le rapport 2006-2007 sur le fonctionnement pédagogique du lycée

Transcription

RAPPORT SUR LE FONCTIONNEMENT PEDAGOGIQUE DU
LYCEE CHARLEMAGNE
POUR L’ANNEE 2006/2007
présenté au Conseil d’Administration
du 13 novembre 2007
par le proviseur Alberto MUÑOZ
ART 16 DU DECRET DU 30 AOÛT 1985 :
« En qualité d’organe délibératif de l’établissement, le conseil
d’administration, sur le rapport du chef d’établissement, […] établit
chaque année un rapport sur le fonctionnement pédagogique de
l'établissement et ses conditions matérielles de fonctionnement. Ce
rapport rend compte notamment de la mise en oeuvre du projet
d'établissement, des objectifs à atteindre et des résultats obtenus, des
expérimentations menées par l'établissement et du contrat
d'objectifs.»
SOMMAIRE
2
Sommaire
I – Caractéristiques des élèves accueillis
1 – Structure et effectifs
3
2 – Caractéristiques sociologiques des élèves
3
3 – Recrutement de nos élèves
5
II – Caractéristiques des personnels enseignants
7
III – Moyens attribués
1 – Les locaux
2 – Les subventions d’Etat
7
8
3 – Le budget de fonctionnement
9
4 – Le budget d’équipement
9
5 – Les aides aux élèves du CRIF
10
6 – La DHG
10
IV – Actions menées au cours de l’année 2006/2007
1 – Options choisies par les élèves
10
2 – Actions menées dans le cadre du projet
11
3 – Vie scolaire
13
4 – Bilan de fonctionnement du CDI
14
5 – Rapport d’activité de la conseillère d’orientation psychologue
15
V – Résultats
1 – Evolution des résultats (fin de troisième – fin de terminale)
15
2 – Flux de passages et orientations
16
3 – Résultats au baccalauréat
19
4 – Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE)
21
Annexes
Annexe 1 : bilan de l’Association sportive (A.S)
23
Annexe 2 : bilan du Foyer Socio-Educatif (F.S.E)
24
Conseils de navigation :
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Fonctionnement pédagogique du lycée Charlemagne 2006-2007
2
I – CARACTERISTIQUES DES ELEVES ACCUEILLIS
1 – STRUCTURE ET EFFECTIFS
Tableau 1 : évolution des effectifs
2004/2005
NIVEAU
DIVISIONS
PREMIERE
TERMINALE
TOTAL 2
ND
EFFECTIFS
7
6
6
19
7
21
SECONDE
CYCLE
CPGE
TOTAL
2005/2006
DIVISIONS
246
197
209
652
271
923
2006/2007
EFFECTIFS
7
6
6
19
7
21
DIVISIONS
245
200
201
646
311
957
EFFECTIFS
7
6
6
19
7
21
244
210
198
652
287
939
Depuis plusieurs années, la structure et les effectifs sont stables, notamment dans le second cycle, la demande étant
toujours plus importante que le nombre de places à offrir.
Tableau 2 : E/D (nombre moyen d’élèves par division)
2004/2005
E /D
NIVEAU
2005/2006
E /D
E /D
2006/2007
E /D
ETABLISSEMENT ACADÉMIE ETABLISSEMENT ACADÉMIE
35.1
30.0
33.4
36.0
34.8
34.3
38.7
SECONDE
PREMIERE L
PREMIERE S
TERMINALE L
TERMINALE S
TOTAL
CPGE
33.0
27.1
31.0
29.5
30.3
29.9
40.7
35.0
35.0
33.0
33.0
33.6
34.0
44.4
E /D
E /D
ETABLISSEMENT
ACADÉMIE
34.9
35
35
34
32.8
34.3
41
32.9
26.5
31.5
25.9
30.07
29.7
40.9
33.0
25.6
31.7
28.7
30.6
29.8
40.30
Le E/D est toujours très sensiblement plus élevé à Charlemagne que la moyenne des établissements parisiens.
2– CARACTERISTIQUES SOCIOLOGIQUES DES ELEVES
Tableau 1 : origine géographique des élèves du second cycle
4° ARRDT
2006/2007
2005/2006
2004/2005
153
148
175
BASSIN
DISTRICT 1,2,3,4,10,11,12,19,20°
1,2,3,4,12°
EN NOMBRE
EN %
305
316
335
603
599
614
92.48%
92.72%
94.17%
AUTRES
TOTAL
HORS PARIS
DISTRICTS
PARIS
(ILE DE FRANCE)
30
28
20
633
627
634
19
19
18
Paris est découpé en quatre districts d’affectation. L’Inspecteur d’Académie, responsable de l’affectation, garantit à
chaque collégien obtenant son passage en seconde une affectation sur un lycée de son district d’origine mais chaque élève
a le droit d’exprimer un premier vœu d’affectation hors district. Pour cela, jusqu’à la rentrée 2006, les lycées étaient
autorisés à recruter 10% de leurs effectifs hors secteur(moins de 8% au lycée Charlemagne). A la rentrée 2007 cette règle
a été assouplie.
Tableau 2 : origine géographique des élèves de CPGE (1ère et 2ème année)
4°
ARRDT
2006/2007
2005/2006
2004/2005
8
20
12
BASSIN
DISTRICT
AUTRES
TOTAL
1,2,3,4,12°
1,2,3,4,10,11,12,19,
20°
DISTRICTS
PARIS
31
53
46
108
121
107
72
61
44
180
182
151
ILE DE
HORS
FRANCE
ILE DE
HORS PARIS
FRANCE
103
129
112
4
0
8
En CPGE, nous recrutons encore plus d’un tiers d’élèves hors Paris intra muros, ce qui pose parfois à nos étudiants
des problèmes de fatigue due aux transports.
3
Tableau 3 : proportion filles / garçons
% DE FILLES
2
ND
CYCLE
ACADEMIE
CPGE SCIENT.
ACADEMIE
SEPT 04
SEPT 05
SEPT 06
48.9 %
54.1 %
28.4 %
33.6 %
48.6%
53.6 %
28.3 %
34.4 %
48 %
53.4 %
32.1 %
35.0 %
Dans le second cycle, nous accueillons moins de filles que de
garçons alors que c’est l’inverse dans les autres lycées parisiens.
Cela traduirait-il, malgré les efforts d’information réitérés, une
autocensure des filles pour les disciplines scientifiques ?
Tableau 4 : élèves boursiers
PRE-BAC
2006/2007
2005/2006
2004-2005
POST-BAC
LYCEE
ACADEMIE
LYCEE
10.1 %
7.1 %
6.6%
23.8 %
21.9 %
21.6 %
11.14 %
10.3 %
ACADEMIE
Malgré une hausse sensible cette
année, nous accueillons encore
beaucoup moins d’élèves boursiers que
la moyenne.
Tableau 5 : élèves n’ayant pas la nationalité française
TOTAL
ETAB.
2
ND
CYCLE
POST BAC
2005/2006
2004/2005
2
ND
CYCLE
POST BAC
2
ND
CYCLE
POST BAC
32
18
27
12
31
10
EUROPE
MAGHREB
AUTRES
MOYEN
ASIE DU
AFRIQUE
ORIENT
SUD-EST
2
2
2
2
-
16
6
13
03
14
04
%
ELEVES
2006/2007
ACAD.
4.9 %
6.3 %
4.2 %
3.9 %
4.8 %
3.7 %
AUTRES
ELEVES
9.2 %
4.9 %
10.1 %
6.9 %
9.9 %
6.8 %
4
2
3
1
7
1
5
4
5
4
6
2
3
3
2
4
1
3
2
1
2
1
-
Nous accueillons moins d’élèves de nationalité étrangère que la moyenne des lycées parisiens dans le 2nd cycle mais
davantage en CPGE. L’origine géographique de nos élèves étrangers diffère également de celle des élèves de l’Académie : les
élèves originaires d’Afrique sont sous représentés au profit de ceux d’Europe et d’Asie du Sud-Est.
Tableau 6 : catégories socioprofessionnelles des parents des élèves de second cycle
2006/2007
2005/2006
2004/2004
ACADEMIE
ETABLISSEMENT
ETABLISSEMENT
ETABLISSEMENT
FAVORISEES A
FAVORISEES B
MOYENNES
DEFAVORISEES
46.2 %
63.5 %
61.8%
63.7%
12.7 %
11.7 %
12.5%
9.4%
22.8 %
14.7 %
15.6%
15%
18.3 %
10.2 %
10.1%
11.9%
Nous accueillons davantage d’élèves issus de catégories socioprofessionnelles favorisées que la moyenne parisienne et donc
moins d’enfants de catégories défavorisées.
