La Vie sinon rien
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La Vie sinon rien
T HÉÂTRE DE L ’I NVISIBLE En coproduction avec : AskUs Après « Monsieur Ibrahim MC Bourges / Scène Nationale CDN / Théâtre de la Commune / Aubervilliers « L’Amérique Théâtre André Malraux / Rueil-Malmaison Théâtre Liberté / Toulon Avec le soutien du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants Et l’aide du Théâtre du Rond-Point » » et « La Vie sinon rien » Texte publié aux éditions Gallimard Texte publié aux éditions Gallimard Contact diffusion : Gwénaëlle Leyssieux 06 78 00 32 58 [email protected] www.theatredelinvisible.com Je n'éprouve aucun frisson d'amour-propre à l'idée de m'ouvrir à n'importe qui - j'aime bien « n'importe qui », c'est un copain. Il y a l’exhibitionnisme, et il y a la part du feu. Gari veut dire « brûle ! » en russe à l'impératif. C'est un ordre auquel je ne me suis jamais dérobé, ni dans mon œuvre ni dans ma vie. Je veux donc faire ici la part du feu pour que mon « je » brûle, pour qu'il flambe, dans ces pages, au vu et au su, comme on dit. Extrait de « La nuit sera calme » de R. Gary - Ce spectacle est dédié à Odette Lang et Pierre Juresco - La Promesse de l’aube De : Romain Gary Adaptation et mise en scène : Bruno Abraham-Kremer et Corine Juresco Interprété par : Bruno Abraham-Kremer Scénographie : Philippe Marioge Lumière : Gaëlle de Malglaive Création sonore : Mehdi Ahoudig Composition Clarinette Basse : Ghislain Hervet Costumes : Charlotte Villermet Images et vidéos : Arno Veyrat Régisseur Général : François Dareys Assistante : Audrey Nataf Assistant Stagiaire : David Goldzahl À partir du 15 janvier 2012 HORAIRES Du mardi au samedi à 19h THEATRE des MATHURINS 36 rue des Mathurins - 75008 PARIS RESERVATIONS Gwénaëlle - 06 78 00 32 58 [email protected] Durée du spectacle 1h30 A propos de « La Promesse de l’aube » « Tu seras Ambassadeur de France, c’est ta mère qui te le dit ! » Le chemin du petit Romain Kacew, de Wilno à Paris en passant par Varsovie fait partie de moi parce que c’est l’histoire de ma famille et que comme lui, j’ai été élevé avec cet amour littéraire et idéaliste de ce beau pays qui nous avait accueilli même s’il a failli nous perdre en 1942… Je me souviens de ma grand-mère rentrant d’un voyage en Amérique pour voir SON fils et me disant : « tu sais finalement, la France c’est le plus beau pays du monde ! » Romain Gary, c’est comme un frère d’arme. En lui je retrouve tout ce que j’aime, un esprit libre, un conteur qui aime plus que tout « l’être humain » au-delà de ses aspects les plus vils. Un écrivain qui mythifie le réel pour le rendre supportable et essaye sans cesse de se hisser à « hauteur d’homme ». Sa « Promesse de l’Aube » fait partie de ces livres qui vous font du bien parce qu’ils vous font passer sans cesse du rire aux larmes et qu’ils vous redonnent confiance dans la vie. C’est cela que je cherche sans cesse au théâtre, faire rire et pleurer pour tenter de partager avec le public cette expérience magnifique et pitoyable. Essayer d’être un Humain. Bruno Abraham-Kremer Romain Gary au théâtre ? Il se définit lui-même, non pas comme un écrivain, mais comme « un raconteur d’histoires » et ce génial conteur est un théâtre à lui tout seul, Dom Juan et Sganarelle en un seul homme, tombeur et clown dérisoire. Expert en changement de masques, il a fait de sa vie entière, une œuvre de fiction… Le secret que nous découvrons dans cette « Promesse de l’aube », c’est le portrait de sa « coscénariste » Nina Borisovskaia : actrice