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Newsletter de mars 2013 - N°6
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Trois questions à Christian Paschetta, Président de l’UMEP – Union maritime et portuaire du
Havre
L’Union Maritime et Portuaire du Havre est une Fédération Professionnelle qui représente 600
Entreprises (17 000 emplois directs et 14 000 emplois indirects). Elle s’attache à créer un
environnement propice à l’attraction et au passage optimisé et sécurisé de la marchandise au
Havre.
1. Quel bilan tirez-vous de la première année d’activité du GIE HAROPA, regroupant les ports du Havre, Rouen et Paris ?
Comme l’UMEP, HAROPA est un facilitateur dans les différentes réflexions à l’échelle de l’Axe Seine et la mise en relation des
compétences particulières est structurante au sein d’une Communauté d’intérêts bien comprise. Les résultats de 2012 sont là pour en
attester, ils sont prometteurs et gageons que ce n’est qu’un début. Cette véritable démarche de progrès engage tous les acteurs de la
Supply Chain et doit se poursuivre, dans le cadre d’une compréhension mutuelle, dans le but d’accroître les parts de marché de
chaque port et vendre chacun d’eux sous une identité commune apporte une meilleure visibilité sur le plan international. D’ailleurs,
HAROPA a permis de s’afficher comme le quatrième ensemble portuaire sur le range nord européen, tout en valorisant les atouts de
chaque site.
2. Quel rôle doit jouer l’UMEP, et plus généralement les Unions Maritimes de l’axe, pour contribuer au développement des
trafics d’HAROPA ?
Il s’agit-là d’une question simple a priori qui, cependant, est complexe pour plusieurs raisons. L’UMEP, en tant que telle n’a pas de
rôle commercial propre à jouer, domaine qui appartient aux entreprises, condition sine qua non pour leur survie et qui savent très
bien le faire. Toutefois, l’UMEP regroupe les acteurs les plus importants de la filière logistique et portuaire et sa vocation fédératrice
est inscrite dans ses gènes. A ce titre, elle s’inscrit obligatoirement dans une nécessaire démarche collaborative pour reconquérir son
hinterland naturel et l’étendre. Le faire au sein d’HAROPA relève du bon sens. Mais reste un point à éclaircir qui est la manière dont
les Unions Maritime et Portuaire qui représentent un poids économique important de par leur constitution même, peuvent être
associées dans HAROPA et voire même dans sa gouvernance. La commercialisation d’HAROPA c’est à la clé, de nouveaux trafics,
donc des emplois et de la valeur ajoutée pour un territoire. Il s’agit donc là de la complémentarité de savoir-faire à tous les échelons.
3. Quel est le principal enjeu à relever pour HAROPA et les professionnels de l’Axe Seine ?
Il reste à trouver de nombreuses synergies. HAROPA doit être un véritable THINK TANK pour construire une Communauté innovante
et performante sur l’Axe-Seine, lien naturel entre les marchandises acheminées via l’Atlantique et son hinterland de consommation.
HAROPA doit permettre à chaque place et à chaque maillon de la chaîne de trouver ses solutions et de s’approprier totalement le
concept afin de se sentir acteur du maintien et de l’accroissement de la compétitivité globale. Il s’agit là d’une véritable démarche
collaborative et ce n’est à mon sens, qu’à cette seule condition que le système sera Gagnant-Gagnant.
PORT 2000 : Contrat « géant » avec MSC
« D’un seul coup, le port du Havre vient de gagner l’équivalent du tiers du trafic annuel de conteneurs de
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Marseille » (Les Echos, 16 janvier 2013). C’est en effet un « contrat géant » qu’a signé le port normand
avec MSC, n°2 mondial du transport maritime conteneurisé : depuis le 21 janvier 2013, trois nouvelles
lignes MSC mettent en relation Le Havre avec l’Angleterre, l’Irlande et la côte Atlantique française. Pour
Stephan SNIJDERS, Directeur Général de MSC France, ce contrat - et les 350 000 EVP supplémentaires
qui transiteront sur le terminal de Port 2000 – « constitue une première étape de notre plan de
développement au Havre».
