N° 47 coordonné par l`IRTS

Transcription

N° 47 coordonné par l`IRTS
N° 47 coordonné par l’IRTS
Revue trimestrielle de « recherches en travail social »
Parution en mars, juin, septembre et décembre, plus un hors-série annuel
Revue des instituts associés : Buc Ressources (Yvelines), l’EESTS Nord-Pas-de-Calais, l’ESTES de Strasbourg, le
GIRFAS Bretagne, l’IREIS Rhône-Alpes, et les IRTS de Basse-Normandie, de Champagne-Ardenne, Ile-de-France
Montrouge/Neuilly-sur-Marne, du Languedoc-Roussillon, de Nord-Pas-de-Calais, de PACA et Corse, de PoitouCharentes et de La Réunion ; et de Instituto superior de serviço social do Porto (Portugal). En partenariat avec les
établissements gestionnaires : ADSSEAD, ANAJI, La maison des enfants et La Sauvegarde du Nord.
Appel à auteurs >
Amour, accompagnements et dépendances
Encore aujourd’hui lorsque l’on évoque la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap ou
des personnes âgées, le sujet devient sensible et révélateur de nombreux tabous. La sexualité se traduit par
différents modes d'expression et permet à chaque personne de vivre ses émotions, ses sentiments, ses désirs tout
en contribuant à son épanouissement et son bien-être. Malgré son âge ou son handicap, le sujet demeure entier
dans ses capacités à donner mais également à recevoir de l'amour, à être en relation avec d'autres.
Les professionnels qui les accompagnent, les soignent, interrogent, parfois eux-mêmes avec gêne ou difficulté,
leur approche de la sexualité de ces personnes ; ceci les renvoie inévitablement à leur conception de la sexualité,
voire à la conception de leur sexualité. Comment ne pas les stigmatiser dans leur besoin d'aimer et d'être
aimées ? Comment comprendre les comportements de gêne et les dénis empreints d’influence culturelle, de
croyances religieuses et de convictions philosophiques vis-à-vis de cette problématique ? Quels rapports
complexes entretiennent l'âge, le handicap, le corps, l'affectivité et la sexualité? Comment les professionnels,
mais également les familles, parents ou enfants, se situent-ils par rapport à l'émergence de désirs amoureux chez
leurs proches en situation de handicap ou leurs aînés dont ils s'occupent ? Comment les institutions peuventelles assurer à leurs résidents une vie intime et la compensation des conséquences de leur handicap comme le
stipulent la loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale et celle du 11 février 2005 pour
l’égalité des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées ? Qu’apporte le cadre
juridique aujourd’hui institué et quels sont les débats déontologiques sur son évolution ?
Depuis quelques années, des acteurs de terrain se mobilisent sur ces questions au sein de collectifs ou de réseaux
qui militent pour une reconnaissance de ce droit à mener une vie sexuelle autonome. Il est possible qu'une
déconstruction des représentations sociales et une mise en évidence des besoins de ces personnes puissent
amener à un changement de regard sur leur vie affective et sexuelle. Parler de sexualité des personnes âgées ou
vivant avec un handicap, c'est participer à une compréhension renouvelée, basée sur la valorisation et le respect.
Par la mise en perspective d’expériences en France et ailleurs, visant l’expression de la sexualité, permettant de
nouvelles pratiques dans les institutions, ce numéro du Sociographe propose une investigation du cadre
juridique à constituer, de ce qui a évolué dans les représentations collectives, de ce qui change dans les pratiques
professionnelles. Nous souhaitons ouvrir un espace de réflexion, de confrontation et de débats sur ces questions
pour contribuer à faire évoluer tant les mentalités que les modalités d'accompagnement des personnes fragilisées
en situation de dépendance.
> Dépôt des manuscrits jusqu’au 15 septembre 2013 (par mail à : [email protected])
Les accusés de réception se font à échéance du dépôt des manuscrits
> Manuscrits de 30000 signes maximum. Les autres recommandations sont sur le site du Sociographe : www.lesociographe.org
> Tout manuscrit est signé par un ou des auteurs physiques (pas de personnes morales). En cas de co-auteurs, nécessité d’avoir un seul contact pour la
rédaction (ils seront présentés dans la publication par ordre alphabétique).
