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Depuis
le début !
REALISE
PAR L’AMICALE DES
ANCIENS
DU
Amicale des Anciens du
Stade Niortais Rugby
STADE NIORTAIS RUGBY
No 3
Niort La Rochelle
Le « championnat» des Anciens se poursuit à un bon rythme, après
Angoulême, Cognac, Surgères, et Plaisir, La Rochelle était invité le 30
mars à Grand Croix.
Défaite des «Zaba's boys» (5 essais à 2), devant une équipe
talentueuse et joueuse renforcée par l'entraîneur de l'équipe première
de Niort.
La rencontre matinale s'est déroulée dans un excellent esprit malgré
une pluie incessante. Relances, courses échevelées et jeu de passes
impressionnant prirent le pas sur l'usuel « pick and go» que nous montre
le nouveau rugby. Chacun s'est vidé les tripes sans retenue,
heureusement d'ailleurs, comme la suite va le démontrer.
Anecdotes :
- Notre deuxième ligne de devoir s'est distinguée. Serge adressant une
magnifique passe vrillée à ...l'arbitre,
- et l'absence éclair (au chocolat...) d'Eric, dit «Mac» en plein milieu de
la deuxième mi-temps, s’éclipsant d’un maul, puis s’abritant derrière la
main courante et quelques buissons (des résineux), pour une vidange
intestinale. Ce dernier risque un passage devant la commission (la
grosse) de l'éthique sportive. Mac s'est toutefois excusé à la fin du
match en ces termes : «Ca m'a fait ch... d'abandonner les copains !».
Après la douche et un excellent repas convivial avec nos amis Rochelais
(menu à deviner pour les plus perspicaces), la joyeuse troupe
d'Anciens a ensuite assisté à la montée en Fédérale 1 des jeunes
Niortais.
Grand bravo à eux.
Le journaliste de service ce jour là.
* la suite du reportage photo est sur le site leragondin.fr
PORTRAIT
Tuby ?, …est-ce notre Tuby ? …
Oui c’est bien Jean-Pierre Tuby, pilier des anciens, au sortir de la douche un jeudi soir après
l’entraînement flashé par un paparazzi de Fressines (B.....M…) alors qu’il remettait son string.
Non, il n’a pas une seconde vie la nuit et ne pratique pas le transformisme.
Pilier de métier et dans l’âme, Jean Pierre cale la mêlée, stabilise les mauls et à l’occasion
de mêlées ouvertes, percute adversaires (ce qui est normal) et … partenaires. (je me souviens…)
L’horoscope de Bernard Méhouas (suite)
«Perles de culture stadiste»
Elite 1, élite 2, fédérale 1, 2 , etc…, tout cela n’existait pas encore. On parlait de
Groupe A , Groupe B , 2ème div. , 3ème div , honneur ,etc… Et bien ça y était ce
dimanche là, nous venions de conquérir notre place en Groupe B de nationale.
Après une 3ème mi-temps qui dura toute la nuit, nous décidions d’en faire une 4ème
le lundi à midi. C’est ainsi que nous nous retrouvions au restaurant l’Ecu d’Or à
Chizé pour y jouer les prolongations.
Alors que nous étions au bar en train de remettre «la tête dedans», la porte
s’ouvrait et Colette, la femme de Richard M …entrait venant pour participer à
cette suite avec les copains de son mari. Sans même l’ombre d’une pensée
machiste nous lui faisions une place à table avec nous. Sa présence ne limitera
d’ailleurs aucunement le répertoire de nos chansons paillardes pas plus que la
gestuelle qui parfois les accompagne. A la fin du repas tandis que Colette
regagnait son travail, Philippe notre 3ème ligne agriculteur dont la ferme était toute
proche proposait une dégustation de Pineau maison. Richard avait alors la bonne
idée de garer sa voiture juste devant l’étable. Afin de marquer l’atypique présence
de son épouse au repas de midi dans cette réunion de mecs, certains d’entre
nous s’échappaient de la cave et déposaient délicatement sur son pare brise une
magnifique bouse de vache tandis que une autre allongée sur un délicat lit de
paille était déposée dans son coffre. Richard ne fut alors pas traumatisé par la
situation. Pour quitter les lieux, il fit marcher les essuie-glaces, activa le laveglace, se fit un trou par lequel il pouvait glisser son regard et regagna ainsi son
domicile.
Le lendemain soir à l’entraînement sa voiture portait encore très largement les
stigmates de l’explosion de la bouse sur son pare brise. Mais il ne comprenait pas
pourquoi l’odeur qui régnait dans sa voiture lui rappelait tant son enfance à la
campagne. Il n’avait pas ouvert le coffre et s’était rendu comme cela à son
travail ! Quelques jours plus tard, à Saujon devant un stade comble nous
perdions en demi finales.
Si marcher dans la merde porte chance, la preuve était faite que le volume
brassé ne fait rien à l’affaire.
Alain Rouvreau
Balier (32 oct – 34 nov)
Santé : attention au terrain encore gras malgré le printemps.
Privilégiez les chaussures à crampons plutôt que les ballerines pour
pousser en mêlée. Vous éviterez ainsi d’éventuelles sciatiques.
Travail : Malgré tous les efforts consentis dernièrement, vous ne
mettez toujours pas un pied devant l’autre. Compte tenu de la météo
actuelle, restez donc le matin au chaud dans votre lit.
Amour : Il est grand temps que vous changiez de partenaire surtout
si vous jouez au talonnage. Vous n’êtes plus du tout soutenu sur
votre gauche. Ceci est vrai pour les natifs du 2ème décan.
Vicer (48 avr – 54 mai)
Santé : c’est du côté des tripes que vous connaîtrez le plus de
problèmes surtout que jeudi dernier à l’entraînement la bière était
trop froide !
Travail : Inspiré quand vous jouiez demi, vous n’êtes plus trop à
votre avantage maintenant que vous êtes passé à l’arrière. C’est ce
que l’on vous reproche justement, de ne pas les assurer vos
arrières.
Amour : depuis que vous vous épilez les poils des jambes et du
torse, vous ressemblez de plus en plus au mannequin qui posent
dans les calendriers osés. Du coup, vous plaisez beaucoup quelque
soit le sexe d’ailleurs ! Attention. Là encore, assurez vos arrières.
Cette lettre d’information, destinée aux adhérents
de l’Amicale des Anciens cteurs du Stade Niortais désirant
s’exprimer, dans un esprit constructif et convivial. L’humour
est le bienvenu.
Nous attendons vos articles, témoignages, analyses,
histoires, photos, etc. …
Pour tous contacts :
Alain Rouvreau : [email protected]
Serge Sirac : serge.sirac@club-internet .fr
Fabien Tratapel : [email protected]
Thierry Vidard : [email protected]

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