Il laot chasser ie mauvais esprit lîoaseii atitat Four une OHM m

Transcription

Il laot chasser ie mauvais esprit lîoaseii atitat Four une OHM m
LE
OPY
On,
1'
°
X '
Wumbu. Mémorial Librirv <
/
l6èmo àiméé No v4967
PAN AMERICAN tiUinai
Pbrt-anPHnc*» Fait!
Vendrez *7 voVfti»feM i^îfo^o Jl
. *
f
*i
Clément Magloirt
L homme peut devenir
libre par l'anéantissement
des mauvaises passions.
NDMRRU 20 GONTIMES
PLOT1N
Quotidien
REDACTION j:*]ftae Américaine N) MW
fKLKPH J <Ë
No '2tJ
IPnir Cabd
L'Organisation
AdOIT 11 Pjtl de
—
Carrière administrative (■»!!« buvettes Ëtrangèi es
Il laot chasser ie mauvais esprit
De temps immémorial, tout gou
\ ci ne ment haïtien est constitué pai
i':ux éléments, que nous qualifions
nos mâcher les mots : un élément
i./i«#compoaé Je personnages à idées,
:yant de bonnes intentions, t'amoor
eu bien public, le désintéressement
n le cou âge de ses opinioas, et qui
ut dis» se i mettre tout cela au ser
\is€ de l'administration générale ; et
en élémtnt malsain, peur lequel les
jrmcipes et les idées n'eiisteat pas,
i,ui n'entendent que |ouir du pouvoir, amasser des faveurs, caser les
: mis dan.; les (onctions publiques
•te.
Ces dei x éléments existent dans
tous les gouvernements, il n'y a pas
A ic nier, .e pouvoir existant, qu u le
uuille ou non, s'inspire des deux :
il est de constatation courante qu'un
gouvernement conçoit d utiles pro
jeis, qu'il voit cun p.omenre et sabo
ter pu les plus sûrs même de se>
&mis ; ceux ci piotess«nt l'opiaioa
que 1 intérêt du iégime existant doit
tasser avant tout, même avant le
len i accomplir.
^Uuel est-il, le chef de gouverne
m.nt qui n'a pas connu cette dualité
d'esprits et ceite lutte 1 Quel est le
chef de l'Etat, quel est le minime,
quel est même le chet de service qui
naît connn cette angoisse d'avoir
voulu taue quelque enose d utile et
d .voir vu sej étions con iccairés par
le favoritisme, par des amis sors du
goav.rncment chez qui l'élément
malsain lempoitait malheureusement sur l'élément sain ?
Dans ces :o ad liions, le gouvetne
ment est essentiellement une lutte,
lutte du bien contre le mal, lutte de
l'intérêt général contre l'intérêt parti
culier. ae 1 intérêt même du pays
tontre l'intérêt purement gouverne
mental. Selon 1 issue de ceue lutte,
lespnt gouvernemental est bon ou
mauvais.
Une forme ordinaire de cette lutte
réside dans l'attnbution des tonc
lions publiques. 11 est difficile de per
luader un gouvernement qu'il na
pas le droit ue placer ses amis dans
les admiuisuaiions pub.iques au dé
triment des citoyens qualités et que
des service» épiouvés letomnaandeui
déjà à l'attention de 1 *wt La raison
en est que l eut de choses que nous
dénonçons, comme nous l'avons dit
en commençant, date de long emps
et qu il est ainsi trujours peinais au
pouvoir au jour d'inscrite dans son
programme u'administration l'épura
lion du personnel anmiuisLatit,
quale dans l'application A renouveler
et A pe ^etuer les abus qu'a dit vou
loir combattre.
Il laui cependant que quelqu'un
co nm.nce , pourquoi ne se tau ce
pas le gouvernement actuel ? U.ga
user u carrière administrative est
une chose qui vaut la peine qu'on
lui satrihe des préfetences prison
tel es et s'il existait une règlements
tien écrite des conditions qu'il Lui
réunir pour être revêtu de telles et
telles îoucuons publiques, et en
même tcaps de la façon ofliutile
de témoigner de l'existence de ces
coudiucus, nou; voyou» iuu*w«ir
m nt dt quel droit aune pounait se
presa.oir u 1 candidat in»t<W€ ou mf.iusaui. m nous^voyons. au cou.iai
\£f lié» ^.uement" combien, en l'absence de ceue rêgleraeuiaiion, n'importe qui, le premier vtaa, pourvu
qu'il soit l'aaai personnel du pouvoir, peut pié er.de véritablement A
m un
La Presse est un ponvoir. Elle a
pour fin, non seulement d'éclairer
les citoyens d-nn môme pays et de
LONDRES i>- Les résultas enformer l'opinion, mais aussi de faci
core
incomplets des é celions donliter les communioations entre peaEu laisoo de la chut« du cf.