> Les manuscrits et autres documents remis le sont à titre gracieux. Tout fichier proposé suppose l’autorisation par l’auteur d’une mise en ligne possible
sur Internet.
> Procédure :
Dépôt des manuscrits : jusqu’au 15 septembre 2013
Décision de la rédaction (après consultation du comité de lecture) : janvier 2014
Bon pour publication (sur article mis en page) : juin 2014
Parution : n° 47, septembre 2014 (Après parution, rencontre entre auteurs et lecteurs du numéro)
> Contacts :
. Dossier coordonné par Irène ALBERT (membre du comité de rédaction du Sociographe, Responsable de formation, IRTS Réunion).
Mail : [email protected] / Tel : 02 62 92 99 45 (Réunion : + 2 h. de décalage avec la métropole)
. Marc TRIGUEROS, secrétaire de rédaction. 04 67 07 82 73 / Mail : [email protected]
> Orientations du Sociographe : …travailler les articulations entre réalités sociales, pratiques
professionnelles et prescriptions politiques du « travail social »… (extraits)
Le sociographe. 1011, rue du pont de Lavérune. CS 70022. F-34077 Montpellier cedex 3. 04 67 07 82 73 /
www.lesociographe.org
Règles de rédaction et de présentation des documents
(actualisée en avril 2012)
Bibliographie
La liste des références bibliographiques doit figurer en fin d’article.
Il faut classer les documents par ordre alphabétique de nom d’auteur, puis
par année de première publication.
Il faut indiquer les URLs stables (permaliens) des versions électroniques des
références citées.
Chaque référence doit être terminée par un point.
La présentation des références bibliographiques doit être la suivante :
Ouvrages :
Nom de l’auteur Prénom en entier, Titre, Ville : Editeur, Année. (majuscule
sur le premier et le deuxième mots si le premier est un article)
Exemple :
Castoriadis Cornélius, L’Institution imaginaire de la société, Paris : Seuil,
1975.
Articles de revues :
Nom de l’auteur Prénom, « Titre », in Revue, Numéro, Titre du numéro,
Date, Pagination.
Exemple :
Brohm Jean-Marie, « Un chien se meurt… », in Prétentaine, n° 7/8,
Anthropologie de l’ailleurs. Présence de Louis-Vincent Thomas, octobre
1997, pp.297-310.
Contributions à des ouvrages collectifs :
Nom de l’auteur Prénom, « Titre de la contribution », in Nom, Prénom du
directeur (dir.), Titre de l’ouvrage, Ville : Editeur, Année, Pagination.
Exemple :
Clouzot Olivier, « La musique de film », in Roland, Manuel (dir.), Histoire de
la musique, vol. 2, Du XVIIIe siècle à nos jours, Paris, Gallimard, 1963, pp.
1494-1522.
Ouvrages, articles ou contributions traduits :
Mêmes règles que précédemment avec l’ajout de la mention :
Traduit de (la langue d’origine) par (Prénom et nom du traducteur).
Citations
Les emprunts à d'autres œuvres ne devraient pas dépasser la reproduction
autour de 10 lignes par livre, ces éléments pouvant être interprétés comme
des plagiats. Dans tous les cas, ces emprunts doivent figurer entre
guillemets. Le renvoi à la référence bibliographique suit la citation, avant le
point qui marque la fin de la phrase, dans une parenthèse qui indique
successivement le nom de l’auteur, l’année de publication et la page.
Exemple : (Durkheim, 1895, p. 134)
Les différentes publications d’un même auteur dans la même année sont
distinguées par des lettres minuscules. Exemple : (Lefèbvre, 1973b, p. 78)
Il faudrait mettre 3 points de suspension entre crochets pour signaler le fait
que du texte est coupé dans la citation après un point. On utilise 3 points de
suspension entre parenthèses pour signaler le fait que du texte est coupé
dans la citation à l’intérieur d’une phrase
Dates
Les références temporelles doivent être écrites de la façon suivante :
- les années et les décennies sont écrites en chiffres : 1968, années 1820,
années 1980 (et non les années 80 ou années quatre-vingt), années 1970,
années 2000, etc.
