Mise en page 1 - Dominique Martin

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Imprimeur : RCS Tarascon B 304 711 369
Périodicité : Bimestriel
Cion parinatire n° 0710 P 11372
N° ISSN : 1623-9970
F R O N T
Supplément à ce numéro
Tirage sur papier recyclé
Dépôt légal à parution
Tirage : 3.130 ex
Octobre - Novembre - 2008 - N° 65
prix au n° 3 €
Journal politiquement incorrect
des Pays de Savoie
Directeur de la publication : Dominique Martin
Directeur de la rédaction : Jacques Vassieux
Editeur :
Front National - BP 50 - 74301 Cluses Cédex
UN PRÉSIDENT QUI NE
MÉRITE PAS LA FRANCE
numéro 65 - Octobre - Novembre 2008
EDITO
lire l’article en p. 2
par Lucien Ruty
Pour tout ce que ma Patrie mérite ; pour tout ce que Sarkosy ne fait pas ; pour la ruine
vers laquelle il nous conduit ; pour ses mensonges et ses parjures ; pour la décadence
dont il accélère le cours en ouvrant toutes grandes les portes d’une immigration de
peuplement qui, par sa soumission à ses préceptes religieux, est en passe de ramener
la France à ses guerres de religion, ... ; pour qu’un gouvernement de Salut Public mette
à bas sa politique néfaste et donne enfin la priorité aux intérêts vitaux de la Grande
Nation… il faut que Sarkozy se retire !
SAVOIE
par Jacques Vassieux
Secrétaire départemental
Conseiller régional
Les mondialistes font
crever la France!
Le chiffre officiel du chômage est bidon parce qu’il est volontairement et
largement sous-estimé. Le gouvernement Sarkozy reconnaît, du bout des
lèvres, que le nombre officiel de chômeurs a dépassé les deux millions,
malgré l’évolution évidente de l’explosion du chômage.
lire l’article en p. 4
À BIENTÔT EN EUROPE
par Marie Favre
Vous êtes tous convaincus qu’il faut au Parlement européen des
élus Front National pour défendre nos emplois, nos entreprises,
notre niveau de vie, notre protection sociale, nos paysans, nos
pêcheurs, nos libertés, nos droits, notre sécurité et nos
traditions. Ils feront respecter les droits, les intérêts et la
souveraineté de la France en Europe.
Tous les jours,
l’actualité du Front National sur le net
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le site officiel du Front National
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européen
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le site des élus FN de la région Rhône-Alpes
louisaliot.over-blog.fr
le site officiel de Louis Aliot
www.veritesurlefn.org/modules/news/
la vérité sur le FN
www.nationspresse.info
le média des patriotes
Comment, Sarkozy, pourrait-il reconnaître la récession et la faillite de notre
économie ? Les grandes entreprises, à la solde des mondialistes, procèdent
à des licenciements massifs. Les entreprises de l’automobile se
débarrassent, tous les jours, de leurs intérimaires, en dégraissant l’outil de
travail. Le chômage technique de cette fin d’année n’annonce rien de bon
pour l’avenir des travailleurs Français. Et derrière les grandes entreprises,
qui poussent dehors leurs employés, il y a les autres, tous ces sous-traitants
qui réduisent leurs effectifs pour ne pas mourir.
L’aggravation du chômage et de la précarité entraîne en France un raz-demarée de la pauvreté. Les associations caritatives sont unanimes pour
affirmer qu’elles seront bientôt dans l’impossibilité de répondre à
l’accroissement de la demande. Et ceux qui en sont réduits aux subsides de
la Banque alimentaire ne viennent pas seulement des rangs de ceux qui
n’ont pas d’emploi et sont contraints de survivre avec l’allocation chômage,
le RMI ou avec rien. De plus en plus nombreux sont les femmes et les
hommes Français qui ont un travail assorti d’un salaire tellement bas qu’il
ne suffit plus pour nourrir la famille.
