Et si l`on repensait le centre commercial Grand Bois
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Et si l`on repensait le centre commercial Grand Bois
Et si l’on repensait le centre commercial Grand Bois ? Dans un objectif de redynamisation, une étude commerciale, juridique et foncière réalisée par l’organisme le plus crédible en la matière, l’EPARECA, soutenu par l’Etat, souligne l’impérative nécessité d’un redimensionnement du centre Grand Bois. Les préconisations sont les suivantes : -‐ Le Centre Commercial est aujourd’hui surdimensionné. Il serait toutefois viable avec seulement 22 coques (contre 58 coques actuellement). -‐ La physionomie du Centre Commercial avec deux parties distinctes qui se tournent le dos (Le supermarché et la galerie) ne permet pas un bon fonctionnement. C’est une erreur architecturale. qui ne permet pas une circulation et une fréquentation suffisante des consommateurs. -‐ Seul un réaménagement global du secteur permettrait de relancer le centre commercial. Ce redimensionnement induit inéluctablement une reconfiguration de l’emprise foncière du futur centre commercial Grand Bois dont la taille devra être réduite et l’organisation entièrement repensée, intégrant également un réaménagement des extérieurs. Il ne s’agit donc pas d’une énième étude visant à colmater des brèches, mais bien d’un engagement de la municipalité de s’attaquer structurellement à la redynamisation de tout un quartier. Les habitants de Saint-‐Michel-‐sur-‐Orge sont très inquiets de l’état du Centre Commercial et ils méritent que nous nous engagions pleinement dans son renouveau ! Repenser la structure même du Centre commercial en y intégrant une vision plus globale de ses abords, c’est redonner fierté et dynamisme à tout un quartier! Groupe de la majorité municipale Opacité dans la cité Avec l’arrivée des premières feuilles d’impôt foncier dans les boîtes à lettres (cette tribune est écrite à la mi-septembre), les saint-michellois constatent les effets des choix financiers de la majorité municipale et départementale sur leur comptes en banque, avec une hausse globale supérieure à 17 % !!! En attendant celle de 15% qui suivra sur la taxe d’habitation ! Comment ne pas s’interroger sur certaines options retenues par la Majorité et sur les leitmotiv qui prétendent la justifier ? Si aujourd’hui, il faut augmenter l’impôt local, nous dit la majorité, c’est d’une part à cause du retrait d’une partie des aides de l’Etat et d’autre part en raison de la mise en place des rythmes scolaires …Au niveau départemental, c’est à cause de l’incurie de l’équipe précédente. Certes, le financement de l’Etat est défaillant et la charge s’alourdit pour les collectivités territoriales. Toutefois, certaines décisions inconsidérées ou aventureuses (achat du drugstore, champ de ruine inutilisé pendant 34 ans, pour près de 700 000€), de mise en œuvre de structures pas toujours justifiées(faire cohabiter sur notre territoire une salle de spectacle comme l’Espace Carné et la salle Baschet dont le coût global, loin d’être négligeable, n’est pas communiqué aux élus) ou de choix politiques (vidéosurveillance, externalisation de services …) qui ont un coût qu’il faut avoir le courage d’assumer sans rechercher de responsabilités extérieures. L’effort de tous peut être compris s’il est expliqué et argumenté. Aujourd’hui, tout se fait dans l’opacité. Les études, les audits, les analyses financées par l’argent public restent dans le secret du bureau municipal et ne font l’objet d’aucune publicité. La situation de notre commune est-elle donc tellement inquiétante qu’elle justifie d’un secret aussi important ? Marie Elisabeth Barde, Isabelle Catrain, Jean Philippe Chartier, Alice Sebbag, Christian Soubra http://agir-ensemble-a-gauche.fr Saint Michel ma Ville – Octobre 2016 Tribune du groupe Citoyens avec le Front de Gauche L'affaire est entendue. Dans les prochains mois Bernard Zunino va laisser le poste de maire à Sophie Rigault. Nous ne commenterons pas ici toutes les dissensions au sein de la droite locale qui précipitent ce changement à la tête de la municipalité, déjà effectif sur certains dossiers. En exfiltrant le maire actuel, qui « passe mal » dans la population, et dont plusieurs aspects de la gestion conduisent la ville dans le mur, un appareil politique, tente de mettre la ville sous sa coupe. Une vaste opération médiatique d’enfumage va repeindre la ville en rose… Issus d’un rassemblement citoyen, nous sommes d’abord pragmatiques et soucieux de l’intérêt général Humain. Pour chaque question, problème à résoudre ou projet à établir, nous considérons que les habitants de notre ville ont une expertise d’usage qu’il conviendrait beaucoup plus souvent de prendre en compte. La municipalité ne détient pas LA vérité sur tout. Elle est majoritaire, personne ne le conteste, et à ce titre elle met en œuvre ses projets. Mais elle doit aussi accepter le débat, plutôt que de mépriser et de caricaturer tous ceux qui s’interrogent ou émettent des avis différents. La hausse vertigineuse des impôts locaux (taxes foncières et taxe d’habitation) n’est pas que la conséquence des politiques néfastes des gouvernements qui se succèdent depuis 30 ans. Elle a aussi sa source dans des décisions et les mauvais choix faits depuis 8 ans par la majorité actuelle. D’un côté elle impose des économies draconiennes qui réduisent fortement le périmètre et la qualité du service public communal de la petite enfance aux aînés (alors que les tarifs augmentent sans cesse) et d’un autre elle reste bien passive (voir complice) devant les sommes englouties au sein de la co-propriété du centre commercial du Bois des Roches (déserté), les montants exorbitants de la concession à la Sorgem pour la ZAC Gambetta, les exigences de quelques promoteurs qui détériorent notre cadre de vie, le délitement des liens sociaux ou l’engagement de l’agglomération dans le coûteux et bien inutile projet de grand stade de rugby... Pour en discuter, notre prochain rendez-vous citoyen se tiendra le samedi 8 octobre de 10h30 à 12h, salle Berlioz. Jean-Louis Berland, Françoise Poli, Arnold Stassinet [email protected]