2014 DOSSIER CASA NOSTRA PDF

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2014 DOSSIER CASA NOSTRA PDF
 COMPAGNIE FEUX DE LA RAMPE
CASA NOSTRA - AIMÉ SUR LE SEUIL
de SABINE TAMISIER
Mise en scène MARIE TIKOVA
Scénographie ÉLODIE MONET
avec ALYSÉE SOUDET et ANTHONY PALIOTTI
Feux de la rampe
12 passage de Clichy – 75018 Paris
tél : 0033681102114 – 0033173752257
[email protected]
www.marietikova.com
NOTE D’INTENTION
CASA NOSTRA :
Héloïse est amoureuse, éperdument amoureuse de Louis.
Louis ne sait pas qu’Héloïse est amoureuse de lui.
Héloïse a trouvé son prince charmant, elle fantasme, rêve, délire.
Une jeune fille d’aujourd’hui un peu paumée et sans repaires.
A l’aire des réseaux sociaux et des amis Facebook, Héloïse s’est enfermée dans sa
solitude. Prisonnière de son univers elle patauge dans sa douleur d’amour.
Héloïse monologue la belle langue de Sabine Tamisier par syllabes, par bribes, par
lambeaux.
AIMÉ SUR LE SEUIL :
Aimé le voisin du dessus, épie Héloïse, intrigué et peut-être amoureux d’elle.
Mais Héloïse est amoureuse de Louis et emmurée dans sa peur de l’autre.
Il débarque devant sa porte sous prétexte de lui emprunter de la colle.
Face à son arrivée impromptue Héloïse est confrontée à une nouvelle situation… le réel.
Mais elle n’ouvrira pas, et ils se parleront de part et d’autre de la porte sans jamais se
rencontrer.
De quiproquos en malentendus, le dialogue entre les deux personnages est un ratage
permanent drôle et émouvant.
La langue de Sabine Tamisier déstructurée et poétique dans la première pièce devient
quasi quotidienne dans la seconde.
Les deux pièces peuvent être jouées de façon autonome mais leur juxtaposition apporte
à chacune un éclairage plus dense... déni de la réalité, difficulté de communiquer,
isolement et solitude, peur de l’autre, autant de sujets qui résonnent dans notre réalité
quotidienne.
Sur la mise en scène et la scénographie :
Première partie :
Héloïse est envahie par un monde virtuel qui l’absorbe et l’engloutit toute entière. Elle
est partie intégrante de cet univers.
Elle porte une robe blanche , sur le vêtement, une tâche de café ou de boue.
Puis il y aura la robe rouge pour séduire Louis.
L’espace scénique vide est d’un blanc immaculé.
Seul élément, une chaise blanche très haute qui s’élève dans les airs.
Il y a aussi une tache de lumière provoquée par l’éblouissement d’un miroir, le blanc
environnant en devient aveuglant.
Deuxième partie :
L’arrivée d’Aimé devant la porte de l’appartement d’Héloïse provoque un retour brutal à
la réalité.
L’espace d’Héloïse se rétrécit et se scinde en deux :
- côté jardin, l’espace d’Héloïse
- côté cour, l’espace d’Aimé.
L’espace scénique s’est obscurci. Contraste entre le blanc de sa pièce à elle et l’espace
autour, noir comme le ciel.
Une cloison translucide d’aspect humide semblable à une vitre embuée - soulignant les
différentes évocations de l’eau dans le texte - partage le plateau en diagonale.
La présence d’Aimé apparaît telle une ombre. Son apparition et disparition se joue avec
une lumière qui semblable à la lumière d’une minuterie s’éteint et se rallume.
L’action va se jouer en simultané de part et d’autre de la cloison.
Les deux personnages ne se rencontreront pas.
Une écriture contemporaine pour parler d’une réalité d’aujourd’hui :
mise en lumière des comportements, impossibilité de communiquer , peur de l’autre,
perte de repères, quête d’amour … une langue à la fois poétique et quotidienne, entre
rêve et réalité.