La pauvreté tourne à la misère noire, digne des romans du XIXe siècle,
lorsqu’on perd son logement. La loi dite « droit au logement opposable »,
dont se vante le gouvernement, ajoute l’hypocrisie à l’ignoble. Elle n’offre
pas prioritairement aux Français sans domicile ou aux mal-logés de souche
la possibilité de porter plainte contre l’État si celui-ci ne leur propose pas une
solution. Mais ceux qui ont rédigé cette loi inique, et qui l’ont votée, savent
pertinemment qu’elle doit servir uniquement les associations
immigrationistes. Les partis de l’établissement votent des lois Anti-Françaises,
et se lavent les mains de la misère qui monte, de fournir un logement aux
Français qui n’en ont pas. Et dans cette France à la dérive, on laisse mourir
de froid nos concitoyens, dont on pourrait sauver la vie, pendant que
Sarkozy et les mondialistes jonglent avec des centaines de milliards pour
sauver, non pas la vie, mais les capitaux et les profits des nantis apatrides !
Tous ces faits, la baisse du pouvoir d’achat, les licenciements, la montée de
la pauvreté, la politique immigrationiste, témoignent de l’intensification de
la guerre, pour détruire la nation, menée par les profiteurs mondialistes
contre les travailleurs Français.
Dans cette guerre, Sarkozy n’est que l’exécuteur des basses œuvres de ses
amis mondialistes et européistes. Le gouvernement Sarkozy-Fillon ne
gouverne pas pour le bien des Français.
Jean-Marie Le Pen appelle, les Français, à dire NON en juin à ces renégats
qui vendent tous les jours un peu plus notre France millénaire. Alors, il n’y
a rien de bon à attendre de ces traîtres car, avec eux, la société Française
crève ! Le seul sentiment qui peut les faire reculer, c’est la crainte. C’est la
crainte d’un mouvement national puissant, organisé et ample qui les fera
reculer.
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les nouvelles du Front - numéro 65 - page 2
Le dossier du mois
IL N’INSPIRE RIEN… ET SURTOUT
PAS LE RESPECT
OU
UN PRÉSIDENT QUI NE MÉRITE PAS
LA FRANCE
Lucien Ruty
Secrétaire départemental du Gard
Sous quelque point de vue que l’on se place, on a du mal à classer notre Président
de la République, et à trouver des notes positives qui pourraient compenser en
partie le désamour dont il fait l’objet, jusques et y compris dans les rangs de sa
majorité présidentielle. A-t-on jamais vu dans le passé autant de députés aussi
critiques à l’égard de celui sous la bannière de qui ils ont été élus ? Mis à part les
traditionnels courtisans venus de tous les bords de l’échiquier politique, toujours
prêts à toutes les bassesses pour une place autour de la grande gamelle des
prébendes et des sinécures, combien trouve-t-on de « godillots » ? L’exiguïté de
cette petite cour peuplée de plus d’opportunistes que de vrais fidèles ne permet
pas d’imaginer que ses membres seraient assez nombreux pour former un Dernier
Carré au cas où s’annoncerait la chute.
Car chute il y aura certainement ! Tous griefs mêlés, il sera victime de la
désillusion éprouvée par les électeurs qui voyaient en lui un Rastignac prenant
l’Elysée d’assaut pour débarrasser la France des scories du quinquennat Chirac
dans les rangs duquel, pourtant, il avait pris plus que sa part de responsabilités.
Toujours en mouvement, parcourant la France et le monde dans tous les sens,
déversant plusieurs fois par jour des tombereaux de promesses devant des
auditoires subjugués qui ne voyaient pas que ce qu’il promettait pour demain était
la même chose que ce qu’il n’avait pas été capable de réaliser hier.
Il sera également désavoué par tous ceux qui ont vu en
lui un autre Le Pen, sans trop s’appesantir sur la façon dont il
cette
s’empara sans vergogne des idées que le Front National, trahi
capacité par des systèmes électoraux dignes des républiques
qu’il a de bananières, ne put jamais mettre en œuvre. Mieux ! Faisant fi
jeter des de la plus élémentaire honnêteté intellectuelle, il alla pêcher
chez ses adversaires quelques morts de faim que le souvenir
projets le de leur passé politique d’anti-France n’encombrait visiblement
matin, pour pas. Et le tout sans provoquer autre chose que des murmures
se démentir chez ceux de ses soutiens qui pouvaient espérer les maroquins
le soir donnés à l’adversaire d’hier.
