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Nom d’équipe :
ETAPE 2– D’UNE RIVE A L’AUTRE
Questions
DU VIEUX LYON A LA PRESQU’ILE
Votre promenade continue au cœur du quartier Saint-Jean du Vieux Lyon médiéval et
renaissance et vous mènera jusqu’à la rive ouest de la Presqu’ile et ses splendides bâtiments au
style haussmannien.
Quittez l’endroit de la collation par la rue Saint Paul et revenez devant la gare où vous avez
rendu vos questionnaires de l’étape précédente. Rendez-vous jusqu’au tabac (enseigne rouge
visible depuis la gare) de la place Saint Paul (pas de photos ni questions).
Dans votre vie, il y a des cactus… et sur votre route aussi !
1. Qui est le créateur de Guignol ? Où a-t-il joué durant 37 ans ?
- Laurent Mourget
- 2, place Saint Paul
Descendez la rue Lainerie à votre droite.
Suivez votre cœur car c’est un atout
pour vous engager dans la miraboule
du 10 rue lainerie.
A l’intérieur, l’escalier à limon
témoigne du talent et de l’audace des
maitres maçons de la Renaissance
lyonnaise : un escalier sans noyau !
Jetez-y un œil et revenez sur vos pas.
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Au 14 de la rue Lainerie, se trouve une belle demeure réalisée en 1516 par un maitre maçon de
Bourg en Bresse, Claude Debourg qui fut ensuite élevé au rang de consul de la ville.
2. Quel est le style architectural de cette demeure ?
Style gothique flamboyant
3. Reprenant une fameuse citation de Mark Twain dans sa version originale, pour quelle
raison aimez-vous votre chien?
"The more i meet people, the more I like my dog" Plus je rencontre des gens, plus j’aime mon
chien.
Vous arrivez Place du Change : dans le Palais du Change voyageurs et commerçants changeaient
leur monnaie avant de quitter le royaume de France : Lyon à cette époque était proche de la
frontière de la Savoie. Durant les foires franches, la ville était très cosmopolite et fut
surnommée « Mirlingue » par Rabelais : la ville aux mille langues.
4. En parlant du Palais du Change, en quelle année est-il devenu un lieu de culte protestant ?
1803, affiche travaux « un peu d’histoire »
5. Elles cuisinent comme les mamans. Comment s’appellent ces deux sœurs ?
Louise et Albertine (menu de la Grange de St Jean).
Admirez également la façade de la Maison Thomassin, une très vieille demeure reconstruite en
1493 pour Claude Thomassin, conservateur des foires et capitaine de la ville. Elle a gardé les
blasons du Dauphin (poisson), Charles VIII (fleur de lys) et d’Anne de Bretagne (hermine) aux
tympans des arcs du 2ème étage.
6. Qu’y a-t-on retrouvé caché en 1968 ?
Un plafond peint aux armes des Fuers et de celle de St Louis et de Blanche de Castille.
C’est un des plus anciens plafonds peints en France.
Suivez la direction de cette ville où l’on fait tomber les masques pour emprunter les pavés de
cette rue typique du Vieux Lyon que vous avez déjà foulés ce matin.
7. Sa jumelle peut vous servir à Saint Lambert. De quoi parle-t-on ?
La boulangerie Bretz, 4 rue St Jean
8. On les emporte… ou pas !
Des pâtes Fraiches, restaurant Mezzio 7 rue St Jean.
9. Depuis quand fait il rire les gens de bons esprits ?
1808 (musée Guignol au 6 rue Saint Jean).
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Vous arrivez sur la place du Gouvernement, qui doit son nom à la belle m aison aux fines
sculptures au numéro 2 de la place (aujourd’hui occupée par le magasin Trésors de Soie),
« l’Hostellerie du Gouvernement ».
Retrouvez-nous pour un jeu sur cette place.
L’hostellerie du Gouvernement était l’hôtel particulier pour le représentant du roi dans la ville,
nommé Gouverneur. En 1734, les gouverneurs étant partis s’installer rue de la Charité, le
bâtiment devint une auberge de luxe pour voyageurs mais conserva son nom d’origine.
