Assemblée générale des Triandines

Assemblée générale des Triandines
Samedi 30 mai 2015
Présentation des rapports
Présentation du rapport du commissaire aux
comptes
Bilan social
Repas partagé suivi de la visite du jardin
Rapport moral
Chersamis,
L’année 2014 marque une nouvelle étape pour Les Triandines. Nous avons appliqué la
réformedel’Insertionparl’ActivitéEconomiquequimodifielesmodesdecalculdesaides
publiques en introduisant de nouveaux critères.Cetteréformea été miseen place pour
rendreplusefficacelesuividespersonnesaccueilliesdanslesstructuresd’insertion.Mais
elleinciteaussiàembauchersanspourautantaugmenterleséquipespermanentespour
assurerlesuividespersonnesaccueillies.
Danslemêmetempsnousavonsmenéuntravailderéflexionpendant6moissurl’avenir
desTriandines.
Ce Dispositif Local d’Accompagnement en partenariat avec Adises Active a été un
momentd’échangespassionnanteninterne.Toutlemondeaétésollicitépourdonnerson
avissouslaconduited’unconsultant.
Etlesquestionsétaientnombreuses:
QuelavenirpourlebâtimentdesTriandines?
Comment rester attractif sur le bassin chambérien alors que l’offre de paniers
maraîcherssemultiplie?
Qu’attendentdenouslesadhérents?
L’ACI les Triandines doit‐il envisager de développer son activité? plus de
culturesoudeladiversification?
Autermedutravail,laquestiondubâtiment,tropcomplexepourlemoment,n’apasété
résolue.Enrevanchenousavonsavancésurdesprojetsdediversification.
Nousfournissonsdesplantsàdesmaraîcherspartenairesetnousnoussommesengagésà
accompagner la création d’une conserverie solidaire dans le cadre d’un fonds de
confianced’AdisesActive.
Cetteconserverietransformeradeslégumesetdesfruitsdestinésàlapoubelle,soitparce
qu’ilsn’ontpasétévendusàtemps,soitparcequ’ilssontlégèrementabîmés.L’objectifest
de produire des conserves dans le cadre d’un atelier employant des personnes en
insertion.
Ilestencoretroptôtpourvousparlerdecetteconserveriecarnousvenonstoutjustede
signer la promesse d’embauche de Baptiste Bourdeau. Mais nous vous tiendrons au
courantdesonavancéecetteannée.
IlfautquandmêmepréciserquelespromoteursduprojetontfaitappelauxTriandines
parce que sur le bassin chambérien, nous sommes apparemment les seuls à être
suffisammentdynamiquesetstructuréspournouslancerdanscetteaventure.
Et puis ce temps de réflexion, nous voulions donc vous y associer: nous vous avons
sollicités pour répondre à un questionnaire dont nous vous allons vous donner les
résultatsàl’occasiondecetteassembléegénérale.
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Votre participation a vraiment dépassé nos espérances et c’est un encouragement très
fortpourtrouverdessolutions,avancer,proposerdesidées,brefresterdéterminéssur
notre mission de d’accompagnement des femmes et des hommes qui retrouvent ici la
possibilitéd’untravail.,
Ce que vous nous dîtes est important: vous comptez sur nous tout autant pour les
paniersmaisaussipourlamissionquenousmenonsautourdel’insertion,delasolidarité
et que nous voulons enrichir avec ce que l’on appelle l’innovation sociale, autour du
partage,del’économiesolidaire,delaluttecontrelegaspillage.Etvosidéesnousguident
encesens.N’hésitezdoncjamaisànousdonnervotreavis.
L’autre aspect de cette réflexion collective concernait nos partenaires des collectivités
territoriales: la Région, le conseil départemental, Chambéry métropole et la ville de
Cognin.
NousavonsdesrelationssuiviesettoujoursconstructivesaveclavilledeCogninquiest
propriétairedubâtimentetrestetoujoursattentiveànosprojets.
Cetteannée,lanouveautéestvenueduconseildépartementaldelaSavoiequiadécidéde
mettreuntermeàsapolitiqued’aidesdirectesauxstructuresd’insertion.
Celareprésente30000eurosparanpourlesTriandines.
