présente en 1ère mondiale le Concerto n°1 Opus 27 pour piano et

Dossier de presse
présente en 1ère mondiale le Concerto n°1 Opus 27
pour piano et orchestre de Marc Mignon
Vendredi 3 juin à 20h30
Palais de la Musique et des Congrès de Strasbourg
Contact presse Aurèle in the city – Aurélie – 06 15 15 56 48 – [email protected]
CONCERTO N°1 OPUS 27 POUR PIANO ET ORCHESTRE
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Dossier de presse
Rach 3 - Productions, producteur d’albums et organisateur de spectacles, dévoile en 1ère mondiale le
Concerto n°1 Opus 27 pour piano et orchestre du compositeur strasbourgeois Marc Mignon.
Florilège de couleurs qui ont marqué la fin du XXe siècle (musique de film, pop, variété, jazz, musique
contemporaine) au service du soliste Francis Wirth en discours perpétuel avec l’orchestre, la création de Marc Mignon emporte l’auditeur dans un lyrisme pianistique au service du son plutôt que de
la technique instrumentale. Accompagné par 59 musiciens de l’Orchestre symphonique Bel’Arte de
Paris dirigé par Richard Boudarham qui joue de sa multitude de timbres amplifiant ainsi la narration, le
Concerto n°1 Opus 27 s’articule autour de deux pensées : « le plaisir mélodique d’une musique contemporaine mais populaire et la recherche d’émotions à travers différents climats d’une musique populaire et
contemporaine » (Denis Bioteau, arrangement, orchestration, direction artistique).
Marc Mignon s’est depuis longtemps lancé dans l’écriture d’un concerto pour piano et orchestre… Un
travail de longue haleine dont la concrétisation sur la scène du Palais de la Musique et des Congrès
de Strasbourg sera précédée par l’interprétation grandiose de l’Orchestre symphonique Bel’Arte des
musiques de films au succès mondial. Quatre pièces introduites par le célèbre Prélude de Carmen dont
l’opéra a été créé le 3 mars 1875 à l’Opéra-Comique. Une 1ère partie qui se clôturera avec une des
œuvres musicales les plus jouées dans le monde : le Boléro op 81 de Maurice Ravel.
L’occasion pour le grand public de se familiariser à la musique classique (ou grande musique) parfois
abordée avec appréhension mais dont la popularité de certaines créations témoigne d’un véritable
engouement collectif !
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AU PROGRAMME
Musiques de films
Prélude de Carmen, Georges Bizet
Indiana Jones et le Temple Maudit, John Williams
E.T l’Extraterrestre, John Williams
Star Wars, La marche impériale, John Williams
Star Wars, Thème principal, John Williams
Boléro op 81, Maurice Ravel
Entracte Concerto n°1 Opus 27 pour piano et orchestre, Marc Mignon
4 pièces :
Petite Valse pour Adèle
Petite Valse pour Lucie
2e Mouvement de la sonate opus 17
Suite pour piano « La Cathédrale de Strasbourg »
Marc Mignon, compositeur
Francis Wirth, piano
Richard Boudarham, chef d’orchestre Bel’Arte de Paris
Denis Bioteau, arrangement, orchestration, direction artistique
I N F O S P R AT I Q U E S
Concerto n°1 Opus 27 pour piano et orchestre de Marc Mignon
Vendredi 3 juin 2016 à 20h30
Palais de la Musique et des Congrès (entrée Erasme)
Place de Bordeaux, Strasbourg
Tarifs
1ère catégorie plein tarif 42 € • Tarif réduit 37,80 €*
2e catégorie plein tarif 36 € • Tarif réduit 32,40 €*
3e catégorie plein tarif 24 € • Tarif réduit 21,60 €*
*Tarifs réduits pour les chômeurs, les enfants de moins de 12 ans et les étudiants.
Billets en vente à la Fnac, en caisse du soir ou par tél. 03 67 68 01 03.
Contact presse Aurèle in the city – Aurélie – 06 15 15 56 48 – [email protected]
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Marc Mignon, compositeur
(7 novembre 1955)
Marc Mignon contribue à sa manière à la recherche d’une
nouvelle conception de la musique. Il est parfaitement possible de cerner chez lui les expériences marquantes de son
enfance et de sa jeunesse qui laissent une empreinte forte
sur sa motivation intérieure et sa véritable passion pour la
création musicale.
