principales missions opérationnelles politique energetique

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principales missions opérationnelles politique energetique
Communauté urbaine Brest métropole océane
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
POLITIQUE ENERGETIQUE
Missions
La Division Energie, mise en place fin 2007, est le service pilote de la programmation énergie-climat.
Sa mission étant transversale, elle n’est pas dimensionnée pour se substituer aux différents services
dans les domaines qui les concernent mais pour les assister et évaluer l’aspect Energie de leurs
activités.
Le comité de pilotage énergie se réuni de façon mensuelle et permet d’être un lieu d’information de
l’actualité énergétique et de validation d’orientation notamment pour le schéma directeur du réseau de
chaleur.
Actions en cours
La Division Energie présente les rapports d’activité des concessions des réseaux de distribution de
l’électricité (ERDF) et du gaz naturel (GRDF).
Dans le cadre de la prise en compte de l’efficacité énergétique, des énergies renouvelables et de la
qualité environnementale dans les projets immobiliers de la collectivité, plusieurs actions ont été
menées :
- participation à l’élaboration des cahiers des charges en matière d’énergie,
- formulation d’avis sur des projets, information des directions concernées sur les possibilités de
solliciter des aides complémentaires dans le cadre d’appels à projets,
- acquisition des Certificats d’Economie d’Energie.
- assistance à la Direction patrimoine et logistique pour accentuer la prise en compte de
l’énergie des la programmation.
- collaboration avec le service habitat pour définir la politique Habitat/Energie
Sur le volet aménagement, la division participe à des ateliers thématiques pour la prise en compte des
objectifs énergétiques en amont des opérations d’aménagement (Plateau des capucins, la Fontaine
Margot,)
.
La division Energie participe à la Conférence régionale de l’énergie, qui a pour objet d’examiner la
situation de la Bretagne face aux pointes d’appel de puissance sur le réseau de transport d’électricité
en vue de proposer ensemble d’actions efficaces sur la maitrise de la demande d’énergie, la mise en
œuvre d’unités de production électrique par énergie renouvelable et si nécessaire une unité de
production d’appoint à partir de combustible fossile. Cette prise de position a amené la collectivité à
s’engager cet hiver dans le dispositif d’alerte Ecowatt avec action de réduction des appels de
puissance électrique sur l’éclairage public et le process sur l’eau potable.
Moyens
En 2010, la division est constituée d’un responsable de service et d’un ingénieur en apprentissage
pour 1/3 temps. La division est assisté par l’Agence locale de l’énergie Ener’gence.
Projets
Energies renouvelables
Une évaluation du potentiel et de la rentabilité de différentes sources d’énergies renouvelables a été
réalisée notamment l’éolien. Une première analyse cartographique a permis de délimiter un secteur
adéquat. Sur le photovoltaïque, des projets sont retenus notamment pour le groupe scolaire du pilier
rouge et le dépôt du tramway, une analyse macro sur le patrimoine existant met en évidence le
potentiel à installer. Une réflexion est portée sur la forme de structure juridique pour les projets
photovoltaïque avec la création d’une SEM.
Communauté urbaine Brest métropole océane
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
POLITIQUE ENERGETIQUE
(suite)
Réseaux de chaleur
Les réseaux de chaleur constituant des outils majeurs en matière d’efficacité et de diversification des
sources de production de chaleur et d’électricité, c’est un axe majeur de la politique énergétique de la
collectivité. Un schéma directeur du réseau de chaleur est en cours avec pour objectif de doubler la
capacité thermique du réseau. Des clients potentiels ont été identifiés. Ce projet nécessite le
renforcement de la production de chaleur ainsi notre SEM SOTRAVAL avec l’appui de la collectivité
dépose un projet de cogénération biomasse dans le cadre de l’appel à projet CRE3 qui a été retenu
début 2010. La chaufferie devra être mise en service pour septembre 2012. La Division Energie est le
contact particulier de l’ADEME. Le management de projet est assuré en transversalité avec la
direction des déchets (direction opérationnelle du réseau de chaleur) et la mission ingénierie de la
DG.
Vers le plan climat
Le profil énergétique a été largement présenté aux élus et à l’ADEME. La collectivité signe la
convention des maires d’Europe et s’engage à poursuivre les objectifs dit des 3*20 : diminution de
20% des consommations, de 20% des émissions de gaz à effet de serre et développement des
énergies renouvelables pour atteindre 23 %.
……………………….Communauté urbaine de Dunkerque……………………….
PRINCIPALES MISSIONS OPERATIONNELLES
ENERGIE
Missions


Organiser et contrôler les services publics de distribution d’électricité et de gaz naturel.
Bâtir et développer une politique énergétique durable sur le territoire.
OBJECTIFS


Accroître la connaissance, la qualité, la sécurité et le contrôle des services publics de
distribution d’énergie en faveur des usagers finaux.
Intensifier la diversification de l’offre énergétique en valorisant les ressources locales et en
soutenant des projets pilote : inciter à une meilleure maîtrise de la demande énergétique
(MDE) et renforcer l’efficacité énergétique ; réduire les gaz à effet de serre et améliorer la
qualité de l’air.
Budget annuel

3 M €.
Projets






Maîtrise d’Ouvrage des travaux d’intégration des réseaux électriques aériens dans
l’environnement (6,5 Km par an).
Actions d’utilisation rationnelle de l’énergie dans les bâtiments Communautaires : réduction
de 10 % des consommations, audit énergétique du patrimoine, développement de l’énergie
solaire thermique pour l’eau chaude sanitaire, sensibilisation des agents communautaires,
acquisition d’un logiciel de gestion énergétique.
«Réflexénergie Dunkerque Grand Littoral» : action de sensibilisation de la population et
des maîtres d’ouvrage à l’utilisation rationnelle de l’énergie. Après la réalisation d’une
cartographie des déperditions thermiques des bâtiments par détection infra-rouge, un
dispositif d’aides (variable en fonction des revenus) aux travaux de performance énergétique
a été créé en 2006 (isolation thermique, énergie solaire et chauffage performant). Deux
agents Communautaires assurent des conseils auprès des propriétaires de logements
individuels ou collectifs, de bâtiments tertiaire public et privé. Un guichet et un numéro
d’appel uniques ont été créés. Partenariat actif avec les fournisseurs d’énergie et les
magasins de bricolage, artisans, etc...
Audit technique et financier du patrimoine concédé à EDF et GDF.
Expérimentation de bus Hythane fonctionnant au gaz naturel enrichi d’hydrogène produit à
partir de sources renouvelables. Projet ALTHYTUDE en partenariat avec Gaz de France
Suez.
Organisation des Assises nationales de l’énergie et du climat des Collectivités Territoriales.
……………………….Communauté urbaine Lille Métropole……………………….
AUTRES MISSIONS
COOPERATION TERRITORIALE, PROJETS ET PARTENARIATS EUROPEENS
Missions de la Direction de l’Eurométropole et des Partenariats européens
Coopération territoriale :
-
-
Contribuer à la vision stratégique de Lille Métropole, au cœur de la plus importante métropole
transfrontalière d’Europe
Assurer le suivi des différents partenariats de coopération ou de gouvernance supraterritoriaux auxquels Lille Métropole est impliquée : l’Eurométropole Lille – Kortrijk – Tournai
(premier GECT en Europe), l’Aire Métropolitaine, ou tout autre dispositif de coopération
métropolitaine euro-régionale. Veiller à la bonne articulation des échelles territoriales.
Assurer l’interface entre les différents acteurs politiques et techniques des territoires
transfrontaliers pour participer à la définition d’une stratégie de développement et à la
naissance de projets innovants;
préparer et favoriser l’implication des élus aux instances de gouvernance de l’Eurométropole ;
développer une expertise et assurer la veille sur le territoire transfrontalier ;
mobiliser les directions techniques de Lille Métropole et assurer leur coordination au sein de
projets transfrontaliers d’intérêt métropolitain et au sein des groupes de travail de
l’Eurométropole ou de l’Aire Métropolitaine de Lille;
définir et porter des projets stratégiques pour l’Eurométropole et l’Aire Métropolitaine ;
contribuer au rayonnement et à la visibilité européenne de l’Eurométropole, notamment en
développement des échanges et projets avec d’autres aires urbaines transfrontalières.
Projets et Partenariats européens :
-
Favoriser l’intégration des politiques et projets de Lille métropole dans des politiques ou
programmes européens pour faciliter leur mise en œuvre (soutien financier, lobbying) et les
rendre visibles au niveau européen
Organiser et/ou assurer la représentation de Lille Métropole à l’occasion d’évènements
européens ciblés ;
Sensibiliser en interne sur les enjeux et politiques européens
développer des échanges politiques et techniques réguliers avec des partenaires de l’Europe
du Nord-ouest ;
Développer une « culture recettes » européenne au sein de la Communauté urbaine
Budget annuel 2009 (fonctionnement)
Dépenses : 636 518 euros
……………………….Communauté urbaine Lille Métropole……………………….
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
CULTURE
Missions
1. Soutenir le développement de structures culturelles de rayonnement métropolitain
 par son implication dans l’EPCC de l’Opéra de Lille, la Condition Publique (Roubaix),
l’association Orchestre National de Lille,
 le repositionnement et la restructuration de l’ancien musée d’art moderne sous le nom de LaM.
2. Développer et coordonner les réseaux de structures culturelles à la dimension de l’Eurométropole
Lille Kortrijk Tournai :
 par l’émergence du réseau des Fabriques Culturelles (parmi lesquelles les maisons Folie),
 le réseau des grands lieux d’art de la métropole (Palais des Beaux Arts de Lille, La Piscine
Roubaix, LaM Villeneuve d’Ascq, MUba Eugène Leroy et Le Fresnoy studio national des arts
contemporains à Tourcoing),
 l’impulsion d’une réflexion sur les services publics culturels de base que sont l’accès à
l’information et la documentation (réseau de lecture publique) et l’enseignement musical.
3. Impulser et/ou coordonner des grands évènements culturels :
 Par la commande de manifestations culturelles ou semi culturelles à de grands opérateurs type
Lille 3000.
 Par la coordination de manifestations culturelles d’envergures.
4. Développer l’offre culturelle sur les différents territoires de Lille métropole
 Par le développement de partenariats sur projets avec les structures culturelles locales.
Budget annuel 2009 : 10.11 M€
Interventions sur équipements : 5.734 M€
 LaM : 2.19
 Condition Publique 0.654
 Opéra de Lille 1.830
 ONL 1.06
Interventions sur évènements : 0.9 M€
 Lille 3000 0.9
 Réseau conservatoires 1.5
 Réseau équipements structurants 0.7
 Réseau danses et musiques 0.1
 Aide à la culture 1.0
 Donation Eugène Leroy 0.1
 Divers 4.383
Actions
1. Réalisation du chantier d’extension et rénovation du musée d’art moderne lille
métropole : ouverture du LaM le 25 septembre 2010
2. Préparation avec Lille 3000 de l’opération Fantastic 2012
3. Réalisation de Lille[art]XXL rendez vous capital de la culture durant l’automne 2010
4. Mise en place d’outils de communication culturelle d’envergure Euro-métropolitaine :
gamme Lille MAP (Métropolitan Art Program)
5. Engagement d’études sur :


Les pratiques culturelles des habitants de la métropole avec l’Observatoire des
Politiques Culturelles de Grenoble
L’offre de prestation des grands lieux d’art de la métropole en partenariat avec
l’EDHEC Business School
……………………….Communauté urbaine Lille Métropole……………………….

Engagement automne 2010 d’un diagnostic
documentation et d’information de la métropole.
stratégique
sur
l’offre
de
Projets



Mise en place d’un dispositif permettant aux communes de moins de 15 000 habitants de
diffuser dans leurs propres équipements, dans un format adapté, avec une péréquation
financière communautaire, les spectacles des grandes institutions culturelles
métropolitaines.
Engagement de la réflexion sur la création d’une Médiathèque d’Intérêt Métropolitain.
Création d’un EPCC LaM.
……………………….Communauté urbaine Lille Métropole……………………….
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
ESPACES NATURELS
Missions
Lille Métropole a affirmé, dès novembre 2000, sa volonté de coordonner sur son territoire les
différents espaces participant à l’Espace Naturel Métropolitain. Elle a donc pris, le 1er octobre 2002, la
compétence « Valorisation du patrimoine naturel » et repris les projets portés par les syndicats mixtes
et intercommunaux.
Cette nouvelle compétence Espace Naturel Métropolitain s’articule autour de :
 La préservation et la valorisation des milieux naturels et des paysages dans un esprit de
développement métropolitain durable ;
 L’ouverture au public d’espaces de nature et de loisirs.
Dans un souci de proximité et afin de favoriser le dialogue avec les 40 communes actuellement
concernées et les acteurs locaux, il a été créé un outil de gestion unique (le Syndicat Mixte Espace
Naturel Lille Métropole) dont l’objet est de développer, gérer et animer les territoires constitutifs de
l’Espace Naturel Métropolitain.
Lille Métropole intervient directement (maîtrise d’ouvrage communautaire) sur les sites reconnus
d’intérêt communautaire en collaboration avec les autres collectivités ou avec ses partenaires :
- Prospections : Réaliser ou faire réaliser des études nécessaires à la mise en place de ses
projets et au développement ; suivi des territoires gérés (inventaires, études d’aménagement, …).
- Maîtrise de l’espace : Mise à disposition à titre gratuit des terrains communaux, acquisitions
foncières, conventions de superposition de gestion, conventions avec les propriétaires publics ou
privés pour mettre en place des programmes de gestion raisonnés.
- Investissement : Construction de bâtiments, aménagement d’espaces, mise en place des
signalétiques.
- Entretien : Maintenir en état les investissements réalisés et assurer la sécurité et la qualité des
milieux naturels ; l‘animation et l’entretien sont confiés au syndicat mixte Espace Naturel Lille
Métropole
- Sécurité et information : sensibilisation à l’environnement au public.
- Promotion et communication : Assurer la promotion des espaces aménagés (animation confiée
au Syndicat Mixte Espace Naturel Lille Métropole).
Budget annuel (compte administratif 2009)
Investissement : 4 757 406 €
Fonctionnement : 6 990 181 €
Actions novatrices
La notion de parc agricole : l’agriculture, comme mode d’occupation de l’espace et comme activité
économique, conserve une place importante au sein des grands parcs en cours de réalisation.
La politique Espace Naturel Métropolitain a créé les bases de la confiance avec le monde agricole.
Les exploitants sont associés aux projets, un réseau de vente à la ferme a été créé et une aide au
paysagement des exploitations est apportée.
Un 1er projet complètement axé sur la notion de parc agricole, la plaine des Périseaux, est en cours de
réalisation.
Projets

Bâtiment Haute Qualité Environnementale :
Création d’un bâtiment technique à VILLENEUVE D’ASCQ :
Il s’agit de construire un bâtiment à faible consommation énergétique respectant les 14 cibles de
la Haute Qualité Environnementale, exclusivement réservé à l’équipe technique d’entretien du
……………………….Communauté urbaine Lille Métropole……………………….
territoire du Val de Marque et au stockage de matériels nécessaires à l’entretien et la gestion des
sites Espace Naturel Métropolitain.
Coût estimé : 654 200 € HT
Centre d’interprétation faune-flore à Santes :
Aménagement de la ferme Montblond à Santes en centre d’interprétation de la faune et de la
flore.
Coût estimé : 1.9 M € HT

Requalification écologique et ouverture au public :
Val de Lys :
Axé sur la revalorisation écologique des bords de la Lys et espaces attenants (anciens terrain de
dépôt VNF, prairie humide), ce projet fait l’objet d’un dépôt de dossier INTERREG IV, porté par les
partenaires de la région flamande. L’objectif est de faire émerger la notion de parc de la Lys
transfrontalier en lui conférant une identité propre.
Estimation d’une première phase de travaux : 2 M€
Marais de la Deûle :
L’aménagement du site des marais de la Deûle vise à la protection et à la valorisation de ce site
d’environ 150 hectares, à travers la protection des champs captants, l’amélioration de la
biodiversité et la reconstitution des milieux, ainsi que les aménagements requis pour une
ouverture partielle du site au public.
Coût : 1 M € sur 2008-2010

