La Vie sinon rien

Transcription

La Vie sinon rien
T HÉÂTRE DE L ’I NVISIBLE
En coproduction avec : AskUs
Après « Monsieur Ibrahim
MC Bourges / Scène Nationale
CDN / Théâtre de la Commune / Aubervilliers
« L’Amérique
Théâtre André Malraux / Rueil-Malmaison
Théâtre Liberté / Toulon
Avec le soutien du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants
Et l’aide du Théâtre du Rond-Point
»
»
et
« La Vie sinon rien »
Texte publié aux éditions Gallimard
Texte publié aux éditions Gallimard
Contact diffusion : Gwénaëlle Leyssieux
06 78 00 32 58
[email protected]
www.theatredelinvisible.com
Je n'éprouve aucun frisson d'amour-propre à l'idée de m'ouvrir à n'importe
qui - j'aime bien « n'importe qui », c'est un copain.
Il y a l’exhibitionnisme, et il y a la part du feu.
Gari veut dire « brûle ! » en russe à l'impératif.
C'est un ordre auquel je ne me suis jamais dérobé, ni dans mon œuvre ni
dans ma vie.
Je veux donc faire ici la part du feu pour que mon « je » brûle, pour qu'il
flambe, dans ces pages, au vu et au su, comme on dit.
Extrait de « La nuit sera calme » de R. Gary
- Ce spectacle est dédié à Odette Lang et Pierre Juresco -
La Promesse
de l’aube
De : Romain Gary
Adaptation et mise en scène :
Bruno Abraham-Kremer
et Corine Juresco
Interprété par :
Bruno Abraham-Kremer
Scénographie :
Philippe Marioge
Lumière :
Gaëlle de Malglaive
Création sonore :
Mehdi Ahoudig
Composition Clarinette Basse :
Ghislain Hervet
Costumes :
Charlotte Villermet
Images et vidéos :
Arno Veyrat
Régisseur Général :
François Dareys
Assistante :
Audrey Nataf
Assistant Stagiaire :
David Goldzahl
À partir du 15 janvier 2012
HORAIRES
Du mardi au samedi à 19h
THEATRE des MATHURINS
36 rue des Mathurins - 75008 PARIS
RESERVATIONS
Gwénaëlle - 06 78 00 32 58
[email protected]
Durée du spectacle 1h30
A propos de
« La Promesse de l’aube »
« Tu seras Ambassadeur de France, c’est ta mère qui te le dit ! »
Le chemin du petit Romain Kacew, de Wilno à Paris en passant par Varsovie
fait partie de moi parce que c’est l’histoire de ma famille et que comme lui,
j’ai été élevé avec cet amour littéraire et idéaliste de ce beau pays qui nous
avait accueilli même s’il a failli nous perdre en 1942… Je me souviens de ma
grand-mère rentrant d’un voyage en Amérique pour voir SON fils et me
disant : « tu sais finalement, la France c’est le plus beau pays du monde ! »
Romain Gary, c’est comme un frère d’arme. En lui je retrouve tout ce que
j’aime, un esprit libre, un conteur qui aime plus que tout « l’être humain »
au-delà de ses aspects les plus vils. Un écrivain qui mythifie le réel pour le
rendre supportable et essaye sans cesse de se hisser à « hauteur
d’homme ».
Sa « Promesse de l’Aube » fait partie de ces livres qui vous font du bien
parce qu’ils vous font passer sans cesse du rire aux larmes et qu’ils vous
redonnent confiance dans la vie.
C’est cela que je cherche sans cesse au théâtre, faire rire et pleurer pour
tenter de partager avec le public cette expérience magnifique et pitoyable.
Essayer d’être un Humain.
Bruno Abraham-Kremer
Romain Gary au théâtre ?
Il se définit lui-même, non pas comme un écrivain, mais comme « un raconteur d’histoires » et ce
génial conteur est un théâtre à lui tout seul, Dom Juan et Sganarelle en un seul homme, tombeur et
clown dérisoire. Expert en changement de masques, il a fait de sa vie entière, une œuvre de
fiction…
Le secret que nous découvrons dans cette « Promesse de l’aube », c’est le portrait de sa
« coscénariste » Nina Borisovskaia : actrice russe, héroïne du quotidien, amoureuse solitaire et
fidèle, Anna Karenine, Mère courage… Sa Mère.
