N. 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. - Wallonie
Transcription
N. 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. - Wallonie
10:44 Page 1 Délégation Wallonie-Bruxelles 10, rue François-Bonivard 1201 Genève Téléphone : 00 41 22 715 39 70 Télécopie : 00 41 22 715 39 75 Courriel : [email protected] Site : www.wbri.be/geneve Représentation économique et commerciale pour la Région wallonne 10, rue François-Bonivard 1201 Genève Téléphone : 00 41 22 788 48 60 Télécopie : 00 41 22 788 87 37 Courriel : [email protected] Site : www.awex.ch Photo de couverture : La Tour et le bâtiment RTBF de la Cité Reyers © André Geirnaert Représentation permanente de la Belgique auprès de l’Organisation des Nations Unies et auprès des Organisations spécialisées à Genève 58, rue de Moillebeau 1209 Genève Téléphone : 00 41 22 730 40 00 Télécopie : 00 41 22 734 50 79 Courriel : [email protected] Consulat général de Belgique 58, rue de Moillebeau 1209 Genève Téléphone : 00 41 22 730 40 00 Télécopie : 00 41 22 730 40 17 Courriel : [email protected] Éditeur responsable : Philippe Nayer Graphisme : Piste Noire Lettre éditée à 2000 exemplaires. Publication de la Communauté française de Belgique et de la Région wallonne en Suisse 22/10/03 Lettre Wallonie-Bruxelles à Genève N° 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. N°4 - Novembre 2003 N° 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. 22/10/03 La RTBF fête ses 50 ans Entrée principale de la Cité Reyers © André Geirnaert RTBF plateau de télévision RTBF Régie 10:44 Page 3 au Festival Cinéma Tout Écran, le rendez-vous du cinéma et de la télévision Genève, du 3 au 9 novembre 2003 Cinéma Tout Écran a lieu chaque année à Genève et présente sur grand écran ce qui se produit pour le petit. Outre la compétition internationale de films venus du monde entier, une sélection internationale de séries télévisées et de courts métrages, une chaîne de télévision est mise à l’honneur sous la forme d’un autoportrait. Cette année, le Festival a choisi de fêter le 50ème anniversaire de la radio télévision de la Communauté française de Belgique (RTBF) et d’en présenter les diverses facettes. Au programme : divers colloques sur la politique de production de la chaîne, les incitants financiers en Wallonie et à Bruxelles, le métier de comédien au cinéma et à la télévision. Ces rencontres entre professionnels de l’audiovisuel suisses, belges et étrangers se tiennent du vendredi 7 novembre au dimanche 9 novembre 2003 à l’Hôtel Richemond. A voir durant le festival : Des plumes dans la tête de Thomas de Thier (en projection spéciale) Le soleil assassiné d’Abdelkrim Bahloul (coproduction franco-belge; section nouveauté) Koro de Güldem Durmaz (en compétition courts métrages) www.cinema-tout-ecran.ch La RTBF : trois chaînes de télévision, cinq chaînes de radio, 4,5 millions d’auditeurs et de téléspectateurs en Wallonie et à Bruxelles. La télévision belge fête son demi-siècle : 1953-2003, cinq décennies d’une aventure passionnante. En 1935, Paul-Henri Spaak résuma très bien l’ensemble des missions de la RTBF, l’INR à l’époque : “A la fois récréation et école !”. La RTBF a bien sûr évolué depuis mais sa finalité est restée la même : promouvoir le développement culturel, être une source d’éducation permanente et offrir des divertissements attractifs. L’information figure aussi parmi les responsabilités de la radio-télévision publique; elle en est même la base essentielle. Mais cette mission d’information n’est pas sans conditions ! En effet, si le gouvernement s’est engagé à ne pas exercer de censure préalable, il exige en retour une rigoureuse objectivité de la part de la RTBF. Depuis quelques années, un nouveau concept est apparu : la RTBF se doit également de mettre en valeur le patrimoine de sa Communauté. Les radios et télévisions publiques nous dévoilent donc, au travers de leurs reportages et émissions, les différentes facettes de la Wallonie et de Bruxelles mais aussi de la Belgique, de l’Europe et de la communauté francophone mondiale. La nécessité pour la RTBF de s’ouvrir à l’extérieur s’est naturellement imposée au fil du temps. Diverses alliances ont donc vu le jour, que ce soit par le biais d’associations ou de participations au capital de sociétés privées. La RTBF a contribué en 1984 à la création de la chaîne francophone TV5. Grâce à cette association avec