Compte-rendu du 24 septembre 2015

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Compte-rendu du 24 septembre 2015
COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS
Séance du 24 septembre 2015
L’an deux mil quinze le 24 septembre à 20 h, le Conseil communautaire
régulièrement convoqué le 17 septembre 2015 s’est réuni à HORTES, salle des
fêtes, sous la présidence de M. François GIROD.
Étaient présents :
ANROSEY : M. BILLON Robert
LA QUARTE : M. HUOT Michel
ARBIGNY : M. GONCALVES Fabrice
LA ROCHELLE : M. MULTON Alexandre
BELMONT : M. ALLIX Michel
MAIZIERES /AMANCE : M. HUTINET Jean-Marie
BIZE : Absent
OUGE : Mme COCAGNE Agnès
CELSOY : M. BILLANT Denis
PIERREMONT : M. LINOTTE Jean Marc
CHAMPIGNY /VARENNES : M. FALLOT Eric
PISSELOUP : Mme PERTEGA Laurence
CHAMPSEVRAINE : M. FRISON Bernard, M. PERRIN
Benoît, M. BORGOMANO Gabriel, M. MUSSY François
POINSON les FAYL : Mme AUBRY
Marie-Claude
CHEZEAUX : M. GUY Emmanuel
PRESSIGNY : M. ROGER Jean-Claude
COIFFY LE BAS : M. GALLISSOT André
ROUGEUX : M. PERNEY Patrice
FARINCOURT : M.VUILLAUME Antoine
SAULLES : M. DE TRICORNOT Ghislain
FAYL BILLOT : M. PETIT Sylvain,
Mme MOILLERON Josiane, M. DOMEC Patrick, M.
GIROD François
SAVIGNY : Excusé
GENEVRIERES : M. GUERRET Daniel
.GILLEY : M. FRANCOIS Daniel
SOYERS : M. BREDELET Bernard
GRENANT : Mme SEMELET Christiane
VALLEROY : M. JOFFRAIN William
GUYONVELLE : M. GUENIOT Jean-François
VARENNES : Mme DENIS Malou, M. SAUSSOIS Olivier
HAUTE AMANCE : M. BIANCHI Jean Philippe, M.
DEMONT François, M. GUICHARD Jean Marie, M.
MARCHISET Michel
VELLES : M. FRENETTE Bernard
LAFERTE SUR AMANCE : M. THOMAS Gilles
VONCOURT : M. SOUCHARD Romain
TORNAY : Absent
PV de la réunion du 2 juillet 2015
Après que le Président ait rappelé les différents titres du PV adressé en même temps que la
convocation à la réunion de ce jour, il le soumet à approbation. Le conseil approuve le PV de la
précédente réunion.
2015-65 Décision modificative n°1 Budget annexe MERCER
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
Il convient de procéder aux ajustements suivants :
SECTION D’INVESTISSEMENT
Dépenses
Recettes
1
Chap./Art
20 - 2031
23 – 2313
Chap.
/ Art.
- 7 000 € 13 –
1313
13 –
+ 16 262 €
13151
Désignation
Montant
Frais
d’études
Construction
s
Total
Désignation
Montant
Subvention
Département
Subvention GFP
de rattachement
+ 9 262 €
+ 2 552 €
+ 6 710 €
Total
+ 9 262 €
Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire :
-
Approuve la décision modificative n°1 du budget Mercer
2015-66 Décision modificative n°1 Budget annexe ASSAINISSEMENT
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
Afin de pouvoir procéder aux écritures d’amortissement sur le budget assainissement, il convient
d’effectuer les modifications suivantes :
SECTION DE FONCTIONNEMENT
Dépenses
Cha
p./A
rt
Désignation
023
Virement à la
section
d’investissement
042
–
681
1
Dotations aux
amortissements
Total
Recettes
Montant
Chap.
/ Art.
8 339 € 042 –
777
-
Désignation
Montant
Quote-part des
subventions
d’investissement
transférée au
compte de
résultat
-
153 €
-
153 €
+ 8 186 €
-
153 €
Total
SECTION D’INVESTISSEMENT
Dépenses
Chap./Ar
t
040 –
1391
Désignation
Subventions
d’équipement
Recettes
Montant
-
153 €
Chap.
/ Art.
021
Désignation
Virement de la
section
d’exploitation
Montant
-
8 339 €
2
040 –
2803
040 –
28158
Total
-
Amortissement
frais d’étude
Amortissement
autre
installations,
matériel et
outillage
techniques
153 €
Total
+ 9 067 €
-
881 €
-
153 €
Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire :
-
Approuve la décision modificative n°1 du budget assainissement
2015-67 Remboursement des frais de personnel du budget annexe SPANC au budget
principal
Vu les instructions budgétaires et comptable M14 et M49 ;
Les dépenses de personnels communautaires dédiées à la gestion administrative et technique du
Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) ont été prévues directement sur le budget annexe
SPANC au budget 2015.