De Wilno à Varsovie, du « Grand salon de modes de Paris » au marché de la Buffa de Nice, de
l’hôtel-pension Mermont aux bases aériennes de Salon de Provence, le couple d’apatrides mère-fils,
nous entraîne à sa suite à la recherche d’une vie idéale, où l’on peut survivre, écouter des
orchestres tziganes en suçant un cornichon, aimer, danser, offrir des fleurs aux femmes, dans un
Pays idéal où tout cela est possible : LA France.
La terre promise enfin gagnée, il s’agit d’y devenir un « Mensch », un gentleman et de produire un
chef d’œuvre… Rien que ça ! Il s’en est fait la promesse…
Le petit Roman Kacew devient Romain Gary… Ecrivain, héros de la guerre, diplomate, deux fois Prix
Goncourt, et pourtant ce jour là lorsque l’histoire commence, le héros vieillissant, allongé sur le
sable de la plage de Big Sur, face à son frère Océan cherche encore et toujours le courage de vivre.
Il est presque vaincu et une fois de plus c’est sa mère qui vient à son secours, qui lui donne la force
de revenir sur la scène originelle de son enfance… En s’incarnant en lui, pour lui transmettre sa
force vitale, comme un secret qui cherche à se dévoiler, mais qui toujours échappe…
Alors ne pouvant pas renoncer, nous le poursuivons sans relâche jusqu’au mot fin, jusqu’au noir du
théâtre, la chute du rideau.
Corine Juresco et Bruno Abraham-Kremer
L’histoire
« Elle aimait les jolies histoires, ma mère.
Je lui en ai raconté beaucoup. »
« Ce livre est d'inspiration autobiographique, mais ce n'est pas une
autobiographie.
Mon métier d'orfèvre, mon souci de l'art s'est à chaque instant glissé entre
l'événement et son expression littéraire, entre la réalité et l'œuvre qui s'en
réclamait. » R.G.
Romain Gary raconte son enfance en Russie, en Pologne,
puis à Nice, le luxe et la pauvreté qu'il a connus tour à
tour, son dur apprentissage d'aviateur, ses aventures de
guerre : en France, en Angleterre, en Afrique.
Il nous raconte surtout le grand amour de sa vie. Cette
« Promesse de l'aube » que l'auteur a choisie pour titre
est une double promesse : promesse que fait la vie au
narrateur à travers une mère passionnée ; promesse qu'il
fait à cette mère d'accomplir tout ce qu'elle attend de lui
dans l'ordre de l'héroïsme et de la réalisation de soi.
Le caractère de cette Russe chimérique, idéaliste, éprise
de la France, mélange pittoresque de courage et
d'étourderie, d'énergie indomptable et de légèreté, de
sens des affaires et de crédulité, prend un relief
extraordinaire. La suprême preuve d’amour qu'elle donne
à son fils est à la hauteur de son cœur démesuré.
Romain Gary
Romain Gary, pseudonyme de Roman Kacew, né à Vilnius en 1914, est élevé par sa
mère qui place en lui de grandes espérances, comme il le racontera plus tard dans
« La Promesse de l’aube ». Pauvre, « cosaque un peu tartare mâtiné de juif », il
arrive en France à l’âge de 14 ans et s’installe avec sa mère à Nice. Après des
études de droit à Paris, il s’engage dans l’aviation et rejoint le Général de Gaulle à
Londres en 1940. Son premier roman, « Education européenne », paraît avec
succès en 1945. La même année, il entre au Quai d’Orsay. Grâce à son métier de
diplomate, il séjourne à Sofia, La Paz, New-York, Los Angeles. En 1948, il publie
« Le Grand Vestiaire » et reçoit le Prix Goncourt en 1956 pour « Les Racines du
ciel ». Consul à Los Angeles, il épouse l’actrice Jean Seberg, écrit et réalise deux
films. Il quitte la diplomatie en 1961 et écrit « Les oiseaux vont mourir au Pérou »
(« Gloire à nos illustres pionniers ») et un roman humoristique, « Lady L. », avant
de se lancer dans de vastes sagas : « La Comédie américaine » et « Frère Océan ».
Sa femme se donne la mort en 1979 et les romans de Gary laissent percer son
angoisse du déclin et de la vieillesse : « Au-delà de cette limite votre ticket n’est
plus valable », « Clair de femme », « Les cerfs-volants ».
