ZOOM sur un métier….. Styliste / Créateur de mode
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ZOOM sur un métier….. Styliste / Créateur de mode
ZOOM sur un métier….. Styliste / Créateur de mode Si depuis l’enfance vous avez des envies de chiffons, de robes, de beaux tissus, foncez, mais en passant par des formations. Caractéristiques Styliste Le styliste imagine et dessine les modèles qui composent les collections. Son travail commence par de la prospection : il arpente les salons professionnels, les expositions et les boutiques à la recherche des matières, des tissus et des couleurs dans l’air du temps. Mais outre son intuition et son talent artistique, le styliste doit aussi prendre en compte l’esprit de la marque ainsi que le plan établi par l’équipe marketing : les créations doivent se vendre. Débutant souvent en free-lance, il peut travailler dans la haute couture ou la création de mode, mais surtout dans les filières du prêt-à-porter. Les recruteurs sont des marques, des entreprises de distribution, de vente par correspondance ou encore des bureaux de style. À l’heure actuelle, une double formation stylisme-modélisme est précieuse, ainsi que la maîtrise des logiciels de création et fabrication assistées par ordinateur (CFAO). Ceux-ci permettent notamment de décliner le modèle dans différentes tailles, couleurs ou matières. Diplômes : BTS design de mode, textile et environnement ; diplôme d’une école de mode ou d’une école supérieure d’arts appliqués. Créateur de mode / Grand couturier Les stylistes les plus réputés portent le titre de grand couturier, délivré par la chambre syndicale de la couture parisienne. Leurs modèles, dont les prototypes sont réalisés au sein même de leur atelier par toute l’équipe de modélistes, sont présentés à la presse et aux clients deux fois par an lors des collections haute couture printemps-été et automne-hiver. Après les défilés, la fabrication se fait à la demande et sur mesure. Dans le prêt-à-porter de luxe ou la création de marque, on les appelle créateurs de mode. Dans ce secteur, les collections ne sortent pas aux mêmes dates que la haute couture et, surtout, les modèles sont fabriqués par des façonniers avant d’être mis en boutique. Diplômes : BTS design de mode, textile et environnement ; diplôme d’une école de mode ou d’une école supérieure d’arts appliqués (voir fin). Designer textile Le designer textile ou styliste textile imagine des thèmes, des motifs et des imprimés qui décorent et illustrent les tissus des collections. Fils, coloris, tissages, mailles et impressions ? La qualité des matières et des fibres, rien ne lui est inconnu. Dans ce domaine, la maîtrise des outils de CAO est primordiale. Peu développée, cette profession s’exerce souvent en free-lance, pour le compte de maisons de prêt-à-porter, de haute couture, de bureaux de style ou d’industries de fabrication textile. Car, en effet, outre la mode, le designer textile peut dessiner du linge de maison, du tissu d’ameublement, des tapis ou encore du tissu pour l’industrie automobile. Diplômes : BTS design de mode option textile, matériaux, surface ; DSAA mode et environnement ; école de mode ou école d’art. Études et diplômes Les CAP Le CAP se prépare en 2 ans après la classe de 3e dans un lycée professionnel (LP) ou un établissement privé. La formation se déroule sous forme de cours, travaux en atelier, travaux pratiques et peut comporter des stages en entreprise. Cette formation pointue permet d’entrer directement dans la vie active. Il existe une dizaine de CAP dans le domaine du textile et de l’habillement. Les plus attractifs sont le CAP prêt-à-porter qui porte sur la création et la réalisation de vêtements en série et le CAP couture flou, portant sur la réalisation de vêtements à l’unité : patron, coupe, montage et finitions. Si le premier débouche sur des postes d’ouvrier qualifié ou de mécanicienne au sein des ateliers de fabrication de vêtements, de linge de maison ou encore de tissus