- les siècles sont écrits de la façon suivante : XIXe siècle, avec les chiffres
romains en petites majuscules suivi du « e » (et non pas XXème siècle ou
XIXème siècle, ni vingtième siècle ou dix-neuvième siècle).
Genre
Pas d’utilisation du genre en dehors de l’usage classique de la langue. Pas
de « auteure », de « professeure », etc. Il nous semble que cette façon de
féminiser la langue introduit davantage de confusion que cela n’éclair le
lecteur. Dans la filiation linguistique, nous préfèrerions féminiser avec
« autrice » ou « professeuse », termes qui sont encore impropres
aujourd’hui. Nous gardons donc les règles classiques.
Guillemets
Il faut encadrer les citations dans le corps du texte de guillemets français
(« citation », avec espace insécable après le guillemet ouvrant et avant le
guillemet fermant). À l’intérieur de ceux-ci, utiliser les guillemets anglais
“citation dans la citation” (sans espace).
Illustrations
Les illustrations, les figures et les tableaux sont acceptés sous réserves. Ils
doivent être insérés dans le texte à la suite du paragraphe où on s’y réfère.
Ils sont numérotés en chiffres arabes et identifiés par un titre qui précède le
document.
Dans le corps du texte, il faut faire référence aux tableaux et aux figures en
citant leur numéro.
Les illustrations, figures et tableaux insérés dans le document doivent
également être joints, au document séparément (en jpeg, tiff, ou Pdf)
Intertitres
Le document peut comporter deux niveaux de titres au maximum.
Les différents niveaux de titres doivent être en minuscules et doivent être
numérotés.
Italiques
L’usage des italiques est strictement réservé à un certain nombre de cas
particuliers, énumérés ici. Il faut mettre en italique les titres de livres ou de
revues, ainsi que les mots de langue étrangère :
- Titres d’ouvrages, avec une capitale au premier mot seulement. Exemple :
La division du travail social.
- Mots étrangers et expressions latines. Exemple : la notion de role model ;
a priori.
Majuscules
Les majuscules ne sont pas accentuées.
Nom
Les noms nationaux, comme un objet français, espagnol, portugais ne
prennent pas de majuscule en début de mot. Cette même règle s’applique
aux personnes françaises, espagnoles, italiennes, etc.
Les noms propres sont écrits en minuscules, avec initiale en majuscule.
Notes de bas de page
L’appel de note est en chiffres arabes entre parenthèses, sans utiliser les
appels de notes automatiques, et précède toujours le signe de ponctuation.
Par exemple, dans cette phrase de Francis Bacon : « Dans le noir, toutes
les couleurs s’accordent » (1).
Il faut placer les notes en fin de document.
Les notes de bas de page ne doivent pas servir pour donner les références
bibliographiques détaillées (cf « Citations »)
Paragraphe
L’article commence par un texte d’accroche et non par un titre. Le premier
titre intervient après 5 à 10 lignes (ou de 400 à 800 signes espace compris).
Sigles
Ils sont déployés à leur première utilisation, le sigle est placé entre
parenthèse à la fin. Seule pa première lettre du premier mot est en
majuscule. Ex. : Centre d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS).
Titres
Le titre et sous-titre, les titres et sous-titres des parties sont court pour
pouvoir entrer sur une ligne (80 signes). Un des éléments entre titre et soustitre doit être explicite, l’autre peut être plus allusif (ex. : titre : La distinction.
Sous-titre : Critique sociale du jugement).
Résumé
Rédigé au style impersonnel, de 600 signes maximum, placé en début de
texte, précédé de « Résumé : ».
Traduction
Les citations en d’autres langues que la langue de l’article doivent être
traduites dans la langue de l’article, et suivies du mot « traduction » entre
parenthèses. Le texte cité et traduit peut être reproduit dans la langue
originale en note de bas de page.
www.lesociographe.org