PerformanSe Mag
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ECHANGE 2 Partager de belles ambitions pour 2015 C’est avec beaucoup d'enthousiasme que nous vous souhaitons une excellente année 2015 que nous voulons aussi dynamique que 2014 ! Nadia NARDONNET Pour PerformanSe, l’année 2014 a été marquée par le lancement de nombreux produits, la fidélité de nos clients et la signature de nouveaux clients, partenaires et distributeurs nous permettant d’être aujourd’hui présents dans 15 pays et d’afficher une croissance globale de plus de 20%, confirmant notre position de n°1 sur le marché Français. Directrice Générale PerformanSe 2014 a aussi concrétisé nos efforts de ces dernières années, tant en R&D qu’en développement de services associés à nos produits. C’est ce que nous avons voulu traduire par la modernisation de notre logo et la refonte de notre baseline « Connecting Decision to Talent », qui réaffirme notre différenciation et notre valeur ajoutée : optimiser vos décisions sur la base de données objectives, justes et partagées, développer la valeur individuelle et collective de vos talents afin d’augmenter la performance de votre entreprise. Ces changements vont se décliner dans les prochains mois avec notamment un nouveau site web. Notre volonté en 2015, vous apporter tout l’accompagnement nécessaire pour anticiper vos demandes, répondre à vos exigences, et permettre le développement de votre entreprise autant que celui de vos collaborateurs. Nous vous donnons dès à présent rendez-vous les 24, 25 et 26 mars au salon Solution Ressources Humaines à Paris, où nous présenterons en exclusivité deux produits innovants ! Nos meilleurs voeux à toutes et tous, Nadia Nardonnet - Directrice Générale, PerformanSe 1 Exemplarité managériale : s’appliquer à soimême ce que l’on attend des autres 2 Donner un feedback c’est bien, s’il a un réel impact c’est mieux 3 Votre entreprise est-elle (vraiment) mûre pour la transformation digitale? 4 Shiva s’appuie sur Team Booster pour améliorer l’efficacité de son CODIR. 1 Exemplarité managériale : s’appliquer à soi-même ce que l’on attend des autres. C’est en étant lui-même exemplaire sur les qualités attendues de ses collaborateurs que le manager assoit sa légitimité, installe la confiance et suscite tout à la fois performance et bien-être au travail. Ce constat qui semble relever du bon sens fait l’objet de recherches menées par le professeur Rémi Finkelstein, directeur adjoint du Laboratoire Parisien de Psychologie Sociale Appliquée (Paris 8 et Paris 10). Objectif : expliquer les ressorts et les impacts de l’exemplarité managériale. Rémi Finkelstein Membre du Comité Scientifique de PerformanSe « La personne scrute les attitudes du manager afin de sonder s’il peut lui faire confiance ou s’il doit se méfier de lui et se protéger. » 2 I PerformanSe - Echange Comment l’exemplarité managériale se mesure-t-elle ? Ponctualité, réactivité, esprit d’équipe, politesse et sensibilité aux autres, prise d’initiatives, sens des responsabilités… font partie des qualités communément attendues d’une personne en exercice d’autorité et de pouvoir dans un contexte professionnel. Pour mesurer l’exemplarité managériale, nous ne demandons pas aux collaborateurs “est-ce que votre manager est comme ci ou comme ça ?”. Nous posons la question : “est-ce que votre manager est aussi réactif qu’il vous demande de l’être ?”. A partir d’un instrument de mesure validé scientifiquement il est ainsi possible de produire des scores pour évaluer l’exemplarité managériale ainsi que son évolution dans le temps. Pourquoi les collaborateurs sont-ils si sensibles à la qualité du management ? Dans le cadre d’un contrat de travail, le salarié dépend fortement de son responsable hiérarchique pour toute une série d’éléments qui touchent à son parcours professionnel (évolution, rémunération…) mais aussi à sa vie personnelle (vacances, temps de repos…). Le manager, et toute personne qui a du pouvoir sur un collaborateur, fait l’objet d’une attention particulière quasi méticuleuse. La personne scrute les attitudes du manager afin de sonder s’il peut lui faire confiance ou s’il doit se méfier de lui et se protéger. La théorie des