d’ameublement, le second cible plutôt les ateliers des maisons de couture. Les BEP Le BEP (brevet d’études professionnelles) se prépare en 2 ans après la classe de 3e dans les lycées professionnels (LP) ou dans des établissements privés. Parmi les BEP, le plus connu est le BEP métiers de la mode et des industries connexes. Les élèves ont le choix parmi 11 options : couture flou, entretien des articles textiles en entreprises artisanales, tailleur homme, tailleur dame, chaussure, mode et chapellerie, fourrure, maroquinerie, prêt à porter, sellerie générale, vêtement de peau. Au programme : dessins de patrons et de prototypes, coupe, montage et finitions La mention complémentaire (MC) En un an après un CAP ou un BEP, il est possible se spécialiser en préparant une MC essayage-retouche-vente. Le BT De niveau bac, le brevet de technicien se prépare en deux ou trois ans après une classe de 3e, un BEP ou un CAP et permet notamment de préparer un BTS. Dispensé dans une quinzaine d’établissements, le BT vêtement, création et mesure forme à l’élaboration de modèles et de prototypes de vêtements. Il débouche sur le poste de modéliste ou mécanicien-modèle. Les titulaires d'un BT peuvent entrer directement dans la vie active. Public LP la Calade 430 chemin de la Madrague Ville, 13326 - MARSEILLE Tél : 04 91 65 86 50 Lycée des métiers de la mode et du costume de spectacle Les Coteaux Avenue des Coteaux 4-6 chemin Morgon, 06400 - CANNES Tél : 04 89 89 81 00 Les bacs pro Préparé en 2 ans après le CAP ou le BEP, le bac professionnel permet aux élèves d’acquérir de nouvelles compétences leur permettant d’élargir leur formation et de s’insérer plus facilement dans la vie active. La formation associe enseignements généraux, techniques et professionnels et comporte 16 semaines de stages en entreprise. Cependant, l’admission en bac pro n’est pas automatique : elle se fait sur examen du dossier scolaire. Le bac pro artisanat et métiers d’art option vêtement et accessoires de mode recrute après un BEP métiers de la mode et industries connexes, un CAP ou un BMA arts de la broderie. Ce diplôme permet de préparer les essayages au sein des maisons de haute couture et de participer à la confection. Les bacs STI Le bac sciences et technologies industrielles (STI) spécialité arts appliqués se prépare dans un lycée technique à partir d’une seconde générale et technologique ou après un BEP en passant par une classe de première d’adaptation. Il s’agit d’une formation généraliste qui permet avant tout de poursuivre des études, notamment en BTS. Ainsi le bac STI spécialité arts appliqués permet l’accès au BTS design de mode, textile et environnement option textiles, matériaux, ainsi qu’au DSAA mode et environnement ou concepteur créateur textile. Du bac + 2 au bac + 5 Choisissez avec soin la formation qui correspond le plus à vos envies et à vos qualités. Il n’y a pas de voie royale pour réussir. Le BTS design de mode textile et environnement Le BTS design de mode, textile et environnement offre deux options. L’option mode est la plus répandue et débouche sur le poste d’assistant styliste, tandis que la spécialité textile, matériaux, surfaces ouvre sur le métier de designer textile. Il permet à son titulaire de concevoir et de créer une production textile, un vêtement ou un accessoire dans des domaines aussi variés que l’automobile ou la cosmétique. Sont admis les titulaires de bac STI arts appliqués ainsi que les autres bacheliers passés par une classe de mise à niveau des arts appliqués (MANAA). Cependant, vu les tendances du marché et les compétences recherchées par les recruteurs, il est conseillé de se spécialiser à un niveau de formation plus élevé : licence professionnelle, DSAA, école de mode ou d’art. Pour les coordonnées des établissements préparant au BTS. Ce BTS comprend deux options : - A : option mode - B : option textile, matériaux et surface Adresse en Public LP la Calade 430 chemin de la Madrague Ville, 13326 - MARSEILLE Tél : 04 