.
Puccini, Madama Butterfly
Orchestre & Chœur de l’Opéra. Dir. : Daniele
Callegari. Robert Wilson, mise en scène.
Avec Svetla Vassileva, Cornelia Oncioiu,
Teodro Ilincai, Gabriele Viviani, Carlo Bosi…
19h30. Opéra Bastille.
15-180 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
Philharmonique de Radio France
Dir. : Peter Hirsch. GrauSchumacher Piano
Duo. Avec Laura Aikin, Georg Nigl, Cornelia
Kallisch. Créations françaises de Rihm et
Manoury ; Zimermann, Die Soldaten
symphonie vocale.
20h00. Salle Pleyel. Festival Présences.
15 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
Cartes Blanches
Jeunes solistes du conservatoire de Paris.
20h00. Cité de la musique, Amphithéâtre.
Entrée libre. Rés. au 01 44 84 44 84.
cadences février 2014
21
le mystère georges bizet
Eric-Emmanuel Schmitt, auteur et comédien.
Karine Deshayes, mezzo ; Nicolas Stavy, piano.
20h30. Salle Gaveau.
16-56 =. Tél.: 01 49 53 05 07.
Orchestre de chambre français
Violon et dir. : André Rebacz. Aurélie Loilier,
soprano. Concert de la Saint Valentin.
Vivaldi, les Quatre Saisons ; Albinoni,
Adagio ; Pachelbel, Canon ; Schubert/
Caccini, Ave Maria, Grieg, Lully…
20h30. Eglise Saint-Germain des Prés.
20-30 =. Tél.: 01 42 64 83 16.
15 samedi
Frauke Aulbert, soprano.
Création de Geoffroy Drouin.
15h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
Entrée libre. Tél. : 01 56 40 15 16.
Cartes Blanches
Jeunes solistes du conservatoire de Paris.
15h00. Cité de la musique, Amphithéâtre.
Entrée libre. Rés. au 01 44 84 44 84.
Orchestre Pasdeloup
Dir. : Mykola Dyadyura. Patrice
Fontanarosa, violon. Berlioz, Hersant,
Brahms, Rimski-Korsakov.
16h00. Théâtre du Châtelet.
10-45 =. Tél.: 01 40 28 28 40.
Bohèmes
Voir au 11 février.
16h00. Eglise des Billettes.
Ensemble 2e2m
Neue Vocalsolisten. DIr. : Pierre Roullier.
Levy, Après tout.
17h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
hommage à jean wiener
Musiciens de l’Orchestre de chambre de
Paris. Anne-Emmanuelle Davy, soprano.
Milhaud, Suite pour piano, violon et
clarinette ; Schönberg, Pierrot lunaire.
17h30. Salle Cortot.
5-15 =. Tél.: 0800 42 67 57.
rameau, marais, Couperin, Telemann
Nevermind. Jean Rondeau, clavecin ;
Anna Besson, traverso ; Louis Créac’h,
violon ; Robin Pharo, viole de gambe.
18h00. Hôtel de Soubise.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 09 32.
orchestre national de Lille
Dir. : Jean-Claude Casadesus. Anja Kampe,
soprano ; Gary Lehman, ténor. Airs et duos
d’opéras de Wagner.
20h00. Salle Pleyel.
10-60 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
prades aux champs-elysees
Itamar Golan, piano ; François Salque,
violoncelle ; Patrick Gallois, flûte… Mozart,
Beethoven, Schubert.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-55 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
Cartes Blanches
Jeunes solistes du conservatoire de Paris.
20h00. Cité de la musique, Amphithéâtre.
Entrée libre. Rés. au 01 44 84 44 84.
22 cadences février 2014
Chœur de chambre kamerton
Dir. : Olef Afonine. Rachmaninov, Divine
liturgie de St Jean Chrysotome.
20h30. Eglise Saint-Roch.
15 =. Tél. =. 0892 68 36 22.
16 dimanche
richard goode, piano
Schubert, Debussy.
11h00. Théâtre des Champs-Elysées.
12-25 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
14h30. Opéra Bastille.
Cartes Blanches
Jeunes solistes du conservatoire de Paris.
15h00. Cité de la musique, Amphithéâtre.
Entrée libre. Rés. au 01 44 84 44 84.
Philharmonique de Radio France
Maîtrise de Radio France. Dir. : Sofi
Jeannin. Henze, Schreier, Weill.
16h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
Orchestre du théâtre Mariinsky
Dir. : Valery Gergiev. Alena Baeva, violon.
Chostakovitch, Concerto pour violon n° 2,
Symphonie n° 7 Leningrad.
16h00. Salle Pleyel.
10-85 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
Lors fet ceste estampie
Duo Silke Gwendolyn Schulze, flûtes
médiévales, chalemie & Catalina Vicens,
organetto, percussions.
16h00. Musée de Cluny.
10-12 =. Tél.: 01 53 73 78 16.
Cartes Blanches
Jeunes solistes du conservatoire de Paris.
18h00. Cité de la musique, Amphithéâtre.
Entrée libre. Rés. au 01 44 84 44 84.
Ensemble Mosaik
Dir. : Guillaume Bourgogne. Hervé, Schneller,
Cendo, Poppe, Parra.
18h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
Syrinx a cent ans !
Lucile Renon, Anne-Laure Riche, Patrice
Bocquillon, flûtes ; Anne Catherine Picca,
soprano ; Mathias Marechal, Imane Ouachani,
comédiens. Debussy, Roussel, Caplet,
Ibert, Jolivet, Varèse, Murail, Rotaru.
19h30. Théâtre du Ranelagh.
10-25 =. Tél.: 01 42 88 64 44.
Ensemble Modern
Dir. : Franck Ollu. Andre, Bianchi, Matalon,
Stahnke.
20h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
17 lundi
Lors fet ceste estampie
Voir au 16 décembre.
12h30. Musée de Cluny.
paris
Puccini, Madama Butterfly
Voir au 14 février.
19h30. Opéra Bastille.
Orchestre du théâtre Mariinsky
Dir. : Valery Gergiev. Alena Baeva, violon.
Chostakovitch, Symphonies n° 8 & 12.
20h00. Salle Pleyel.
10-85 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
debussy, Pelléas et Mélisande
Orchestre des Champs-Elysées, Chœur
Accentus. Dir. : Louis Langrée. Stéphane
Braunschweig, mise en scène. Avec Phillip
Addis, Karen Vourc’h, Laurent Alvaro, Sylvie
Brunet…
20h00. Opéra Comique.
6-120 =. Tél.: 0825 01 01 23.
Ensemble Alternance
Mundry, Thomalla, HP Platz, Maintz.
20h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
18 mardi
Orchestre du théâtre Mariinsky
Dir. : Valery Gergiev. Vadim Repin, violon.
Chostakovitch, Concerto pour violon n° 1,
Symphonie n° 11.
20h00. Salle Pleyel.
10-85 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
19 Mercredi
debussy intime
Solistes de l’Orchestre des Champs-Elysées.
Alain Planès, piano. Debussy, Trio, Sonate n° 2.
13h00. Opéra Comique.
13 =. Tél.: 0825 01 01 23.
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
19h30. Opéra Bastille.
Gil Shaham, violon
Orchestre de Paris. Dir. : James Gaffigan.
Weill, Suite de l’Opéra de quat’sous ;
Korngold, Concerto pour violon ; Prokofiev,
Suite de Cendrillon.
20h00. Salle Pleyel.
10-60 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
debussy, Pelléas et Mélisande
Voir au 17 février.
20h00. Opéra Comique.
20 Jeudi
taeguk Mun, violoncelle
Noreen Polera, piano. Gernsheim, Brahms.
12h30. Auditorium du Louvre.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 55 00.
Fabien hyon, ténor
Joséphine Brault, piano. Verlaine et
Rimbaud, passion lyrique : Fauré, Debussy,
Finzi, Fauré, Britten, Debussy.
12h30. Petit Palais.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.
Puccini, Le Villi
Orchestre national de France, Chœur de
Radio France. Dir. : Paolo Carignani.