Néanmoins, considérant que ce budget n’a pas la personnalité morale, il appartient au budget
principal de procéder au règlement des rémunérations et charges y afférentes. Aussi, il convient de
procéder à un remboursement par le budget SPANC au budget principal de ces frais de personnel et de
prévoir les ajustements nécessaires à la passation de ces écritures sur ces deux budgets.
Le temps passé est estimé à 10/35ème du coût moyen d’un équivalent taux plein, soit pour
l’année 2015, à 6 800 €. Chaque année, ce montant sera déterminé au moment de l’élaboration du
budget sur cette base de 10/35ème. Le remboursement interviendra en cours d’année budgétaire.
Sur ces bases, le Conseil Communautaire :
-
Accepte le remboursement des frais de personnel du budget annexe SPANC au budget principal,
-
Prévoit par décision modificative en 2015, puis chaque année au budget primitif, les crédits
budgétaires nécessaires à la passation de ces écritures, à savoir sur le budget principal, à l’article
70872 « remboursement de frais par les budgets annexes » en recette, et sur le budget annexe
SPANC à l’article 621 « personnel affecté par la collectivité de rattachement » en dépense.
2015-68 Décision modificative n° 1 Budget annexe SPANC
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
Il convient de procéder aux ajustements suivants :
3
Dépenses de fonctionnement
Chap./Art
012 –
6410
012 –
6450
012 – 621
Désignation
Montant
Rémunération du personnel
- 5 000 €
Charges de sécurité sociale et de prévoyance
- 1 800 €
Personnel affecté par la collectivité de rattachement
+ 6 800 €
Total
-€
Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire :
-
Approuve la décision modificative n°1 du budget SPANC.
2015-69 Décision modificative n° 2 Budget principal
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
Il convient de procéder aux ajustements suivants :
SECTION DE FONCTIONNEMENT
Dépenses
Chap/
Art
Désignation
Dotation aux
042/6
amortissements des
811
immobilisations
Pertes sur créances
65/
irrécouvrables : créances
6542
éteintes
011/
Entretien et réparation sur
6152
bâtiments
2
Intérêts des comptes
66/
courants et dépôts
6615
créditeurs
012/
6411 Rémunération principale
1
012/
Cotisations à l’U.R.S.S.A.F.
6451
Virement prévisionnel à la
023
section d’investissement
Recettes
Montant
Chap/
Art.
+ 1 667 €
70/
70872
Remboursement de
frais par les budgets
annexes
+ 6 800 €
+ 1 142 €
77/
7788
Produits
exceptionnels divers
+ 10 774€
Désignation
Montant
- 8 090 €
+ 4 800 €
+ 5 000 €
+ 1 800 €
+ 11
255€
4
Total + 17 574€
Total
+ 17
574€
SECTION D’INVESTISSEMENT
Dépenses
Recettes
Chap./Ar
t
Désignation
204/
2041642
Subventions
d’équipements versées
– Bâtiments et
installations à caractère
industriel et
commercial (Budget
annexe Mercer)
+ 6 710 €
21/2111
Terrains nus
+ 5 500 € 021
21/2135
21/2158
Montant
Installations générales,
agencement,
aménagement des
constructions
Autres installations,
matériel et outillage
techniques
21/2183
Matériel informatique
21/2184
Mobilier
21/2188
Autres immobilisations
corporelles
Chap.
/ Art.
Désignation
Montant
040/
28031
Amortissement : Frais
d’études
+ 1 667 €
Virement prévisionnel
de la section de
fonctionnement
+ 11 255
€
+ 24 400 €
13/
1311
+ 6 838 €
13/
1321
+ 2 650 €
+ 1 938 €
13/
1323
13/
1328
Subventions
d’équipement
transférables : Etat
Subventions
d’équipement non
transférables : Etat
Subventions
d’équipement non
transférables :
Département
Autres subventions
d’équipement non
transférables
+ 21 780 €
+ 6 100 €
+ 4 067 €
+ 4067 €
+ 900 €
Total + 48 936 €
Total
+ 48 936
€
Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire :
-
Approuve la décision modificative n°2 du budget principal
2015-70 Modification des durées d’amortissement Budget annexe MAISON DE SANTE
Vu l’article L2312-2-27 du Code général des Collectivités territoriales ;
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
5
Monsieur le Président rappelle que, conformément à l’article 1 er du décret n°96-523 du
13 juin 1996 pris pour l’application de l’article L 2321-2-27 du Code Général des Collectivités
Territoriales, sont tenus d’amortir les communes dont la population est égale ou supérieure à
3.500 habitants et les groupements de communes dont la population totale est égale ou
supérieure à ce seuil.
Le Président rappelle également la délibération du conseil communautaire du 16 avril
2015, fixant à 40 ans la durée d’amortissement des immobilisations du budget annexe « Maison
de Santé » à compter du 1er janvier 2015, à l’exception des frais d’études non suivies de
réalisation, obligatoirement amortis sur une durée de 5 ans.