SABINE TAMISIER - AUTEUR
Photo Laurent Solférino
Après une Maîtrise d’Études théâtrales (Aix-en-Provence), Sabine Tamisier travaille en
tant que médiatrice du théâtre contemporain en milieu rural, pour le Centre Culturel
Cucuron-Vaugines. Par ailleurs, elle joue, anime des ateliers de pratique théâtrale dans
le cadre desquels elle met en scène des textes d’auteurs dramatiques contemporains et
suit des ateliers d’écriture. C’est à partir de toutes ces rencontres que grandit son désir
d'écrire pour le théâtre. Elle intègre alors en 2003 la première promotion du département
Écritures dramatiques de l'ENSATT (École Nationale Supérieure des Arts et Techniques
du Théâtre / Lyon), créé et dirigé par Enzo Cormann. De 2006 à 2010 elle travaille pour
le Centre de Ressources de Montévidéo (Marseille). Elle se consacre aujourd’hui
entièrement à l’écriture et à son travail de comédienne. Certaines de ses pièces ont été
créées ou sont en cours de création.
Pour le théâtre, elle a écrit
Anatole et Alma ou Le train des vacances finies (2013).
Aimé sur le seuil (2013).
Trace(s) (2013).
Galino, Théâtrales (2013).
Anakpok Kunuk ou L’incroyable traversée (2012).
Vache sans herbe (2011).
Nina ? (Épilogue).Théâtrales (2011).
Sad Lisa, Théâtrales (2010). Prix d’écriture théâtrale de la Ville de Guérande et des
Journées de Lyon des auteurs de théâtre.
Les Blés, Espaces 34 (2007).
Casa Nostra. Le Mot et le Reste (2009), Revue Nioques # 5.
La Traverse (2005).
Les Appalaches (2005).
L'Histoire d'Anna (2000). À paraître chez Théâtrales Jeunesse en 2014.
MARIE TIKOVA - METTEUR EN SCÈNE
Photo Christine Spengler
Marie Tikova dirige la compagnie Feux de la Rampe depuis 1993.
Au théâtre, elle met en scène essentiellement des auteurs contemporains – Fleisser,
Fassbinder, Nordmann, Barthes, Schwab, Dea Loher, Sibylle Berg … mais aussi des
textes classiques – Tchekhov, Marivaux, La Fontaine, Saint Exupéry …
Elle aime les rencontres avec des artistes d’autres disciplines, et confie volontiers des
rôles à des danseurs tel que Jean Babilée (Frigid, Simple suicide), mais aussi à des
musiciens (Ingrid Schoenlaub , Sarah Lavaud)
La musique tient une place importante dans ses spectacles,
Sa longue collaboration avec le scénographe Claude Chestier a toujours inscrit ses
créations dans un espace de jeu résolument contemporain.
Sa rencontre avec Elodie Monet est dans le prolongement de cette démarche.
Au cinéma, elle réalise plusieurs films de court-métrage, primés dans des festivals ou
distribués en salle.
Comédienne, elle travaille dans les théâtres nationaux , le festival « in » d’Avignon, mais
aussi au music-hall de l’Olympia, au théâtre Fontaine, au Café de la danse…
Elle joue au cinéma sous la direction de Nadine Trintignant et d’Hugo Santiago et
enregistre de nombreux textes pour France Culture.
Elle est aussi responsable d’ateliers et stages de formation pour des amateurs et des
professionnels.
ELODIE MONET - SCÉNOGRAPHE
Après avoir été formée à l’Ecole Boulle en architecture intérieure, elle décide de se
spécialiser en scénographie et intègre l’ENSATT.
Elle collabore alors avec différents metteurs en scène, tels que Richard Brunel, Antoine
Caubet, Serge Tranvouez, Guillaume Delaveau et Christian Schiaretti au TNP de
Villeurbanne.