Nous passerons brièvement sur cette capacité qu’il a de
même jeter des projets le matin en pâture aux journalistes, pour se
démentir le soir même, quitte à désavouer ses ministres
Quant à ce qu’il a fait de la dignité de la fonction que les Français lui ont
confiée… ! C’est le roi jetant sa couronne aux orties ! Qui ne se souvient de ce
petit homme grimaçant qui courait en zigzaguant sur les Champs Elysées pour,
entre deux rectifications de ses muscles dorsaux, distribuer moult poignées de
mains à de braves gens venus l’acclamer ? Mais aussi, adoptant un inhabituel
accent faubourien, invectiver en termes peu protocolaires (« ferme-la, pauvre
con ! ») un quidam auquel il n’avait pas l’heur de plaire et qui osait le lui faire
savoir. On s’attendait à le voir retrousser ses manches et, agitant ses petits poings
au bout de ses petits bras se faire justice… Vraiment, on était loin de St Louis sous
son chêne !
Autres entorses à l’obligation de dignité inhérente à la fonction : ces
embrassades à bouche-que-veux-tu, ces tapes dans le dos, ces tutoiements de
vieux copains de lycée, cette familiarité déplacée dont il s’autorise pour appeler
ses interlocuteurs par leur prénom… Peut-être pense-t-il qu’en jouant « les jeunes
chefs d’Etat dans le vent » il en imposera à leurs yeux. Mais, observez bien : qui
ne se souvient de la rigide Saxonne, Madame Merkel écartant lentement le bras
de notre Don Juan épanoui qui la prenait à la taille ? Et cette image de Kouchner,
la mine défaite, tournant le dos pour ne pas voir son président dévaler l’escalier
de l’Elysée afin de se jeter dans les bras de je ne sais plus quel homme d’état
étranger qui le dépassait d’une bonne tête ? La providence a voulu que le géant
ait pu supporter le choc sans que les deux hommes roulent au sol.
Tout cela – direz-vous – n’est que l’écume des choses, et traduit peut-être sa
volonté de donner un tour original à des mœurs politiques souvent compassées…
à moins que ce soit tout bonnement de la mauvaise éducation. On peut en rire ou
en sourire, mais il laissera sur la scène diplomatique quelques images dignes de
la comédie de boulevard. « Cécilia ou la gloire de n’avoir pas une goutte de sang
français » ; Nicod et Cécilia chez les
Busch » : lui dedans, elle dehors ; « Les
adieux de Cécilia » ou, au choix, « Le
come-back de Cécilia » ; « Cécilia ou la
Présidentielle à un tour ». Les
mésaventures conjugales de Sarkozy
n’auraient jamais du être étalées sur la
place publique ou bien – plus
précisément – il aurait dû en interdire
l’utilisation. Il convient de ne pas
s’étendre sur ce genre de faits divers.