Il apparait souhaitable de compléter cette délibération afin que la durée d’amortissement
de certains biens soit en adéquation avec leur durée de vie prévisionnelle. Il est donc proposé de
fixer les durées d’amortissement de la façon suivante :
Biens
Nouvelles durées
d'amortissement
Bien de faible valeur :
Montant inférieur ou égal à 1 000 € Hors Taxes (HT)
Bien dont la valeur H.T est comprise entre 1 001 € et 3 000 €
Bornages, plans et études
Mobilier
Matériel de bureau électrique ou électronique
Matériel informatique et copieurs
Matériel classique divers
Electroménager
Matériel d’incendie
Coffre-fort
Installations et appareils de chauffage
Appareils de levage, ascenseurs
Installations de voirie et éclairage extérieur
Mobilier urbain, panneaux de signalisation, potelets, mats de
pavoisement, pavillons publicitaires, panneaux d’affichage
Plantations
Autres agencements et aménagements de terrain
Bâtiments légers, abris
Agencements et aménagements de bâtiments, installations
électriques et téléphoniques
Gros-œuvre
1 an
3 ans
5 ans
10 ans
5 ans
3 ans
10 ans
6 ans
5 ans
30 ans
15 ans
30 ans
30 ans
8 ans
15 ans
15 ans
15 ans
15 ans
40 ans
Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire décide que :
-
Les subventions d’investissement transférables reçues sont amorties sur la même durée
que les biens financés par ces subventions,
-
Ces durées d’amortissement seront appliquées aux immobilisations pour lesquelles aucun
amortissement n’a été comptabilisé au jour de la délibération.
2015-71 Décision modificative n°1 Budget annexe MAISON DE SANTE
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
6
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
Afin de procéder à la passation d’écritures d’amortissement, il convient de procéder aux
ajustements suivants :
SECTION DE FONCTIONNEMENT
Dépenses
Cha
p/Ar
t
Recettes
Désignation
Montant
042/ Dotation aux
681 amortissements des
1
immobilisations
023
+ 75 €
Virement prévisionnel à la
section d’investissement
Total
Cha
p/
Art.
Désignation
042/
777
Quote-part des
subventions
d’investissement
transférée au compte de
résultat
Montant
+ 2 500
€
+ 2 425€
+ 2 500 €
Total
+ 2 500
€
SECTION D’INVESTISSEMENT
Dépenses
Recettes
Chap.
/Art
Désignation
Montant
Chap.
/ Art.
Désignation
040/
1393
1
Subventions
d’investissement
transférées au compte de
résultat : Dotation
d’équipement des
territoires ruraux
+ 2 500
€
040/
28121
Amortissement :
plantations d’arbres et
d’arbustes
+ 75 €
021
Virement prévisionnel
de la section de
fonctionnement
+ 2 425
€
Total
+ 2 500 €
Montant
Total
+ 2 500
€
Après avoir délibéré, le Conseil Communautaire :
-
Approuve la décision modificative n°1 du budget Maison de santé.
2015-72 Constitution d’un groupement de commandes pour la réalisation d’un
diagnostic des conditions d’accessibilité des Etablissements Recevant du Public (ERP)
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu le Code Des Marchés Publics et notamment son art. 8 ;
7
Vu la loi 2005-12 du 11 février 2005 qui prévoit la réalisation de diagnostics sur les conditions
d’accessibilité des ERP.
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
Monsieur le Président rappelle aux délégués communautaires que les ERP doivent faire
l’objet d’un diagnostic de leurs conditions d’accessibilité.
Par conséquent, il propose de constituer avec les communes qui le souhaiteraient, un
groupement de commandes. L’article 8 du Code des marchés publics précise en effet que des
groupements de commandes peuvent être constitués par des collectivités territoriales et
établissements publics locaux. Le recours à un tel groupement permet, par effet de volume de la
commande, de réaliser des économies sur les coûts d’étude.
La constitution du groupement et son fonctionnement sont formalisés par la convention
ci-annexée qui devra être validée par les communes qui se porteront adhérentes du
groupement. Leur adhésion sera formalisée par une délibération concordante de leur conseil
municipal.
La Communauté de communes Vannier-Amance assurera les fonctions de coordonnateur
du groupement. Elle procèdera à l’organisation de l’ensemble des opérations de sélection des
cocontractants. A l’issue de cette sélection, conformément au VI de l’article 8 du Code des
Marchés publics, chaque collectivité membre du groupement se chargera de signer, notifier et
s’assurer de la bonne exécution (notamment en ce qui concerne le paiement du prix) du marché
pour ce qui la concerne. Le groupement prendra donc fin à la clôture de la consultation.