une chaîne internationale, beaucoup de programmes produits par la RTBF sont diffusés via satellite et ont acquis une notoriété qui dépasse largement les frontières de la Belgique. La Tour et le bâtiment RTBF de la Cité Reyers © André Geirnaert 1 Mais TV5 n’est pas le seul partenaire international avec lequel la RTBF a noué des relations : en effet, diverses conventions associent la radio-télévision belge francophone à des chaînes comme ARTE ou EURONEWS. Et toujours selon le même raisonnement, la RTBF fait également partie de différentes instances internationales, à savoir le CIRTEF (communauté des télévisions francophones), sans oublier l’UER, (Union européenne de radiodiffusion), dont la RTBF est d’ailleurs l’un des membres fondateurs. Depuis 2001, RTBF Sat diffuse toutes ses productions : journaux télévisés, magazines culturels et d’information, documentaires, captations de concerts ou encore émissions de services et de divertissements. www.rtbf.be N° 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. 22/10/03 Les défis du Sommet mondial sur la société de l’information 10:45 Page 5 Du 10 au 12 décembre 2003 se tiendra à Genève la première session du Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI). Nombre de questions soulevées par ce sujet touchent aux compétences des Communautés et des Régions. En coordination avec la Représentation permanente de la Belgique, la Délégation Wallonie-Bruxelles participe aux travaux préparatoires. C’est dans cette perspective que la rédaction de la Lettre Wallonie-Bruxelles à Genève a rencontré le Président du Comité de préparation, Monsieur Adama Samassékou. Ce dernier estime que le SMSI constitue une opportunité historique de créer les conditions d’une nouvelle espérance. LWB : Monsieur le Président, quels sont les principaux enjeux du Sommet ? Monsieur Adama Samassékou, Président du Comité de préparation du SMSI AS : J’en retiendrai principalement trois. Le premier est la transformation de la fracture numérique en perspectives numériques pour le plus grand nombre, tant au niveau de l’usage que du contenu. Le second enjeu concerne l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) pour transformer la vie et permettre de réaliser les objectifs de la Déclaration du Millénaire des Nations Unies. La Société de l’information est certes une société de la connaissance, mais la plus-value 2 des TIC est la fantastique capacité d’échanger et de partager afin de transformer la société de l’information en une société de la connaissance et des savoirs partagés. Enfin, le troisième enjeu est celui de la promotion de la diversité culturelle et linguistique. A ce sujet, il faut renforcer les échanges sur le sens donné aux mots. En effet, si la dimension identitaire est propre à toute quête culturelle, seuls les échanges entre les cultures permettront de sortir de la crispation identitaire et favoriseront à terme un véritable dialogue entre les cultures. Car sans ces échanges, les inégalités se renforceront toujours davantage. LWB : Monsieur le Président, vous avez participé à la réunion ministérielle de la Francophonie à Rabat sur la Société de l’information. Qu’attendez-vous de la Francophonie ? AS : La Francophonie possède un excellent discours sur la solidarité et le partage, sur l’engagement; une opportunité extraordinaire s’offre à elle de faire la différence : passer du discours à l’acte ! Faire en sorte que soient mis en œuvre, dans l’espace francophone, des moyens logistiques et financiers afin de réduire la fracture numérique et favoriser l’émergence de la Société de l’information et des savoirs partagés. A ce sujet, je salue la position de la Francophonie sur la mise en valeur des médias traditionnels dont les rôles et la place doivent être revisités à la lumière de ce que les spécialistes appellent la convergence au niveau des médias. LWB : Pourquoi avoir imaginé un Sommet en deux phases, la première à Genève et la seconde à Tunis ? AS : Comme vous le savez, il s’agit là d’un compromis dynamique entre deux pays, l’un initiateur de l’idée du Sommet, la Tunisie; l’autre abritant le siège de l’Union internationale des télécommunications et qui a pris un certain nombre d’initiatives en ce sens, la Suisse... Il m’apparaît clair à présent que l’articulation entre les deux phases du Sommet s’inscrivent dans la perspective d’un processus dynamique. Genève qui sera