russe, héroïne du quotidien, amoureuse solitaire et fidèle, Anna Karenine, Mère courage… Sa Mère. De Wilno à Varsovie, du « Grand salon de modes de Paris » au marché de la Buffa de Nice, de l’hôtel-pension Mermont aux bases aériennes de Salon de Provence, le couple d’apatrides mère-fils, nous entraîne à sa suite à la recherche d’une vie idéale, où l’on peut survivre, écouter des orchestres tziganes en suçant un cornichon, aimer, danser, offrir des fleurs aux femmes, dans un Pays idéal où tout cela est possible : LA France. La terre promise enfin gagnée, il s’agit d’y devenir un « Mensch », un gentleman et de produire un chef d’œuvre… Rien que ça ! Il s’en est fait la promesse… Le petit Roman Kacew devient Romain Gary… Ecrivain, héros de la guerre, diplomate, deux fois Prix Goncourt, et pourtant ce jour là lorsque l’histoire commence, le héros vieillissant, allongé sur le sable de la plage de Big Sur, face à son frère Océan cherche encore et toujours le courage de vivre. Il est presque vaincu et une fois de plus c’est sa mère qui vient à son secours, qui lui donne la force de revenir sur la scène originelle de son enfance… En s’incarnant en lui, pour lui transmettre sa force vitale, comme un secret qui cherche à se dévoiler, mais qui toujours échappe… Alors ne pouvant pas renoncer, nous le poursuivons sans relâche jusqu’au mot fin, jusqu’au noir du théâtre, la chute du rideau. Corine Juresco et Bruno Abraham-Kremer L’histoire « Elle aimait les jolies histoires, ma mère. Je lui en ai raconté beaucoup. » « Ce livre est d'inspiration autobiographique, mais ce n'est pas une autobiographie. Mon métier d'orfèvre, mon souci de l'art s'est à chaque instant glissé entre l'événement et son expression littéraire, entre la réalité et l'œuvre qui s'en réclamait. » R.G. Romain Gary raconte son enfance en Russie, en Pologne, puis à Nice, le luxe et la pauvreté qu'il a connus tour à tour, son dur apprentissage d'aviateur, ses aventures de guerre : en France, en Angleterre, en Afrique. Il nous raconte surtout le grand amour de sa vie. Cette « Promesse de l'aube » que l'auteur a choisie pour titre est une double promesse : promesse que fait la vie au narrateur à travers une mère passionnée ; promesse qu'il fait à cette mère d'accomplir tout ce qu'elle attend de lui dans l'ordre de l'héroïsme et de la réalisation de soi. Le caractère de cette Russe chimérique, idéaliste, éprise de la France, mélange pittoresque de courage et d'étourderie, d'énergie indomptable et de légèreté, de sens des affaires et de crédulité, prend un relief extraordinaire. La suprême preuve d’amour qu'elle donne à son fils est à la hauteur de son cœur démesuré. Romain Gary Romain Gary, pseudonyme de Roman Kacew, né à Vilnius en 1914, est élevé par sa mère qui place en lui de grandes espérances, comme il le racontera plus tard dans « La Promesse de l’aube ». Pauvre, « cosaque un peu tartare mâtiné de juif », il arrive en France à l’âge de 14 ans et s’installe avec sa mère à Nice. Après des études de droit à Paris, il s’engage dans l’aviation et rejoint le Général de Gaulle à Londres en 1940. Son premier roman, « Education européenne », paraît avec succès en 1945. La même année, il entre au Quai d’Orsay. Grâce à son métier de diplomate, il séjourne à Sofia, La Paz, New-York, Los Angeles. En 1948, il publie « Le Grand Vestiaire » et reçoit le Prix Goncourt en 1956 pour « Les Racines du ciel ». Consul à Los Angeles, il épouse l’actrice Jean Seberg, écrit et réalise deux films. Il quitte la diplomatie en 1961 et