Avec Ermonela Jaho, Thiago Arancam,
Dimitri Platanias, Stefano Cassetti.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-95 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
opéra @ theatre no
Charpentier, Actéon ; Pergolèse, Livietta e
Tracollo. Dir. : Takeshi Kiriyama. Shugo
Ikoh, mise en scène. Ujin Sakurama, acteur
de no ; Aya Fujui, soprano ; Tomitaro
Zenchiku, acteur de kyogen, baryton.
20h00. Maison de la Culture du Japon.
16-20 =. Tél.: 01 44 37 95 95.
MOZART, BACH, SCHUMANN
Lorenzo Soulès, piano. Quatuor Hermès
20h00. Conservatoire d’Art Dramatique (9e).
15-30 =. Tél. : 01 48 87 10 90.
21 Les stars de demain
chaque 3e lundi du mois
avec Gaëlle Le Gallic
Lundi 17 février 2014
19h - Raphaëlle Moreau, violon
Célia Oneto-Bensaid, piano
20h30 - Les Surprises
Emission Génération... Jeunes Interprètes
Entrée Libre
Radio France, 116 av du Pdt Kennedy - 16e
vendredi
Puccini, Madama Butterfly
Voir au 14 février.
19h30. Opéra Bastille.
teodor currentzis, direction
Musica Aeterna. Händel, Dixit dominus ;
Purcell, Didon et Enée. Avec Anna
Prohaska, Tobias Berndt, Maria Forsstrom…
20h00. Cité de la musique.
26-32 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
debussy, Pelléas et Mélisande
Voir au 17 février.
20h00. Opéra Comique.
opéra @ theatre no
Voir au 20 février.
20h00. Maison de la Culture du Japon.
22 Frédéric chopin
B a l l a d e s , va l s e s , m a z u r k a s . . .
emmanuelle swiercz
| piano
6 mars | 20:30
s a l l e g av e au
01 48 24 16 97 |
w w w. p h i l i p p e m a i l l a r d p r o d u c t i o n s . f r
samedi
Ensemble 2e2m
Dir. : Pierre Roullier. Pascal Contet,
accordéon. Bauckolt, Schollhorn, Cavanna,
Dohmen.
17h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
la cantate des muses
Ensemble Les Muses Galantes. Dir. : Louise
Audubert. Haydn, Concerto ; Bach, Concerto,
Cantate Widerstehe doch der Sünde BWV
54, Cantate Sehet ! Wir gehen hinauf gen
Jerusalem BWV 159.
17h00. Eglise des Billettes.
Libre participation. Tél. : 06 77 58 30 40.
opéra @ theatre no
Voir au 20 février.
17h00. Maison de la Culture du Japon.
le sommeil est en voyage
Duo Dix Vagues : Clémentine Decouture,
soprano ; Nicolas Chevereau, piano. Fauré,
Chausson, Mendelssohn, Bouchot, Séverac,
Chevereau, Poulenc…
18h00. Hôtel de Soubise.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 09 32.
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
19h30. Opéra Bastille.
cadences février 2014
23
7 Février | 20:30
égliSe
L’A m A n t e
Segreto
Strozzi
Monteverdi
FreScobaldi...
enSeMble
SudeStada
avec le soutien de la Spedidam
w w w. p h i L i p p e m A i L L A r d p r o d u c t i o n S . f r
deS billetteS
01 48 24 16 97
Orléans
Salle de l’Institut
et Scène nationale
Concours
du 5 au 15
mars 2014
Paris
Théâtre des
Bouffes du Nord
Concerts
des lauréats
23 et 24
mars 2014
11e
Concours
international
de piano
d’Orléans
Répertoire
de 1900
à nos jours
Informations : 02 38 62 89 22
www.oci-piano.com
nordheim, Bartók, Haydn, Beethoven
Orchestre des lauréats du Conservatoire
de Paris. Dir. : Philippe Aiche. Fanny Vicens,
accordéon ; Manuel Vioque-Judde, alto ;
François Robin, violoncelle.
20h00. Cité de la musique.
Entrée libre. Rés. au 01 44 84 44 84.
Waltraud Meier, soprano
Joseph Breinl, piano.
20h00. Théâtre du Palais Royal.
25-95 =. Tél.: 01 42 97 40 00.
Magnard, Franck, Quintettes
Solistes de l’Orchestre des ChampsElysées ; Alain Planès, piano.
20h00. Opéra Comique.
6-34 =. Tél.: 0825 01 01 23.
debussy intime
Voir au 19 février.
13h00. Opéra Comique.
Ensemble Variances
Ensemble Resonanz. Dir. : Jonathan
Stockhammer. Moritz Eggert, piano.
Pécou, Eggert.
20h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
Mozart, Requiem, Haydn, Messe Nelson
Orchestre Français Albéric Magnard, Chœur
Sacré de Paris. Dir. : Till Aly. André Rebacz,
violon. Kristina Vahrenkamp, soprano ;
Sophie van de Woestyne, mezzo ; Sébastien
Obrecht, ténor ; Jean-Louis Serre, baryton.
20h30. Eglise de la Madeleine.
20-40 =. Tél.: 01 42 64 83 16.
23 dimanche
la cantate des muses
Ensemble Les Muses Galantes. Dir. : Louise
Audubert. Haydn, Concerto ; Bach, Concerto,
Cantate Widerstehe doch der Sünde BWV
54, Cantate Sehet ! Wir gehen hinauf gen
Jerusalem BWV 159.
12h30. Temple Saint-Marcel.
Libre participation. Tél. : 06 77 58 30 40.
debussy, Pelléas et Mélisande
Voir au 17 février.
15h00. Opéra Comique.
Sonar Quartet
Lachenmann, Zapf, Koch, Mainka.
16h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
Frauenlob
Duo Sabine Lutzenberger, chant & Norbert
Rodenkirchen, flûtes traversières, harpe
médiévale.
16h00. Musée de Cluny.
10-12 =. Tél.: 01 53 73 78 16.
Ensemble Cairn
Kammerensemble Neu Musik Berlin.
Dir. : Guillaume Bourgogne. Cendo,
Combier, Lachenmann, Barden.
18h00. Maison de Radio France.
Festival Présences.
5 =. Tél.: 01 56 40 15 16.
24 lundi
Frauenlob
Voir au 23 février.
12h30. Musée de Cluny.
Puccini, Madama Butterfly
Voir au 14 février.
19h30. Opéra Bastille.
24 cadences février 2014
25 mardi
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
19h30. Opéra Bastille.
Schumann, Manoury
Orchestre de chambre de Paris. Violon et
dir. : Thomas Zehetmair. Deborah Nemtanu,
violon ; Florent Pujuila, clarinette ;
Guillaume Vincent, piano.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-55 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
Widmann, Borowski, Boulez
Philharmonique de Radio France, Chœur
de femmes de Radio France. Dir. : Pascal
Rophé. Laura Aikin, soprano ; Hilary
Summers, contralto.
20h00. Cité de la musique.
10-15 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
debussy, Pelléas et Mélisande
Voir au 17 février.
20h00. Opéra Comique.
26 Mercredi
jean-françois zygel joue avec chopin
Jean-François Zygel, piano.
12h30. Salle Gaveau.
12 =. Tél.: 01 49 53 05 07.
lilian gordis, clavecin
Bach, Variations Goldberg.
12h30. Hôtel de Soubise.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.
mozart, Mitridate
Orchestre du Conservatoire de Paris.
Dir. : David Reiland. Vincent Vittoz, mise en
scène. Avec Enguerrand De Hys, Jeanne
Crousaud, Anne-Sophie Honoré, Eva Zaicik…
19h30. Salle d’art lyrique du Conservatoire.
18 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
debussy, fauré, chausson
Orchestre des Champs-Elysées.
Dir. : Louis Langrée.
20h00. Opéra Comique.
6-45 =. Tél.: 0825 01 01 23.
27 Jeudi
Puccini, Madama Butterfly
Voir au 14 février.
19h30. Opéra Bastille.
kurt masur, direction
Orchestre national de France.
Mendelssohn, Symphonies n° 3 & 4.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-60 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
andreas staier, piano
La Chambre Philharmonique.
Dir. : Emmanuel Krivine. Mozart, Haydn.
20h00. Cité de la musique.