Parc agricole :
Espace naturel des Périseaux :
Aménagement sur une vaste plaine agricole de 220 hectares s’étalant sur 4 communes : création
d’itinéraires de promenade multi-usages, développement d’activités de loisirs nature,
augmentation de la biodiversité tout en maintenant la vocation agricole productive du site.
Coût estimé : 2,14 M €

Politique voies vertes :
Suite à la réalisation d’un schéma général des vélo-routes voies vertes sur le territoire
métropolitain en partenariat avec l’Etat et la Région, les 1ers tronçons opérationnels sont
programmés.
Liaison Parc de la Deûle –gare de Seclin :
Il s’agit d’aménager une ancienne voie ferrée désaffectée en voie verte entre l’entrée du parc de
la Deûle et la gare de Seclin.
Cout estimé : 0,8 M €
Liaison Val de Marque-Canal de Roubaix :
Il s’agit d’aménager en voie verte une ancienne voie ferrée désaffectée permettant de relier le lac
du Héron sur Villeneuve d’Ascq au canal de Roubaix.
Cout estimé : 1 M €
……………………….Communauté urbaine Lille Métropole……………………….
AUTRES MISSIONS
SPORT
Missions
A travers l’exercice de la compétence relative aux « équipements et réseaux d’équipements sportifs »,
Lille Métropole souhaite que cela contribue à son rayonnement national et international, et que soit
assuré un égal accès à la pratique sportive pour tous les habitants. Des conventions d’objectifs sont
signées avec les clubs de haut niveau de la métropole et si les équipements sportifs sont construits
dans un souci de permettre une pratique sportive de haut niveau, cela se fait également avec l’objectif
d’y favoriser un accès pour tous. Dans le cadre des Jeux Olympiques de Londres 2012, Lille
Métropole favorise la préparation des différentes nations sur son territoire, avec la volonté d’offrir les
meilleures conditions aux athlètes tout en favorisant les échanges avec les jeunes de la métropole.
Budget annuel
26 Millions d’euros pour l’année 2010 : 20 millions d’euros en investissement et 6 millions d’euros en
fonctionnement.
Actions
1. Equipement : Stadium Lille Métropole
Principales manifestations accueillies :
- Matches du LOSC-LM
- Meeting d’athlétisme Lille Métropole
- Festi Foot Féminin
- Cross UNSS
 Statistiques usagers
15 associations sportives viennent pratiquer leur sport au Stadium Lille Métropole.
Les matches du LOSC-LM se jouent devant 16 000 personnes de moyenne.
Environ 400 000 personnes par an assistent aux rencontres sportives au Stadium et il y a
100 000 pratiquants sportifs par an.
2. Equipement : Patinoire Lille Métropole
Principales manifestations accueillies :
- Matches du club de Hockey sur glace
- Compétitions du club de patinage
 Statistiques usagers
Pour l’année 2009, plus de 70 000 personnes sont venus patiner à la Patinoire Lille
Métropole.
Cela représente 5,35% d’augmentation par rapport à l’année précédente.
Deux clubs résidents se partagent les heures de glace, les Lions de Wasquehal Lille
Métropole pour le hockey et l’Entente Patinage Wasquehal Lille Métropole pour le patinage
artistique.
Projets
Construction de deux piscines : Piscine de Tourcoing (coût : 19 M €, livraison : septembre 2013) et
Piscine des Weppes (coût : 8 M €, livraison : début 2012)
Construction du Grand Stade Lille Métropole d’une capacité d’accueil de 50 000 places. Ce stade
offrira au LOSC LM les meilleures conditions de jeu et permettra d’accueillir des spectacles sportifs
internationaux, des spectacles culturels, à l’instar des autres grands stades européens (coût : 300 M
€, livraison : juillet 2012)
Construction d’un Bassin en Eau Vive à Quesnoy sur Deûle (coût : 15 M €, livraison : 2014).
……………………….Communauté Urbaine Marseille Provence Métropole……………………….
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
PORTS DE PLAISANCE
 Missions
La Direction des Ports et Aéroport a pour missions principales :
 La gestion des postes à flots et à terre
 La gestion du Domaine Public Maritime et de ses occupants
 L’entretien et le remplacement des installations et équipements techniques
 La participation à des évènements nautiques
 La rénovation des modes de gestion
 La mise aux normes des installations d’un point de vue environnemental et de sécurité
 Chiffres clés
 24 ports de plaisance répartis sur 6 communes du littoral de Sausset-les-Pins à La Ciotat
 8 600 anneaux
 125 Km de côte
 Budget annuel 2009
DEPENSES DE FONCTIONNEMENT
DEPENSES D’INVESTISSEMENT
RECETTES D’EXPLOITATION
7 215 millions d’€
3 330 millions d’€
6 600 millions d’€
 Actions 2009 et projets 2010
L’année 2009 a été marquée par de nombreuses études et projets d’aménagements sur l’ensemble
des ports communautaires et en particulier :
Vieux port
-
Darses du J4 : Marseille sera capitale européenne de la culture en 2013. Le projet
d’aménagement des darses du J4 en espace nautique à vocation d’évènementiel portuaire a été
lancé et fait l’objet de compléments d’études.
-
Requalification de l’Anse du Pharo : La Communauté Urbaine souhaite voir se réaliser sur ce
site emblématique du Vieux Port de Marseille un projet d’une haute teneur environnementale et
esthétique. Ce projet devrait porter sur les activités logistiques dévolues au nautisme : chantier
naval, aire de carénage. Le projet pourra également associer certaines activités annexes telles
que la mécanique marine, l’accastillage, l’hébergement des équipages, les voileries ….
-
Gare maritime du Vieux Port : Un nouveau ponton flottant en remplacement de l’ancienne
gare maritime. Sur ce ponton sera installé un bâtiment de 220 m² comprenant une billetterie
avec 4 postes de vente, une zone d’attente couverte réservée pour les résidents. Elle sera
accessible aux personnes handicapées. (juin 2010)
-
Semi-piétonisation du Vieux Port : Le projet de semi-piétonisation du Vieux Port vise à
reconquérir un espace saturé par les conflits d’usages, à redéfinir les fonctions spatiales des
différents quais. Une première phase d’aménagement pourra être mise en évidence en 2013
centrée sur le quai des Belges.
-
Restructuration et renforcement des équipements d’accueil et des équipements fonctionnels du
Vieux Port de Marseille : installation de la Capitainerie aux Consignes Sanitaires.
Pointe Rouge :
-
Requalification de l’espace voile légère et sécurisation de la grande digue de l’espace
voile légère (juin 2010).
……………………….Communauté Urbaine Marseille Provence Métropole……………………….
-
Aménagement de la digue du large : Réaménagement de l’espace pour les sociétés de
plongée et aménagement d’un quai pour l’accueil d’une base nautique NIKIMAR
SAILINGTEAM, base d’entrainement de voile de compétition. (étude en cours)
Frioul
-
Doublement des capacités de port Frioul actuel par 600 nouvelles places avec digue
protection du plan d’eau et consolidation la digue Est actuelle. Etude en cours.
de
-
Création d’une gare maritime au Frioul. Le débarcadère au Frioul constitue le point faible de
la desserte actuelle. Pour tenter de desserrer cette contrainte un projet a été élaboré. Son
principe consiste à gagner de l’espace sur le plan d’eau en créant un ponton et en séparant les
flux d’entrée sortie. L’espace d’attente, d’une capacité 450 passagers, est ombragé et protégé
du vent pour les visiteurs, et accessible aux personnes à mobilité réduite (décembre 2010)
La Ciotat
-
Etude en cours pour le renforcement de l’ouvrage de protection du port Bérouard.
Ports propres : La Communauté Urbaine a établi en novembre 2006 un programme pluriannuel
d’investissements pour l’amélioration de la qualité environnementale des ports
Les objectifs opérationnels sont ciblés sur l’environnement, l’équipement et la sécurité des ports.
Pour 2009-2010, la direction des ports a établi son programme d’actions localisées :
- Mise aux normes d’aires de carénage et de stations d’avitaillement (Pointe Rouge)
- Installation de déchetteries (Carry, Sausset, La Ciotat, Pointe Rouge)
- Collecte et rejet des eaux noires au réseau d’assainissement (Pointe Rouge, St Jean et
Capucins)
- Achat de barrages flottants (tous les ports)
- Installations de sanitaires (Grand Méjean, le Frioul)
- Diagnostic énergétique visant à développer les économies d’énergie et l’installation de
dispositifs à énergie renouvelable
- Amélioration des équipements portuaires (tous les ports)
Mise en place d’outils de gouvernance : Approbation de la « Charte de Progrès » par le Conseil de
Communauté. Rédigée avec l’ensemble des acteurs du nautisme, elle a vocation à accompagner la
réforme, l’amélioration et le développement des ports de MPM. Les objectifs fixés sont notamment
l’amélioration des conditions d’accueil, la rationalisation du mécanisme d’attribution des places,
l’amélioration de la qualité des services techniques…
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
CONSERVATOIRE A RAYONNEMENT REGIONAL
Le conservatoire régional du Grand Nancy occupe, à travers ses formations et cursus de grande
qualité, une place toute particulière comme outil d’enseignement et de diffusion en permettant aux
jeunes de tous horizons, et conformément à sa vocation de service public, de bénéficier d’un large
accès à la culture.
Institution majeure dans le paysage culturel de notre agglomération, relevant, depuis 30 ans tout juste,
du District Urbain devenu Communauté urbaine, inscrit dans des réseaux d’excellence sur les plans
national et européen, ouvert sur les préoccupations de notre temps, le conservatoire noue des
relations étroites avec le milieu associatif.
-
-
-
1650 élèves, 110 professeurs.
Un droit d’inscription parmi les plus faibles de France (225 euros), un coût réel de 3000 euros par
élève.
Tous les instruments classiques sont enseignés, de la flûte au tuba, en passant par l’orgue et la
harpe. La danse classique et contemporaine, le théâtre, le jazz.
Une renommée internationale : des élèves venant de Colombie, Vénézuéla, Mexique, Chine,
Russie, Japon, Corée, Luxembourg, Belgique.
Le Conservatoire rayonne également par la réussite de ses grands étudiants, admis aux
conservatoires de Paris, de Lyon ou dans d’autres écoles supérieures européennes.
D’autres intègrent directement la vie professionnelle en étant admis dans les grands orchestres
symphoniques, ou en menant une carrière de soliste (Natalie Stutzmann par exemple, mais aussi
Florent Charpentier, clarinette ou Davis Violi, piano).
Lieu de diffusion avec près de 200 manifestations par an, auditions de classe, concerts,
spectacles, projection de films, conférences, classes publiques de maîtres.
Concrètement, et en chiffres, le Conservatoire est aussi un bâtiment de près de 8.000 m², deux
auditioriums, un parc instrumental riche de plusieurs centaines d’instruments qui (sauf les pianos)
sont loués aux familles.
Un budget global annuel de 5,6 millions d’euros.
Le Conservatoire manifeste également son ouverture par des actions communes avec les
structures ou écoles voisines (l’EMAN, la Médiathèque, l’Opéra National de Lorraine, le Ballet de
Lorraine, le Centre Dramatique National, le Musée des Beaux-Arts, les Nancyphonies, etc…).
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DEVELOPPEMENT
CONSERVATOIRE ET JARDINS BOTANIQUES DE NANCY
 Deux Jardins botaniques :
 Jardin Botanique du Montet à Villers-les-Nancy
Superficie : 32hectares dont 2 500 m2 de serres tropicales.
Collections :
- en serres, plus de 6 500 espèces en culture
- à l'extérieur, 15 collections thématiques (Alpinum, Arboretum, Roseraie, Plantes médicinales,
Collections historique et systématique).
Fréquentation : estimée à plus de 70 000 visiteurs dans le parc, 20 000 visiteurs en serres et plus de
350 groupes.
 Le jardin d'Altitude du Haut-Chitelet à Xonrupt-Longemer (Vosges)
Collections : 3 000 espèces de plantes alpines provenant des différentes régions montagneuses du
monde. Une place de choix est réservée à la flore vosgienne.
Fréquentation : 15 000 visiteurs individuels du 1er juin au 30 septembre.
 Conservatoire botanique :
Le Conservatoire Botanique de Nancy s'investit dans la connaissance, la protection et la conservation
de la flore sauvage régionale (territoire lorrain et massif vosgien).
Cette compétence s'exprime au travers de travaux d'inventaires, de collectes de matériel végétal,
d'expertises, etc.
A noter :
 partenariat avec le Parc Naturel Régional de Lorraine
 l’important succès « populaire » des expositions sur les Orchidées et les lilas.
Effectif : 44 agents
Budget : 1,8 M€ pour le fonctionnement,
0,25 M€ en investissement.
 Equipements spécifiques :
Bibliothèque spécialisée (7.000 volumes), service d’animation (5 agents), herbier (300 000 planches),
informatisation des collections vivantes (12 000 espèces en culture), banque de graines et
carpothèque (25 000 échantillons de graines), boutique (40.000 € de CA).
 Contexte international :
En relation avec plus de 1 200 correspondants répartis dans 110 pays différents, afin de participer
activement à une meilleure connaissance et à un plus grand respect de la biodiversité végétale.
Participation régulière aux différents congrès mondiaux, membre de l'Association BGCI (Botanic
Gardens Conservation International).
Communauté urbaine du Grand Nancy
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
DÉPLACEMENTS
LES TRANSPORTS EN COMMUN EN SITE PROPRE (TCSP)
Parmi les priorités du Plan de Déplacements Urbains (PDU), adopté en 2006, figure notamment le
développement équilibré du schéma des transports collectifs, organisé autour de 3 lignes principales,
en grande partie en site propre, mises en œuvre progressivement, et la promotion d’une offre
multimodale de transports à l’échelle du bassin de vie, incluant notamment une meilleure utilisation
des infrastructure ferrées.
L’objectif de la Communauté urbaine du Grand Nancy vise ainsi à déployer un réseau de transports
cohérent et performant, reliant les pôles d’habitat et d’activités de l’agglomération, et prenant en
compte les orientations de densification des Plans Locaux d’Urbanisme.
A terme, ce seront donc quatre lignes fortes et structurantes qui constitueront l’armature du réseau
Stan :
-
la ligne 1, mise en service en 2000, qui relie Vandœuvre les Nancy à Essey. Elle est
équipée d’un matériel roulant de type tramway sur pneus, et transporte aujourd’hui plus
de 50 000 personnes par jour,
-
la ligne 2 qui reliera Laxou au nord-ouest de l’agglomération à Laneuveville-devantNancy au sud-est et dont le tracé sera majoritairement en site propre. Cette ligne de
BHNS sera équipée d’un matériel non polluant et sera accessible aux personnes à
mobilité réduite,
-
la ligne 3 qui reliera Vandœuvre-lès-Nancy aux plaines Rive Droite de l’agglomération.
Cette ligne dont les études préalables vont démarrer prochainement et dont la
technologie n’est pas encore connue, sera cependant dans un premier temps préfigurée
sous la forme d’une ligne à Haut Niveau de Service parallèlement à la mise en service
de la ligne 2,
-
la « ligne 4 », qui consiste en complémentarité du réseau urbain, à valoriser le réseau
ferré qui irrigue le bassin de vie nancéien, en optimisant le réseau Métrolor (TER), par le
développement de tarifs intégrés avec le réseau Stan, et en étudiant l'implantation de
nouvelles haltes ferroviaires.
L’ensemble de ces projets, est bien évidement associé à la création de Parking-Relais aux portes de
l’agglomération et aux abords des gares, pour favoriser le transfert modal.
LA MODERATION DES VITESSES ET PARTAGE DE L’ESPACE PUBLIC
Afin d’accompagner les évolutions de comportements nécessaires pour passer d’une ville aménagée
pour l’automobile à une ville multimodale, le Grand Nancy a lancé en 2008 une campagne de
sensibilisation sur le partage de l’espace public : « quand on est mobile, on est tous fragile ».
Une grande zone 30 (140 hectares) sur le cœur d’agglomération a été mise en place pour concrétiser
cette évolution. Un marquage au sol spécifique a été expérimenté et est progressivement étendu à
l’ensemble des zones 30 de l’agglomération (plus de 30 zones 30 pour 150 km de voies). Un
affichage sur les barrières de ville a permis de sensibiliser efficacement l’ensemble des usagers.
Un dispositif de suivi permet de dresser un bilan positif pour l’ensemble de l’opération (baisse des
vitesses moyennes des automobilistes, baisse de la gravité des accidents) avec une mention
particulière pour l’effet bénéfique apporté par la mise en place de double sens cyclables.
Communauté urbaine du Grand Nancy
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
DÉPLACEMENTS
(suite)
LES DEUX ROUES
La politique s’appuie sur :
-
La réalisation régulière d’aménagements cyclables (3 à 4 km par an) portant le réseau cyclable à
140 km de bandes, pistes cyclables ou voies vertes. Les nouvelles créations de Zone30
contribuent également à proposer des espaces plus adaptés à la cohabitation cyclistes/circulation.
En 2010, le développement des double-sens cyclable, surtout dans le cœur d’agglomération, offre
plus de 20 km d’itinéraires supplémentaires pour les cyclistes. Le réseau des pistes cyclables et
des voies vertes est surveillé quotidiennement par des Patrouilleurs des pistes cyclables qui
interviennent immédiatement ou font intervenir le service approprié pour remettre en état les
aménagements.
-
La mise en place d’une offre de stationnement adaptée pour les vélos sur l’ensemble de
l’agglomération, 3 500 places sur le domaine public et le projet d’abris sécurisés en lien avec les
pôles d’intermodalité. Un partenariat avec les milieux universitaires permet l’équipement de tous
les sites de l’agglomération avec une offre satisfaisante pour les cyclistes (plus de 1000 place
créées dont 300 sécurisées).
-
Le développement de services pour les cyclistes avec une location « classique » assurée par un
réseau de 3 agences et 5 points relais sur le territoire pour louer un vélo à la journée ou à l’année
(2200 contrats par an, pour 110 000 équivalent journée-locations), trouver des conseils sur la
pratique du vélo ou quelques outils pour se dépanner. En 2008 le dispositif a été complété par
250 vélos en « libre-service ». VélOstan’lib a permis de réaliser 205 000 déplacements à vélo en
2009, tout en accompagnant le développement de l’activité de vélOstan’boutic.
-
La Maison du Vélo du Grand Nancy a ouvert ses portes en octobre 2009. Elle fédère l’ensemble
des acteurs liés à la pratique du vélo et des modes doux. Ce lieu central est à la fois un centre de
documentation, un lieu de réunion et d’exposition, mais aussi un point de service pour les
cyclistes avec un atelier en libre-service et une station de lavage et gonflage des vélos. La Maison
du Vélo pilote des interventions dans les écoles ou auprès des centres de loisirs pour initier les
plus jeunes à une pratique responsable du vélo.
Ces différentes composantes sont développées avec un volet social en faisant appel à des structures
d’insertion au niveau local. Ainsi, une vingtaine de personnes œuvrent quotidiennement dans les
différents services mis en place par la communauté urbaine en faveur du vélo.
LA REGULATION CENTRALISEE DU TRAFIC ET DES TRANSPORTS EN COMMUN
Le poste de régulation centralisée du trafic et des transports en commun a pour principales missions :
La gestion du trafic des véhicules particuliers :
Avec l’outil SRT (Système de Régulation du Trafic) qui contrôle quelques 400 carrefours et plus de
2.000 capteurs (nombre de voitures et débit), les « Surveillants de PC » ont pour mission de surveiller
et faciliter au quotidien la fluidité du trafic des voitures particulières. Ils disposent d’une quarantaine de
caméras leur permettant d’apprécier les situations de trafic et d’agir en conséquence en prenant le
contrôle des feux.
4 surveillants de PC assurent un service continu de 6h à 20h du lundi au vendredi et de 10h à 18h le
samedi.
La gestion de l’exploitation des transports en commun :
De la même façon que pour le trafic, les techniciens appelés « Régulateurs » utilisent cette fois l’outil
SAE qui permet de localiser de manière précise à une fréquence de 30 secondes l’ensemble des
véhicules de transports en commun que ce soir des bus, des trams ou des minibus. Le rôle de ces
régulateurs est de tout mettre en œuvre pour que les bus respectent le plus précisément possibles les
horaires affichés aux arrêts.
17 agents assurent une continuité de service de 4H à minuit 7 jours sur 7.
Communauté urbaine du Grand Nancy
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
DÉPLACEMENTS
(suite)
LE JALONNEMENT
La signalisation directionnelle permet à l’usager de se diriger dans l’agglomération, elle est présente
sur 800 carrefours et comprend 2.200 ensembles directionnels.
Un jalonnement spécifique des hôtels a été mis en place. Il est composé de 160 ensembles.
Un projet de restructuration du schéma de jalonnement est en cours ; il comprend :
-
le jalonnement routier,
le jalonnement vélos et piétons,
le jalonnement des circuits touristiques,
le jalonnement dynamique des parkings
---
Ces actions s’inscrivent dans la dynamique du PDU de juillet 2000, et approuvé dans sa nouvelle
version en octobre 2006, dans la mouvance d’une démarche prospective d’agglomération intitulée
NANCY 2020 et dans le respect des exigences du développement durable.
Par délibération du 24 juin 2010, le Grand Nancy a engagé l’actualisation du PDU en poursuivant
plusieurs objectifs :
-
l’articulation avec le 6ème PLH durable, et le SCOT en cours d’élaboration,
la prise en compte des orientations du Grenelle de l’environnement et des principes de la
charte d’Aalborg,
le développement d’une offre globale et intégrée de mobilité au profit de l’usager, placé
au cœur des préoccupations.
Communauté urbaine du Grand Nancy
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
DÉVELOPPEMENT DURABLE
Approuvé fin 2006, l’Agenda 21 du Grand Nancy a décliné ses priorités à travers un plan d’actions
concret. 80 % des actions inscrites sont à ce jour réalisées. L’année 2011 caractérisera la phase de
lancement d’un Agenda 21 ‘2ème génération’. Saluant l’engagement de la communauté urbaine, celleci a reçu les Rubans du Développement Durable en 2008 et leur reconduite pour la période 20102012. Une distinction qui souligne le travail accompli par la collectivité, tout comme la reconnaissance
de l’Agenda 21 par le Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du développement Durable et de
l’Aménagement du Territoire en avril 2009.
1. La construction progressive d’un cadre d’action en faveur du développement durable.
Par leur dynamique d’évolution et leur impact sur l’environnement, les villes et les agglomérations sont
directement concernées par la question du développement durable.
Dès 1997, la Communauté Urbaine du Grand Nancy a affiché cette prise de conscience en faisant du
développement durable l’une des lignes forces de son projet d’agglomération.
Cette préoccupation se traduit concrètement par le développement des transports en commun, un
meilleur partage de l’espace public, l’optimisation de la consommation des terrains à bâtir, la
reconquête des espaces urbains dégradés, la valorisation des espaces naturels dans le périmètre de
l’agglomération. Dès l’origine de l’intercommunalité, la préoccupation d’offrir aux habitants un cadre de
vie équilibré et harmonieux se trouve au cœur de la politique communautaire.
En cohérence avec le projet d’agglomération et après analyses conduites avec de nombreux
partenaires (associations d’usagers, communes, institutions publiques), la Communauté urbaine a
signé avec l’Etat en 1998, une charte de l’environnement visant la protection des milieux naturels,
ainsi qu’une amélioration de la qualité de vie de la population. Cette charte a été l’occasion d’engager
les premières réflexions pour la mise en place d’un comité de l’environnement s’appuyant sur un outil
d’observation de l’évolution des nuisances au bruit, à l’air et à la qualité de l’eau.
Le 19 Avril 2002, pour renforcer ses actions en faveur du développement durable, le conseil de
communauté a pris les engagements suivants :



