Dictée CM2_30 Vocabulaire
Transcription
Dictée CM2_30 Vocabulaire
Dictée n°30 : La fouine et le merle Dictée n°30 : La fouine et le merle Dès que tombe le crépuscule, les merles commencent, solitaires et méfiants, un chant passionné, bruyant, têtu, varié à l’infini comme pour forcer la venue du printemps. C’est alors que la fouine se glisse, sans façon, sous les taillis et arrive silencieuse au pied de l’arbre où s’égosille le siffleur. Tant que l’oiseau chante, elle avance, s’arrêtant quand il se tait, grimpant sans bruit, redevenant immobile, puis reprenant quand il recommence, se collant à la branche, faisant corps avec elle. Quand elle se sent assez proche, elle se précipite d’un bond sur la bestiole, dont le chant s’étrangle entre ses griffes. Dès que tombe le crépuscule, les merles commencent, solitaires et méfiants, un chant passionné, bruyant, têtu, varié à l’infini comme pour forcer la venue du printemps. C’est alors que la fouine se glisse, sans façon, sous les taillis et arrive silencieuse au pied de l’arbre où s’égosille le siffleur. Tant que l’oiseau chante, elle avance, s’arrêtant quand il se tait, grimpant sans bruit, redevenant immobile, puis reprenant quand il recommence, se collant à la branche, faisant corps avec elle. Quand elle se sent assez proche, elle se précipite d’un bond sur la bestiole, dont le chant s’étrangle entre ses griffes. D’après Louis Pergaud D’après Louis Pergaud Dictée n°30 : La fouine et le merle Dictée n°30 : La fouine et le merle Dès que tombe le crépuscule, les merles commencent, solitaires et méfiants, un chant passionné, bruyant, têtu, varié à l’infini comme pour forcer la venue du printemps. C’est alors que la fouine se glisse, sans façon, sous les taillis et arrive silencieuse au pied de l’arbre où s’égosille le siffleur. Tant que l’oiseau chante, elle avance, s’arrêtant quand il se tait, grimpant sans bruit, redevenant immobile, puis reprenant quand il recommence, se collant à la branche, faisant corps avec elle. Quand elle se sent assez proche, elle se précipite d’un bond sur la bestiole, dont le chant s’étrangle entre ses griffes. Dès que tombe le crépuscule, les merles commencent, solitaires et méfiants, un chant passionné, bruyant, têtu, varié à l’infini comme pour forcer la venue du printemps. C’est alors que la fouine se glisse, sans façon, sous les taillis et arrive silencieuse au pied de l’arbre où s’égosille le siffleur. Tant que l’oiseau chante, elle avance, s’arrêtant quand il se tait, grimpant sans bruit, redevenant immobile, puis reprenant quand il recommence, se collant à la branche, faisant corps avec elle. Quand elle se sent assez proche, elle se précipite d’un bond sur la bestiole, dont le chant s’étrangle entre ses griffes. D’après Louis Pergaud D’après Louis Pergaud