20-25 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
28 vendredi
mozart, Mitridate
Voir au 26 février.
19h30. Salle d’art lyrique du Conservatoire.
Puccini, La fanciulla del West
Voir au 1er février.
19h30. Opéra Bastille.
[ Mars ]
1er
samedi
fantasia de disney en concert
Orchestre National de Lyon. Dir. : Frank
Strobel. Louis Schwizgebel, piano. Beethoven,
Tchaïkovski, Debussy, Stravinski, Gershwin,
Dukas, Elgar, Respighi.
14h00. Salle Pleyel.
10-45 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
David Grimal, violon & direction
Les Dissonances. Julia Gallego, flûte ;
Brice Pauset, clavecin. Intégrale des
concertos pour violon de Mozart.
16h30. Cité de la musique.
18 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
bach, tywoniuk, Falla, Golijov, Fauré
Julie Sevilla-Fraysse, violoncelle ;
Vassilena Serafimova, percussions.
18h00. Hôtel de Soubise.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 09 32.
fantasia de disney en concert
Voir même jour à 14h.
18h00. Salle Pleyel.
Puccini, Madama Butterfly
Voir au 14 février.
19h30. Opéra Bastille.
David Grimal, violon & direction
Les Dissonances. Julia Gallego, flûte ;
Brice Pauset, clavecin. Alexandre Gattet,
hautbois. Intégrale des concertos pour
violon de Mozart.
20h00. Cité de la musique.
18 =. Tél.: 01 44 84 44 84.
2
dimanche
fantasia de disney en concert
Voir au 1er mars.
11h00. Salle Pleyel.
Beethoven, Symphonie n° 9
London Philharmonic Orchestra & Choir.
Dir. : Vladimir Jurowski. Emma Bell,
soprano ; Anna Stephany, mezzo ; John
Daszak, ténor ; Gerald Finley, baryton.
17h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-85 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
Offenbach, Ba-ta-clan
Voir au 2 février.
18h00. La Péniche Opéra.
Wolf, Respighi, Puccini
Musiciens de l’Orchestre de l’Opéra.
Hélène Pierrakos, présentation.
20h00. Palais Garnier.
15-25 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
paris
Bizet, Brahms, Mozart
Pascal Devoyon, Rikako Murata, piano ;
Christophe Poiget, Akiko Nanashima,
Dong-Suk Kang, violon ; Françoise Gneri,
Pierre-Henri Xuereb, alto ; Romain Guyot,
clarinette ; Xavier Gagnepain, violoncelle.
20h00. Grand Salon des Invalides.
9-15 =. Tél.: 01 44 42 32 72.
D’Ormesson, L’échange
D’après Claudel. Orchestre de solistes
HI.14. Dir. : Sébastien Billard. Brigitte de
La Chauvinière. Avec Yété Queiroz, Ksenjia
Skacan, Rémy Poulakis, Jean-Louis Serre.
20h30. Salle Gaveau.
20-80 =. Tél.: 01 49 53 05 07.
4 mardi
harumi kinoshita, orgue
Yves Gersant, trompette.
Bach, Handel, Stolzel.
12h30. Eglise Saint-Roch. Entrée libre.
mozart, Mitridate
Voir au 26 février.
19h30. Salle d’art lyrique du Conservatoire.
Puccini, Madama Butterfly
Voir au 14 février.
19h30. Opéra Bastille.
Khatia Buniatishvili, piano
Ravel, Gaspard de la nuit, La Valse ;
Moussorgski, Tableaux d’une exposition.
20h00. Salle Pleyel.
10-30 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
Saison Russe
Orchestre et Chœur de PSL. Dir. : Johan
Farjot. Delphine Haidan, mezzo ; Sanjay
Mody, piano. Moussorgski, Tchaïkovski,
Rachmaninov.
20h00. Amphithéâtre de la Sorbonne.
5-20 =. Tél.: 01 42 62 71 71.
Parra, Te craindre en ton absence
Sur un livret de Marie NDiaye. Ensemble
intercontemporain. Dir. : Julien Leroy. Georges
Lavaudant, mise en scène. Avec Astrid Bas.
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.
18-29 =. Tél.: 01 46 07 34 50.
allegri, Poulenc, Tippett, Britten
Maîtrise Notre-Dame de Paris.
Dir. : Lionel Sow.
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.
12-20 =. Tél.: 01 44 41 49 99.
D’Ormesson, L’échange
Voir au 3 mars.
20h30. Salle Gaveau.
5
Mercredi
mikhail rudy, master-class
Cours d’interprétation public de piano.
19h30. Salle Cortot.
10-20 =. Tél.: 0892 68 36 22.
orchestre phil. de rOtterdam
Dir. : Yannick Nézet-Séguin. Lisa Batiashvili,
violon. Beethoven, Concerto pour violon ;
Strauss, Don Quichotte.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-85 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
Stravinski, L’histoire du soldat
Ensemble intercontemporain. Dir. : Marius
Stieghorst. Jacques Bonnaffé, récitant.
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.
25 =. Tél.: 08 92 89 90 90.
STRAUSS
Parra, Te craindre en ton absence
Voir au 4 mars.
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.
D’Ormesson, L’échange
Voir au 3 mars.
20h30. Salle Gaveau.
6
Jeudi
benjamin beilman, violon
Schubert, Ludwig, Beethoven.
12h30. Auditorium du Louvre.
3-12 =. Tél.: 01 40 20 55 00.
Dutilleux, Saint-Saëns, Chabrier
Orchestre national de France. Dir. : Ludovic
Morlot. Cédric Tiberghien, piano.
20h00. Théâtre des Champs-Elysées.
5-60 =. Tél.: 01 49 52 50 50.
mendelssohn, Mozart, Schubert
Itamar Golan, Natsuko Inoué, piano à
quatre mains.
20h00. Musée d’art et d’histoire du Judaïsme.
15-20 =. Tél.: 01 53 01 86 48.
locatelli, Porpora, vinci, Leo
Ensemble du Département de musique
ancienne du Conservatoire de Paris.
Dir. : Martin Gester.
20h00. Cathédrale St-Louis des Invalides.
9-15 =. Tél.: 01 44 42 32 72.
Ingo Metzmacher, direction
Voir au 5 mars.
20h00. Salle Pleyel.
Stravinski, L’histoire du soldat
Voir au 5 mars.
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.
Emmanuelle Swiercz, piano
Chopin, Ballades, Valses, Mazurkas…
20h30. Salle Gaveau.
22-55 =. Tél.: 01 48 24 16 97.
Orchestre
de la Cité
Direction
Adrian McDonnell
Julien Leroy
internationale
Anton BRUCKNER
Ouverture en Sol mineur
Yves HENRY
Nocturne
Robert SCHUMANN
Symphonie N°2
Samedi 15 Mars 2014 à 20H30
CITÉ INTERNATIONALE UNIVERSITAIRE DE PARIS
LA COUPOLE - MAISON INTERNATIONALE
17, BD JOURDAN - M° Porte D’ORLEANS | T3 - RER CITÉ UNIVERSITAIRE
TARIFS › 21 € | réduit : 14 € | - 30 ans ou chômeur : 10 € | résident de la cité : 8,50 €
RÉSERVATIONS › 01 43 13 50 50
Ingo Metzmacher, direction
Orchestre de Paris. Romain Descharmes,
piano. Gershwin, Antheil, Bernstein & Ives,
Symphonie n° 4.
20h00. Salle Pleyel.
