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en accord avec la Compagnie Aurore présente Contact tournée : Sébastien Bernard ( 06 23 08 70 63 Claude Laucournet ( 06 12 31 38 81 COMEDIE SUR UN QUAI DE GARE Auteur : Samuel Benchetrit mise en scène : Sébastien Bernard Décor, lumière : Sébastien Bernard Régie générale : Thierry Diez Avec Claude Laucournet Donatien Mousset Laure Reutermann et la voix de Sophie Margalet te i discrè s s u a t e es ur ce en scèn mment en vale es e s i m et l brilla « La le texte , et met : e c e r a t c â fi é f h e qu’ e du t l’essenc t i a f i u q rovence P a L » acteurs. Une pièce de Samuel Benchetrit Mise en scène de Sébastien Bernard « Vous cherchez une pi èce qui soit poétique, dure et tendre à la fois, gaie, triste, drôle, une pièce qui vous fasse vi brer au gré de mille émotions... ne cherchez plus et courez voir Comédie sur un quai de gare.» L’hebdo du Vaucluse ître […] « Un petit bijou joué de main de ma avec la un spectacle qui, comme toujours lité.» compagnie Aurore, est d’une rare qua Le Dauphiné « Drôle et émouvant. » « Sur un ton à la fois plein et de pro fondeur, de légère l’ té a uteur nou observatio s livre un n juste e t précise e qui mêle l’ du quotid absurde à ie n la drôlerie , .» Le Télégr amme « La forte présence de Claude Laucournet en père possessif, meurtri, projette la sage beauté de Laure Reutermann qui fait un parcours saisissant. » Le Journal du Pont du Gard COMEDIE SUR UN QUAI DE GARE Propos Un quai de gare plutôt gris presque désert Il est 20h54 il fait plutôt bon presque nuit Une pièce de Samuel Benchetrit Mise en scène de Sébastien Bernard Une jeune fille plutôt jolie presque absente Un jeune homme plutôt impatient presque nerveux Ils attendent le train pour Paris. Trois personnes sont assises chacune sur un banc N’attendent-ils que ce train qui tarde, lui aussi ? Un homme plutôt âgé presque triste Sophie Margalet Note de mise en scène Trois individus, deux hommes, une femme, attendent un train. Un homme engage la conversation. Il a une idée derrière la tête, une idée un peu folle mais qui ne porte pas particulièrement à conséquence. Alors il tente le coup. Il n’y croit pas trop mais le jeu est plutôt amusant. Alors ils se mettent à parler, s’expliquent, se racontent, se poussent à bout. Le fil du dialogue devient une corde raide, un fin cordon qui menace de se briser au hasard d’une discussion et qui les renverrait autant qu’ils sont à leur point de départ : des étrangers qui attendent un train … mais la parole ne se rompt pas. Dès les premières lignes l’auteur impose un langage, celui du quotidien. Sans jamais devenir ordinaire, Samuel Benchetrit pratique une langue « de tous les jours », une langue affûtée qui fait mouche, celle qui respire la vie, la spontanéité, celle qui trahit les humeurs et dévoile les sentiments. Aller au bout de chaque situation, épuiser chaque intention pour amener chacun à se découvrir, presque malgré lui … ainsi poussés à bout, les personnages dévoilent leurs contradictions et mettent à jour les passions non exprimées qui les animent. Décor, lumière, costumes, tous les accessoires de l’imaginaire vont à l’essentiel. Eviter l’ornementation pour mettre en avant trois acteurs, trois personnages. Chercher la plus grande sobriété pour que se détachent trois personnalités, trois cœurs à vif. Sébastien Bernard COMEDIE SUR UN QUAI DE GARE Une pièce de Samuel Benchetrit Mise en scène de Sébastien Bernard La presse en a parlé... Le Dauphiné (4 juillet 2002) La magie du théâtre avec la compagnie AURORE La compagnie AURORE nous a présenté une pièce de Samuel Benchetrit qui, comme son nom ne l’indique pas, est tout sauf une comédie. Une option ambitieuse mais couronnée de succès, le talent des interprètes faisant oublier la mélancolie sousjacente d’un texte propice à la réflexion. Car cette Comédie sur un quai de gare, sorte de huis-clos à quatre personnages, a des accents de tragédie antique même si la fin en est heureuse. Un père hypocondriaque et sa fille dévouée attendent un train pour Paris. Un homme jeune, assis à l’écart, fait de même. Poussé par le besoin avoué de la «placer» mais surtout par l’envie