Massacre barbare des bébés phoque, historique et
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Massacre barbare des bébés phoque, historique et
08022006 Massacre barbare des bébés phoque, historique et pétitions Le massacre des bébés phoques continue au Canada. 280.000 animaux ont été abattus l'année dernière, plus de 350.000 cette année ! Source : Noaa Une méthode barbare Les animaux sont abattus à coup de fusil ou massacrés à coup de matraque dans la tête. il serait trop dommage d'abîmer une si belle, une si rentable fourrure ! Bon j'ai trouvé un site canadien qui relate très bien les méthodes barbares de chasse, mais attention, âmes sensibles s'abstenir, j'ai beau voir ce massacre depuis que j'ai 8 ans, je ne peux pas m'y faire : http://protectionanimale.com/seals.htm. Vient ensuite le dépeçage. Des études vétérinaires indépendantes confirment que 42% des bébés phoques sont dépecés vivants. Le gouvernement canadien estime pour sa part que cette méthode n'a rien d'inhumain... Eh bien le gouvernement canadien n'a rien à envier aux peuples d'Asie qui dépècent vivants les chiens !!! Et après on va dire que nous sommes des pays "développés". De quoi, on peut se le demander !!! La suite sur Actu'Nature... La chasse au phoque au Canada La chasse commerciale aux phoques est un exemple parfait d'une crise à l'échelle mondiale. Nous devons mettre fin à cette pratique car les leçons que nous enseigne l'Histoire sont claires : la commercialisation de la faune et de ses dérivés mène à une cruauté excessive et à l'anéantissement des populations d'animaux sauvages, comme c'est le cas présentement pour plusieurs animaux dont entre autres les rhinocéros, les éléphants et les tigres. En continuant à soutenir la chasse aux phoques, le Gouvernement Canadien apporte une crédibilité au commerce international des produits faits à partir d'animaux sauvages. La création de nouveaux débouchés plus larges, pour les produits à base de phoque, serait une menace pour la survie des populations de phoques, non seulement au Canada, mais partout ailleurs dans le monde. Voyons voir quels sont ces produits à base de phoque que l'on trouve près de chez nous, histoire de vraiment nous dégoûter... Le Canada exporte les produits du phoque sous trois formes : la viande, l'huile et les peaux de phoque. Les exportations d'huile et de peaux de phoque ont baissé en 2001, malgré l'augmentation du prix de ces deux produits. Les exportations de viande de phoque ont augmenté en 2001, demeurant toutefois sous les niveaux atteints dans les années 90. En raison de la forte baisse des exportations vers l'Asie, l'Europe est devenue le principal marché pour les peaux et l'huile de phoque. Cependant, l'Asie demeure le principal marché d'exportation de la viande de phoque et pourrait redevenir le principal marché pour tous les types d'exportation de produits du phoque en 2002, si la reprise économique y est suffisante pour rendre ces importations plus attrayantes. Un certain nombre de couturiers bien connus ont employé de la fourrure et peau de phoques dans leurs collections de mode les saisons passées. En employant la peau et la fourrure de phoque pour des accessoires tels que des manteaux, tuniques, robes, chaussures, gilets, et vestes, ces concepteurs fournissent au gouvernement et aux chasseurs canadiens une incitation économique pour continuer la chasse. Liste des Grands Couturiers qui utilisent la peau de phoque : Versace Donatella Versace Versace S.P.A. Headquarters Via Manzoni, 38 Milan ITALY 20121 Phone : 39 02 76 09 31 Fax : 39 02 76 00 41 22 Prada World Headquarters Prada S.P.A. Via Andrea Maffei, 2 20154 Milan, Italy Phone : 39 02 54 67 01 Birger Christensen (Sells all types of seal coats) Østergade 38 DK-1100 Copenhagen K Phone : 45 33 11 55 55 Fax : 45 33 93 21 35 Vous pouvez envoyer une