La création d’un Comité pour le Développement Durable, devenu depuis sa fusion avec le
Conseil de développement en janvier 2009 : le Conseil de développement durable ;
L’élaboration d’un Agenda 21 local, programme d’action en faveur du développement durable
défini à la suite d’un processus de large concertation.
La constitution d’une mission développement durable chargée de l’élaboration et de la mise
œuvre de l’Agenda 21 ;
Ces engagements se traduisent à toutes les échelles et tous les niveaux de compétences du Grand
Nancy.
Communauté urbaine du Grand Nancy
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
DÉVELOPPEMENT DURABLE
(suite)
2. Agir… sur le plan du développement urbain et économique.
La Communauté urbaine met en œuvre de véritables projets d’aménagement durable qui intègrent
l’ensemble des composantes urbaines : fonctions de centralité et de communication, fonctions
économique et marchande,... A ce titre, le projet urbain EcoQuartier Nancy Grand Cœur sera réalisé
en respectant les dernières recommandations à prendre en compte en matière de développement
durable.
Si le Grand Nancy s’engage à l’échelle du projet urbain, il s’investit également à l’échelle du bâtiment,
en recherchant à améliorer leur performance énergétique :
Il est à l’initiative de projets ambitieux et emblématiques pour l’agglomération. On soulignera ici
l’empreinte Haute Qualité Environnementale des projets ARTEM ou Plaines Rive Droite (espace de
près de 200ha devant accueillir activités économiques, mixité d’habitat, présence d’espaces verts et
de loisirs, desserte en TCSP et réseau de déplacements dédié aux piétons et vélos).
Il apporte son soutien à la réalisation de bâtiments Haute Qualité Environnementale, label qui confère
à l’entreprise une valeur hautement symbolique, au-delà de la qualité environnementale de la
construction. On citera à cet égard les bâtiments d’Airlor ou du CNIDEP (Centre national d’Innovation
pour le Développement Durable et l’environnement dans les petites entreprises) réalisés en 2009.
Il encourage des projets innovants comme l’Eco Parc de la zone d’activités dite « Saint Jacques II »
où prend place une nouvelle génération de parcs d’entreprises sur la base d’une démarche globale et
concrète en matière de Développement durable.
Le Grand Nancy initie également des partenariats avec des acteurs du monde économique comme la
Fédération du Bâtiment du département ou la chambre des métiers pour inciter les professionnels à
modifier leurs comportements et à faire évoluer leur activité vers une démarche éco-responsable.
L’année 2010 marque le lancement en partenariat avec la Maison de l’Emploi du Grand Nancy le Plan
Climat Emploi, un outil aux services de la mutation des emplois vers des métiers de plus plus verts et
prenant en compte les objectifs du Grenelle de l’Environnement.
A travers l’ensemble des ces actions tournées vers le monde économique, ce sont de nouveaux
profils professionnels qui se dessinent, de nouveaux métiers qui se créent, se pérennisent ou se
transforment.
3. Agir … sur le plan de La cohésion sociale et de La solidarité,
L’engagement solidaire et durable du Grand Nancy se traduit également à travers le projet urbain de
cohésion sociale.
Le dispositif ANRU (Agence National pour le Renouvellement Urbain), avec tout ce qu’il comporte
d’exceptionnel dans son calibrage et son champ d’action, et l’engagement du Programme de
Rénovation Urbaine (un des plus importants en France), témoignent de la place donnée à l’individu, à
son environnement et à son cadre de vie.
En s’attachant à requalifier le paysage urbain, réhabiliter le logement, favoriser l’accès à l’emploi, le
Grand Nancy s’inscrit ici encore dans une logique durable.
Au-delà de ces dispositifs, le Grand Nancy met en place un programme qui caractérise sont action à
l’articulation du social, de l’économique et de l’environnemental : les maisons ECO² (économiques et
écologiques), alliant performance et qualité. 50 maisons sont aujourd’hui programmées.
Communauté urbaine du Grand Nancy
PRINCIPALES MISSIONS OPÉRATIONNELLES
DÉVELOPPEMENT DURABLE
(suite)
4. Agir… sur le plan de l’environnement et du cadre de vie
La question de la biodiversité sur les territoires des grandes agglomérations est un thème d’études
relativement nouveau. Si de nombreuses intercommunalités se sont effectivement lancées dans la
prise en compte ponctuelle d’enjeux, rares sont celles qui ont passé la pas d’une prise en compte
globale et forte de la biodiversité dans leur projet d’aménagement.
C’est à ce titre que la Communauté urbaine et ses partenaires se sont mobilisés en 2009 dans
l’élaboration d’une étude stratégique de la biodiversité. Il en résulte une action globale et concertée de
préservation et de gestion de la biodiversité.
Le Grand Nancy, c’est :
• 57 % de milieux naturels ou seminaturels,
• la présence de sites remarquables comme la Forêt de Haye qui s’oriente vers un classement en
forêt de protection, le Plateau de Malzéville classé Natura 2000, les Rives de Meurthe ou encore le
Parc de Brabois,
• une couverture boisée notable (35 % des surfaces vertes soit 20% du territoire du Grand Nancy)…
La politique énergétique du Grand Nancy mérite une attention particulière au regard de son
caractère représentatif. La communauté a ici dépassé le simple stade de la recherche d’économie
d’énergie pour désormais s’inscrire dans une véritable politique de maîtrise de l’énergie.
A travers la structuration d’un réseau de chaleur et la mise en place de chaufferies bois (les
chaufferies de Vandoeuvre, de Rives de Meurthe, et de l’OPAC sur le Plateau de Haye) le Grand
Nancy crée des effets leviers :