Pourquoi le choix du Havre ? :
Quelles sont les liaisons ainsi créées ? Le premier service, le “Liverpool Express” effectue désormais chaque semaine les
liaisons en transbordement avec Liverpool. Le deuxième service assure la liaison hebdomadaire “Ireland & Scotland Express”
avec les ports de Dublin et Greenock. Enfin, la ligne “Biscay Express” dessert les ports de Brest, Nantes et Bordeaux.
De quel service s’agit-il ? Les trois services feeder traitent le fret déchargé par MSC à l’import et chargé à l’export sur des
grands navires de mer qui assurent déjà 10 lignes. Désormais, ce sont donc treize escales maritimes hebdomadaires qui sont
assurées par l’armement MSC au Havre.
Pourquoi le 2eme armateur mondial a-t-il préféré Le Havre à d’autres ports du Nord ? Pour Stephan Snijders, ces trois
nouvelles lignes feeders sont la suite logique des investissements de MSC à Port 2000, faisant du Havre une plaque tournante
au niveau transbordement. « La fiabilité retrouvée sur le plan social nous a fait revenir au Havre ». Les infrastructures
modernes et performantes de Port 2000, accessible 24 h/24 et idéalement placé sur la côté Atlantique, font également la
différence : « 17 mètres de tirant d’eau, vous ne trouvez pas ça partout !»
MSC a-t-il d’autres ambitions au Havre ? « Ces trois nouvelles lignes, explique S.Snijders, ne sont qu’un commencement ;
notre fusée dispose de plusieurs étages. Notre souhait est de contribuer ainsi au retour du plein emploi, avant la fin de l’année,
dans les métiers de la manutention sur les quais du Havre.»
Le GIE Haropa constitue-t-il une réponse satisfaisante ? S.Snijders dit son intérêt pour le GIE qui, à ses yeux, lève enfin
de nombreuses frontières et permet des investissements communs. Au-delà, il invite à porter les regards sur l’ensemble de
l’estuaire, vers Caen notamment. Parmi les priorités d’Haropa figure la nécessité de décongestionner le trafic routier.
Quel regard MSC porte-t-il sur l’avenir d’HAROPA ? « Il s’agit aujourd’hui du port du futur, l’un des meilleurs d’Europe. Son
développement pourrait aller plus vite qu’on ne l’imagine » conclue S. Snijders.
Le terminal roulier, sacré « Roi de la Supply Chain »
Le Grand port maritime du Havre a reçu le 3° trophée des Rois de la Supply Chain 2013, le 16 janvier à Paris.
Le GPMH a été récompensé pour sa démarche « Roro Max » lancée en 2011, dont l'objectif est de faire du
Havre un port roulier de référence en Europe. (Lire la suite) L'initiative collaborative « RoRo Max » a permis de
rassembler autour d'une même table tous les intervenants de la chaîne logistique : autorité portuaire,
manutentionnaires, logisticiens, gestionnaires de parc, douanes, laboratoires et écoles d'ingénieurs. Première
plateforme automobile française, le terminal roulier du Havre ambitionne d'accueillir un trafic de 500 000
véhicules en 2015.
Contact HAROPA : Olivier Devaux – [email protected] – +33 2 32 74 73 14 - +33 6 64 03 24 03
Grande distribution: 1er Workshop Haropa
Haropa a tenu le 13 février à l’hôtel Pullman Montparnasse à Paris son premier Workshop de la Grande distribution. Près d’une
centaine de professionnels ont assisté aux tables rondes animées notamment par des transporteurs, logisticiens (SDV, ID Logistics,
CRITT), transporteurs, armateurs (MSC) et représentants d’enseignes de la distribution (Carrefour, Monoprix). Quatre thèmes ont été
abordés : les nouvelles tendances de la supply chain, la pertinence du choix d’Haropa dans l’implantation d’un hub logistique, l’offre
foncière sur l’axe Seine, et l’optimisation des flux ferroviaires et fluviaux. « L’objectif était de présenter les atouts des solutions Haropa
pour les activités de la grande distribution, tant au regard des transports que de la logistique » rappelle Hervé Cornède, directeur
commercial et marketing Haropa.
