Ven. 30 sept. 20h30 La Septième Vague Sophia Aram DIM. 13 nov
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Ven. 30 sept. 20h30 La Septième Vague Sophia Aram DIM. 13 nov
Ven. 30 sept. 20h30 La Septième Vague Le théâtre du Centaure Mise en scène Camille Textes Camille et Manolo Un spectacle de voltige équestre majestueux dans lequel deux centaures/traders accompagnés en direct par la musique du guitariste Virgile Abela, dialoguent sur le thème d'un monde en crise, prêt à basculer dans une récession financière apocalyptique. Théâtre, images vidéo, poésie. Sam. 15 oct. 20h 30 Sophia Aram Le fond de l'air l'effraie Texte et mise en scène Sophia Aram et Benoît Cambillard Après quatre années de chroniques pour la matinale de France Inter, Sophia Aram s'interroge librement sur notre époque. Elle incarne dans ce seul en scène des personnages qui se débattent dans l'air du temps et réagissent à une actualité parfois dramatique. DIM. 13 nov. 17h Cie. Le Guetteur Light Bird Concept Luc Petton Chorégraphie Marilèn Iglesias-Breuker et Luc Petton Un poème dansé qui met en scène les grues de Mandchourie, symbole d'éternité en Asie. Cette chorégraphie pour quatre danseurs et un saxophoniste intègre parfaitement la dimension aléatoire apportée par la présence des oiseaux. Temps suspendu. Lun. 28 nov. 20h00 Anna Karénine Les bals où on s'amuse n'existent plus pour moi D'après Léon Tolstoï Mise en scène Gaëtan Vassart avec 9 comédien(ne)s dont Golshifteh Farahani Première adaptation théâtrale en France du roman (2h15) et première expérience au théâtre pour la comédienne iranienne Golshifteh Farahani (déjà pourvue d'une impressionnante cinématographie : Syngué Sabour de Atik Rahimi, My Sweet Pepperland d'Hiner Saleem, Eden de Mia Hansen-Løve, Les deux Amis de Louis Garrel …), ce projet est centré sur la question de l'émancipation des femmes. Jeu. 19 jan. 20h30 Und d'après Howard Barker Mise en scène Jacques Vincey Avec Nathalie Dessay Parler pour continuer à vivre, ou survivre. Pour sa première expérience au théâtre, Nathalie Dessay a choisi ce monologue mystérieux, qui plonge le public dans une ambiance à la Edgar Allan Poe. La présence de la soprano est sublimée par une mise en scène raffinée et par la guitare d'Alexandre Meyer. Un spectacle d'une beauté extraordinaire Lun. 6 fév. 20h30 Constellations Nick Payne Mise en scène Arnaud Anckaert Avec Noémie Gantier et Maxence Vandevelde L'improbable rencontre de Marianne la physicienne et de Roland l'apiculteur. Leur histoire d'amour que nous découvrons à travers un procédé narratif conçu comme un jeu de construction et d'infimes "variations". Une perle qui a permis la découverte de ce jeune auteur anglais dans le monde entier. Lun. 6 mars. 20h30 Tailleur pour dames de Gorges Feydeau Mise en scène Cédric Gourmelon Le docteur Moulineaux a découché ! Au petit matin, sa jeune épouse attend de lui quelques explications. Ses mensonges vont l'emporter dans un tourbillon d'événements qu'il va tenter de maîtriser tant bien que mal …Ce pur divertissement mis en scène par Cédric Gourmelon rend hommage à Louis de Funès et à la comédie "à la française" des années 1970. Brillant. Jeu. 30 mars. 19h00 Ça ira (1).Fin de Louis Production Compagnie Louis Brouillard Joël Pommerat SPECTACLE RECOMPENSE AUX MOLIERES 2016 Le nouveau spectacle de Joël Pommerat (déjà reçu à plusieurs reprises à Équinoxe) est une fiction politique contemporaine inspirée du processus révolutionnaire de 1789. Qu'est-ce qui pousse des hommes à renverser le pouvoir ? Quels nouveaux rapports instaurer entre l'homme et la société ? Entre les citoyens et leurs représentants ? Entre fiction et réalité, Ça ira (1) Fin de Louis raconte cette lutte pour la démocratie. Lun. 22 mai. 20h00 L'Avare Molière – La Comédie de Reims/Centre Dramatique National Mise en scène Ludovic Lagarde Avec Laurent Poitrenaux dans le rôle-titre, Ludovic Lagarde fait de Molière un visionnaire, un des premiers à avoir perçu le culte qu'on allait rendre à l'argent, dieu futur du capitalisme à naître. […] La troupe est brillante, le jeu provocateur, cru et cruel. On redécouvre le texte dans sa désespérance et sa beauté, bien plus proche de nous, de notre pauvreté avide, qu'on n'aurait osé l'imaginer