inconsciente d’éprouver ses sentiments à son égard, le père incite le jeune homme à courtiser sa fille. Ce jeu pervers se retournera naturellement contre lui, les deux tourtereaux décidant au final de vivre ensemble. Sur un sujet grave, le devenir des rapports père-fille quand surgit un rival, l’auteur nous incite à une réflexion sur la complexité d’une âme parentale partagée entre le désir de protéger et l’instinct de possession. Bref, un petit bijou joué de main de maître sur lequel plane avec justesse la voix « off » de l’équivalent contemporain de la Pythie. Ajoutons à cela un décor très soigné et nous avons la recette d’un spectacle qui, comme toujours avec la compagnie Aurore, est d’une rare qualité. F.S. Le Télégramme (20 juillet 2002) «Comédie sur un quai de gare» : drôle et émouvant Dans une ambiance plutôt intime, la compagnie AURORE a offert une prestation de qualité avec Comédie sur un quai de gare. Une histoire qui paraît invraisemblable, et pourtant... Sur un quai de gare, une jolie fille rousse, Michelle, tourne le dos. De face, un jeune homme taciturne, Vincent. Et Charles qui a la soixantaine. Après un début de communication difficile entre les deux hommes, Charles conseille Vincent, qui est introverti et très maladroit, sur la manière d’aborder Michelle. Le dialogue se noue tant bien que mal, mais l’intrigue se dévoile : Charles est le père de Michelle, il est malade, et s’inquiète pour l’avenir de sa fille qui ne travaille pas. En fait, il cherche à la caser. Et puis il y a la voix du hautparleur, qui en a marre de passer inaperçue, et qui essaie de donner un coup de pouce au destin ! La pièce de Samuel Benchetrit explore ici les relations père-fille. Sur un ton, à la fois plein de légèreté et de profondeur, l’auteur nous livre une observation juste et précise du quotidien, qui mêle l’absurde à la drôlerie. Des personnages «à fleur de peau», émouvants, qui accrochent le spectateur, d’autant plus qu’il y a un «happy-end». COMEDIE SUR UN QUAI DE GARE Une pièce de Samuel Benchetrit Mise en scène de Sébastien Bernard Le Journal du Pont du Gard (1er aout 2003) Pas facile de reprendre la pièce de Samuel Benchétrit créée par ce couple, quasi parfait, que forment JeanLouis et Marie Trintignant, portant à la scène un amour déjà existant. C’est pourtant ce peu commode pari qu’à tenu à réaliser Sébastien Bernard. Un début de rencontre sur un lieu public tient plus d’une rixe que d’un simple rapport humain. La banalité des premiers propos portés comme des sondes rappelle plus des adversaires qui se mesurent que le rapprochement nécessaire d’une civilité forcée. L’engagement du rapprochement est laborieux. Dans cette sorte d’enclos provisoire les trois personnages sans liens apparents attendent. L’histoire semble devoir se développer comme «Huis clos» de Sartre ou «Fausse Adresse» mais la donne est fictive, non seulement des liens existent mais le scénario est déjà monté. Singulière idée que de vouloir caser sa fille par la combinaison de rencontre fortuite sur un quai de gare ! Singulière approche que le commentaire de l’annonceur invisible mais préoccupé par le déroulement de l’action. La réussite de la démarche est-elle au rendez-vous ? C’est compter sans la force possessive de l’amour du père et la peu probable reconversion d’un amour filial extrême. Puis de l’amour, de la douloureuse séparation même naît la force de la vie... l’espoir enfin. Un décor minimal, des costumes rigoureusement réalistes, des personnages vrais nous font rapidement entrer dans leur univers. L’histoire pour surprenante qu’elle soit laisse bientôt place à une analyse de caractères. Les personnages nous deviennent familiers, on se prend à espérer un dénouement conforme, avec une pointe de désespoir cependant, celle de la fracture éternelle qu’engendre irrémédiablement la prise de souveraineté de chaque vie. La forte présence de Claude Laucournet en père possessif, meurtri, projette la sage beauté de Laure Reutermann qui fait un parcours saisissant. Donatien Mousset, étranger étrangement proche du couple convainc lui aussi le spectateur de la réalité de son personnage COMEDIE SUR UN QUAI DE GARE Une pièce de