Romain Gary se suicide à Paris en 1980, laissant un document posthume, où il
révèle qu’il se dissimulait sous le nom d’Emile Ajar, auteur de romans à succès :
« Gros-Câlin », « L’Angoisse du roi Salomon, et « La Vie devant soi » qui a reçu le
Prix Goncourt en 1975.
Romain Gary se tire une balle dans la tête le 2 décembre 1980, laissant la note suivante :
« Jour J.
Aucun rapport avec Jean Seberg. Les fervents du cœur brisé sont priés de s’adresser ailleurs.
On peut mettre cela évidemment sur le compte d’une dépression nerveuse. Mais alors il faut
admettre que celle-ci dure depuis que j’ai l’âge d’homme et m’aura permis de mener à bien mon
œuvre littéraire.
Alors, pourquoi ? Peut-être faut-il chercher la réponse dans le titre de mon ouvrage
autobiographique : « La nuit sera calme » et dans les derniers mots de mon dernier roman :
« Car on ne saurait mieux dire ».
Je me suis enfin exprimé entièrement. »
Bruno Abraham-Kremer
Au cinéma, il a joué dans :
Monte Carlo
Tom Bezucha / Produit par Nicole Kidman
Bellamy
Claude Chabrol
La Vie sinon rien
Coco avant Chanel
de Antoine Rault
Anne Fontaine
M.e.s Bruno Abraham-Kremer
Les Gémeaux-Scène nationale /Comédie des Champs-Élysées Clown
Marco Pontecorvo
Parole et guérison
Comme mon père
de Christopher Hampton
Marco Carmel
M.e .s Didier Long
Combien tu m’aimes ?
Théâtre Montparnasse
Bertrand Blier
L’Amérique
Podium
de serge Kribus
de Yann Moix
M.e.s Bruno Abraham-Kremer
.
Se souvenir des belles choses
Studio des Champs-Élysées
de Zabou Breitman (3 Césars en 2003)
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran
Bruno Abraham-Kremer
Malraux
de Eric-Emmanuel Schmitt
est comédien et
de
Michèle
Rozier
M.e.s Bruno Abraham-Kremer
metteur
en scène.
Les acteurs
Studio des Champs-Élysées - Théâtre Marigny
Il dirige le Théâtre de
Bertrand
Blier
Rutabaga Swing
l’Invisible qu’il a créé
Train de vie (primé à Venise,Sun dance , Sao
M.e.s Philippe Ogouz
en 1989.
Paulo)
Théâtre 13-Montparnasse
Radu Mihaileanu
Le Haïm - A la Vie
Madeleine 1999
d’après Herlinda Koelble
Laurent Bouhnik
M.e.s Bernard Bloch
Il a mis en scène :
Mon homme
Théâtre du Soleil
Bertrand Blier
Le petit violon
Merci la vie
La Vie sinon rien
de Jean-Claude Grumberg
Bertrand Blier
de Antoine Rault
M.e.s de Christophe Lidon
La Vouivre
Les Gémeaux - Scène nationale
La Criée-Théâtre national de Marseille
Georges
Wilson
Comédie des Champs-Élysées
Comme la Vie est belle pourtant...
La comédie du travail
Entre courir et voler, il n’y a qu’un pas...
d’après Une vie bouleversée
Luc Moullet
de et avec Jacques Gamblin
de Etty Hillesum
Cours privé
Les Gémeaux - Scène nationale
Co-mise en scène avec Jacques Gamblin
P. Granier Deferre
Toujours l’orage
CDN Aubervilliers
de Enzo Cormann
L’Amérique
Et à la télévision :
M.e.s Henri Bornstein
de serge Kribus
Studio des Champs-Élysées
Théâtre de la Tempête
Clara, une passion française
Milarepa, l’homme de coton
Monsieur Ibrahim
Sébastien Graal
de Eric-Emmanuel Schmitt
de Eric-Emmanuel Schmitt
Nuit noire
M.e.s Bruno Abraham-Kremer
Scène nationale de Sceaux
Alain Tasma (International Emmy award )
Théâtre Vidy-Lausanne /Festival d’Avignon
Studio des Champs-Élysées
L’héritage / Collection Maupassant
L’idiot
et Théâtre Marigny
Laurent Heyneman
de F. Dostoïevski
Comme la Vie est belle pourtant...
