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à suivre aux Rencontres à l’échelle à montévidéo et ailleurs danse lecture / rencontre SA PRIÈRE ACCATTONE de Pier Paolo Pasolini avec Thomas Gonzalez et Stanislas Nordey Malika Djardi (France) vendredi 6 nov à 19h30 solo - durée 45 min - 10€/8€ suivi d’une rencontre avec Christian Caujolle et les Éditions Macula dimanche 8 novembre à 16h lecture / rencontre 8€/6€ réservation auprès du MuCEM sur mucem.org NOTRE QUELQUE PART PREMIÈRE EN EUROPE DANSE - MuCEM - auditorium Germaine Tillion 7 prom. Robert Laffont - 13002 Marseille Nii Ayikwei Parkes (Ghana-UK) Sika Fakambi (Bénin-France) danse THESE SHOES ARE MADE FOR WALKING mercredi 18 nov à 20h30 3€ - dans le cadre des mercredis de montévidéo Nancy Naous (Liban) vendredi 13 novembre à 21h 14€/10€ La Criée - Théâtre National de Marseille 30 quai de Rive Neuve - 13006 Marseille LES CS BAN LiCS PUB Les Rencontres à l’échelle manifestation conçue et produite par Les Bancs Publics association résidente de la Friche la Belle de Mai 41, rue Jobin 13003 Marseille +33(0)4 91 64 60 00 [email protected] www.lesbancspublics.com licences 2-1065032 et 3-1065034 Les Ateliers de l'Image ALI CHAHROUR Liban durée 55 min mercredi 4 novembre 20h30 jeudi 5 novembre 20h30 montévidéo informations réservations : 04 91 64 60 00 @LesBancsPublics /lesrencontresalechelle lesrencontresalechelle echelle10 # LES CS BAN LiCS PUB Suivez, commentez l'actualité du festival : chorégraphie, mise en scène Ali Chahrour interprétation Umama Hamido Rania Rafei assistante à la mise en scène Haera Slim scénographie Nathalie Harb musique Sary Mousa lumières Alaa Minawi costumes Bird On a Wire conseillers artistiques Abdallah Alkafri Junaid Sareiddeen @LesBancsPublics /lesrencontresalechelle lesrencontresalechelle « La performance s’inspire d’Oum Kalthoum, de ses chansons avec une panoplie de thèmes dont l’amour, la passion, le sexe, la révolution, la souffrance et les situations extrêmes d’amour envers l’homme et Dieu… Ces chansons font partie de la mémoire des citoyens arabes, depuis la mélancolie et la dépression qui entourent ce genre musical jusqu’à sa relation à la tristesse actuelle. Le fil rouge de cette pièce est la mélancolie telle qu’entendue par les arabes ainsi que le problème du corps dans le cadre de la croyance religieuse : entre le dévoilé et le voilé, entre ce qui est permis et ce qui est interdit, particulièrement dans la situation de lamentation qui est devenue partie intégrante de la vie citoyenne arabe. » Ali Chahrour en coréalistation avec montévidéo - créations contemporaines production : The Arab Fund For Arts and Culture (AFAC), Culture Resource (Al Mawred Al Thaqafy) soutiens : Houna Center et Zoukak Theatre Company (Beyrouth) remerciements : Jean-Jacques Luchetti (Friche la Belle de Mai) En octobre 2015, Ali Chahrour a présenté Leila se meurt dans le cadre du festival actOral.15 à la Friche la Belle de Mai. Désireux de prolonger cette collaboration, actOral, montévidéo et Les Bancs Publics se sont associés pour accueillir Ali Chahrour en résidence de création depuis le 14 octobre pour son prochain spectacle Dis à la belle puis pour la reprise de Fatmeh, dont les premières dates en Europe ouvrent la 10é édition des Rencontres à l’échelle. #echelle10 ALI CHAHROUR Depuis son diplôme du département de théâtre de l’Université Libanaise, Ali Chahrour s’est intéressé à la recherche de son patrimoine culturel et religieux, ainsi que l’environnement religieux saturé, dont il fait partie, d’une part, et de l’art moderne et son rôle dans la réforme de ce patrimoine d’autre part. Cette recherche a été accompagnée de son souci de ne pas humilier ou déformer la relation entre ce qui est sacré sage religieux et ce qui est tabou sage. En 2009, il crée On the lips, snow, comme une première tentative pour étudier la disparition de souvenirs, sa restriction, et la relation avec le corps sur le plan des relations familiales personnelles. Il crée Danas, Mawt Sagheer en 2010, dans lequel il étudie la valeur du corps, la violence physique de la vie quotidienne et les moyens d’y faire face. En 2014, il créeé Fatmeh, une performance de danse qui repense et retravaille la qualité des mouvements innés et acquis. Avec ce projet, il cherche dans la voix de Oum Kalthoum la mélancolie et la tristesse de la culture arabe, le visible et l’invisible, le permis et l’interdit religieux et social. Actuellement, il poursuit ses études de maîtrise à l’Université Saint Joseph de Beyrouth. Dans sa thèse, il étudie la relation entre la danse et le corps, et la religion et le sacré en s’appuyant sur les rituels et les pratiques religieuses islamiques et chiites dans le monde arabe.