10. On y retrouve, entre autres, des chevaux et un puits sous dais à coquille. Citez deux
autres éléments architecturaux de ce lieu.
Une grande loggia et une cour surélevée.
Entrez dans la traboule de l’ancienne hostellerie du Gouvernement, aussi nomm ée hostellerie
Saint Christophe et admirez la structure architecturale très bien conservée de la cour centrale,
notamment le puits sans dais à coquille dont nous avons déjà parlé. Puis revenez sur vos pas,
place du Gouvernement.
Dirigez-vous ensuite vers un monde magique et l’univers des gourmands.
11. Si vous ne succombez pas au bout de quelques semaines, elle sera fidèle. De quoi
s’agit-il ?
La saveur des biscuits de la confiserie chocolaterie Péchés Gourmands
Sur votre gauche, faites le tour de la place de la Baleine, très prisée pour se restaurer et boire
un pot en terrasse, surtout l’été au frais à l’abri du soleil. En hiver, il y a souvent des cracheurs
de feu. Vous pouvez vous imaginer au Moyen-Age pendant l’une des quatre grandes foires
annuelles qui ont permis à Lyon d’entrer dans une grande ère d’expansion économique. La
place tient son nom d’une enseigne représentant l’animal. Au XVème siècle il était courant que
les places prennent le nom d’un des attributs se trouvant sur celle s-ci, notamment une
enseigne.
12. Quel est l’ancien nom de la place ?
Place Pandaleix
Continuez toujours votre errance rue Saint-Jean, en direction des Indes.
13. Qu’ils le soient d’origine, de cœur ou d’adoption, ils s’y rendent. Qui et où ?
Les Lyonnais, à la Tribu des gones, 24 rue St Jean
Au passage, observez au 24 de la rue la maison Laurencin : derrière la façade du XVIIème siècle
se trouve une vaste cour Renaissance, où s'articulent deux corps de bâtiment reliés par trois
galeries, elles-mêmes desservies par un escalier à vis qui permet de trabouler jusqu'au 1 rue du
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Bœuf. La maison, construite au XVe siècle abrita une riche famille de marchands drapiers et
appartint plus tard aux grands-parents de Lamartine.
14. Dans ce zoo, elles réagissent au moindre insecte. Qui ?
Les plantes carnivores (Fleuriste Aux Azalées, 15 ter rue St Jean).
15. Coussin, cocon, quenelle, bouchon et sarment : où les trouve-t-on réunis ?
Salon de thé Chocathé, 25 rue St Jean
Pénétrez dans la traboule au 27 de la rue (appuyez sur le bouton pour entrer) et traversez-la.
Cette traboule est celle d’une ancienne maison marchande remarquable pour son architecture.
Outre de magnifiques façades sculptées de pilastre cannelés et de chapiteaux, la cour principale
est impressionnante avec son escalier et ses galeries italiennes à arcades. Les trous que vous
pouvez observer dans les marches servaient à aérer les caves.
/!\ LE VIEUX-LYON ETANT HABITE , LE SILENCE ET LA DISCRETION SONT RECOMMANDES POUR LE RESPECT DE LA
TRANQUILLITE DES RESIDENTS DES TRABOULES EN CE DIMANCHE MATIN .
Pour sortir, appuyez sur le bouton et poussez la porte simultanément.
Vous voici dans la rue des Trois Maries, qui a gardé une grande partie des façades d’époque,
donnant l’impression de vivre au XVIème siècle. La rue doit son nom à un groupe sculpté audessus de la porte du numéro 7, Marie-Salomé, Marie-Jacobé et Marie-Madeleine.
En face de vous, observez les pierres formant les arcades du bâtiment et leurs gravures
insolites. Les pierres sont numérotées afin de savoir dans quel ordre les assembler. Il est très
probable qu’il s’agisse d’un apprenti du maitre maçon qui monta ces arches car il aurait fait
l’erreur de placer les pierres dans le mauvais sens, numérotation visible depuis la rue.
Dirigez-vous vers la droite.