Le triporteur de Belleville
M.e.s Joël Jouanneau
d’après Une vie bouleversée
Stéphane
Kurc
Théâtre Vidy-Lausanne
de Etty Hillesum
La dame d’Isieu
Le Golem
Les Gémeaux /Scène nationale /Sceaux
Alain
Vermuz
d’après la Kabbale
Milarepa, l’homme de coton
Thérèse et Léon
de et m.e.s B. Abraham-Kremer
Claude Goretta
de Eric-Emmanuel Schmitt
Petit Montparnasse
Maigret et le marchand de vin
Théâtre Vidy-Lausanne /Festival d’Avignon
Le tic et le tac de la pendule
Christian de Challonges
Théâtre du Renard
de Daniil Harms
Petit nuage d’été
M.e.s F. Kergourlay
A la porte
Olivier Langlois
Théâtre de l’Odéon
de J.G Nordmann
La conseillère
Le jeu de l ’amour et du hasard
Théâtre Firmin Gémier
Alain Vermuz
de Marivaux
Théâtre 13
Les duettistes
M.e.s F. Kergourlay
Le Golem d’après la Kabbale
Marc
Angelo
Théâtre Firmin Gémier
de Bruno Abraham-Kremer
La chaîne
Richard III
Petit Montparnasse /Festival d’Avignon
Claude
Faraldo
de Shakespeare - rôle titre
Lettre au frère
Mirabeau
M.e.s H. Bornstein
d’après Vincent Van Gogh
Claude Faraldo
Festival d’Avignon
Les amours du mal-aimé
Théâtre de Carros
Lazarillo de Tormès
Marcel Camus
de C. Jose Cela
Le Pépin du raisin
Les inconnus du Mont-Blanc
M.e.s H. Bornstein
(Cabaret Russe)
Denis Ducroz
Festival de Ramonville
Café concert Ailleurs
Cuisine céleste
La mangeuse de crottes
La grimace
Alain
Tasma
de et M.e.s par J.G Nordmann
de Heinrich Böll
Julie Lescault
Théâtre de la Tempête
La Minoterie / Marseille
Alain
Vermuz
La mer est trop loin
La kabbale selon Aboulafia
Silence coupable
de J.G Nordamnn
de E.G Berreby
Alain
Vermuz
M.e.s R. Cantarella/J.G Nordmann
Brigad’
Théâtre Mandapa
Théâtre 13
Marc Angelo
La nuit des rois
In between
Maigret et le ministre
de W.Shakespeare /M.e.s Gilles Bouillon
de Bernard Palmi
Christian de Challonges
Théâtre de l’Est Parisien
Théâtre de Lenche / Marseille
Au théâtre il a joué récemment :
Le Théâtre de l’Invisible
Direction Artistique
Bruno Abraham-Kremer
2011
2010
2009
2007
2006
La Vie sinon rien
de Antoine Rault
Mis en scène et interprété par Bruno Abraham-Kremer
Créé aux Scène Nationale de Sceaux
Reprise à Paris à la Comédie des Champs-Élysées
2ème reprise en 2011 au Lucernaire
Coproduction: Théâtre de l'Invisible, MC Bourges Scène
nationale, Atelier Théâtre actuel, Production du Dehors Jacques
Gamblin / Tournée nationale en 2010
1997
1996
1995
1994
1993
1992
Le Golem
1996
1995
1994
Le pépin du raisin -Cabaret russe
1993
Eismitte, le milieu des glaces
L’Amérique
de Serge Kribus
Ecrit pour un spectacle conçu et mis en scène par
Bruno Abraham-Kremer
Avec Bruno Abraham-Kremer et John Arnold
Créé au Studio des Champs-Élysées
Coproduction: Studio des Champs-Élysées, Théâtre de
l'Invisible, Scène Nationale de Cherbourg, Atelier Théâtre
actuel, Sofithea
Tournée nationale en 2007
2006
2005
2004
2003
2002
2001
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran
2003
2002
Comme la Vie est belle pourtant...
1999
1998
1997
www.theatredelinvisible.com
3ème volet de la Trilogie de l’Invisible
Écrit par Éric Emmanuel Schmitt
Pour un spectacle conçu, mis en scène et interprété par
Bruno Abraham-Kremer
Coproduction: Les Gémeaux -Scène Nationale- Sceaux/
ATA, Scène nationale de Narbonne/Jacques Gamblin
Création aux Gémeaux en 2001- Festival d’Avignon 2001
Reprise à Paris au Studio des Champs-Elysées en 2002
Tournée nationale en 2003, 2004 et 2006
Et dans plus de 20 pays.