échanges sociaux montre bien que les individus sont naturellement en attente d’une réciprocité. Ce que l’on donne entraîne une obligation diffuse de réciprocité. Pour le manager et le managé, c’est vrai dans les deux sens. ECHANGE 2 Que produisent performance ? des comportements exemplaires sur la Un juste équilibre manager/collaborateur en matière de rapidité, de fiabilité ou encore de respect, génère de la confiance réciproque et développe tant l’efficacité individuelle que collective. La posture du chef qui fixe les objectifs et attend que les choses soient faites parce qu’il l’a demandé est vaine. A l'inverse, celui qui montre comment il travaille afin que ses collaborateurs puissent s’en inspirer recueille un engagement fort de ses équipes et facilite chez ses collaborateurs les apprentissages de procédures nouvelles. En développant ses propres aptitudes relationnelles et en évaluant son exemplarité managériale, le manager inscrit toute son équipe dans une perspective d'amélioration continue et partagée de l'efficacité et de la satisfaction au travail. Ce qui est vrai au premier niveau de management l’est aussi dans les comités de direction. Toute personne qui est managée est en mesure d’évaluer l’exemplarité de son propre manager, du premier niveau d’encadrement jusqu’au comité de direction de l’organisation. « Un juste équilibre manager/ collaborateur [...] génère de la confiance réciproque et développe tant l’efficacité individuelle que collective. » PerformanSe travaille en collaboration avec Rémi Finkelstein sur le développement et la validation d’un outil d’évaluation de l’exemplarité managériale. Ces travaux donnent lieu à une thèse CIFRE (Conventions Industrielles de Formation par la Recherche) portant sur les antécédents psychosociaux et les conséquences de l’exemplarité managériale, rédigée en anglais par une doctorante chinoise. A propos du professeur Rémi Finkelstein : Rémi Finkelstein est professeur en psychologie sociale et des organisations et directeur adjoint du LAPPS (Laboratoire Parisien de Psychologie Sociale Appliquée) regroupant deux universités Paris 10 et Paris 8. Il est également directeur du Master professionnel de Paris 8 : psychologie sociale du travail et ressources humaines. Spécialiste des questions de justice organisationnelle, il conduit des programmes de recherches appliquées en entreprise pour mieux appréhender les antécédents et les conséquences organisationnelles de processus tels que l’engagement, le stress au travail et les comportements contre productifs. Rémi Finkelstein est également membre du comité scientifique de PerformanSe. 2 Donner un feedback c’est bien, s’il a un réel impact, c’est mieux. Il ne suffit pas d’exprimer un feedback à un collaborateur ou un collègue pour que quelque chose change dans sa façon de faire ou sa manière d’être. Un feedback est réellement reçu et entendu, si la personne qui le donne instaure un climat favorable à l’appropriation du message. Les clés d’un feedback impactant : bienveillance, positivité, exemplarité, précision et légitimité. Alexandra DIDRY Docteur en Psychologie Sociale du Travail et des Organisations, Responsable R&D PerformanSe « C’est en commençant par des éléments positifs dans lequel le collaborateur se retrouve, que le manager crée un climat de confiance. » 4 I PerformanSe - Echange Présenter les points positifs avant toute autre chose Commencer un feedback par ce qui ne va pas est clairement contre-productif. « Les individus réagissent plus rapidement à des points positifs, alors qu'un message qui pointe des comportements à changer ou à transformer est plus long à intégrer », explique Alexandra Didry, responsable recherche et développement de PerformanSe et docteur en psychologie sociale et du travail. « Communiquer du négatif en premier ne permet pas au collaborateur de se reconnaître dans les propos du feedback ni d'accepter l'image qui lui est renvoyée ». C’est en commençant par des éléments positifs dans lequel le collaborateur se retrouve, par exemple “vous accordez généralement de l'importance à autrui dans votre travail”, que le manager crée un climat de confiance. Ce dernier est propice à une réelle écoute des éléments