L’annonceaétéfaitele13juindernierlorsd’uneréunionàlaquelleétaientconvoquées
lesstructuresd’insertiondelaSavoieaveceffetquasiimmédiatpuisquecettesubvention
defonctionnementquenousrecevonsdepuislongtempsserasuppriméedés2015.
Celareprésente6%dubudgettotaldel’associationet10%dutotaldessubventions.
Nousnesommespaslesseuls àsubirles restrictionsbudgétaires,certainsdoiventfaire
facesurlebassinchambérienàdescoupesautrementplussévèresdescollectivités.
Mais l’aide sociale à travers le RSA, le revenu de solidarité active fait partie des
compétenceslégalesduconseildépartementaletilseditattentifàsoutenirlesecteurde
l’insertionparl’activitééconomique.
NousavonsétéreçuspardeuxfoiscetautomneauConseildépartementalpourévoquer
notresituation.
Denotrepointdevue,ilnes’agissaitpasdegrappillertroissousmaisbienderappeler
que les Triandines sont un partenaire de l’action publique et qu’à ce titre le conseil
départemental et ses équipes de techniciens peuvent nous aider à monter des dossiers,
nouerdescontacts.
Le conseil départemental propose en effet pour pallier ce désengagement de soutenir
l’insertion en finançant des DLA, mais ça nous en avions déjà pris l’initiative, en
développant des clauses sociales dans les marchés, en valorisant l’image des structures
d’insertion,endéveloppantdesliensaveclesentreprisesclassiques.
De tout cela, rien n’a pu faire l’objet d’une proposition concrète. Et notre étonnement a
étécompletdedécouvrirquenousaurionspudéposerundossierpouruneaideduFonds
SocialEuropéenmaisl’informationnenousapasétécommuniquéedanslestemps,c’est‐
à‐direàl’automnedernier.
Quelles sont les intentions des collectivités publiques? Dés l’annonce de la réforme de
l’Insertionparl’ActivitéEconomique,ilnousaétéditquenousdevionsnousmutualiser
entrestructuresetpourcequinousconcerne,entrelesJardinsdeCocagneprésentssurle
territoiredeMétropoleSavoie.Etcelanousaégalementétésuggérélorsquenousavons
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pris l’initiative, nous et personne d’autre, de mener un travail de réflexion pour
pérennisernotreactivité.
Sans surprise, les propositions du département pour pallier son retrait concerne des
champsquinoussontinaccessiblescommelesclausessocialesdanslesmarchéspublics.
Nousn’avonspaslataillecritiquepourrépondreàdesmarchés,parexemplelescantines
scolaires.
Les Ateliers Chantiers d’Insertion doivent‐ils devenir de grosses structures prestataires
deservice?C’estlàlecœurdusujet.
Nous aux Triandines, nous pratiquons déjà la mutualisation avec nos amis jardins de
Cocagnemaischacunrestemaîtredesonprojetd’accueil.C’estdanscettediversitéque
réside la richesse de l’insertion. Et cela ne coûte pas plus cher à la société et cela créé
quelquechosedeprécieux:leliensocial.
Ce qui coûte cher: le chômage, la misère, l’absence de soins, la déshumanisation,
l’isolement et l’indifférence et une gestion uniquement comptable de l’accueil des plus
démunis.
Pour revenir aux relation avec les collectivités, nous avons également rencontré à
plusieurs reprises les élus de Chambéry Métropole que nous remercions d’ailleurs de
s’êtredéplacéssurnotresite:XavierDullin,présidentetlesvice‐présidentes,Catherine
ChapuisetFlorenceVallin‐Balas.
Là encore nous espérons que des partenariats se nouent car ce projet de conserverie
solidaire fait partie du dossier «Territoire zéro déchet zéro gaspillage» porté par
Chambérymétropolequiaétéretenuparl’Etatendécembredernier.
Noussommesàladispositiondenospartenairesdel’actionpubliqueetnousdéfendrons
le projet des Triandines tel qu’il a été voulu par ses fondateurs: un lieu de travail, de
partageetd’écoute.
NathalieGrynszpan
PrésidentedesTriandines
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Rapport d'activités
Une réforme
Nous avons durant le second semestre appliqué la réforme de l'insertion par l'activité
économique. Les changements de ce mode de financement des contrats aidés impliquent des
changements de fonctionnement et d'organisation. Par un effet de levier financier cette réforme
incite à embaucher plus tout en gardant la même force d'encadrement et d'accompagnement. En
résumé nous avons accompagné 38 personnes représentant 14 équivalent temps plein (Etp)
alors qu'en 2013 nous avions un effectif de 46 personnes représentant 12 Etp. Cela signifie que
l'on dégrade notre taux d'accompagnement et d'encadrement.
