abstraction manifeste - Raffaella della Olga

Transcription

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T : +33 (0)2 98 ER.NET
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ABSTRACTION
MANIFESTE
PATRICK BERNIER ET OLIVE MARTIN, JULIEN BOUILLON,
ISABELLE CORNARO, RAFFAELLA DELLA OLGA, CHLOÉ DUGIT-GROS,
LIAM GILLICK, PETER HALLEY, JEAN-BENOIT LALLEMANT,
AURÉLIE MOURIER, ALEXANDRE PÉRIGOT, JULIEN PRÉVIEUX
DU 19 JANVIER AU 5 MAI 2013
PROJECT ROOM :
TO BE CONTINUED... 19 JANVIER/24 FÉVRIER
KVETA PACOVSKA 1/31 MARS
THOMAS TUDOUX 5 AVRIL/5 MAI
VERNISSAGE
VENDREDI
18 JANVIER 2013
À 18 H 30
SOMMAIRE
– L’EXPOSITION
– LE PROJECT ROOM
– LES VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE
– INFOS PRATIQUES
– À VOIR EN BRETAGNE
Pour organiser votre voyage de presse ou recevoir des informations,
merci de contacter : Sylvie Doré
[email protected] ou [email protected]
LE QUARTIER
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
L’EXPOSITION
ABSTRACTION MANIFESTE
Artistes : Patrick Bernier et Olive Martin, Julien Bouillon, Isabelle Cornaro, Raffaella della
Olga, Chloé Dugit-Gros, Liam Gillick, Peter Halley, Jean-Benoit Lallemant, Aurélie Mourier,
Alexandre Périgot, Julien Prévieux
Commissaire : Keren Detton
Cette exposition collective s’intéresse aux formes de l’abstraction dans un contexte
contemporain lié à la dématérialisation de l’économie et du lien social. Ici, l’abstraction
ne s’oppose pas à la représentation mais s’affirme, au contraire, comme marqueur
d’un contexte idéologique. S’appuyant sur des savoir-faire techniques (joaillerie,
tissage, peinture) et différents systèmes de représentation (statistique, cartographie,
héraldique), les artistes déploient des recherches formelles qui s’articulent aux
contingences historiques et politiques actuelles.
Derrière l’apparente opacité des choix esthétiques, les artistes opèrent des connexions
entre l’origine des motifs décoratifs qu’ils utilisent, les matériaux choisis et leurs valeurs
économique et symbolique (Patrick Bernier et Olive Martin, Isabelle Cornaro et JeanBenoit Lallemant). Mêlant plusieurs registres narratifs, ils s’interrogent sur la « visibilité »
de la situation sociale et économique qui les entoure. Certaines œuvres exacerbent le
plaisir visuel, mais c’est pour mieux loger la possibilité d’une critique sociale qui indexe
les conditions de travail dans une société post-industrielle (Liam Gillick, Julien Prévieux).
La question de l’économie apparaît de manière sous-jacente dans le choix des matériaux
utilisés mais aussi comme ressource plastique (Raffaella della Olga, Alexandre Périgot).
Pour Peter Halley, la géométrie a longtemps garanti aux artistes stabilité, ordre et
proportion, mais elle caractérise aujourd’hui une gamme de signifiants en constant
changement. Notre rapport au monde passe par des interfaces et des modélisations dont
les formes - diagrammes, portails, plates-formes - influencent le vocabulaire actuel de
l’abstraction géométrique (Julien Bouillon, Chloé Dugit-Gros). Parce que les codes ont
envahi nos modes d’accès au monde jusqu’à s’y substituer, les artistes envisagent le
langage abstrait comme un outil de représentation du réel susceptible de s’articuler à lui
(Aurélie Mourier).