qui vont suivre, axés pour leur part sur des axes de développement. Prendre le temps de développer les axes de progression « L’acceptation des points positifs d’un feedback est un processus cognitif assez rapide. Cela demande beaucoup plus de temps de prendre conscience et de s’approprier des lignes de progression à suivre », explicite Alexandra Didry. « Cette démarche est une réévaluation du schéma de soi qui ne se fait pas pour tout le monde au même rythme ». Par exemple, pour arriver à se dire, “j’étais persuadé que j’étais une personne à l'écoute, mais d’après ce qui ressort de nos échanges, je me rends compte que cela peut varier en fonction de mes interlocuteurs”, le chemin à parcourir nécessite de s’engager activement et d’accepter d’abandonner certaines croyances sur soi. Lorsque la personne qui reçoit le feedback a commencé à opérer ce déplacement intérieur, alors des interventions qui pointent des défis à relever peuvent aider à s'engager dans des changements concrets. ECHANGE 2 Adopter une posture exemplaire et réfléchie En se mettant à l’écoute de la personne qui reçoit le feedback, le manager ou le recruteur favorise sa légitimité perçue par l'évalué. « Plus celui qui est dans la situation de transmettre un message, avec ses aspects positifs mais aussi négatifs, montre par son attitude qu’il comprend et accompagne la réaction de la personne qui reçoit le feedback, plus la confiance, indispensable pour les transformations futures, s’installe », poursuit Alexandra Didry. Se former et s’entraîner au feedback permet de développer une posture naturelle d’écoute et d’échange, éloignée de toute approche descendante qui placerait celui qui donne le feedback comme un expert ou un professeur. Choisir des termes précis et objectifs, centrés sur les compétences « Pour rater à coup sûr son feedback, rien de mieux que d’attaquer par des phrases qui réduisent la personne évaluée et visent à la faire rentrer dans des cases comme par exemple le propos “vous, vous n’êtes pas un leader dans l’âme” », indique Alexandra Didry. Il est essentiel pour un feedback utile et impactant de choisir des termes qui ne figent pas la personne dans un type de personnalité, mais qui zooment sur des comportements qui peuvent évoluer. Recherche en cours sur les modalités de restitution d'une évaluation : « Il est essentiel pour un feedback utile et impactant de choisir des termes qui ne figent pas la personne dans un type de personnalité, mais qui zooment sur des comportements qui peuvent évoluer. » PerformanSe travaille en collaboration avec Jean-Luc Bernaud, professeur en psychologie du conseil et de l'orientation au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) sur la définition de modalités de restitution bénéfiques aux participants dans un processus de coaching et d’orientation professionnelle. Dans une recherche en cours, menée au sein d’une école de commerce, les entretiens de restitution, préalablement enregistrés auprès de candidats volontaires à l’étude, sont analysés et codés par les chercheurs afin d’identifier les différentes postures de conseil (réassurance, reformulation, conseil directif…). Les participants sont également questionnés après cette phase d'entretien sur leur impression lors de la restitution (tonalité de l’entretien, crédit accordé à l’évaluateur etc..). Ces données permettent de mesurer l’impact des postures adoptées par l’évaluateur ainsi que l’influence des modalités de l’entretien sur différentes variables comportementales, telle que l’intention de s’engager dans des activités de développement. 