Au théâtre, elle travaille aussi aux côtés de Grégoire Ingold, Anne Coutureau,
Dominique Lurcel, et dans un registre plus contemporain avec Claire Rengade pour Les
Terriens et Catherine Schaub pour Ring.
Sa rencontre avec Cécile Roussat et Julien Lubek lui permet d'aborder un nouveau
registre alliant théâtre et danse. Avec eux elle travaille sur un opéra, La Flûte
Enchantée.
La cohérence d'un projet passant par une vision d'ensemble, outre son travail de
conception elle peaufine également un savoir technique et diversifie ses expériences
entre les ateliers de l'Opéra de Lyon et le cinéma :
Les Adoptés de Mélanie Laurent et Mauvaise fille de Patrick Mille
ALYSÉE SOUDET - COMÉDIENNE
Elève en 2° année au CNSAD
Après trois années passées au cours Florent, d'où elle sort en participant au prix Olga
horstig en 2011, Alyzée soudet entre au conservatoire national supérieur d'arts
dramatiques de Paris, où elle suit actuellement sa deuxième année. Lors de son
cursus de formation à l'école Florent, elle interprète entre autres les rôles de Puck dans
le songe d'une nuit d'été mis en scène et traduit par Damien Bigourdan, celui de Feste le
Fou dans la nuit des rois montée par Laurent Natrella dans le cadre des travaux de
troisième année, et la Femme (Mussarar) dans l'adaptation par Mounir Nini du roman
les hirondelles de Kaboul de Yasmina Khadra (travaux de fin d'année).
A l’extérieur, elle interprète le rôle de Figaro dans l’adaptation du Barbier de Séville de
Beaumarchais par Marc Douguet à l’ENS de Paris. Elle est également choisie comme
récitante par Goran Bregovic dans son spectacle oratorio « Margot, mémoires d’une
reine malheureuse », racontant par fragments l’histoire d’une jeune femme serbe fille de
général et plongée dans la tourmente de la Srebrenica en 1990. Le spectacle a lieu
plusieurs fois, dont une à la Basilique Saint Denis et une autre aux arènes de
Carcassonne.
Au conservatoire, lors des ateliers de première année, elle a l'occasion d'interpréter le
personnage de l'Un dans je suis le vent de jon fosse, adapté par Alexandre Zeff, Lady
Mcbeth dans un montage de la pièce éponyme composé par Raouf Rais, et le rôle
d’Alice (la femme du capitaine) dans la danse de mort de Strindberg, lors des journées
de juin de la classe de Gérard Desarthe.
ANTHONY PALIOTTI - COMÉDIEN
Formation : Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris
A travaillé au théâtre notamment avec : C. Poirée (Beaucoup de bruit pour rien, Homme
pour homme), Ph. Ulysse (L’Odeur du sang humain), J.-F. Auguste (Ciel ouvert à
Gettysburg, La Tragédie du vengeur), V. Serre (Les Trois sœurs, Le Suicidé), V.
Macaigne (On aurait voulu salir le sol), C. Perton (Hop là, nous vivons), M. Paquien
(L’Assassin sans scrupules et Le Baladin du monde occidental), J. M. Patte
(Écrire/Roma), B. Jaques Wajman (La Marmite, L’Odyssée), E. Daumas (L’Île des
esclaves), P. Chéreau (Henri VI / Richard III)...
Au Cinéma avec C. Chabrol, F. Tellier, J. Sales et F. Suarez, C. Perton, S. Filières, F.
Dupeyron, Ph. Garrel, V. Macaigne, L. Tirard, E. Chatilliez, T.Klifa, M. Loridan-Ivens, S.
Bondelack...