10-60 =. Tél.: 01 42 56 13 13.
cadences février 2014
©photo laure vasconi / Réalistaion : Christine Henry
3 lundi
25
ile-de-france
Meudon
Enghien-les-Bains
Alexander Paley
Gérard Lesne
le 7 février (Centre d’Art et de Culture)
le 7 février (Centre des Arts)
Certes, il est toujours réducteur, voire périlleux, de
vouloir caractériser une école nationale en quelques
qualificatifs choisis à la hâte. Il en va ainsi de la tant
célébrée « école russe de piano », que l’on considère
généralement comme sommet de la virtuosité, avec une
sonorité plantureuse. C’est aller un peu trop vite en
besogne mais il est vrai que l’histoire musicale russe a
été profondément marquée par des pianistes-compositeurs comme les frères Rubinstein
(Anton et Nikolaï) et surtout,
Rachmaninov, Serge Rachmaninov. Ce dernier,
l’archétype du j u s t e m e n t , i n c a r n e e n c o r e
pianiste-com- aujourd’hui l’archétype du piaiste-compositeur dont les
positeur russe nœuvres
sont taillées à la pleine
mesure de ses propres dons, ce
qui rend de ce fait sa musique
d’une difficulté redoutable. Très tôt remarqué pour son
talent, Rachmaninov attira notamment l’attention de
Tchaïkovski (dont on entendra la Grande Sonate au
Centre d’Art et de Culture de Meudon) qui, assez vite, se
montra hostile envers le jeune prodige, jugeant injustement une carrière de pianiste incompatible avec celle
de compositeur. La double et flamboyante carrière de
Rachmaninov se chargea de donner tort au vieux maître
grincheux. C’est ni plus ni moins au souvenir de Chopin
que se confronte Rachmaninov avec ses Préludes op.23
et 32 également donnés à Meudon. Plus vastes, tout
aussi sophistiqués dans leur chant, ces préludes constituent tout autant un état des lieux du piano (ils en
exploitent toutes les possibilités sonores) qu’un manifeste de l’art propre à Rachmaninov en pleine possession
d’une maîtrise digitale absolument incroyable.
On se réjouit de retrouver Alexander Paley dans ce
programme 100% russe. Formé au Conservatoire de
Moscou par la grande pédagogue Bella Davidovitch, le
pianiste moldave se montre incomparable dans ces
pages étincelantes. Avec ce virtuose transcendant, cette
personnalité fulgurante, une soirée qui sera assurément
inoubliable.
26 cadences février 2014
•
Yutha Tep
Compiègne
Sophie Marin-Degor
le 15 février (Théâtre Impérial)
Elle avait ébloui le Théâtre des
Champs-Elysées au printemps
dernier dans le rôle de Donna
Anna de Don Giovanni au sein
d’une distribution internationale. Sans crier gare, la soprano
Sophie Marin-Degor appartient désormais au gratin vocal
européen : ses Blanche de la
For ce, ses Mél i sa nde font
aujourd’hui le tour du monde, grâce à une voix d’une
incontestable autorité. Mais la soprano française n’oublie pas les chemins de traverse du répertoire où elle
excelle. Avec les « Demoiselles de » aux côtés de la mezzo
Claire Brua, elle magnifie les mélodies et les opérettes
de la Belle Epoque. En la personne du pianiste
François-René Duchâble (qui, on le sait, a renoncé
avec fracas à sa carrière de soliste) un autre partenaire
de choix : l’alliance entre les deux musiciens a déjà fait
des merveilles, comme en témoigne l’intégrale des
mélodies de Charles Bordes en disque. Un compositeur
qu’on retrouve pour leur récital en commun à Compiègne,
où s’affirme toute la variété du répertoire (Gounod,
Mozart, Messager mais aussi Michel Legrand) de celle
qui est par ailleurs une championne de claquettes !
© Brice Toul
© Frederic Grimaud
© Jean-François Leclercq
Gérard Lesne et son Seminario
Musicale dans une musique où
ils ont imposé des références
insurpassables ! Il est vrai que
dans l’intense et, s’agissant de
Vivaldi, relativement sobre
déploration qu’est le Stabat
Mater RV 621, les moirures du
timbre, les galbes ineffables de
la ligne vocale et, surtout, la
maîtrise rhétorique d’une intelligence confondante du
grand contre-ténor français ont trouvé peu d’égales à ce
jour. Le Salve Regina de Pergolesi devrait, lui aussi,
trouver un interprète fervent, caressant amoureusement les lignes chromatiques de la partition. Avide
défricheur d’ouvrages rares devant l’Eternel, Gérard
Lesne nous propose aussi de goûter le Confitebor tibi
Domine du Vénitien Baldassare Galuppi, pour soprano,
alto et baryton, dont il a réalisé un enregistrement
superbe pour Virgin Classics (maintenant Erato), il y a
quelques années. À Enghien, il sera entouré de deux
excellents chanteurs : la soprano Eugénie Lefebvre et le
baryton Arnaud Richard. Un concert qui nous rappelle
tout ce que l’on doit à Gérard Lesne dans notre connaissance de la musique italienne du Settecento.
ile-de-france
[ février ]
1er samedi
Mozart, Cosi fan Tutte (version française)
Opera Lafayette, Washington DC. Dir. : Ryan
Brown. Nick Olcott, mise en scène. Avec
Pascale Beaudin, Blandine Staskiewicz,
Alex Dobson, Antonio Figueroa…
16h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
55-130 =. Tél.: 01 30 83 78 89.
Beethoven, Intégrale des trios à cordes
Saskia Lethiec, violon ; Frédéric Laisné,
alto ; Valérie Aimard, violoncelle.
20h00. Eglise Réformée, Bourg-la-Reine • 92.
Libre participation.
Complètement toqué
Fuoco e cenere. Dir. : Jay Bernfeld.
Concert-spectacle suivi d’une dégustation
avec les artistes. Charpentier, Marais,
Rameau, Lully, Clérambault.
20h45. Atrium, Chaville • 92.
18-25 =. Tél.: 01 47 09 70 75.
Philidor, Les femmes vengées
Opera Lafayette, Washington DC.
Dir. : Ryan Brown. Nick Olcott, mise en
scène. Avec Pascale Beaudin, Blandine
Staskiewicz, Alex Dobson…
21h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
30-130 =. Tél.: 01 30 83 78 89.
A la criée baroque
Orchestre de chambre de Toulouse. Violon
et dir. : Gilles Colliard. Bach, Purcell, Lully,
Vivaldi, Haydn, Mozart…
21h00. La Caravelle, Meaux • 77.
16,7 =. Tél.: 01 64 36 40 00.
Markus Werba, baryton
Orchestre National d’Ile-de-France.
Dir. : Enrique Mazzola. Rossini, Mozart,
Mahler, Saariaho, Stravinski.
21h00. Théâtre Jean Vilar, Vitry/Seine • 94.
15-23,5 =. Tél.: 01 55 53 10 60.
2
dimanche
vivaldi, Gloria
Maîtrise des Hauts de Seine.
Dir. : Bernard Soustrot.
14h30. Espace Carpeaux, Courbevoie • 92.
16-21 =. Tél.: 01 47 68 51 50.
Mozart, Cosi fan Tutte (version française)
Voir au 1er février.
15h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
Markus Werba, baryton
Voir au 1er février.
16h00. Opéra, Massy • 91.
15-25 =. Tél.: 01 60 13 13 13.
diana axentii, mezzo
Alissa Zoubritski, piano.
16h00. Théâtre Roger Barat, Herblay • 95.
7-19 =. Tél.: 01 39 97 79 73.
Beethoven, Intégrale des trios à cordes
Voir au 1er février.
17h00. Eglise Réformée,
Bourg-la-Reine • 92.
Philidor, Les femmes vengées
Voir au 1er février.
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
4 mardi
Musiques à Versailles
Trio Hoboken. Turina, Ravel, Kaspar.
20h30. Royal Factory, Versailles • 78.
10-15 =. Tél.: 01 30 21 20 27.
La musique pour tous
Les grands airs et les grands duos d’amour
de l’opéra. Serge Kaufmann, présentation.
Armelle Debos-Cabral, soprano ; Paul Gaugler,
ténor.
20h30. La Grande Scène du Chesnay • 78.
5 =. Tél.: 01 39 23 23 39.
5 mercredi
Le fabuleux voyage de la fée mélodie
Stéphanie Marino, textes, musique et
interpétation. Nicolas Devort, mise en scène.
15h00. La Grande Scène du Chesnay • 78.
6 =. Tél.: 01 39 23 23 39.
tout offenbach ou presque !
Alain Sachs, mise en scène. Dir. : Patrice
Peyriéras. Avec David Alexis, Adrien Biry…
20h00. Opéra, Massy • 91.
30,5-47 =. Tél.: 01 60 13 13 13.
6
Jeudi
Les Pages et chantres du CMBV
Dir. : Olivier Schneebeli. La gloire posthume
de Rameau. Messe des morts sur les
thèmes de Castor et Pollux.