en valorisant une ressource de proximité par la mise en place d’une plateforme biomasse de
80 000 tonnes/an en forêt de Haye à proximité immédiate de Nancy (réutilisation d’une plateforme de l’OTAN)
en favorisant la création de plus d’une centaine d’emplois
en permettant la valorisation énergétique : 84 % d’énergie renouvelable pour la même
quantité de chaleur produite sur le réseau de Vandoeuvre
en s’inscrivant dans une logique écologique : 81 % d’émissions de CO2 en moins
en bénéficiant de retombée économiques : une facture en baisse de 22 % pour l’habitant
en se dotant des outils nécessaires à une véritable maîtrise de l’énergie sur son territoire,
notamment par le conseil et l’accompagnement des habitants au travers de la mise en place
d’une Agence Locale de l’Energie.
Pour répondre à cette ambition, la Communauté Urbaine du Grand Nancy a lancé l’élaboration d’un
plan climat territorial, volet Energie/Climat de l’Agenda 21.
Tous les acteurs publics et privés présents sur le territoire sont ou seront encouragés à s’engager
dans des actions concrètes et des objectifs de réduction de gaz à effet de serre précis.
Les résultats du bilan énergie et climat, déjà réalisé sur le territoire, servira de référence dans la mise
en œuvre du Plan Climat Territorial.
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
MUSÉE DE L’HISTOIRE DU FER – DOMAINE DE MONTAIGU
Le Domaine de Montaigu est un espace de 15 hectares situé au sud-est de Nancy sur le territoire de
Jarville-la-Malgrange et de Laneuveville-devant-Nancy.
Le domaine (château, parc, musée) est entretenu, mis en valeur et restauré par le Grand Nancy, dont
il constitue un des établissements de culture scientifique et technique. Son parc est librement ouvert
tous les jours au public.
Le domaine a appartenu à Edouard Salin, précurseur de l’archéologie mérovingienne en France et cofondateur du Laboratoire d’Archéologie des métaux et du Musée de l’Histoire du Fer avec Albert
France-Lanord.
Du château jusqu’au musée, le domaine vous livre son histoire, celle d’un patrimoine dont la première
pierre fut posée au 17e siècle !
Volontairement implanté par ses fondateurs à une extrémité du Domaine de Montaigu, le Musée de
l’histoire du fer présente (objets, maquettes, documents) 3000 ans d’histoire commune entre l’homme
et le fer (fer, acier, fonte).
Inaugurés en 1966, les bâtiments du musée ont été conçus suivant une architecture audacieuse,
associant verre et acier pour ouvrir les différents plateaux d’exposition vers l’extérieur et le parc du
Domaine.
Musée de société et musée d’histoire, cet établissement rassemble, conserve et présente des
éléments illustrant l’évolution du travail du fer, de la fonte, puis de l’acier en Europe occidentale depuis
les origines jusqu’au 20e siècle.
Le centre abrite un des rares ateliers de conservation – restauration agréés par le ministère de la
Culture afin d’étudier, d’aider à la conservation et de restaurer les collections des Musées de France
et les objets issus de fouilles archéologiques d’un grand quart nord-est de la France.
Le musée a été inauguré en 1966, dans des bâtiments à l’architecture audacieuse, spécialement
conçus pour l'abriter.
En 1969, ces bâtiments ont reçu le prix national de l’Equerre d’argent, qui récompense les meilleurs
projets architecturaux.
-
2 000 mètres carrés de présentations permanentes et expositions temporaires,
-
1 exposition par an,
-
8 000 visiteurs par an dans le musée (les accès au parc ne sont pas comptabilisés à l’heure
actuelle).
16 agents sous l’autorité d’un directeur, conservateur territorial du patrimoine.
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
-
52.000 licenciés
68 disciplines sportives proposées
207 associations sportives
211 équipements dont 9 piscines, 1 stade de football, 2 palais des sports, 1 golf public, 1
patinoire, tous situés à moins de 400 mètres d’un arrêt de transport en commun
100 millions d’euros investis dans les grands équipements sportifs depuis 2000
2 grands clubs professionnels : l’ASNL et le Sluc Basket
des équipes de sport de haut niveau en handball et volleyball
1 CREPS composant 7 Pôles France
LES GRANDS EQUIPEMENTS SPORTIFS ET DE LOISIRS
Le Stade Marcel Picot à Tomblaine
Stade de 20.000 places dévolu au football professionnel.
Rénové intégralement et agrandi de 1998 à 2003, il est maintenant totalement opérationnel et
accueille l’Asnl comme Club résidant.
Chaque année, le Grand Nancy consacre environ un million d’euros à la maintenance et à l’entretien
du stade.
Outre le terrain d’honneur consacré aux matchs pro, le stade Marcel Picot possède un terrain annexe
engazonné (matchs du championnat de France Amateurs et de la Division d’honneur) et un terrain
annexe synthétique refait en 2002.
Le Grand Nancy a participé au financement d’un centre de formation de l’ASNL, établissement de
haut niveau reconnu nationalement.
L’ASNL évolue en championnat de ligue 1, après avoir terminé 12ème à ce niveau de la saison
2009/2010.
Nancy et le Grand Nancy sont candidats à l’Euro 2016, avec un projet d’extension et de rénovation de
Picot porté par l’ASNL.
Palais des Sports Jean Weille à Nancy
Salle omnisports pouvant accueillir les compétitions internationales de tous les sports en salle. Cet
équipement offre au public 6.000 places assises. Le palais des sports Jean Weille dispose d’une salle
principale pour l’entraînement et les matchs pro, d’une salle annexe pour l’entraînement et les matchs
amateurs et de plusieurs salles de réception dont une salle VIP pouvant accueillir 500 personnes. Le
Sluc basket évolue en championnat Pro A depuis 1994 et a été finaliste des championnats de France
Pro A en 2005, 2006, 2007, 2008 et a remporté le prestigieux titre de champion de France 2008. De
plus, le palais des sports Jean Weille a permis d’accueillir la semaine des As, prestigieux tournoi de
Basket en février 2007, ainsi que le ¼ de finale de la Fed Cup de Tennis féminin en avril 2006.
Le Complexe Sportif des Aiguillettes (Vandoeuvre, Villers) comprend, sur 6 hectares :
-
deux bâtiments représentant l'équivalent de 4 gymnases
sept courts de tennis
deux terrains multisports (foot et rugby) dont un terrain synthétique réalisé en 2007
une piste d'athlétisme
La gestion est assurée par le Grand Nancy en collaboration avec le service inter-universitaire des
activités physique et sportives (SIUAP).
Un projet de réaménagement du complexe est en cours d’étude en lien avec les acteurs concernés.
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
LES GRANDS EQUIPEMENTS SPORTIFS ET DE LOISIRS
(suite)
Le Cosec de Nancy-Est (Essey, Tomblaine)
La Communauté Urbaine gère les deux cosec et les espaces sportifs de plein air adjacents à EsseyLès-Nancy et Tomblaine.
Ces équipements comprennent :
-
2 cosec (dimensions de hand) avec adjacentes à chacun d’eux, pour l’un 1 salle de judo, et pour
l’autre 1 salle de gymnastique,
des équipements extérieurs avec en particulier :
 2 terrains de basket
 1 piste d’athlétisme avec au centre de celle-ci un terrain de hand
 1 piste de saut en longueur
Les utilisateurs sont essentiellement en journée des collégiens et des lycées et en soirée des clubs
sportifs des communes avoisinantes.
Le Parc des sports de Vandoeuvre
Des travaux de rénovation et d’agrandissement du Parc des Sports ont permis de doter cet
équipement d’une salle d’une capacité de près de 2000 places assises, salle omnisport pouvant
accueillir presque toutes les compétitions de sport collectif en salle, jusqu’au niveau international.
L’achèvement des travaux a eu lieu en aout 2007.
Cet équipement accueille, pour leurs compétions respectives, une équipe de Volley Ball féminin
évoluant en Pro F, le Nancy Vandoeuvre Volley Ball (VNVB) et une équipe de Handball évoluant en
D2, l’ASPTT Handball Nancy Vandoeuvre.
Ces deux équipes ont fait une excellente saison 2008/2009 pour la plus grande joie des 1.800
spectateurs fidèles des rencontres sportives disputées sur le site.
Le Stade Raymond Petit à Tomblaine
Les travaux de rénovation de la tribune de ce stade ont été achevés au printemps 2003. Il possède :
-
1271 places assises avec 20 places pour les personnes à mobilité réduite et 21 places de juges,
10 vestiaires affectés d’une part aux utilisateurs du stade et d’autre part aux jeunes footballeurs
utilisant l’annexe synthétique du stade marcel picot,
différents locaux d’accompagnement : salle de musculation, infirmerie, centre contrôle antidopage, bureaux, locaux de rangement, salle de réunion, etc...
une salle de réception – centre de vie
des espaces administratifs mis à disposition de l’Asptt Athlétisme
Il accueille chaque année, en juin, le prestigieux Meeting Stanislas.
Les Sports équestres (équipements mis à disposition des utilisateurs : clubs et société des courses)
-
création d’un pôle hippique à vocation régionale et regroupement de 2 clubs : l’éperon de Nancy
et le centre équestre de Drouot. A cette occasion, la ferme de Brabois sera définitivement
aménagée autour :
+ d’une centaine de boxes tant pour les chevaux que pour les poulains
+ d’une vaste carrière, de 2 manèges et d’un club house
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
LES GRANDS EQUIPEMENTS SPORTIFS ET DE LOISIRS
(suite)
Le Pôle nautique à Nancy (équipement mis à disposition des clubs et des pôles France et Espoirs de
canoë kayak et d’aviron)
+ un local d’accueil et un hangar pour le club de canoë-kayak
+ un local d’accueil, un hangar et des équipements d’entraînements
pour le club d’aviron, support d’un pôle Espoir et d’un pôle France
+ l’aménagement des plans d’eau de la Meurthe et d’un parcours d’eau
vive
+ un local d’accueil avec hangar et salle de musculation pour le
nouveau pôle France de Canoë Kayak inauguré fin octobre 2007.
Ces équipements de haut niveau sont mis à disposition par le Grand Nancy aux clubs et Pôles et ont
notamment permis de former des athlètes médaillés aux Jeux Olympiques de Pékin.
La Patinoire d’agglomération
L’agglomération dispose d’une patinoire qui ne répond pas aux attentes des usagers en raison de la
vétusté des installations et d’une fermeture saisonnière annuelle pour l’organisation de la foire
exposition. Son seul utilisateur en est le club de patinage. Un programme à moyen terme est en cours
pour doter l’agglomération d’une patinoire digne de ce nom avec 2 pistes, l’une consacrée aux
entraînements et compétitions, l’autre aux loisirs.
Le Golf de Nancy-Pulnoy
-
un golf de 18 trous, un practice (30 postes), un parcours compact de 9 trous, un club-house
réalisé en 1993 sur un terrain de 70 hectares
1 886 licenciés dont 641 abonnés
1 700 scolaires formés par an, sur financement communautaire
exploitation confiée à une société privé
programme d’extension du practice et des bâtiments achevés pour 0,37 M€
programme de drainage des greens en cours pour 0,47 M€ et dont l’achèvement est prévu en
2010
Le Zénith à Maxéville
-
4700 à 6000 places intérieures selon configuration et 25 000 places extérieures dont 17 000
assises
65 à 70 manifestations par an
construction en 1992/1993 pour un coût total de 23,63 M€
aménagement intérieur récent avec notamment le changement de l’ensemble des sièges et
l’aménagement du hall intérieur en 2010
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
POLE AQUATIQUE DU GRAND NANCY
Le pôle aquatique du Grand Nancy est composé de :
- 3 piscines olympiques (2 couvertes, 1 plein-air)
- 4 piscines aux dimensions variées (3 couvertes, 1 mixte)
- 2 piscines avec équipements ludiques et remise en forme (2 couvertes).
 Les établissements représentent une superficie de 6 400 m2 de plan d’eau répartie sur 19 bassins.
 Effectif du service : 105 agents.
 Budget annuel (2010) :
-
Dépenses de personnel : 4.000.000 €
Dépenses de fonctionnement : 7.250.000 €
Dépenses d’investissement (matériel) : 200.000 €
2,3 M€ de recettes
 Secteurs d’activités des établissements : accueil public, natation scolaire et secondaire, natation
sportive, water polo, plongeon, natation synchronisée, plongée sub-aquatique, animations
aquatiques (aquaphobie, aqua-gym, bébé d’eau, aqua-bike, aqua-seniors, aqua-training…), accueil
public handicapés en accès individuels et groupements
Fréquentation annuelle totale :
1.000.000 entrées en moyenne par an sur l’ensemble des sites, se répartissant ainsi :
-
Animations aquatiques : 70 000 entrées individuelles pour les différents cycles d’animations.
-
Natation scolaire : 160 000 entrées scolaires dont 120 000 du secteur public et privé des groupes
scolaires maternelles et primaires du Grand Nancy et 40 000 du secteur secondaire.
-
Public et autres groupements : 850 000 entrées par an.
Amplitude d’ouverture hebdomadaire sur l’ensemble des sites : 930 heures.
-
-
Travaux de rénovation : Vaste programme de rénovation chiffré à plus de 20 M€ pour l’ensemble
des sites, engagé depuis 1996, avec création d’une nouvelle piscine livrée en 2001 et une
importante et récente rénovation à Laneuveville-devant-Nancy réalisée en 2009.
Le prix d’une entrée : de 4 à 7 ans ; 2,70 euros – à partir de 18 ans ; 3,65 euros
Le prix d’un abonnement annuel : 107 euros
Coût énergétique : 1.350.000 €
Coût gratuité scolaire : 230.000 € : au titre des droits d’accès piscines
Coût de la mise à disposition gratuite des éducateurs sportifs : 230.000 € en direction des groupes
scolaires maternelles et primaires
Label tourisme et handicap : le seul pôle aquatique en France à disposer de ce label, ce qui
témoigne des efforts importants réalisés sur le plan de l’accessibilité
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
LES EQUIPEMENTS DE LOISIRS REGIONAUX : FORET DE HAYE, LAC DE
MADINE ET PARC NATUREL REGIONAL DE LORRAINE
Pour ces trois équipements régionaux de loisirs, à la gestion desquels la Communauté Urbaine est
associée au sein de trois syndicats mixtes, ces dernières années auront été essentiellement
consacrées à :
-
pour le parc de loisirs de la forêt de Haye :
 la gestion courante du Parc de Loisirs
 des travaux juridiques en vue du renouvellement des baux des locataires du Parc et de la
convention de concession qui arrive à échéance fin 2012
 une réflexion sur la vocation et le devenir du Parc de Loisirs
-
à Madine par :
 la gestion courante du site, les nombreux travaux de réfection et de remise à niveau des
équipements existants
 l’aménagement du site dans le cadre du projet régional « Chambley-Madine »
-
au parc naturel régional de Lorraine :
 au renouvellement de la Charte du PNR,
 aux 30 ans du PNR
 aux animations, expertises et avis du Parc au service des communes membres,
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
MUSÉUM AQUARIUM DE NANCY
Labellisé « Musée de France », le Muséum-Aquarium de Nancy conserve, expose et étudie un riche
patrimoine constitué de collections zoologiques. Il a vocation à diffuser la culture scientifique et
technique par le biais d’expositions, de conférences, d’animations… Le Muséum-Aquarium est cogéré par la Communauté urbaine du Grand Nancy et l’Université Henri Poincaré – Nancy 1 et
participe à plusieurs réseaux professionnels : Musées de Lorraine et de la Grande Région, réseau des
muséums d’histoire naturelle français, réseau international des musées universitaires, etc.
En moyenne, le Muséum-Aquarium de Nancy accueille plus de 75 000 visiteurs par an dont près de
40 % d’enfants et propose une offre culturelle diversifiée en direction des publics (familial, scolaire,
groupes, etc.). À cela s’ajoutent l’organisation de conférences et la participation de l’établissement à la
Semaine du développement durable, à la Fête de la science, aux nocturnes étudiantes, à la Nuit des
musées et aux Journées européennes du patrimoine. Ces nombreuses manifestations sont à chaque
fois l’occasion d’explorer de nouvelles thématiques et d’aller à la rencontre des habitants, des
scolaires et des étudiants du Grand Nancy.
En 2005, la muséographie des collections zoologiques a été rénovée. Elle permet désormais aux
visiteurs d’appréhender les collections dans une mise en scène pédagogique, moderne et ludique.
Cette rénovation a également offert la possibilité de présenter des expositions temporaires de qualité
comme Crotte alors ! en 2006, Les Envahisseurs en 2007, 2 mois 2 artistes en 2008, Homme-Femme,
de quel sexe êtes-vous en 2009 et Biodiversité : hommage à une limace disparue en 2010.
Depuis janvier 2009, le MAN a entamé une réflexion sur son identité et ses missions, par le biais d’un
Projet Scientifique et Culturel (PSC), document obligatoire pour tous les musées de France. C’est
ainsi que depuis plus d’un an et demi, un travail de fonds sur la vocation du musée, son identité a été
engagé, afin de dégager une dynamique d’ensemble et de donner une direction commune et une
cohérence aux différents projets et actions menés par l’établissement. Il s’agit ainsi de réfléchir au
positionnement du MAN par rapport aux autres structures de culture scientifique, et de présentation
de la biodiversité, afin de voir comment il est possible de mieux mettre en valeur l’originalité de
l’établissement.
Cette démarche constructive tient compte des aspects historiques liés à l’établissement et se base sur
un constat de l’existant établi grâce à une large consultation, notamment auprès des différents
services du musée, des tutelles et autres parties prenantes ayant un rôle à jouer dans la vie du
MAN…
Le MAN en quelques chiffres…
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Des collections créées après la Révolution du rassemblement de 17 cabinets de
curiosité
Un bâtiment qui date de 1933
450 m² d’exposition permanente
350 m² d’exposition temporaire
18 000 objets et 136 000 spécimens d’histoire naturelle
57 aquariums tropicaux et plus de 500 espèces vivantes présentées
Environ 75 000 entrées par ans
Plus de 60% d’entrées gratuites
Plus de 5 000 personnes accueillies pour des visites commentées chaque année
Près de 90% de visiteurs lorrains, dont 80% de Meurthe-et-Mosellans
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
REFUGE – FOURRIERE ANIMALE, CHENIL CHATTERIE, CAMPING,
CRÉMATORIUM
Refuge – Fourrière animale
Implanté à VELAINE EN HAYE (zone d’activités), capacité d’accueil : 49 chiens, 30 chats
Rôle de fourrière pour animaux divagants sur la voie publique
Exploitation confiée à un prestataire privé, la SA Chenil-Service, filiale à 100 % du Groupe SACPA
Gestion sanitaire des chats libres
Dépenses de fonctionnement pour 2008/2009 : 175 317 € HT
Chenil-Chatterie d’agglomération
Depuis le 1er janvier 2005, la Communauté urbaine dans le prolongement de sa compétence portant
sur la capture et l'accueil des animaux errants, s'est substituée à la Ville de Nancy pour l'entretien et la
gestion du chenil-chatterie implanté à Saint-Max.
20 cages à chiens et 7 cages à chats reçoivent à longueur d'année les animaux que leurs maîtres
veulent bien confier. En 2009, ont été accueillis 369 chiens et 163 chats pour une recette totale de
42.717 €.
Camping international de Nancy-Brabois
Implanté depuis 1969 avenue Paul Muller à Villers-Lès-Nancy le camping offre 190 emplacements. Il
s’agit d’un relais-étape dont la clientèle est constituée aux 2/3 de néerlandais.
La Communauté urbaine, compétente depuis avril 1996, a engagé deux actions essentielles : un
programme de mise à niveau des investissements qui a permis l’obtention d’un classement 3 étoiles
dès 1998 et la passation d’un contrat d’affermage en 2003 avec une société privée pour dynamiser la
gestion. Cette dernière a implanté des bungalows dont les réservations sont en constante
augmentation (+ 124 % par rapport à l’année précédente). Elle s'investit particulièrement dans la
promotion du camping, notamment par son inscription dans plusieurs guides touristiques français et
étrangers, mais également par le biais des différents médias (guide papier, sites internet, publicité sur
les chaînes TNT et radio…).
De même, des travaux de réfection des blocs sanitaires, l’extension de l’accueil et l’aménagement
d’une aire de pique-nique couvert et de jeux, ont été réalisés permettant ainsi de satisfaire la clientèle
très attachée au site et aux offres touristiques multiples proposées à proximité. De plus, une
connexion wifi gratuite a été proposée aux campeurs.
Le taux d’occupation de la saison est de plus de 8,8 % par rapport à l’année 2007/2008, largement
au-dessus de la moyenne des campings de la région. Le chiffre d’affaires annuel est de l’ordre de
près de 326.417 € HT.
De son côté, la Communauté urbaine perçoit une redevance annuelle de près de 24.715 € versée par
le fermier pour l’année 2009.
Crématorium
Créé en 1991, dans l’enceinte du cimetière du Sud, le crématorium, de compétence communautaire
depuis 1996 répond à un réel besoin ; dimensionné à l’origine pour 500 crémations par an, il a dû faire
face à 2145 demandes en 2009.
Propriété d’une SEM à participation communautaire, son exploitation a été confiée à un prestataire
privé, la Sté OGF.
Une étude de faisabilité sur la reconfiguration du Crématorium a été menée en 2010. Cette dernière
vise à rendre le bâtiment plus fonctionnel pour les familles et le personnel. Le début des travaux est
prévu au cours de l’année 2011.
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
FOURRIERE D’AGGLOMÉRATION
MISSIONS
La fourrière automobile communautaire a pour objet :
-
-
d’enlever, suite aux réquisitions des officiers de police judiciaire compétents, les véhicules et
de les stocker dans un parc gardé,
de gérer les véhicules mis en fourrier pour en permettre la sortie suivant les textes spécifiques
régissant ces services (sorties normales, sorties provisoires pour remise en état, destruction
ou ventes),
d’assurer la garde des véhicules immobilisés par la police nationale, la gendarmerie ou sur
décision de justice,
de procéder, suite aux demandes des maires ou des services de police municipale, aux
déplacements de véhicules lors de certaines manifestations.
QUELQUES CHIFFRES
-
4 chauffeurs et trois camions
4 employés administratifs et un policier pour assurer la liaison avec la police municipale
une convention avec des garages agréés pour les enlèvements sur les communes hors
Nancy et pendant la nuit, les dimanches et jours fériés
2 123 mises en fourrière en 2009 (chiffre en hausse par rapport à 2008)
28 opérations préalables en 2009
570 destructions en 2009
BUDGET 2009
-
frais de personnel
prestations de services (expertises, garages, …)
frais de fonctionnement
recettes (frais de fourrières, destructions, …)
204 763 €
75 000 €
3 300 €
303 257 €
Communauté urbaine du Grand Nancy
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
PARKINGS D’AGGLOMÉRATION
MISSIONS
Les parkings communautaires ont deux fonctions qui ont été définies avec la compétence :
-
desserte de la gare SNCF (tarification spéciale pour favoriser la courte durée avec la 1ère
demi-heure gratuite)
parcs relais pour faciliter le transfert modal entre la voiture et le Tram (tarification spéciale de
2,4 € avec délivrance d’un titre aller-retour pour un maximum de 7 personnes)
QUELQUES CHIFFRES
-
desserte de la gare :