Après avoir pris connaissance du projet de convention, le Conseil Communautaire décide à
l’unanimité :
- D’autoriser la constitution d’un groupement de commandes auquel participeront la
communauté de communes Vannier-Amance, ainsi que les communes qui souhaiteront
adhérer au groupement et qui délibèreront en ce sens,
- D’accepter les termes de la convention constitutive du groupement de commandes en
vue de la réalisation d’un diagnostic des conditions d’accessibilité des bâtiments recevant
du public (ERP),
- D’accepter que la communauté de communes Vannier-Amance soit désignée comme
coordonnateur du groupement ainsi formé,
- De décider que Monsieur le Président sera le représentant de la communauté de
Communes au sein de la commission du groupement chargée de l’examen des offres et
du choix du prestataire, et que M. Sylvain PETIT sera son suppléant en cas
d’empêchement,
- D’autoriser le Président à signer la convention ainsi que tous les documents nécessaires à
la mise en œuvre de la présente décision,
- D’autoriser Monsieur le Président à lancer le marché et à signer tous les documents
afférents à la procédure de consultation.
2015-73 Demande de report de l’Agenda d’Accessibilité Programmée (Ad’AP)
Considérant qu’aux termes de la législation en vigueur toute communauté de communes dont
les installations et les établissements recevant du public ne sont pas parfaitement accessibles
est tenue de déposer en préfecture avant le 27 septembre 2015 un agenda d’accessibilité
programmée (l’Ad’AP), cet agenda étant un outil permettant à la collectivité de s’engager sur
8
l’accessibilité de ses équipements à tous les types de handicaps, en programmant les travaux et
mesures à prendre,
Le Président explique que la nature des bâtiments et installations de la communauté de
communes dont la liste est annexée, génère des contraintes et difficultés techniques spécifiques,
qui nécessitent un travail d’étude plus approfondi. Il propose donc au conseil communautaire de
solliciter un report de 12 mois de la date de dépôt de l’Ad’AP, pour permettre à la communauté
de communes de mener à bien l’élaboration de l’agenda.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré,
-
-
Confirme son engagement de rendre accessible à tous, l’ensemble des bâtiments
communautaires, et à réaliser à cette fin, un agenda d’accessibilité programmée (Ad’AP),
Autorise Monsieur le Président à solliciter auprès de Monsieur le Préfet, en raison des
difficultés techniques rencontrées, une prolongation de 12 mois du délai de dépôt de
l’agenda d’accessibilité programmée pour les ERP dont la liste est annexée à la présente
délibération.
Autorise Monsieur le Président à signer toutes les pièces qui seraient utiles à ce dossier.
2015-74 Contributions scolaires
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu les statuts de la Communauté de Communes et notamment la compétence «activités péri et
extrascolaires» ;
Vu l’avis favorable de la Commission scolaire/périscolaire du 10 septembre 2015 ;
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
Conformément à l’article 23 modifié de la loi du 22 juillet 1983 relative à la répartition
intercommunale des charges des écoles publiques, il convient de procéder au règlement des
contributions scolaires suivantes, en raison des dérogations scolaires existantes:
-
-
5 800 € à la communauté de communes du Pays de Chalindrey pour l’année scolaire
2014/2015, concernant 4 enfants en école maternelle et 4 enfants en école élémentaire
(Hors convention RPI),
2 543.40 € à la commune de Bourbonne-les-Bains pour l’année scolaire 2014-2015,
concernant 3 enfants en école élémentaire,
566.80 € à la ville de Langres de mars à juin 2015, concernant 1 enfant en école maternelle,
5 236.24 € au syndicat scolaire de Vitrey-sur-Mance pour l’année scolaire 2014-2015,
concernant 9 enfants en école primaire,
416 € à la commune de Neuilly l’Evêque pour l’année scolaire 2014-2015, concernant 1
enfant en école maternelle,
4 325.05 € au syndicat scolaire de la Roche-Morey pour l’année scolaire 2014-2015,
concernant 4 enfants en école élémentaire et 1 enfant en école maternelle.
Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré :
-
Accepte le versement des contributions scolaires sus mentionnées,
-
Autorise Monsieur le Président à signer les conventions à intervenir.
9
2015-75 Convention relative à la mise en place des activités périscolaires sur les
territoires de la CCVA et de la CCPC
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu les statuts de la Communauté de Communes et notamment la compétence «activités péri et
extrascolaires» ;
Vu l’avis favorable de la Commission scolaire/périscolaire du 10 septembre 2015 ;
Vu l’avis favorable de la Commission finances du 11 septembre 2015 ;
Le Centre Intercommunal d’Action Sociale (C.I.A.S) Avenir et la Communauté de communes du
Pays de Chalindrey ont décidé de mettre en place les TAP/NAP en demandant une participation
financière des familles.