FEUX DE LA RAMPE ………. LA PRESSE EN PARLE
Un Petit Prince de Saint Exupéry
Création décembre 2011. Nous avons créé le spectacle dans le grand théâtre du
Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique de Paris pour une représentation
Tournée 2013 /2014 :
- février / mars, théâtre Jean Vilar de Vitry /Seine
- mars également, Auditorium d'Ivry /Seine
- juin, festival du Tholonet Autour des claviers
- juin, Lille, festival Lille Piano Lille
- juillet, festival de Pontlevoy
- novembre, festival Notes d'automne au Perreux sur Marne
- décembre, festival Les Pianissimes à Saint Germain au Mont Dore
- mars 2014, Ambérieu en Bugey
Un moment de tendresse, de fraîcheur et d’émerveillement pour petits et grands.
(Alain Cochard, A Nous Paris, déc. 2011)
Mis en espace par Marie Tikova dans l’admirable écrin du conservatoire de Paris, le
dispositif est aussi simple que possible… Musicalement, le dépouillement est également
de mise [...] mais ce parti pris se révèle à la fois sensible et pertinent.
Finement interprétés par Sarah Lavaud, les différents morceaux s’effacent parfois
devant la narration et, le reste du temps, s’y entrelacent étroitement. [...] L’essentiel du
texte est confié à Bertrand Périer …. il captive soixante-dix minutes durant par sa
justesse de ton.
(Simon Corley, déc.2011 www.concertonet.com)
Le festival Autour des claviers a le don de dénicher les artistes d’exception.
Sarah Lavaud apporte sa maîtrise, son jeu délié et précis, sa sensibilité, au service de
la lecture du Petit Prince .Le texte est présenté en écho à un extrait de la Lettre à un
otage (1940) et à la dédicace à Léon Werth, qui lui accordent une dimension
supplémentaire. Pas de pathos, jamais, dans la lecture sobre de Bertrand Périer, aux
couleurs de désert, qui s’efface devant les mots. La mise en scène de Marie Tikova, qui
multiplie les pupitres, comme autant de reflets d’étoiles, souligne avec délicatesse les
étapes du récit … On reste bouleversés, émus aux larmes : Chacun ce jour-là a pu
goûter par la grâce de ces grands artistes à l’essentiel, qui reste bien sûr «invisible pour
les yeux».
(Zibeline, Maryvonne Colombani, juin 2013)
Fauteuil 24 / Les Fables amoureuses de Jean de La Fontaine
Création juillet 2007- festival d’Avignon
Tournée novembre, décembre 2007
Reprise septembre 2008 à Janvier 2009 - Aktéon-Théâtre à Paris
Festival La Fontaine à Château- Thierry , mai 2009
Centre Mondial de la Paix, Verdun, sept.2009
Théâtre Le Colombier, Bagnolet, résidence nov./déc. 2009
Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine, janvier / février 2011
Quatorze fables de Jean de La fontaine ont été retenues par Marie Tikova parce qu’elles
parlent des joies et des tourments de l’amour …… remarquablement réhabilités grâce
aux deux acteurs. Le décor, une trouvaille qui place les fables dans l’intemporalité. La
présence du violoncelle, joué par la comédienne Ingrid Schoenlaub s’impose comme un
contrepoint au texte…… Un spectacle qui donne envie de relire toutes les
fables.Télérama – déc.2008 ( Nathalie Kuperman)
La compagnie Feux de la rampe offre un spectacle plein d’originalité. Dans une mise en
scène épurée et inventive, les acteurs croquent avec talent l’univers ludique de La
Fontaine.Le Parisien – nov.2007 ( Olivia Peresson)
La version que nous offre Marie Tikova touche les enfants déniaisés que nous sommes
devenus…. Pétillant spectacle dans un décor sobre aux métamorphoses