Malgré cela et une équipe de salariés aux profils très variés, les résultats de sortie à l'emploi
sont encourageants.
L'USIE 73 collectif des structures d'insertion de Savoie a vu le jour permettant de mutualiser la
gestion des formations individuelles à destination des salariés en insertion.
La production/vente
La production cette année a été hétérogène avec de mauvais rendement sur des cultures (navet,
radis noir, betteraves) alors qu'on a réussi d'autres cultures (comme les choux et les courges)
qui ne nous sourient pas d'habitude.
On note la poursuite de l'érosion du nombre d'adhérents. Le DLA a permis de noter la
satisfaction des adhérents relatives aux paniers (sauf peut-être pour le pot de ratatouille ??)
Nous avons compensé cette diminution du nombre d’adhérents en partie par la vente en
magasins bio et en magasin de producteur de la région d'Albertville.
Nous restons sur un déficit d'adhérent (-30 adhérents) et sur la fermeture du point de dépôt de
Chambéry le Haut.
Les chemins d'accès
Les conditions de travail ont été améliorées grâce à la rénovation des chemins d'accès et de la
création de fossé. Ce chantier d'un montant total de plus de 40 000€ était devenu une priorité. Il
n'aurait pas été possible sans le concours de la mairie de Cognin qui a pris en charge une partie
des travaux. Le reste est financé par les Triandines à l'aide d'un emprunt à taux zéro auprès
d'Adises Active.
La mise aux normes électriques du bâtiment a été réalisée également par la mairie de Cognin.
Résultat
Le résultat s'élève à -6000€. Etant donnés les multiples aléas de cette année ce résultat permet
la pérennité et même de dégager une petite part d'autofinancement. Nos engagements vis à vis
des partenaires sont respectés et le travail social est fait. Cette année 2014 marque surtout la
difficulté, voire l'impossibilité d'ébaucher un budget prévisionnel pour l'année 2015 (en cours)
avec l'annonce de la suppression de l'aide à l'accompagnement des publics RSA. La
conjoncture des paniers rejoint une crise structurelle des financements des chantiers d'insertion.
Thomas Bertin
Le Directeur
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Rapport financier exercice 2014
Pour l’année 2014 le total du bilan s’élève à 360 872 €
Le chiffre d’affaires à 201 444 €
Le résultat net comptable à – 6716 €
Le total des produits à 571 379 €
Le total des charges à 578 096 €
BILAN
ACTIF : le total est de 360 872 € soit 132 457 pour les immobilisations et 228 416 pour
les stocks en cours et autres créances. La créance concernant Environ’ Alpes est apurée. Les
disponibilités au 31/12/2014 s’élevaient à 90 757 €
PASSIF : le total est de 360 873 € dont 244 332 € de fonds associatifs et réserves et de
116 540€ de dettes, dont 40 875 € d’emprunt sur 5 ans pour des travaux d’assainissements au
niveau des jardins, (Adises Active et Crédit Coopératif).
COMPTES DE RESULTAT
LES PRODUITS. Un total de 571 379 € soit une augmentation de 53 652 €.
LES PRODUITS D’EXPLOITATION ou CHIFFRE D’AFFAIRES est de 201 444 €, il
représente 35,25% du total mais est en baisse de 2431 € par rapport à 2013. Il se décompose de
la manière suivante :
8 080 € de cotisations adhérents soit – 274 €
30 663 € de vente de fruits soit – 8 212 €
5 460 € de vente de pain soit + 219 €
152 781 € de vente de paniers de légumes soit 5 970 € de plus.
4 460 € d’activités annexes soit – 128 €.
Les produits financiers ont diminués de 432 € et il n’y a plus de produits exceptionnels.
Les autres produits sont les subventions et dons pour un total de 368 966 € soit + 57 607 €.
LES CHARGES. Un total de 578 095 € soit une augmentation de 59 582 € (11,5 %).
L’achat de marchandises est de 39 778 €, il augmente de 1651 € et représente 19,75 % du total
des charges.