91 65 86 50 A Lycée Ernest Hemingway 98 boulevard Jean Jaurès, 30910 - NÎMES Tél : 04 66 04 93 73 A Adresses en Privé hors contrat Ecole supérieure Sup Déco 25 cours Pierre Puget, 13006 - MARSEILLE Tél : 04 91 04 66 79 B Institut libre d'études commerciales ILEC de Nice 12 boulevard Dubouchage , 06000 - NICE Tél : 04 92 17 33 10 A Pro'Artigraph 14 rue Lascaris, 06300 - NICE Tél : 04 93 89 13 01 A Le diplôme des métiers d’art Le diplôme des métiers d’art (DMA) est une formation en deux ans, de niveau bac + 2, dispensée au sein des écoles d’arts appliqués. Plus pratique et plus tourné vers l’artisanat d’art que le BTS, le DMA est accessible après un BMA, BT, bac STI arts appliqués. Les élèves issus de terminales générales, technologiques ou de BT en arts appliqués peuvent passer par une classe de mise à niveau en arts appliqués, en un an. Il existe différents DMA : • DMA arts textiles et céramiques, spécialités broderie, tapisserie ou tissage-maille (débouchés dans l’artisanat d’art, les agences et les ateliers de création), • DMA costumier réalisateur. Le diplôme supérieur d’arts appliqués (DSAA) Après un bac + 2, notamment un BTS en arts appliqués, vous pouvez préparer un diplôme supérieur d'arts appliqués (DSAA) mode et environnement ou encore créateur-concepteur textile. Dispensée au sein des écoles supérieures d'arts appliqués (ESAAD, ESAAT), cette formation dure deux ans (niveau bac + 4). La licence professionnelle Autre poursuite d’études possible, la licence professionnelle qui se prépare en un an après un bac + 2 au sein des universités. Elle comprend de l’enseignement pratique et un stage de trois mois. L’entrée est, là encore, sélective. Citons, les licences professionnelles : • création, conception et développement de produits textiles dérivés : Montpellier 3 • industries de la mode : Angers • habillement, mode, textile options coloriste infographiste, modéliste industriel : Lyon 2 • habillement, mode, textile, gestion et développement des produits de la mode : AixMarseille 2 • mode et haute technologie : Angers Le master professionnel Le master professionnel (bac + 5) se prépare après la licence en quatre semestres et sanctionne un niveau correspondant à l’obtention de 120 crédits européens. Les études comportent des enseignements pratiques, théoriques et un stage en milieu professionnel. Il sanctionne une formation à finalité professionnelle. Citons deux masters professionnels : mode et création à l’université Lyon 2 et celui de management et ingénierie économique spécialité gestion des métiers du design et du luxe à l’université Paris 12. Les écoles spécialisées Une cinquantaine d’écoles spécialisées dispensent une formation préparant aux métiers de la mode et de l’habillement. Les écoles internationales Deux écoles en Europe ont une renommée internationale : la St Martin’s College of Art and Design de Londres et l’Académie royale des beaux-arts d’Anvers. Chaque année, une poignée d’étudiants français va étudier à l’école londonienne, mais son département mode et textile offre seulement 150 places aux 800 candidats, souvent titulaires d’un bac + 2, notamment d’un BTS design de mode, textile et environnement. La sélection repose sur l’examen de leur book et d’un entretien de motivation et de connaissance générale. Les études durent 3 ans (bachelor of arts en prêt-à-porter féminin, prêt-à-porter masculin, maille, impression textile, accessoires de mode ou journalisme de mode). Les écoles de mode Une quarantaine d’écoles proposent de former aux métiers de styliste, modéliste, créateur accessoire, designer textile, chef de produit, directeur de collection. Au programme : stylisme, modélisme, création textile, infographie (CAO, PAO), enseignement artistique, culture artistique, culture générale, pratique professionnelle (études de cas, constitution de dossiers de tendances, élaboration de vêtements). Le coût des études y est souvent élevé : entre 2 000 et 5 500 e par an, voire plus sans compter les frais