nent
: conservateurs 143, travail )8,
pies,
Wirtii,
la coin nissioa des repu4.
tout et s étonner qu'on paisse lui re
• Bien dirigée,raisonnai.!e,ooram8 libir«uxai, libéraux géorgistes 19, ■lou» na pi preodr: aucuaa di;i(user quelque chose, de ce tout.
a parlé Mr G- Lhénssju, lors de sa rutits 6. Les conseivaums sont en .ion :ur le deruier pioje; ailemau.
preatatiou de serment au Conseil tête -le tous les partis eombiaèj
Les .îumbiei espèreut qj.; le 1103Une telle organisation de la carriè d'Etat, elle eat un facteur puissant
veaucjb.net
ace pieu ic projet e
re administrât!;e est elle impossible et indispensable.»
l'auc
en.
L
espoir
se bise sur latmu
Dans tons les paya où elle s'est
A réaliser ? Rien n'est impossible
de
des
grand.
industriels
qui voien ■
acclimatée,
elle
a
aidé
à
1er
dévé.
pour qui veut aboutir ; au besoin on
Un mémorandum de)
lopperaent
maté
iel
et
à
la
vulgarisa
dans
U
1
uiitique,
qui
a
1 îspiré 1brise les obstacles, dont les princi- tion des idées saines.
L.ord Curzon pio|C, le moyen le p.us sùi de nm ■
paux sur cette question sont euco:e
Au début, le rôle de la pressa ne
PARIS is -lantt Pacha Si sivoir na .lcs co ,dlU0QS QOfmales dans lc
d'ordre sentimental Voici une fsço i fut aussi impo tant que rh nos
i i
très simple de procéder et nous 1 en loura Au contraire, les jonrnaux qic son eutrct.eu Je 1101s quarts ^ ^ ',<.,,
.*;Al*«âg" a Vffil i la co a
pruntons aux usages qui prévalent étaient plus on moins repousses, d heure avec Mr Poincaré fut des
. ~ 0lî, ""
'" ,e
P-«*»on* 53
'*P-»Hon*
» millions
surtout dana lei pays eatiioli mes plus satisfaisants. Il déclara aux ?\*'
dans les admiuistratioui privésa.
,ks
s
quelque
«
"»«
*+9
"ons
payables
à : ru
loarnalistes
que
s'il
y
C'est
av
e
la
Réforme
et
A
la
fin
A .cote administration ou partie
ViU l
du
W'Ile.que
la
presse
prit
une
pari
i.uideui
nouveau
A
Lu
msianuuopie,
?*"*'
^
^i
coiformémeat
de l'administration, il faut, avant
des Turcs ti "»i*««'«<«»ttfi Aoûtd,ra.tr.Dci
tout, un rhef des;rvice res/tn.ablc : énerg qae dans la formation de a ne sera pa> la (au.e d..
!
"f*™.1-1 Pour P*rfaire la
il s'agit tout d abord de mettre la I opinion, e; par conséquent, a'aifir a|oata ; Nous voulons la paix et.quoi °°!
ua une autorité morale avec laqnel- que nous :iguo s, nous nous confor balance Je 5 milliojs ssrojt remises
main sur et chef. E.t-ce t es difh le la société devait compter A cette
demain.
cile? A os que les chefs d'entrepiisc époqu\ la Hollande prineipalement, merons.
UEKL1N— O 1 aa lOQCI officiel't
Mr foin.arè a reça le mémorandu comm:rce et des au ures trouveat ta 1 Angleterre ensuite, en tirèrent
meut
que ladéniisiou du cabinet
facilement ce qu il leur faut chaque de graods profits, taudis que les dum de Loii Cuizon et prépaie la
n'rffe.tcra
pas te p.o-,amme des ré
recouse.
Ljrd
Cmzon
a
demande
A
fois qae l'occasioii s'en pré,en e un milieux qui ne surent point e i user,
parat.ous
cipajé
uai ia djraière no
ce
que
ie
lests
soit
tenu
secret.
Me
Ch.-tde gouvernement, un président, eu la comprimant travaillèrent A
te a L-.n-inie.
leur
propre
préjudice:
Poiacaré
a
seulement
déclare
qu'il
un minisue serait.il exposé A ère
-UjbrouilUrdd
A un certain moment, les Anglais oe veuaiiuea qui puisse e.npo h:r , i>KU\«iLLiïS
"««^«^e-i-a -u
j orouillard uns
mo ns heureux i U est rare, dans le
laF..n.eet l'Aug eterre de s'enlea- *£*'" uéM *"*c*iîa« cavèlopat l|
commerce ou dans les affaires qui s'en servirent tréi bjbileimut pour h
i, *'4J,-' d^Mi »S al««». 'es tra.a,
exigent de la suite dans leur admi faire une guerre soutenue à certains die au sujit de 1 attitude d;s déléga et
paya, par exenaple la France, e. téel t.oussAL.usanae.