Jouant sur les différents sens du terme manifeste, le titre de l’exposition fait écho aux
« manifestes artistiques » qui ont caractérisé la succession des avant-gardes modernes
marquées par le culte du progrès et le déterminisme libéral. Or, si aujourd’hui les artistes
choisissent d’aborder le monde par des formes abstraites, c’est qu’ils doutent de
l’évidence de ses signes. Tout en assumant l’héritage moderniste, les artistes manifestent
les limites d’une abstraction idéale en s’appuyant sur des techniques et des technologies
qui enrichissent leur vocabulaire plastique d’une dimension sociale. Entretenant une
relation paradoxale à l’objet d’art autonome, ils travaillent souvent par séries, préférant
inscrire leur démarche dans le temps et la répétition. Ils nouent ainsi différentes
temporalités et modes de récit pour mieux remettre en question l’évidence des mondes
visibles.
LE QUARTIER
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
LES ARTISTES
PATRICK BERNIER ET OLIVE MARTIN
Patrick Bernier, né en 1971 à Paris, vit et travaille à Nantes.
Olive Martin, née en 1972 à Liège (Belgique), vit et travaille à Nantes.
Depuis leur rencontre à l’école des beaux-arts de Paris à la fin des années 90, Patrick
Bernier et Olive Martin travaillent sur des projets communs, qui interrogent les notions
d’identité et de territoire. C’est en partant d’une photo du grand-père de Patrick Bernier
prise au Niger en 1961, que naît le projet de L’Échiqueté (littéralement motifs à carreaux
de deux couleurs). Ce cliché présentant trois personnages statiques, comme des pions
en noir et blanc, problématise la situation des métissages dans l’histoire coloniale. Dans
une volonté de traduire cette image en jeu d’échec féérique, ils créent un pion, le « métis »
et de nouvelles règles. Pour réaliser cette version, les artistes Patrick Bernier et Olive
Martin élaborent une machine à tisser mobile, Le Déparleur, en s’inspirant de la tradition
africaine.
JULIEN BOUILLON
Né en 1971 à Forcalquier, vit et travaille à Nice.
Julien Bouillon s’affirme comme un artiste anthropologue qui questionne le statut des
objets et des images, leur ambiguïté et leur étrangeté tout autant que leur destin dans le
champ de la culture. Il se saisit de techniques et de savoir-faire artisanaux (la céramique
ou la sculpture sur os) de même qu’il pratique la photographie, la vidéo ou la peinture. En
référence à la sémiologie, sa démarche se focalise sur une reconfiguration distanciée des
signes et des symboles pour faire ressurgir des images.
Au Quartier, la sculpture Grid 5 fige dans le métal l’organisation structurelle des pages
du réseau Facebook comme Corporate Suite #35 matérialise sur le papier un format
d’image numérique couramment utilisé pour la diffusion de messages indésirables. Ces
deux œuvres empruntent aux motifs du webdesign. Leur reconfiguration dans un contexte
d’exposition interroge le statut que ces formes inattendues révèlent : entre signe crypté
d’un objet de communication à valeur marchande et objet d’art.
ISABELLE CORNARO
Née en 1974 à Paris, où elle vit et travaille.
Dans ses œuvres, Isabelle Cornaro interroge les systèmes de représentation et la notion
de valeur dans l’histoire de l’art. Elle transpose les objets, les formes du langage et les
espaces réels en formes abstraites en jouant avec les frontières entre document de
travail, objet décoratif et œuvre d’art. Elle explore la diversité de ces différents médiums
(le dessin, la vidéo, le film, l’installation) en lien avec l’histoire et la culture de la société
occidentale.
Savane autour de Bangui et le fleuve Utubangui (2007) figure des paysages de la
savane africaine constitués de bijoux agencés sur une planche de contreplaqué. Ces
paysages à la fois historiques et politiques font référence à la présence coloniale en
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Afrique autant qu’ils symbolisent une histoire singulière, d’ordre privé. Dans L’espace
rationalisé du temps libre (2005), l’artiste s’approprie le plan de Coney Island, rendant
visible l’analogie entre l’urbanisme de ses espaces de loisirs et le schéma de la chaine
de production fordiste. Transposés en impressions sur vélin, ces formes qui rappellent
des reliefs minimalistes, révèlent le modèle standardisé d’aménagement de l’espace.
