Étude d`un tableau illustrant la 1e guerre mondiale - e

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Étude d`un tableau illustrant la 1e guerre mondiale - e
Étude d’un tableau illustrant la 1e guerre mondiale
C.R.W. Nevinson. Machine-gun (La Mitrailleuse) 1915
1. Sur cette image, nous constatons trois hommes vêtus de soldats tenant une mitrailleuse. Ils
se trouvent dans une tranchée, ayant pour toit une couche de planches et de fils barbelés.
Ces hommes observent de leur poste le camp adverse. Pour leur infime protection, ils portent
un casque sur la tête. Un des soldats porte un sac à dos. Le soldat tenant la mitrailleuse porte
une barbe.
2. Le peintre a été inspiré lors de la guerre de 1916 lorsque les soldats vivaient plusieurs temps
dans une tranchée. Il raconte le changement radical et les conditions de vie qu’ils ont eues
dans les tranchées.Les soldats étaient mal habillées, mal rasées ; de la vient là leurs surnoms
de « poilus »
Ils se disputaient pour un quart d’eau vaseuse et sale. Certaines nourritures contenaient de la
terre.
3. Couleurs : noir exprimant la terreur, la mort. Le rouge exprime le sang. La ligne directrice se
dirige vers le centre de l’image ou se trouve le soldat qui tient la mitrailleuse le peintre a voulu
souligner l’arme. La plus pare des lignes directrices se rejoignent aux centres, mais toute fois
quelque une se dirige vers le haut aux les couleurs sont plus claires et vers les soldats qui
sont de côté.
Au centre, les couleurs sont plutôt sombres. Exprimant ce que ressentent les soldats. La
lumière éclaire les visages des soldats.
3. Conclusion Cette image raconte la première guerre mondiale de 1916 ce que les soldats ont
vécu dans les tranchées, qui avaient pour seul but de les protéger contre les
bombardements. Ils étaient plus préoccupés de leur survie que de leur apparence car ils ne
savaient pas s’ils reverraient leurs familles. Ils vivaient terrés dans d’étroits boyaux de terre,
dans la boue, traquant les poux qu’ils les irritaient. Dans ces tranchées, ils vivaient mal, ils se
disputaient pour un peu d’eau pour se laver. Ils passaient des jours sans savoir si le
lendemain, ils avaient de la nourriture et de l’eau pour survivre.Ils avait comme surnom les
« poilus» . « Nous sommes devenus des hommes -bêtes ».

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