Tableau 7 : catégories socioprofessionnelles des parents des élèves de CPGE
2006/2007
2005/2006
2004/2005
ACADEMIE
ETABLISSEMENT
ETABLISSEMENT
ETABLISSEMENT
FAVORISEES A
FAVORISEES B
MOYENNES
DEFAVORISEES
46.2 %
63.6 %
66.2%
64.6%
13.0 %
15 %
10.9%
08.9%
18.3 %
11.1 %
12.9%
11.1%
22.4 %
10.8 %
10.0%
15.6%
En CPGE, le constat est identique.
4
Tableau 8 : caractéristiques des élèves accueillis dans le second cycle
EN 2006-2007
ETABLISSEMENT
ELEVES AYANT 1 AN DE
RETARD
2004-2005
2005-2006
ETABLISSEMENT
11.4%
10.7%
19.1%
10.6%
11.5%
13.9%
10.2 %
12.9 %
11.6 %
SECONDE
PREMIERE
TERMINALE
ELEVES AYANT 2 ANS DE
25.2 %
26.1 %
27.9 %
EN 2006-2007
ETABLISSEMENT
2004-2005
1.6%
1.5%
1.9%
RETARD OU PLUS
SECONDE
PREMIERE
TERMINALE
ACADEMIE
2005-2006
1.6%
1.0%
2.0%
ETABLISSEMENT
ACADEMIE
0.8 %
1.4 %
1.5 %
6.4 %
11.1 %
14.8 %
Les élèves que nous accueillons sont globalement plus jeunes que la moyenne des élèves accueillis dans
l’académie et accusent beaucoup moins de retard scolaire.
Tableau 9 : élèves redoublants par classes (attention cet indicateur n’exprime pas le taux de
redoublement de l’établissement)
ETABLISSEMENT
Dans tous les cas de figure, le
nombre des élèves redoublants dans les
classes reste inférieur à la moyenne
académique, mais c’est particulièrement flagrant en seconde et en
terminale.
ACADEMIE
NIVEAU SECONDE
2006/2007
2005/2006
2004/2005
9%
10.2%
9.8%
16.3 %
15.8%
16%
NIVEAU PREMIERE
2006/2007
2005/2006
2004/2005
4.8 %
3.5%
4.1%
5.6 %
5.1%
5.3%
NIVEAU TERMINALE
2006/2007
2005/2006
2004/2005
2.5 %
3.5%
6.7%
8.9 %
11%
11.6%
3 –RECRUTEMENT DE NOS ELEVES
Tableau 1 : 1ère année de CPGE rentrée 2007
Section
Nombre de
classes
Garçons
MPSI
PCSI
2
1
69
29
Filles
Total
Dossiers
examinés
Dossiers
classés
Rang du
dernier admis
92
48
1414
996
889
700
534
407
23
19
Tableau 2 : affectation en seconde rentrée 2007, première commission de juin :
Section
2GT
Nombre
de classes
Effectif
total
redoublants
Places
vacantes
Dossiers
examinés
7
245
29
216
572 *
Dossiers retenus
216
Le désistement d’une dizaine d’élèves pour des raisons diverses nous a conduits à recruter 4 nouveaux dossiers à la commission de juillet et 6 à la commission de fin août.
* Tous vœux confondus.
5
Tableau 3 : collèges d’origine des élèves arrivant en seconde (les collèges ZEP sont repérés sur
fond grisé)
DISTRICT
ARRDT
BASSIN
MARAIS BASTILLE
COLLEGE
CHARLEMAGNE
E
4
ER
1
E
2
COUPERIN
J. – B. POQUELIN
CESAR FRANCK
VICTOR HUGO
BERANGER
3
E
MONTGOLFIER
COURTELINE
GUY FLAVIEN
J.- FRANÇOIS OEBEN
JULES VERNE
PAUL VALERY
PAUL VERLAINE
12
E
BASSIN
BERNARD PALISSY
LA GRANGE AUX B.
LOUISE MICHEL
10
E
SEPT-06
SEPT 07
62
22
5
6
14
5
1
4
1
2
1
1
1
74
11
2
2
6
5
1
2
2
3
2
4
4
2
2
1
3
1
3
5
2
4
8
5
4
4
2
4
3
1
2
2
1
-
62
19
5
1
3
4
3
8
2
1
1
2
4
3
1
2
1
2
4
4
1
3
7
3
1
9
1
3
1
2
3
1
17
15
13
14
VINCENT D’INDY
LA VILLETTE MAGENTA
SEPT-05
VALMY
4
3
5
1
CHARLES PEGUY
CLAUDE CHAPPE
EDMOND MICHELET
EDOUARD PAILLERON
GEORGES BRASSENS
19
E
GEORGES MELIES
GEORGES ROUAULT
GUILLAUME BUDE
BERGSON
SONIA DELAUNAY
MOZART
ALAIN FOURNIER
ANNE FRANCK
BEAUMARCHAIS
FONTAINE AU ROI
1
4
4
1
4
1
1
12
8
2
2
4
2
1
PILATRE DU ROZIER
11
E
VOLTAIRE
BASSIN
FRANÇOISE DOLTO
REPUBLIQUE -
HELENE BOUCHER
GAMBETTA
1
2
HENRI MATISSE
J.-BAPTISTE CLEMENT
JEAN PERRIN
1
LEON GAMBETTA
LUCIE FAURE
MAURICE RAVEL
MENDES FRANCE
ROBERT DOISNEAU
20
E
SAINT-BLAISE
1
TOTAL
TOTAL DISTRICT
BASSIN
167
108
TOTAL AUTRE
BASSIN DU
DISTRICT
53
Le lycée recrute chaque
année l’équivalent
d’une classe de seconde
dans les collèges ZEP.
Cette année, le flux de
passage des élèves du
collège Charlemagne et
du collège Couperin
retrouve son niveau de
2005 ; en revanche le
nombre d’élèves issus du
collège Victor-Hugo est
en baisse très sensible
depuis deux ans.
L’accroissement des
élèves issus du privé
s’accentue (+19) en
deux ans, on retrouve
souvent des élèves qui
avaient sollicité le
collège Charlemagne en
ème
ème
4 ou 3 sans avoir pu
l’obtenir.
Le flux des élèves
« hors Paris »
correspond
essentiellement à
l’emménagement
à Paris de familles
venant de Province.
TOTAL AUTRE
BASSIN DU
DISTRICT
6
AUTRES
DISTRICTS
HORS PARIS
PRIVE
TOTAL
REDOUBLANTS
TOTAL 2
NDE
PARIS
17
10
5
222
14
24
223
208
24
246
22
245
27
245
51
6
II – CARACTERISTIQUES DES PERSONNELS ENSEIGNANTS
Tableau : répartition des enseignants par corps et par âges
R 2004
R 2005
R 2006
R 2006
LYCEE
LYCEE
LYCEE
ACAD.
49.1
16.4
29.4
05.1
01.9
08.3
19.8
24.4
37.7
07.9
45.9
23.5
26.3
4.2
4.3
3.9
24.4
21.5
35.6
10.3
28.6
5.3
37.3
3.5
4.3
19.7
24.5
14.5
27
10
% AGREGES
% CHAIRES SUP.
% CERTIFIES
% PROF. EPS
% 25-29 ANS
% 30-39 ANS
% 40-49 ANS
% 50-54 ANS
% 55-59 ANS
% 60 ANS ET PLUS
52.7
25.7
6.8
5.4
21.6
29.7
36.5
Attractif pour les élèves, l’établissement l’est autant pour les professeurs,
qui sont sensiblement plus âgés que la moyenne académique. De même,
le pourcentage de professeurs agrégés est sensiblement plus élevé.
Tableau 3 : ancienneté dans le poste des professeurs
sept. 2005
sept. 2006
EN %
< 1 AN
DE 1 A 4 ANS
DE 5 A 9 ANS
DE 10 A 14 ANS
DE 15 A 19 ANS
DE 20 A 24 ANS
DE 25 A 29 ANS
30 ANS ET PLUS
07.6
27.7
16.0
16.6
11.4
06.8
07.6
06.4
12.3
23.0
18.3
07.3
22.2
07.8
05.0
04.2
III – MOYENS ATTRIBUES
1 – LES LOCAUX
Le lycée Charlemagne s’inscrit dans le cadre d’un ensemble immobilier appelé
communément « cité scolaire ». Les locaux prestigieux dont dispose la cité scolaire sont
répartis des deux côtés de la rue Charlemagne, aux numéros 13 et 14.