-
parking Thiers : 720 places en ouvrage de 5 niveaux. Ce parking a été repris en régie
en juin 2006, après avoir été concédé pendant 30 ans à la Société VINCI
parking Saint-Léon : 224 places en ouvrage sur 2 niveaux – Mise en service au 1er
trimestre 2002 avec desserte directe de la gare. Ce parking est exploité en régie.
parcs relais :





parc relais de Mouzimpré à Essey (240 places)
parc relais Saint-Georges (50 places) en aérien remplacé en novembre 2009 par un
ouvrage commun avec un parking public (100 places pour le parc relais)
parc relais du CHU de Brabois : ouvrage de 400 places dont 250 au parc relais et 150
pour le CHU par le biais d’une location
parking Croix de Bourgogne (155 places) en semi-enterré dont l’extension de 150
places est programmée en 2010-2011
parking Pichon : 66 places en ouvrage sur un total de 192 places (66 pour la Ville de
Nancy et 60 pour le CHU), tarification normale ouvert en janvier 2001
BUDGET 2009
-
-
Thiers : dépenses d’investissement : 541.250 €
Dépenses de fonctionnement : 424.700 €
Recette : 1.445.000 €
Pichon : exploité en régie, subvention d’équilibre de 18 000 €
Parcs relais : exploités par une association de réinsertion
Saint-Léon : exploité en régie : dépenses : 216 000 € et recettes : 908.500 €
Croix de Bourgogne : exploité en régie : dépenses : 59.350 € et recettes : 108.200 €
PROJETS
-
Création d’un ouvrage de 450 places sous le futur Palais des Congrès.
Extension du parking Croix de Bourgogne avec création d'une dalle supplémentaire pour une
capacité totale de 306 places.
Rénovation du parking Thiers en 2013
Communauté urbaine du Grand Nancy
Nancy Grand Cœur – Quartier Gare
Le Grand Nancy entend proposer aux habitants de l’agglomération et aux acteurs économiques un
environnement de qualité et attractif en terme d’habitat et pour le développement de leurs projets. Les
enjeux de ce quartier de l’hypercentre sont multiples : nouvelles mobilités, mixités sociale et
générationnelle, mutabilité des propriétés SNCF et RFF, réconciliation de quartiers de plusieurs âges
de la ville, qualité de l’environnement et espaces verts.
Dans cet objectif, le Grand Nancy a choisi Nancy Grand Cœur pour répondre au concours
EcoQuartiers organisé au printemps 2009 par le MEEDDAT.
1. L’aménagement du quartier Gare
Le TGV-Est européen met, depuis juin 2007, l’agglomération nancéienne à 1h30 minutes de Paris (de
gare à gare). Il fait du quartier de la gare un quartier stratégique et une des principales entrées
d’agglomération, qui accueille, à ce jour, 9 millions de voyageurs par an.
Un ambitieux projet urbain, appelé Nancy Grand Cœur, y est développé. Outre, le réaménagement de
la Gare de Nancy, il comporte de nouveaux programmes à vocation économique, dont le nouveau
centre de Congrès, des aménagements urbains et des services destinés à renforcer les fonctions
urbaines centrales de ce quartier (nouvelle caserne des Sapeurs-Pompiers, hôtel de 150 chambres,
bureaux, ...).
Il s’agit de redessiner un espace de 15 ha au cœur de l’agglomération. Confié à M. Jean-Marie
Duthilleul, architecte-urbaniste et Président de AREP, ce projet vise également à développer un projet
urbain de longue haleine, résolument inscrit dans une démarche de développement durable et à
organiser la convergence des moyens de transports et déplacements sur la gare. Il a fait l’objet d’une
large concertation avec les habitants. Un lieu spécifique, la « Lanterne », dédié à l’information et à la
concertation, a été implanté sur la place Thiers, face à la Gare SNCF. Le projet urbain sera engagé
dans le cadre de la ZAC communautaire Nancy Grand Cœur qui a été créée en décembre 2007.
Le dossier de réalisation de cette ZAC a été approuvé par délibération du Grand Nancy en juin 2009.
Par ailleurs, l’EPFL a été mandaté pour acquérir l’ensemble des propriétés nécessaires au projet.
2. L’ambition EcoQuartier
En mars 2009, le Grand Nancy a déposé un dossier de candidature auprès du MEEDDAT dans le
cadre du concours national EcoQuartiers.
Cette ambition, qui constitue pour Nancy l’opportunité de préfigurer une stratégie territoriale de
développement durable, s’inscrit dans le cadre des nouvelles politiques en matière de développement
durable et les réglementations résultant du Grenelle de l’environnement.
Elle vise notamment à :
-
inventer une nouvelle éco-gouvernance durable
Créer une mixité urbaine et fonctionnelle
Engager un développement économique et social équilibré
Réconcilier les différents âges de la ville et favoriser la mutabilité du bâtit existant
Favoriser une nouvelle mobilité urbaine
Réintroduire la présence de la nature en centre ville
Inciter aménageurs et constructeurs à la qualité environnementale
Communauté urbaine du Grand Nancy
Nancy Grand Cœur – Quartier Gare
(suite)
Un nouveau centre de congrès
Suite à un concours international, le Grand Nancy a retenu le projet de Marc BARANI pour réaliser
son nouveau Centre de Congrès qui sera implanté à côté de la gare TGV et de la place de la
République. Ce projet a la particularité d’y réaffecter l’ancien bâtiment du tri postal de Nancy, qui a été
réalisé dans les années 1970 par MM. Jacques ANDRE et Claude PROUVE.
Le programme du Centre de Congrès qui offrira une SHON de 19 000 m² environ, intègre notamment
deux auditoriums (900 et 300 places), une grande halle d’expositions de 3000 m², deux espaces de
restauration (900 et 300 couverts), un foyer-bar, 12 salles de réunions ou de séminaires et un parking
public de 450 places.
Initialement prévu pour être réalisé dans le cadre d’un contrat de partenariat public-privé, pour lequel
le dialogue compétitif a été engagé en juillet 2008, le projet verra le jour dans le cadre d’une maîtrise
d’ouvrage publique (loi MOP de 1985) conformément à la délibération du conseil communautaire du
26 juin 2009 ayant déclaré sans suite, pour motif d’intérêt général, la procédure de passation d’un
contrat de partenariat.
Les études de maîtrise d’œuvre se poursuivent par ailleurs avec l’Atelier Marc BARANI dans l’objectif
d’engager la construction du bâtiment en septembre 2010 et de le mettre en service courant 2012.
L’exploitation du nouveau Centre de Congrès, comme du parking public sera confiée à deux
délégataires de services publics spécifiques.
3. L’immeuble République
Situé sur l’espace de la Gare et en façade du pôle intermodal de la place de la République,
l’immeuble République a été mis en service en juin 2008.
Réalisé dans le cadre d’un partenariat original associant tout à la fois la collectivité, la SNCF et
l’opérateur privé, à qui en ont été confié la construction et la commercialisation, ce bâtiment a la
particularité d’accueillir une des entrées de la gare de Nancy, permettant ainsi de prolonger la
fonctionnalité globale de la gare, qui a été totalement réaménagée dans le cadre de l’arrivée du TGV
Est européen, en juin 2007.
Le RDC de ce bâtiment est réservé à l’accueil de services et de commerces dédiés aux voyageurs,
qui sont accueillis au sein de la galerie des transports, espace qui permettra de faire le lien entre la
gare SNCF et le nouveau Centre de Congrès.
4. Espace Thiers
Dans le droit fil du projet urbain proposé par Jean-Marie DUTHILLEUL, le Grand Nancy et la Ville de
Nancy ont engagé en janvier 2009 la consultation visant à désigner le maître d’œuvre à qui sera
confié le réaménagement global de l’espace Thiers et de son parking public, situé au débouché de la
gare SNCF.
L’enjeu central de ce projet est de requalifier l’ensemble de cet espace qui a été réalisé dans les
années 1970 et dans ce cadre, refonder totalement les fonctions inhérentes à un espace ayant à la
fois une fonction ce parvis de gare et d’espace public.
La procédure choisie est une consultation de maîtrise d'œuvre sous la forme d’un appel d’offres
restreint en application de l’article 74-III qui s’applique aux opérations d’infrastructures.
Par délibération du 25 septembre 2009, le Grand Nancy à attribué le marché de maîtrise d'œuvre au
vu du classement du jury au groupement ARCADIS ESG/AREP/Beaudoin/SEFIBA/Desvigne/SCB.
L’engagement des travaux est prévu pour courant 2010 dans l’objectif d’une livraison courant 2012. Il
devrait être mis en service pour fin 2011.
……………………….Communauté urbaine de Nantes……………………….
DEVELOPPEMENT DURABLE - CLIMAT
Présentation
Le 17 février 2006, le Conseil communautaire a voté la mise en œuvre d’un Agenda 21 qui traduit
l’action de Nantes métropole en matière de développement durable. L’Agenda 21 communautaire vise
notamment à lutter contre l’effet de serre, à réduire les consommations énergétiques et à développer
les énergies renouvelables par la mise en place d’un Plan Climat Territorial – P.C.T. - (cadre
stratégique adopté en mars 2007). Ces engagements ont marqué la volonté de Nantes métropole de
s’investir dans ces enjeux majeurs à l’échelle locale.
Depuis la création de la Communauté Urbaine, le climat et l’énergie font partie des préoccupations de
l’action communautaire. Certaines politiques impactent fortement la consommation d’énergies et les
émissions de gaz à effet de serre de la collectivité et de ses habitants notamment en matière de
déplacement et d’urbanisme. Nantes métropole a mis en place en partenariat des outils
d’aménagement du territoire métropolitain (Plan de Déplacements Urbains, Plan Local d’Urbanisme,
Schéma de Cohérence Territorial, Programme Local pour l’Habitat… ) dont les mesures existantes ou
à venir telles que le renforcement des transports en commun, les déplacements doux, la densification
urbaine, l’éco-conditionnalité, l’extension des réseaux de chaleur, les économies d’énergie dans le
résidentiel et le tertiaire existant, œuvrent ou vont œuvrer pour une réduction des consommations
énergétiques et un développement accru des énergies renouvelables.
Missions
Nantes métropole a signé en octobre 2008 le « Pacte des Maires sur l’énergie durable » ou
« Covenant of Mayors », initiative lancée par la commission européenne en janvier 2008 à destination
des villes de l’Union Européenne. Cela fait suite à l’adoption par l’Union Européenne du « paquet
énergie » qui fixe des objectifs pour les états membres en matière d’efficacité énergétique, de
production d’énergies renouvelables et de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon
2020.
Nantes métropole assure la coordination de la déclaration d’Eurocités ainsi que la représentation de la
parole des Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) aux sommets internationaux sur les sujets
développement durable et climat.
.
Dans ce cadre, 2010 voit la mise en actions effective du P.C.T. répartie en trois volets :
intégration aux politiques publiques et quantification des actions climat contributrices,
déploiement d’un dispositif d’animation territoriale structurée associant et co-responsabilisant
le citoyen et tous les acteurs du territoire
évaluation quantitative, qualitative permanente appuyé par un conseil scientifique et technique
Pour sa part, l’Agenda 21 de Nantes Métropole poursuit son appui sur les politiques structurantes de
la collectivité (aménagement du territoire, réseaux et infrastructures, activités économiques, risques et
pollutions…). Il est fort du réseau des référents « développement durable » des communes
adhérentes, qui se réunit, sous l’animation du service Animation Développement Durable Climat,
autour de thématiques telles que la commande publique responsable, les éco-gestes ou encore les
actions de sensibilisation grand public au DD.
Actions novatrices
- L’atelier climat
C’est un outil d’expérimentation, d’évaluation et de sensibilisation aux bonnes pratiques auprès des
habitants de l’agglomération nantaise. Il participe au dispositif d’animation du P.C.T. voulu par Nantes
métropole. Ainsi, après constitution d’un panel et enquête, 150 ménages se sont portés volontaires
sur un an à compter de juin 2010 pour explorer comment chacun peut contribuer à atteindre l’objectif
de réduction des gaz à effet de serre.
Ses finalités sont de :
……………………….Communauté urbaine de Nantes……………………….
•
•
mieux comprendre les freins et leviers pour aller vers un mode de vie moins émetteur de CO2,
tester le dispositif d’animation territoriale plan Climat qui se met en place (volets conseils et
communication),
permettre la généralisation d’actions incitatives à l’ensemble des habitants de l’agglomération
(passer de 150 ménages à 600 000 habitants).
•
Les ménages volontaires participent ainsi à des entretiens individuels mais également à 3 ou 7
rencontres collectives et disposent d’outils (coach carbone de l’ADEME, espace internet et service
téléphonique dédiés, newsletter, ou encore, visites spécifiques).
Budget et moyens
Le Plan climat est piloté régulièrement au plus haut niveau tant politique (Président) que technique
(DGS). Il se traduit en un plan d'actions transversal auquel contribuent toutes les directions générales
de Nantes Métropole, avec quantification CO2 et dispositif d'évaluation.
Pour agir sur l'ensemble des émissions du territoire, un service Animation Développement Durable
Climat a été créé. Il est composé d’une équipe de 4 personnes.
Le budget 2010 affecté spécifiquement à ce service est peu important car consiste essentiellement
en temps-hommes. Pour l’année 2010, les dépenses de fonctionnement s’élèvent à 174 712 € et
sont consacrées en quasi-totalité à l’Atelier Climat.
Projets