Compte tenu que la Communauté de communes Vannier-Amance (CCVA) a décidé de prévoir le
principe de gratuité des TAP/NAP, la Communauté de Communes du Pays de Chalindrey propose
la conclusion d’une convention (annexée) permettant :
Au CIAS Avenir de titrer à la Communauté de Communes Vannier-Amance, les montants
des participations pour les enfants des familles domiciliées sur le territoire de la CCVA et dont les
enfants sont scolarisés sur le RPI Corgirnon/Chaudenay et participent aux TAP/NAP organisés par
lui. A contrario, les familles bénéficiant de dérogation scolaire (dûment acceptée par la
collectivité ou de droit) se verront titrer directement la participation.
Et réciproquement à la CCVA de titrer au CIAS Avenir, les montants des participations
demandées aux familles domiciliées sur le territoire de la Communauté de communes du Pays de
Chalindrey et dont les enfants sont scolarisés sur le RPI Corgirnon/ Chaudenay soit dans le cadre
du RPI, soit dans le cadre d’une dérogation (dûment acceptée par la collectivité ou de droit) et
participent aux TAP/NAP.
Pour l’année 2015/2016, le tarif est de 50 € par enfant scolarisé et inscrit aux TAP/NAP (dès la
première voire unique inscription).
Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, décide :
- D’accepter les termes de la convention relative à la mise en place des activités périscolaires sur
les territoires de la Communauté de communes Vannier-Amance et de la Communauté de
Communes du Pays de Chalindrey,
- D’autoriser Monsieur le Président à signer cette convention.
2015-76 Avenant à
Chaudenay/Corgirnon
la
convention
relative
au
fonctionnement
du
RPI
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu les statuts de la Communauté de Communes et notamment la compétence «activités péri et
extrascolaires» ;
Vu l’avis favorable de la Commission scolaire/périscolaire du 10 septembre 2015 ;
Le Regroupement Pédagogique Intercommunal (RPI) de Chaudenay/Corgirnon est composé de
l’école primaire de Corgirnon et de l’école maternelle de Chaudenay.
Une convention a été conclue entre la Communauté de Communes du Pays de Chalindrey et la
commune de Champsevraine lorsque la Commune avait encore la compétence relative au service
des écoles élémentaires et préélémentaires
10
Cette compétence ayant été transférée à la Communauté de Communes Vannier-Amance en
janvier 2014, il convient de conclure un avenant à la convention prenant acte de ce transfert
(annexé ci-joint).
Après en avoir délibéré, le conseil communautaire :
-
Accepte les dispositions de l’avenant à la convention ci-joint,
-
Autorise le Président à signer cette convention et toutes pièces relatives à cette affaire.
2015-77 Indemnités pour travaux supplémentaires
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires et
notamment son article 20 ;
Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction
publique territoriale et notamment ses articles 87, 88, 111 et 136 ;
Vu le décret n° 91-875 du 6 septembre 1991 modifié par le décret 2008-1451 du 22 décembre
2008 ;
Vu le décret n° 2002-60 du 14 janvier 2002 modifié par le décret 2007-1630 du 19 novembre 2007
relatif aux indemnités horaires pour travaux supplémentaires ;
Vu la délibération n° 2013-105 ;
Vu l’avis favorable de la Commission Finances réunie le 11 septembre 2015
CONSIDERANT que conformément à l'article 2 du décret 91-875, il appartient à l'assemblée
délibérante de fixer dans les limites prévues par les textes susvisés, la nature et les conditions
d'attribution du régime indemnitaire.
Les indemnités horaires pour travaux supplémentaires sont attribuées dans le cadre de la
réalisation effective de travaux supplémentaires demandés par l'autorité territoriale ou le chef
de service et selon les dispositions du n° 2002-60 du 14 janvier 2002. La rémunération de ces
travaux supplémentaires est subordonnée à la mise en place de moyen de contrôle (moyen de
contrôle automatisé – décompte déclaratif). Le versement de ces indemnités est limité à un
contingent mensuel de 25 heures par mois et par agent. Lorsque les circonstances
exceptionnelles le justifient et pour une période limitée, le contingent mensuel peut être
dépassé sur décision du chef de service qui en informe immédiatement les représentants du
personnel du Comité Technique Paritaire (CTP). A titre exceptionnel, des dérogations peuvent
être accordées après consultation du CTP, pour certaines fonctions. Pour les agents à temps non
complet, les IHTS sont calculés selon le taux horaire de l'agent dans la limite des 35 heures. Au
delà, elles sont calculées selon la procédure normale décrite dans le décret n° 2002-60.
Après en avoir délibéré, le conseil communautaire :
- Décide d’instituer l’indemnité horaire pour travaux supplémentaires (IHTS) au profit des agents
de grades suivants : Adjoint Administratif 1° classe, Adjoint Administratif 2° classe, Adjoint
Technique 1° classe, Adjoint Technique 2° classe, Animateur, Adjoint d’animation 1° classe,
Adjoint d’animation 2ème classe et Rédacteur,
- Précise que les dispositions des primes et indemnités faisant l'objet de la présente délibération
pourront être étendues aux agents non titulaires de droit public,
11
-Précise que le paiement de l’indemnité sera mensuel et les crédits correspondants prévus et
inscrits au budget,
- Précise que l’indemnité fera l'objet d'un ajustement automatique lorsque les montants ou taux
ou les corps de référence seront revalorisés ou modifiés par un texte réglementaire.