Le 14 qui abritait autrefois l’ancienne maison professe des jésuites dont l’Etat a classé
une partie des bâtiments « monuments historiques », accueille actuellement les locaux
administratifs (bureaux de direction, secrétariat, intendance, assistante sociale…) et la
plupart des activités pédagogiques du lycée.
Le 13 qu’il est convenu d’appeler « le collège », construit en partie sur l’ancien
rempart de Philippe Auguste, abrite en plus de toutes les salles du collège, les salles de
SVT et de STI du lycée, mais aussi les deux gymnases, l’infirmerie et le service de
restauration.
Cette disposition des locaux crée un va et vient perpétuel d’élèves du lycée traversant
la rue Charlemagne pour aller au collège, difficilement contrôlable, compte tenu du
nombre réduit de surveillants attribués au lycée, particulièrement au moment de la demipension.
Rénovés entre 1990 et 1994, les bâtiments, fort agréables au demeurant, doivent
maintenant être rafraîchis et surtout mis en conformité avec les directives pédagogiques
actuelles incluant l’évaluation des capacités expérimentales des élèves.
7
Les élèves comme les professeurs ne disposent d’aucune salle de travail, d’activités ou
de détente. Le CDI comme la salle des professeurs, sont extrêmement exigus, les salles
de sciences sont à mettre aux nouvelles normes, la salle de STI doit enfin être équipée,
l’extension du réseau informatique poursuivie car il est indispensable de créer des salles
multimedia pour l’enseignement des langues et d’informatique pour les mathématiques...
Il n’y a ni salle de réunion ni salle de conférence ni parloir pour recevoir les parents ;
2
en revanche, depuis quinze ans, les 350 m de l’ancienne bibliothèque des jésuites sont
inoccupés et attendent la rénovation de la fresque de Gherardini découverte lors de la
rénovation. Les travaux pour la rénovation de ladite fresque et l’installation du CDI et
d’une salle de travail ont été estimés à environ 3,3 millions d’euros. Jusqu’à ce jour,
personne ne semblait prêt à financer le projet.
La gestion complexe des cités scolaires parisiennes était en partie responsable de cet
état de fait car depuis la décentralisation de 1985, la Ville de Paris était restée
propriétaire des murs, la Région (CRIF) finançait l’entretien et la rénovation des
bâtiments du lycée, et le Conseil Général ceux du collège. Jusqu’en 2006, la maîtrise
d’œuvre pour l’ensemble de la cité scolaire avait été confiée au seul Conseil Général mais
ce dernier n’ayant pas à Paris de service spécifique pour gérer les établissements
secondaires, déléguait à la Direction des Affaires Scolaires (DASCO), qui elle-même
passait par la Section Locale d’Architecture (SLA). Heureusement depuis 2005, on ne
faisait plus appel à la Circonscription des Affaires Scolaires (CAS) pour instruire les
dossiers. Toute demande de travaux ou d’aménagements devant obtenir l’assentiment de
toutes les structures et ensuite des financeurs pour aboutir, un retard important avait été
pris dans le traitement de nos demandes et l’établissement se dégradait lentement.
Afin de faciliter les choses, la délégation de maîtrise d’œuvre de toutes les cités
scolaires parisiennes au Conseil Régional était prévue pour janvier 2007. Hélas, elle n’a
pu se faire pour Charlemagne qu’après la réunion d’architecture réunissant toutes les
parties le 2 mai 2007. Toutes nos demandes ont été une nouvelle fois notées.
Espérons qu’elles soient, un jour prochain, prises en compte… L’urgence est maintenant
criante sur de nombreux points restés en suspens depuis des années.
2 – LES SUBVENTIONS D’ETAT
L’Etat, malgré la décentralisation, a gardé la maîtrise de certains crédits
pédagogiques (logiciels informatique, rénovation de programmes, projets, innovation,
droits de reproduction…) et des aides aux élèves (bourses, fonds sociaux). Ces
subventions, globalisées maintenant dans la LOLF ont eu tendance à diminuer au fil de
ces dernières années. La relève, heureusement, est souvent prise pas la collectivité de
rattachement.
Tableau : équipements et aides d’état
Animation de la vie lycéenne
Matériel informatique
Projet d’établissement
CESC
Droits de reproduction
Fonds sociaux
Aide à la cantine
TOTAL ETAT
2004
100.00 €
250.00 €
500.00 €
1465.55 €
858.05 €
1499.95 €
4 673.55 €
2005
400.00 €
193.00 €
1460.65 €
572.88 €
590.60 €
3 217.13 €
2006
100.00 €
2007
112.12 €
146.00 €
1 517.62 €
729.98 €
1 760.00 €
2 600.00 €
2 493.60 €
4 472.12 €
8
3 –LE BUDGET DE FONCTIONNEMENT
Le budget de fonctionnement du lycée est alloué par le CRIF (Conseil Régional Ile de France).
Chaque année, le conseil d’administration en décide la répartition.
Tableau : évolution du budget de fonctionnement
Budget de fonctionnement
2005
187 311 €
2006
192 040 €
2007
204 512 €
En 2007, comme en 2006 la renégociation de certains contrats obligatoires, l’augmentation de la
dotation légèrement supérieure à l’inflation nous ont permis de mieux fonctionner.
4 - LE BUDGET D’EQUIPEMENT
En plus de la dotation de fonctionnement, le CRIF nous équipe en mobilier et matériel
audiovisuel, ordinateurs et matériels pour l’enseignement ou pour le fonctionnement général.
Tableau 4-1 : équipements audiovisuel ou informatique en nature (marché CRIF)
Ordinateurs
Imprimantes laser
Imprimantes couleur
Imprimantes laser couleur
Vidéo projecteurs
Photocopieurs
valorisation
Collecte
2003/2004
49
1
4
3
7
58 588 €
Collecte
2004/2005
42
3
1
1
2
50 370 €
Collecte
2005/2006
16
Collecte
2006/2007
38
2
2
1
27 971 €
3
Tableau 4-2 : autres équipements (en nature ou gestion directe)
Matériel de physique
Matériel de SVT
Câbles antivol
Mobilier de sécurité labos
Mobilier bureaux
Mobilier de classes
Kiosque ONISEP
Total autres équipements
Rappel tableau 3-1
Dotation totale accordée
Collecte
2003/2004
110 962 €
45 638 €
Collecte
2004/2005
12 258 €
Collecte
2005/2006
6 000 €
8 244 €
300 €
4 586 €
7 212 €
156 600 €
58 588 €
215 188 €
24 356 €
50 370 €
74 726 €
Collecte
2006/2007
7 293 €
6 100 €
4 250 €
14 244 €
27 971 €
42 215 €
7 784 €
4 083 €
29 510 €
La collecte des demandes se fait par année scolaire et nous recevons les dotations au cours de l’année suivante.
Le conseil régional avait porté une attention particulière à nos demandes lors des collectes 2003/2004 et
2004/2005, nous permettant de combler notre retard en matériel informatique, en particulier pour l’EXAO en
physique et SVT.
Nous attendons les dernières dotations demandées lors de la collecte 2006/2007.
Par ailleurs, nous avons continué l’équipement informatique général et audiovisuel au service de la pédagogie
sur le budget de l’établissement, notamment en prélevant sur les fonds disponibles lors de DBM proposées en
conseil d’administration.
9
5 - LES AIDES AUX ELEVES DU CRIF
De son côté, le Conseil Régional Ile de France (CRIF) a aussi mis en place une politique d’aide
aux élèves (projets d’élèves, fonds social, aide à la cantine, aide pour les manuels scolaires)
Tableau : aides régionales
2004
0.00 €
5 592 .26 €
6 650.00 €
12 142.26 €
Aide à la cantine
Projets d’élèves – (bicentenaire)
Manuels scolaires
TOTAL CRIF
2005
0.00 €
2006
0.00 €
2007
4 872.00 €
6 650.00 €
6 550.00 €
40 760.00 €
40 760.00 €
32 039.00 €
36 911.00 €
Il est à noter que depuis 2004 nous n’avions demandé aucune aide sociale au conseil régional, les reliquats des
années antérieures non utilisés étant suffisants pour répondre à toutes les demandes.