Cette rationalisation des procédés économiques s’applique ici à l’agencement des lieux de
loisirs comme à ceux du travail.
RAFFAELLA DELLA OLGA
Née en 1967 à Bergame (Italie), vit et travaille à Paris.
À travers performances, collages et installations, Raffaella della Olga met en jeu
l’apparition simultanée des textes et des images. Avec ironie, elle s’empare du langage
économique, de son abstraction, qui domine la politique internationale. Courbes de valeurs
et éléments d’évaluation créés par des agences de notation sont retravaillés dans l’espace
de la page ou sur différents tissus de façon à composer de véritables poésies visuelles.
Pour son œuvre Wall Street Mandala, elle détourne plusieurs indices boursiers trouvés
dans la presse nationale et internationale. Ces lignes graphiques prélevées sont collées
les unes aux autres en forme de cercles concentriques. Cette mise en boucle recrée une
unité à partir de fragments héteroclites tandis que la découpe manuelle restitue un aspect
fragile aux flux aléatoires qui ont produit ces lignes.
CHLOÉ DUGIT-GROS
Née en 1981 à Paris, où elle vit et travaille.
La pratique de Chloé Dugit-Gros présente une liberté de choix de matériaux, d’outils et
de références auxquelles se rapportent ses œuvres (séries B, hip hop, culture populaire
urbaine, coupures de journaux, archives, histoire de l’art). La rencontre d’un vocabulaire
postmoderne avec les préceptes de l’abstraction moderniste (grille, géométrie de
formes, réduction chromatique) alimente dans ses travaux une approche subjective dans
l’appréhension du réel.
L’installation Fils conducteurs (2008) présentée au Quartier, s’apparente à la sculpture
minimaliste bien qu’elle échappe à une classification catégorique par la spécificité de ses
composants extensibles. La rigueur formelle de cette œuvre est coordonnée à la fois au
récit d’une éventuelle transformation de ses matériaux et à l’origine de sa production.
LIAM GILLICK
Né en 1964 à Aylesbury (Buckinghamshire, Royaume-Uni), vit et travaille à Londres
et à New York.
Les œuvres de Liam Gillick (dessins, sculptures, installations, livres et films...)
correspondent à des scénarios, fictions et histoires parfois en cours d’écriture. Elles
permettent d’interroger les rapports entre l’artiste, l’institution et le public. Animé
par la volonté de partager la création du sens, Liam Gillick propose des situations où
l’achèvement de l’œuvre dépend de la participation de différents acteurs.
L’œuvre présentée au Quartier, Big Conference Centre Middle Management Platform fait
partie d’une série commencée en 2000. Proches du mobilier, entre décor, design
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DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
et sculpture minimale, ces dispositifs que l’artiste nomme « plateformes de discussion »
apparaissent dans leur lieu d’exposition comme des « outils » de mise en relation des
personnes, des espaces et des objets. Ils matérialisent un site de réflexion et de dialogue
invitant les visiteurs à échanger leurs opinions sur l’œuvre et l’exposition en cours.
PETER HALLEY
Né en 1953 à New York, où il vit et travaille.
Pionnier de la tendance Néo-Géo apparue à New York dans le quartier d’East Village en
1984, Peter Halley réalise des séries de peintures géométriques abstraites inspirées de
l’histoire de la peinture américaine, de la musique New wave, des théories structuralistes
et du post-modernisme. En utilisant la peinture industrielle, Halley décline dans ses
œuvres les motifs récurrents de carré, de grille et de conduit qui, au-delà des enjeux
formels d’un espace pictural, représentent les diagrammes architecturaux d’une
organisation sociale.
