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C I N E 2 0 1 7 C L U B 2 0 1 6
ASSOCIATION A C A C I A - CINE-CLUB à la MAISON de la MUSIQUE de Meylan – le lundi à 13 h 30
CINE CLUB 2016 2017
Le Plaisir de Max Ophüls
26 septembre 2016 à 13 h 30
Long métrage français en noir et blanc – Comédie dramatique – 1952 – 1 h 33
Avec Madeleine Renaud, Danielle Darrieux, Pierre Brasseur, Jean Gabin, Simone Simon
Trois nouvelles de Guy de Maupassant. Le Masque. Au Palais de la danse la soirée bat son plein. Un homme
portant un masque fait irruption parmi les danseurs. Moins agile, moins vif que les autres danseurs, il
s’écroule… La Maison Tellier. Dans le salon Jupiter de la « maison » la plus courue de la ville, Julia Tellier
règne parmi ses gracieuses pensionnaires. Mais un soir les habitués, dépités, trouvent porte close…
Le Modèle. Un jeune peintre séduit une jeune fille et la prend comme modèle…Trois histoires qui tournent
autour du même thème : le plaisir s’affrontant successivement à l’amour, à la pureté et à la mort.
Les Lumières de la ville de Charlie Chaplin
17 octobre 2016 à 13 h 30
Long métrage américain muet en noir et blanc – Comédie dramatique - 1931 – 1 h 27
Avec Charlie Chaplin, Virginie Cherill, Florence Lee, Harry Myers
En errant dans la ville, Charlot fait la connaissance d’une vendeuse de fleurs aveugle. Un quiproquo le fait
passer pour un homme riche. Charlot est prêt à tout pour permettre à la jeune aveugle de recouvrer la vue.
Chef-d’œuvre immortel du cinéma, « Les Lumières de la ville » est le dernier vrai Charlot, vagabond au
grand cœur, qui prouve une fois de plus que la générosité naît de la bonté et non de la richesse.
Quand passent les cigognes de Mikhaïl Kalatozov
14 novembre 2016 à 13 h 30
Long métrage soviétique en noir et blanc – Drame– 1957 – 1 h 37
Avec Tatiana Samoïlova, Alexeï Batalov, Vassili Merkouriev, Alexandre Chvorine
Moscou 1941, la guerre est déclarée. Boris, engagé volontaire pour le front, tarde à se séparer de sa fiancée
Véronika. Au-dessus d’eux passe un vol de cigognes. La guerre installée, sans nouvelle de Boris, seule,
Véronika cède aux avances du cousin de Boris, un planqué peu glorieux, égoïste et distant. Délaissée, elle
s’implique dans le conflit en investissant son énergie à l’aide et au réconfort des soldats blessés rapatriés au
pays et prend conscience de l’horreur de la guerre. Mais Véronika espère toujours le retour de Boris...
Palme d’or du festival de Cannes en 1958, « Quand passent les cigognes » est à la fois un film sur l’amour
plus fort que la guerre, mais revêt également une importance historique sur l’assouplissement du régime
soviétique sous Khrouchtchev et dans l’histoire du cinéma pour ses prouesses techniques.
Les Parapluies de Cherbourg de Jacques Demy
28 novembre 2016 à 13 h 30
Long métrage français en couleurs – Drame musical – 1964 – 1 h 27
Avec Catherine Deneuve, Nino Castelnuovo, Anne Vernon. Musique de Michel Legrand.
Geneviève aime Guy, un ouvrier garagiste, et aide sa mère dans son magasin de parapluies. Guy est appelé
pour la guerre d’Algérie et Geneviève se donne à lui avant son départ. Guy donne peu de nouvelles.
Geneviève, enceinte, poussée par sa mère, accepte d’épouser Roland Cassard, un riche diamantaire.
Mais Guy revient…
Palme d’or du festival de Cannes en 1964, « Les Parapluies de Cherbourg est un film contre la guerre, contre
l’absence, contre tout ce qu’on déteste et qui brise un bonheur. » Jacques Demy.
Prima della rivoluzione de Bernardo Bertolucci
12 décembre 2016 à 13 h 30
Long métrage italien en noir et blanc – Drame – 1964 – 1 h 52
Avec Francesco Barilli, Adriana Asti
En 1962, Fabrizio, digne représentant de la haute bourgeoisie de Parme et influencé par un ami, l’instituteur
Cesare, se laisse tenter par les idées marxistes. Tiraillé entre sa vie bourgeoise et ses aspirations à suivre les
idées marxistes qui parcourent le monde, il rompt ses fiançailles avec Clelia, une jeune fille de bonne famille.
Considéré comme un film précurseur des mouvements sociaux de 1968, « Prima della rivoluzione » est
d’une beauté stupéfiante avec des ruptures stylistiques brisant le caractère linéaire du récit et « des scènes
poignantes comme des aveux. Très beau et très émouvant. » Le Monde.

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