6 – DOTATION HORAIRE GLOBALE (DHG)
Si les personnels ouvriers et de service sont désormais pris en charge par les conseils
régionaux, l’état continue à assurer le salaire des personnels administratifs, d’enseignement et
d’éducation, ce qui représente la part la plus importante des dépenses de l’EPLE. Cette dotation
ne fait pas partie du budget de l’établissement et est attribuée pour les personnels enseignants en
équivalent d’heures hebdomadaires de cours devant élèves. A charge pour le conseil
d’administration de répartir ces heures par disciplines.
Tableau 1 : évolution de la D.H.G
REPARTITION DE LA D.H.G
EFFECTIFS
DHG
2004/2005
2005/2006
2006/2007
2ND CYCLE
653
646
652
CPGE
270
311
287
TOTAL
923
957
939
GLOBALE
1090,35
1081.35
1083.35
HP*
977,42
976,00
941.5
HS*
112,93
105,35
141.79
H/E*
1.18
1.1 3
1.15
* HP : heures postes ; HS : heures supplémentaires ; H/E : ratio heures/élèves
Pour la première fois, après quatre années consécutives de baisse importante, la dotation était en légère hausse.
Malgré cela, une fois les enseignements obligatoires mis en place, il ne restait guère de marge de manœuvre
pour l’autonomie pédagogique (Le seul projet que nous avons pu réaliser est la préparation au concours de
sciences politiques, financé sur des HSE).
IV- ACTIONS MENEES AU COURS DE L’ANNEE 2006/2007
1 – OPTIONS CHOISIES PAR LES ELEVES
Tableau : évolution des options au cours des trois dernières années
SEPTEMBRE 2005
ALLEMAND LV 1
ANGLAIS LV 2
ALLEMAND LV 2
ESPAGNOL LV 2
RUSSE LV 2
LATIN
GREC
SES
MPI
SEPTEMBRE 2007
2
206
40
37
26
164
1
138
52
50
21
104
T
139
52
52
28
104
2
212
33
32
28
169
1 *
178
32
32
28
135
T*
153
45
45
24
114
2
211
34
34
47
143
1 *
178
32
31
27
140
T*
176
27
27
29
135
18
50
19
141
36
14
42
23
8
31
16
16
61
32
119
35
15
40
13
11
37
20
19
65
25
121
33
12
47
26
12
25
11
NDE
ANGLAIS LV 1
SEPTEMBRE 2006
ÈRE
NDE
ÈRE
NDE*
ÈRE
* les différences dans les
totaux sont dues au
choix de langues par
correspondance ou inter
établissement
L’allemand n’étant plus enseigné dans de nombreux collèges, il devient de plus en plus difficile de
recruter des germanistes LV1, toutefois, cette année le recrutement est stabilisé. Il est en forte hausse
10
en LV2 au détriment de l’espagnol. Le nombre des latinistes est en légère hausse, au détriment des
hellénistes, dans les mêmes proportions, mais les langues anciennes continuent à être bien
représentées. Si l’on compare le nombre d’hellénistes et de latinistes entrés en septembre 2005 à celui
des mêmes élèves encore présents en terminale on constate une plus forte érosion en latin qu’en grec
cette année, notamment entre la première et la terminale.
2 - ACTIONS MENEES DANS LE CADRE DU PROJET
• Réunions d’information
Des réunions d’information parents et professeurs par classe pour chaque niveau (2°,
1ère et Terminale) ont été organisées au début de l’année.
Des rencontres individuelles parents professeurs pour les élèves de seconde et
première repérés en difficultés scolaires au premier trimestre ont eu lieu après les
vacances de la Toussaint.
Une soirée d’information sur l’orientation en fin de seconde en direction des parents
d’élèves a été organisée par l’équipe de direction avec la COP et les professeurs
principaux.
Une soirée d’information sur les spécialités des classes terminales scientifiques est
ère
offerte aux élèves de 1 et à leurs parents.
Des soirées thématiques sur les différentes filières post baccalauréat ont été
organisées par la COP, avec comme intervenants des professeurs des filières concernées
ou d’anciens élèves :
– faire une classe préparatoire scientifique ;
– préparer médecine ;
– faire sciences politiques ;
– faire une prépa commerciale.
• Une journée « portes ouvertes » a été organisée le mercredi 31 janvier 2007 à
l’intention des élèves de terminale intéressés par les CPGE.
• Le Forum des Grandes Écoles, organisé maintenant depuis une dizaine d'année, se
tient traditionnellement au début du mois de décembre. Il a pour but :
- d’améliorer l'information des étudiants des classes préparatoires (et de terminale)
sur l'enseignement dispensé dans les Grandes Ecoles, les débouchés de chaque école,
la spécificité d'une école comparée aux autres etc.
- d’établir des contacts entre des anciens élèves ayant intégré et ceux qui sont encore
au lycée, contact permettant à ceux qui sont en prépas (ou en terminale) de mieux se
préparer aux études qui vont suivre, d'avoir des conseils d'orientation en ce qui
concerne les différentes filières, etc.
- en ce qui concerne plus précisément les élèves de terminale : leur faire comprendre
que les étudiants de prépas et ceux ayant intégré sont des « gens comme les autres » et
que ce type d'étude est accessible à la plupart des élèves motivés et travailleurs.
Nous remercions vivement Mme WIRTH, professeur de CPGE pour cet important
travail.
• Suivi des élèves en difficulté
er
Un bilan à la moitié du 1 trimestre a été fait par les équipes pédagogiques avec
ère
invitation des parents de 2° et de 1 concernés à venir rencontrer les professeurs des
matières où leurs enfants étaient en difficultés.
• Examens blancs
Il n’était pas de tradition à Charlemagne d’organiser un véritable Baccalauréat blanc.
A la demande des élèves et des familles, après délibération du CA, un baccalauréat blanc
est organisé à l’attention des classes de terminale et de première dans toutes les
er
disciplines écrites du 1 groupe depuis deux ans maintenant. Des oraux ont été organisés
en lettres.
11
• Animations
– Participation à la collecte pour la banque alimentaire organisée par le Lions Club
International ;
– Actions de prévention en direction des élèves de seconde (cannabis, conduites à
risques, IST- SIDA, etc.)
– Le professeur de musique a organisé deux concerts avec la chorale.
• Sorties
– De nombreuses sorties culturelles et théâtrales ont été organisées, souvent le soir ou
le mercredi après midi pour éviter de perdre des heures de cours ; à cela s’ajoutent les
sorties pédagogiques, dont l’objectif est l’illustration directe du cours. Nombreuses en
seconde, elles se restreignent en première et en terminale. Ce sont les professeurs des
disciplines littéraires (lettres, langues, histoire géographie, philosophie) qui en organisent
le plus grand nombre (musées, projection de films cf. infra, « Lycéens au cinéma »). Les
professeurs de SVT fréquentent prioritairement le Palais de la Découverte. Les
professeurs d’Histoire et de philosophie ont organisé une visite au mémorial de Caen
(TL).
– « Lycéens au cinéma »
(Bilan 2006-2007 du professeur coordonnateur de lettres et un des acteurs du projet, Madame
Zellner).
Depuis l’année scolaire 2005-2006, le lycée Charlemagne participe au dispositif
«Lycéens au cinéma», organisé par la Région Ile-de-France, le Rectorat de Paris et
l’association Cinémas Indépendants Parisiens. Cette année, cinq classes de seconde
étaient concernées ; les trois films choisis (parmi les cinq proposés par la région) étaient :
«De battre mon coeur s’est arrêté» de Jacques Audiard (2005), «L’armée des ombres» de
Jean-Pierre Melville (1969), et «Shining» de Stanley Kubrick (1980).
Chaque film a été vu par les élèves sur grand écran dans une salle des Cinémas
Indépendants, et cette projection a été précédée et suivie de présentations des
réalisateurs, des genres concernés (le film noir, le film historique, le thriller), mais aussi
d’analyses de séquences précises, d’affiches, des thèmes et prises de position des
différentes oeuvres.
L’intérêt pédagogique de ce projet est très grand : il permet de traiter une partie du
programme de français qui est souvent négligée, faute de support : l’analyse de l’image.
Les élèves peuvent comparer les procédés de deux arts, le cinéma et la littérature, et voir
que certains sont spécifiques au cinéma (le cadrage, les mouvements de caméra, le rôle
de la musique...) et que d’autres leur sont communs (la structure du récit, le personnage,
le point de vue ...). La comparaison peut être très riche et renouvelle l’intérêt des élèves
pour les études de textes et la notion de genre.
Comme les élèves sont presque tous beaucoup moins intimidés par les images que
par les textes littéraires, leur participation aux différentes analyses et réflexions sur les
films est très énergique, et c’est pour eux l’occasion de comprendre plus facilement ce
qu’est une oeuvre d’art, et comment on peut approfondir sa perception.
