Me MARC MIGNEAULT, candidat à la présidence de l`AJE Parce

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Me MARC MIGNEAULT, candidat à la présidence de l`AJE Parce
Me MARC MIGNEAULT, candidat à la présidence de l’AJE
Parce que le respect des juristes est une obligation, pas une option!
Le président de l’AJE se doit d’être dynamique, rassembleur et déterminé.
Fort de cette croyance, c’est avec conviction et le désir de porter votre voix que
je sollicite votre appui. Je suis membre du Comité exécutif depuis bientôt deux
ans et juriste de l'État depuis presque douze ans. Mes responsabilités me
permettent de comprendre les enjeux vécus par les juristes. En effet, mes tâches
incluent le conseil juridique, la plaidoirie ainsi que la participation à la rédaction
législative et réglementaire. J’agis également à titre de porte-parole devant les
médias et de négociateur dans plusieurs dossiers. Ces expériences me
permettent de croire que je suis un candidat tout désigné pour le poste de
président.
J’aime travailler en équipe. Je suis rassembleur, je consulte et écoute mes
collègues. Je suis aussi proactif et n’ai jamais peur de prendre une décision.
Tant comme avocat que dans ma vie personnelle, j’ai appris à identifier les
priorités et les risques, de même qu’à cibler mes actions.
J’entends défendre les intérêts des avocates, des avocats et des notaires
de l’État québécois de la seule façon que je connaisse : avec
détermination!
Il est essentiel que les juristes de l’État et leurs fonctions soient reconnus. Nos
fonctions doivent bénéficier de la même reconnaissance que celles des
procureurs aux poursuites criminelles et pénales. Nous devons notamment
obtenir un mode de détermination des conditions de travail équivalent à celui de
nos collègues.
L’indépendance et l’autonomie professionnelle des juristes doivent aussi être
reconnues. Je suis d’ailleurs convaincu que notre société a plus que jamais
besoin que les juristes veillent au respect de la règle de droit, et ce, dans l’intérêt
de tous.
Le respect de nos fonctions passe notamment par la reconnaissance des règles
de déontologie et d’ordre public qui nous gouvernent Le juriste n’a pas à être un
témoin impassible lorsqu’on bafoue la règle de droit au sein de l’État québécois.
Nous ne pouvons plus tolérer que des juristes soient contraints d’agir alors qu’ils
sont en conflit d’intérêt ou en apparence de conflit d’intérêt. Ce sont
malheureusement des problèmes qui sont encore présents et qui méritent d’être
réglés.
Il faut aussi identifier et enrayer les disparités d’application de la convention
collective entre les organisations. Les intérêts de tous les membres méritent
d’être défendus avec la même ferveur. Nous devons bénéficier d’un milieu de
travail serein pour effectuer les tâches complexes qui sont les nôtres.
Le 18 novembre à Québec et le 19 novembre à Montréal : On vote !