finalisation de l’écriture du plan d’actions « développement durable », général et transversal à
l’ensemble des directions de Nantes métropole et à ses politiques publiques thématiques,

développement de l’animation territoriale,

bilan de l’Agenda 21 communautaire et actualisation.
……………………….Communauté urbaine de Nantes……………………….
DEVELOPPEMENT DURABLE - CLIMAT
Présentation
Le 17 février 2006, le Conseil communautaire a voté la mise en œuvre d’un Agenda 21 qui traduit
l’action de Nantes métropole en matière de développement durable. L’Agenda 21 communautaire vise
notamment à lutter contre l’effet de serre, à réduire les consommations énergétiques et à développer
les énergies renouvelables par la mise en place d’un Plan Climat Territorial – P.C.T. - (cadre
stratégique adopté en mars 2007). Ces engagements ont marqué la volonté de Nantes métropole de
s’investir dans ces enjeux majeurs à l’échelle locale.
Depuis la création de la Communauté Urbaine, le climat et l’énergie font partie des préoccupations de
l’action communautaire. Certaines politiques impactent fortement la consommation d’énergies et les
émissions de gaz à effet de serre de la collectivité et de ses habitants notamment en matière de
déplacement et d’urbanisme. Nantes métropole a mis en place en partenariat des outils
d’aménagement du territoire métropolitain (Plan de Déplacements Urbains, Plan Local d’Urbanisme,
Schéma de Cohérence Territorial, Programme Local pour l’Habitat… ) dont les mesures existantes ou
à venir telles que le renforcement des transports en commun, les déplacements doux, la densification
urbaine, l’éco-conditionnalité, l’extension des réseaux de chaleur, les économies d’énergie dans le
résidentiel et le tertiaire existant, œuvrent ou vont œuvrer pour une réduction des consommations
énergétiques et un développement accru des énergies renouvelables.
Missions
Nantes métropole a signé en octobre 2008 le « Pacte des Maires sur l’énergie durable » ou
« Covenant of Mayors », initiative lancée par la commission européenne en janvier 2008 à destination
des villes de l’Union Européenne. Cela fait suite à l’adoption par l’Union Européenne du « paquet
énergie » qui fixe des objectifs pour les états membres en matière d’efficacité énergétique, de
production d’énergies renouvelables et de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon
2020.
Nantes métropole assure la coordination de la déclaration d’Eurocités ainsi que la représentation de la
parole des Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) aux sommets internationaux sur les sujets
développement durable et climat.
.
Dans ce cadre, 2010 voit la mise en actions effective du P.C.T. répartie en trois volets :
intégration aux politiques publiques et quantification des actions climat contributrices,
déploiement d’un dispositif d’animation territoriale structurée associant et co-responsabilisant
le citoyen et tous les acteurs du territoire
évaluation quantitative, qualitative permanente appuyé par un conseil scientifique et technique
Pour sa part, l’Agenda 21 de Nantes Métropole poursuit son appui sur les politiques structurantes de
la collectivité (aménagement du territoire, réseaux et infrastructures, activités économiques, risques et
pollutions…). Il est fort du réseau des référents « développement durable » des communes
adhérentes, qui se réunit, sous l’animation du service Animation Développement Durable Climat,
autour de thématiques telles que la commande publique responsable, les éco-gestes ou encore les
actions de sensibilisation grand public au DD.
Actions novatrices
- L’atelier climat
C’est un outil d’expérimentation, d’évaluation et de sensibilisation aux bonnes pratiques auprès des
habitants de l’agglomération nantaise. Il participe au dispositif d’animation du P.C.T. voulu par Nantes
métropole. Ainsi, après constitution d’un panel et enquête, 150 ménages se sont portés volontaires
sur un an à compter de juin 2010 pour explorer comment chacun peut contribuer à atteindre l’objectif
de réduction des gaz à effet de serre.
Ses finalités sont de :
……………………….Communauté urbaine de Nantes……………………….
•
•
mieux comprendre les freins et leviers pour aller vers un mode de vie moins émetteur de CO2,
tester le dispositif d’animation territoriale plan Climat qui se met en place (volets conseils et
communication),
permettre la généralisation d’actions incitatives à l’ensemble des habitants de l’agglomération
(passer de 150 ménages à 600 000 habitants).
•
Les ménages volontaires participent ainsi à des entretiens individuels mais également à 3 ou 7
rencontres collectives et disposent d’outils (coach carbone de l’ADEME, espace internet et service
téléphonique dédiés, newsletter, ou encore, visites spécifiques).
Budget et moyens
Le Plan climat est piloté régulièrement au plus haut niveau tant politique (Président) que technique
(DGS). Il se traduit en un plan d'actions transversal auquel contribuent toutes les directions générales
de Nantes Métropole, avec quantification CO2 et dispositif d'évaluation.
Pour agir sur l'ensemble des émissions du territoire, un service Animation Développement Durable
Climat a été créé. Il est composé d’une équipe de 4 personnes.
Le budget 2010 affecté spécifiquement à ce service est peu important car consiste essentiellement
en temps-hommes. Pour l’année 2010, les dépenses de fonctionnement s’élèvent à 174 712 € et
sont consacrées en quasi-totalité à l’Atelier Climat.
Projets

finalisation de l’écriture du plan d’actions « développement durable », général et transversal à
l’ensemble des directions de Nantes métropole et à ses politiques publiques thématiques,

développement de l’animation territoriale,

bilan de l’Agenda 21 communautaire et actualisation.
……………………….Communauté urbaine de Nantes ……………………….
EAUX ET ESPACES NATURELS
Présentation
Le service Eaux et Espaces Naturels assure, en lien avec l’AURAN (agence d’urbanisme de
l’agglomération nantaise), la définition et la mise au point des politiques environnementales au sein de
la communauté urbaine de Nantes.
Il pilote directement les projets concernant la biodiversité, les forêts urbaines, l’agriculture périurbaine,
les continuités piétonnes au fil de l’eau, les cours d’eau et les zones humides de l’agglomération. Son
action est également centrée sur les problématiques ligériennes et la reconquête de la Loire avec
notamment le suivi des études de modélisation.
Missions
Plus de 250 km de cours d’eau et plus de 30 000 hectares d’espaces naturels et agricoles dans
l’agglomération nantaise constituent une opportunité unique pour développer un ensemble d’actions
destinées à :

Reconquérir la Loire et les cours d’eau domaniaux : dans le cadre du plan Loire Grandeur
Nature, l’agglomération est partenaire du programme de modélisation prospective de la Loire
estuarienne conduit par le G.I.P. Loire Estuaire et participe activement aux études de modélisation
de l’estuaire pour reconquérir le niveau d’une ligne d’eau susceptible de limiter la remontée du
bouchon vaseux à l’origine de l’asphyxie des milieux humides connexes du fleuve. Par ailleurs,
Nantes métropole est un acteur dynamique au sein des SAGEs « Estuaire de la Loire », « Sèvre
nantaise » et « Grandlieu » sur son territoire. L’année 2010 a également permis à Nantes
métropole de s’engager sur une démarche partenariale de restauration des marais aval de l’Erdre,
en lien avec le syndicat mixte EDENN.

Améliorer la qualité des eaux et restaurer les cours d’eau de l’agglomération grâce au
programme Neptune. Un premier contrat (1994-1998), en partenariat avec l’Agence de l’eau,
portant essentiellement sur l’amélioration du traitement et du transfert des eaux usées a été suivi
par un deuxième contrat (1999-2003) axé sur la réduction des pollutions diffuses sur l’ensemble
des bassins versants de l’agglomération, sur le suivi et la pérennité des actions engagées avec
l’ensemble des partenaires. Le contrat Neptune 3 (2004-2009) est opérationnel depuis fin 2004
pour un montant de 92.7M€ HT et porte à 6 (sur 15) le nombre de bassins versants concernés par
la restauration hydro-écologique des cours d’eau. 2010 est l’année d’élaboration de Neptune 4 « la politique de l’eau de Nantes métropole » - qui se concrétisera par des actions dans des
contrats territoriaux avec l’Agence de l’eau Loire-Bretagne sur l’Erdre et la Loire nantaise.
Ces démarches par bassin versant sont fondées sur la concertation avec les acteurs locaux
(riverains, scientifiques, associations…), largement associés aux différentes étapes des études,
aux choix techniques et à la conciliation des usages autour des cours d’eau.

assurer le maillage des corridors écologiques grâce au schéma directeur des promenades
au fil de l’eau : 192 km de continuités piétonnes existantes (1991-1999 ; 90 km aménagés pour
30 M€ HT), le programme réactualisé devant porter à terme le linéaire de promenades à 337 km.
La mise à jour prochaine du schéma directeur et sa mise en cohérence avec le schéma des
circulations douces, piétonnes et cyclables permettra une intégration dans un schéma cohérent et
structurant tout en veillant au respect des espaces naturels. Cette démarche s’inscrit pleinement
dans la réflexion de trame verte et bleue en projet sur l’agglomération.
……………………….Communauté urbaine de Nantes ……………………….

protéger la biodiversité, les espèces et les espaces naturels : suivi des sites Natura 2000 et
des zones d’intérêt écologique, telles les zones humides…avec des actions concrètes d’études :

établissement de plans de gestion de sites, en particulier pour la « Petite Amazonie »,
une zone humide d’intérêt majeur dans le cadre du Grand Projet de Ville Malakoff-Pré
Gauchet ;

Plans de conservation d’espèces protégées, notamment pour l’angélique des estuaires et
le scirpe triquètre ;

poursuite des suivis « faune-flore » sur certains bassins versants de l’agglomération.

soutenir une activité économique agricole locale de qualité et améliorer le lien
urbain/rural : esquissées dans la Charte d’aménagement et de développement de
l’agglomération nantaise, les zones agricoles constituent un véritable enjeu pour Nantes
métropole dans sa lutte contre l’étalement urbain en terme de pérennisation. Un dispositif
partenarial avec les instances agricoles a été mis en place : un protocole de partenariat a ainsi été
signé avec la Chambre d’Agriculture pour soutenir les agriculteurs en direct ou à travers des
actions foncières conduites avec la SAFER. La Chambre d’Agriculture a réalisé en outre des
diagnostics agricoles territoriaux sur chacune des communes de l’agglomération nantaise qui ont
servi de support aux révisions de P.L.U. engagées sur le territoire communautaire. Ce travail
partenarial se poursuit actuellement par une réflexion spécifique sur les friches agricoles. Nantes
métropole participe par ailleurs à l’accompagnement de la filière bio et au développement de la
vente directe et des circuits courts, notamment avec l’aménagement d’un second site de vente
directe, le développement d’une manifestation annuelle « un samedi chez mon producteur » ou
encore la participation au projet européen ANATOLE sur le sujet.

aménager trois espaces à dominante forestière (1 416 ha au total) constitutifs d’une forêt
urbaine, en définissant des plans d’aménagement et de gestion par site, sur la base de
diagnostics précis des sites, en développant des partenariats techniques et financiers, en
élaborant un programme d’acquisitions sur certains secteurs stratégiques et en réalisant des
plantations. Ce projet partenarial fait l’objet de journées annuelles d’échanges et d’actions
concrètes de terrain, entre autres avec des scolaires.

sensibiliser et communiquer sur l’environnement, en soutenant notamment des actions
d’information et de sensibilisation, en particulier le centre de ressources de l’Association Ecopôle,
et en réalisant des supports de communication et de pédagogie. L’année 2010 a permis la
publication de deux plaquettes THEMAs, le premier sur la biodiversité et le deuxième sur
l’agriculture péri-urbaine.
Actions novatrices
En 2010,

réalisation des inventaires des zones humides et cours d’eau, permettant leur intégration
dans les PLUs et la définition de leurs modalités de gestion ultérieure
Budget et moyens
Le service Eaux et Espaces Naturels est composé d'une équipe de 7 personnes.
Pour l’année 2010, son budget s’élève à :
- Fonctionnement :
816 608 €
- Investissement :
902 998 €, ces crédits étant essentiellement consacrés aux actions portant
sur les cours d’eau et les continuités piétonnes.
Projet

définir un schéma de la biodiversité intégrant la notion de corridors écologiques, mettant en lien
les cours d’eau, les forêts urbaines et les continuités piétonnes et identifiant les espaces naturels
d’intérêt communautaire.
……………………….Communauté urbaine de Nantes ……………………….
ENERGIES
Présentation
La politique publique de l'énergie constitue un levier majeur pour Nantes Métropole dans la conduite
de son Plan Climat. Elle se décline en deux orientations stratégiques :
- Nantes Métropole : une agglomération économe en énergie et productrice d'énergie renouvelable ;
- l'affirmation du rôle de Nantes Métropole comme autorité organisatrice et concédante de la
distribution d'énergie.
Le contexte local se décline de la façon suivante :
- patrimoine réseau : 40 km de réseaux de chaleur, 2 194 km de réseaux gaz, 5 300 km de réseaux
électriques,
- consommation électricité et gaz du territoire de NM en 2007 : 0,8 % de la consommation nationale,
- répartition locale des consommations (toutes énergies) : résidentiel = 35 % / tertiaire = 24 % /
transports = 22 % / industrie = 18 % / agriculture = 1 %.
C’est dans ce contexte que Nantes Métropole doit, d’une part garantir au territoire et à ses habitants
de l’énergie disponible à court, moyen et long terme et, d’autre part, s’inscrire dans les dispositions
du Grenelle de l’environnement sur les objectifs d’efficacité énergétique et d’énergie renouvelables.
Enfin, la politique de l’énergie est le fer de lance de la lutte contre le changement climatique que
Nantes Métropole a formalisé dans un plan climat, dès 2005, dans le cadre de son agenda 21.
Missions
-
affirmer le rôle d’autorité concédante de Nantes métropole pour le gaz et l’électricité et
comme autorité organisatrice pour les réseaux de chaleur auprès des exploitants, ceci afin de
garantir la sécurité des réseaux, d’harmoniser les contrats de distribution.
-
programmer l’enfouissement des réseaux électriques à la fois pour améliorer le cadre de vie
des habitants et s’adapter aux évènements climatiques.
-
planifier ou participer à la planification des réseaux et des équipements nécessaires au
développement de l’agglomération (gaz, électricité, chaleur) en prolongeant par exemple le
partenariat avec les aménageurs dans les ZAC et en réalisant des études de dessertes
énergétiques.
-
faire de Nantes métropole un établissement public économe en énergie dans son
fonctionnement et dans la mise en œuvre de ses politiques publiques. Réalisation d’actions
de maîtrise de l’énergie dans les bâtiments et sur les équipements d’éclairage public ou
encore d’installations techniques (eau, assainissement), prescription et incitation en matière
de performance énergétique dans l’aménagement urbain (en particulier le logement social).
-
rendre les citoyens usagers et les acteurs locaux plus économes en énergie. Organisation de
la semaine de l’énergie annuelle sur l’agglomération pour sensibiliser et mobiliser les citoyens.
Financement de l’Espace Info Energie.
-
faire de Nantes métropole un territoire de développement des énergies renouvelables par la
conception et la réalisation des premiers équipements de production d’énergie renouvelables
sur le territoire tels que la chaufferie bois de Saint Jean de Boiseau mise en service en 2010.
Actions novatrices
Nantes Métropole a doté la société d’économie mixte « NGE » de nouvelles compétences en matière
d’énergies renouvelables. Les domaines d’interventions concernent le développement de la
production d’énergie photovoltaïque, les réseaux de chaleur, la biomasse, l’éolien et l’hydrolien. NGE
est un outil opérationnel, dédié et réactif, capable de saisir toutes les opportunités qui se présenteront
sur le territoire en particulier sur les bâtiments publics. En matière de photovoltaïque la société a un
objectif de 20 000m² de panneaux posés sous trois ans.
……………………….Communauté urbaine de Nantes ……………………….
Nantes Métropole a réalisé la première ZDE sur la commune de La Chapelle-sur-Erdre pour un
plafond de 18MW, le dossier est en cours d’instruction par les services de l’Etat. Un développeur
éolien a déposé un permis de construire pour 3 éoliennes de 2MW chacune soit 4 500 teqCO2 évitées
potentielles.
Nantes Métropole est étroitement associé et contributeur à la démarche Cit’ergie engagée par la Ville
de Nantes.
Programme d’étude conjoint NM et CETE de l’Ouest sur l’analyse des performances énergétiques
réelles d’opérations ayant bénéficié du soutien de Nantes Métropole.
La CU a accompagné, aux côtés de Nantes Métropole Aménagement, la mise en œuvre d’un réseau
de chaleur biomasse alimentant plusieurs établissements d’enseignement existants. Ce projet privé
d’envergure, piloté par l’Ecole des Mines de Nantes doit permettre d’éviter environ 3 000 teqCO2.
Budget et moyens
Le service Energies est composé d'une équipe de 5 personnes.
Pour l’année 2010, son budget s’élève à :
Fonctionnement :
827 734 €
Investissement :
1 046 467 €, 452 525 € étant consacrés des actions visant la réduction des
consommations énergétiques.
Projets