Il y a plus grave et j’en suis
autrement peiné pour mon pays. C’est
de constater que l’image de la France dans le monde s’est singulièrement
dégradée. Cela ne date pas d’aujourd’hui et n’est pas imputable au seul
Sarkozy. Pendant les trente-trois ans que j’ai passés dans la Marine
Nationale, j’ai pu mesurer la régression, et, pourtant, j’ai toujours espéré que
la France retrouverait quelque chose de cette grandeur qui lui avait valu une
place à part dans le concert des Nations… Et puis, un faux-pas diplomatique
de notre président, un changement sans nuance dans notre politique, et voilà
que notre pays recule à nouveau dans l’opinion étrangère et le cœur de nos
amis. Par exemple, j’ai ressenti comme un affront personnel le fait qu’un
responsable palestinien, saluant les déclarations de Sarkosy en faveur de son
peuple, ait cru bon d’ajouter que la suite pour son pays dépendrait du résultat
des élections présidentielles US… « Couché Sarko ! On te sifflera en cas de
besoin ! »
Ceci m’amène à penser à notre récente inféodation à la politique
américaine. Là encore, notre président aurait pu obtenir des résultats
identiques sans donner l’impression de placer la France à la remorque de la
politique des Yankees. Un jour, il annonce que, le cas échéant, notre pays
pourrait faire la guerre à l’Iran sur la question de la possession de l’arme
nucléaire par ce pays. Ce faisant, il se préoccupe comme d’une guigne de
ce que les Français peuvent penser d’un conflit dans lequel ils ne sont pas
partie prenante, et qui aurait pour but d’interdire à l’Iran d’accéder, comme
la plupart de ses voisins, à la puissance nucléaire. Il ne s’est pas non plus
exprimé sur le futur proche de la guerre en Irak. Je ne suis pas certain qu’il
ne brûle pas d’envie d’y envoyer des troupes comme déjà nous le faisons en
Afghanistan. Si, pour la majorité de nos concitoyens, les conflits moyenorientaux ne valent pas la perte d’un seul soldat français, M. Sarkozy pense
sans doute que les Français se trompent. En tout cas il
Faire la semble bien que son siège soit fait. Volonté de complaire à
guerre pour l’Oncle Sam ou désir de s’attacher des lobbies proisraéliens fort utiles en France lors des élections, il vient, au
le Roi de cours d’un récent voyage dans ce chaudron brûlant, de
Prusse est promettre aux Israéliens la protection de la France en cas
une vieille de conflit où, je le répète, nous n’avons rien à gagner ?
la guerre pour le roi de Prusse est une vieille tradition
tradition Faire
française. L’exemple des miettes que nous avons ramenées
française de notre participation à la première guerre du Golfe devrait
nous servir de leçon.
Cette façon cavalière dont le Président en use avec la volonté du
peuple français a atteint son apogée lorsque, passant outre les résultats du
référendum sur la constitution européenne de 2005, il a décidé de poser à
nouveau la question au Parlement, négligeant le risque de découpler la
Représentation Nationale de ses citoyens-électeurs. Les Français de notre
temps étant depuis longtemps en léthargie, ce risque, une fois avéré, ne les
précipita pas dans la rue. Au contraire, la vox populi ne manifestant sa colère
que par le biais de quelques banderoles mollement agitées au vent de la
décadence, persuada notre Président que le prestige dont il se donne les
couleurs suffirait à mettre l’Europe à ses pieds.
Sarkozy, confondant sans doute le flamboyant esprit national des
Irlandais avec ce qui reste du nôtre n’attendit même pas la proclamation
officielle de la victoire du « Non » pour déclarer : « On les fera revoter ». Ce
mépris affiché pour un peuple qui a survécu à sept siècles de spoliations et
de cruelle domination anglaise, et qui n’a acquis l’indépendance que depuis
70 ans, était comme un coup de cravache pour les Irlandais de toutes
origines. Ils resteront sur leur refus de voir une Europe dont ils ne veulent pas
s’ingérer dans leur politique nationale. Plutôt que d’humilier un peuple
irlandais très francophile, Sarkozy aurait eu meilleur temps d’exalter le fait
que, au cours de sa longue histoire de servage, seule la France a tenté par
trois fois de le libérer du joug anglais. C’était à la fin du XVIIe siècle, et la
France, alors, était une autre France.
Enfin, j’en veux à Sarkozy de ne pas assez se situer par rapport à la
citoyenneté française qui, bien entendu, est la sienne. À chacun de ses
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les nouvelles du Front - numéro 65 - page 3
déplacements, il se découvre ou nous révèle des
ancêtres ou des attaches, civiles ou spirituelles… en
Hongrie, en Grèce… C’est tout à fait honorable mais,
en quoi cela passionnerait-il le vulgum pecus qui
préfèrerait certainement que son Président se flatte
d’être Français et s’honore d’être à la tête d’un grand
peuple démocrate et républicain capable d’investir des
plus hautes charges de l’Etat le rejeton d’une famille de
souche française récente aux yeux de l’Histoire.
