Enquête Vivre en Suisse

Votre engagement nous est précieux
Qui conduit cette étude
Depuis plus de 10 ans déjà, l’étude « Vivre en Suisse »
s’intéresse à la vie des ménages de notre pays. Avec votre
participation annuelle vous contribuez à une meilleure
connaissance de l’évolution des conditions de vie dans
notre pays. En effet, l’étude de ces changements n’est
possible que grâce à votre collaboration lors d’interviews
répétées.
L’étude « Vivre en Suisse » est menée par le Centre suisse
de compétences en sciences sociales FORS hébergé par
l’Université de Lausanne. L’équipe de l’enquête « Vivre en
Suisse » collabore avec l’institut de sondage M.I.S Trend
qui mène les interviews annuelles (www.mistrend.ch).
Actuellement, plus de 300 publications scientifiques présentent des résultats qui se basent sur les données de
l’enquête « Vivre en Suisse ». Sans votre engagement régulier, la réalisation de ces travaux n’aurait pas été possible.
Les employés de M.I.S Trend sont soumis au secret professionnel : votre anonymat est ainsi garanti. Pour préserver la confidentialité des données, vos réponses sont
en outre anonymisées. Les chercheurs ont accès à des
données sans nom, sans adresse, sans date exacte de
naissance et sans code postal.
Participer à cette étude vous donne l’opportunité d’exprimer votre opinion. Vous pouvez ainsi influencer les prises
de décisions au niveau politique. En effet, les informations
recueillies sont utilisées par plusieurs institutions fédérales comme le Secrétariat d’État à l’économie (SECO),
l’Observatoire suisse de la santé (Obsan), l’Office fédéral
des assurances sociales (OFAS) et l’Office fédéral de la
statistique (OFS).
Chacune de vos voix représente plus de mille individus.
Vous êtes le témoin irremplaçable des gens qui vous
ressemblent, comme par exemple des gens du même
âge que vous.
Par ailleurs, l’étude « Vivre en Suisse » est également présente dans les médias. Certains résultats des publications
scientifiques ont été repris et exposés dans les journaux
de notre pays. Certains articles peuvent être consultés
sur notre site internet.
Votre anonymat est dûment préservé !
N’hésitez pas à nous contacter !
En cas de questions concernant l’interview, vous
pouvez composer le numéro gratuit :
0800 800 246
L’étude « Vivre en Suisse » apporte des connaissances
uniques concernant la dynamique des conditions de vie
en Suisse. Des enquêtes nationales similaires existent
dans de nombreux pays : l’Allemagne, l’Angleterre, les
États-Unis, l’Australie, la Corée du Sud, ou encore le Canada, ont, par exemple, entrepris des études semblables.
Ainsi, des comparaisons internationales sont possibles.
Elles permettent de souligner à la fois ce qui nous distingue, mais aussi ce qui nous rapproche d’autres pays.
Pour en savoir plus sur l’étude, vous pouvez consulter
notre site web :
www.swisspanel.ch
Vous pouvez aussi nous envoyer
un mail à l’adresse suivante :
[email protected]
© Swifter / fotolia.com
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d’une valeur de 20 francs, à faire valoir dans toute succursale Migros.
Enquête
Vivre en Suisse
Leben in der Schweiz
Vivre en Suisse
Vivere in Svizzera
La prise en charge des enfants
Concilier vie familiale et vie professionnelle
Depuis 10 ans, le nombre de familles qui confient régulièrement leurs enfants à des tiers est en légère augmentation. Les résultats de l’étude « Vivre en Suisse » soulignent,
qu’en 2009, 16% des familles avec au moins un enfant de
moins de 18 ans font appel à une aide extérieure (grandsparents, amis, voisins, maman de jour, etc.) pour prendre
en charge leurs enfants.
L’étude « Vivre en Suisse » souligne, qu’en 2009, 82% des
hommes, qui ont au moins un enfant de moins de 18 ans,
travaillent à plein temps, contre 11% des femmes dans
la même situation. Le temps partiel concerne 13% des
hommes et 67% des femmes avec enfants.
En 2009, parmi les parents qui font appel à une aide extérieure pour la garde de leurs enfants, 60% s’adressent
à leurs propres parents pour s’en occuper ; en 1999, ils
étaient 46%. Par ailleurs, 35% des parents font appel à un
système de garde formelle ; ainsi, 18% ont une maman de
jour et 17% placent leurs enfants en crèche. Les parents
cumulent parfois plusieurs modes de garde en fonction
de leurs activités professionnelles ou de leurs loisir.
Comparée à d’autres pays européens, la Suisse connaît
une minorité d’enfants pris en charge par un service de
garde formelle. Dans les pays voisins, c’est le cas pour
une grande majorité des enfants.
Être victime d’actes de violence
60
Selon l’étude « Vivre en Suisse », 22% des jeunes entre
14 et 25 ans déclarent avoir été victimes d’injures et/ou
de menaces en 2008. Comparés aux personnes d’autres
groupes d’âge, les jeunes sont les plus concernés. Parmi
les personnes entre 26 et 64 ans, 9% indiquent avoir été
victimes d’actes de violence ; au sein des personnes de
65 ans et plus, ce chiffre descend à 4%.
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80
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Par ailleurs, les familles avec enfants rapportent une satisfaction avec leur situation financière plus basse que les
personnes en couples vivant sans enfant, les retraités
ou les personnes qui vivent seules. Notre étude souligne
que la satisfaction avec la situation financière augmente
lorsque les enfants quittent le ménage et atteint le même
niveau que celle des autres groupes de la population.
hommes
femmes
plein temps
temps partiel
femme/homme au foyer
autres
Le nombre de victimes varie selon le sexe ; ce sont en
effet surtout les garçons qui sont touchés par la violence.
Par ailleurs, notre étude montre aussi que, bien que les
adolescents et les jeunes adultes soient plus souvent victimes de violences verbales comparativement à d’autres
groupes d’âge, ils ont malgré tout un sentiment de sécurité plus élevé et se remettent plus facilement des agressions subies.
50
40
De manière générale et en comparaison européenne,
le temps partiel est une caractéristique du travail des
femmes. La Suisse présente cependant un taux particulièrement élevé de travail à temps partiel comparativement
aux pays limitrophes, ceci pour les deux sexes.
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au
2009
1999
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aut
Le graphique ci-dessus met en évidence que les grandsparents sont très sollicités et jouent un rôle fondamental
de soutien dans la prise en charge des enfants.
L’organisation des activités familiales et professionnelles
a une incidence sur la satisfaction avec la vie en général
des membres de différents types de ménages. Par rapport aux couples sans enfant et aux personnes retraitées
par exemple, la satisfaction des membres d’une famille
est plus basse. Néanmoins, sur une échelle de 0 à 10,
les membres d’une famille avec enfants évaluent leur satisfaction avec la vie en général à 8 points, ce qui reste
malgré tout élevé.
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de 14 à 25 ans
souffrance
forte
de 26 à 64 ans
souffrance
moyenne
65 ans et plus
souffrance
faible