écrit « Les oiseaux vont mourir au Pérou » (« Gloire à nos illustres pionniers ») et un roman humoristique, « Lady L. », avant de se lancer dans de vastes sagas : « La Comédie américaine » et « Frère Océan ». Sa femme se donne la mort en 1979 et les romans de Gary laissent percer son angoisse du déclin et de la vieillesse : « Au-delà de cette limite votre ticket n’est plus valable », « Clair de femme », « Les cerfs-volants ». Romain Gary se suicide à Paris en 1980, laissant un document posthume, où il révèle qu’il se dissimulait sous le nom d’Emile Ajar, auteur de romans à succès : « Gros-Câlin », « L’Angoisse du roi Salomon, et « La Vie devant soi » qui a reçu le Prix Goncourt en 1975. Romain Gary se tire une balle dans la tête le 2 décembre 1980, laissant la note suivante : « Jour J. Aucun rapport avec Jean Seberg. Les fervents du cœur brisé sont priés de s’adresser ailleurs. On peut mettre cela évidemment sur le compte d’une dépression nerveuse. Mais alors il faut admettre que celle-ci dure depuis que j’ai l’âge d’homme et m’aura permis de mener à bien mon œuvre littéraire. Alors, pourquoi ? Peut-être faut-il chercher la réponse dans le titre de mon ouvrage autobiographique : « La nuit sera calme » et dans les derniers mots de mon dernier roman : « Car on ne saurait mieux dire ». Je me suis enfin exprimé entièrement. » Bruno Abraham-Kremer Au cinéma, il a joué dans : Monte Carlo Tom Bezucha / Produit par Nicole Kidman Bellamy Claude Chabrol La Vie sinon rien Coco avant Chanel de Antoine Rault Anne Fontaine M.e.s Bruno Abraham-Kremer Les Gémeaux-Scène nationale /Comédie des Champs-Élysées Clown Marco Pontecorvo Parole et guérison Comme mon père de Christopher Hampton Marco Carmel M.e .s Didier Long Combien tu m’aimes ? Théâtre Montparnasse Bertrand Blier L’Amérique Podium de serge Kribus de Yann Moix M.e.s Bruno Abraham-Kremer . Se souvenir des belles choses Studio des Champs-Élysées de Zabou Breitman (3 Césars en 2003) Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran Bruno Abraham-Kremer Malraux de Eric-Emmanuel Schmitt est comédien et de Michèle Rozier M.e.s Bruno Abraham-Kremer metteur en scène. Les acteurs Studio des Champs-Élysées - Théâtre Marigny Il dirige le Théâtre de Bertrand Blier Rutabaga Swing l’Invisible qu’il a créé Train de vie (primé à Venise,Sun dance , Sao M.e.s Philippe Ogouz en 1989. Paulo) Théâtre 13-Montparnasse Radu Mihaileanu Le Haïm - A la Vie Madeleine 1999 d’après Herlinda Koelble Laurent Bouhnik M.e.s Bernard Bloch Il a mis en scène : Mon homme Théâtre du Soleil Bertrand Blier Le petit violon Merci la vie La Vie sinon rien de Jean-Claude Grumberg Bertrand Blier de Antoine Rault M.e.s de Christophe Lidon La Vouivre Les Gémeaux - Scène nationale La Criée-Théâtre national de Marseille Georges Wilson Comédie des Champs-Élysées Comme la Vie est belle pourtant... La comédie du travail Entre courir et voler, il n’y a qu’un pas... d’après Une vie bouleversée Luc Moullet de et avec Jacques Gamblin de Etty Hillesum Cours privé Les Gémeaux - Scène nationale Co-mise en scène avec Jacques Gamblin P. Granier Deferre Toujours l’orage CDN Aubervilliers de Enzo Cormann L’Amérique Et à la télévision : M.e.s Henri Bornstein de serge Kribus Studio des Champs-Élysées Théâtre de la Tempête Clara, une passion française Milarepa, l’homme de coton Monsieur Ibrahim Sébastien Graal de Eric-Emmanuel Schmitt de Eric-Emmanuel Schmitt Nuit noire M.e.s Bruno Abraham-Kremer Scène nationale de Sceaux Alain Tasma (International Emmy award ) Théâtre Vidy-Lausanne /Festival d’Avignon Studio des Champs-Élysées L’héritage / Collection Maupassant L’idiot et Théâtre Marigny Laurent Heyneman de F. Dostoïevski Comme la Vie est belle pourtant... Le triporteur de Belleville M.e.s Joël Jouanneau d’après Une vie bouleversée Stéphane Kurc Théâtre Vidy-Lausanne de Etty Hillesum La dame d’Isieu Le Golem Les Gémeaux /Scène nationale /Sceaux Alain Vermuz d’après la Kabbale Milarepa, l’homme de coton Thérèse et Léon de et m.e.s B. Abraham-Kremer Claude Goretta de Eric-Emmanuel Schmitt Petit Montparnasse Maigret et le marchand de vin Théâtre Vidy-Lausanne /Festival d’Avignon Le tic et le tac de la pendule Christian de Challonges Théâtre du Renard de Daniil Harms Petit nuage d’été M.e.s F. Kergourlay A la porte Olivier Langlois Théâtre de l’Odéon de J.G Nordmann La conseillère Le jeu de l ’amour et du hasard Théâtre Firmin Gémier Alain Vermuz de Marivaux Théâtre 13 Les duettistes M.e.s F. Kergourlay Le Golem d’après la Kabbale Marc Angelo Théâtre Firmin Gémier de Bruno Abraham-Kremer La chaîne Richard III Petit Montparnasse /Festival d’Avignon Claude Faraldo de Shakespeare - rôle titre Lettre au frère Mirabeau M.e.s H. Bornstein d’après Vincent Van Gogh Claude Faraldo Festival d’Avignon Les amours du mal-aimé Théâtre de Carros Lazarillo de Tormès Marcel Camus de C. Jose Cela Le Pépin du raisin Les inconnus du Mont-Blanc M.e.s H. Bornstein (Cabaret Russe) Denis Ducroz Festival de Ramonville Café concert Ailleurs Cuisine céleste La mangeuse de crottes La grimace Alain Tasma de et M.e.s par J.G Nordmann de Heinrich Böll Julie Lescault Théâtre de la Tempête La Minoterie / Marseille Alain Vermuz La mer est trop loin La kabbale selon Aboulafia Silence coupable de J.G Nordamnn de E.G Berreby Alain Vermuz M.e.s R. Cantarella/J.G Nordmann Brigad’ Théâtre Mandapa Théâtre 13 Marc Angelo La nuit des rois In between Maigret et le ministre de W.Shakespeare /M.e.s Gilles Bouillon de Bernard Palmi Christian de Challonges Théâtre de l’Est Parisien Théâtre de Lenche / Marseille Au théâtre il a joué récemment : Le Théâtre de l’Invisible Direction Artistique Bruno Abraham-Kremer 2011 2010 2009 2007 2006 La Vie sinon rien de Antoine Rault Mis en scène et interprété par Bruno Abraham-Kremer Créé aux Scène Nationale de Sceaux Reprise à Paris à la Comédie des Champs-Élysées 2ème reprise en 2011 au Lucernaire Coproduction: Théâtre de l'Invisible, MC Bourges Scène nationale, Atelier Théâtre actuel, Production du Dehors Jacques Gamblin / Tournée nationale en 2010 1997 1996 1995 1994 1993 1992 Le Golem 1996 1995 1994 Le pépin du raisin -Cabaret russe 1993 Eismitte, le milieu des glaces L’Amérique de Serge Kribus Ecrit pour un spectacle conçu et mis en scène par Bruno Abraham-Kremer Avec Bruno Abraham-Kremer et John Arnold Créé au Studio des Champs-Élysées Coproduction: Studio des Champs-Élysées, Théâtre de l'Invisible, Scène Nationale de Cherbourg, Atelier Théâtre actuel, Sofithea Tournée nationale en 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran 2003 2002 Comme la Vie est belle pourtant... 