Clap Nos soirées - CAMERA CLUB ANNECY

 26, rue Sommeiller - 74000 Annecy
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Clap
Journal du CCA N° 113
Nov 2012 11e Année
2 pages
L’expérience de chacun
au service de tous
M
erci à Paul Darbois, qui
a assuré la technique
de la soirée du 25octobre.
Nous avons essayé une
nouvelle configuration :
ampli vidéo Denon 4 entrées
HDMI et vidéoprojecteur
Sharp V17000 : d’après Paul,
l’installation et le fonctionnement sont d’une simplicité remarquable ; pour la
qualité de la projection et
le respect du format, tout
s’est bien passé, le Conseil
d’Administration va donc
décider d’investir dans ce
type d’appareil. Je vous dis
ça pour que vous sachiez
où passe l’argent de vos
cotisations …
Restaurant « le Clocher » à
Annecy-le-Vieux.
N’oubliez pas de vous inscrire,
au plus tard le jeudi 8 novembre, auprès de Jacques
AG de l’UCV7
Jeudi 8 : Echange 20h30
✤✤G Carron et C Burnoud
Initiation à la page « Membre »
✤✤Gérard Brichet
Bonjour Vietnam
✤✤Georges Carron
Chosal
Interview de Bob Verschuren
✤✤Michel Monfort
Le legs de Mémosine
Dimanche 18 novembre à Pont
d’Ain
Il reste des places disponibles
(transport gratuit)
Se manifester auprès de Frank
Rappel
Le mot de passe vous a été envoyé
par courriel. Vous pouvez aussi vous
adresser à :
[email protected]
Nov. 2012
Restaurant
Vendredi 16 novembre à 19 h
Lisez l’Ecran, revue de la FFCV sur :
www.ffcinevideo.org
Jeudi 22 : Echange 20h30
✤✤Soirée technique sur le son
présentée par Georges et
François
Vendredi 16 : 19h
Dîner au restaurant le Clocher
à Annecy-le-Vieux
Thème de février (maxi 6
minutes)
« Les moyens de transport et
de locomotion »Sam. 20 salle
François Vittoz
Dimanche 18 :
AG de l’UCV7 à Pont d’Ain
Lundi 26 17h salle Bondier
Lisez l’ECRAN, revue de la FFCV sur
: www.ffcinevideo.org
Le mot de passe vous sera
fourni en vous adressant à :
[email protected]
Conseil d’Administration
Sheet1
Résumé de nos formats vidéo (amateur) :
VHS
8 mm
Résolution
340 points/lignes
340 points/lignes
576 lignes
576 lignes
Format
"4/3"
"4/3"
sera numérisé en
sera numérisé en
S/VHS
Hi8
400 points/lignes
400 points/lignes
576 lignes
576 lignes
"4/3"
"4/3"
sera numérisé en
sera numérisé en
DV
DVD
720 points/lignes
720 points/lignes
576 lignes
576 lignes
HDV
AVCHD
Blu-Ray
1440 points/lignes
1920 points/lignes
1920 points/lignes
1080 lignes
1080 lignes
1080 lignes
e
s o iré
s
11 octobre
No
s
Après les infos données par Frank, relatives à la préparation du Concours
Régional entre autres, les projections
commencent par le film de Jean Vuarchex En suivant la Clarée: c’est le début du printemps et cette balade à 20
km de Briançon nous emmène dans un
restaurant où le patron, un brin cabot,
nous raconte son combat pour faire
connaître cette vallée, magnifique et
sauvage. C’est bien raconté, la montée
est décrite avec des images bien fixes,
des points de vue variés. Jean a eu des
soucis pour monter l’interview filmée en
DV PAL
DV PAL
Débit des données
binnaires
25 Mbit/s
25 Mbit/s
.avi
.avi
DV PAL
DV PAL
25 Mbit/s
25 Mbit/s
.avi
.avi
"4/3" ou "16/9" (Peut être monté en HDV)
"4/3" ou "16/9"
"16/9"
"16/9"
"16/9"
contre-plongée «il faut asseoir le gars
dit Claude Marcellin, tu es trop timide,
demander au restaurateur de raconter
son histoire». C’est un souvenir sympa
de cette journée avec une musique bien
choisie et au bon niveau
Ensuite Paul-Emile nous montre des
images tournées à l’occasion d’un festival de rock acrobatique. A la demande
des parents d’un jeune danseur, il a
filmé les démonstrations qui sont assez
répétitives d’autant que le point de vue
ne change pas : c’est le lot des spectacles captés par une seule caméra . Les
parents ont été contents, et comme
le concours durait 5 heures nous nous
sommes rendus compte que Paul-Emile
est toujours jeune. Peut-être qu’il nous a
25 Mbit/s
6 à 8 Mbit/s
"Conteneurs"
.avi
.mpg ou .mpeg
25 Mbit/s
.m2t
De 6 à 35 Mbit/s et plus .m2ts .mp4 . Mxf .mov