Reprise à Paris au Petit-Marigny toute la saison 2004 /2005
d’après «une vie bouleversée» de Etty Hillesum
Adaptation et mise en scène Bruno Abraham-Kremer
Avec Corine Juresco, Andrée Tainsy, Sarah Adler...
Coproduction: Scène Nationale de Sceaux,
Les Gémeaux et Théâtre de l’Invisible.
Création aux Gémeaux en décembre 2001
Reprise en 2003 Théâtre J. Vilar de Suresnes
1999
1996
A la porte
De Jean Gabriel Nordmann
Mise en scène Bruno Abraham- Kremer
Avec Andrée Tainsy, Serpentine Teyssier,
John Arnold, Alain Macé...
Créé au Théâtre Firmin Gémier à Antony
et repris à Paris au Théâtre 13.
Spectacle conçu et interprété par Olivier Hamel,
Corine Juresco, Nicolas Struve, Julia Zimina
Chansons anonymes et textes de:
Isaac Babel, Alexandre Blok, V. Maïakovski,
Marina Tsvetaeva
Mise en scène Bruno Abraham-Kremer
Spectacle créé à Paris au Café concert Ailleurs
Tournée nationale.
De Catherine Zambon
M.e.s Bruno Abraham-Kremer/Yves Babin
avec Hermine Karagheuz
et Bruno Abraham-Kremer
Créé au CIG de Grasse, et repris au Théâtre
Puzzle de Caen et au Théâtre de Boulogne/mer
1992
La mangeuse de crottes
(Hommage au Douanier Rousseau)
De et mis en scène par Jean Gabriel Nordmann
avec Christine Pignet et Bruno Abraham-Kremer
Créé au Théâtre de la Tempête /Tournée
nationale
1991
La kabbale selon Aboulafia
1990
Lettre au frère
Milarepa, l’homme de coton
2ème volet de la Trilogie de l’Invisible
Écrit par Éric Emmanuel Schmitt
pour un spectacle mis en scène et interprété par :
Bruno Abraham-Kremer
Coproduction : Théâtre Vidy-Lausanne, Les GémeauxScène Nationale de Sceaux. Créé au Théâtre Vidy-Lausanne
puis au Festival d’Avignon 1997 et à Paris au
Théâtre du Renard en 1999.
1er volet de la Trilogie de l’Invisible
D’après la légende de la Kabbale
Spectacle écrit, mis en scène et interprété par:
Bruno Abraham-Kremer
Prix de la presse au Festival International
de Performances d’Acteurs de Cannes
Création au Festival d’Avignon Off.
Joué au Petit Montparnasse 4 mois en 1993.
Tournée nationale et dans 12 pays d’Europe.
De Elie-Georges Berreby
Mise en scène Bruno Abraham-Kremer
Avec Philippe Quercy, Myriam Derbal,
Créé au Théâtre Mandapa
Tournée nationale.
D’après la correspondance
de Vincent Van Gogh
Mise en scène Bruno Abraham-Kremer
Avec Jean Gabriel Nordmann
Création Théâtre Jacques Prévert à Carros.
Tournée nationale d’octobre à décembre 1990
Petite revue de presse de « La Promesse de l’aube »
Création au Théâtre de la Commune d’Aubervilliers /CDN
Et au Théâtre du Petit Saint Martin en 2012
Bruno Abraham-Kremer est ici un
délicieux conteur qui endosse tous les
rôles. C'est captivant, drôle, tendre et
très émouvant.
Télérama Sylviane
B.
Gresh
Une canne à la main, costume sombre
à rayures, bottines en cuir, Bruno
Abraham-Kremer revisite l'un des livres
les plus connus de Romain Gary : La
Promesse de l'aube.
L'écrivain est son « frère d'arme », dit
le comédien, qui campe tous les
protago-nistes. Surtout une, essentielle
: l'héroïne, la mère de l'auteur, que
Bruno Abraham-Kremer et - Corine
Juresco, également à la mise en scène,
ressuscitent
avec
un
mélange
d'admiration, de respect et de
bonheur.
Bruno Abraham-Kremer raconte une
histoire
d'amour
intemporelle,
magnifique et émouvante.
Très drôle, aussi. Et donne envie de
relire l'œuvre de Romain Gary.