Le dispositif comprend aussi une formation pour les professeurs, par des critiques et
des professionnels du cinéma, et les élèves reçoivent une carte permettant de bénéficier
d’un tarif réduit dans tous les cinémas indépendants parisiens. Pour certains d’entre eux,
cette carte a véritablement ouvert de nouveaux horizons.
C’est donc un projet très fructueux, qui devrait être reconduit en 2007-2008.
• Socrate
L’association Socrate, sous la houlette du Ministère de l’Education Nationale, a pour
but de mettre en rapport des élèves de lycée avec des élèves des collèges et des écoles
primaires de quartiers sensibles, dans une relation parrain / filleul, pour apporter à ces
derniers une aide scolaire, culturelle et leur servir de référent. L’année dernière, une
vingtaine d’élèves du lycée Charlemagne se sont engagés dans cette démarche et disent
avoir beaucoup appris. Les filleuls et les établissements d’accueil ont également exprimé
leur satisfaction.
L’action sera reconduite en 2007-2008.
12
• Voyages
Les voyages ont permis de compléter fructueusement l’enseignement des langues ou
une approche culturelle, sous un angle interdisciplinaire, du pays :
ère
– voyage culturel à Florence organisé par madame Chabot pour les élèves de 1 L
(octobre 2006) ;
– voyage culturel à Berlin organisé par mesdames Degoy et Dujany pour les élèves de
TL (novembre 2006) ;
– voyage en Ecosse pour des secondes, organisé par Mme Libéral-Michaut (février
2007) ;
– Echange avec le lycée Paulinum de Münster pour les germanistes proposé par
Mme Valentin (mars 2007) ;
– voyage culturel et linguistique à Saint-Pétersbourg accompagné par Mme Bonnard
ère
pour les élèves de russe de seconde et de 1 (avril 2007).
• Assistants de langue
Quatre assistants étrangers (anglais, allemand, espagnol, russe) ont permis de
compléter l’enseignement des langues vivantes (conversation, perfectionnement oral)
donné par les professeurs.
• Développement de la communication externe et interne
> Site internet du Lycée Charlemagne
Le site internet, mis en ligne en septembre 2005, renseigne les familles des futurs
élèves potentiels sur la structure du lycée. Il informe les familles et les élèves
actuellement scolarisés sur les évènements importants de la vie de l’établissement. Il s’est
développé et offre, aux familles comme aux parents, un recueil des textes officiels les
concernant directement ainsi que des liens vers les sites institutionnels de l’Education
Nationale (Eduscol, Académie de Paris, Mentor, BOEN, etc.) leur permettant d’accéder à
une banque de données très étendue. La consultation moyenne du site, sur une année
civile, est de l’ordre de 105 visites différentes par jour, vacances comprises soit près de
38 000 connexions par an. Des pages sécurisées permettent aux parents et aux professeurs
de télécharger des documents spécifiques à l’établissement (adresse du site :
http://www.lycee-charlemagne.fr)
> En 2005-2006, envoi aux parents délégués, aux élèves délégués, aux professeurs,
de courriels sur leur messagerie pour attirer leur attention sur des moments forts de
l’année. En 2006-2007, cette opération a été étendue à l’ensemble des parents qui ont
communiqué à l’établissement leur adresse de messagerie. D’autres moyens de
communication sont envisagés pour 2007-2008 : une « newsletter » en particulier.
3 – VIE SCOLAIRE
a – CVL
En 2006-2007, le CVL a organisé, à l’extérieur de l’établissement, la fête de fin
d’année.
b – Ponctualité, assiduité
Les chiffres indiqués
dans
le
tableau
correspondent à une
moyenne.
(nombre
d’élèves / nombre de
mois, juin exclu).
2NDE
1ERE L
1 ERE ° S
TL
TS
2ND CYCLE
ABSENTEISME 2006-2007
DE 4 À 10 DEMI
PLUS DE 10 DEMI
TAUX PAR
JOURNÉES
JOURNÉES
NIVEAU
1,60%
7,87%
4,28%
8,71%
4,40%
5.37 %
0,35%
0,36%
1,60%
1,12%
0,30%
0.75 %
1.95 % 8.23% 5.88 % 9.23 % 4.70 % 6.12 % Est comptée comme demi-journée
d’absence une demi-journée dans
laquelle l’élève a été absent au
moins une heure sans justification
(ou justifiée par un motif jugé non
recevable).
L’absentéisme est nettement plus
important dans la filière L.
Il faut relativiser ces données
chiffrées : en effet, elles peuvent
traduire l’absentéisme « lourd » de
quelques élèves et l’absentéisme
« perlé ».
13
c – Discipline
Des punitions scolaires ont été données par les professeurs, et des sanctions
disciplinaires ont été prononcées par le chef d’établissement, conformément au règlement
intérieur, pour les élèves contrevenant aux règles de vie dans l’établissement.
2004
2005
2005
AVERTISSEMENTS
EXCLUSIONS D’UNE JOURNEE
7
11
2006
2006
3
4
2007
13
7
Aucune violence grave n’a
été constatée et aucun conseil
de discipline n’a dû se
réunir.
4 – BILAN DE FONCTIONNEMENT DU CDI
a- Enrichissement du fonds documentaire :
– les achats ont été faits en fonction des projets, en concertation avec les professeurs et
en tenant compte des demandes des élèves ;
– des ouvrages sur Berlin (histoire, beaux arts) ont enrichi le fonds du CDI pour
permettre aux élèves de T L de préparer leur voyage ;
– la liste des acquisitions est disponible au CDI et peut être envoyée par courriel à ceux
qui le souhaitent ;
– abonnements : Deux nouveaux abonnements ont été souscrits : Time et Vocable
(allemand).
Tout le fonds est informatisé avec BCDI 2006, le logiciel développé par le CRDP de
Poitiers qui permet la recherche documentaire ; les revues auxquelles le CDI est abonné y
sont dépouillées. BCDI 2006 est aussi un « portail » vers les ressources de l’internet, des
centaines de pages documentaires en ligne y sont référencées par l’équipe du CRDP de
Poitiers et directement accessibles depuis le logiciel.
b- Découverte du CDI et initiation à la recherche documentaire :
– tous les élèves connaissent l’emplacement du CDI puisqu’ils viennent y chercher
leurs manuels scolaires en début d’année ;
– des professeurs de français organisent des travaux pratiques pour leurs élèves (par
demi groupe) au mois d’octobre pour leur permettre de découvrir les ressources du CDI et
de mieux les utiliser.
La taille du CDI, sa configuration et son équipement informatique, ne permettent pas
de faire systématiquement une initiation à la recherche documentaire, les élèves n’ayant à
leur disposition que deux ordinateurs. Avec BCDI et internet et il est malheureusement
impossible, faute de place, d’en installer d’autres. Néanmoins, depuis le mois d’avril les
élèves peuvent venir travailler avec leur propre ordinateur portable en se connectant au
réseau Wi Fi du CDI.
Depuis cette année aussi, la nouvelle version du logiciel avec le module BCDI-web
permet la consultation du fonds du CDI dans les salles informatiques du réseau
pédagogique de l’établissement. En 2007-2008 nous espérons que la base sera consultable
sur l’internet.
c- Ouverture sur l’extérieur
• Relation avec les théâtres
Les saisons des différents théâtres parisiens sont l’occasion de prolonger les
travaux sur les œuvres étudiées en cours par des sorties choisies par les professeurs en
concertation avec la documentaliste. Un choix de spectacles est proposé aux élèves.
• Chèques culture
En fin d’année, le chèque culture change de nom et devient Tick’Art.
Pour 15 euros les élèves peuvent bénéficier de deux tickets scène, un ticket cinéma,
un ticket livre, un ticket expo et un ticket patrimoine. Cette première sensibilisation des
élèves et des professeurs, en fin d’année scolaire, est appelée à se développer en 2007-2008.
• L’année scolaire 2007-2008, verra l’implantation d’un kiosque ONISEP au CDI. Il
permettra aux élèves de s’informer sur les études, les orientations, les métiers.