La peinture Prison de 1989 s’inscrit dans une série d’œuvres réalisée depuis le début des
années quatre-vingts. La prison, la cellule et les conduits qu’elle représente renvoient
à l’enfermement dans un espace conditionné par la structure sociale industrielle en
référence aux écrits de Michel Foucault et de Jean Baudrillard. L’artiste emploie la
peinture acrylique et Day-glo, marque d’une peinture fluorescente, pour dénoncer le
mysticisme bon marché et la capacité aliénante d’une métropole aux tracés géométriques
où la circulation des hommes obéit au même modèle que celle des informations du réseau
électronique ou des fluides souterrains.
JEAN-BENOIT LALLEMANT
Né en 1981, vit et travaille à Rennes.
Jean-Benoit Lallemant poursuit une pratique qui explore les relations entre la peinture,
l’imagerie numérique, les formes iconiques et leur diffusion dans les industries graphique,
cinématographique, télévisuelle. Ainsi, une nouvelle iconographie dématérialisée
(logotypes, fonds d’écran, gif animés) devient la source d’un questionnement sur la
nature des images reproductibles, transformables et mises en circulation via les outils
numériques actuels. En confrontant cette iconographie aux procédés de la peinture à
l’huile, l’artiste expérimente une nouvelle approche du support, de l’objet et de la pratique
même de la peinture.
Parmi les œuvres présentées au centre d’art, Deadware (2012) montre un « charnier »
de clics. Les curseurs découpés à la manière de confettis sont les témoins inanimés des
consultations des pages de l’Internet, transposés en une forme aléatoire qui échappe aux
notions de quantité, d’espace et de temps.
AURÉLIE MOURIER
Née en 1985, vit et travaille à Rennes.
Aurélie Mourier répertorie des formes provenant d’objets du quotidien, de la géométrie,
de rencontres arbitraires ou encore de son imaginaire. Elle les modélise grâce à un
logiciel 3D et constitue des représentations voxélisées (pixel à trois dimensions) inscrites
dans une matrice cubique de 25 unités de côté. Classés, analysés, ces modèles sont
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ensuite réalisés en maille plastique blanche sur fond noir, opérant une bascule dans
l’univers virtuel.
Avec Quadrature (2010), elle se confronte à l’un des problèmes mathématiques non
résolu depuis l’Antiquité « la quadrature du cercle ». Il s’agissait de faire concorder l’aire
d’un cube et celle d’une sphère, avec pour seuls instruments une règle et un compas.
Tombée dans le langage commun, cette expression signifie aujourd’hui, mener une
entreprise vouée automatiquement à l’échec. C’est en jouant avec les échelles, qu’elle
parvient à insérer ces deux formes au volume identique l’une dans l’autre.
ALEXANDRE PERIGOT
Né en 1959, vit et travaille partout.
Le travail d’Alexandre Perigot se développe à partir d’une observation aiguë des relations
entre les formes de la culture populaire et celles de l’art. À travers différents médiums
(vidéos, installations, photographies, musique, danse…), ses œuvres mettent en
évidence la spectacularisation de notre société et l’émergence de nouveaux modèles de
représentation qu’elle véhicule pour construire une identité.
La vidéo Krach Audition, réalisée par l’artiste pour l’exposition au Quartier, met en scène
la gestuelle de la Bourse comme une dramaturgie des temps modernes. Chaque
mouvement à la baisse est illustré dans les médias par une image de trader abattu,
pleurant, se tirant les cheveux, apeuré. Après avoir récolté un nombre important de ces
figures, Alexandre Perigot propose au comédien et metteur en scène Yves-Noël Genod
de les rejouer. « Comme dans un hypothétique spectacle, une chorégraphie ahurie et
inquiétante se met en place et invite le spectateur à partager cinq minutes d’une chute
d’actions. »
JULIEN PRÉVIEUX
Né en 1974 à Grenoble, vit et travaille à Paris.