De 6 à 25 Mbit/s
H264
mkv,wmv, flv
manqué la voix de Claude Goy…
Les Teppes nous raconte une année
de la vie d’un chevreuil, du printemps
avec les dernières neige à l’été avec la
naissance du faon et à l’automne avec
le début de la chasse (peut-être un peu
trop «téléphoné») . Les images sont en
50p c’est à dire que le caméscope a filmé
à 50 images par seconde et ces images
sont projetées à 50 images par seconde
aussi. Nous n’avons pas trouvé d’amélioration sensible par contre si Georges
nous rapporte une prochaine fois des
animaux au galop, le 50p donnera une
image plus nette dans les panoramiques
rapides et il y aura beaucoup moins de
filé ( à vérifier) Nous avons aimé les images stables et bien cadrées suite p2
peut-être un peu molles (brume du matin) mais le stage à l’école de chasse n’a
pas apporté à Georges la réponse pour
un montage court et compréhensible :
il y a trop de temps entre le 1er coup de
fusil et le chasseur qui recharge.
A la suite j’ai présenté quelques images
de la «générale» du spectacle «Cancer
du sein» filmé avec 3 caméras. La première sous-exposait, la 2ème sur-exposait, la troisième «brûlait les blancs».
Le but était de montrer que des images
sous-ex ou sur-ex peuvent être corrigées
mais sur des images brûlées il n’y a pas
grand chose à faire : si on baisse la luminosité, les blancs deviennent gris et tristes. Conséquence : il vaut mieux sous-exposer plutôt que risquer de brûler.
Claude Porret devait nous montrer Récolteur de pains au Sénégal Claude était
là, mais pas le récolteur, donc nous avons
découvert le film de son dernier voyage
Au bout de l’horizon de Gengis Khan
c’est à dire la traversée de la Mongolie
avec ce camping-car increvable. J’ai revu
Olgii, cette ville de l’ouest, habitée par
des musulmans de langue kazakh. Rappelez vous, c’est à l’hôpital d’Olgii que
le petit Ali a été opéré de la cataracte
dans mon film Carnet de mission…Nous
n’avons vu que les 20 premières minutes
de ce film mais nous avons découvert ce
que AVENTURE veut dire : sans interprète il faut parler avec les mains ou utiliser
le dictionnaire mais les Mongols sont
accueillants, généreux et les rencontres
sont magnifiques ; il n’y a pas d’assistance en Mongolie, la prochaine ville est
à 500 km et s’il vous arrive un accident
vous n’avez plus qu’à recommander votre âme à Dieu… Claude et sa femme
se sont sortis de toutes les embûches
et ils nous montrent un pays attachant,
lointain mais humain et comme dans «El
Pitchi» , ils prennent le temps de s’arrêter d’échanger, de découvrir. Nous souhaitons à Claude de rencontrer un Claude
Goy. Que dire de plus ?
La soirée se termine sur le reportage de
Jean-François Rencontre Internationale
de modélisme à Athenaz où en 12 minutes il nous raconte cette journée avec là
aussi des rencontres, des interviews, des
images comme il sait en faire ; bien sûr
nous avons regretté les vues de la caméra embarquée tombée en panne mais il y
avait tant de choses à voir «en bas»et la
passion de faire voler ces avions, de les
mettre au point transparait avec chacun
des intervenants ; il y a un monde entre
les moyens d’un club suisse comme celui-là (piste de 22x180 mètres), avions
de plusieurs mètres d’envergure et élec-
tronique très sophistiquée et nos petits
clubs savoyards et du pays de l’Ain mais
la qualité de l’accueil nous fait oublier
tout ça. Jean-François a su nous donner
envie de faire voler un jour notre avion,
ça parait si facile…
François Vittoz
(avec les notes de Frank)
25 octobre 2012
Ce n’est pas habituel, mais ce quatrième
jeudi du mois est une soirée de projections. Nous sommes un peu moins nombreux que d’habitude. Après un petit mot
de Frank, notre président, c’est JeanFrançois qui est désigné pour animer la
soirée. Il sera souvent aidé de François
Vittoz. L’un est pondéré et calme, l’autre
est enthousiaste et plein d’entrain si bien
que l’animation va être vivante, décontractée.