2015-78 Modification des statuts de la CCVA
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, et notamment les articles L.5211-5, L5211-17 et
L.5214-16,
Vu le code de l’urbanisme,
Vu la loi n°2014-366 du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové dite loi
ALUR,
Vu la loi n°2014-1545 du 20 décembre 2014 relative à la simplification de la vie des entreprises,
Vu l’arrêté préfectoral n°1042 du 03 mars 2015 portant modification des statuts de la CCVA ;
Vu l’avis de la 4ème commission « protection incendie et secours, services aux publics hors
scolaires », réunie le 03 septembre 2015 ;
Vu l’avis de la 6ème commission « Entretien des villages et harmonisation des interventions»
réunie le 21 mai 2015 ;
Vu l’avis de la 1ère commission « Finances » réunie le 11 septembre 2015 ;
Monsieur le Président explique qu’un certain nombre de modifications statutaires sont
nécessaires afin de clarifier la répartition des compétences entre communes et EPCI.
Le Projet de statuts (annexé) a été envoyé aux conseillers communautaires.
Ces modifications concernent :
 Compétences obligatoires
-
Article 2° - 1. B. « Aménagement de l’espace et habitat » : Ajout de la compétence Plan
local d’urbanisme intercommunal (PLUI)
Le plan local d'urbanisme (PLU) est un outil essentiel d'aménagement de l'espace et les
problématiques s'y rattachant peuvent-être, dans un souci de cohérence, réglées à une échelle
territoriale où elles font sens, c'est-à-dire à l'échelle intercommunale.
L'intercommunalité, par la mutualisation des moyens et des compétences qu'elle permet,
exprime et incarne la solidarité entre les territoires.
En s'appuyant sur une réflexion d'ensemble permettant de mettre en perspective les différents
enjeux du territoire, le PLU intercommunal (PLUi) constitue donc un document de planification
privilégié pour répondre aux objectifs du développement durable.
Alors que les communautés urbaines et les métropoles avaient déjà de droit la compétence pour
élaborer un PLUi, la loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (ALUR) du 24 mars
2014 rend obligatoire le transfert de cette compétence aux communautés de communes, dans
un délai de trois ans après la publication de la loi, sauf opposition d’au moins un quart des
communes membres représentant au moins 20% de la population.
Il apparait toutefois opportun de s’engager dès à présent dans la démarche de mise en place
d’un PLUI. En effet, la loi du 20 décembre 2014 relative à la simplification de la vie des
entreprises suspend jusqu’au 31 décembre 2019 la caducité des POS, la grenellisation des PLU et
leur obligation de mise en compatibilité avec les documents de rang supérieur pour les territoires
qui s’engagent dans une démarche de PLUi avant le 31/12/2015.
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L’élaboration d’un document de planification intercommunal permettrait en outre de se donner
les moyens d’actions pour :
- permettre au territoire de prendre en main son développement ;
- mettre en œuvre un urbanisme durable et respectueux des caractéristiques des
communes qui composent la CCVA ;
- renforcer la dynamique collective du territoire dans un principe de solidarité territoriale ;
- enrichir le projet de territoire en rendant cohérent les choix de développement avec les
compétences communautaires
- mutualiser les coûts induits par la production d’un document unique au profit des
communes membres
L’élaboration d’un PLUi nécessite une collaboration étroite entre l’EPCI et les communes
membres de celui-ci. Les conditions de la collaboration doivent être définies par une délibération
de l’organe délibérant de l’EPCI, à la suite de la réunion d’une conférence intercommunale
rassemblant, à l’initiative de son président, l’ensemble des maires des communes membres.
Cette conférence intercommunale doit intervenir au début de la procédure.
Monsieur le Président propose donc de vous prononcer sur l’évolution des statuts de la CCVA
afin d’intégrer la compétence « étude, élaboration, approbation, révision et suivi d’un plan local
d’urbanisme intercommunal, des plans locaux d’urbanisme, des documents d’urbanisme en
tenant lieu et des cartes communales », dans le bloc des compétences obligatoires, liées à
l’aménagement de l’espace communautaire.
 Compétences facultatives
-
Article 2° - 3. A. « Protection incendie et secours : Entretien et création de systèmes de
protection complémentaires ou obligatoires » : Restitution aux communes de la
compétence aux communes.
Monsieur le Président propose de conserver uniquement la compétence « Participation aux
dépenses des CPI maintenus (Haute Amance/ Celsoy, Laferté sur Amance), des CS de Fayl Billot,
de Varennes (cotisations SPV et JSP).
