Hôtel Tunisie www.telecap.fr

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Hôtel Tunisie
Décembre 2016
L’hôtel Tunisie ? Oui c’est ici. A l’origine nous étions 5
étoiles aujourd’hui notre monde a évolué mais nous
devons gérer un évènement aujourd’hui.
Le jardinier veut l’eau de la piscine pour irriguer mais
la piscine est pleine de poissons et il n’est pas possible de
les préparer immédiatement.
Reprenons, « le jardinier veut l’eau de la piscine
aujourd’hui pour irriguer ». Donc, après des complications
les jardiniers continueraient d’arroser les jardins avec l’eau
des piscines. Ils ont aussi cassé les tuyaux d’arrosage quand
ils sont partis des hôtels ? Ces gens qui payaient les salaires
hôteliers avec nourriture hallal gratuite sont où ?
Non, finalement le renouveau est arrivé. Plutôt que
avant, les gens ont dit « utilisons les constructions
existantes et profitons, nous même de notre propre jardin
d’Eden ». Donc il a fallu fermer les barrières à causes des
arabes à problèmes. Il est mieux de fermer notre grand
HLM dit aussi solkose ou kolkose. Nous avions l’eau,
l’électricité, les cuisines … une plage pour les égouts.
Nous sommes devenus une grande famille avec
des hébergements pour chaque adan et eve. Nous
avons utilisé les jardins avec l’eau automatique pour
irriguer le grand jardin potager qui nous nourrit tous.
Ainsi que les poulets et les lapins.
Pourquoi le jardinier veut il l’eau de la piscine ?
Cela n’arrive pas tous les jours. Il a besoin de l’eau de la
piscine. Mais s’il prend l’eau, les poissons d’élevage vont
mourir. Non, ils ne vont pas mourir parce que nous allons
nous organiser.
Nous allons ramasser tous ces poissons, les amener dans la
cuisine et les préparer pour les mettre dans des boites.
Dans quelles boites ? Voilà ! Notre groupe d’homme propose
l’acte de bravoure suivant : prendre l’argent et aller chercher des
boites pour conserver les poissons.
La tractation fut complexe mais les boites sont suffisantes. Il
y avait des réfrigérateurs, il y avait des congélateurs mais notre
gouverneur d’hôtel a voulu des boites à poisson : l’électricité.
L’eau se vide, heure après heure, les poissons frétillent, dans
la piscine puis dans les filets, puis dans les paniers.
Dans la cuisine toute la communauté de l’hôtel travaille il
faut les vider ensuite les effiler enfin les cuisiner.
Nous voilà avec pleins de boites de poissons. Certaines sont
restées là mais nous avons vendu les autres. Aux voisins …
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Charles Patrick De Montpeuls