.'" b'!eia]l SJai reu.dis. la aavi
nuiratioo, qu'un employé, qui a aement ils purent en niant de propag*t;ou
sur iï.*caul est anétéc
fait preuve de capacité au service de gande obtenir certains avantages
JÉBXICO
- « E U.aversil . ,„.
quelques ctab.issements, reste long tignalés sur UB concurrents.
nonce
qu'une
oigaaisauon tucuitemps inactif,; dès qu'.l devient libre
La Franse, a son tour, en tira pro
sesi
formés
A
|alap
3( Elit de Vit»
et dispomb.e pluneurs maisons A I» fit laborieusement, et ees tempa der
L-ruz
j
pojr
co
noaltre
le bjlchévn
niera
avec
Emile
de
Qirardiu,
les
fois lui tont des offres et, paifois, il
me.
CONSIANIINOPLE-Le
gouver
journaux
étaitent
A
la
portée
de
a la latitude de choisir : u faveur,
PARIS-. M^rCereiti, uonce du
nement socialiste a donné l'assurance
c'est lui qui l'a fait.Si nous voulions tontes les bourses
lie nos |ours, la presse a aa haute formelle que les conditions de Par 'wa^e ct ,v*r l0l»nir I, a nbassadeur au
citer des noms, nous en trouverions
Vjl c Q
. oai arrê:é les lignes de l'ac
uue douxaiLe au bout de notre plaee partout telle l'oinore elle auit misiicc de Moudania seraient resiec t0rd' » UI
1 homme pubic dsus toutea ses ma» tees, ce qui améliore .a situation de
1
doanera une plus granle
plume.
mteatauona sociales.
ces derniers jours.
liberté aux églises. Aussitôt la con
Or, ce que peut un chef d'entrepri
Est matière de presse, quel esprit
clusioo d: l'accord, Mr Poiocaré sou
se pavée, itt.at le peut tout aussi doit dominer 7
110 au i,arlemeDt
bien, pourvu qu'il le veuille. L'état
L'est d'abord 1 esprit d éducation,
AT
a
pour
accorder
aux
paioissei ua pluj
dey seivfces passés et le témoignage «nsuite ceiui de Liberté.
VARbUVIbLes
léiultais
congraud
coairo.e
des
biens et fonds des
L'éducation maintient une presse
honoullc de ceux qui ont eu A
nus des élections polonaises au sénat églises que u accordait U loi je jj.pi
dsns
la
bonus
voie,
elle
régie,
tem
épiouver ces services, tels sont les
titres que 1 Etal devrait avoir écrits père, excite l'émulation et i'ar cou- indiquent : 52 nationalistes, u radi uuons. Aigi ll^udriliart, recteur \xi
sous lus yeux, avaut de pouvoir faire ••equeot, la fait monter jouruelle eaux, 25 non polonais, 2 indépen Uusiuui ^aiiiouque de fans a la
en prestige et fait acerulire daitl»,
ruer une enlievue AVCC l'oincaré A cle choix judicieux des cheis de ser meut
SU|st.
Buasi son domaine moral et maté
vice qui lui sont nécessaires a la tête riel.
Ma,,,!,ai
des diveists administrations pubu
La libertéde traduire ouvertement
)unidliui saa prj^iam ne a u cham
ques.
une pensée, fortifie i opinion, éclaire
le
LHIlCer
Hi •« » deuuniA un com^lei appui
Les chefs de service ainsi thoi is, le profane pourvu que la veiné ne
sinon
dusouJia t'ass.'-.nbléf;
le choix deJaperiounel administratif sua pona taisiliee. Ainsi, sou effet
PARIS—Le ministie de Ihygiàne,
déviait exclusivement dépendre d'eux, positif ne peut être que des plus
en cooperatioi avec la ligue uancoen venu da principe, également en avan ageux et utiles.
A côte de ces deux actions, une anglo-américaine organisée pendant
liunueur dan» les eulrepnses privées,
presse
a ara eueo.e pour règle de la guerre, va :aue établir 20 labora
qu'il tau» laisser la liberté ci la res
c .iiduiie, la aaieerité, la justice et le lu.res régionaux pour lutter conue
ponsabiuié de ces choix au pet ;n courage, c dst-a-dire le aentimani
NEW YORK 16-Sterling 44é,j/
uage qui est lui même levêlu de la honottiOie des respensabili es. En le cancer Le piemier a été ouvert
I ranci 5,09
resrcaa»Di:ite uu service.
exereaut de ce te façon sou ACUtu, hier A Pans et contient tous les dei
^*»«BWiejp»"nfSff
e.le ne pourra quétie a.réable A la mers perfectionnemen s du radium,
ra>ous
X,
etci
Quand on aurait appliqué ces pan société, dout ehe aéra la garantie.