Le Figaroscope-Nathalie Simon
Bruno
Abraham-Kremer
interprète
magnifiquement la Promesse de l’aube,
qu’il a adaptée du roman de Romain
Gary. Il donne son souffle théâtral à ce
roman autobiographique lumineux et
bouleversant, et l’on s’en délecte.
L’Humanité - Marina Da Silva
Le comédien Bruno Abraham-Kremer
emporte le spectateur dans cette drôle
d’histoire d’amour et de vie.
On est conquis.
L’Express – Laurence Liban
Un texte qui n’était pas théâtral ?
En effet. Seulement il est interprété
par Bruno Abraham-Kremer qui,
rappelez-vous « Monsieur Ibrahim et
les fleurs du Coran » ou « La vie sinon
rien », est un maitre du genre.
Il s’y coule si prestement que l’émotion
vous gagne par surprise.
Nouvel Observateur – J. Nerson
La salle est pleine, les rires fusent,
beaucoup
semblent
(re)découvrir,
émerveillés, le texte de Gary. Une très
belle réussite à ne pas manquer.
Parisienne à Paris- Juliette Rabat
Gary était un grand raconteur
d'histoires. Le comédien Bruno
Abraham-Kremer l'est également.
Les univers de ces deux artistes
étaient faits pour se rencontrer sur
une scène de théâtre. Le résultat est
magnifique.
Pariscope-Marie-Céline Nivière
Le comédien manie avec une
virtuosité de magicien le comique,
l’ironie et l’autodérision de ce récit
d’enfance. Ses talents de conteurs,
applaudis dans « Monsieur Ibrahim »
et « La vie sinon rien », sont
décuplés par une mise en scène
dynamique et épurée
Lire Magazine - E.L.
Il fait partie des livres que l'on
voudrait partager avec ses enfants.
Bruno Abraham-Kremer (l’Amérique/
Molière 2006) nous cueille et nous
en transmet tout le sel et toute
l'émotion.
France 2 - Sophie Jouve
Bruno Abraham-Kremer a l’habitude
des défis où il est seul en scène.
C’est le plus beau solo qu’il est
jamais fait. Il boulingue avec le
texte, sans excès, mais avec une
puissance qui chahute et transfigure
l’émotion. C’est magnifique.
L’avant-Scène - Gilles Costaz
Bruno Abraham-Kremer, seul en
scène, tient son public d’un bout à
l’autre, amuse, passionne et émeut.
Un grand moment de théâtre.
Direct Matin
Tel un danseur sur le fil ténu d’une
bruissante émotion, l’acteur, comme
l’écrivain sur sa page blanche, est
dans tous ses personnages.
On rit, on réagit, on essuie une
larme : quel bel hommage à Gary et
à sa sublime leçon de vie.
Première.fr - Hélène Kuttner
Promesse tenue. Un texte d’une
actualité déconcertante, de l’humour
et de l’émotion.Quelle performance !
Le berry républicain - C.Gherardi
« Un spectacle à ne manquer sous
aucun prétexte, mis en scène par
Bruno Abraham-Kremer et Corine
Juresco. (…)
Le comédien tient le public sans une
seconde de répit : émotion, rire,
larmes, il joue sur tous les registres,
avec, au coin de l’œil, une étincelle
de défi. Il magnifie un texte déjà
magique, il saute de la nostalgie à
l’humour, des anecdotes à l’enfer de
l’Histoire. (…)
Après Monsieur Ibrahim et les fleurs
du coran et la vie sinon rien, la
Promesse
de
l’aube
est
l’aboutissement absolu, qui donne vie
et âme à cette héroine, actrice russe,
Nina Borisovskaîa, mère adorée, au
cœur immense, mère juive au
centuple. C’est superbe. »
L’Arche - Karolina Wolfzahn
Ses intonations griffées d’ironie et
d’humour, de distance et de dérision
délicate révèlent une sensibilité à
fleur de peau. Bruno AbrahamKremer investit le plateau avec un
intérêt plein de feu.
La Terrasse - Véronique Hotte
On rit de bon cœur, on est ébloui par
la performance et on se laisse
submerger
par
l’émotion
au
dénouement.
Un grand moment
Madame Figaro
Bruno Abraham-Kremer est Romain
Gary tel qu’on s’en souvient ou tel
qu’on l’imagine. On rit souvent, on
est ému, on s’émerveille de la
personnalité de cette mère que son
amour conduit à des inventions
drôles mais aussi d’une délicatesse
infinie qui nous émeuvent aux
larmes.
Micheline Rousselet- SNES

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