Échange de maison. Trois semaines à Seattle

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Échange de maison. Trois semaines à Seattle
Article ajouté le mardi 23 juin 2009
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Partir à l'autre bout du monde en s'installant quelques semaines dans la vie d'une autre famille... Vous avez déjà songé à l'échange de maison ?
Échanger sa maison: quelle drôle d'idée vous diront certains. L'idée nous tentait depuis des années. Cette fois, nous avons décidé de nous jeter à l'eau. Et tant qu'à y aller - alors que sites spécialisés et usagers vous conseilleront d'opter pour une première expérience pas trop lointaine et dans la même langue, autant choisir la difficulté en visant une destination idéale pour cette formule : les ÉtatsUnis.
Partir serein
De nombreux sites internet proposent aujourd'hui cette formule très séduisante, surtout lorsqu'on voyage en famille. Échanger sa maison offre, en effet, outre la possibilité de réaliser des économies importantes sur le logement, celle de vivre comme les habitants du pays dans lequel on s'installe.
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L'échange peut concerner non seulement une maison, mais également une voiture, des sièges auto, des vélos, du matériel de camping, voire même un bateau...
Un bon échange nécessite incontestablement plusieurs contacts par mails ou téléphone avec vos futurs hôtes. Ils permettent aussi de lever les derniers doutes, si doutes il y a encore. Il faut partir serein, c'est un conseil primordial pour bien profiter de ses vacances.
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Et c'est ainsi que l'on se retrouve, après une dizaine d'heures de voyage, plongé dans la vie d'un vrai Seattleite...
Berceau de l'altermondialisme et de Kurt Cobain, de Boeing et de Microsoft, Seattle la dynamique réserve plus d'une surprise. Réputée pluvieuse, la capitale de l'État de Washington a pourtant plus d'un atout dans son jeu.
Pour les amateurs de tourisme urbain, Seattle offre évidemment ce que l'on attend d'une ville nord-américaine, c'est-à-dire des gratte-ciel,
une architecture minérale mélangeant les époques - le coeur de la ville possède ainsi son quartier «historique» inspiré de l'école de Chicago, Pioneer Square District, où les premiers colons s'installèrent en 1851 -, des musées (notamment l'Experience music project, musée interactif du rock‘n'roll conçu en hommage à Jimi Hendrix...), des restaurants proposant une palette de saveurs (chinois, mexicains, thaïs, et même des crêperies...). Mais au-delà de ces découvertes convenues, c'est sans doute la qualité de vie qui règne dans cette cité cosmopolite, jeune et active, qui fait de Seattle une destination de voyage prisée des Américains eux-mêmes.
Un véritable «way of life»
Loin du cliché de l'Amérique des hamburgers et de l'obésité, Seattle surprend avant tout par le dynamisme de sa population. Souvent lève-tôt, le Seattleite n'est pas effrayé par une randonnée dès l'aube dans la luxuriante nature entourant et se prolongeant dans la ville ou par une sortie de quelques dizaines de kilomètres à vélo avant l'embauche. Le Français rencontré se verra ainsi quasi immédiatement interrogé sur le fameux «Tour de France» qui, pour certains, ici, constitue un véritable pèlerinage.
Pour d'autres, la belle saison (juillet et août) offre l'occasion de naviguer. Sur Lake Union par exemple, vaste plan d'eau en plein coeur de la ville où des régates rassemblent, chaque mardisoir, une centaine de voiliers. Et une fois l'hiver installé, les bottes de mer seront facilement troquées contre des bottes de ski, les premières stations étant accessibles à moins d'une heure en voiture de la ville.
Car cette métropole attachante et très accueillante, notamment pour les enfants, a aussi et surtout le privilège de posséder un environnement naturel extraordinaire qui justifie largement qu'on s'y attarde un peu...
Pratique
Décalage horaire : huit heures.
Échange de maisons. Quelques adresses de sites :
l
www.trocmaison.com (79 € d'abonnement par an);
l
www.homelink.fr (125 € par an);
l
www.craigslist.org (site gratuit)...
Voyage : Air France propose une ligne directe Paris-Seattle, compter un peu plus d'une dizaine d'heures de voyage: www.airfrance.fr
D'autres compagnies ont des vols avec une ou deux escales qui peuvent être financièrement plus intéressants. Ne pas hésiter à interroger l'agence de voyage la plus proche.
Réservation de campings sur place :
l
www.recreation.gov (pour les parcs nationaux) ;
l
www.parks.wa.gov (pour les parcs régionaux ou d'État).
Formalités : le voyageur français, y compris les enfants, quel que soit leur âge, se rendant aux États-Unis en voyage de tourisme
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n'a plus besoin d'être en possession d'un visa à condition de :
l
Avoir reçu une autorisation ESTA (Electronic System for Travel Authorization), en se rendant, avant de partir en voyage, sur le site internet : https://esta.cbp.dhs.gov Le voyageur doit être doté de cette autorisation de voyage électronique avant d'embarquer sur un avion. Elle est valable pour une durée de deux ans ou jusqu'à expiration du passeport. Le formulaire peut être rempli au plus tard 72heures avant le départ mais il est recommandé de le faire aussitôt le voyage planifié. Adultes et enfants sont soumis à cette procédure. Dans la plupart des cas, les agents de sécurité intérieure donneront leur accord en ligne presque immédiatement en renvoyant la mention «autorisation approuvée». L'ESTA est gratuit. Il n'est obligatoire que pour
un voyageur sans visa et arrivant sur le territoire US par une compagnie aérienne ou maritime.
l
Avoir un billet d'avion aller-retour (qui prouve votre sortie du territoire US, qu'importe l'aéroport d'entrée et de sortie).
l
Présenter un passeport électronique sauf si vous possédez un passeport individuel à lecture optique en cours de validité et émis au plus tard le 25octobre 2005. À défaut, l'obtention d'un visa sera obligatoire.
l
Projeter un séjour de 90 jours maximum (le séjour ne peut être prolongé sur place, le visiteur ne peut pas changer de statut, accepter un emploi ou étudier).
l
Présenter des preuves de solvabilité (carte de crédit, chèques de voyages).
Anne Burel - Le Télégramme
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