Mata, cette manière de concevoir,
cipe» dans ie lecrutemeut du peison
nei admmistra if, il faudrait une se exaiut-eiie une preaae oppoaaine f
l'ai le ruoius du a; on de Au cou
ne ue s.ne.ions pour ir t:gei ce
peisOauel «.outre uievocatoa sms traire, celle-ci ea nécessaire pour
La tête qu orgmise un groupe de
restreindre les aous, tégier les capri
motif Mais nous exam uernns ce ces des bomnas, et maintenir la A.nglo dos Ruas des Fronts dames paironncsses au profit de l'fcce point uni autre IJIS. Le , eu qje maicae ordonnée des îusti utions.
t'orts et du Magasin do l'fâ'ot cole des soeurs d'hl.e Dubois au Bel
aous disons aujourd h ai est pour eu
\ir est bxee au dimanche j decemI J gjuvdrne.ue.it, par exemple,
o.,r la ne.essite d oiganisii la car a t'a intérêt A voir mauœuvrer une II
I
I'
bre. liile aura lieu Allicolc de la
rière administrative, s. ion veut ob presse opposante ?
VlarCliaildlSeS
Rue du C*.*. , elle cons.s.era en
leur de la bonne adm nistra.ioa.
OJI.~ mais, cjiu.niui cette der
,
une vtoie d oojcis ne lingerie et con
ut cette orgau saion manque A e* mère doit eue agir 1
r 5^*1 nPM IflMàfl Iecl:oa» PJtfni lesqiels on trouvera
*.
JLdâJiyaiwraj à uèi b0Q maiché de aoa:breuses ro
Avec
truucniae,
boene
foi,
respect
p ;iut que fane valoir sou druil A la
e.iVers
tout
le
moude
puissauts
et
bts d'eufants, parfumerie, ,papeteri',
peusion est une aiianc aujouid'bui
faibles,
rictios
ou
pauvre*
il
faut
en
—
|ouet«,poupét-, obiets religieux etc.,.
compliquée et que le fonction îaire
outie, qu'elle appi:qiid doa ideéi
pub.ic prend son puti iaoaanon avouables, justes et maïuiienne les
sattarque non seulemant aux actes, SSSSli&ui1 î* S0mbie°
ner chaque unis i pour cent de an •ttectiona ue coofrateruué. Alors, m ..s aux pJisonnes.à leu. honneur «« atiraetions, des (eux de Massacre,
traitement, sans même s: demander ei.e rempia une utile louction, reud u'uomine et parfois de famille, yui,**™' lir« roule te» llcch?s; soldats,
boules, tourniquet, absolument iné
A quoi cela urne.
service «u corps SJCISI, purce impute des fautes gratuitement,piô.e dltl
el
1Ul feront la joie des enfants
que en usant de uioyeL.» Uouuéies ans nns et aux autres des senti
et pacin lues; elle maintient le* inlé m ma de bassesses poor cony étions petits et grands.
*
lessés eu Bvti.. Biiinuie leur e for. , van oi',,osèee, et ce sii.s é^i d
Ou en vieme eu fou'e se distraire
^
o..u ^Je l.ur direc ion soit U>UJOJI« pour la vdiiô. Et eom.ue .ci oaa, et taire en mt.iie temps une bonne
la meilleure poss.b.e.
II.U.I.;JC est plus enclin a mal juger oeu/re I...
Voila, le rj « lationnel d uns piec- quelqn'uu, cotte presse par on man
v la usikçe et par menque de clair
Madame Taldy
▲ la séaace de ce jour.; il Conseil uue preese, deut i activa., eat vui
river a vicier lu l«j
UU de l'avename directrice de Ciné-Viri.i«<'i
d Lui a vote u IUI qui ciec uue cia gaiie, enlisas sans cesse eu reeou ci< te, et diminuer un h mute que. ■M l .u.ioDnaire
ei commue a inspirer de Urieuse
quieme classe d ingénieurs
rant aux grot mol», a des élément que aoit aounéiale e; aa valeur mo IniMiléniitii,
Noui toruoDi des v«ux de reublitscMut pour
Plus rien n'étant A l'ordre du jour, n ag;ux, indécis et même menaon raie.
( A êmisrs ;
Mine Taldy qui a su s'adirer toutes la sysap..
la séance est levée.
géra, goi, pour jeter du dissicdit,
Constantin DUMCRVE
ihies du public.
^Hésnltat a'électiousl)
La Turquie v^ul la piii
Là ftifualiou à
Cousu utitiople
f
».
S'
Election* polonaises ««'LïïiîiT'a-î *
La lutte contre
JSii Z
* *wk au
Les Cours
Amm Etiuimo ttls.
Four une OHM m
lîoaseii atitat
I
-