Le premier est le film surprise. En fait,
une vraie surprise pour moi. Frank nous
projette les 2 minutes 50 du reportage
de TF1 du mois de juillet. Je l’apprécie
d’autant que je ne possède pour ma part
qu’un repiquage très médiocre à partir
d’ordinateur. Ce reportage sur les Marcellin a été réalisé par Jean-Marie Deleau,
que j’ai connu en 2007 à Bourges, lors de
la projection de « l’emmerdeur ». Si avec
Monique nous avons beaucoup apprécié
le caméraman Quincy Russel, nous avons
été déçu par Jean-Marie. Il est parti avec
plusieurs de nos films, a refusé de nous
faire parvenir un DVD et n’a pas été capable de nous indiquer le jour de la diffusion. Il a aussi omis de signaler que nous
faisions partis du Caméra-Club d’Annecy
alors que nous lui avions demandé (je lui
ai d’ailleurs adressé un mail à ce sujet).
La chapelle des Curtillets : C’est la restauration d’une chapelle dans le Beaufortain. Ce film qui m’a demandé un énorme
travail m’a fortement déçu par sa bande
son, lors de la projection. Je pense pouvoir déjà régler certains problèmes et je
suis sûr que François, par son aide précieuse, va améliorer le reste.
Les créatures de Panger : Paul-Emile
nous transporte dans un monde où il
évolue à merveille : l’évolution de notre
terre, la formation des continents, les dinosaures… etc. Ce film, dont nous avions
déjà vu une ébauche il y a quelque temps
s’est complètement transformé. Paul
Emile a beaucoup travaillé. Il a mis en
pratique la maxime de Boileau « cent fois
sur le métier remettez votre ouvrage ».
Les images sont belles, le son parfait et
la voix de Claude Goy toujours aussi mer-
veilleuse. Le seul reproche qui lui a été
fait c’est sa richesse. On est submergé
d’informations et on aimerait quelquefois respirer. En tous les cas on ne s’ennuie pas. Bravo Paul-Emile.
Dixième printemps des sculpteurs: Joan
Clémenceau nous amène à Ecully près de
Lyon pour visiter le salon des sculpteurs.
Il y a quatre artistes, mais c’est celui qui
élabore des statues à l’aide de rouleaux
de papier transparents qui retiendra le
plus notre attention. La mise en forme
sur des modèles vivants est un bon moment de cinéma. Joan accélère, ralentit,
change ses angles de vue. Elle utilise
même le nouveau logiciel CasaSplitter
avec bonheur, car elle n’en abuse pas.
Dans la discussion du film, nous sommes
plusieurs à regretter la fin un peu trop
rapide. Nous sommes lésés, et la suggestion de François de faire un arrêt sur
la dernière image paraît judicieuse. On
pourra ainsi mieux apprécier le travail.
Il est vrai que ce film a été tourné rapidement et que Joan était limitée par le
temps. En tous les cas, de belles images
et un commentaire bien dit.
1889 de Gilles Decoux. Le film est en
noir et blanc. Le montage énigmatique
au départ surprend. Bien vite, nous réalisons qu’il s’agit de la tour Eiffel. Grâce à
un nouveau logiciel, Gilles veut nous faire
croire que nous visionnons un vieux film
argentique bien rayé. Malheureusement
il y a trop de rayures. Le film s’arrête rapidement. En fait c’est un film d’essai pour
tester ce nouveau programme. La musique libre de droit qu’il a travaillée en tous
sens n’est pas inintéressante et pourrait
être utilisée une autre fois.
Gabon. Quand François Vittoz prépare
son film pour le mettre dans le lecteur,
il lui faut du temps. Le temps de nous
présenter « Gabon » un personnage haut
en couleurs qu’il nous décrit en quelques
mots et quelques gestes. Il nous amuse
follement et le cinéma ne se passe pas
sur l’écran, mais dans la salle. La suite
c’est autre chose. C’est un chœur d’hommes qui chante un hymne à la gloire de
Gabon. La qualité sonore est prodigieuse. François est un « as » pour le son et,
là, il nous en fait la pure démonstration.
Toutes ces réalisations ont été projetées
sur le matériel de François. Il n’y a pas eu
la moindre anicroche que ce soit du 4/3,
16/9, DV, HDV. La qualité des images
était excellente. Quant à la sono elle est
tellement bonne que le moindre défaut
est amplifié. Si votre film passe correctement à l’Echange, vous pourrez le passer
sans crainte ailleurs.
Claude Marcellin
113-nov 2012
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