1999 1998 1997 www.theatredelinvisible.com 3ème volet de la Trilogie de l’Invisible Écrit par Éric Emmanuel Schmitt Pour un spectacle conçu, mis en scène et interprété par Bruno Abraham-Kremer Coproduction: Les Gémeaux -Scène Nationale- Sceaux/ ATA, Scène nationale de Narbonne/Jacques Gamblin Création aux Gémeaux en 2001- Festival d’Avignon 2001 Reprise à Paris au Studio des Champs-Elysées en 2002 Tournée nationale en 2003, 2004 et 2006 Et dans plus de 20 pays. Reprise à Paris au Petit-Marigny toute la saison 2004 /2005 d’après «une vie bouleversée» de Etty Hillesum Adaptation et mise en scène Bruno Abraham-Kremer Avec Corine Juresco, Andrée Tainsy, Sarah Adler... Coproduction: Scène Nationale de Sceaux, Les Gémeaux et Théâtre de l’Invisible. Création aux Gémeaux en décembre 2001 Reprise en 2003 Théâtre J. Vilar de Suresnes 1999 1996 A la porte De Jean Gabriel Nordmann Mise en scène Bruno Abraham- Kremer Avec Andrée Tainsy, Serpentine Teyssier, John Arnold, Alain Macé... Créé au Théâtre Firmin Gémier à Antony et repris à Paris au Théâtre 13. Spectacle conçu et interprété par Olivier Hamel, Corine Juresco, Nicolas Struve, Julia Zimina Chansons anonymes et textes de: Isaac Babel, Alexandre Blok, V. Maïakovski, Marina Tsvetaeva Mise en scène Bruno Abraham-Kremer Spectacle créé à Paris au Café concert Ailleurs Tournée nationale. De Catherine Zambon M.e.s Bruno Abraham-Kremer/Yves Babin avec Hermine Karagheuz et Bruno Abraham-Kremer Créé au CIG de Grasse, et repris au Théâtre Puzzle de Caen et au Théâtre de Boulogne/mer 1992 La mangeuse de crottes (Hommage au Douanier Rousseau) De et mis en scène par Jean Gabriel Nordmann avec Christine Pignet et Bruno Abraham-Kremer Créé au Théâtre de la Tempête /Tournée nationale 1991 La kabbale selon Aboulafia 1990 Lettre au frère Milarepa, l’homme de coton 2ème volet de la Trilogie de l’Invisible Écrit par Éric Emmanuel Schmitt pour un spectacle mis en scène et interprété par : Bruno Abraham-Kremer Coproduction : Théâtre Vidy-Lausanne, Les GémeauxScène Nationale de Sceaux. Créé au Théâtre Vidy-Lausanne puis au Festival d’Avignon 1997 et à Paris au Théâtre du Renard en 1999. 1er volet de la Trilogie de l’Invisible D’après la légende de la Kabbale Spectacle écrit, mis en scène et interprété par: Bruno Abraham-Kremer Prix de la presse au Festival International de Performances d’Acteurs de Cannes Création au Festival d’Avignon Off. Joué au Petit Montparnasse 4 mois en 1993. Tournée nationale et dans 12 pays d’Europe. De Elie-Georges Berreby Mise en scène Bruno Abraham-Kremer Avec Philippe Quercy, Myriam Derbal, Créé au Théâtre Mandapa Tournée nationale. D’après la correspondance de Vincent Van Gogh Mise en scène Bruno Abraham-Kremer Avec Jean Gabriel Nordmann Création Théâtre Jacques Prévert à Carros. Tournée nationale d’octobre à décembre 1990 Petite revue de presse de « La Promesse de l’aube » Création au Théâtre de la Commune d’Aubervilliers /CDN Et au Théâtre du Petit Saint Martin en 2012 Bruno Abraham-Kremer est ici un délicieux conteur qui endosse tous les rôles. C'est captivant, drôle, tendre et très émouvant. Télérama Sylviane B. Gresh Une canne à la main, costume sombre à rayures, bottines en cuir, Bruno Abraham-Kremer revisite l'un des livres les plus connus de Romain Gary : La Promesse de l'aube. L'écrivain est son « frère d'arme », dit le comédien, qui campe tous les protago-nistes. Surtout une, essentielle : l'héroïne, la mère de l'auteur, que Bruno Abraham-Kremer et - Corine Juresco, également à la mise en scène, ressuscitent avec un mélange d'admiration, de respect et de bonheur. Bruno Abraham-Kremer raconte une histoire d'amour intemporelle, magnifique et émouvante. Très drôle, aussi. Et donne envie de relire l'œuvre de Romain Gary. Le Figaroscope-Nathalie Simon Bruno Abraham-Kremer interprète magnifiquement la Promesse de l’aube, qu’il a adaptée du roman de Romain Gary. Il donne son souffle théâtral à ce roman autobiographique lumineux et bouleversant, et l’on s’en délecte. L’Humanité - Marina