© JP Eichert
Très inspiré par la musique de Frédéric Chopin, Franz Liszt
et Sergueï Rachmaninov, il s’attache cependant à conserver son propre style en écrivant des partitions de plus en
plus éclectiques. S’appuyant sur des harmonies puissantes
et généreuses, Marc Mignon y insère des lignes mélodiques
d’une infinie pureté. Ses compositions, reflet de sa nature
hypersensible et tourmentée, sont très personnelles et la
preuve d’un lyrisme intemporel.
En janvier 2012, il rencontre le pianiste concertiste Francis Wirth et très vite une grande complicité
s’installe entre les deux artistes. Ainsi en novembre de la même année, ils décident d’enregistrer à Paris
un album comportant plusieurs de ses compositions. « Francis Wirth plays Marc Mignon » est un enregistrement très éclectique, dont la pièce maîtresse est la sonate opus 17, empreinte d’une coloration
particulièrement romantique. 4 préludes, 2 nocturnes et une valse élégante complètent l’ensemble des
œuvres de ce premier album.
Un an plus tard, en décembre 2013, Marc Mignon fait la connaissance d’un autre pianiste, Éric Artz. Le
compositeur strasbourgeois lui présente ses dernières créations et un deuxième album est enregistré
au studio Davout à Paris sous les doigts du jeune virtuose : trois préludes opus 5 présentant des
lignes mélodiques très pures basées sur des harmonies très puissantes, trois valses particulièrement
délicieuses et une fantaisie romantique.
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Richard Boudarham,
chef d’orchestre Bel’Arte de Paris
(7 février 1957)
Professeur titulaire, Diplômé d’Etat, passionné de pédagogie, Richard Boudarham enseigne la clarinette et la musique
de chambre pendant plus de 27 ans au Conservatoire National d’Issy les Moulineaux avant de se consacrer, exclusivement, à la direction d’orchestre.
Richard Boudarham est un des premiers chefs d’orchestre
à avoir organisé en France dans les années 90 les concerts
Boutchou pour les enfants de 6 mois à 3 ans.
Parallèlement à ses études universitaires, il suit l’enseignement de René-Pierre Chouteau et de Sergiu Celibidache. Au
cours de plus de 400 concerts, sa personnalité charismatique et volontaire lui permet de construire une formation
de plus en plus appréciée, tant en France qu’à l’étranger. L’Orchestre symphonique Bel’Arte a accompagné des artistes
tels que Igor Oistrakh, Aldo Ciccolini, Yury Boukoff, le chœur du Carnegie Hall de New-York, Rolando
Villazon, Sumi Jo, Patrice Fontanarosa... Richard Boudarham a également, entre autres, dirigé le
concert du 60e anniversaire de l’UNESCO à Paris, le «Requiem» de Mozart au prestigieux Carnegie Hall
de New-York avec les solistes du Metropolitan Opera, «L’Italienne à Alger» d’abord à l’Unesco à Paris
puis à l’Avery Fisher Hall de New York, le grand concert d’ouverture des Jeux Olympiques d’Asie en
Chine en 2010 ainsi que les opéras «Cosi fan tutte», «La Flûte enchantée» et «Don Giovanni» de Mozart,
«Mireille» de Gounod, «Le Barbier de Séville» de Rossini...
Passionné de musiques de films, Richard Boudarham collabore depuis une vingtaine d’années avec de
célèbres compositeurs. Il enregistre notamment des musiques originales de Philippe Rombi « Sous le
sable», « Potiche » avec Catherine Deneuve ainsi que tous les films de Dany Boon « Bienvenue chez les
Chtis », « Rien à déclarer » et « La maison du bonheur » et récemment la musique du film « Frantz » de
François Ozon dont la sortie est prévue courant 2016.