lettre à ces couturiers en demandant qu’ils qui arrêtent d’utiliser la fourrure de phoque. Même si l’utilisation de la fourrure et de la peau de phoque est interdite aux Etats-Unis, ces couturiers continuent à l’utiliser dans leurs collections européennes et internationales. Pour aider à rédiger votre lettre de protestation, voici quelques liens : Facts about the Canadian Seal Hunt 320.000 vont mourir dans le plus grand abattage de phoques du Canada depuis plus de 50 années Source : http://www.veganimal.info/article.php3?id_article=456 Les canadiens et leur rapport à la chasse aux phoques http://www.dfo-mpo.gc.ca/seal-phoque/reports-rapports/study-etude/study-etude_f.htm ATTENTION : UN PRODUIT FAIT À PARTIR D'ANIMAUX SAUVAGES ! L'industrie de la chasse aux phoques commerciale tente de créer un marché canadien pour les capsules d'huile de phoques. Il n'est pas question de les laisser faire ! Soyez vigilant - Ces capsules se retrouvent peut-être sur les étalages d'une pharmacie ou d'un magasin d'aliments naturels près de chez vous. Si un magasin de votre communauté vend ces produits, vous êtes invité à contacter IFAW dès maintenant pour les en aviser au 1-888-500-4329. Les pétitions pour que cette chasse barbare cesse : Pétition On-line de la fondation Brigitte Bardot http://www.30millionsdamis.fr/FR/Dossiers/NosPetitions/Contrelemassacredesbebesphoques/Contrele massacredesbebesphoques.asp Co-Actions campagne contre la chasse au phoque http://www.coactions.net/coactions/phoque.html Pétition On-line de la SPA http://www.spa.asso.fr/action5.htm Gaia Belgique lance une pétition sous forme de "jeu", mais pas pour les enfants http://www.canadianhunter.be IFAW http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=85918 Aidez à mettre fin à la chasse au phoque du Canada http://comite.forum-gratuit.com/viewtopic.php?t=4928 D'autres pétitions anti cruauté sur les animaux (combats de chiens et d'ours, massacre des dauphins et des baleines, et y'en a trop... Zut !!! C'est quoi ce Grrrwruyduifh!!!!!) ) http://www.reseaulibre.net/rage/page4.html http://www.protection-des-animaux.org/ipb/lofiversion/index.php/f4.html L'historique du massacre barbare des bébés phoques. Le déclencheur du mouvement pour le droit des animaux, et ce qui l'a porté à l'attention du grand public, est un curieux concours de circonstances. En 1964, une équipe est chargée de tourner un court métrage destiné à vanter les beautés sauvages du Canada et à promouvoir ses nombreux mérites pour la chasse. Le coup publicitaire ne manque pas d'éclat, sauf qu'il frappe dans le sens tout à fait opposé à celui qu'on espérait. Le spectacle, en effet, est d'une violence à soulever le coeur. Derrière le chasseur solidement campé sur ses jambes et armé d'une puissante carabine, la caméra capte la scène en diagonale. L'homme vise une mère phoque qui protège son petit en le couvrant de sa tête. Le coup de feu se répercute en écho et l'impact sourd de la balle qui pénètre dans le crâne fait tressaillir violemment le corps de la pauvre bête dont la tête éclatée tombe aussitôt sur le bébé inondé de sang. Un gros plan montre les soubresauts de l'agonisante tandis que le blanchon, paniqué, ne cherche qu'à se blottir davantage contre sa mère. Mais ce n'est pas tout. Le film est tourné à l'époque de la chasse commerciale. Armés les uns d'un gourdin, les autres d'une gaffe ( bâton dont une extrémité est munie d'un pic en acier ), les chasseurs courent d'un blanchon à l'autre, frappant à tour de bras. Sur la tête, ou à peu près... Certains bébés ne sont qu'étourdis. Ces vidéos m'ont retourné, et pas que l'estomac, alors que je n'avais même pas dix ans. Mes parents m'ont demandé de quitter le salon, j'ai dit : "Non, je veux savoir". Alors ils m'ont laissé. Je ne suis plus jamais rentré dans une boutique de souvenirs