Samuel Benchetrit Mise en scène de Sébastien Bernard L’Hebdo du Vaucluse (11 juillet 2003) La magie des gares Vous cherchez une pièce qui soit poétique, dure et tendre à la fois, gaie, triste, drôle, une pièce qui vous fasse vibrer au gré de mille émotions... ne cherchez plus et courez voir Comédie sur un quai de gare. 20h54: trois personnes assises chacune sur un banc, attendent le train pour Paris. L’un «monte» pour signer le bail de son bar-tabac qu’il a acheté par correspondance, l’autre a rendez-vous chez le médecin. Quant à «elle», c’est une autre histoire... Le metteur en scène, Sébastien Bernard, a opté pour un décor dépouillé, il a choisi d’éviter l’ornementation pour mettre en avant les trois personnages, «trois cœurs à vif» et laisser place à l’imaginaire. Donatien Mousset joue merveilleusement le rôle du type ordinaire, Laure Reutermann est d’une fraîcheur, d’un naturel à vous couper le souffle, quant à Claude Laucournet... c’est tout simplement indicible ! B.L La Provence (17 juillet 2003) Un quai de gare avec ses bancs, ses hautparleurs, son distributeur de friandises, le vacarme des trains qui ne s’arrêtent pas. Le hasard rassemble là, deux hommes et une jeune fille. Leur train a du retard et ils doivent rester à côté l’un de l’autre, bien trop de temps pour qu’aucun ne se risque à engager la conversation. Ce lieu d’attente est un archétype de la situation de théâtre. On n’y trouve habituellement que de l’anodin, mais c’est justement de l’essentiel qui va se dérouler entre trois personnages et pendant une heure, leur destin va s’accélérer vertigineusement. Les acteurs sont justes, la mise en scène est aussi discrète qu’efficace, et met brillamment en valeur ce qui fait l’essence du théâtre: le texte et les acteurs. David CARATY COMEDIE SUR UN QUAI DE GARE Une pièce de Samuel Benchetrit Mise en scène de Sébastien Bernard Samuel Benchetrit, l’auteur Samuel Benchetrit est un jeune auteur et metteur en scène au talent protéïforme. Il est d’une part l’auteur remarqué d’un roman intitulé Récit d’un branleur, publié aux éditions Julliard en février 2000, et bientôt réédité en livre de poche. Son deuxième roman John est publié chez le même éditeur. Samuel Benchetrit a réalisé un court-métrage intitulé Nouvelle de la Tour L, qui a été sélectionné et primé dans de nombreux festivals et un long-métrage Janis et John sorti le 15 août 2003. Sa première mise en scène Poèmes à Lou, au Théâtre de l’Atelier au Printemps 1999, réunissait Marie et Jean-Louis Trintignant. Cette rencontre à trois, autour d’Apollinaire, fut riche en plaisirs pour les acteurs et le metteur en scène et couronné par un triomphe. Cette expérience a suscité chez Samuel Benchetrit le désir d’explorer plus avant le couple père-fille et ses relations avec le monde extérieur, en écrivant lui même une pièce de théâtre sur ce thème. Sébastien Bernard, le metteur en scène Tout d’abord comédien dans la troupe depuis l’âge de douze ans, il travaille en 1999 comme assistant éclairagiste avec François Eric Valentin (Théâtre 14, Théâtre du Ranelagh). A partir de 2000, tout en suivant une année de cours d’art dramatique au Studio 34, il devient assistant metteur en scène et travaille pour Xavier Lemaire (l’Imposture Comique de Pascal Bancou au Théâtre de la Huchette et en tournée, Caserio Anarchiste de Roger Défossez au festival d’Avignon, l’Amicale des contrevenants de Gauthier Fourcade au Théâtre de la Huchette et La soupe aux orties de Roger Défossez à l’Espace Rachi). Il travaille également en 2001 avec Nicolas Bataille sur Les plaisirs scélérats de la vieillesse de Michel Philipp (Théâtre de la Huchette). Dernièrement il a mis en scène La Terrasse de Jean-Claude Carrière et Piège pour un homme seul de Robert Thomas et pour le Festival d’Avignon La nuit du soupçon de Claude Broussouloux. Claude Laucournet Dans la troupe depuis trente ans, il en devient responsable en 1985. Après avoir joué pour de nombreuses compagnies et quelques apparitions au cinéma (Le mariage de Figaro de Roger Coggio, Place Sainte Marthe de Michel Wlasikoff), il se consacre à la compagnie Aurore pour laquelle il signe une vingtaine de mises en scène Il a joué