Bordeaux[2] Itsaso Itziar Iker

NOUS ALLONS À BORDEAUX
AUTEURS: Iker Jauregi, Itsaso Filgueira et Itziar Paternain
GROUPE: 2.1.L
PROFESSEUR: Isabel Arregui
LA TABLE DES MATIÈRES
Première partie…………………………………………………………………………pag. 3-4-56-7-8-9-10
-Localisation des lieux géographiques :
• Échelle régionale……………………………………………………………….pag. 3
• Échelle nationale………………………………………………………………..pag.4
• Échelle européenne……………………………………………………………pag.5
-Relations……………………………………………………………………………………pag. 6
-Histoires………………………………………………………………………......pag. 6-7-8-910-11
• Bordeaux…………………………………………………………………………pag. 6-7-8
• Saint-Emilion……………………………………………………………………..pag. 9-10
• Bassin d’Arcachon………………………………………………………………..pag. 10
Deuxième partie……………………………………………………………………….pag. 11-1213 -14-15
-Centres d’intérêt……………………………………………………………………pag. 12-13
-Moyens de transport……………………………………………………………..pag. 13
-Hébergements pour la jeunesse……………………………………………..pag.14
-Zones marchandes…………………………………………………………………pag.15
Websites……………………………………………………………………………………pag. 15
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1ère partie: découvrir la géographie et l’histoire d’un territoire et ses
relations avec un territoire limitrophe.
1- Localiser les Lieux géographiques.
Échelle régionale:
Bordeaux est en Aquitaine.
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Échelle nationale:
La ville de Bordeaux est au sud de la France.
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Échelle européenne:
La France est un pays qui est en Europe.
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2- Les relations entretiennent ces trois espaces géographiques avec la
Navarre.
Nous n’avons pas trouvé beaucoup de relations, mais il y a quelques qui
entretiennent la Navarre et Bordeaux, entre les universities sourtout.
3- Information sur l’histoire de Bordeaux, Saint-Emilion et le Bassin
d’Arcachon.
BORDEAUX:
Le timide village de forgerons gaulois deviendra rapidement Burdigala
la romaine, au développement rapide, à l'économie florissante dès le
premier siècle. Les alentours sont occupés par des Ligures d'origine
ibérique et des Celtes. Celtes ? Pas si sûr. Burdigala viendrait de deux mots
: gala, qui signifie « gaulois », et burdin, en basque, qui est le « fer ».
Les invasions répétées du IVe siècle vont amener les Bordelais à se
réfugier à l'intérieur d'un rempart qui délimitera la ville jusqu'au XIIIe
siècle. Les fortifications suivent la courbe de la Garonne, d'où le nom de «
Port de la Lune » donné à la ville et ses armes au croissant de lune
argenté.
La période anglaise
En 1137, Aliénor, héritière du duc Guillaume d'Aquitaine, épouse le
prince Louis, fils du roi de France, mais 15 ans plus tard, le roi Louis VII
demande le divorce. Quelques semaines seulement après la répudiation,
en 1152, elle apporte en dot, lors de son remariage avec Henri
Plantagenêt, de nombreux domaines, dont le duché de Guyenne et
Bordeaux. Par héritage, Henri devient roi d'Angleterre, inaugurant trois
siècles de période anglaise en Aquitaine.
Henri et Aliénor sont alors à la tête d'un vaste territoire qui
déséquilibre les Capétiens et déclenche une guerre sans fin (celle de Cent
Ans) entre Français et Anglais. Cette situation favorise l'expansion viticole
et l'exportation massive du claret (vin primeur) en direction de l'Europe du
Nord. On établit le « privilège des vins », qui impose la vente des vins de
Bordeaux avant ceux de l'arrière-pays. La ville s'agrandit, son commerce
prospère.
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La « Guyenne », déformation anglaise d'Aquitaine, n'a jamais été aussi
riche en vendant son vin et ses armes, sans distinction de camp. Les
grands seigneurs aquitains sont farouchement anglophiles. Mais la bataille
de Castillon marque, en 1453, le retour de la ville sous tutelle française et
la fin de la guerre, malgré de nombreuses révoltes.