La 4èmecommission « protection incendie et secours, services aux publics hors scolaire », réunie
le 03 septembre 2015, a émis un avis favorable.
-
Article 2° - 3. C. « Entretien des villages » : Restitution aux communes de l’élagage des
arbres d’une hauteur égale ou supérieure à 5 mètres.
En effet la commission « entretien des villages » réunie le 21/05/2015, propose de limiter la taille
des arbres à ceux dont la hauteur est strictement inférieure à 5 mètres. Au-delà, chaque
commune redeviendrait compétente. Dans ce cas, la CCVA proposerait pour les communes
intéressées, la constitution d’un groupement de commande pour la passation d’un marché
annuel dont la CCVA sera le coordonnateur, chaque commune prenant à sa charge le coût de ses
propres travaux.
L’article L.5211-17 du CGCT précise que le transfert de compétences est décidé par délibérations
concordantes de l’organe délibérant de la communauté et des deux tiers des conseils municipaux
des communes représentant plus de la moitié de la population totale, ou de la moitié des
conseils municipaux représentant les deux tiers de la population totale. Cette majorité doit
nécessairement comprendre le conseil municipal de la commune dont la population est la plus
nombreuse, lorsque celle-ci est supérieure au quart de la population totale concernée.
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Le conseil municipal de chaque commune membre dispose d’un délai de trois mois à compter de
la notification au maire de chaque commune de la délibération de l’organe délibérant de la
communauté pour se prononcer sur le transfert proposé. À défaut de délibération dans ce délai,
sa décision est réputée favorable. Toutefois, l’arrêté de modification des statuts peut être pris
avant même l’expiration du délai dont disposent les conseils municipaux pour délibérer dès lors
que ces conditions d’acceptation sont réunies (CE, 3 mai 2002, « commune de LAVEYRON »).
Après avoir délibéré, le Conseil Communautaire :
-
Accepte de prendre dans le cadre de sa compétence obligatoire « Aménagement de
l’espace et habitat », la compétence « étude, élaboration, approbation, révision et suivi
d’un plan local d’urbanisme intercommunal, des plans locaux d’urbanisme, des
documents d’urbanisme en tenant lieu et des cartes communales »,
-
Accepte le retrait dans le cadre de sa compétence facultative « Protection incendie et
secours », de la partie « Entretien et création de systèmes de protection
complémentaires ou obligatoires »,
-
Accepte le retrait dans le cadre de sa compétence facultative « Entretien des villages »,
pour sa partie « taille d’arbres, arbustes et d’arbrisseaux », de la taille des arbres dont la
hauteur est égale ou supérieure à 5 mètres.
-
Accepte de modifier l’article 2° - 1. B. des statuts de la CCVA dans sa partie
« Aménagement de l’espace » comme suit : ajout de la compétence « étude, élaboration,
approbation, révision et suivi d’un plan local d’urbanisme intercommunal, des plans
locaux d’urbanisme, des documents d’urbanisme en tenant lieu et des cartes
communales »
-
Accepte de modifier l’article 2° - 3. A. des statuts de la CCVA « Protection incendie et
secours » comme suit : « Protection incendie et secours : Participation aux dépenses des
CPI maintenus (Haute-Amance/Celsoy, Laferté sur Amance), des CS de Fayl Billot, de
Varennes (cotisations SPV et JSP).
-
Accepte de modifier l’article 2° - 3. C des statuts de la CCVA « Entretien des villages »
dans sa partie « taille d’arbres, arbustes et d’arbrisseaux » comme suit : « taille d’arbres
dont la hauteur est strictement inférieure à 5 mètres, d’arbustes et d’arbrisseaux »
-
Autorise Monsieur le Président à signer tous les documents relatifs à ce dossier.
2015-79 Portage du GAL par le futur PETR et mise en œuvre du plan de développement
Vu la délibération 2014-68 du Conseil communautaire du 25 septembre 2014 relative à l’AMI
LEADER ;
CONSIDERANT que l’Union Européene a maintenu obligatoire l’application de l’approche LEADER
dans les programmes de développement rural. Faisant suite à la loi de Modernisation de l’Action
Publique Territoriale et d’Affirmation des Métropoles (MAPTAM), les Régions sont devenues les
nouvelles Autorités de gestion des fonds européens pour la période 2014-2020. Il revient donc à
chaque Région de décrire, dans son Programme de Développement Rural (PDR), la mise en
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œuvre de LEADER en terme d’objectifs et de priorités poursuivis. La Région Champagne-Ardenne
a rendu éligible à LEADER l’ensemble de son territoire hormis les Communautés d’agglomération
de Reims et de Troyes. Afin d’évaluer le nombre de territoires candidats, la Région a lancé un
Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) en avril 2014. Les six Communautés de communes
constituant le pays de Langres se sont alors engagées à porter collectivement la démarche
LEADER 2014/2020 à travers le Groupe d’Action Locale (GAL) Pays de Langres.