le lieu d’adoption d’une déclaration de principe et d’un plan d’action global et générique. Ensuite Tunis qui permettra non seulement d’adopter les plans 3 d’action spécifiques aux régions, en passant ainsi du général au concret, mais aussi l’adoption, sur une base volontaire, des éléments de ce que le Président du Sénégal, Monsieur Abdoulaye Wade, a appelé la “charte de solidarité numérique” entre les pays les plus et les moins nantis. Ainsi, tout ne sera pas réglé à Genève ! Genève sera le lieu de la mise en place des priorités et d’une planification qui implique - et ce n’est pas la moindre des nouveautés - l’ensemble des acteurs de ce Sommet (gouvernements, secteur privé, société civile et organisations intergouvernementales) dans un processus de réussite. Ainsi pourra naître, aux niveaux national, régional et international, une dynamique partenariale entre ces grands acteurs, prélude à des nouvelles relations entre les nations et entre les citoyens, fondées sur plus d’écoute, de solidarité et de partage. N° 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. 22/10/03 Vers les sociétés de la connaissance 10:45 Page 7 Ministérielle de la Francophonie à Rabat Table ronde UNESCO à Paris Philippe Nayer a participé aux travaux de la table ronde ministérielle organisée par l’UNESCO à Paris en marge des travaux de sa 32ème Conférence générale, sur le thème “Vers les sociétés de la connaissance“. De gauche à droite : J.L. Blanchart (Wallonie-Bruxelles); R. Dehaybe, Administrateur général de l’AIF; P. Colle (Région wallonne); F. Reuter (Délégation générale à Paris); A. Samassékou et Ph. Nayer, Délégué à Genève. La Francophonie a organisé une conférence ministérielle à Rabat début septembre. Le Ministre-Président, Monsieur Hervé Hasquin, y a conduit la délégation de la Communauté française de Belgique. Cette rencontre a permis l’adoption d’une contribution de la Francophonie au Sommet mondial sur la société de l’information. A cette occasion, il a rappelé les principes clés de l’édification d’une société de la connaissance, notamment l’éducation et la formation, la régulation de l’internet, la liberté d’expression, la prise en compte des besoins et des droits des usagers ainsi que la promotion de la diversité culturelle. S’exprimant au nom de la Belgique, le Délégué, a souligné le rôle joué par l’Observatoire des Droits de l’Internet. Il a aussi attiré l’attention sur l’importance des réflexions en cours au sein de la société relatives à la fracture numérique, au gouvernement électronique, à la protection des mineurs, à l’accès universel et au rôle des médias. Apprenons en nous amusant : l’utilisation de la souris, avec les proverbes animaliers © CD-Rom Premiers pas dans les TIC Une initiative de l’Agence wallonne des télécommunications (AWT). Les TIC, autrement dit les technologies de l’information et de la communication, font à présent partie de notre quotidien. Les téléphones mobiles, l’internet, pour ne citer que les plus spectaculaires de leurs applications, nous rapprochent de nos amis et de nos familles, même à l’autre bout du monde et nous font accéder à l’information. Tous n’ont cependant pas accès avec la même facilité à ces technologies, ce qui pourrait à terme créer une société à deux vitesses, excluant certains des services qu’elles peuvent rendre. Attentif à l’égalité des citoyens devant les avantages du progrès, le Gouvernement wallon a fait de l’accès pour tous à l’information et à la connaissance une priorité. Il a confié à l’AWT la mission de promouvoir l’usage généralisé des TIC. L’agence poursuit ainsi la réalisation de campagnes d’information. Après le succès rencontré par des rencontres entre enfants et séniors autour d’ordinateurs et sur le thème des proverbes, l’AWT a produit un CD-Rom didactique, Premiers pas dans les TIC. Ce disque propose une initiation à l’utilisation de l’ordinateur sur base des proverbes animaliers et plusieurs modules de cours très simples sur l’internet, le courrier électronique, la photographie numérique, la téléphonie mobile, le commerce électronique... www.smsi.francophonie.org Ph. Nayer, Délégué à Genève 4 Premiers pas dans les TIC www.awt.be 5 N° 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. 