La transformation de la ville
Louis XIV fait détruire tout un quartier pour élever une forteresse à la
Vauban afin de contrôler la partie nord de la cité. Au XVIIIe siècle,
Bordeaux va vivre son « âge d'or », fondé sur la continuité du commerce
du vin, que l'on sait maintenant faire vieillir, et la naissance du commerce
triangulaire vers l'Afrique et les Antilles.
La prospérité du premier port de France détermine une ambitieuse
politique d'expansion urbaine. Le marquis de Tourny et Claude Boucher,
entre autres, font détruire les remparts et vont transformer la ville
médiévale avec ses rues sinueuses et exiguës en une cité moderne. Des
cours, bordés d'arbres, sont créés sur l'emplacement des remparts, des
ensembles grandioses longent les quais, la place de la Bourse et les allées
de Tourny. Le quartier des Chartrons, véritable QG du négoce du vin, date
de cette époque. On aménagera des jardins, des promenades, des
placettes. La construction du Grand Théâtre et de l'archevêché, le palais
Rohan, l'actuel hôtel de ville, l'édification de somptueux hôtels particuliers
et d'immeubles bourgeois parachèvent un ensemble architectural d'une
exceptionnelle cohérence.
De la Révolution à nos jours
La Révolution vit la création du parti des Girondins, mené par
Vergniaud. Les Girondins prônaient une république de type fédéral et
s'opposaient aux Jacobins. Accusés par les Montagnards de conspirer
contre la république, 22 Girondins furent exécutés après une nuit de
beuverie à la Conciergerie.
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Durant le Premier Empire, le blocus décrété par Napoléon amorce le
déclin de l'activité commerciale avant que le Second Empire ne voie une
amélioration de la situation économique de la région.
Jacques Chaban-Delmas, maire de 1947 à 1995, s'est voulu
moderniste: réhabilitation de plusieurs secteurs anciens, construction en
pleine ville d'un complexe moderne dans le quartier Mériadeck... Reste à
résoudre le problème des quais. 1994 révéla le projet d'aménagement des
deux rives du fleuve, confié à Dominique Perrault, l'architecte de la TGB
(Très Grande Bibliothèque). Mais pendant les dernières années du mandat
de Chaban le problème des ponts s'est révélé crucial. Avec seulement
quatre ponts, la ville manque de points de franchissement de la Garonne.
Car Bordeaux (banlieue incluse) est parmi les premières villes de France à
donner dans le « tout-automobile ». Seulement 10 % des déplacements
s'effectuent en transports en commun.
En 1995, les Bordelais ont élu Alain Juppé à la mairie, espérant qu'il
dynamiserait la vie économique locale et ferait aboutir les grands dossiers
du tramway et de l'aménagement des quais. L'ensemble du réseau est
aujourd'hui achevé. La construction d'un nouveau pont a aussi été
décidée, tout comme la réorientation de la ville vers le fleuve, ce fleuve
qui coupe la ville en deux, et qui semble désormais d'actualité. De même,
c'est avec sérieux et application que la ville a réalisé des mises en lumière
des monuments les plus notables, des ravalements, et a favorisé la
construction d'un énorme complexe cinématographique (dans l'ancienne
gare d'Orléans, à la Bastide) et d'un casino (dans l'Hôtel du Théâtre).
En attendant, Bordeaux a été un immense chantier qui a pris
régulièrement du retard : chaque coup de pioche a révélé des vestiges
archéologiques. Les aménagements piétons du centre sont achevés, et les
parkings en construction ont généré... d'énormes embouteillages.
Pourtant, les centres de gravité de la ville se sont déplacés : Bacalan au
nord, Paludate au sud, ainsi que la rive droite sont désormais les quartiers
à la mode.
SAINT-EMILION:
Au VIIIème siècle, un moine breton natif de Vannes nommé Emilion
choisit comme lieu de retraite Ascumbas (ancien nom du site de Saint-
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Emilion). Cet homme de cœur quitta sa famille et sa Bretagne natale pour
entrer dans les ordres. Il fut d’abord victime des pires injustices auxquelles
il répondit toujours par la plus grande bonté.