17h30. Chapelle Royale, Versailles • 78.
Entrée libre. Tél. : 01 39 20 78 10.
soirée steve reich
Shani Diluka, piano ; Quatuor Europa.
19h30. Maison de la musique, Nanterre • 92.
5-23,5 =. Tél.: 39 92.
Lully/Molière, Le Bourgeois gentilhomme
Ensemble Baroque de Limoges.
Dir. : Christophe Coin. Denis Posalydès, mise
en scène. Avec Marc Labonnette, Pascal
Renéric, Jean-Noel Brouté, Emeline Bayart…
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
25-70 =. Tél.: 01 30 83 78 89.
7
vendredi
UN TRAIN POUR JOHANNESBURG
D’après Kurt Weill. Ensemble Opéra Eclaté.
Dir. : Dominique Trottein. Olivier Desbordes,
mise en scène. Avec Jean Loup Pagésy,
Eric Vignau, Anandha Seethanen…
20h00. Opéra, Massy • 91.
15-25 =. Tél.: 01 60 13 13 13.
Lully/Molière, Le Bourgeois gentilhomme
Voir au 6 février.
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
Pergolèse, Vivaldi, Galuppi
Il Seminario Musicale. Dir. : Gérard Lesne.
20h30. Centre des Arts, Enghien-les-Bains • 95.
16-22 =. Tél.: 01 30 10 85 59.
felicity lott, soprano
Maciej Pikulski, piano. Quilter, Bridge,
Elgar, Britten, Poulenc, Offenbach.
20h30. Salle Ravel, Levallois • 92.
15-20 =. Tél.: 01 47 15 76 76.
bizet, Carmen
L’Opéra Coté Chœur, Ensemble Bonzaï.
Dir. : Sylvain Audinovski. Bernard Jourdain,
mise en scène.
20h30. Théâtre de Poissy • 78.
10-35 =. Tél.: 01 39 22 55 92.
Odisea Negra
Ensemble La Chimera. Dir. : Eduardo Eguez.
Ivan Garcia, Ablaye Cissoko, Tereza Paz… chant.
20h45. Théâtre du Garde-Chasse, Les Lilas • 93.
9-20,5 =. Tél.: 01 43 60 41 89.
Bach, Messe en si mineur
La Chapelle Rhénane. Dir. : Benoît Haller.
20h45. Les Gémeaux, Sceaux • 92.
30-34 =. Tél.: 01 46 61 36 67.
alexander Paley, piano
Tchaïkovski, Rachmaninov.
20h45. Centre d’Art et de culture, Meudon • 92.
10-25 =. Tél.: 01 49 66 68 90.
Händel, Terpischore
Compagnie Fêtes galantes. Béatrice
Massin, conception et chorégraphie.
21h00. Théâtre Luxembourg, Meaux • 77.
13,4-16,7 =. Tél.: 01 64 36 00 00.
8
samedi
Hummel, Beethoven
Philippe Berrod, clarinette ; Lola Descours,
basson ; Anne-Sophie Courion, cor ;
Marianne Piketty, violon ; Flore-Anne
Brosseau, atlo ; Louis Rodde, violoncelle ;
Laurène Durantel, contrebasse.
18h00. Auditorium, Trappes • 78.
8-30 =. Tél.: 01 30 66 33 59.
Lully/Molière, Le Bourgeois gentilhomme
Voir au 6 février.
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
edgar moreau, violoncelle
Orchestre de l’Opéra de Massy.
Dir. : Constantin Rouits. Dvorák.
20h30. Théâtre du Val d’Yerres, Brunoy • 91.
10-30 =. Tél.: 01 69 02 34 35.
jeunes talents + mozart
Collectif HB Mozart. Hugues Borsarello,
violon ; Virginie Constant, violoncelle ;
Laurine Phélut, guitare… Le meilleur de
la musique de chambre de Mozart.
20h30. Auditorium, Vincennes • 94.
14-36 =. Tél.: 01 43 98 68 33.
Fauré, Schumann, Ravel Barber,
Britten
Damien Pass, baryton-basse ;
Chloé Ghisalberti, piano.
20h30. Conservatoire Gabriel Fauré,
Savigny-le-Temple • 77.
18-25 =. Tél.: 01 60 34 53 60.
Rameau, Saint-Saëns, Bizet
Orchestre Les Siècles. Dir. : François-Xavier
Roth. Jean-Guilhen Queyras.
20h30. Auditorium Sainte-Marie, Antony • 92.
Tél. : 01 41 87 20 84.
Les Pages et chantres du CMBV
Voir au 6 février.
20h30. Ferme de la Commanderie,
St-Aubin • 91.
Rossini, Petite messe solennelle
Ensemble vocal Aedes. Dir. : Mathieu
Romano. Jean-Claude Pennetier, piano ;
Isabelle Druet, mezzo ; Elodie Fonnard,
soprano ; Alain Buet, baryton.
20h45. Théâtre Impérial de Compiègne • 60.
8-30 =. Tél.: 03 44 40 17 10.
katia & Marielle labèque, pianos
Raphaël Séguinier, percussions. Gershwin,
Glass, Bernstein.
20h45. Atrium, Chaville • 92.
18-36 =. Tél.: 01 47 09 70 75.
Bach, Messe en si mineur
Voir au 7 février.
20h45. Les Gémeaux, Sceaux • 92.
9
dimanche
piano campus : la finale
Orchestre Symphonique Universitaire.
Arie Vardi, président du jury. Jean-Frédéric
Neuburger, compositeur invité.
16h00. Théâtre des Louvrais, Pontoise • 95.
6,5-13 =. Tél.: 01 34 20 14 14.
gaxie, Céleste, ma planète
Orchestre National d’Ile-de-France.
Dir. : Jean Deroyer. Stéphanie Tesson,
mise en espace. Mélanie Boisvert,
soprano ; Lionel Peintre, baryton.
16h00. Salle Malesherbes, Maisons-Laffitte • 92.
7-18,5 =. Tél.: 01 41 79 03 50.
edgar moreau, violoncelle
Voir au 8 février.
16h00. Opéra, Massy • 91.
15-25 =. Tél.: 01 60 13 13 13.
Lully/Molière, Le Bourgeois gentilhomme
Voir au 6 février.
16h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
La Bande des hautbois
Pour ses vingt ans en concert : mix baroque
et contemporain.
16h30. Maison de la musique, Nanterre • 92.
5-23,5 =. Tél.: 39 92.
Bach, Messe en si mineur
Voir au 7 février.
17h00. Les Gémeaux, Sceaux • 92.
cadences février 2014
27
ile-de-france
Schmitt, Debussy, Emmanuel
Claudio Chaiquin, piano ; Beata Le Monnier,
violon ; Marie-Pierre Cochereau, harpe…
18h00. Salle Ravel, Levallois • 92.
8-12 =. Tél.: 01 47 15 76 76.
edgar moreau, violoncelle
Voir au 8 février.
19h00. Opéra, Massy • 91.
15-25 =. Tél.: 01 60 13 13 13.
11 mardi
Mozart, Les noces de Figaro
Solistes, chœurs & orchestre Opéra 2001.
Dir. : Martin Mazik. Alexander Herold, mise
en scène.
20h00. Théâtre Dumas,
St-Germain-en-Laye • 78.
24-42 =. Tél.: 01 30 87 07 07.
autour du violoncelle
Orchestre de chambre Nouvelle Europe.
Dir. : Nicolas Krauze. Haydn, Bacri, Dvorák.
20h30. Théâtre des Sablons, Neuilly • 92.
7-15 =. Tél.: 01 55 62 60 35.
12 Mercredi
ensemble baroque l’amoroso
Marcello, Corelli, Antoniotti, Bononcini, Vivaldi.
20h30. Salle des Mariages, Courbevoie • 92.
Tél. : 01 47 68 51 50.
13 Jeudi
Les Midis de la musique
Dutilleux, Kraft, Bach.
12h30. Théâtre La Piscine, Antony • 92.
Tél. : 01 41 87 20 84.
Orpheus Britannicus
Conservatoire de Versailles. Œuvres
instrumentales de Purcell.