L’Orchestre Bel’Arte a également enregistré des musiques originales de films dont « Comme une
image » d’Agnès Jaoui, « Jeux d’enfants » de Yann Samuel avec Marion Cotillard, « La fille de Monaco »
avec Fabrice Luchini, « La nouvelle guerre des boutons » de Christophe Barratier et tout récemment un
« Un moment d’égarement » avec Vincent Cassel, « Le grand partage » d’Alexandra Leclère…
N’oublions pas le célèbre « Napoléon Symphonique » de Serge Lama avec 75 musiciens et 130 choristes
que Richard Boudarham a dirigé en mai 2014 au Théâtre d’Orange avec le compositeur Yves Gilbert au
piano (concert qu’il reprendra en 2017 à Paris). Le 19 novembre prochain, « Les plus belles comédies
musicales françaises symphoniques » seront interprétées à Paris sous sa direction.
En 2017, plusieurs représentations de « La Traviata », l’opéra de Verdi, sont déjà prévues.
L’Orchestre Symphonique Bel’Arte a enregistré plus d’une trentaine de Cds et DVDs.
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Francis Wirth, pianiste
(6 juillet 1963)
Francis Wirth effectue l’ensemble de ses brillantes études
musicales au Conservatoire de Musique de Strasbourg où
il bénéficie de l’enseignement de Françoise Cochet, l’élève
d’Yves Nat. Entre 1979 et 1982, il remporte 5 premiers prix :
piano, déchiffrage, formation musicale, acoustique et musique de chambre et obtient plusieurs mentions dans les
disciplines d’analyse, d’histoire de la musique, d’accompagnement et d’harmonie.
De 1988 à 1992, il profite des conseils précieux du
pianiste François-René Duchâble. Cette collaboration lui
apporte une maîtrise technique plus affirmée ainsi qu’un
travail de réflexion musicale important qui débouche sur une
interprétation plus profonde et pensée.
Titulaire du Diplôme d’État de professeur de piano et du diplôme de professeur d’enseignement artistique, il est actuellement enseignant à l’Ecole de Musique de Haguenau. Invité de prestigieux festivals
dont Musica (de 1988 à 2008) à Strasbourg et Ploemel en Bretagne, on a pu également l’entendre en
Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Italie et en Hongrie où il se produit régulièrement en qualité
de soliste ou en formation de musique de chambre. Son répertoire s’étend de la période baroque à la
musique contemporaine.
Francis Wirth interprète pour la première fois le concerto n°1 Opus 27 de Marc Mignon sur la scène du
Palais de la Musique et des Congrès le 3 juin 2016.
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Denis Bioteau, orchestration
(25 février 1964)
Compositeur, arrangeur, et orchestrateur polyvalent, Denis
Bioteau est spécialisé dans l’écriture pour les moyennes et
grandes formations (combo, big band, orchestre symphonique).
Après des études au Centre d’Informations Musicales de
Paris (CIM) auprès d’Ivan Jullien et Derry H (obtention d’une
médaille d’or de composition, d’arrangement et d’orchestration Jazz), il se perfectionne auprès de Patrice Sciortino
(1er prix d’orchestration et de composition) et complète
sa formation aux côtés de Dominique Rouits en direction
d’orchestre à l’École Normale de Musique de Paris.
Créatif, passionné et pédagogue, il a suivi un parcours à
la fois exemplaire et atypique recherchant la connaissance
aussi bien dans le domaine classique que dans celui du jazz et de la pop. Ses influences ? Quincy Jones,
Claude Debussy, Gustav Holst.
Sa maîtrise des timbres et des colorations sonores le dirige naturellement vers l’univers du théâtre, de
la publicité et du cinéma, des domaines où la capacité à traduire des émotions en musique est particulièrement importante. Il compose et arrange des musiques pour divers spectacles avec big band (Smaïn
et l’Atomic Big Band, Zéphir, Caravansérail) et fonde le Niss’Arte Big Band avec lequel il se produit
dans de nombreux festivals (Nice Jazz Festival, festival de Juan-les-Pins…).
Titulaire d’un master en Composition obtenu au Conservatoire Royal de Liège, il est également lauréat
de plusieurs prix nationaux en composition et en orchestration (Sacem, Trophées du Jazz de la Côte
d’Azur).
Après avoir enseigné la composition, l’arrangement et l’orchestration au CIM de 1990 à 2004, et en
marge de ses activités de professeur, avoir été expert musical auprès de La Cour d’Appel de Paris de
2012 à 2015, Denis Bioteau partage actuellement son savoir chez Musik Lab à Paris.
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