14
5 – RAPPORT D’ACTIVITE DE LA CONSEILLERE D’ORIENTATION PSYCHOLOGUE
1) Travail individualisé
a- Analyse des entretiens
Année scolaire
2006-2007
Seconde
Première
Terminales
CPGE
Total
Entretiens-conseils
avec les jeunes
au
au
C.I.O
Lycée
43
33
5
17
51
75
4
228
Entretiens parents
au
C.I.O
21
3
11
au
Lycée
11
4
2
1
53
Entretien
avec les
équipes
éducatives
22
10
3
1
36
Nombre de
bénéficiaires
93
37
131
5
266
b- Comparaison garçons/filles
Cette année, les entretiens-conseils en direction des jeunes ont davantage
concerné les garçons, quel que soit le lieu d’accueil : lycée ou au C.I.O (40% pour les
filles, 60% pour les garçons) ; on trouve la même répartition au niveau des entretiens avec
les parents.
Avec les équipes éducatives, ce sont majoritairement des entretiens concernant des filles
qui motivent l’échange avec la C.O.P.
2) Travail collectif :
– séances d’information en classes : 13 ;
– séances thématiques pour des terminales volontaires : 7 (6 heures) ;
nde
– réunion d’information parents 2 : 2 (4 h) ;
– conférence-débat «Métiers nouveaux ; métiers en évolution » en faveur des
secondes (2 h) ;
– participation à la commission d’appel seconde ;
– participation aux réunions Vie Scolaire : 4 (6h) ;
– concertation avec les professeurs principaux de secondes : 30 échanges ;
– concertation avec l’équipe de direction : 16 rencontres.
3) Etudes statistiques :
– suivi des redoublants de seconde ;
– suivi de l’affectation des élèves sortants après la seconde ;
– suivi de l’affectation dans l’enseignement supérieur.
V– RESULTATS
1 – EVOLUTION DES RESULTATS (FIN DE TROISIEME-FIN DE TERMINALE)
On dispose, pour la première année, d’une cohorte d’élèves dont on
peut comparer les notes, de la fin de la troisième à la fin de la
terminale. Pour comparer ce qui est comparable on n’a retenu que
les 161 élèves de troisième (2003-2004) toujours présents en
terminale en 2006-2007 et qui n’ont pas redoublé.
►En Lettres, l’année de terminale n’apparaît pas sur la
graphique car les notes ne concernent que la Littérature de la
section L.
►En Mathématiques et en physique seules les notes des élèves de S
sont prises en compte.
Lettres
Le nombre de notes comprises entre 10 et 16 passe de 92% en fin
de 3° à 60% en fin de première. Si le pic est à 13/20 en 3°, il est à
9/20 en fin de première.
15
Langues
Histoire et Géographie
C’est la discipline dans laquelle les résultats des élèves sont les plus stables.
Le pourcentage de notes comprises entre 10 et 17 varie de 87% (fin de 3°) à
84 % (fin de terminale) et les pics de 15/20 à 13/20 avec un fléchissement
toutefois à 10/20 en fin de première.
Si le pourcentage des notes comprises entre 10 et 17 ne varie que
de 94% (fin de 3°) à 84 % (fin de terminale), les résultats, pour
60% des élèves, chutent de trois points entre la fin de la troisième
et le début de la seconde. Ils se stabilisent (voire s’améliorent)
ensuite.
Physique et Chimie
Mathématiques
Le pourcentage des notes comprises entre 10 et 17 varie de 90% (fin de 3°) à
63 % (fin de terminale), Pour 48% des élèves les notes baissent de deux
points entre la troisième (entre 12 et 14) et la seconde (entre 10 et 12). 43%
obtiennent des notes comprises entre 9 et 11 à la fin de la première et de la
terminale.
Si le pourcentage des notes comprises entre 10 et 17 varie assez peu
(de 97% (fin de 3°) à 84 % (fin de terminale), les résultats baissent
graduellement tout au long de la scolarité. Si en troisième 60% des
notes sont comprises entre 14 et 17, 42% sont comprises entre 10
et 12 en fin de seconde, 51% entre 8 et 11 en fin de première et
43% entre 7 et 10 en fin de terminale.
On laissera aux professeurs de chaque discipline le soin d’interpréter ces données.
2 – FLUX DE PASSAGES ET ORIENTATIONS
a – Fin de seconde
A la fin de la classe de seconde la demande des familles est toujours nette pour la
ère
poursuite d’études en 1 générale, particulièrement pour les deux filières existant dans
l’établissement. Les décisions d’orientation, elles, sont plus nuancées.
Tableau 1 : devenir des élèves en fin de seconde
ETABLISSEMENT
ACADEMIE
FRANCE
167 ►68.7%
2006
32.3 %
2007
34.6 %
2006
28.7 %
14.2%
29 ►12.4%
12.4 %
12.4 %
9.7 %
14.1%
6.9%
14 ►5.7 %
15.9 %
16.5 %
16.2 %
1 ERE SMS/STG
1.2%
1.2%
2 ►0.8%
11.4 %
11.0 %
15.8 %
1 ERE STL/STI
1.2%
-
1 ►0.4%
01.7 %
06.0 %
7.8 %
REDOUBLEMENT
9.7%
9.8%
29 ►12%
16.1 %
13.2 %
14.3 %
AUTRES (BT, REO)
1.6%
3.7%
–
06.6 %
06.3 %
7.5 %
JUIN 2005
JUIN 2006
JUIN 2007
59.3%
64.2%
12.9%
1 ERE ES
1S
1
ERE
L
16
Nous orientons bien plus d’élèves en 1ère générale (86.8% contre 31.6%) que la moyenne des établissements parisiens et
particulièrement en 1°S (plus du double). Comme l’année dernière les orientations vers une 1ère ES diminuent au profit des
filières existant dans l’établissement (notamment en S) mais aussi à cause d’un plus fort taux de redoublement pour pouvoir
rester au lycée Charlemagne.
Tableau 2 : commissions d’appel de fin de seconde
LYCEE LYCEE
2005
2006
9
6
3.7 %
2.4 %
22.2 %
66 %
NOMBRE D’APPELS
TAUX D’APPEL
TAUX DE SATISFACTION
LYCEE
2007
12
4.8 %
50 %
2007
FRANCE
2006
4.8 %
41.5 %
2.4 %
44.1 %
ACADEMIE
Tableau 3 : suivi des redoublants de seconde
y 21 ELEVES PASSENT EN 1ERE GENERALE :
– 11 SONT ADMIS EN 1ERE S
– 4 SONT ADMIS EN 1ERE ES
– 6 SONT ADMIS EN 1ERE L
Les redoublements sont profitables à la grande majorité
des élèves, puisque 96% d’entre eux passent dans la
classe supérieure et dans une filière d’enseignement
général.
y 1 ELEVE
PASSE 1° STL
b – Fin de première
Tableau 4 : flux de passage de 1ère en Terminale
PROPOSITIONS
DECISION DE LA FAMILLE
REDOUBLEMENT
2006
2007
PASSAGE
TOTAL
ELEVES
RED.
1L*
5
2
1
35
1s
15
9
6
165
1L
4
4
0
35
1S
14
11
3
172
En 2007, le nombre de
redoublements proposés par les
conseils de classe a baissé d’un point
par rapport à 2006 en S et
davantage en L. En revanche, les
bons
résultats
obtenus
au
baccalauréat par les aînés incitent
un nombre important (et en forte
hausse) de familles à refuser la
proposition de redoublement de la
classe de 1ère.
* Deux élèves poursuivent leurs études dans un autre établissement.
Tableau 5 : résultats aux épreuves anticipées du baccalauréat
2006
L
S
2007
FRANÇAIS ECRIT
FRANÇAIS ORAL
TPE
ENSEIGNEMENT
MATHS-INFO
SCIENTIFIQUE
10.7
09.6
10.6
11.6
16.1
13.6
FRANÇAIS ECRIT
FRANÇAIS ORAL
TPE
12.0
16.6
ENSEIGNEMENT
MATHS-INFO
SCIENTIFIQUE
<10
L
DE 10
A 14
>14
<10
A 14
>14
<10
DE 10 A
14
>14
9
20
6
11
19
5
3
15
17
MINI
MOY
MAX
MINI
MOY
MAX
MINI
MOY
MAX
5
11.1 16
DE
10 >14
<10
6
<10
11.2
17
>14
8
<10
14.5
DE 10
DE 10 A
20
>14
98
59
16
53
83
37
11
58
104
MINI
MOY
MAX
MINI
MOY
MAX
MINI
MOY
MAX
2
9.3
20
2
11.4
19
7
15.2
20
A 14
S
DE 10
A 14
14
14.77
14.66
c – Fin de terminale
Tableau 6 : avis donnés pour le baccalauréat
JUIN 2006
SERIE
DFSP
AF
F
TF
TOTAL
L
11
8
7
7
33
S
31
49
42
46
168
Les tableaux 6, 7 et 8 indiquent
une tendance. En effet, tous les
élèves n’ont pas fait le choix d’une
filière sélective et les avis ne sont pas
strictement identiques pour un
même élève, selon la filière choisie.