Faisant suite à cette étape, la Région Champagne-Ardenne a lancé officiellement l’Appel à Projet
aux territoires ayant répondu à l’AMI en décembre 2014 pour une réponse au 30 octobre 2015.
Le cahier des charges précise que l'enveloppe LEADER par territoire sera comprise entre
800 000€ et 2 millions d'euros pour la durée de la programmation.
Le GAL est un comité de pilotage se composant d’acteurs publics et privés représentant les
acteurs locaux du territoire, représentatifs des différents milieux socio-économiques. Il est
chargé de concevoir et de mettre en œuvre la stratégie locale de développement menée par les
acteurs locaux et répondant à des objectifs et des besoins locaux.
A partir des travaux engagés pour l’élaboration du Projet de territoire 2014-2024 et à sa
déclinaison en plan d’actions sur la durée du mandat local 2014-2020, le GAL élabore la stratégie
LEADER 2014-2020 en veillant à son articulation avec les autres stratégies de développement
(départemental, régional, national, européen, projets de parc).
Le Conseil communautaire entend cet exposé et, après en avoir délibéré, à l’unanimité des
membres présents, décide :
-
D’autoriser l’Association du Pays de Langres, à travers le GAL du pays de Langres, à
déposer la candidature LEADER 2014-2020 auprès du Conseil Régional de ChampagneArdenne,
-
Si la candidature est retenue, de valider le portage du GAL par le futur PETR ainsi que la
mise en œuvre du plan de développement.
2015-80 Acquisition de terrains situés Rose des Vents
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Vu la délibération n° 2015-46 « Acquisition de terrains situés Rose des Vents » du 16 avril 2015 ;
Le Président expose au Conseil Communautaire l’intérêt d’acquérir une partie supplémentaire
d’une parcelle dans le cadre de l’aménagement paysager du carrefour de la Rose des Vents.
L’acquisition concerne une partie de la parcelle cadastrée ZE 52 pour 300 m2.
Cette partie de parcelle sera cédée à la CCVA par M. Philippe Castor, propriétaire, pour le même
montant (l’ensemble des acquisitions s’élèvent à 5000 €).
Celle-ci étant actuellement exploitée par un agriculteur dénommé Thierry LINOTTE, le Président
précise qu’au moment de l’exploitation de la part de la CCVA de la parcelle, M. LINOTTE ne
pourra réclamer d’indemnisation. Cette clause sera précisée dans l’acte notarié.
Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire :
-
Accepte l’acquisition de la partie de la parcelle de M. Philippe CASTOR cadastrée pour le
même montant total de 5000 € :
SECTION ZE Rose des Vents
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-
 ZE 52 - 300 m2 supplémentaires
Précise que M. LINOTTE, exploitant actuel de la parcelle, ne pourra réclamer
d’indemnisation lorsque la CCVA décidera d’exploiter le terrain,
Prend acte que l’ensemble des frais sera à la charge de la Communauté de Communes
Vannier Amance,
Inscrit cette somme au budget principal.
2015-81 Demande d’extension du périmètre d’étude du projet de Parc Naturel Régional
de sources de Saône et Meuse
Monsieur le Président rappelle la création de l’association « Aux Sources du Parc » en
novembre 2009 à laquelle a adhéré la communauté de Communes du pays d’Amance, dans le
but de favoriser l’émergence d’un parc naturel régional.
Lors de la fusion des communautés de Communes, le périmètre d’étude a été étendu sur une
partie du Pays Vannier, à savoir Fayl-Billot et Farincourt.
Actuellement au stade d’étude d’opportunité, celle-ci doit être finalisée pour la fin
d’année 2015.
Les nouveaux Conseils Régionaux, suite aux élections et aux fusions, s'appuieront sur ses
résultats et conclusions pour décider, courant 2016, de l'éventuelle poursuite de la procédure.
En cas de verdict favorable, une étude complémentaire (dite de faisabilité) serait lancée, afin de
préciser, entre autres, le territoire et les grandes orientations de la future Charte.
Mais surtout, une décision favorable des Régions permettrait d'engager les concertations locales
pour commencer à élaborer la future Charte.
Il apparait souhaitable, dans un souci de cohérence territoriale que l’intégralité des
communes de la CCVA soit intégré dans le périmètre d’étude du parc naturel régional des
Sources de Saône et Meuse, et à minima Haute-Amance, Rougeux et Celsoy (poursuite de la
vallée de l’Amance) et les communes du Pays Vannier : Bussières, Belmont, Saulles et Grenant.
Le Conseil Communautaire, après avoir délibéré :
-
Se prononce favorablement à l’extension du périmètre d’étude du PNR des Sources
de Saône et Meuse.
La séance du Conseil Communautaire du 24 septembre 2015 est levée à 23 heures 30 minutes.
Affiché le 1er octobre 2015
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