de fournitures qui peuvent s’élever jusqu’à 1 200 e. Situées en majorité en Ile-de-France, elles recrutent généralement sur dossier et entretien, avec un niveau bac ou plus pour une scolarité d’un à trois ans. Des stages sont souvent proposés aux étudiants pour la préparation des défilés des créateurs. Certaines sont assez réputées parmi les professionnels, notamment l’Académie internationale de coupe de Paris, l’École supérieure internationale des modélistes du vêtement, l’Atelier Chardon-Savard, l’École de la chambre syndicale de la couture parisienne, l’École supérieure des industries de la mode qui appartient au Groupement des industries de l’habillement, l’ESMOD à Bordeaux, Lyon, Paris, Rennes et Roubaix, etc. Les écoles d’art Certaines écoles d’art, publiques ou privées, délivrent des diplômes reconnus par l’État. Basée sur un concours (bac exigé) et la présentation de créations personnelles, la sélection est sévère, en particulier pour l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris (ENSAD) qui reçoit un millier de candidatures pour une centaine de places par an. L’ENSAD forme des créateurs dans douze spécialités des arts appliqués dont le design textile et le design vêtement. Le cursus de cinq ans débouche sur le diplôme de l’école. Parmi les écoles supérieures d’art, l’École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, l’École supérieure d’art de Mulhouse et de Haute-Alsace et l’École supérieure d’art de Troyes forment au design textile. Le diplôme national d’arts plastiques sanctionne un cycle de trois ans après le bac, le diplôme national supérieur d’expression plastique un cursus de cinq ans. L’École nationale supérieure de création industrielle de Paris prépare en trois ans au métier de créateur textile après un bac + 2. Enfin, l’ENSATT de Lyon est la seule école à proposer un diplôme d’État de costumier du spectacle. Les écoles de management de mode Certains établissements privés forment au management de la mode : chef de produit, responsable de collection, de fabrication, responsable qualité, acheteur … À l’exception de l’Institut supérieur de la mode à Paris (ISEM) qui recrute avec un bac, toutes exigent un bac + 2, soit un BTS, soit un DUT (DUT techniques de commercialisation, gestion des entreprises et des administrations). Citons parmi les plus réputées : l’École supérieure des industries de la mode à Balma (ESIM) qui appartient au Groupement des industries de l’habillement, l’École supérieure des industries du vêtement de Paris (ESIV), l’ESMOD à Bordeaux, Lyon, Paris, Rennes et Roubaix, l’Institut français de mode à Paris (IFM), etc Les débouchés Prêt-à-porter ou haute couture ? C’est selon son parcours et son réseau. Mais globalement, depuis une quinzaine d’années, plus de la moitié des effectifs ont disparu sous le coup de la concurrence internationale. Aujourd’hui les entreprises qui ont eu le vent en poupe (Zara, Mango, Gap, H & M, Hugo Boss, Esprit...) sont celles qui se montrent le plus à l’écoute des attentes des consommateurs. Réactives, elles proposent des renouvellements rapides de leur collection et se sont positionnées dans les endroits les plus stratégiques. Quelles entreprises ? Paris est-elle encore la capitale de la mode ? Si, chaque année, la présentation des collections attire journalistes et photographes du monde entier, le secteur de la mode et de l’habillement est très sensible à la conjoncture. Débuter dans la mode Les recrutements se font rarement par petites annonces, mais plutôt grâce au réseau que l’on se crée. Pour cela, il est indispensable de dénicher un long stage en entreprise ou de choisir les études en alternance. Fréquenter les salons professionnels (Mode internationale de la chaussure, Première vision, Prêt-à-porter Paris, etc.) permet de repérer les recruteurs potentiels. Ils se tiennent deux fois par an en septembre-octobre et janvier-mars. Certains, comme Who’s Next ou Workshop, permettent même d’exposer ses propres créations. Pour en