Une collaboration tripartite dans l`académie d`Orléans – Tours

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Une collaboration tripartite dans l`académie d`Orléans – Tours
Interview de Christophe Cessac, Damien Gombault
Une collaboration tripartite dans l’académie d’Orléans – Tours
Christophe Cessac, enseignant et formateur TICE spécialisé sur les formations PGI et Damien Gombault , ingénieur systèmes et réseaux
au GIP Recia (Région Centre) évoquent le partenariat technique qui s’est constitué avec EBP lors du déploiement du PGI dans l’académie
d’Orléans – Tours.
Christophe Cessac : Lorsque la version du PGI d’EBP nous a été présentée au Ministère, elle ne pouvait être chargée que sur
des serveurs Microsoft. Or, dans l’académie de Tours, toutes les solutions logicielles sont hébergées sur des serveurs Linux.
A notre demande, EBP a alors développé une version MySQL, qui avec l’aide de la Région, a ensuite pu être testée sur quelques établissements. La solution s’avérant fonctionnelle, la Région a industrialisé ce dispositif en « virtualisant » dans les différents établissements des
serveurs MySQL auxquels il suffisait d’installer le PGI via des postes clients.
Dans un deuxième temps, au fur et à mesure de l’exploitation du PGI, les professeurs ont constaté certaines lenteurs.
L’académie s’est à nouveau tournée vers le GIP Recia qui a reçu mission d’analyser et d’identifier les éventuels dysfonctionnements.
Damien Gombault : Avant toute chose, je précise que le GIP Recia s’occupe de gérer les serveurs et les réseaux dans les lycées de
l’académie d’Orléans – Tours. Je suis donc régulièrement en contact avec les équipes enseignantes de l’académie.
L’année dernière, dans le même temps où les enseignants de Bac Pro GA se plaignaient de lenteurs dans l’utilisation du PGI d’EBP, nous
avons constaté des charges anormales sur nos serveurs. Une série de tests a été lancée pour essayer d’en identifier les causes. Nous
avons constaté que le PGI d’EBP n’était pas optimisé pour fonctionner avec la masse de bases de données qui étaient chargées en permanence sur les serveurs (plus de 1000). Pour ouvrir une base de données, il fallait lancer une centaine de requêtes qui pour s’exécuter
prenaient chacune 1 seconde, à multiplier par le nombre d’élèves qui se connectaient dans une classe…
J’ai donc fait part de mes remarques au responsable académique d’EBP avec quelques recommandations pour corriger le problème
qui ont été transmises à ses équipes de développeurs. Peu après, à réception d’une version corrigée, la nouvelle version a aussitôt été
réinstallée.
Christophe Cessac : Et depuis, le produit, installé dans la quasi-totalité des établissements professionnels de l’académie, fonctionne
parfaitement !
Je remercie vivement Damien Gombault qui, avec le GIP Recia, s’est toujours montré très efficace, aussi bien lors d’expérimentions du
PGI pendant 6 mois dans quelques établissements, que lorsqu’il s’agit de comprendre et d’améliorer son utilisation. Cet épisode démontre combien il est important de développer de véritables partenariats techniques. Pour l’occasion, les équipes réseaux du GIP Recia
ont joué un rôle d’intermédiaire technique entre les utilisateurs du progiciel, les professeurs de comptabilité, et EBP son éditeur. Cette
triple collaboration illustre l’importance dans tout déploiement de solution de trouver des interlocuteurs réactifs et ouverts aux échanges !
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