17h30. Chapelle Royale, Versailles • 78.
Entrée libre. Tél. : 01 39 20 78 10.
Rameau, Les fêtes de l’hymen et de l’amour
Chœur & Orchestre du Concert Spirituel.
Dir. : Hervé Niquet. Avec Rosemary Joshua,
Caroline Sampson, Chantal Santon, Tassis
Christoyannis, Alain Buet…
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
35-85 =. Tél.: 01 30 83 78 89.
Spagnolo, La Fée
Orchestres et classes de chant du
Conservatoire de Levallois. Dir. : Constantin
Rouits. Sophie Fontaine mise en scène.
20h30. Salle Ravel, Levallois • 92.
Rens. au 01 47 15 76 76.
Schumann, Chopin, Brahmsorchestr
Gary Hoffmann, violoncelle ;
Claire Désert, piano.
20h45. Théâtre du Vésinet • 78.
13-31 =. Tél.: 01 30 15 66 00.
Le verfügbar aux enfers
Musiques de Christiné, Duparc, Gluck,
Hahn, Lalo… Dir. : Frédéric Rubay. Frédéric
Fachena, Laurent Vergnaud, mise en scène.
Avec Margot Dutilleul, Patricia Gonzales…
20h45. Théâtre Roger Barat, Herblay • 95.
7-12 =. Tél.: 01 39 97 79 73.
14 vendredi
Un bal rétro
Ensemble Erik Satie. Dir. : Jean-Yves Aizic.
Chansons des années folles.
20h30. Le Forum, Blanc-Mesnil • 93.
5-16 =. Tél.: 01 48 14 22 00.
Spagnolo, La Fée
Voir au 13 février.
20h30. Salle Ravel, Levallois • 92.
Rens. au 01 47 15 76 76.
15 samedi
Sophie Marin-Degor, soprano
François-René Duchable, piano. Gounod,
Massenet, Bordes, Poulenc, Messager,
Legrand, Debussy, Liszt.
20h45. Théâtre Impérial de Compiègne • 60.
8-35 =. Tél.: 03 44 40 17 10.
18 mardi
Sandrine Piau, soprano
Les Paladins. Dir. : Jérôme Correas.
20h00. Théâtre du Beauvaisis, Beauvais • 60.
Tél. : 03 44 06 08 20.
23 dimanche
beethoven/Jadin : 1 partout
Trio à cordes Famille Arties.
17h00. La Ferme du Buisson,
Marne-la-Vallée • 77.
9 =. Tél.: 01 64 62 77 00.
[ Mars ]
4 mardi
8
samedi
mozart, Cosi fan tutte
Chœur & Orchestre Opéra Nomade.
Dir. : Amaury du Closel. Pierre ThirionVallet, mise en scène.
20h00. Théâtre des Sablons, Neuilly • 92.
21-45 =. Tél.: 01 55 62 60 35.
Kenneth Weiss, clavecin
Rameau, Suites d’opéras transcrites pour
clavecin.
18h00. Salle des Gardes du Dauphin,
Versailles • 78.
30-40 =. Tél.: 01 30 83 78 89.
Vivaldi, Piazzola
Orchestre National d’Ile-de-France.
Dir. : Ann-Estelle Médouze.
20h30. La Grande Scène, Le Chesnay • 78.
23-26 =. Tél.: 01 39 23 23 39.
David, Herculanum
Brussels Philharmonic. Chœur de la Radio
Flamande. Dir. : Hervé Niquet. Avec Véronique
Gens, Karine Deshayes, Nicolas Courjal,
Julien Véronèse.
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
25-70 =. Tél.: 01 30 83 78 89.
offenbach, Les contes d’Hoffmann
L’Envolée lyrique. Henri de Vasselot, mise
en scène. Avec Clémence Olivier,
Jean-Marc Savigny, Isabelle Debauve…
20h45. Espace Carpeaux, Courbevoie • 92.
19 =. Tél.: 01 47 68 51 50.
Schubert, Ravel
Quatuor Zaide ; Maja Bogdanovic, violoncelle.
20h45. Théâtre du Vésinet • 78.
13-31 =. Tél.: 01 30 15 66 00.
5
Mercredi
Mozart, Don Giovanni
Orchestre de l’Opéra de Massy, Chœurs
Opéra Eclaté. Dir. : Dominique Rouits. Eric
Perez, mise en scène. Avec Christophe Gay,
Carole Garcia, Xiaohan Zhai…
20h00. Opéra, Massy, 91.
34,5-50,5 =. Tél.: 01 60 13 13 13
6jeudi
Grénon, Motets, Rameau, Laboravi clamans
Les Pages et les Chantres. Conservatoire
de Versailles. Dir. : Olivier Schneebeli.
Etudiant du CNSM au grand-orgue.
17h30. Chapelle royale, Versailles • 78.
Entrée libre.
Charpentier
Les Paladins. Dir. : Jérôme Correas.
Jean-François Lombard, ténor ;
Emmanuelle Guigues, viole.
20h30. Église St-Saturnin, Antony • 92.
16-22 =. Tél.: 01 41 87 20 84.
Vivaldi, Les Quatre Saisons, Piazzolla
Voir au 4 mars.
20h30. Carré Belle-Feuille, BoulogneBillancourt • 92.
7
vendredi
Mozart, Don Giovanni
Voir au 5 mars.
20h00. Opéra de Massy • 91.
Charpentier
Voir au 6 mars.
20h00. Château de Sceaux • 92.
Tél. : 01 41 87 29 71.
28 cadences février 2014
Vivaldi, Les Quatre Saisons, Piazzolla
Voir au 4 mars.
20h30. Théâtre Prévert, Aulnay/Bois • 93.
Vivaldi, Les Quatre Saisons, Piazzolla
Voir au 4 mars.
20h00. Théâtre de Longjumeau • 91.
Mozart, J-C Bach, Haydn
Orchestre Idomeneo. Dir. : Debora
Waldman. Hugues Borsarello, violon.
20h30. Auditorium cœur de ville,
Vincennes • 94.
14-39 =. Tél.: 01 43 98 68 33.
9
dimanche
Blandine Rannou, clavecin
Rameau, Suites d’opéras transcrites pour
clavecin.
15h00. Galerie des Cotelle du Grand Trianon,
Versailles • 78.
30-40 =. Tél.: 01 30 83 78 89.
Orchestre Pasdeloup
Dir. : Jean-Christophe Keck. Isabelle
Philippe, soprano ; Florian Laconi, ténor.
16h00. Théâtre Roger Barat, Herblay • 95.
18-21 =. Tél.: 01 39 97 79 73.
Mozart, Don Giovanni
Voir au 5 mars.
16h00. Opéra de Massy • 91.
Vivaldi, Les Quatre Saisons, Piazzolla
Voir au 4 mars.
16h00. Théâtre Claude Debussy,
Maisons-Alfort • 94.
Ensemble Amarillis.
Dir. : Héloïse Gaillard, Violaine Cochard.
Avec Mathias Vidal, Alice Piérot, Isabelle
Saint-Yves.
17h00. Galerie des Cotelle du Grand
Trianon, Versailles •78.
40-50 =. Tél.: 01 30 83 78 89.
Monteverdi, Vêpres solennelles de la Vierge
Monteverdi Choir. English Baroque Soloists.
Chœur d’enfants de la Maîtrise du CMBV.
Dir. : Sir John Eliot Gardiner. Avec Silvia
Frigato, Emanuela Galli, Nicholas Mulroy,
Krystian Adam.
18h00. Chapelle Royale, Versailles • 78.
40-100 =. Tél.: 01 30 83 78 89
disques
pratique
Charles Bordes (1863-1909)
Mélodies Volume 2
Sophie Marin-Degor (soprano),
Géraldine Chauvet (mezzosoprano), Eric Huchet (ténor),
Nicolas Cavallier (basse),
François-René Duchâble (piano)
1 CD Timpani
Fondateur de la Schola Cantorum,
disciple de César Franck, le compositeur Charles Bordes
doit sa résurrection au travail passionné de la Fondation
basée à Tours qui porte son nom. Ce second volume
achève l’intégrale de ses mélodies, bouquet de 21 chefsd’œuvre où la qualité d’écriture et d’inspiration, le
lyrisme et la tendresse de cette musique sont servis par
des interprètes investis, comme le pianiste FrançoisRené Duchâble. Une belle découverte.