savoir plus, consultez les sites : www.comexpo-paris.com ou www.ifth.fr. Enfin, les concours permettent aux étudiants en école de se faire connaître : les lauréats dont le projet est retenu par le jury bénéficient d’une bourse, d’un stage, d’un stand sur un salon, voire de l’organisation d’un défilé ! Il en existe une dizaine parmi lesquels le Festival international des arts de la mode de Hyères, le Concours international des jeunes créateurs de la mode de Dinard, etc. Prêt-à-porter Selon l’Union française des industries de l’habillement, le secteur regroupe environ 5 900 entreprises (dont la majorité sont des PME) et 80 000 salariés, pour un chiffre d’affaires équivalent à 10 milliards d’euros. Les exportations vers l’Union européenne ou l’Asie du SudEst représentent plus d’un tiers du chiffre d’affaires. Lingerie, prêt-à-porter masculin, cuir, accessoires… l’habillement rassemble plusieurs activités, mais le prêt-à-porter féminin est sans conteste le secteur qui pèse le plus lourd. Il concentre 55 % des entreprises, 44 % des effectifs et presque 50 % du chiffre d’affaires ! On assiste également depuis vingt ans à un cloisonnement des activités. Les sociétés qui conçoivent et commercialisent les modèles, appelées « donneuses d’ordres », confient de plus en plus leur fabrication à des soustraitants extérieurs, ce qui permet de réduire leur masse salariale. Ces fabricants, appelés « façonniers », se chargent uniquement de couper et d’assembler les pièces selon les termes du contrat. Haut de gamme Dior, Givenchy, Saint-Laurent, Chanel ? Le titre de maison de couture, délivré par la Fédération de la couture (www.modeaparis.com), est attribué à une vingtaine de griffes qui emploient environ 2 500 couturiers. Les créations de ces grandes maisons servent surtout de vitrines et d’outils de communication. Financière ment les maisons de couture trouvent leur salut ailleurs, en investissant dans le prêt-à-porter de luxe et les accessoires (sacs, foulards, parfums), sans oublier le prêt-à-porter plus courant, féminin et masculin. SURFER www.lamodefrancaise.org Éditeur : La Mode française Ce site est un portail sur la mode française. Il propose de nombreux sites sur le secteur de l'habillement (chiffres clés, études...), la formation, les métiers et l'emploi, les marques, les salons et défilés en France, la documentation et le patrimoine de la mode, les organisations professionnelles et fédérations. www.pretaporter.com Éditeur : Fédération française du prêt-à-porter féminin Ce site propose des adresses d'écoles et d'organismes du secteur. Il diffuse également des offres d'emploi, des informations sur les jeunes créateurs, un calendrier des salons professionnels. www.profilmode.com Éditeur : Société MadeinMode Composé par une équipe de consultants en ressources humaines spécialisés dans le secteur de la mode, ce site est propose des offres d'emploi, un guide des métiers de la mode, un guide des formations (initiales et continues), les principaux événements du monde de la mode et du luxe. http://forthac.fr Éditeur : Forthac Organisme paritaire collecteur, le Forthac informe sur les métiers et les branches professionnelles suivantes : chaussure, habillement, haute couture et prêt-à-porter de création, entretien et location d'articles textiles, maroquinerie, textile. Il met à disposition de nombreuses informations sur la formation professionnelle continue dans ces secteurs. www.fashion-job.com Éditeur : Fashion Job Fashion-job diffuse de nombreuses offres d'emploi pour les professionnels du luxe, du textile et de la beauté. Le site propose également des informations d'actualité du secteur, une newsletter, un agenda (salons, défilés), un annuaire d'entreprises et d'écoles spécialisées. www.ffdb.net Éditeur : Fédération française des dentelles et broderies Le site de la fédération diffuse des informations sur les différentes techniques de la dentelle et de la broderie. Elle met en ligne un annuaire de professionnels du secteur.