22/10/03 10:45 Page 9 Jura Aoste © Olivier Desart Exposition Du mot à l’image au Musée jurassien d’art et d’histoire. Delémont, du 7 novembre au 20 janvier 2004. © Anne Herbauts Après avoir été présentée à Genève, puis avoir enthousiasmé les lecteurs de Sion, c’est au tour de la Bibliothèque des jeunes de Delémont, dans le cadre de son trentième anniversaire, de proposer la découverte de 28 de nos illustrateurs pour la jeunesse. Vernissage le vendredi 7 novembre à 18 heures au Musée jurassien d’art et d’histoire. Wallonie-Bruxelles et la Région Autonome de la Vallée d’Aoste, une coopération qui se poursuit © Jean-Luc Englebert La coopération qui lie nos deux entités est multiple. Elle touche l’enseignement des langues, le cinéma, les arts plastiques. Chaque année voit de nouveaux projets se concrétiser et renforcer ainsi les liens qui unissent les Valdôtains et les Belges francophones. En voici quelques exemples.... © Michel Van Zeveren Les universités et centres de formation Wallonie-Bruxelles dispensent des cours généraux et spécifiques de français langue étrangère ainsi que des cours de pédagogie et accueillent des boursiers valdôtains durant l’été. L’Université libre de Bruxelles et l’Université catholique de Louvain proposent des cours de perfectionnement du français (www.ulb.ac.be et www.ucl.ac.be) tandis que 6 l’Université de Mons-Hainaut organise des cours de français de spécialité en relations internationales (www.umh.ac.be) Quand l’ours se réveille Musée du Masque de Binche du 26 septembre au 15 décembre 2003. Strade del Cinema Le Bureau régional d’ethnologie et de linguistique de la Vallée d’Aoste (B.R.E.L.) présente au Musée international du carnaval et du masque de Binche une exposition de photographies sur les différents aspects des carnavals dans la Vallée du Grand Saint Bernard et dans la Vallée d’Aoste. Des costumes de carnaval des différentes localités de la Région d’Aoste appartenant au Musée complètent cette exposition. Strade del Cinema Festival International du film muet en musique du 6 au 16 août 2003 à Aoste Christian Leroy © Comunica SNC Strade del Cinema lançait sa deuxième édition. Ce festival, entièrement consacré à l’accompagnement musical des films muets, accueille des mélomanes du monde entier sur la place du Théâtre romain à Aoste. Wallonie-Bruxelles soutient la manifestation. On a pu voir trois courts métrages d’Alfred Machin datant du début du siècle dernier 7 avec, dans le rôle principal, le célèbre léopard “Mimir”, notamment dans le film Saïda a enlevé le Manneken Pis (1913). En marge du Festival, Rhêmes-Saint-Georges accueillait un stage de formation en écriture musicale et cinématographique. Christian Leroy, pianiste et compositeur belge a participé à l’animation de ce stage. Il était par ailleurs, membre du Jury du festival pour la section “Jeunes”. www.stradedelcinema.it Noir in Festival de Courmayeur, festival consacré au polar, accueillera en décembre, quatre étudiants de Wallonie-Bruxelles au stage de formation à la critique cinématographique Jeunes critiques européens. De même, quatre étudiants Valdôtains ont participé au Festival international du film francophone de Namur dans le cadre de la classe européenne de cinéma. N° 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. 22/10/03 10:45 Page 11 Théâtre Tennis La Compagnie Théâtre de la Communauté et le Créahm jouaient Opéra de campagne Festival Arthémo, Morges, septembre 2003 Le Théâtre de la Communauté est né d’une dissidence du Théâtre universitaire liégeois. Son modèle est ce qu’on appelait naguère le théâtre populaire visant l’ensemble de la population sans distinction de classe ou de milieu. Un théâtre émancipateur tant pour les acteurs que pour les spectateurs et qui propose un théâtre fait d’enjeux, fait de la confrontation des points de vue, porteur de la parole d’une majorité représentative quoique silencieuse. Le Créahm est une des seules associations européennes qui développent aussi bien les arts plastiques (peinture, sculpture, gravure...) que les arts de la scène (théâtre, musique, danse, chant...) en faisant intervenir des personnes présentant un handicap mental. Opéra de campagne Opéra de campagne est né d’une rencontre entre les artistes du Théâtre de la Communauté et ceux du Créahm. Crédit : Philippe/SIPA PRESS/ Isopress Sénépart Justine Henin-Hardenne : une Wallonne qui gagne ! Elle remporte le Tournoi de Zurich-Kloten. Un plaisir partagé… C’est surtout un spectacle dont il est difficile de parler, tant il est sensations, rires, émotions, tant les comédiens nous touchent dans d’autres parties de nous-mêmes... Opéra de campagne est surtout un travail remarquable du Théâtre de la Communauté, sans provocation, respectueux de ces drôles de compagnons, pleins d’amour, sensibles, généreux. …Justine Henin-Hardenne est devenue la treizième n°1 mondiale de l’histoire du tennis professionnel féminin. Elle est aussi la première francophone à accomplir cet exploit… www.theatre-action.be Yves Jaton, Le Temps, 20 octobre 2003 8 9 N° 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. 