MLN
Hans Pfitzner (1869-1949)
Concerto pour piano
(+ œuvres de Busoni et Reger)
Staatskapelle Dresden,
Christian Thielemann (direction),
Tzimon Barto (piano)
2 CD Hänssler
Après une sublime Tétralogie et de larges et profondes
symphonies de Beethoven, Thielemann confirme sa
qualité de grand chef romantique. Avec le concours du
pianiste Tzimon Barto il ressuscite, outre Reger et
l‘énigmatique Nocturne de Busoni, le concerto de
Pfitzner, page d’un romantisme flamboyant, tour à tour
pompeuse, martiale, militaire ou parcourue de sombres
ruminations, à laquelle leur approche généreuse et
méditée restitue son rang de chef-d’œuvre. Incontournable
pour les fans de l’éternel romantique.
MF
petites annonces
25e CONCOURS INTERNATIONAL « FLAME »
20 000 € de prix et concerts
Piano, violon, violoncelle, chant
14 au 20 avril 2014
Catégorie A : 6 à 16 ans (piano, violon, violoncelle)
Catégorie B : 17 à 27 ans (piano, violon, violoncelle)
Jusqu’à 32 ans (chant)
Renseignements : [email protected]
Site : www.concours-flame.com
Lignages TTC :
3 lignes 50 E • 6 lignes 80 E • 9 lignes 110 E • 12 lignes 140 E.
Envoyez votre petite annonce avec votre règlement libellé à l’ordre de
« Concerts Parisiens »
avant le 15 du mois précédant la parution à :
Cadences, 21, rue Bergère, 75009 Paris
Renseignements : 01 48 24 40 63
Cadences
ISSN 1760 - 9364 - édité par les Concerts Parisiens SARL
au capital de 10 000 euros
21, rue Bergère
75009 Paris
Tél. 01 48 24 40 63 - Fax 01 48 24 16 29
Siret 44156960500013
Directeur de la publication : Philippe Maillard - Publicité : Claire Vachon
01 48 24 40 63 [email protected] - Rédacteur en chef : Yutha Tep
[email protected] - Chef de rubrique : Laurent Vilarem - Ont participé à ce
numéro : Michel Fleury, Michel Le Naour, Mehdi Mahdavi - Conception graphique : Safari - Tél. 01 40 39 14 44 - Diffusion : Sophie Borgès sborges@
cadences.fr - Impression : RPN. Livry-Gargan - Tirage : 50 000 exemplaires Abonnement : 10 nos 40 e
Mélomanes, passionnés de musique classique,
baroque et lyrique. Pour tout connaître de
l’actualité des concerts à Paris et en Ile-de-France
Abonnez-vous à
Pascal Dusapin (1955)
Reverso, Uncut,
Morning in Long Island
Philharmonique de Radio
France, Myung-Whun Chung
(direction)
1 CD Deutsche Grammophon
D’éruptive, la musique orchestrale de Dusapin est devenue
méditative. Mais gare au feu qui dort : l’interprétation
enflammée du Philharmonique de Radio France dirigée
par Myung-Whun Chung nous le rappelle tant le chef
coréen traque la lancinante mélancolie de ces longues
plages presque immobiles, vertigineuses à force de
lenteur. Plus extraverti, Uncut éblouit par la densité de
son tissu orchestral et s’affirme comme la pièce la plus
accessible de son auteur.
LV
Bon d’abonnement
Je m’abonne à Cadences (1 an-10 numéros) au prix de 40 €
Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Prénom : .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Adresse : .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ....................................................................................
....................................................................................
Tél. : .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Courriel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Ci-joint mon chèque de 40 € libellé à l’ordre de
Concerts Parisiens - 21, rue Bergère - 75009 Paris
cadences février 2014
29
memo
preparez vos concerts
Disques, livres, sites internet, émissions de radio, retransmissions visuelles… les pistes qui vous permettent
de mieux comprendre les artistes et compositeurs que vous allez écouter au cours du mois de février.
La voix émouvante de Puccini enregistrée lors d’un
discours en 1907.
> Sur Youtube, taper dans le moteur de
recherche Puccini + Voce.
Écouter
Écouter
Voir
ou revoir
GIACCOMO PUCCINI Opéra Bastille du 1er février au 12 mars, Théâtre des Champs-Elysées le 20 février
La mise en scène de Nikolaus
Lehnhoff de La Fanciulla del West
captée en 2009 à Amsterdam.
> 1 DVD Opus Arte, à partir de
13,90 = chez Amazon.
Le premier opéra de Puccini, Le Villi,
avec José Cura dans le rôle-titre.
> 1 CD Membran, 11,74 = à la Fnac.
Le disque qui propose le programme
du récital de la Salle Pleyel avec le
pianiste Frank Braley.
> 1 CD Erato, 15,99 = à la Fnac.
La page Facebook pour suivre l’incroyable (et
hyperactive !) carrière internationale de l’artiste.
> www.facebook.com/GautierCapucon.OfficialPage
VISIONNER
Consulter
Écouter
Gautier Capuçon Salle Pleyel le 11 février
Les interviews et de nombreux extraits de concert
sur le site du violoncelliste.
> www.gautiercapucon.com
Le Concerto de Bartók que Tabea
Zimmermann a enregistré avec
le chef David Shallon en 1992.
> EMI Classics - 1 CD 15,09 =
à télécharger sur Qobuz.
30 cadences février 2014
L’excellent dossier consacré à l’alto dans le n° 428
du magazine La Lettre du musicien.
> 12 =, à commander sur
www.boutique.lalettredumusicien.fr
Consulter
LIRE
Écouter
Tabea Zimmermann Salle Pleyel les 12 et 13 février
Une grande anthologie des blagues sur l’alto
(et les altistes !), instrument bouc émissaire par
excellence.
> www.amisdelalto.over-blog.fr
à la rubrique « Articles ».
kiosques
Chaque mois, retrouvez Cadences près de chez vous
D’autres lieux à Paris diffusent le journal. Rens. 01 48 24 40 63.