Cette opération sera suivie de trois forums. Le premier (au printemps 2013) portera sur l’immobilier logistique de long de l’axe Seine,
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le deuxième (à l’automne) sur les atouts de la plateforme multimodale du Havre et le dernier (hiver) sur les dispositifs douaniers
spécifiques.
Contact HAROPA : Sébastien Roux - [email protected] – +33 1 40 58 43 43 - +33 6 64 78 90 57
Fret palettisé : Transalliance conforte son réseau via HAROPA
Face au développement du fret palettisé, le groupe Transalliance mise sur son réseau intégré
Transadis et sur les ports d’Haropa pour améliorer ses services et étendre sa toile. S’appuyant
sur le point de regroupement Transadis-Rouen, l’agence Transalliance-Sandouville- Le Havre
(200 chauffeurs) est aujourd’hui en mesure de desservir 14 plateformes en France, toutes reliées entre elles par des liaisons
quotidiennes. Grâce à ce maillage « en propre », Transalliance peut ainsi, à partir des ports Haropa, acheminer en France toutes
expéditions palettisées avec un délai de livraison garanti du jour A au jour B (jour A/jour C pour Sud et Est du territoire).
Colis lourds : Le Havre s'équipe de la plus puissante bigue de Manche
Exceptionnel : le colis de 375 tonnes, transbordé le 12 février sur le terminal roulier du
Havre par la Générale de Manutention Portuaire (GMP), porte bien son nom. C’est à l’aide
de la plus importante bigue terrestre de la Manche (en termes de levage) que le stator EDF
de 12,70 m. de long a pu être transféré d’une barge fluviale sur un navire-barge à
destination de la centrale électrique de Paluel. Récemment remise en service, la bigue peut
soulever jusqu’à 650 tonnes. Cette opération souligne la combinaison des savoir-faire du
port du Havre et de la GMP au service de la marchandise.
Transport Paris International (TPI), commissionnaire de transport et Worms, agent maritime,
intervenaient sur cette opération de transport commanditée par l’Agence logistique nationale d’EDF. En février, six colis
exceptionnels ont également été manutentionnés pour le compte de la raffinerie Total.
En 2012, l’axe Seine et ses 27 postes à colis exceptionnels ont permis aux trois ports de traiter en moyenne plus de 2 colis par jours.
Contact HAROPA : Bruno Le Gurun - [email protected] - +33 2 32 74 74 03 - +33 6 85 91 41 40
Nouveau ponton-barge Navy-Blue : du sur-mesure, jusqu’à 1 200 tonnes
L’arrivée, le 14 février au Havre, du ponton-barge fluviomaritime « Navy Blue » étoffe l’offre
de services des ports d’Haropa, notamment au regard des colis exceptionnels. Ce nouvel
outil nautique (42 m. sur 18 m.) qui peut être équipé d’une grue de 450 tonnes, a la
capacité de charger et décharger en ro-ro des pièces jusqu’à 1 200 tonnes. « Conçu pour
transporter tout type de marchandises, explique Patrick Le Stunff, Shipping manager pour le
compte de Navy Blue, le ponton-barge est « ballastable » à 700 m3/heure et peut en outre
servir de quai de liaison lorsque se présentent des difficultés de tirants d’eau ». Cet
équipement exceptionnel, dont la commercialisation a été confiée à la société Surveyfert SA
Logistique portuaire, pourra remonter la Seine jusqu’à 20 kms au-delà de Rouen.
Parmi ses premières opérations remarquées figure, le 4 mars, le transfert d’un colis exceptionnel (photo) qui ne pouvait être
acheminé par la route en raison de ses dimensions (174 tonnes ; 21,2 m. de long sur 15,20 m. de large) : la barge Navy Blue a
effectué le transport pour le compte de la raffinerie Total, depuis le poste Dresser jusqu’au canal Bossière.