3 Votre entreprise est-elle (vraiment) mûre pour la transformation digitale ? Des royaumes se bâtissent et d’autres s’effondrent à l’heure de la révolution numérique. Les business modèles tanguent. Les organisations d’entreprise se transforment. Les nouvelles méthodes de travail bousculent les pratiques installées. Pourquoi certaines structures surfent allègrement sur la vague digitale alors que d’autres peinent à se métamorphoser ? Nadia NARDONNET Directrice Générale PerformanSe La conduite du changement, à l’heure de la transformation digitale, ne peut pas faire l’économie d’un zoom sur la culture qui règne dans l’entreprise comme au sein de chaque équipe de travail. Le potentiel d’agilité digitale des collaborateurs ne se révèle pas sans une valorisation claire de l’esprit de partage, de l’expression libre et de la coopération. La valeur forte qui fait la différence dans les entreprises qui savent rebondir, c’est la capacité à changer et à faire changer ceux autour de soi. Le digital fait vaciller des forteresses « La valeur forte qui fait la différence dans les entreprises qui savent rebondir, c’est la capacité à changer et à faire changer ceux autour de soi. » 6 I PerformanSe - Echange Qui aurait pu croire que la SNCF aurait un jour peur de la start-up de co-voiturage Blablacar ? Que les taxis Uber révolutionneraient tout un secteur économique au niveau mondial grâce aux smartphones ? Que les grandes chaînes hôtelières trembleraient devant le site Airbnb de mise à disposition d’appartements entre particuliers ? Les modèles couronnés hier de succès sont concurrencés par de nouvelles approches. Les outils numériques et les pratiques de mutualisation entre consommateurs créent des marchés sur des territoires qui paraissaient il y a peu comme des terrains de chasse bien gardés. Et les géants du web qui se sont taillé une part de lion en seulement quelques années, sont eux aussi à même de changer la donne d’un secteur à coups de milliards d’investissements et d’une stratégie bien ficelée. Pas une entreprise n’est à l'écart de cette lame de fond. L’objectif : se repositionner, et parfois se refonder totalement, dans un monde irrémédiablement numérique. Organisation du travail et expérience-client chamboulées par le digital Avec l’accès permanent à internet et la multiplication des canaux de diffusion d’informations dans l’entreprise, les codes traditionnels explosent. Les fonctionnements pyramidaux et hiérarchiques sont remis en cause au profit d’une interactivité plus forte et d’une réactivité immédiate. ECHANGE 2 La légitimité professionnelle ne se joue plus sur l’ancienneté, le titre, voire même l’intelligence, mais bien la capacité à répondre aux sollicitations, à avancer et à trouver des solutions dans un monde qui bouge en permanence et de plus en plus vite. L’expérience client est-elle aussi chamboulée avec la possibilité pour le consommateur d’interpeller les marques sur les réseaux sociaux et de challenger les réponses d’un service-client, grâce à ses propres recherches ou encore soutenu par toute une communauté d’entraide en ligne. La maturité digitale ne se décrète pas Au regard des taux d’équipement en tablettes et smartphones des particuliers, de la fréquentation croissante des réseaux sociaux personnels et professionnels ou encore du réflexe grandissant de s’informer sur le net avant toute décision ou tout achat, c’est rarement un manque de compétence des collaborateurs qui freine la transformation digitale des entreprises. L’enjeu est davantage de comprendre pourquoi cette nouvelle forme d’agilité ne s’épanouit pas tout autant au sein des entreprises. Les organisations traditionnelles doivent relever le défi d’adopter les codes de l’univers numérique : partage d’informations, possibilité de s’exprimer librement, investissement dans des projets collectifs qui font sens, conduite du changement permanent… « Les organisations traditionnelles doivent relever le défi d’adopter les codes de l’univers numérique : partage d’informations, possibilité de s’exprimer librement, investissement dans des projets collectifs qui font sens... » Agilité digitale : des comportements clés à détecter Afin de comprendre pourquoi les collaborateurs s’aventurent à reculons sur les réseaux sociaux d’entreprise ou encore pour quelles raisons les formations aux outils numériques ne créent pas toujours les déclics attendus, il est essentiel de zoomer sur les comportements clés qui rendent possible la transformation digitale de l’entreprise. En matière d’organisation du travail à l’heure numérique, il ne suffit pas de savoir faire mais bien d’être acteur d’un changement des pratiques et des mentalités à tous les niveaux de l’entreprise. Diversité, transparence, créativité, confiance, sens et collaboration sont les nouveaux catalyseurs de la réussite