Annexe 1 – « Ma planète en danger - Educ
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Annexe 1 – « Ma planète en danger - Educ
Annexe 1 – « Ma planète en danger » Première séquence de l’année scolaire « Ma planète en danger » Problématique annuelle : Comment me situer et m’exprimer dans le monde ? La place de l’individu : face au monde qui l’entoure ; face aux autres ; face à lui-même. Problématique de la séquence : Quel projet pour ma classe ? Objectifs spécifiques Lecture : Visée des discours narratif, descriptif, explicatif et argumentatif ; lecture cursive au choix sur le thème de l’écologie. Écriture : Produire un texte engagé à partir d’une image relative à l’écologie ; expression écrite : des personnes venues d’une planète lointaine découvrent la planète Terre après une explosion nucléaire (raconter et décrire). Oral : Décrire, expliquer, argumenter à partir d’images. Langue : Le présent, le futur et le conditionnel ; l’expression de l’ordre (impératif et infinitif) ; la proposition subordonnée circonstancielle d’hypothèse ; l’adverbe ; adjectif et groupe adjectival (repérage et fonctions) ; la question oratoire, l’accumulation et l’énumération. Supports – Une affiche WWF. – Groupement d’images sur le thème de l’écologie. – N. Hulot, Le Syndrome du Titanic, Calmann-Lévy, 2004. – Texte explicatif : Qu’est-ce que le protocole de Kyoto ?, http://www.ec.gc.ca/climate/kyoto-f.htm. – J. Sternberg, « La légende », 188 Contes à régler, Folio, 1988. Descriptif des séances N°1 : Amorcer une réflexion sur la santé de ma planète. N°2 : Découvrir les causes du danger – décrire, expliquer, argumenter. N°3 : Quels outils pour convaincre et mobiliser ? N°4 : Quelles solutions individuelles ? N°5 : Raconter et décrire le Protocole de Kyoto. N°6 : Fiction et point de vue « La légende ». N°7 : L’adjectif et le groupe adjectival. N°8 : Échanges sur les lectures cursives (tour de table) – exposés sur les énergies renouvelables. Évaluation finale M. Yourcenar, « Le chasseur n’est plus un homo sapiens », dans Les Yeux ouverts, Entretiens avec M. Galey, Le Centurion, 1980. Seconde séquence : fonction et utilisation de l’image à vocation scientifique à l’École La Culture scientifique (une « littératie » scientifique) : Appropriation de connaissances disciplinaires ; maîtrise du processus intellectuel de la démarche scientifique ; appropriation d’outils critiques face aux avancées scientifiques ("savoir lire" le monde des sciences). La vulgarisation scientifique : Un processus de communication entre spécialistes et nonspécialistes ; un domaine de pratiques culturelles prenant la science comme objet ; un type de loisir où dominent la curiosité, la créativité, l’invention ; un système de promotion, de marketing de la part du monde scientifique ; un acte militant par lequel les citoyens seront en mesure de maîtriser les avancées scientifiques ; une action éducative adaptée aux modes actuels de diffusion de l’information. Objectifs de la vulgarisation scientifique : Diffusion des connaissances ; information auprès du grand public de l’avancée des sciences ; motivation – séduction pour faire valoir le monde scientifique ; initiation, une fonction didactique ; mobilisation, des pouvoirs publics, du public autour de grandes causes comme les questions liées à l’environnement. Le processus de la vulgarisation : la sélection des informations qui suppose une schématisation ; une mise en contexte plus large afin de rejoindre les centre d’intérêts des non-spécialistes ; une traduction dans un langage compréhensible ; une mise en scène propre à toute communication médiatique. L’enjeu de la vulgarisation scientifique est de s’adapter à un environnement hyper-technique. Lorsqu’on parle d’image, de quoi parle-t-on ? Déjà pour Platon, l’image est une imitation du réel, un simulacre de la réalité. L’image a une fonction didactique. Dans la presse de vulgarisation, elle permet une mobilisation des pouvoirs publics et du public autour de grandes causes comme les questions liées à l’environnement. Une image n’est jamais neutre : elle est choisie, donc fabriquée, pour servir une cause.