17
Les élèves qui ont obtenu de bons
résultats n’hésitent pas à faire le
choix d’une filière sélective et la
plupart des autres élèves s’autocensurent.
JUIN 2007
L
3
14
9
7
33
S
49
48
39
27
163
Tableau 7 : avis donnés pour la poursuite d’études en filière
sélective.
Par rapport à l’année précédente
on remarque une plus grande
hétérogénéité des classes de
terminale S : le tableau 7 montre
qu’il y a davantage d’avis très
favorables et d’avis réservés qu’en
2006, donc les écarts se creusent.
JUIN 2006
SANS OPPOSITION
RESERVE
F
TF
TOTAL
L
0
1
6
14
21
S
1
9
15
46
71
JUIN 2007
L
0
0
4
24
28
S
0
17
26
63
106
Tableau 8 : classement par le lycée Charlemagne des élèves de
Charlemagne qui ont
Fait acte de candidature pour une classe de MPSI ou de PCSI.
Le tableau 8 met en évidence
l’écart constaté dans le
tableau 7 : en effet certains
élèves de Charlemagne sont
excellents et placés en tête de
recrutement cette année. Ce
n’était pas le cas en 20052006.
JUIN 2007
MPSI
1 A 10
101 A 500
> 500
NON
TOTAL
CLASSES
PSCI
10
15
6
1 A 100
101 A 500
> 500
12
43
NON
TOTAL
CLASSES
7
6
6
9
28
Tableau 9 : ce tableau recense les élèves classés par le lycée Charlemagne (CHMG dans le tableau) en
MPSI/PCSI et l’établissement dans lequel ils sont effectivement inscrits au 3 septembre 2007, (quelle que
soit la filière dans laquelle ils sont inscrits).
Classement
1 à 10
11 à 100
101 à 300
301 à 600
> 600
CHMG
H. IV
St
Louis
5
2
1
5
2
1
CHMG
1 à 10
11 à 100
101 à 300
301 à 600
> 600
H. IV
1
1
1
2
Louis le
J. de
Gd
Sailly
MPSI (31 classés)
1
Carnot
Voltaire
Université
1
2
1
2
1
PCSI (19 élèves classés)
St
Louis le
J. de
Fénelon
Louis
Gd
Sailly
1
1
3
2
1
1
Condorcet
ENC
PB
CHMG
MPSI
1
1
1
1
1
2
Univ.
1
1
1
1
1
Légende du tableau « PCSI » :
CHMG MPSI : élèves qui ont postulé pour MPSI et PCSI au lycée Charlemagne, admis dans les
deux filières et finalement inscrits au lycée Charlemagne en MPSI.
Chiffres en italique : double candidature MPSI/PCSI. Ces élèves sont déjà recensés dans le
tableau « MPSI ».
Le tableau 9 montre que la moitié des élèves classés parmi les 10 premiers en MPSI restent au lycée Charlemagne, en
MPSI. Globalement, un peu moins de la moitié des élèves classés (13) restent en MPSI à Charlemagne et, parmi les 18
qui s’inscrivent dans un autre établissement, 11 le font dans une section autre que MPSI.
18
3 – RESULTATS AU BACCALAUREAT
Les résultats aux épreuves anticipées du baccalauréat sont présentés au chapitre précédent.
Tableau 1 : évolution sur les dernières années
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
ACADEMIE
FRANCE
2007
L
92%
100%
97%
100%
100%
94%
100%
84.7%
84.3 %
S
84%
85%
89%
91%
90%
91%
89,5%
91%
96%
97%
98%
97%
95.1%
96%
88.7%
86.4%
88.4 %
SERIE
TOTAL
Tableau 2: mentions au baccalauréat
SESSION DE JUIN 2006
SERIE
SESSION DE JUIN 2007
CANDIDATS
ADMIS
TB
B
AB
CANDIDATS
ADMIS
TB
B
AB
33
168
201
31
164
195
1
18
19
7
32
39
9
64
73
33
163
196
33
155
188
4
18
22
8
50
58
15
40
55
L
S
TOTAL
Les résultats au baccalauréat restent nettement au dessus des moyennes académique et nationale. Le
nombre de mentions TB, en forte progression dans la série S l’an dernier se maintien au même niveau.
Tableau 3 : taux bruts comparés aux taux attendus (résultats 2006)
SERIE
TAUX BRUT DE
TAUX ATTENDU
TAUX ATTENDU
L’ETABLISSEMENT
(COMPARAISON ACADEMIE)
94 %
93 %
94 %
(COMPARAISON FRANCE)
91 %
93 %
92 %
94 %
98 %
97 %
L
S
TOTAL
Les taux de réussite en 2006 en S comme en L étaient au dessus des taux attendus. Cette statistique n’est
pas encore disponible pour 2007.
Tableau 4 : notes obtenues au baccalauréat sur un panel de disciplines représentatives de la série
PHILOSOPHIE
SERIE L
SESSION
MOY
12.6
+
18
–
5
3
10.5
18
8
13
18
13.5
+
18
MOY
7
6
10.6
18
5
11
18
MOY
6
LV 1
LITTERATURE
–
–
HIST-GEO
MOY
12.7
+
18
–
8
13.2
+
18
8
13.3
19
4
10.1
16
9
13.7
18
9
12.4
18
2005
SESSION
2006
SESSION
2007
Dans l’ordre : note la plus basse, moyenne (MOY), la plus haute
Tableau 5 : notes obtenues au baccalauréat sur un panel de disciplines représentatives de la série
PHILOSOPHIE
–
MOY
+
SERIE S
SESSION
MATHEMATIQUES
–
MOY
+
PHYSIQUE-CH.
–
MOY
SVT
4
10.0
16
1
10.3
19
4
12.4
+
19
–
4
13.8
+
19
4
10.2
18
4
11.3
19
7
14.2
20
5
13.1
20
3
9.8
19
2
12.7
20
4
13.1
19
5
13.8
19
MOY
2005
SESSION
2006
SESSION
2007
Dans l’ordre : note la plus basse, moyenne (MOY), la plus haute
19
Tableau 6 : notes obtenues aux épreuves facultatives (juin 2007)
DISCIPLINE
NOMBRE DE
NOTE LA
NOTE
PLUS
LA PLUS
BASSE
HAUTE
MOYENNE
CANDIDATS
ANGLAIS
ARTS PLASTIQUES
CINEMA AUDIO VISUEL
ART-DANSE
MUSIQUE
THEATRE.
CHINOIS
1
29
2
6
22
10
5
8
15
18
9
16
13
16
8
11
18
6
11
9
12
8
19
18
14
20
20
19
8
11
7
13
20
1
39
1
17
20
17
17
13
20
13
17
20
20
20
17
Epreuves facultatives : les
points au dessus de la
moyenne, multipliés par 2 ou
par 3 (langues anciennes)
s’ajoutent au total des points
obtenus par le candidat.
Dans
de
nombreuses
disciplines cet apport est très
substantiel au regard des
notes les plus hautes.
EPS-DANSE,
GYMNASTIQUE SPORTIVE,
JUDO, NATATION
GREC ANCIEN
ITALIEN
LATIN
SUEDOIS
Tableau 7 : proportion de bacheliers parmi les sortants
de …
EN JUIN 2006
La première ligne de cet indicateur met en
relation le nombre d’élèves entrés en seconde
SEC-PREM-TERM
82 %
70 %
71 %
et ceux qui quittent l’établissement avec le
TERMINALE
98 %
90 %
95 %
BAC. Il mesure donc les « départs » en fin de
seconde et de première sans le BAC. Bien que l’absence de filière ES dans l’établissement conduise à faire baisser
fortement cet indicateur, le taux de sortie de l’établissement avec le baccalauréat des élèves entrés en seconde se
maintient nettement au dessus de la moyenne académique et nationale.
ETABLISSEMENT
ACADEMIE
FRANCE
Tableaux 8a et 8b : inscription des bacheliers dans l’enseignement supérieur (Source Ravel, juin 2006)
8a
SERIE
CPGE
L
LETTRES
31
4
SERIE
MEDICAL
SUP
UNIVERSITE
AUTRES
NON CONNU
M. A NIVEAU
ARTS
HG
DROIT
LV
PHI
SCIENTIF. ET M. A
PSY
NIVEAU ARTIST.