Econome dans un couvent bénédictin en Saintonge, comblé de
louanges et de respect en raison de sa grande vertu, Emilion finit par se
retirer, loin de tous, dans la forêt des Combes qui recouvrait jadis l’actuel
site de Saint-Emilion. Par ses miracles et sa générosité, sa renommée
rayonna par-delà la vallée et de nombreux disciples le rejoignirent. Durant
dix-sept ans, Emilion évangélisa la population, créant ainsi un site
monastique auquel fut donné son nom après sa mort. Une communauté
de moines bénédictins géra l’accès à ce lieu de pèlerinage jusqu’en 1110,
date à laquelle une réforme engagée par l’évêque de Bordeaux permit
l’installation d’un chapitre de chanoines augustins.
La ville se construisit au long du Moyen Âge, elle fut fermée par des
remparts dès le début du XIIIeme siècle.
La Jurade
La Jurade fut instaurée en 1199 par Jean Sans Terre, roi d’Angleterre.
Ce dernier délégua ses pouvoirs économique, politique et judiciaire, à des
notables et des magistrats afin de gérer l’administration générale de la
cité. En échange de ces privilèges accordés, l’Angleterre put jouir du
« privilège des Vins de Saint-Emilion ». Ainsi la superficie du vignoble
augmentât avec la notoriété des vins. Leur qualité était soumise au
contrôle de la Jurade (par le sceau du vinettier) avant transport vers
l’Angleterre depuis le port de Pierrefitte sur la Dordogne.
L’autorité de la Jurade perdura jusqu’à la Révolution Française en
1789.
En 1948, les viticulteurs réunis au sein du syndicat viticole
ressuscitèrent la Jurade sous la forme d’une confrérie, qui devint alors
l’ambassadrice des vins de Saint-Emilion à travers le monde, avec pour
ambition de garantir l’authenticité et la qualité de ses vins.
La Jurade est ainsi porteuse de la notoriété des appellations, et
organise chaque année la Fête de Printemps en juin et le Ban des
vendanges en septembre.
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Lors de ces manifestations, les membres de la Jurade défilent dans la
cité, vêtus de la robe rouge traditionnelle, rappelant la toute-puissante
Jurade des siècles passés. En juin comme en septembre, après avoir
assisté à la messe, les jurats se rendent dans le cloître de l’église collégiale
ou dans l’église monolithe pour procéder aux intronisations. Puis, après le
déjeuner, ils se rendent en procession à la Tour du Roy, du sommet de
laquelle ils proclament solennellement le ban des vendanges ou En juin, la
Jurade procèdent au Jugement du vin nouveau, destiné à en prédire les
qualités (celui tiré de la récolte précédente). La Jurade est devenue
l’emblème de la viticulture saint-émilionnaise.
BASSIN D’ARCACHON (LA DUNE DU PYLA):
L'histoire du bassin d'Arcachon est pour une bonne partie celle du Pays
de Buch. Les premières traces de peuplement se situent aux environs du
VIIIe siècle av. J.-C.. Jusqu'au milieu du XIXe siècle, pêcheurs, résiners et
bergers rythment la vie économique locale. Dès 1823, on vient chez
Legallais, l'un des premiers hôteliers d'Arcachon, pour fortifier sa santé en
prenant des bains de mers. Le développement du tourisme coïncide avec
l'arrivée du chemin de fer en 1841. L'ostréiculture moderne se développe
à partir des années 1860.
Jusqu'en 1950, des cures d'air sont préconisées dans la Ville d'hiver
d'Arcachon pour combattre la tuberculose. De nos jours, le bassin
d'Arcachon constitue un des sites touristiques les plus visités d'Aquitaine.
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2ème partie: élaborer un mini-guide touristique:
1-Centres d’intérêt de ces trois lieux.
Monuments, rues, edificies...
BORDEAUX
Le Port de la Lune :
Le Port de la Lune est le nom familièrement donné
au port de Bordeaux, du fait d'un large méandre en
forme de croissant que décrit la Garonne lorsqu'elle passe dans la ville.
Depuis le mois de juin 2007, cette partie de la ville
de Bordeaux est classée au patrimoine mondial de
l'UNESCO.
À ce village il y a beaucoup de églises et il y a aussi un amphithéâtre
romain.