lorsque je partais aux sports d'hiver : elles étaient pleines de gri-gri en peau de bébé phoque. Le rythme est infernal. Un coup de bâton et, vite, le chasseur, avec son pied, tourne le petit sur le dos et, d'un trait de couteau, l'ouvre de la gorge jusqu'à l'anus. Les entrailles fumantes se répandent dans une mare de sang mais déjà l'homme est passé au suivant. Quand il en a éventré un certain nombre, il procède à l'écorchage. Il a été démontré que beaucoup de bêtes, mal assommées, ont été dépiautées vivantes. Le carnage terminé, les carcasses gisent par milliers; on peut presque sentir l'odeur de la mort. De loin, la banquise semble en hémorragie, comme si le sang jaillissait de ces même fissures d'où, peu avant, les mères étaient sorties pour venir donner la naissance à leur rejeton. Ces images soulèvent l'indignation de nombreux Canadiens et les amènent à protester auprès des gouvernements. C'est le début d'un long combat durant lequel on s'emploiera à discréditer les contestataires en les ridiculisant, en les faisant passer pour des illuminés et des manipulateurs de l'émotivité... et de l'image. Parallèlement, le film est présenté en Europe. Partout, il choque profondément, mais c'est en Angleterre qu'il suscite les plus vives réactions et des manifestations sont organisées. La lutte dura vingt ans, ardue. Ce fut une succession de gains et de pertes. Dès le début, toutefois, il s'avéra évident que, pour être efficace, elle devrait se dérouler principalement en Europe. Les motifs: la tuerie avait lieu très loin, les Européens étaient les principaux clients de l'industrie concernée. Chaque année, il faut ranimer le débat, le rappeler à un public qui OUBLIE VITE... Les forces étaient inégales. D'un côté le gouvernement, ardent défenseur des chasseurs, qui faisait preuve d'une mauvaise foi constante et engouffrait plus de millions pour se défendre que ce que lui rapportait le commerce; de l'autre, une poignée de jeunes défenseurs des animaux avec pour seules armes leur coeur et une détermination inébranlable. Le premier Canadien à prendre position et à s'engager activement dans la bataille fut Brian Davies, alors à la SPCA du Nouveau-Brunswick mais qui, pour plus d'efficacité, fonda peu après sa propre organisation pour le bien-être des animaux, l'International Fund for Animal Welfare ( IFAW ). Courageusement, il s'est rendu sur place filmer des reportages, encourant de grands risques afin de faire connaître la vérité. Il fut appuyé de quelques collègues, dont Johana Dupras, de la SPCA de Montréal. Graduellement, plusieurs organisations se sont jointes à lui, tant américaines qu'européennes, ainsi que plusieurs personnes, dont Franz Weber, Paul Watson, Brigitte Bardot et bien d'autres dont le rôle ne doit pas être minimisé. Un des premiers fut le reporter Allain Bougrain-Dubourg, qui a accompagné Davies sur les lieux de la chasse et publié par la suite le livre L'AGONIE DES BÉBÉS PHOQUES, qui raconte cette bouleversante expérience et jette beaucoup de lumière sur l'évolution du débat. Brian Davies a également écrit un livre, SAVAGE LUXURY, où il fait le point, entre autres, sur les tactiques déloyales employées pour le discréditer. Vingt ans après les premières révélations ( en 1983 ), la CEE proclama l'interdiction d'importer de la fourrure de blanchon. Victoire, certes, mais qui a son revers. Beaucoup de personnes croient, en effet, que cette décision a fait cesser toute chasse au phoque. Bien au contraire.. Seule la chasse au blanchon a été interdite. Quand il a perdu sa fourrure blanche, après 10 à 14 jours environ, le jeune phoque n'est plus un blanchon. Sa teinte est différente et il n'est plus protégé. Après un ralenti, la chasse connaît depuis quelques années une escalade et les défenseurs des phoques poursuivent la lutte. Devant une opposition devenue