Révision de la gestion et projets de développement des 2 réseaux de chaleur existants pour la
desserte de 6.000 « équivalents logements » à l’Ouest de Nantes (Quartier Bellevue) et
16.000 « équivalents logements » à l’est de Nantes (Malakoff et Ile Beaulieu),

Actions de maîtrise de la demande d’électricité,

Mise en place d’un tableau de bord énergies renouvelables territorial,

Edition d’un guide pratique de la géothermie très basse énergie.
……………………….Communauté urbaine de Nantes ……………………….
MISSIONS DE DÉVELOPPEMENT
RECHERCHE

PRES régional « Université Nantes Angers Le Mans » comptant parmi ses membres des
établissements métropolitains dont :

L’université de Nantes (chiffres 2008)
1200 chercheurs dont 1000 Enseignants-chercheurs
500 personnels techniques et administratifs
75 laboratoires et structures de recherche accrédités dont :
- 69 accrédités par le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR)
- 48 laboratoires dont 25 UMR développés conjointement avec les organismes de recherche
(CNRS, Inserm, Inra, Inria) et quelques écoles nantaises (ECN, EMN, ENVN, Enitiaa)
- 27 structures de recherche (dont 9 PPF, 2 Fed, 5 ERT, 1 GIP, 1 IFR)
- 21 laboratoires et structures partagés avec un autre établissement
- 33 laboratoires classés A et A+ soit 70% des laboratoires accrédités par le MESR
2 unités propres
8 Écoles doctorales réunies au sein d'un Collège doctoral unique
1386 doctorants
230 thèses de doctorats soutenues.

Des écoles et instituts ayant une activité de recherche
ONIRIS, Ecole Centrale, Ecole des Mines, Ecole d’Architecture …

Des grands organismes de recherche présents à Nantes :
INRA, INSERM, IFREMER, CNRS, LCPC

Au total, sur le territoire métropolitain, plus de 150 laboratoires de recherche dont 91 labellisés
par les organismes de tutelle (chiffres 2008).

Soutien de Nantes Métropole à la recherche
2008
2009
2010
en €
Budget réalisé
Dont pôle de
compétitivité
réalisé
Dont pôle de
compétitivité
Budget prévision
Dont pôle de
compétitivité
Opérations immobilières
12 875 159
0
12 497 468
1 000 000
4 597 800
3 816 000
Equipements de laboratoire
90 842
0
1 603 990
0
1 842 500
0
Transfert de technologie
618 360
40 000
1 047 908
40 598
1 091 404
88 152
Réseaux haut débit
69 549
0
0
0
0
0
Projets de recherche
438 470
0
407 300
0
481 900
0
Aides aux chercheurs
406 130
0
561 794
0
415 713
0
CST
30 000
0
31 000
0
130 909
0
TOTAL
14 528 510
40 000
16 149 460
1 040 598
8 560 226
3 904 152
……………………….Communauté urbaine de Nantes ……………………….
TOURISME ET GRANDS EQUIPEMENTS
Missions
-
Suivi des grands équipements touristiques en délégation de service public: Zénith, Machines
de l'île, Cité des congrès, Parc des expositions.
-
Soutien aux manifestations (économie et enseignement supérieur - recherche) : 500 000€ en
2009.
-
Subvention annuelle à l'office de tourisme intercommunal : 2 M€.
CHIFFRES CLE DU TOURISME - ANNEES 2009-2010
Fréquentation touristique générale de l’agglomération
Touristes (2009) : 2 millions de visiteurs (estimation)
Hôtellerie – hôtels uniquement (2007) : 1 510 600 nuitées dont 126 700 nuitées générées par les
touristes étrangers.
Hôtellerie – taux d’occupation des catégories 2 étoiles (2009) : 61,5% et baisse de 7,7%
Bureaux de l’OTNM : 126 000 visiteurs (+6% par rapport à 2008) dont 14 000 visiteurs étrangers.
Fréquentation des principaux sites touristiques (2009)
1) Château des Ducs de Bretagne (site) : 1 221 296 visiteurs.
2) Les Machines de l’Ile : 261 540 visiteurs dont 13 000 visiteurs étrangers.
3) Musée d’Histoire de Nantes (château) : 162 877 visiteurs.
Fréquentation indicative de quelques grands événements
Estuaire 2009 : 880 000 visiteurs
Folle Journée 2010 : 128 000 visiteurs
Fréquentation des grands équipements (2009)
Cité des congrès : 570 000 personnes dont 200 000 journées congressistes, sur 220 évènements
économiques et institutionnels.
Parc des Expositions : 1 032 861 visiteurs et 5 769 exposants sur 74 manifestations.
Zénith : 358 423 spectateurs sur 92 séances de manifestation.
Manifestations (2009)
Nombre de manifestations soutenues par Nantes Métropole : 50 – (26 concernant l’enseignement
supérieur et recherche, et 24 économie).
Projets engagés en 2010
-
2e phase du projet des Machines de l'île : construction du carrousel des mondes marins
(mise en service en 2012).
-
projet d'extension du parc des expositions dans le cadre du renouvellement de la DSP en
cours.
-
renforcement de l'attractivité touristique de la métropole : regroupement dans une même
structure des trois principaux acteurs du tourisme (office de tourisme, SEM exploitante du
Château et des Machines de l'île, Estuaire).
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
CULTURE
AUDIOVISUEL ET CINEMA
La CUS et la Ville de Strasbourg mènent une politique globale de soutien au cinéma et a l’audiovisuel
qui touche tout spécialement les professionnels par le biais de l’antenne MEDIA Strasbourg, du fonds
de soutien à la production et du bureau d’accueil des tournages (Communauté urbaine de Strasbourg)
et le grand public par des soutiens aux associations locales (Ville de Strasbourg).
http://www.strasbourg-film.com/

Antenne MEDIA
LA CUS cofinance, avec la commission européenne, un bureau d’information du programme MEDIA
qui permet d’informer les professionnels locaux sur les formations et soutiens MEDIA. L’objectif est
d’encourager les professionnels à participer aux formations européennes du programme et de les
assister dans le montage de leur dossier de subventions. Il s’agit également de les informer sur les
différents marchés internationaux afin qu’ils puissent développer des stratégies de diffusions
internationales.
En 2009, l’antenne MEDIA Strasbourg :
o était présente sur 5 marchés et festivals européens (Cannes, Berlin…)
o a assisté au montage d’une douzaine de dossiers de demandes de subventions
auprès du programme européen MEDIA
o a organisé des présentations du programme à Sarrebruck, Nancy et Strasbourg et
des sessions d’information sur les formations européennes de l’audiovisuel et du
cinéma (formation à l’écriture, à la production et aux nouvelles technologies)
o a organisé durant 2 journées, la 6e édition du « Rendez-vous de la coproduction
rhénane », avec 140 professionnels présents avec des projets de films (producteurs,
fonds de soutien, diffuseurs) avec projection de films, débats, préparation et
organisation d’une centaine de rendez-vous individuels
o Pour toutes les activités de l’Antenne, la CUS a développé un partenariat étroit avec
le Land du Bade-Wurtemberg par le biais du fonds d’aide au cinéma (MFG),
exemple : organisation de l’exposition « 100 ans de cinéma au Bade-Wurtemberg »
du 26 novembre au 16 décembre 2009 à l’UGC Ciné-Cité de Strasbourg

Fonds de soutien à la production
En 2009 le budget du fonds de soutien à la production audiovisuel et cinéma était de 836 250 €, ce
fonds est abondé par la CUS (2/3) et le CNC (1/3) au titre du mécanisme du « 1 pour 2 € ».
62 projets ont été étudiés et 35 ont reçu un soutien de la commission.
Le montant moyen du soutien apporté aux projets selon leur genre s’établit à 13 750 € pour les courts
métrages, 67 500 € pour les longs métrages, 165 000 € pour les séries TV et 12 471 € pour les
documentaires d’une durée supérieure à 52’. Il est à noter que ces sommes s’ajoutent à celles qui
sont apportées par la Région Alsace avec laquelle environ 70% des dossiers aidés sont communs.
Répartition du soutien pour l’année (3 commissions consultatives à l’audiovisuel et au cinéma)
http://www.strasbourg-film.com/media/fichiers/file2010012753.pdf
8 courts métrages dont 2 films d’animation (Exemples : Dans la jungle des villes réalisé par Denis
Eyriey et produit par Année Zéro, Une âme voilée réalisé par Sylvain Bresson et produit par Serial
Prod, Le jour de la comète réalisé par Hervé Freiburger et produit par Forge…)
4 longs-métrage (Exemples : Captifs réalisé par Yann Gozlan et produit par Sombrero Films avec
Zoé Félix et Arié Elmaleh, Carjacking réalisé par Lars Blumers avec Eric Elmosinino, Christa Theret…)
22 documentaires (Tomi Ungerer, un regard sur l'Amérique réalisé par Tania Rakhmanova et produit
par Vision Internationale, La voix vivante de Laurence Mouillet produit ANA Films, Purim, les tunnels
de la mémoire réalisé par Mariette Feltin et produit par SEPPIA…)
1 Fiction télévisuelle (Les Invincibles, saison 2, réalisé par Alexandre Castagnetti et Pierric Gantelmi
d’Ille, produit par Making Prod)
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
Contractuellement, chaque production dépense au minimum 120 % du soutien apporté sur le
territoire de la CUS (embauche de techniciens, comédiens, figurants, hébergement, frais de
restauration, location de matériel, de véhicules, de décors…). Les comptes définitifs des productions
soutenues les années antérieures et reçus en 2009 font apparaitre des retombées économiques
oscillant entre 29 000 € et 1 million d’ € par projet.
Le soutien s’effectue par le biais d’achats de droits de diffusion. Tous les films soutenus par le biais du
fonds sont disponibles dans les médiathèques de la Communauté urbaine de Strasbourg, à la
bibliothèque des musées (en fonction de la thématique du film) et à Vidéo Les Beaux Jours.

Le bureau d’accueil des tournages
Son but est d’offrir des services gratuits aux professionnels désirant tourner sur le territoire de la
CUS en mettant en valeur les ressources locales, tant en matière de sites que de compétences. Par
sa connaissance du territoire et son milieu professionnel, son travail de, conseil, de mise en relation et
d’assistance, le bureau d’accueil des tournages contribue à faire du territoire de l’agglomération une
terre propice aux tournages.
En 2009, 96 sollicitations de sociétés françaises sont parvenues auprès du bureau d’accueil des
tournages, 71 projets se sont concrétisés pour un total de 190 jours de tournage effectifs. Tournages
concernant longs et courts métrages, fictions TV, programmes de flux, documentaires, publicités, films
institutionnels, clips musicaux…10 sollicitations ont également été effectuées par des professionnels
étrangers.