En 1797, aux Préliminaires de Léoben,
Bonaparte déclara aux généraux autrichiens qu’il venait
de battre : « Le plus grand honneur qui puisse échoir à
un homme est d’être né Français ». Plus modestement, je
professe que, quand on a l’honneur d’être Français, il
n’est pas besoin de chercher de la gloire ailleurs.
Pour tout ce que ma Patrie
mérite ; pour tout ce que Sarkosy ne
pour ses fait pas ; pour la ruine vers laquelle il
mensonges, nous conduit ; pour ses mensonges et
ses parjures ; pour la décadence dont
pour ses il accélère le cours en ouvrant toutes
parjures... grandes les portes d’une immigration
de peuplement qui, par sa soumission
à ses préceptes religieux, est en passe
de ramener la France à ses guerres de religion, éteintes
maintenant depuis plus de trois siècles ; pour que, non
content de construire une Europe dont les peuples ne
veulent pas, il ne se mêle pas de la compliquer d’une
Union méditerranéenne encadrée par les assassins
Bouteflika et El Hassad sous le bienveillant arbitrage de
notre récent grand ami, le Bédouin Khadafi ; pour qu’un
gouvernement de Salut Public mette à bas sa politique
néfaste et donne enfin la priorité aux intérêts vitaux de la
Grande Nation… il faut que Sarkozy se retire !
Pour l’y inciter, on pourrait lancer une large
souscription nationale afin de lui assurer un parachute
doré tel que ses amis les grands patrons n’auraient osé
en rêver. Ce sera cher, mais, si c’est le prix à payer pour
sauver la France, rien n’est trop cher.
Le coin des élus
Vos élus tiennent
permanence
À Cluses :
Chaque premier vendredi du mois, les trois
élus FN sont à votre disposition en Mairie à
partir de 19 heures 30. Les débats sont
animés par Dominique MARTIN, Conseiller municipal et Conseiller régional, avec
Marianne Maurel et Allain Vernay.
Prochaines dates : vendredi 6 février, vendredi 6 mars et vendredi 3 avril.
Un apéro bien sympa à Cluses
Quatre mois après les élections municipales, profitant des chaleurs
de l’été, Martine Chatel a eu l’excellente initiative d’organiser un
apéro entre les colistiers de mars 2008. Bien que non-réélue,
Martine, qui a été conseillère municipale de 2001 à 2008, s’est
occupée de tout. En fait d’un simple apéro prévu en fin de matinée,
il s’agissait d’un véritable buffet préparé comme sait le faire cette
jeune femme très appréciée à Cluses. Rien ne manquait, ni les
apéros, objet de l’invite, ni les entrées, les plats, les fromages et les
desserts, sans oublier le vin, un bourgogne de grande tenue.
Nos trois élus, Marianne Maurel, Allain Vernay et Dominique
Martin, étaient évidemment présents, et ont fait parts de leurs
premières impressions du mandat qui débutait.
Et ce qui devait être un simple apéro, vite fait avant d’aller
déjeuner, a duré. Les premiers sont partis en début d’après-midi,
soit travailler, soit faire ce qu’ils avaient prévu. Mais les derniers,
une bonne dizaine ne sont partis qu’à 23 heures, après s’être remis
à l’apéro et à table, sans avoir vu passer le temps, c’est dire si
l’ambiance était chaleureuse.
POUR LA FRANCE ET LES FRANÇAIS QUI VOUS
ONT ELU,
JE VOUS EN CONJURE TANT QU’IL EST ENCORE
TEMPS
Un seul petit regret : certains de nos colistiers, en vacances ou
occupés, n’ont pas pu venir, c’est trop bête, surtout pour eux.
Et curieusement, on n’a presque pas parlé des élections municipales
passées, ce qui est le signe d’une excellente santé morale et
psychique.
MONSIEUR SARKOZY DÉMISSIONNEZ.