Contacts :
SURVEYFERT SA Logistique Portuaire - Patrick Le Stunff – Shipping Manager - [email protected] - +33 6 24 84 29 88
HAROPA : Bruno Le Gurun - [email protected] - +33 2 32 74 74 03 - +33 6 85 91 41 40
Les « capesize » bienvenus à Rouen
L’accueil à Rouen du vraquier STX Joy (292 m de long) à 20 cm du Densa Shark , plus
long navire jamais accueilli au Grand Port Maritime de Rouen, illustre le savoir-faire de la
chaîne des intervenants portuaires : capitainerie du port de Rouen, lamaneurs, station de
pilotage de la Seine, équipages des remorqueurs. Le 28 janvier sur zone de
Canteleu/Croisset, le STX Joy assisté par trois remorqueurs de Thomas Services Maritimes
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dont le tout nouveau TSM Albâtre (33 tonnes de traction) a en effet pu effectuer son départ
et son évitage dans les meilleures conditions.
D’ici quelques mois, les opérations d’évitage des grands navires se dérouleront à Hautotsur-Seine, au plus près des terminaux grand-couronnais du GPMR : la réalisation du cercle d’évitage de Hautot, face au Terminal
Conteneurs et Marchandises Diverses de Grand-Couronne, fait partie de la 2ème tranche du chantier d’amélioration des accès
maritimes du port de Rouen, engagée cette année. Ce chantier s’achèvera fin 2015 et permettra au port de Rouen d’accueillir des
navires, vraquiers notamment, d’un tirant d’eau de 11,70 mètres.
Paris : les déchets de chantier préfèrent le fleuve
17,4% de croissance : c’est le taux affiché en 2012 par le transport fluvial des déchets de chantiers en Ile de France, permettant au
trafic de dépasser la barre des 4 millions de tonnes. Zoom sur quelques exemples de la percée que connaît la filière.
Un trafic fluviomaritime inédit vers les Pays Bas
Un trafic quasi-inédit a été mis en place entre l’Île de France et les Pays-Bas, permettant de délester les autoroutes françaises,
belges et hollandaises de près de 1 900 camions. De novembre 2012 à janvier 2013, c’est par voie fluvio-maritime que 38 000
tonnes de terres non inertes ont été transportées depuis le port de Saint Denis l’Etoile (Seine Saint-Denis) jusqu’à Eemshaven (nord
des Pays-Bas) où elles ont été traitées. Evacués par 26 convois fluviaux (par chargement de 2 000 tonnes), les matériaux ont été
transbordés à Rouen directement sur des navires de mer. Cette vaste opération qui exige une logistique pointue représente une
performance en termes de délais : une semaine a suffi à acheminer les matériaux jusqu’au port hollandais. Une évacuation de 9 000
tonnes de produits similaires avait eu lieu dans les mêmes conditions cet été à destination de la Belgique depuis le port de Boulogne
le Grand (Hauts de Seine) via Rouen et des logistiques identiques seront prochainement réalisées à destination de l’Europe du nord.
Contact HAROPA : Christophe du Chatelier – [email protected] - +33 1 40 58 28 70 - +33 6 83 21
97 52
Contact HAROPA/Branche Industrie : Karim Lalmas – [email protected] - +33 1 40 58 29 22 - +33 6 84 78
74 87
RATP : du métro à la barge
De janvier à août 2013, la RATP effectue des travaux de stabilisation de la station de métro « quai de la Rapée ». Les 4 000 tonnes
de déblais et les 1 500 tonnes de ciment seront évacuées non par camions mais uniquement par barges amarrées le long du port de
la Rapée. « La solution fluviale offre plusieurs avantages, précise Richard Hermann, chef de projet à la RATP : elle limite les
perturbations de la circulation des véhicules aux abords du chantier, offre davantage de sécurité et respecte l’environnement ». La
RATP renouvellera ce choix qui répond à ses préoccupations de chantiers plus respectueux d’un développement durable.
Granulats : le duo gagnant « fer/fleuve »
L’activité ferroviaire de Ports de Paris poursuit son développement. Pour preuve, les résultats affichés en 2012 par le port de Limay
qui ont triplé depuis 2010 (à 272 000 tonnes). Parmi les trafics qui s’inscrivent dans cette logistique durable figure le transport de
granulats. Ainsi, les entreprises Carrières du Boulonnais et Lafarge Granulats, qui, en septembre 2011 ont mis en place à Limay des
transbordements de granulats fer/voie d’eau, ont permis, en 2012, d’affréter chaque semaine quatre trains complets d’environ 1 300
tonnes chacun.
