Conjuguons ensemble le Futur du Passé

"Conjuguons ensemble le Futur du Passé"
Une exposition qui résume 50 ans d’histoire des Œuvres Universitaires
et
présente les premiers projets du CROUS de Bordeaux
pour le nouveau demi-siècle.
« Jamais sans les étudiants »
C’est là toute l’originalité d’une histoire qui a débuté il y a 50 ans maintenant et qui
n’a jamais cessé de se construire.
« La création du réseau des CROUS avec et pour les étudiants a donné à l’entre aide une
structure moderne et souple, rendant possible la démocratisation des études tout en
s’adaptant aux nouvelles conditions de vie estudiantine.
Si les compétences du CROUS se sont diversifiées au fil des années, l’esprit reste celui
des pionniers de l’entraide étudiante : favoriser l’éducation de la jeunesse ».
Dans cette exposition, à côté donc de l’histoire retranscrite dans ses temps forts à
travers textes, photos et coupures de presse, la « parole » étudiante d’aujourd’hui.
Pour la formaliser :
► une représentation visuelle des tous premiers projets du futur
pour le CROUS de BORDEAUX, projets auxquels les représentants étudiants ont
été étroitement associés.
► une expression artistique pour transcrire « le vécu » d’un
étudiant d’aujourd’hui par rapport à son environnement de vie immédiat.
Trois étudiants exposent donc leurs travaux (photographiques et vidéo)
réalisés tout particulièrement à l’occasion de cette exposition des 50 ans du
CROUS.
Exposition réalisée en collaboration avec l'association
UNE EXPOSITION ITINERANTE
Lieux et dates d’exposition :
« La Chapelle des Capucins »
au CROUS 18 rue Du Hamel – Bordeaux
du 28 nov. au 5 déc 2005 de 12 h 00 à 17 h 00
et ensuite
.
* à la cafétéria universitaire "La Soucoupe" – Université Bordeaux 1 Bât du 1er
cycle Talence
du 6 au 9 déc 2005
* au restaurant universitaire n°2 sur le Domaine universitaire - Pessac
du 12 au 15 déc 2005
* au restaurant universitaire n° 3 sur le domaine universitaire – Gradignan
du 16 au 20 déc 2005
* au nouveau restaurant universitaire "les Capu’s" à la halle B du marché
des Capucins - Bordeaux
du 9 au 13 janvier 2006
D’autres lieux seront communiqués ultérieurement.
LES EXPOSANTS ETUDIANTS
► Mustapha EL HAYANI a 23 ans. Originaire de Côte d’Or, il est actuellement étudiant au
sein de l’IUP ISIC de l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3 en Master 1 option
Image depuis 1 an. C’est le réalisateur/monteur du film vidéo de l’exposition.
Ce film a été réalisé en collaboration avec Bruno MARTIN (cadre), Jérémy DUFOURGT
(écriture) et John THACKWRAY (acteur), eux aussi étudiants en Master 1 de l’IUP ISIC
(Bordeaux 3).
Le tournage a eu lieu entre Bordeaux 3, le village 4 et Bordeaux 4 avec notre propre matériel
de tournage.
Voici leurs mots …
« Ce montage visuel et sonore a pour but de mettre en image le rituel étudiant en
soulignant la vitesse de ce passage à travers la vie universitaire. Le film tente une
telle mise en image grâce à la relation constante existant entre les structures du
CROUS et l’étudiant lui même. »
► Benjamin MARTIN a 22 ans. Il est né à Limoges. Après avoir fait sa première année aux
Beaux Arts d’Angoulême il a intégré l’université Michel de Montaigne Bordeaux 3 où il est
actuellement en Master d’Arts Plastiques.
Benjamin MARTIN est l’auteur d’ une partie des photos de l’exposition.
Voici ses mots…
« Un trace…voilà ce que j’ai voulu mettre en œuvre. La trace du mode de vie
particulier de l’étudiant en 2005. Sous la forme d’une sorte de schéma, on peut y
suivre le moments clé de sa journée, entrevoir à travers des fragments son quotidien.
La vie d’un étudiant est loin d’être triste, me semble-t-il. C’est pour cela que j’ai opté
pour un style graphique qui puisse évoquer une certaine « gaieté » et qui puisse
aussi être caractéristique des années 2000 par le mixage des techniques et
l’utilisation de l’ordinateur. »
►Adeline LAMARQUE a 25 ans. Elle a fait ses études à l’université Michel de Montaigne
Bordeaux 3 en géographie.
Voici ces mots …
« J’ai choisi de photographier une étudiante dans son lieu de vie quotidienne, la
chambre universitaire. L’étudiante au centre de ce travail, se prénomme Gnia, suit
une formation à l’Université Montesquieu Bx 4 et habite le village 5. L’objectif était de
mettre en scène Gnia à travers ses activités journalières : repas, étude, repos… en
créant une unité, esthétique et symbolique, qui serve de fil conducteur à l’ensemble
des clichés. Cette unité repose à la fois sur la mise en place de cadre de bois au sein
de la photo et sur l’édification d’une « toile d’araignée » constituée de fils colorés.
Les cadres visent à valoriser les actions de Gnia ou à mettre en évidence des objets
du quotidien, importants à ses yeux (photos de famille…). La toile, quant à elle, fait
référence à un réseau dont l’étudiant est le centre et dont les fils symbolisent les
relations humaines qu’il construit. Ainsi, on peut penser que le réseau de Gnia est
constitué par les relations qu’elle entretient avec son pays d’origine (le Vietnam) et sa
famille, puis par les liens qu’elle a tissés avec ses voisins de chambre en cité u
comme avec les étudiants de sa promotion et par les auteurs des ouvrages qu’elle a
pu lire lors de son année scolaire. Et pour finir, la toile et les cadres apportent à cette
série de photo un intérêt graphique puisqu’ils créent des formes géométriques qui
nourrissent la composition de chaque cliché. »