16. Qui fut Rénovateur de Géométrie ?
Gérard Desargues
17. Quel est l’autre nom de la rue ?
Rue Tres Monnoyes
Allez à présent vers les quais pour découvrir la Presqu’Ile. Atteignez l’autre rive en traversant la
passerelle en face du Palais de Justice. Pas de questions ni de photos ju squ’à l’autre rive.
Vous voici sur le quai des Célestins, du nom d’un couvent des frères Célestins de 1407 à 1 779.Le
quai date du XVII dans sa première version et de 1818 dans sa configuration finale.
Rejoignez les hospices civils de Lyon en faisant attention en traversant sur le passage clouté.
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18. 1840 et 1856. Que cela vous évoque-t-il ?
Années des crues, marquées sur le bâtiment des hospices
Longez les quais par la droite. Laissez la Savoie et engagez-vous dans la rue du créateur du
Théâtre de l’Atelier.
Vous longez à votre droite le Théâtre des Célestins. Le théâtre a été inauguré une première fois en
1792. En 1871, un incendie détruit entièrement l'édifice, devenu d'ailleurs vétuste et trop petit. La
ville confie la reconstruction d’un théâtre à l’italienne à l’architecte Gaspard-Abraham André en
1873. Le théâtre est inauguré en 1877. Mais en 1880 il est la proie… des flammes ! La salle est
entièrement détruite mais les façades ont résisté. Gaspard André accepte de le reconstruire à
l’identique. Depuis, le théâtre a traversé le 20eme siècle et son passé brulant semble définitivement
derrière lui !
Vous arrivez à présent sur la place des Célestins où vous pouvez admirez la superbe façade du
Théâtre des Célestins. Le nom de la place et du théâtre vient du couvent des Célestins qui s’y
trouvait jusqu’en 1772.
19. Si vous avez une planche à roulette ou des rollers, laissez-les à la maison. Pourquoi ?
Pour préserver l’aspect du théâtre inscrit aux Monuments Historiques et ne pas
endommager le perron.
20. Complétez : Augier, Dumas, Ponsard, …
Sardou (noms au-dessus des portes, à l’intérieur du théâtre)
Au centre de la place se trouve un périscope qui permet d’admirer un parking souterrain
hélicoïdal grâce à un miroir pivotant. N’hésitez pas à jeter un coup d’œil en passant à cette
œuvre réalisée par l’architecte Michel Targe et l’artiste Daniel Buren.
Engagez-vous dans la rue prisée par Robin des Bois et Guillaume Tel mais ne vous y attardez pas
(pas de questions ni photos) et fiez-vous à ce grand écrivain français pour obtenir un bon point.
21. Il vit le jour entre un manège et un port de plaisance. Qui ?
Aimé Vingtrinier (plaque entre les magasins St Tropez et Carrousel)
Vous voilà à présent place des Jacobins, arrivée de cette étape.
La place est entourée d’immeubles haussmanniens. Au centre, se trouve la splendide fontaine
des Jacobins. Elle a été réalisée entre 1878 et 1885 par Gaspard André. Dans un style
éclectique, elle représente le génie créatif de la ville de Lyon en rendant hommage à quatr e
artistes Lyonnais.
Longez la place par la droite pour traverser en direction de la fontaine sur les clous en face de la
rue Gasprain.
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Mais avant de nous rendre vos questionnaires, répondez à cette dernière question (en vous
basant sur l’observation de la fontaine et sur la signalétique):
22. Ils sont 4 : un architecte, un graveur, un sculpteur et un peintre. Mais un seul peut
contempler quatre jeunes femmes qui restent de marbre. Qui est-il et quelle est sa
profession ?
Graveur. Gérard Audran (nom sur la plaque informative à corréler avec les noms sur la
fontaine. C’est le seul qui est face à un bâtiment avec 4 cariatides).
A la fontaine, remettez-nous vos questionnaires questions, photo et jeu matinée ! N’oubliez
pas d’y indiquer pas votre nom d’équipe.
FIN DE LA DEUXIEME ETAPE
Prenez une pause déjeuner dans les restaurants aux alentours de la rue Mercière et rejoignez nous pour la dernière étape à 14h00 place des Cordeliers, sur les escaliers de la Chambre du
Commerce et de l’Industrie.
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