Un nouveau service rapide vers les Antilles
Streamlines renforce la qualité de son service direct de Radicatel (Haropa-port de Rouen, à
proximité du pont de Tancarville) vers les Antilles. Une arrivée plus rapide et avant le weekend, permet désormais à la clientèle de réceptionner sa marchandise plus rapidement
encore. L’escale de Radicatel devient ainsi le transit time le plus rapide sur la Guadeloupe.
Cette nouvelle rotation est assurée depuis fin janvier 2013 par le Crown Jade, le Crown
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Garnet (152 mètres, 10.300 tpl) et autres Crown. Chaque semaine, sont ainsi touchés
Portsmouth le dimanche (trafic exclusivement reefer), Anvers le lundi, Radicatel le mercredi
puis, après 7 jours ½ en mer, Pointe-à-Pitre le jeudi, Philipsburg (Saint-Martin) le samedi et
Puerto Limon (Costa Rica) deux jours plus tard.
Contact : Dominique Leroy, Sea Shipping Services, quai de Radicatel 76170 Saint-Jean-de-Folleville - [email protected] - +33 2 35 39 17 56
X-Press : un nouveau service feeder avec l'Espagne et le Portugal
Spécialiste mondial du feedering commercial (près de 2,5 millions d’evp transportés par an) et acteur leader en Europe avec plus de
20 services feeders, X-Press inscrit un deuxième service au port du Havre depuis les ports de Vigo, Leixoes et Lisbonne. Trois
navires de 800 evp sont mis en œuvre sur ce service qui escalera deux fois par semaine au Havre. Deux terminaux sont concernés,
le Terminal de l’Atlantique et le Terminal Nord mais d’autres terminaux peuvent être touchés en fonction de la demande, en particulier
ceux de Port 2000. Le service NIX (Northern Iberia Xxpress) complète le dispositif ibérique mis en place par X-Press pour le port du
Havre, en complément du service BGX (Bilbao-Gijón-Le Havre) revenu au Havre en 2012. En plus de sa clientèle traditionnelle des
grands armements mondiaux, X-Press s’ouvre aux opérateurs short-sea ainsi qu’aux chargeurs qui disposent de leurs propres
conteneurs. Les escales des Jork Rider, Slidur et Karin Schepers sont prévues au Havre les lundis et vendredis.
Contact :
X-Press : Johnson Tan + 41 22 307 1382 - [email protected]
X-Press : Sonia Bajo + 41 22 307 1387- [email protected]
HAROPA : Marc Laplace-Builhé + 33 2 32 74 73 13 - [email protected]
Premier Road Show en Inde
Haropa a tenu son premier « Road show Inde » du 28 janvier au 1er février, rencontrant
près de 400 chargeurs, logisticiens indiens et compagnies maritimes. Menée par Hervé
Cornède, Directeur commercial et marketing Haropa), la délégation portuaire était
accompagnée de professionnels (MSC, CMA-CGM, SDV, Humann et Taconet, Michelin,
direction des Douanes) qui ont apporté leurs témoignages sur l’offre globale proposée par
Haropa. Des tables rondes se sont tenues à Chennai, New Delhi, Ahmedabad et Mumbai.
Les professionnels indiens montrent leur intérêt croissant pour les services des ports de
l’axe Seine. Ainsi le trafic conteneurs entre l’Inde et les ports d’Haropa a – t -il affiché une
augmentation de 6% en 2012. Rappelons que la France reste le premier partenaire
commercial européen de l’Inde.
Contacts :
Depuis 2008, Haropa-port du Havre dispose d’un bureau en Inde qui assure aujourd’hui la promotion des trois ports d’Haropa :
Capt. Ram Iyer et Capt Avinash Batra - [email protected] - [email protected].