Les salaires et charges sociales sont de 395 458 € soit + 42 469 € ; une augmentation
importante dû au nombre croissant d’embauche des contrats uniques d’insertion.
La dotation aux amortissements se monte à 22 667 € soit + 2206 €. Les charges financières
augmentent de 204 € et les charges exceptionnelles sont de 9833 € dont une régulation sur
exercices antérieurs de 6907 €.
Les contributions volontaires en nature s’élève à 25 574 €.
14 400 € pour les locaux mis gratuitement à disposition par la ville de Cognin. 874 € pour la
mise à disposition gratuite du terrain destiné au maraîchage.
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10 300 € pour le bénévolat : il s’agit de prestations gratuites faites par des bénévoles ou des
salariés : développement informatique, maintien de la sécurité en dehors des heures de travail,
promotion du jardin auprès du public etc…
L’exercice se termine par un déficit de 6716 €.
Marie Ange HECKEL
La Trésorière
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BILAN SOCIAL 2015
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
Profils des salariés
Les formations
Les différents partenaires
Quelques moyens favorisant les sorties vers l’emploi
Bilan des sorties
Projet et organisation de l’espace adhérent
Les Triandines ont pour objectif d'accueillir dans le cadre de contrat de travail (CDDI), des
personnes éloignées de l'emploi, orientées par les services pour l’emploi, sociaux ou
judiciaires.
L'activité de maraîchage permet aux personnes d'acquérir ou de se confronter de nouveaux aux
conditions et aux exigences de l'emploi (ponctualité, assiduité, travail en équipe,
communication...) tout en développant leurs compétences professionnelles (connaissances des
végétaux, techniques de maraîchage...).
L'accompagnement socio-professionnel consiste à prendre en compte les difficultés sociales
(français, situation familiale, permis, santé...) et d'envisager un projet professionnel, la durée de
contrat maximum ne pouvant pas dépasser deux ans.
L'accompagnement sur le terrain par les encadrants consiste à évaluer les compétences, former
et permettre aux personnes d'adapter leurs attitudes en adéquation avec le monde du travail.
C'est la corrélation des deux qui permet de valoriser la personne en faisant émerger les
compétences validées à travers l'emploi.
L'objectif final est de repartir dans de meilleures conditions, qui peuvent être l’emploi.
I.
PROFILS DES SALARIES
Nombre de personnes salariées sur l'année: 38
Parité :
Hommes
26
Femmes
12
Age :
Moins de 26
11
26 à 49
21
plus de 45
6
Statuts :
Bénéficiaire du RSA
21
Travailleurs handicapés
2
Niveaux :
CAP
20
Bac pro ou BEP
3
Au-delà du BAC
4
dont personnes d'origine étrangères : 12
Moyenne de temps de présence sur le jardin : 12 mois
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II.
FORMATIONS
Nous profitons de la période d’hiver, pour proposer des formations à tous les salariés
Dans le cadre d’un protocole de financement Régional pour une dizaine de jardins en Rhône
Alpes, un dispositif, le POPA a permis de développer les formations pour une meilleure
connaissance générale, transmissible au monde du travail.
Lors de ces formations sont intervenus des professionnels du CFPPA, la MSA, Chambéry
métropole mais aussi des adhérents qui ont enrichi ces formations de leurs connaissances et
savoirs faire.
Nous sommes deux salariés à animer ces formations.
Maraîchage biologique et évaluation des compétences (CFPPA)
La gestion de l’eau, des déchets et de l’Energie (Chambéry Métropole)
Prévention des risques au travail, gestes et postures (MSA)
Les droits et devoirs des salariés, la connaissance du monde de l’entreprise, la
fiche de paie, la convention collective (Jérôme GRYNSPAN)
Merci à
Jérôme GRAYNSPAN, directeur adjoint des crédits, Banque de Savoie pour son implication
D’autres formations concernent le projet individuel des salariés et visent à faciliter leur
accès à l’emploi.
Les Chantiers d’insertion ont pour cela développé depuis quelques années un collectif, le
Caicis.
Cette année ce collectif s’est professionnalisé par l’embauche d’une salariée et se nomme USIE
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Il concerne toutes les structures de l’insertion par l’activité économique de la Savoie et devrait
permettre le développement d’autres formations.