Evénements divers organisés par le département :
-
les Rendez-vous franco-allemands du cinéma ont été organisés en partenariat avec Unifrance
et German Films : 300 professionnels présents du 26 au 28 novembre pour faciliter les
coproductions et encourager la distribution des films allemands en France et des films
français en Allemagne.
Soirée de projection de 6 courts métrages au cinéma de la ville de Strasbourg - l’Odyssée, le
23 novembre
Accueil du réalisateur M. Marcel Ophuls pour une projection-débat du film « November Days »
à l’auditorium de l’ENA, le 2 décembre
-
Budget 2009 réalisé :
- 45 400 € en fonctionnement
- 697 612 € en investissement (fonds de soutien à la production)
MEDIATHEQUES COMMUNAUTAIRES
Le réseau communautaire a ouvert mi-février 2009 son troisième site : la médiathèque Ouest à
Lingolsheim. Le niveau de fréquentation est conforme aux objectifs d’un équipement de bassin de vie
(69 000 entrées et 207 000 prêts sur les 10 premiers mois d'activité).
La médiathèque André Malraux, à l’issue de sa première année pleine de fonctionnement, stabilise
sa courbe d’activité avec des résultats comparables aux grands établissements nationaux (720 000
entrées et 936 000 prêts de documents, soit en moyenne 3 900 prêts et 3 000 entrées par jour).
Avec la médiathèque Sud (250 000 prêts), les 3 équipements du réseau communautaire ont effectué
1 400 000 prêts de documents sur l'année 2009.
Les manifestations culturelles
704 animations (dont expositions) ont été organisées dans les 12 médiathèques de la ville de
Strasbourg et de la CUS.
Près de 1 700 personnes par mois en moyenne assistent aux manifestations du programme d’action
culturelle.
Les inscriptions
Près de 7 5000 usagers étaient titulaires de la carte Pass’relle* au 31 décembre 2009, nombre auquel
il faut ajouter les publics qui fréquentent les médiathèques sans inscription (entre 20 et 25 %).
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
Budget 2009 réalisé :
- 1 876 454 € en fonctionnement
- 2 603 208 € en investissement
*dans une dynamique en faveur de la lecture et dans le cadre du développement du réseau des médiathèques municipales et
communautaires, la carte « Pass’relle » permet aux abonnés d’emprunter des dans toutes les médiathèques du réseau.
ARCHIVES MUNICIPALES ET COMMUNAUTAIRES
Les archives municipales et communautaires ont reçu 492 mètres linéaires de documents en 2009. Il
faut signaler en particulier le versement des archives des bibliothèques, 55 mètres d’archives
hospitalières (1790-1960), 16 ml de diapositives de la Communication Externe, les archives du juriste
et syndicaliste Ernest Thielé (1891-1938) et celles de l’Artus (association pour le théâtre à
l’université). 23 interventions ont été faites dans 15 services.
Les archives des cimetières (1832-1967), des monuments commémoratifs et historiques (1793-1959),
de l’écrivain Edouard Schuré (1832-2000), de l’urbanisme (1843-1942) ont été inventoriées. La base
de données a été enrichie de 6043 fiches. Le traitement des affiches des fêtes, manifestations
sportives a été réalisé.
Fréquentation
1882 lecteurs ont fréquenté la salle de lecture en 4662 séances (journées de travail), 14467
documents ont été communiqués dont 1118 aux services de la CUS. On constate un léger
fléchissement, sans doute dû à une moindre consultation des permis de construire.
Expositions et manifestations
Deux expositions ont été organisées : les Strasbourgeois et la mort (2015 visiteurs) et les
Corporations (1707 visiteurs). Les archives ont prêté des documents pour les expositions : Femmes
affichistes en Alsace (BNUS), Calvin (BNUS) et Hans Haug (Musées de Strasbourg). 1184 personnes
ont visité le bâtiment dont 380 scolaires. Le service éducatif a accueilli 984 scolaires (47 classes) et
participe au projet académique « Au fil de l’eau ».
Budget 2009 réalisé
- 210 505 € en fonctionnement
- 136 895 € en investissement
ZENITH
La fréquentation du Zénith s’élève à 300 000 spectateurs payants sur 70 spectacles.
L’activité économique du Zénith représente 26 ETP en 2009, y compris les sous-traitants. S’ajoutent à
ces emplois, 2000 cachets versés par des producteurs locaux à des intermittents du spectacle
régionaux.
Budget 2009 réalisé
- 68 929 € en fonctionnement
- 45 675 € en investissement
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
PRINCIPALES MISSIONS OPERATIONNELLES
POLITIQUES SOCIALES
ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE
Depuis 1994, l’accueil des gens du voyage est organisé sur le territoire communautaire par la CUS en
application de la convention du 21 septembre 1994 conclue entre la CUS et les communes
concernées en vertu de la décision du 20 mai 1994 du Conseil Communautaire. Cette convention a
été réaffirmée par la décision du Conseil de CUS du 17 juillet 2004.
Missions
En concertation avec les communes, la CUS est chargée :
- de l’aménagement des aires d’accueil et de la réhabilitation (voirie, construction…)
- de la gestion des terrains
- de la gestion du stationnement : gestion des aires d’accueil (encaissement des recettes,
entretien de l’aire, réparations…) et du stationnement illicite
- de la coordination sociale (médiation sociale, animation, mise en œuvre des comités de
suivi…).
- Expertise et conseil (règlement judiciaire, sécurisation des lieux).
Chiffres clés
5 Aires d’accueil réalisées et en gestion :
- Strasbourg/Rue de Dunkerque 39 places
- Vendenheim
33 places
- Illkirch-Graffenstaden
25 places
- Geispolsheim
37 places
- Ostwald/Lingolsheim
41 places
Budget annuel : Fonctionnement : 764 026 €
Projets
- Aménagement d’aires d’accueil :
-
Eckbolsheim
Schiltigheim
Bischheim/Hoenheim/La Wantzenau
2e aire à Strasbourg
Mundolsheim/Souffelweyersheim
Aire de grand passage à Eschau
HEBERGEMENT D’URGENCE ET TEMPORAIRE
Missions
Dans le cadre de sa compétence logement, la Communauté urbaine assure depuis 2007 la mise en
œuvre d’actions portant sur l’hébergement d’urgence et temporaire. Ces actions, relevant de la
compétence de l’Etat, recouvrent les missions suivantes :
-
participation avec l’Etat, le Conseil Général, et la Ville de Strasbourg au comité de suivi du
dispositif départemental mis en place par l’Etat en 2010
la réalisation et l’humanisation de structures d’hébergement d’urgence et temporaire,
le suivi de la gestion de la veille sociale, du numéro vert départemental -115- et de l’hébergement
d’urgence hôtelier porté par l’Etat
la gestion de deux structures d’hébergement d’urgence et d’un réseau des logements pour des
familles,
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
Dans le cadre de l’extension de sa compétence logement social à l’hébergement d’urgence et
temporaire, la Communauté Urbaine a signé le 29 août 2007 une convention avec le Centre
Communal d’Action Sociale de la Ville de Strasbourg lui confiant les missions de gestion de deux
structures d’hébergement d’urgence, du réseau de logements d’insertion pour familles ainsi que la
gestion de la veille sociale n° vert 115 confiée par l’Etat (par convention) au CCAS.
Par cette convention, le CCAS est missionné pour apporter, en tant que besoin, son expertise et son
soutien aux communes de la CUS dans leur recherche de solution d’hébergement d’urgence ou
d’hébergement suite à sinistre.
Budget annuel : 2009 : 5 481 746,10 €
Chiffres clés en 2009 :
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Centre d’accueil et d’hébergement Municipal (CAHM) et Remparts : 27 633 nuitées,
un taux d’occupation proche de 100%. 684 accueils différents au CAHM (stable), 717 aux
Remparts (+20%)
Accueil de jour : ouvert 331 jours, 53 personnes accueillies par jour en moyenne
Equipe de rue : 395 personnes rencontrées dont 15 familles arrivantes
115 : 55 028 appels sérieux au 115 en 2009 soit + 39,7% par rapport à 2008, 7 250
personnes différentes ont sollicité le 115, + 13 %
CCAS – Accueil : 626 personnes isolées ou familles accompagnées par le service dont
50 % n’étaient pas connues du service, 117 étaient hébergées dans les structures du
CCAS. 334 domiciliations (406 nouvelles, 375 sorties)
Dispositif d’hébergement des familles : 38 ménages hébergés, 47 % des familles
accueillies sortaient de l’urgence
Projets 2010 / 2013:
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contribution à la mise en place du Service Intégré d’Accueil et d’Orientation du Bas-Rhin
(SIAO 67)
ACCESSIBILITE AUX PERSONNES HANDICAPEES
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des
chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, mise en place (novembre
2008) de la Commission Intercommunale pour l’Accessibilité aux Personnes Handicapées (CIAPH).
La CIAPH se réunit en plénière deux fois par an.
Obligation légale : L’accessibilité universelle « tout doit être accessible d’ici l’horizon 2015 à toute
personne, quel que soit son handicap »
Le Service du Soutien à l’autonomie/Direction des Solidarités et de la Santé coordonne les travaux de
la CIAPH
Mission : coordination de l’avancement de la démarche de mise en accessibilité (dans le respect des
échéances)
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de la voirie et des espaces publics : diagnostic de 1280 kms de voirie x 2 (chaque côté)
des ERP : diagnostic (état des lieux, préconisations, estimation financière) de 816
bâtiments programmés pour un budget global de 1.910.000€
des transports : élaboration du Schéma Directeur d’Accessibilité des Transports Publics
Urbains approuvé par le conseil de Communauté du 18 décembre 2009 ; des lignes de
bus/CTS accessibles ; mise en accessibilité des arrêts de bus ; programme d’équipement
des bus d’une 2ème place PFR et de l’organisation
du recensement d’une offre de logements accessibles et adaptés en lien avec le Plan
Local de l’Habitat.
Projet
Actualisation du Document de Diagnostics et d’Orientations Communautaires (DDOC) sur le handicap
élaboré en 2006
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
Actions novatrices dans le domaine de l’habitat / CIAPH
- projets innovants (en cours) dédiés aux Personnes Handicapées : habitat spécifique « les
maisons des 4 » accueillant des personnes traumatisées crâniens, les domiciles
« ti’hameau »,
- projets innovants en cours pour personnes âgées : Résidences Personnes Agées (RPA),
« papy-loft », habitat familial/intergénérationnel.
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
SPORTS
Champs d’intervention de la Communauté Urbaine dans le domaine sportif
Grands équipements sportifs (construction, rénovation et gestion)
Organisation des manifestations sportives de niveau national et international
Soutien au sport de haut niveau
Développement de l’accès aux pratiques sportives et activités physiques
Missions de la Direction des Sports
Elaboration et suivi des budgets
Administration générale
Management des Ressources humaines
Accueil des utilisateurs (associations, scolaires, grand public)
Gestion des manifestations sportives
Entretien, surveillance et gardiennage des installations sportives (Rhenus Sport, piscines, gymnases
communautaires)
Maintenance du matériel
Respect de la réglementation (hygiène, sécurité)
Etudes d’opportunité
Etudes des coûts des équipements
Budget annuel 2010 (BP)
Investissement : dépenses 6 000 145 €
Fonctionnement : dépenses 6 954 860 € / recettes
3 325 000 €
Les grands équipements communautaires
Stade la Meinau (1984)
- Capacité : 29 000 (dont 24 000 assises)
- Nombre de rencontres (saison écoulée) : 38 + matches de coupes (France et Ligue)
- Nombre de spectateur : 11 500 par matches
Rhénus Sport (2003)
- Investissement : 12 000 000 €
- Fonctionnement : 335 000 € (2010)
- Capacité : 6200
- Nombre de rencontres (saison écoulée) : 38 + matches de coupe d’Europe
- Nombre de spectateur : 4 000 par matches
Patinoire Iceberg (2005)
- Investissement: 21 400 000 €
- Fonctionnement : 1,6 Md’€ (régie intéressée) / 750 000 € de recette
- Capacité : 1200
- Nombre de rencontres (saison écoulée) : 26 + matches de coupe de France
- Nombre de spectateur : 1 200 par matches
Les piscines
Investissement :
754 000 €
Fonctionnement :
Dépense : 9 200 000 € dont 6 470 000 € de masse salariale
Recette : 1,8 Md’€ (2009)
La Communauté urbaine de Strasbourg gère un parc de neuf piscines accueillant près de 1,3
millions d’usagers chaque année. Ces neuf établissements nautiques peuvent être classés en trois
catégories :
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
Une piscine sport-loisirs
- la piscine de Hautepierre.
Quatre piscines de rayonnement communautaire:
- la piscine du Wacken,
- la piscine de la Kibitzenau,
- le Centre Nautique de Schiltigheim,
- les Bains Municipaux.
Quatre piscines de proximité (concept des « mille piscines »)
- la piscine de la Hardt à Illkirch-Graffenstaden,
- la piscine de Lingolsheim,
- la piscine d’Ostwald,
- la piscine de la Robertsau.
Ces équipements construits entre 1965 et 1987 présentent des signes de vieillissement. Ils ne
répondent plus aux exigences actuelles de développement durable ni à la demande sociale pour
les nouvelles pratiques aquatiques (loisirs et santé, accueil de publics spécifiques, familles, jeunes
enfants, ainés, personnes souffrant de handicaps …).
Le Schéma directeur des piscines de la Communauté urbaine de Strasbourg, adopté le 5 février
2010, prévoit des investissements de 98 Md’€ sur 10 ans déclinés selon deux axes :
- la réhabilitation et l’amélioration du potentiel des équipements existants,
- la construction d’une nouvelle piscine.
Les grandes manifestations sportives
Saison 2009/2010
Championnat de France de football : L2
Championnat de France de basket-ball : Pro A
Championnat de France de hockey sur glace : Ligue Magnus
Championnat de France de Water-polo : Elite
En 2010
EuroTournoi Handball Strasbourg : 50 000 €
Courses sur Route Strasbourg Europe : 100 000 €
Internationaux Féminin de Tennis de Strasbourg : 140 000 €
Championnat du Monde des Rallyes – France/Alsace/Strasbourg : 300 000 €
Le soutien au sport professionnel
Subvention aux centres de formation
- RCS Football : 487 350 €
- SIG Basket-ball :
432 000 €
Partenariat
- RCS Football : 135 000 €
- SIG Basket-ball :
155 000 €
- Etoile Noire :
70 000 €
Le soutien aux initiatives communales à caractère intercommunal
Les équipements sportifs
Fonds de concours aux communes pour 3 plans d’eau à usage de baignade
Investissement : 29 112 €
Fonctionnement : 185 500 €
Fonds de concours aux communes pour les équipements spécialisés
Stand de Tir à Lingolsheim : 150 000 €
Hat-trick à Niederhausbergen : 23 750 €
Les manifestations d’envergure nationale
Eckwersheim
 Challenge National de vélo du Grand Est Cadet et Junior : 900 €
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
La Wantzenau
 EurOpen de Golf : 10 000 € (logistique)
 10ème triathlon Eurodistrict de La Wantzenau : 4 000 €
Lingolsheim
 Championnat du Monde de Boxe Anglaise : 8 000 €
Mundolsheim
 6ème Tournoi International d’Echecs : 500 €
Schiltigheim
 Championnat de France de Lutte : 3 000 €
 Championnat de France de Taekwondo : 3 000 €
 Open International de Taekwondo : 3 000 €
 Euro Mini Champs de Tennis de Table : 20 000 €
 Tournoi International de gymnastique : 20 000 €
 Challenge international Roland Weller (football benjamins/minimes) : 3 000 €
 Finale du Championnat de France de Badminton : 3 000 €
Strasbourg
 Challenge International de Tir : 1 000 € (à venir)
 Circuit national de France de sabre Homme et femme : 2 000 €
 Meeting national de natation : 750 €
 Finale du Championnat de France de National 3 de volley-ball masculin : 500 €
 Tournoi international de badminton : 1000 €
 Master de Badminton : 3000 €
 Trophée Européen de Rugby Féminin : 12 000 €
 Compétition Nationale de Plongeon : 500 €
 Aquathlon : 1 000 €
Le sport de haut niveau amateur (saison 2009/2010)
Les équipes de sport collectif évoluant aux deux plus hauts niveaux amateur.
10 associations, 9 disciplines sportives : 192 291 €
Les équipes de sport individuel évoluant dans des disciplines olympiques au plus haut niveau
national amateur.
9 associations, 9 disciplines sportives : 67 475 €
Les athlètes inscrits sur la liste du Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports
68 athlètes de 25 associations et 7 communes : 31 280 €
Les athlètes ayant obtenu un titre de champion (France, Europe, Monde) ou ayant été
sélectionnés à des compétitions majeures
19 athlètes évoluant dans 14 clubs issus de 4 communes de la CUS : 24 660 €
Actions novatrices
Intercommunalité en matière sportive : le Centre de Ressources Intercommunal
Cadre d’intervention
 respect du principe de subsidiarité et complémentarité entre EPCI et communes.
 respect du principe de couverture complète et équilibrée du territoire communautaire pour faciliter
l’accès aux disciplines et équipements sportifs.
Les missions du Centre
Les actions mises en place s’appuient sur les compétences des communes dans le domaine du sport
et visent à mutualiser les moyens et les compétences. Ses objectifs d’intervention sont :
1. la recherche d’économie d’échelle par la mutualisation de moyens techniques,
2. la diffusion d’une image dynamique de l’EPCI via l’initiative de ses communes-membres par le
soutien financier aux organisateurs de grandes manifestations sportives et au sport de haut
niveau amateur,
……………………….Communauté urbaine de STRASBOURG……………………….
3. le maillage du territoire des équipements sportifs par la possibilité de versement de fonds de
concours aux communes réalisant des équipements sportifs à rayonnement intercommunal,
4. l’assistance à maîtrise d’ouvrage dans la réalisation d’équipement sportif de communes ou de
partenaires du mouvement sportif souhaitant s’implanter sur le territoire de l’EPCI,
5. les échanges de savoir-faire et la capitalisation des expériences communautaires et
extracommunautaires, par l’organisation de rencontres thématiques (procédés de maintenance,
d’entretien et de construction d’équipements sportifs, critères de subvention, conseils juridiques…)
en animant un réseau de partenaires ressources (interne et externe à l’EPCI).
Projets 2010
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Adoption par le conseil communautaire du Schéma Directeur des Piscines (100 Md’€ sur 10 ans)
pour la réhabilitation et l’amélioration du potentiel des équipements existants (par exemple les
piscines de proximité seront dotées de bassins de moyenne profondeur permettant
l’apprentissage), la construction d’une nouvelle piscine.
Lancement d’une démarche de réflexion sur la nouvelle politique sportive communautaire en
concertation avec les 28 communes de la CUS.
Programme de travail transfrontalier Eurodistrict.
Développement de l’interface grand public et associative du site Internet www.sport-cus.com.
Assistance à maîtrise d’ouvrage pour l’intégration d’un gymnase au sein de l’école de la gare à
Geispolsheim.
Assistance à maîtrise d’ouvrage pour l’aménagement de la zone sportive d’Eckwersheim.
Soirée de partenariat avec les champions sportifs de la CUS.
Accueil de grandes manifestations : Internationaux de Tennis Féminin, Euro tournoi de Handball,
Rallye de France.

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