22/10/03 10:45 Page 13 Art contemporain Cinéma ème 6 édition de la Nuit du court métrage vendredi 21 novembre 2003 Galeries du cinéma à Lausanne Michel Caspary, 24 Heures, 10 juillet 2003 L’animation selon Vincent Patar et Stéphane Aubier vient enchanter la Nuit du court métrage avec Panique au village, une série de 20 courts métrages de 5 minutes. L’histoire est simple : les créateurs ouvrent leurs coffres de jouets pour en ressortir les petites figurines d’indiens, de cow-boys et autres animaux de la ferme et les faire revivre comme au temps où ils étaient encore des enfants. Chaque épisode met en scène des petits travers de la vie comme la gourmandise, le mensonge ou la convoitise. Les courts métrages seront présentés en ouverture de chaque programme et lors d’une séance spéciale à 4 heures du matin, en présence des réalisateurs. L’artiste plasticien Pascal Bernier a exposé ses œuvres Love Stories à la Galerie Synopsism de Lausanne ... Entre sculptures, vidéos et toiles hybrides, le répertoire étendu de l’artiste, né en 1960, sert un propos militant. Réflexion provocatrice sur les tabous à l’œuvre dans une société encore incapable de jouir sans entrave. Nicolas Julliard, Le Temps, 16 juillet 2003 En décembre 2003, la galerie Synopsism accrochera à ses cimaises des œuvres du peintre bruxellois Michel Mouffe. Snails Attractors Pascal Bernier www.synopsism.com Love stronger than death Pascal Bernier www.shortfilm.ch Panique au village 10 11 N° 4 / A5 - 16 pages - 4 coul. 22/10/03 10:46 Page 15 Et durant l’été… ...nos artistes sont présents en Suisse Hamadi conte La fiancée du soleil Musique ...Hamadi développe un type de conte qui va au-delà de la plaisante anecdote... Daniel Helin au Festival de la Chanson française Chansons en stok ! à Zurich Jéronimo © Uriel Thies Arno et Jéronimo au Mont-Soleil Open air Festival (Saint Imier) Jeronimo et Karin Clercq partagent l’affiche du prestigieux Paléo Festival de Nyon Olivier Horner, Le Temps, 25 juillet 2003 12 Iran, le voile des apparences Philip Catherine Trio au Jazz Parade à Fribourg, à Ollon du Jazz, au Jazz estival à Genève “Au fil des portraits que la comédienne bruxelloise reconvertie dans la chanson esquisse d’une voix fébrile, c’est une mosaïque de femmes aussi attachantes que troublantes que l’auditeur fréquente. En compagnie de Karin Clercq, impossible de ressortir indemne de cette déclinaison d’immersions... Karin Clercq est sans doute aujourd’hui avec Jéronimo, autre Belge en version moins mélodramatique mais plus électrique, l’un des plus sérieux atouts de la chanson rock actuelle issue du Plat Pays.“ Karin Clercq © Youri Lenquette Jean-Louis Kuffer, 24 Heures, 2 juillet 2003 Didier Heins joue L’humour La Compagnie La Fabrique imaginaire et son spectacle Au bord de l’eau © Jean-Marc Henry ...Quiproquos savoureux. Le registre n’est pas au burlesque, plus à l’humour décalé, à la surprise feinte. Les comédiens prennent le public à témoin, le mettent en jeu, cherchant sa complicité. Et la trouvent... Arts de la scène au Festival de la Cité à Lausanne Anyway the wind blows La Compagnie de la Sonnette présente les Fourberies de Scapin Cinéma ... Ces fourberies de Scapin, de Molière, valent leur pesant d’énergie, de rythme et de malice. Croisant les genres, entre comedia dell’arte et films de cape et d’épée en passant par les dessins animés de Tex Avery, ....., la Sonnette a mis petits et grands spectateurs dans sa poche..... La Fabrique imaginaire Michel Caspary, 24 Heures, 24 juillet 2003 13 Au Festival international du film à Locarno, projection de : Violence des échanges en milieu tempéré de Jean-Marc Moutout en compétition officielle; Anyway the wind blows de Tom Barman sur la piazza grande de Locarno et Iran, le voile des apparences de Thierry Michel dans le cadre du programme consacré aux droits de l’homme.