ingénieuses….Le raffinement et l’élégance du jeune Anthony Roullier nous transporte à
la cour du Roi-Soleil. Ingrid Schoenlaub avec son violoncelle transperce littéralement
l’espace et donne rythme et silence au temps.Les Trois Coups – sept.2008 (Olivier
Pradel)
Joué et mis en scène avec force précision et conviction …….sous la baguette agile et
précise de Marie Tikova, Ingrid Schoenlaub et Anthony Roullier changent de peau
comme de chemise, et en plus de posséder une diction parfaite, ont des voix qui
semblent venir d’un autre temps…. La mise en scène épouse à la perfection le caractère
polymorphe de l’œuvre de La Fontaine.Rue du Théâtre – oct. 2008 (Morgan Le
Moullac)
Marie Tikova a concocté une charmante fantaisie, dans une scénographie très épurée
mais judicieuse de Claude Chestier….mise en scène rythmée, pleine de charme et de
pétulance. Ingrid Schoenlaub, musicienne et comédienne, se taille la part du lion, elle
joue de son instrument avec une virtuosité remarquable tout en jouant la comédie,
gracieuse, très expressive, la voix bien timbrée…Froggy’s delight –oct. 2008 ( M.M)
Le spectacle de Marie Tikova dans sa grande sobriété rappelle fort opportunément que
Jean de La Fontaine n’était pas vraiment sage …. Désordre amoureux malicieux. Les
personnages lyriques et ironiques dans leur simplicité apparente et élégante évoquent
Nicolas Poussin et déjà Voltaire. Le bonheur du spectateur est total.Impact Médecine
oct.2008 ( Jean Grapin)
Un La Fontaine pétulant ! Une scénographie réussie, une partition musicale bien
enlevée et des costumes d’inspiration moderne avec un clin d’œil au 17° siècle….Les
deux comédiens sont gracieux, élégants, stylés, convaincants et drôles.Paru Vendu –
nov.2008 (Bernard Moncel)
Manhattan Medea de Dea Loher
création 2005 – théâtre Jean Vilar / Vitry sur Seine
Marie Tikova célèbre dans sa mise en scène, la poésie surgissant de la juxtaposition
entre archaïsme et modernité.La Terrasse- nov.2005( C.Robert)
Par le choix de la scénographie, par sa précision des déplacements, Marie Tikova a
joué la carte de la sobriété. Nous ne verrons que l’essentiel et l’impact en sera plus
grand ………. Médée a au cours des siècles inspiré de nombreux auteurs et cette
dernière incarnation figurera en bonne place parmi la lignée. Théâtre-toiles.net nov.2005 (S.Alexandre)
Dirigés subtilement par Marie Tikova, les comédiens évoluent dans un décor aux allures
de labyrinthe, avec de simples cadres de bois dressés à la verticale qui seront éliminés
l’un après l’autre. La pièce singulière et touchante y prend sa pleine dimension
symbolique.Le Monde et Vie – nov.2005
La ravissante ronde d’après le ravissant Monsieur Arthur Schnitzler
de Werner Schwab
création 2002 – théâtre Le Colombier / Bagnolet
La mise en scène de Marie Tikova témoigne de la capacité miraculeuse de certaines
compagnies indépendantes à produire des spectacles de grande qualité avec des
moyens limités….. Ce spectacle forme le troisième volet d’un triptyque
dramatique,variations sur l’amour, et porte la touche très personnelle du metteur en
scène, que l’on peut définir en deux mots : élégance et délicatesse.Inter CD – déc .2002
( Martine Jullien)
Marivaux/Barthes – jeux d’amour,d’après Marivaux et Roland Barthes
création 1999 – théâtre Jean Vilar / Vitry sur Seine
tournées 99 et 2000 en France
Le metteur en scène Marie Tikova a voulu rapprocher et questionner les paroles de
deux éminents spécialistes du discours amoureux, Marivaux et Barthes…un défi où le
désir est roi.La Terrasse – mai 1999