HAROPA : Linda DOUET - [email protected] – + 33 2 32 74 72 04 / + 33 6 71 59 72 76
Rendez-vous au Brésil
HAROPA sera présent au salon Intermodal Sao Paulo du 2 au 4 avril 2013. Transamérica Expo - Sao Paulo / Stand : B-210.
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Contact HAROPA : Linda DOUET - [email protected] – + 33 2 32 74 72 04 / + 33 6 71 59 72 76
HAROPA et le MERCOSUD
Rencontre avec Jean-Pierre Bernard, représentant Haropa en Amérique du sud. Vous représentez HAROPA en Amérique du Sud :
1 - Sur quelle partie de ce vaste territoire concentrez-vous vos efforts ?
Effectivement le Brésil est un pays de dimension continentale mais jusqu’à un passé récent, la majeure
partie du commerce international se concentrait dans la région Sudeste (São Paulo, Rio de Janeiro, Minas
Gerais) où nous sommes installés. Depuis 15 ans, l’industrie s’est petit à petit disséminée dans les autres
régions. Ainsi, nous nous intéressons à la région Sul (Santa Catarina, Paraná, Rio Grande do Sul) qui
regroupe la majeure partie des industries de la viande de poulet et de la production de tabac, et la région
Nordeste (Bahia, Pernambouc, etc.), le verger du monde. Les industries du papier et de l’automobile sont
également concentrées dans ces trois régions.
2 - Quels clients sud-américains sont les plus demandeurs de relations commerciales avec HAROPA ?
Principalement les exportateurs de viandes et de fruits qui, bien que leur logistique soit souvent décidée par les importateurs
européens (ventes FOB) - sauf pour les leaders du marché - seraient intéressés à promouvoir des actions communes qui leur
permettraient d’aborder de nouveaux marchés et de connaitre de nouveaux clients.
3 - Quelles sont leurs principales attentes et exigences ?
Ils se préoccupent d’abord de la qualité des services portuaires : celle des ports Haropa est reconnue. Ils sont également soucieux de
fiabilité sociale : à ce titre nous souffrons d’une mauvaise réputation qui dépasse tout à fait la réalité. Aussi faisons-nous le maximum
pour corriger cette image par les faits concrets observés depuis la mise en place de la réforme portuaire en mai 2011 et expliquer
que les ports d’HAROPA se situent au même niveau de fiabilité que les ports du Nord de l’Europe.
4 - Quels sont vos meilleurs arguments pour vendre les services de l'Axe Seine, notamment des ports de Rouen (breakbulk) et Le Havre (reefer) ?
Nous valorisons la capacité d’expansion de l’ensemble portuaire Haropa qui se démarque de l’ensemble des autres ports nordeuropéens avec de nombreux espaces disponibles et des accès à l’hinterland non surchargés. Nous faisons également valoir la
diversité des spécialisations et le professionnalisme des opérateurs portuaires et logistiques. Nous insistons sur la coopération, dans
le respect des lois européennes, des services douaniers et vétérinaires. Enfin, nous n'oublions pas de citer la position de premier port
européen exportateur de grains de Rouen et la situation privilégiée de Rouen et du Havre comme accès vers une grande partie du
marché européen.
5 - Le salon Intermodal de Sao Paulo se tiendra du 2 au 4 avril : pour quelles raisons HAROPA y tiendra-t-il son stand ?
Le salon Intermodal est le principal événement de la logistique internationale d’Amérique latine : sur 36.000 m2 d’exposition, 22 pays
y seront représentés en 2013. Les principaux ports, armateurs, logisticiens et autres prestataires de service du secteur y sont
présents. De ce fait, le salon est doublement important pour Haropa par les contacts maintenus avec les autres exposants mais
surtout avec les visiteurs qui sont les décideurs des principaux acteurs brésiliens de la logistique internationale.
Contact :
Jean-Pierre Bernard - B&A Gestion
Alameda Campinas, 463, 15° andar - Bairro : Jardim Paulista
Sao Paulo – SP - CEP : 01404-902 - BRASIL
Tél : +55 (11) 38 16 83 47
Portable : +55 (11) 92 21 75 56
[email protected]
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