beaucoup plus farouche, le gouvernement se justifie en accusant les phoques d'appauvrir les stocks de morue, privant ainsi des pêcheurs de leur gagne-pain. Sur ce point, de nombreux scientifiques sont formels : on se sert du phoque comme bouc émissaire pour ne pas reconnaître que l'absence de contrôle et la surexploitation sont les véritables causes de cette réduction, avec la pollution. Le professeur David Lavigne, spécialiste en mammifères marins à l'Université de Guelph ( Ontario ) déclare que les phoques «mangent rarement de la morue, et qu'une étude du contenu d'estomacs de phoques du Groenland - l'espèce à laquelle appartient le blanchon a révélé que moins d'un pour cent avaient mangé de la morue.» Ce qu'il faut dire, c'est que, même si la chasse au blanchon est interdite, la méthode de chasse, après enquête, a été reconnue ( par les gouvernements ) non cruelle. Pourtant plusieurs vétérinaires se sont rendus sur les lieux et ont pratiqué des examens et autopsies. Entre autres Dr Elizabeth Simpson, qui est CATÉGORIQUE: des bébés phoques sont écorchés vivants. La méthode consiste à frapper le jeune derrière la tête, ce qui peut le rendre inconscient ou le tuer sur le coup. Dans plusieurs cas, cela réussit, mais le risque d'échec est grand. Tout en constatant certaines fractures du crâne, qui l'amènent à déduire que ces animaux ont été tués par coup porté derrière la tête, Dr Simpson ajoute «Il semble bien toutefois que c'est une manière peu sûre de s'y prendre pour tuer un jeune phoque car, dans la région du cou, les vertèbres sont recouvertes de muscles et d'une couche de graisse sous la peau d'une épaisseur de 5 à 7,5 cm selon la taille et l'âge de l'animal, ce qui amortit considérablement le coup». Parmi ses observations, elle note également que, lorsque les chasseurs sont surveillés, les coups sont portés avec plus de précision que lorsqu'ils sont laissés sans surveillance. Elle explique en outre un phénomène observé chez beaucoup de blanchons qui, en réaction de défense, se rentrent la tête dans les épaules et s'immobilisent, paralysés de terreur. «Dans ces conditions, on peut faire n'importe quoi à cet animal sans qu'il bouge.» Il faut ajouter à cela que la trace de couteau sur le ventre représente le signe d'appropriation de l'animal par les chasseurs. Sans cette marque, le blanchon n'appartient encore à personne. Mais un autre facteur contribue à expliquer cette cruauté. En effet, il est impossible de croire que les chasseurs sont de purs barbares. Allain Bougrain-Dubourg décrit, dans l'Agonie des bébés phoques, une scène qu'il a pu observer et qui explique peut-être comment la désensibilisation peut intervenir dans le jeune âge : « Les écoliers des Îles-de la-Madeleine se précipitent après l'école pour tuer les phoques. Sautant de bloc de glace en bloc de glace, les enfants que virent les observateurs semblaient tellement excités par la chasse que tout bébé phoque rencontré était tué à coup de poing et de pied! Ce sont les seules armes que connaissent ces tueurs, trop jeunes pour manier les lourdes "battes".» Et la mère, dans tout ça ? Celle que l'on réduit à l'état de machine qui vient renouveler la ressource, pense-t-on à sa souffrance ? Des témoins ont observé des scènes déchirantes de mères gémissant près de la carcasse de leur petit. Allain Bougrain-Dubourg parle d'elles: La femelle met au monde un seul petit, très rarement deux. Les rapports de chasseurs faisant état de deux ou trois petits pour une femelle viennent de l'habitude, en l'occurrence pathétique, qu'ont certaines femelles d'allaiter des orphelins. Le fait qu'une mère n'ait qu'un seul petit présente beaucoup d'importance du point de vue psychologique. En effet, si la «cueillette» systématique d'animaux sauvages nouveau-nés est déjà odieuse en soi, elle l'est davantage