Dans cette pièce on passe du statut de spectateur à celui d’acteur parce qu’un jour, on
s’est soi-même perdu dans ces transes et ces méandres…. Un chassé-croisé entre
quatre acteurs transportés par la fougue, la flamboyance, la grâce et l’exaltation de la
jeunesse. Le Relais – mai 99 (J.Monkowicki)
Simple suicide de Jean-Gabriel Nordmann
création février1997 - La Ménagerie de Verre / Paris,
reprise avril 97, théâtre de l’Arc en Ciel / Rungis
Danseur étoile de l’Opéra, à jamais le héros du « Jeune homme et la Mort », imaginé
pour lui par Jean Cocteau et Roland Petit en 1946, Jean Babilée a, depuis, fréquenté
tous les types de scène. A la Ménagerie de verre, il crée, « Simple Suicide » de J.G
Nordmann. Marie Tikova qui l’avait déjà dirigé dans « Frigid ou le cœur hautain » lui a
demandé d’incarner cet octogénaire qui avait maquillé son crime en suicide.Le Parisien
– mars 97 (Agnès Dalbard)
L’Amour est une région bien intéressante , d’après la correspondance
d’Anton Tchekhov et Olga Knipper
création 1995 – théâtre Jean Vilar / Vitry sur Seine
tournées 96, 97, 98, 2001 et 2002 en France et au Maroc
Festival d’Avignon en juillet 2001
Tchekhov triomphe à la Fabrique. Cette pièce sur une belle mise en scène de Marie
Tikova, a séduit les spectateurs et enchanté le nombreux public, qui a véritablement
ovationné les deux acteurs Jean-Gabriel Nordmann et Nathalie Fillion. La république
du centre – Maroc janvier 2002
Une mise en scène sobre et vigoureuse et deux acteurs passionnants.
Le Matin du Sahra – Maroc, janvier 2002
Entre Moscou et Yalta, un va –et—vient incessant, plus de huit cent lettres échangées,
quelques rencontres. C’est de cette correspondance abondante que Marie Tikova a créé
un moment d’une rare émotion.La Nouvelle Tribune – Maroc, janvier 2002
Pendant six ans et jusqu’à la mort du dramaturge, Tchekhov et Olga échangent une
correspondance intense et passionnée…… c’est de cette correspondance que la
metteuse en scène Marie Tikova a tiré la matière d’un spectacle d’une rare émotion
servi par deux magnifiques acteurs.
Ousra Magazine – Maroc, janvier 2002
S’inspirant de l’émouvante histoire d’amour du dramaturge Anton Tchekhov et de son
épouse Olga Knipper, Marie Tikova signe « l’Amour est une région bien intéressante »,
une pièce de théâtre d’une grande intensité.Femmes du Maroc – janvier 2002
Lorsque le contenu des échanges épistolaires émane de fortes personnalités, le résultat
fascine. C’est le cas pour cette « région bien intéressante » que tout vrai amateur de
théâtre déguste avec gourmandise………Un bijou de la plus belle eau.La Marseillaise –
juillet 2001(J.L Châles)
La mise en scène de Marie Tikova est sobre et rigoureuse…..Le battement d’un
balancier d’horloge nous rappelle que le temps passe, trop vite à notre gré tellement
nous prenons plaisir à cette représentation.… il faut absolument voir« l’Amour est une
région bien intéressante ». L’Olivié – juillet 2001 (Jacques Boussin)
Tchekhov brille au rendez-vous des Estivales……bravo à Marie Tikova le metteur en
scène. Bravo à Nathalie Fillion et Jean-Gabriel Nordmann pour leur interprétation de
cette pièce. L’Indépendant – sept.1998 (Michel Morin)
CONTACTS
Adresse postale :
12 passage de Clichy
75018 – Paris
adresse mail :
[email protected]
téléphone :
0033681102114
0033173752257
site :
www.marietikova.com
personnes à contacter :
Marie Tikova, metteur en scène
administration
Laurence Santini,
administration @envotrecompagnie.fr