Le monde du travail, son économie et ses procédés est à la source des recherches de
Julien Prévieux, qui détourne les mécanismes et fonctionnements de différents secteurs
d’activité. En développant une stratégie de contre-productivité, l’artiste dénonce les
effets déshumanisants de nombreux modes et domaines de production.
Atelier de dessin - B.A.C. du 14e arrondissement de Paris (2011) est constitué d’une
série de dessins réalisée par quatre policiers à partir de « diagrammes de Voronoï ».
Cette technique est employée aux États-Unis pour cartographier l’occurrence des délits
et crimes afin de déployer rapidement des patrouilles. Julien Prévieux propose cette
méthode au commissariat du 14ème arrondissement de Paris, sous la forme traditionnelle
et laborieuse d’un atelier de dessin. Dépourvu de la puissance de calcul d’un ordinateur, ce
travail détourne l’efficacité d’un outil au profit d’une nouvelle situation, où les discussions
sur la réalité du travail s’entrecroisent avec l’exploration de la technique du dessin, rendu
abstrait par ce contexte à part.
LE QUARTIER
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
PROJECT ROOM
TO BE CONTINUED...
DU 19 JANVIER AU 24 FÉVRIER 2013
En écho à l’Odyssée des mots, cette projection réunit des vidéos d’artistes qui
examinent dans leurs travaux respectifs la question de l’engagement politique et de ses
représentations médiatiques. À travers le choix de formes esthétiques (banderoles,
drapeaux, tenues vestimentaires, éléments référentiels aux utopies historiques…),
différentes réalités sociopolitiques refont surface.
Liste des vidéos programmées
Mounir Fatmi Thérapie de groupe, 2003, 18’
Dimitry Gutov Demonstration, 2000, 4’12’’
Ron Haselden La campagne, 2007, 2’33’’
Olga Kisseleva (in)visible, 2007, 8’
Philippe Parreno No more reality 2, 1991, 4’
Sharif Waked To be continued, 2009, 41’
Artur Zmijewski Oni (Them), 2007, 26’ 27”
KVETA PACOVSKA
DU 1ER AU 31 MARS 2013
Vernissage : vendredi 1er mars à 17h
Kveta Pacovska est une illustratrice née à Prague en 1928. La découverte de ses livres
pour enfants ouvre sur un univers de couleur et de rythmes qui se donne à voir par tous
les sens et dans tous les sens.
En partenariat avec la médiathèque des Ursulines dans la cadre des Semaines de la Petite
enfance organisées par Très Tôt Théâtre.
THOMAS TUDOUX
DU 5 AVRIL AU 5 MAI 2013
Vernissage : vendredi 5 avril à 18h30
L’artiste rennais fera résonner la figure mythologique d’Ulysse à travers différentes
productions nouvelles. Une exposition dans le cadre des 30 ans des Frac « Ulysse(s)
(L’autre mer) » en partenariat avec le Frac Bretagne.
LE QUARTIER
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
LES VISUELS
DISPONIBLES POUR
LA PRESSE
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Patrick Bernier et Olive Martin Échiquier tissé, 2012
Fils de coton teints, 60 x 60 cm / Photo OM
Julien Bouillon Corporate Suite 35, 2006
Autocollant, dimensions variables
Isabelle Cornaro Savane autour de Bangui et le fleuve
Utubangui, 2003-2007
Tirage pigmentaire sur papier Archival / Composition : bijoux sur
contreplaqué
Chloé Dugit-Gros Peinture Vaudou, 2008
Tasseaux et caoutchouc / 200 x 200 cm
Raffaella della Olga
Wall Street Mandala 2 rouge, 2012
Collage, 1,10 x 0,70 cm
LE QUARTIER
Liam Gillick Big Conference Centre Middle Management
Platform, 1998
FNAC 980372 / Centre national des arts plastiques
© Liam Gillick / CNAP / photographe : Marc Domage, Paris
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
Peter Halley Prison, 1989
Acrylique, Day-Glo acrylique et Roll-A-Tex sur toile,
212 x 302,5 cm / Photo © Frédéric Delpech / Collection
CAPC Bordeaux
Aurélie Mourier Quadrature - surfaces
15625.001 et 07633.001, 2010
Maille plastique cousue, 67 x 67 x 67 cm
Photo Sylvain Séchet
Jean-Benoit Lallemant Deadware, 2012
Papier noir 120g/m2, quantité variable, 0,5 x 0,3 cm chaque.