Da Silva Le comédien Bruno Abraham-Kremer emporte le spectateur dans cette drôle d’histoire d’amour et de vie. On est conquis. L’Express – Laurence Liban Un texte qui n’était pas théâtral ? En effet. Seulement il est interprété par Bruno Abraham-Kremer qui, rappelez-vous « Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran » ou « La vie sinon rien », est un maitre du genre. Il s’y coule si prestement que l’émotion vous gagne par surprise. Nouvel Observateur – J. Nerson La salle est pleine, les rires fusent, beaucoup semblent (re)découvrir, émerveillés, le texte de Gary. Une très belle réussite à ne pas manquer. Parisienne à Paris- Juliette Rabat Gary était un grand raconteur d'histoires. Le comédien Bruno Abraham-Kremer l'est également. Les univers de ces deux artistes étaient faits pour se rencontrer sur une scène de théâtre. Le résultat est magnifique. Pariscope-Marie-Céline Nivière Le comédien manie avec une virtuosité de magicien le comique, l’ironie et l’autodérision de ce récit d’enfance. Ses talents de conteurs, applaudis dans « Monsieur Ibrahim » et « La vie sinon rien », sont décuplés par une mise en scène dynamique et épurée Lire Magazine - E.L. Il fait partie des livres que l'on voudrait partager avec ses enfants. Bruno Abraham-Kremer (l’Amérique/ Molière 2006) nous cueille et nous en transmet tout le sel et toute l'émotion. France 2 - Sophie Jouve Bruno Abraham-Kremer a l’habitude des défis où il est seul en scène. C’est le plus beau solo qu’il est jamais fait. Il boulingue avec le texte, sans excès, mais avec une puissance qui chahute et transfigure l’émotion. C’est magnifique. L’avant-Scène - Gilles Costaz Bruno Abraham-Kremer, seul en scène, tient son public d’un bout à l’autre, amuse, passionne et émeut. Un grand moment de théâtre. Direct Matin Tel un danseur sur le fil ténu d’une bruissante émotion, l’acteur, comme l’écrivain sur sa page blanche, est dans tous ses personnages. On rit, on réagit, on essuie une larme : quel bel hommage à Gary et à sa sublime leçon de vie. Première.fr - Hélène Kuttner Promesse tenue. Un texte d’une actualité déconcertante, de l’humour et de l’émotion.Quelle performance ! Le berry républicain - C.Gherardi « Un spectacle à ne manquer sous aucun prétexte, mis en scène par Bruno Abraham-Kremer et Corine Juresco. (…) Le comédien tient le public sans une seconde de répit : émotion, rire, larmes, il joue sur tous les registres, avec, au coin de l’œil, une étincelle de défi. Il magnifie un texte déjà magique, il saute de la nostalgie à l’humour, des anecdotes à l’enfer de l’Histoire. (…) Après Monsieur Ibrahim et les fleurs du coran et la vie sinon rien, la Promesse de l’aube est l’aboutissement absolu, qui donne vie et âme à cette héroine, actrice russe, Nina Borisovskaîa, mère adorée, au cœur immense, mère juive au centuple. C’est superbe. » L’Arche - Karolina Wolfzahn Ses intonations griffées d’ironie et d’humour, de distance et de dérision délicate révèlent une sensibilité à fleur de peau. Bruno AbrahamKremer investit le plateau avec un intérêt plein de feu. La Terrasse - Véronique Hotte On rit de bon cœur, on est ébloui par la performance et on se laisse submerger par l’émotion au dénouement. Un grand moment Madame Figaro Bruno Abraham-Kremer est Romain Gary tel qu’on s’en souvient ou tel qu’on l’imagine. On rit souvent, on est ému, on s’émerveille de la personnalité de cette mère que son amour conduit à des inventions drôles mais aussi d’une délicatesse infinie qui nous émeuvent aux larmes. Micheline Rousselet- SNES