SAINT-EMILION
Comme Bordeaux, à Saint Emilion il y a beaucoup
d’églises et d’ermitages, comme l’ermitage de Saint
Emilion, l’église monolithe, l’église collégiale de
Saint Emilion...
Un des monuments ou constructions plus
importantes de la ville ce sont les catacombes. Les
catacombes sont des excavations souterraines où
les anciens plaçaient dans des tombes les corps
qu'ils ne brûlaient pas.
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BASSIN D’ARCHACHON
Le bassin d'Arcachon est une lagune située dans les Landes de Gascogne,
en Gironde.
Il y a beaucoup de lieux intéressants, comme le cap Ferret, qui est un
belvédère naturel qui sépare l'océan Atlantique et
le bassin d'Arcachon ou la dune du Pyla, qui est la
plus haute dune d'Europe. Elle s'inscrit au cœur du
massif forestier des Landes de Gascogne.
Au centre du bassin se trouve l’Île aux oiseaux et les
cabanes tchanquées.
Les Pinasses sont des embarcations typiques du bassin d'Arcachon et du
littoral gascon. Avant elles étaient utilisées pour la pêche ou pour
l'ostréiculture, mais maintenant elles s’utilisent pour la promenade, la
plaisance et les régates.
2-Moyens de transports pour accéder à ces trois lieux :
Dans l’autobus de ligne, on n’a pas de bus Pamplona-Bordeaux, alors, on
doit emboucher un autobus privée. Si vous aimez aller en avion, vous
devez prendre l’avion à Madrid ou à Barcelona. Si vous voulez aller à
Bordeaux avec un groupe d’amis grand, vous avez l’opportunité de loger
un mini train pour y aller, vous pouvez faire ça avec Renfe.
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3.-Hébergements pour la jeunesse sur Bordeaux, des lieux de
restauration è prix convenable et des endroits pour sortir.
Au bordeaux l’hebergement le plus apropprié pour le logement de
jeunesse c’est l’auberge qui s’adresse au 22 cours Barbey, Bordeaux. C’est
l’auberge où nous logerons.
Cet auberge est au centre ville, alors, on peut trouver des différentes
facilités près de ça. En premier lieu, ce logement est à 600 mètres de la
gare « San Juan ». Si vous aimez faire de tourisme, à 800 mètres vous
pouvez visiter le basilique de « Saint Miguel ». Si vous preferez faire des
achats, vous avez l’opportunité des faire dans un milieu familière et
traditionnelle, dans le « Marché de Capucins » à 600 mètres de l’auberge.
Si vous aimez aller se promener, à Bordeaux il y a deux places où vous
pourrez vous reposer, la place « Saint Michel » et la place de la victoire à
800 mètres de l’auberge. Pour déjeuner on peut trouver différents
restaurants, si vous aimez la cuisine portugaise ou vous aimeriez le goûter
à 600 mètres est le restaurant « Le Boudoir ». À Bordeaux vous pouvez
aussi avoir l’opportunité de déjeuner dans le cœur de l’élégance et
l’excellence au « Bistrot de Gabriel ». Si vous n’aimez pas
l’expérimentation à la cuisine dans le restaurant « El Asador » vous
pourrez trouver la cousine traditionnelle espagnole. Cette auberge est
près de quelques bars où vous pouvez vous amuser au soir. Si vous aimez
le jazz vous deviez aller au bar « Le Blueberry », où vous pourrez boire un
cocktail au même temps que vous écoutez votre musique préférée.
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4.- Zones marchandes: les principaux magasins et leur adresse :
Une des zones marchandes plus connu à Bordeaux c’est le centre
commercial « Miriadeck » qui s’adresse à la rue Claude Bonnier. Alors, si
vous voulez une matinée du shopping c’est le mieux lieu où vous pouvez
aller. Il y a un autre centre commercial qui se trouve à la rue des Trois
Conils, le centre commercial « St Chrystoly ». Si vous préférez faire du
shopping à l’aire libre vous pouvez aller au « Passage Sarget ».
Websites qui ont été utilisés pour avoir l’informations:
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Wikipedia
www.viajesdeeuropa.com
Vacances location.net
Google images
www.routard.com
www.auberge-jeunesse-bordeaux.com
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