À refaire, Martine…
Conseil régional Rhône-Alpes
Assemblée plénière du 13 novembre 2008
Monsieur le Président,
Chers collègues,
C’est le SILA (Syndicat mixte du Lac d'Annecy) qui a
présenté la candidature du lac d'Annecy à l'inscription sur
la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO dans le cadre
de sa compétence « aménagement et protection du lac ». Et aujourd’hui, vous nous
proposez de considérer que la Région Rhône-Alpes fait sienne des objectifs prévalant
au dépôt de la candidature du lac d'Annecy.
Cela nous semble, autant vous le dire tout de suite, une bonne chose. Mais rien n'est
gagné d'avance tant la concurrence est rude.
En effet, en Haute-Savoie déjà, le massif du Mt Blanc fait aussi l’objet de la même
demande auprès de l'Unesco. Nous avions d’ailleurs adopté un vœu en ce sens le 23
mars.
Ceci rappelé, notre groupe considère que ce classement impliquerait une protection
accrue concernant l’application de la Loi Littoral, loi menacée par un certain nombre
de politiques comme le prouve le vote sur la motion présentée en juillet 2006 par le
maire d’Annecy de l’époque, M. Bernard Bosson. Ce vote n’avait pas obtenu
l’unanimité des élus municipaux, les élus UMP et divers droite s’abstenant ou votant
contre.
Ce qui démontre parfaitement qu’il y a toujours un danger de ce côté-là, et que le
risque de remettre en question la Loi Littoral qui protège, entre autres, le Lac d’Annecy
est toujours présent, et ce d’autant plus lorsque l’on connaît, à ce sujet, la position de
Bernard Accoyer, Député-Maire d’Annecy-le-Vieux, devenu depuis Président de
l’Assemblée nationale.
Mais au-delà de la préservation de la qualité de l’eau, du maintien de la Loi Littoral,
Intervention de Jacques Vassieux
absolument nécessaires en effet, il y a aussi d’autres enjeux importants comme la
conservation du patrimoine. Conserver et embellir le Patrimoine français est pour nous
essentiel. Faire la promotion du « Beau » est indispensable. Et notre groupe peut
s’enorgueillir d’avoir toujours défendu cette ligne pendant que d’autres, à l’image de
votre majorité, M. Le Président, faisaient la promotion, par exemple, de Cloaca, la
"machine à caca" ou du spermatozoïde pneumatique géant, joyeusement nommé
“Allah et les 11.000 vierges”, ou encore de l’os de poulet géant en mousse, ou bien
des rivets de couleur noyés dans le béton, pour rappeler le lichen.
Au Front national nous refusons ces délires de Bobos. Pourquoi ? Tout simplement
parce que nous sommes attachés, au contraire de vous, à une vraie politique de la
culture, basée sur le Beau. Uniquement le Beau ! Comme l’est et doit le rester le Lac
d’Annecy.
Le rapport présenté allant dans ce sens, nous le soutiendrons avec plaisir, en regrettant
toutefois que nous ne puissions
placer la France entière dans ce Marie Favre, Dominique Martin et Jacques
classement
au
Patrimoine Vassieux au sein du Groupe FN sur les
Mondial de l’UNESCO, tant elle bancs de l’Assemblée régionale
est chaque jour défigurée par les
conséquences des politiques
menées, tant sur le plan national
que local, par vos amis et tous
ceux qui les ont précédés aux
affaires.
Je vous remercie de votre
attention.
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les nouvelles du Front - numéro 65 - page 4
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EUROPÉENNES
POUR DEFENDRE LA FRANCE EN EUROPE
Dans le nouveau bulletin de liaison du Front National, son Président Jean-Marie LE
PEN a bien résumé la situation : « Le Front National, déçu par la présidentielle,
étrillé sévèrement aux législatives, mais déjà revigoré aux cantonales, repart d’un
bon pied, en ayant réparé les dégâts de la dernière tempête. Car il en va des
partis comme de tout dans la nature : un jour, c’est Jean qui rit, un autre Jean qui
pleure et la vie commence toujours demain ».
