foret brocéliande sortie mai 2015
Transcription
foret brocéliande sortie mai 2015
Ce1 Ce2 - La forêt de Brocéliande – 7 mai 2015 C’est l’endroit où Merlin a rencontré la fée Viviane. Cette guérit de la folie. L’eau de cette fontaine bout alors qu’elle est froide. Lorsqu’il y a des bulles, c’est une fée qui nous sourit, on peut faire un vœu. Quand on met de l’eau sur la pierre plate, cela provoque orage, pluie, vent… et on peut faire apparaitre le chevalier noir. La fontaine de Barenton Il est très vieux, il a plus de 1000 ans. Son nom vient de l’abbé Guillotin qui se serait caché à l’intérieur pendant la révolution pour échapper aux soldats. Il aurait été sauvé grâce à une fée qui aurait envoyé une araignée pour tisser une toile devant l’entrée du trou. Le chêne à Guillotin Il est là pour se souvenir de l’incendie de 1990 et qu’il faut prendre soin de la forêt qu’elle aussi précieuse de l’or. Il y a 5 arbres autour de l’arbre d’or car l’incendie a duré 5 jours. L’arbre d’or est un arbre calciné. Un artiste l’a recouvert de feuilles d’or. Il a la forme des bois de l’animal préféré de Merlin : le cerf. L’arbre d’or L’eau était tellement limpide que l’on pouvait s’y voir comme dans un miroir. Les fées venaient s’y regarder lors des soirées de pleine lune. Le miroir aux fées. Ce serait une cabane de korrigans. Elle sentait mauvais. C’est l’endroit où Merlin s’asseyait pour réfléchir. Il est situé en haut du val sans retour. On peut s’y assoir et y faire un vœu. Merlin aurait combattu un dragon et l’aurait transformé en pierre. Le siège est situé sur la colonne vertébrale du dragon. Le siège de Merlin Morgane a surpris son amoureux, le chevalier Guyomard avec une autre femme. Elle les a transformée en pierre. C’est un rocher en forme de cœur brisé. Le rocher des faux amants C’est le domaine de la fée Morgane. Comme son amoureux Guyomard était coquin et menteur, elle retient tous les coquins et menteur dans le val sans retour. Le sortilège a été brisé par Lancelot, qui n’est ni coquin, ni menteur. Il a ainsi libéré les prisonniers. Le val sans retour