dernièrement dans : Acapulco Madame de Yves Jamiaque, Un air de famille de A. Jaoui et J-P. Bacri, Pauvre France de Jean Cau, Un ami imprévu de Agatha Christie, Mademoiselle de J. Deval, Piège pour un homme seul de R. Thomas, Le Minotaure de M. Aymé, Le Conte d’hiver de W. Shakespeare, Les monstres sacrés de J. Cocteau, La terrasse de J-C. Carrière. Il jouera également lors du Festival d’Avignon, La nuit du soupçon de Claude Broussouloux. Laure Reutermann Après une formation à l’ECAT puis au conservatoire du 12ème , elle commence à 17 ans des tournages pour Surprise sur Prise et obtient ensuite un petit rôle au cinéma dans Hélas pour moi de J-L. Godard. A 19 ans, elle entre au sein de la troupe Aurore pour laquelle elle va jouer dans plus d’une quinzaine de pièces dont: Pauvre France de Jean Cau, Acapulco Madame d’Yves Jamiaque et Les Monstres Sacrés de Jean Cocteau. Elle continue parallèlement sa carrière en tournant dans des fictions télé (Boulevard du Palais), dans la mode comme modèle photo et le théâtre (Théâtre Bourvil, Cendrillon 2000). En 2002 elle participe à des opéras et des ballets au théâtre du Châtelet (Arrabella de R. Strauss, Petrouchka et Casse Noisette de Tchaïkovski). On a pu la voir dernièrement dans La terrasse de J-C. Carrière. Elle jouera également lors du Festival d’Avignon, La nuit du soupçon de Claude Broussouloux. Donatien Mousset Comédien et chanteur, il a interprété au théâtre différents rôles tels que Lelio (La Serva Amorosa de Goldoni), le roi d’Espagne (Le village en flammes de Fassbinder), Andreï (les Trois Sœurs de Tchékhov), Robert Chiltern (Un mari idéal de O. Wilde) et, dernièrement, Angelo dans Le sénateur Fox de Luigi Lunari avec Aurore. En février 2002, il a joué dans La Folle de Chaillot de Giraudoux au théâtre de l’Athénée avec Judith Magre. Il a joué l’année dernière dans La terrasse de J-C. Carrière. Il travaille actuellement sur deux projets avec un membre de la troupe du théâtre du Campagnol (Le Bal); Célimène et la Cardinal de Jacques Rampal et De Brecht à Brel un récital qu’il a conçu avec Loïc Dogon et qu’il jouera Paris à la rentrée 2004. Il jouera également lors du Festival d’Avignon, La nuit du soupçon de Claude Broussouloux. Sophie Margalet Tout d’abord danseuse classique et moderne, elle fait ses débuts au théâtre sous la direction de Raymond Gerbal. Elle fut Madame Meg dans L’Otage de Brendan Behan et a été distribuée dans Les Hussards de P. Bréal, Le Goûter des Généraux de Boris Vian, Georges Dandin de Molière ... Après un bref passage à L’Equipe pour Charles IX de M-J. Chénier, elle a rejoint la compagnie Aurore en 1980 et ne l’a plus quittée. Elle y a joué dans plus de trente pièces dont, parmi les plus récentes : Mademoiselle de J. Deval, Un air de famille de A. Jaoui et JP. Bacri, Le Minotaure de M. Aymé, Un ami imprévu, Les dix petits nègres de A. Christie, Coup de soleil de M. Mithois, Les monstres sacrés de J. Cocteau, La terrasse de J-C. Carrière. Elle jouera également lors du Festival d’Avignon, La nuit du soupçon de Claude Broussouloux. COMEDIE SUR UN QUAI DE GARE Une pièce de Samuel Benchetrit Mise en scène de Sébastien Bernard Fiche technique Contact Sébastien Bernard 7, rue Raymond du Temple - 94300 Vincennes Tél/Fax : 01 43 98 08 97 / Mail : [email protected] Spectacle Durée : 1h05 4 comédiens (2 hommes/2 femmes) Plateau Ouverture mini : 7m Profondeur mini : 4m Hauteur mini : 3m50 Boîte noire Décor Comédie sur un quai de gare dans sa configuration minimum 3 bancs 1 poteau 1 distributeur de barres chocolatées Révêtement au sol : 3m x 7m Lumière 15 PC 1000 8 circuits de 3kw ou 9 circuits 2kw Son 1 platine CD Diffusion public et retour en fond de scène 1 Réverb 1 micro COMEDIE SUR UN QUAI DE GARE Une pièce de Samuel Benchetrit Mise en scène de Sébastien Bernard Fiche financière Contact Sébastien Bernard 7, rue Raymond du Temple - 94300 Vincennes Tél/Fax : 01 43 98 08 97 / Mail : [email protected] Conditions financières : La représentation : 3200,00 € HT Plus : • • défraiements au tarif en vigueur SYNDEAC pour 4 comédiens, 1 régisseur, 1 metteur en scène transport décors et comédiens (une camionnette) : 1€20 du km départ Paris