[ Ile-de-France ]
THEATRE DE POISSY
Hôtel de Ville
92 - Meudon
92 - Rueil-Malmaison
94 - Nogent
CONSERVATOIRE
182 av P. Doumer
CONSERVATOIRE
150 grande rue de Gaulle
94 - Saint-Mandé
77 - Meaux
78 - Sartrouville
CONSERVATOIRE
7 bd des Nations Unies
THEATRE DU LUXEMBOURG
4, rue cornillon
EMA
2 rue Jules Verne
MEDIATHEQUE
2 rue de l’Eglise
RUEIL MUSIQUE
2 rue Jean Edeline
77 - Moret-sur-Loing
78 - Maisons-Laffitte
MAIRIE SERVICE CULTURE
18 allée Gustav Prugnat
CONSERVATOIRE
38 av de Saint-Germain
MEDIATHEQUE
Place Centrale
THEATRE ANDRE MALRAUX
9, place des Arts
92 - Neuilly
77 - Combs-La-Ville
SALLE MALESHERBES
1 place du Château
MEDIATHEQUE BAGATELLE
68 rue de Longchamp
MEDIATHEQUE
15 bd du Maréchal Foch
78 - Vélizy
MEDIATHEQUE SABLONS
5 villa Emile Bergerat
MEDIATHEQUE
6 passage Jacques Prévert
THEATRE LE VILLAGE
4 rue de Chézy
92 - Puteaux
LA COUPOLE
Rue Jean-François Millet
77 - Moissy-Cramayel
LA ROTONDE
Place du 14 juillet
78 - Versailles
CONSERVATOIRE
24 rue de la Chancellerie
LA BOUTIQUE DU VIEUX
CONSERVATOIRE
38 rue du vieux Versailles
LA GAITE MUSICALE
34 av de Saint Cloud
GIBERT JOSEPH
69 av de Saint Cloud
MEDIATHEQUE
5 rue de l’Indépendance
Américaine
L’ONDE/CONSERVATOIRE
8 bis av Louis Breguet
91 - Palaiseau
CONSERVATOIRE
69 rue Victor Hugo
91 - Longjumeau
ECOLE DE MUSIQUE MOZART
2 rue de la peupleraie
ARP
CCial Les Arcades
91 - Massy
CONSERVATOIRE
8 rue des Etats-Unis
MEDIATHEQUE
Place de France
CMBV
22 av de Paris
OPERA DE MASSY
1 place de France
Studio Hi-Fi
8 rue du Pain
91 - Antony
78 - Saint-Germain
CONSERVATOIRE
3 rue du Mal Joffre
UNIVERS DU LIVRE
1 rue de Pologne
Conservatoire
140 av de la Division Leclerc
92 - Nanterre
MAISON DE LA MUSIQUE
8 rue des Anciennes Mairies
92 - Boulogne
THEATRE ALEXANDRE DUMAS
Place André Malraux
CONSERVATOIRE
22 rue de la Belle Feuille
MEDIATHEQUE
9 rue Henri IV
BOULOGNE MUSIQUE
103 bd Jean Jaurès
78 - Le Vésinet
CENTRE CHOPIN
6/10 rue des 4 Cheminées
CONSERVATOIRE
51 bd d’Angleterre
BIBLIOTHEQUE
59 bd Carnot
THEATRE DU VESINET
59 bd Carnot
78 - Marly-Le-Roi
BIBLIOTHEQUE
37 av de Saint Germain
78 - Saint-Quentin
MEDIATHEQUE
Quai François Truffaut
THEATRE
Place Georges Pompidou
78 - Poissy
CONSERVATOIRE
21 bis rue du 8 mai 1945
MEDIATHEQUE
31 av Maurice Berteaux
MEDIATHEQUE
28 av André Morizet
MEDIATHEQUE
128 rue les Enfants du Paradis
92 - Issy-Les-Moulineaux
CONSERVATOIRE
11-13 rue Danton
SACEM
225 avenue Charles de Gaulle
92 - Saint-Cloud
CONSERVATOIRE
30 ter bd de la République
MEDIATHEQUE
60 rue Gounod
LES 3 PIERROTS
6 rue du Mont Valérien
92 - La Garenne-Colombes
PIANO CENTER
71 rue Aigle
92 - Levallois-Perret
CONSERVATOIRE
33 rue Gabriel Péri
MEDIATHEQUE
57 rue Gabriel Péri
92 - Sèvres
CONSERVATOIRE
8 av de la Cristallerie
MEDIATHEQUE
8 rue de Ville d’Avray
92 - Sceaux
BIBLIOTHEQUE
7 rue Honoré de Balzac
CONSERVATOIRE
2 place de la Libération
92 - Courbevoie
ESPACE CARPEAUX
15 bd Aristide Briand
CENTRE CULTUREL
14 bis sq de l’Hôtel de Ville
92 - Ville-d’Avray
CONSERVATOIRE
10 rue de Marnes
AUDITORIUM CŒUR DE VILLE
98 rue de Fontenay
CONSERVATOIRE
98 rue de Fontenay
94 - Le Plessis-Trévise
MEDIATHEQUE
Esplanade du 7 juillet 1899
94 - Champigny
CONSERVATOIRE
85 rue Victor Hugo
93 - Montreuil
MUSIC CITY
42 bis av du Général Leclerc
CONSERVATOIRE
13 av de la Résistance
MEDIATHEQUE
4 rue Albert Camus
MEDIATHEQUE
14 bd Rouget de Lisle
95 - Cergy
93 - La Courneuve
CONSERVATOIRE
Parvis de la Prefecture
CONSERVATOIRE
41 av Gabriel Péri
L’APOSTROPHE
Place des Arts
MEDIATHEQUE
4 rue Jules Ferry
95 - Asnières
FONDATION ROYAUMONT
Abbaye de Royaumont
MEDIATHEQUE
9 av du Gal Leclerc
CENTRE CULTUREL
11 av du Gal Leclerc
93 - Le Blanc-Mesnil
93 - Saint Denis
CONSERVATOIRE ATRIUM
3 parvis Robert Schuman
MEDIATHEQUE
98 rue de Fontenay
94 - Maisons-Alfort
93 - Bobigny
MEDIATHEQUE
7 rue Le Bouvier
92 - Chaville
94 - Vincennes
MEDIATHEQUE
6 place Lénine
Théâtre
12 rue Sadi Carnot
LE FORUM
1/5 place de la Libération
MEDIATHEQUE
41 rue de Colombes
CONSERVATOIRE
1 place du Puits d’Amour
92 - Vanves
CONSERVATOIRE
11-13 bd Carnot
92 - Clamart
MAITRISE HAUTS DE SEINE
9 bd Aristide Briand
MEDIATHEQUE
122 rue de la République
92 - Bourg-La-Reine
CONSERVATOIRE
13 bis bd Aristide Briand
92 - Suresnes
CONSERVATOIRE
157 rue de la République
CONSERVATOIRE
71 av Charles Floquet
MEDIATHEQUE
33 rue du Gal Eboué
CONSERVATOIRE
1 place Jules Hunebelle
92 - Colombes
CONSERVATOIRE
11 rue Bérulle
CONSERVATOIRE
15 rue Catulienne
95 - Pontoise
ECOLE DE MUSIQUE
6 bd des Cordeliers
THEATRE DES LOUVRAIS
Place de la Paix
[ 1h de Paris ]
60 - Beauvais
THEATRE DU BEAUVAISIS
Place Georges Brassens
93 - Aubervilliers
CONSERVATOIRE
13 rue Léopold Réchaussière
93 - Noisy-le-Sec
60 - Compiègne
THEATRE IMPERIAL
3 rue Othenin
THEATRE DES BERGERIES
5, rue Jean-Jaurès
94 - Saint Maur
CONSERVATOIRE
25 rue Kruger
Theatre
20 rue de la Liberté
94 - Fontenay-sous-Bois
CONSERVATOIRE
27 clos d’Orléans
cadences février 2014
31
CLUB LA MUSICALE
LA MUSICALE / WILLIENCOURT
CROISIRAMA
Avec
G. Pludermacher, R. Leleu, A.R. El Bacha, P. Fontanarosa,
A. Favier, P. Reach, J-J. Rampal et de nombreux grands artistes...
Les plus beaux horizons magnifiés par le génie musical.
CONCERTS
À BORD
ET AU CŒUR
L’
DE SITES GRANDIOSES
Odyssée
CONFÉRENCES
Photos Satoru Mitsuta, Hadrien Daudet, Atelier Vatelot-Rampal, Caroline Doutre
INTERVIEWS
RÉPÉTITIONS
Hommage à Étienne Vatelot
La Musicale
PUBLIQUES
au Fil du
Musicale
CROISIÈRE
Danube
DE MARSEILLE À LA MER EGÉE
05 au 16 Octobre 2014
Mozart, Brahms en rhapsodie
CROISIÈRE
DU DELTA DU DANUBE À VIENNE
04 au 14 Avril 2014
RÉDUCTION
D. de WILLIENCOURT
violoncelle et
direction artistique
✃
150 €
Renseignements et réservations chez CROISIRAMA
au 01 44 50 58 58, dans votre agence de voyages
ou en renvoyant le coupon réponse ci-dessous.
par personne et par croisière
pour toute inscription
avant le 31 janvier 2014
www.croisirama.fr
Je désire recevoir gratuitement et sans engagement le programme détaillé des croisières 2014
LA MUSICALE / WILLIENCOURT - CROISIRAMA :
Prénom
Ville
E-mail
Coupon à retourner à CROISIRAMA - 4 rue de Ventadour - 75001 Paris / Fax 01 44 50 58 50 / [email protected]
Ces informations sont indispensables à la prise en compte de votre demande et ne seront utilisées que par Croisirama. Elles pourront donner lieu à l’exercice du droit d’accès et de rectification
dans les conditions prévues par la loi du 06/01/78 dite «Loi informatique et Libertés» en vous adressant par courrier à Croisirama, 4 rue de Ventadour, 75001 Paris - Croisirama IM : IM075100002
CADENCE11/13
CLUB LA MUSICALE
Nom
Adresse
CP
Tél.