session poster labex manutech-sise

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SESSION POSTER LABEX MANUTECH-SISE
Poster N°1
Investigation of structural effects induced by LIPSS formation with a HR-EBSD approach (SEI-LIPSS)
SEDAO - Post-doc Université de Lyon, Labex MANUTECH-SISE
Responsables
Jean-Philippe COLOMBIER, Université Jean Monnet, LHC UMR5516 CNRS, 42000 Saint-Etienne
Florence GARRELIE, Université Jean Monnet, LHC UMR5516 CNRS, 42000 Saint-EtienneClaire MAURICE, Ecole des
Mines de Saint-Etienne, LGF UMR5307 CNRS, 42000 Saint-Etienne
Laboratoires d’accueil
Laboratoire Hubert Curien UMR5516 CNRS, Université Jean Monnet, 42000 Saint-Etienne
Laboratoire Georges FRIEDEL UMR5307 CNRS, Ecole des Mines de Saint-Etienne, 42000 Saint-Etienne
Résumé
Après une photo-excitation localisée lors de l’irradiation par un laser ultra-bref, la région sub-surface subit une
fusion transitoire et une trempe ultra-rapide. Par conséquence, l’évolution de température et pression induit des
changements de microstructure et de topographie à l’échelle nanométrique, qui peut, éventuellement, aboutir à
l’apparition de LIPSS (Laser-Induced Periodic Surface Structures). Pour avoir une meilleure compréhension de la
formation de ces structures périodiques, SEILIPSS vise à développer une approche expérimentale basée sur la
caractérisation EBSD (High Resolution Electron Back-Scatter Diffraction). Cette étude a permis de mettre en
évidence : des défauts induits par l’irradiation laser, une dépendance de l’apparition des LIPSS sur l’orientation
cristalline, une distribution spatiale de désorientation cristalline et de dislocations créés dans la zone de
formation des LIPSS.
Mots clés
Impulsion ultra-bref, fs laser, EBSD, LIPSS
Une zone irradiée par laser femtoseconde àФ = 0.38
J/cm²et 18 tirs laser. Les LIPSS apparaissent sur (100),
pas de LIPSS sur (111).
Cartographie EBSD de désorientation
locale indiquant une distorsion de maille
plus importante pour les cristaux (111)
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Poster N°2
Mesure du gradient des propriétés mécaniques des zones hyper-déformées à partir des essais de nanoindentation et micro-compression de piliers
David TUMBAJOY-SPINEL - Doctorant Université de Lyon, Labex MANUTECH
Responsables
Guillaume KERMOUCHE Ecole des Mines de Saint-Etienne, LGF UMR5307 CNRS, 42000 Saint-Etienne
Sylvie DESCARTES Université de Lyon, CNRS, INSA-Lyon, LaMCoS, UMR5259, 69621 Villeurbanne
Jean-Michel BERGHEAU Université de Lyon, ENISE, LTDS, UMR 5513 CNRS, 42023 Saint-Etienne
Laboratoire d’accueil
Laboratoire Georges Friedel UMR5307 CNRS, Ecole des Mines de Saint-Etienne, 42000 Saint-Etienne
Résumé
Les traitements mécaniques de surfaces habituellement utilisés dans l’industrie sont des procédés dans lesquels
les matériaux sont soumis à une charge mécanique répétitive, ce qui entraîne une forte déformation plastique et
ainsi une transformation de la structure proche à la surface (Transformations Tribologiques Superficielles - TTS).
Le gradient de taille de grains engendré dans la microstructure permet d’améliorer les propriétés tribologiques
des matériaux, ainsi que la résistance à la fatigue, l’usure et le frottement, ce qui est directement liée à une
amélioration des propriétés mécaniques tels que la dureté. Actuellement, un simple essai de micro-dureté n’est
pas suffisant pour décrire et quantifier les gradients des propriétés mécaniques induits dans les zones affectées.
L’objet de ce projet est le développement d’une méthodologie de mesure du comportement élastoplastique de
ces zones hyper-déformées par l’utilisation d’essais d’indentation instrumentée (Fig.1) et de compression de
micro-piliers (Fig.2) sur un matériau métallique model : Fer pur.
Mots clés
Micro-compression des piliers, Nano-indentation, Traitement mécanique de surface
Depth ≈ 15 μm  d ~ 800 nm
Φ = 2.2 μm
h = 3.12 μm
TTS
Φ = 9.32 μm
h = 24 μm
Φ = 5.4 μm
h = 10.42 μm
Fig 1. Essais d’indentation instrumentée (Berkovich)
sur une zone TTS du Fer pur
Fig 2. Essais de compression des micro-piliers dans une
zone TTS du Fer pur
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Poster N°3
Mise en glissement d’un mono-contact élastomère/verre : une étude optique
Riad SAHLI - Doctorant Université de Lyon, Labex MANUTECH-SISE
Responsables
Julien SCHEIBERT, Ecole Centrale Lyon, LTDS UMR5513 CNRS, 69134 Ecully
Christophe DUCOTTET, Université Jean Monnet, LHC UMR5516 CNRS, 42000 Saint-Etienne
Laboratoire d’accueil
Laboratoire de Tribologie des Systèmes UMR5513 CNRS, Ecole Centrale Lyon, 69134 Ecully
Résumé
L’étude des mécanismes de rupture des interfaces de contact est difficile car ces interfaces confinées ne sont
généralement pas directement accessibles à la mesure. Pour lever cette difficulté, nous développons des
méthodes optiques permettant de l’observer, de façon non invasive, l’interface de contact transparente entre un
patin élastomère et une surface de verre. Nous présentons les résultats d’une étude de l’optimisation du
dispositif d’acquisition d’images permettant une bonne identification des zones de contact. Nous l’appliquons ici
à un système d’intérêt en tribologie : la mise en glissement de l’interface entre une sphère élastomère lisse et un
substrat de verre plan. Nous montrons comment l’aire réelle de ce mono-contact dépend crucialement de la force
tangentielle appliquée sur le contact et comparons nos mesures à des modèles de la littérature.
Mots clés
Mono-contact, Méthode optique, Interface élastomère/verre, Frottement