Alexandre Perigot Krach Audition, 2013
Vidéo 7’ / Co-production Le Quartier - Solang
Production
Courtesy Solang Production
Julien Prévieux
FAQ (Foire aux questions) - The Divided Self, 2007
Acrylique sur toile, 75 x 90 cm
Courtesy galerie Jousse entreprise Paris
LE QUARTIER
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
PROJECT ROOM
Philippe Parreno
No More Reality 2, 1991
Vidéo couleur sonore, 4’
Collection Philippe Poitevin
Kveta Pacovska
Extraits de Couleurs-Couleurs
© minedition france
Thomas Tudoux Impatience, 2011
Écran de veille et installation
LE QUARTIER
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
INFOS PRATIQUES
EXPOSITION OUVERTE DU 19 JANVIER AU 5 MAI 2013
Du mardi au samedi 13 h-18 h
Dimanche 14 h-18 h
Entrée 2 €
Gratuit : étudiant (-26 ans), demandeur d’emploi, sénior (+65 ans)
Entrée libre pour tous le dimanche
PROCHAINE EXPOSITION AU QUARTIER
Carey Young
Du 25 mai au 15 septembre 2013
Réseau : Le Quartier est membre de ACB - Art Contemporain en Bretagne et de d.c.a. Association française de développement des centres d’art.
Mécènes : Appart City, Quimper ; Aviva Assurances Cabinet Jean-Yves Rannou, Quimper ;
Crédit Mutuel de Bretagne ; Keolis-Qub, Quimper ; société Siwa, Quimper ; Toyota,
Quimper.
Avec le soutien de la ville de Quimper, du ministère de la Culture et de la Communication,
du conseil général du Finistère et de la Région Bretagne.
Partenaire presse :
À VOIR EN BRETAGNE
FINISTÈRE
QUIMPER
Musée départemental breton
1 rue du Roi Gradlon - 29000 Quimper
T : 02 98 95 21 60
« Japon-Paris-Bretagne - La gravure sur bois en couleurs (1880-1930) »
30 novembre 2012 -3 mars 2013
Du mardi au samedi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h / Dimanche de 13h30 à 17h
LE QUARTIER
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013
BREST
Centre d’art Passerelle
41 rue Charles Berthelot – 29200 Brest
T : 02 98 43 34 95
« Sur un pied d’égalité ? » Patrick Faigenbaum, Suzanne Lafont, Florence Lazar,
Jean-Luc Moulène
« I had no choice » Gitte Villesen
« Mamie » Adelaide Ivanovà
18 janvier – 02 mars 2013
Du mardi au samedi de 14h à 18h30, le mardi jusqu’à 20h
CÔTES D’ARMOR
TRÉDREZ-LOCQUEMEAU
Galerie du Dourven
Domaine départemental du Dourven
22300 Trédrez-Locquemeau
T : 02 23 62 25 10
« Trucville »
2 février-17 mars 2013
Samedi, dimanche et jours fériés de 15h à 19h
Vacances scolaires : tous les jours sauf lundi
ILLE ET VILAINE
RENNES
La Criée Centre d’art contemporain
Halles centrales
Place Honoré-Commeurec – 35000 Rennes
T : 02 23 62 25 10
« Two Lines of Life (or why a rabbit likes weeds) »
18 janvier-10 mars 2013
Du mardi au vendredi de 12h à 19 h
Samedi et dimanche de 14 h à 19 h
LE QUARTIER
DOSSIER DE PRESSE JANVIER/MAI 2013

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