1
9
3
4
1
1
2
6
8b
S
PCEM
PHARM
164
39
3
CPGE
MPSI/PCSI
16/1 4
UNIVERSITE
BCPST
CACHAN
D
LETTRES
5
4
8
SUPP
COMMERCE
9
DOM. SCIENTIFIQUE /
ARCHI
15/4
DOM.
LITTERAIRE/DROIT/
GESTION
4/7/13
NON
CONNU
23
Les deux tableaux ci-dessus font apparaître une bonne cohérence entre les filières choisies dès la classe de première 1ère(1) et la
poursuite d’études, avec des «reconversions » à la marge en L (une mise à niveau scientifique) ; des « reconversions » à peine
plus importantes en S (7% des élèves se tournent vers des filières littéraires).
Partant de ce constat, peut-on encore affirmer comme une « vérité générale » (au lycée Charlemagne tout du moins), qu’il
est plus judicieux d’orienter en S un élève qui se destine à des études littéraires au motif qu’il aura une plus grande ouverture
dans sa poursuite d’études ?
(1) En effet, les changements de filière entre la première et la terminale sont exceptionnels, de S vers L et non l’inverse.
20
4- CLASSES PREPARATOIRES AUX GRANDES ECOLES (CPGE)
Tableau 1 : origine des élèves
ANNEE 2006-2007
MP
MP*
PC
PC*
TOTAL
MPSI
32
11
43
22
17
2
41
1
16
16
5
38
14
15
5
34
55
30
59
12
156
PCSI
5/2
APPORT EXTERIEUR
TOTAUX
TABLEAU 2 : RAPPEL DES RESULTATS 2006
ECOLES INTEGREES
MP
MP*
PC
PC*
TOTAL
TOTAL
22
33
28
14
97
Tableau 3 :
RÉSULTATS DES CONCOURS SESSION JUIN 2007
MP
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES
ENS Lyon
ENS Cachan
ÉCOLES RATTACHÉES AU CONCOURS DES MINES
INT Télécom
TPE fonctionnaire
IVP civil
CONCOURS CENTRALE SUP-ÉLEC.
Centrale Paris
Sup. Élec.
Centrale Lyon
Centrale Lille
Centrale Nantes
Centrale Marseille
Sup méca
PCP
1
MP
3
1
1
3
1
3
1
1
1
1
2
1
1
1
1
1
PC
1
2
PCP
1
2
1
1
1
1
1
MPM
1
1
2
1
ENSI PHYSIQUE (Concours commun polytechnique)
Toutes écoles
6
ENSI CHIMIE (Concours commun polytechnique)
Chimie Paris
Chimie Nancy
1
TOTAL
1
4
6
ÉCOLES RATTACHÉES AU CONCOURS CENTRALE
IIE
ENSEA
ÉCOLES RATTACHÉES AU CONCOURS DES ENSI
ENSAI (Rennes fonctionnaires)
PC
1
4
ÉCOLE POLYTECHNIQUE - ESPCI
Polytechnique
ESPCI
CONCOURS MINES-PONTS
Télécom Paris
Sup. Aéro.
ENSAE (statistiques)
Mines Nancy
Mines St. Etienne
Télécom brest
MPM
2
1
1
7
1
1
1
2
1
4
1
TOTAL
5
5
1
1
2
5
1
6
1
2
2
1
1
7
4
18
5
1
5
1
1
21
CONCOURS E3A
ESB NANTES
1
1
ESCOM CERGY
1
1
POLYTECH Lille
ESTP
1
4
2
1
6
1
1
25
1
7
98
MAGISTÈRES
Magistère Orsay
ÉCOLES DIVERSES
EDHEC
Autres écoles
1
2
26
CLASSES
Effectif de la classe 06-07
4
28
MP MPM
43
41
TAUX D’INTEGRATION PAR CLASSE
En pourcentage
1
19
PC
PCP
38
34
156
MP MPM PC
PCP
60,47 68,29 50,00 73,53
Les classes préparatoires aux grandes écoles encore une fois ont montré leur qualité par le nombre et le prestige des écoles
intégrées par les Carolingiens.
Il est à noter que la plupart des 5/2 intègre une école, donc que le taux d’intégration final est bien supérieur au taux
d’intégration par classe.
22
ANNEXE 1 – BILAN DE L’ASSOCIATION SPORTIVE
1) Axes forts du projet d'association sportive du lycée Charlemagne 2006-2007 :
– ouvrir les activités de l'association sportive au plus grand nombre ;
– susciter le goût des APSA par des « rencontres » non sportives et non
compétitives ;
– augmenter la rentabilité et la médiatisation de l'Association Sportive par (et
pour) la création d'un « établissement public de remise en forme de proximité »
(E.P.R.F.P.) ; reprenant ainsi une idée formulée par M. Pascal CHERKI, Adjoint au
Maire de Paris chargé des Sports, lors de la promotion de sa politique sportive, au
début de sa mandature.
2) Activités proposées, jours, horaires, installations sur le forfait de 9 heures assumé par
les trois enseignants d’EPS du lycée Charlemagne :
– mardi 17 h - 18 h : salle du bas : M. COISSARD : fitness élèves et adultes ;
– mercredi 13 h - 15 h : salle du bas : M. COISSARD : fitness élèves :
- 15 h – 18 h : salle du haut : M. RICHARD : volley-ball élèves,
- 17 h 45 - 18 h 45 : salle du bas : M. COISSARD : yoga élèves et adultes,
– vendredi 17 h – 19 h : salles du haut et du bas : Mme DEBUISSON : badminton élèves.
3- Bilan des fréquentations et comparatif avec l'année précédente :
Activités sportives
Volley-ball
Badminton
Fitness élèves (nouveau !)
Fitness adultes
Yoga adultes (nouveau !)
Total des fréquentations
Année scolaire 2005-2006
Très peu
27
/
13
/
40 à 45 élèves
Année scolaire 2006-2007
16
43
54
17
36
113 élèves - 53 adultes
4- Bilan comptable global des cotisations :
Activités sportives
Volley-ball
Badminton
Fitness élèves (nouveau !)
Fitness adultes
Yoga adultes (nouveau !)
Total
Nombre de licences
et adhésions
30 x 16
30 x 43
30 x 54
(50 x 11) + (80 x 4) + (60 x 3)
(20x2)+ (50x3) + (60x13) +
(80x 5) + (70)
113 élèves + 42 adultes
Sommes encaissées
par chèque ou espèces
470 €
1290 €
1620 €
1050 €
1440 €
5 870 €
5- Bilan des dépenses de l'année 2006-2007 :
Fournitures et services extérieurs
Achats d'accessoires et de matériel
Dépenses diverses
Frais de gestion bancaire
TOTAL DES DEPENSES
649,78 €
4748,08 €
1294,68 €
114,38 €
6806,92 €
6- Subventions obtenues pendant l'année scolaire 2006-2007 :
Subvention pour l'association sportive attribuée par le service centralisé des sports
1200 €
de la ville (25, boulevard bourdon - 75 004 - PARIS)
Dotation exceptionnelle des fonds du maire du 4ème arrondissement
955 €
TOTAL des subventions 2155 €
23
7- Bilan général et perspectives possibles :
Rentabilité accrue par la création de l'activité fitness élèves et le développement de
l'accessibilité des adultes : achat d'un nouveau matériel lourd (2 vélos ergonomiques, 1
presse à cuisses) ; clôture de l'activité badminton ; à prévoir : ouverture sections natation et
tennis de table, poursuite de l'objectif «établissement public de remise en forme de
proximité», adéquation des activités A.S. à de nombreuses activités figurant aux menus du
Baccalauréat.
ANNEXE 2 – BILAN DU FSE
- Ouverture du CDI dans l’établissement :
– le CDI entretient des relations avec le Foyer Socio-éducatif dont il soutient les actions
en informant les élèves de l’existence des différents clubs ;
– l’atelier théâtre, animé par Gaëtan Peau depuis plusieurs années, a de plus en plus de
participants. Le spectacle de fin d’année, « La Reine Margot » a remporté un vif succès ;
– le projet « Passerelles » se développe. Un séminaire s’est tenu à Paris au mois de
mars, qui a permis de rencontrer nos partenaires israéliens et palestiniens et d’envisager
des travaux sur un thème commun avec nos élèves respectifs ;
– le club des joueurs d’échecs a compté 25 participants ;
– il y a eu six parutions du journal des élèves « Rêvons, c’est l’heure ».
24

le rapport 2006-2007 sur le fonctionnement pédagogique du lycée

Transcription

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