lorsqu'il s'agit d'un enfant unique. Tout l'amour maternel ( et pour certaines espèces qui vivent en couples, l'amour paternel ! ), l'attention, la sollicitude, les soins, tout ce qui, en un mot, remplit la vie d'une mère mammifère, est centré sur cet unique bébé. Il devient l'objet d'une tedresse qui fait partie de la structure psychologique de la mère, au même titre que la mise bas et l'allaitement font partie des ses caractères physiologiques. La mort de ce petit, devenu pour quelques semaines la raison de vivre de la mère, amène celle-ci à un état de détresse qui la pousse à se conduire comme le ferait n'importe quelle mère humaine folle de douleur : on en voit monter la garde à côté des cadavres écorchés de leurs petits et, en gémissant, tenter de les réchauffer. Les caméras les ont, filmés poursuivant le tueur pour tenter de lui reprendre la peau du bébé. Ces images, d'une intensité poignante, disent assez combien l'enfant d'un phoque lui est précieux et sa mort insupportable. Tout cela n'est nullement une exagération anthropomorphique. D'abord, il existe entre tous les mammifères sauvages des tendances psychologiques voisines ou semblables. De plus, la mère phoque, la tigresse ou la biche, comme la mère humaine semblent aimer tendrement leur bébé au moins jusqu'au sevrage et parfois au-delà. Enfin, les très sérieuses recherches sur la psychologie animale, qui prennent de plus en plus d'importance pour la connaissance des animaux ( avec comme chef de file Konrad Lorenz, prestigieux prix Nobel ) nous prouvent que les émotions, et les comportements de l'animal ne sont, pas plus que les nôtres, les instincts aveugles d'une sorte de mécanique. Dans l'horreur que représente la bastonnade à mort d'innocents nouveau-nés, il n'y a donc pas que le supplice, il y a aussi le désespoir de leur mère. À ce propos, certains défenseurs de la chasse accusent les mères phoques d'abandonner leur bébé à la première alerte. Il faut tout de suite faire un sort à cette accusation tendancieuse: quand le bébé phoque du Groenland - le plus chassé - vient au monde, sa fourrure est ivoire très jaune. Pendant les quelques jours où il est ainsi, bien visible pour les prédateurs, la mère le défend, ne le quitte à aucun prix, donnant sa vie s'il le faut. Mais dès que le poil du blanchon devient blanc, et qu'il se confond avec la glace et la neige, la mère a tendance à fuir en effet, à la moindre menace: c'est que le bébé phoque a plus de chance d'échapper à ses ennemis en se fondant dans le décor que si sa mère, elle bien visible, reste à ses côtés, attirant ainsi l'attention. En fait, elle se tiendra à distance, surveillant avec angoisse ce qui arrive. Ce n'est que lorsqu'on écorche le bébé qu'elle accepte de revenir pour tenter d'arrêter le chasseur. Sa fuite n'était donc qu'une manoeuvre pour sauver son bébé. Année après année, à chaque naissance, à chaque maternité, le même enfer. Continuez la lutte pour que cesse ce massacre Si ça, c'est pas l'enfer pour ces animaux ... Je préfère poster des photos de phoques prises par des photographes animaliers. Mais nous ne pouvons pas rester indifférents à cette barbarie qui dure depuis trop longtemps. Certes, les phoques ne sont pas les seuls à subir ce "phénomène" de massacre en masse, mais le propos du blog n'est pas de recenser tous les massacres des animaux. Simplement, ce celui-là a été chez moi le déclencheur alors que j'étais toute petite. Et malheureusement, il faut encore en parler. Heureusement, tous les canadiens ne sont pas des sauvages !!! Sources: Pas de caméras S.V.P http://www.geocities.com/protectionanimale/seals.htm Chasse aux phoques IFAW http://chasseauphoque.ca/homepage/index.stm Références: Livre: Hurlements de Marcel Duquette des éditions Michel Quintin Canadiens et Canadiennes Contre la Chasse Aux Phoques Commerciale