Toutes ces formations se font sur le temps de travail des salariés.
Les Savoirs de base
(français et maths)
Espaces verts
(techniques)
La gestion de stock et le CACES
8
1
1
Nous travaillons pour cela avec AIDER, le CFPPA et l’AFT-IFTIM
Certaines personnes ont suivi des formations de remise à niveau en informatique
Nous sommes à l’ère de l’informatique et certaines démarches d’emploi ne se font plus que par
ce biais. Développer la formation en ce sens devient donc essentiel.
3 personnes avec Educalis
1 personne avec le GRETA
Enfin, dans une démarche plus de reprise de confiance en soi, certaines personnes suivent
une formation avec l’AQCV, appelée atelier Ramain.
Cette formation par la pratique d’exercices permet de se confronter à la peur de se tromper, à la
concentration nécessaire pour effectuer ces exercices.
C’est aussi un moyen important d’être en lien avec d’autres personnes.
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III.
LES DIFFERENTS PARTENAIRES
Le partenariat professionnel
Les stages en entreprises permettent de développer le partenariat professionnel.
Chaque personne a un projet différent qui nous amène à rencontrer des employeurs potentiels
diversifiés.
Le partenariat professionnel existe aussi beaucoup dans le maillage avec les autres structures de
l’insertion par l’activité économique comme nos voisins Environ’alpes ou bien Emmaus que
vous connaissez tous certainement. Ceci ne sont que des exemples.
Le partenariat social
Il existe en fonction de chaque personne un grand panel de partenaires.
Ce réseau social est à la fois avec les assistantes sociales, certains services de santé, la MDPH,
les services judiciaires…
IV.
QUELQUES MOYENS FAVORISANT L’ACCES A L’EMPLOI
Les formations qui peuvent favoriser l’employabilité des salariés et la prise de confiance en soi
Les périodes d’immersion (stages en entreprise) pour permettre aux personnes de pouvoir
vérifier leur projet, prendre de l’assurance et favoriser l’emploi en se faisant connaitre.
15 Immersions ont été effectuées en 2014
3 visites d’entreprises ont été organisées.
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V.
BILAN DES SORTIES
Sur les 38 salariés, 17 ont quitté les Triandines
11 personnes ont accédé à un emploi ou une formation
Type de sorties EMPLOI En CDD (CHOLAT) En CDD (école) En CDD (Jules) En CDD (Vignes) En ESAT (Le Corbelet) En entreprise d’insertion :
Environ’alpes (2), Emmaus (1) Nombre 17 9 6 mois 18 mois 16 mois 24 mois 24 mois 13 mois
6 mois
10 mois 1 6 mois FORMATIONS Formation horticole (CFPPA) Animation sportive 2 1 3 mois 1 18 mois SORTIES PARTICULIERES SANS 1 EMPLOI Enceinte 1
1
1
1
1
3
Suite à une immersion (ambulance) AUTRES SORTIES Non renouvellement par la structure Abandon de poste Temps accompagnement 5 1 12 mois 2 6 mois et 12 mois 3 1 jour, 5 mois, 5 mois 11

L’ESPACE ADHERENT
Depuis quelques années, nous réorganisons les lieux, pour nous bien sûr mais aussi dans l’idée
de vous rencontrer.
Nous vous croisons lorsque vous venez chercher vos paniers, et encore souvent les jardiniers
sont très occupés à préparer les paniers (on ne peut pas dire que cela facilite le dialogue !), ou
bien lors des Assemblées générale.
Mais nous sommes bien obligés de constater que nous vous connaissons peu
Alors nous avons décidé de créer autre chose, un nouveau moyen de communiquer, de se
rencontrer...
Un espace qui pourrait permettre de favoriser la communication, la rencontre entre nous, de
mieux se connaître, existe maintenant.
Cet espace, ainsi que les aménagements extérieurs ont été fait par plusieurs salariés, au fil du
temps.
Et avec la participation aussi de 2 bénévoles, Alain et Ulrich.
Raymond, membre du CA participe beaucoup à ce lieu et à le faire vivre.
C’est l’occasion aujourd’hui de lui donner un nom et de vous proposer, d’échanger, sur son
utilisation en vous le présentant.
Isabelle Jouhannet,
Chargée d'accompagnement socio-professionnel
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