collective. A l’heure où il est crucial de dénicher, fidéliser, engager et motiver les talents, appréhender cette agilité digitale devient un réflexe vital sur lequel nous vous apporterons des outils dès le début de l’année 2015. Information produit : PerformanSe a récemment développé une méthodologie permettant d’analyser le niveau de maturité digitale d’une organisation, grâce à une cartographie des compétences de ses collaborateurs. L’objectif : accompagner les organisations dans leur démarche de transformation digitale, de déploiement SI comme un réseau social d’entreprise, par exemple. Pour en savoir plus : [email protected]. 4 Shiva s’appuie sur Team Booster pour améliorer l’efficacité de son Codir Pour aider son comité de direction dans ses fonctions d’encadrement, le directeur général de la franchise Shiva s’est appuyé sur l’outil d’analyse Team Booster, proposé par l’éditeur de solutions d’évaluation PerformanSe. Administrée en ligne, la solution lui a notamment permis d’entreprendre plusieurs actions de développement. Positionné sur un marché à fort potentiel, celui des services à la personne, le groupe Shiva a connu une croissance exceptionnelle depuis son lancement en tant que franchise, en 2006. La taille de la société a notamment quadruplé en l’espace de trois ans. Charles Dauman, directeur général de Shiva, a ainsi souhaité accompagner son jeune comité de direction, qui doit gérer un réseau de 100 agences franchisées, dont les dirigeants sont des chefs d'entreprise expérimentés. « Plutôt que de recruter une toute nouvelle équipe, j’ai préféré former celle qui était déjà en place et lui apporter des compétences en management afin qu’elle dispose d’une meilleure crédibilité en tant que Codir », explique-t-il. « L'équipe du Codir a finalement pris, à son compte, un niveau d'empowerment qu'elle n'avait pas encore osée s'approprier. » En juin dernier, à l’issue d’une session de team building durant laquelle les membres du comité de direction ont notamment pris conscience de l’image qu’ils pouvaient renvoyer à leur réseau de franchisés, Charles Dauman s’est intéressé, par le biais de sa DRH, à la solution Team Booster de l’éditeur PerformanSe, qui promet d’évaluer l’action collective d’une équipe par le biais d’un questionnaire composé de 70 paires d’items à choix forcé. « Ce qui m’a séduit dans cet outil d’analyse, c’est qu’il était simple, individuel, anonyme et administrable en 30 à 45 minutes en ligne. Je savais qu’avec cette solution, je ne risquais pas d’effrayer l’équipe », raconte-t-il. Les dimensions qu’il permettait d’évaluer étaient, quant à elles, en phase avec ses attentes. « Le questionnaire a abordé huit domaines que je souhaitais justement travailler avec mon équipe : la coordination, la prise de décision, le suivi des feedbacks, la communication…», poursuit-il. L’accueil que les membres du comité de direction ont réservé au questionnaire a été favorable. Et pour cause : ces derniers étaient habitués à utiliser un outil quasi-similaire lors de leur entretien annuel de performance. Durant la restitution collective des résultats, menée par Charles Dauman et une consultante de PerformanSe, les membres du Codir de Shiva ont découvert les points forts et les points de vigilance de leur équipe. « Ils ont pris conscience qu’il était important d’avoir une vision unique en interne comme en externe et qu’il fallait tenir ses engagements et ses échéances. Grâce à l’outil et à un nouveau processus de management que nous avons mis en place, ils ont gagné en confiance et en autonomie », précise le directeur général. Le rapport généré par Team Booster a, par exemple, permis au Codir de se rapprocher des franchisés. « Ils ont décidé de visiter une agence par semaine afin de garder l’expérience du terrain et de rester crédibles aux yeux des salariés. L'équipe du Codir a finalement pris, à son compte, un niveau d'empowerment qu'elle n'avait pas encore osée s'approprier », illustre Charles Dauman. PerformanSe - Le Phare des Alizés - 4 rue Marcel Paul - 44000 Nantes - FRANCE +33.2.40.958.958 - [email protected] - www.performanse.com Article d’Aurélie Tachot, publié le 16/10/14 sur Exclusive RH www.exclusiverh.com