Et demain, c’est l’élection des députés français au Parlement Européens, donc une
élection essentielle pour la défense de notre Pays. La France sera divisée pour la
circonstance en 8 grandes circonscriptions, et le scrutin à la proportionnelle à un
tour fait que chaque voix compte. Il ne doit pas y avoir d’abstention dans nos
rangs. Ne laissez pas les autres décider à votre place. N’hésitez pas à le dire et
à le redire autour de vous.
Les conséquences désastreuses de l’Europe de Bruxelles, telle qu’on nous la
propose (qu’on nous l’impose) sont innombrables, et il ne faut pas les oublier :
•
Des pans entiers de notre industrie ont été dévastés (charbon, sidérurgie,
chaussures, textile…).
•
Cette Europe coûte de plus en plus cher aux Français car les technocrates
de Bruxelles sont trop éloignés des réalités.
•
Nous subissons une immigration massive et incontrôlée, et une insécurité
galopante.
•
Les délocalisations, le chômage, l’élimination de nos paysans, de nos
pêcheurs, la mort programmée des services publics, le gaspillage…
•
Même nos traditions et notre mode de vie sont touchés ; trouvez-vous normal
que Bruxelles fixe les dates d’ouverture et de fermeture de la chasse dans notre
Pays ? Réglemente la pêche ?
De plus, nous constatons que cette Europe-là ne nous a pas protégés de la crise
financière mondiale que nous subissons aujourd’hui.
Vous êtes tous convaincus qu’il faut au Parlement européen des élus Front National
pour défendre nos emplois, nos entreprises, notre niveau de vie, notre protection
sociale, nos paysans, nos pêcheurs, nos libertés, nos droits, notre sécurité et nos
traditions. Ils feront respecter les droits, les intérêts et la souveraineté de la France
en Europe.
L’Europe n’a de sens que si elle est facteur d’emplois, de richesses, de paix, et elle
doit se faire au bénéfice des peuples des Etats membres. .
En Haute-Savoie, une bonne équipe travaille d’arrache-pied depuis de très
nombreuses années, mais cette équipe vieillit et nous avons besoin de sang neuf.
Nous avons besoin de jeunes et de moins jeunes, d’hommes, de femmes. Nous
sommes en campagne et dès la rentrée, nous devrons informer nos compatriotes
des enjeux de cette élection et faire connaître nos propositions de bon sens.
Collages, tractages, communication, organisation de réunions nous attendent, et
nous avons besoin de vous. Nous devons « mailler » le terrain beaucoup plus qu’il
ne l’est aujourd’hui si nous voulons avoir une représentation significative au
Parlement européen.
En fonction de vos disponibilités, vous pouvez prendre en charge un petit secteur,
consacrer une heure ou deux par semaine à une action militante, rejoindre une
équipe déjà en place. Les moyens matériels nécessaires seront mis à votre
disposition. Pour un collage : 3 personnes de bonne volonté, 2h de travail le soir,
une fois, deux fois par mois si vous pouvez… comme dit l’autre, c’est pas la mer
à boire….
Pour une bonne cohésion et dans un souci d’efficacité, les responsables locaux
seront à vos côtés pour toutes les actions de propagande.
J’espère que vous serez nombreux à prendre contact avec l’un des responsables
cités ci-dessous. Il vous donnera alors tous les renseignements utiles en fonction de
votre secteur d’activités. Faites-vous connaître, venez avec un ami qui partage les
mêmes idées et les mêmes espoirs que vous.
Jean-Luc FOL,
Marie FAVRE,
Dominique MARTIN,
Bernard GUILLERAULT,
Patrick CHEVALLAY,
1ère circonscription,
2è circonscription,
3è circonscription,
4è circonscription,
5è circonscription,
Alors, à bientôt.
Marie Favre
Conseiller régional
tél.
tél.
tél.
tél.
tél.
:
:
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:
:
06
06
06
06
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72
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36
81
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43
55
96
95
78
23
21