Une amitié brisée - Je livre mon histoire.com

Transcription

Une amitié brisée - Je livre mon histoire.com
Amitié brisé e
Deux meilleurs amis s’adorent mais quelques mois plus tard l’un d’eux souffre à cause de l’autre. Un drame
les sépare à tous jamais.
CHAPITRE1
Je m’appelle Lena Carter, seize ans depuis la rentrée scolaire, et je rentre en première année de
journaliste. C’est un rêve de petite fille qui se réalise, et je veux continuer jusqu’au bout.
C’est à Paris, que ma vie va changer.
Lors de la réunion des nouveaux élèves avec leurs parents, je rencontre Jesse Monroe et son père, qui est
habillé en tenue de la marine nationale. Jesse a été adopté quand son père a fait escale à Tahiti, et a
rencontré la femme de sa vie. Maintenant toute la famille vit en France. C’est une famille formidable,
heureux d’être ensemble. De plus ceux sont nos nouveaux voisins. Quel hasard !!
En ce moment, je veux prendre ma vie en main. A seize ans, je veux prendre mes responsabilités, en
aménageant avec mes copines de primaire, Amélie et Radhia. Certes, on est les trois drôles de dames et on
s’adore plus que tout au monde. Amélie est une fille simple qui se sent un peu complexé, mais comme c’est
ma meilleure amie, je lui dis à chaque fois qu’elle est parfaite à mes yeux. Radhia est une fille timide mais
quand on est ensemble, elle se lâche, c’est ce que j’aime chez elle, son dynamisme, la chaleur qu’elle
dégage, elle est le rayon de soleil.
En chaque personne, il y a une beauté qui faut la trouver. Tout le monde n’est pas parfait sinon le monde
serait rempli de fille qui ressemblerait à des bimbos. Et nous ne sommes pas comme ça, on est nous-même
et si quelqu’un veut nous changer, on fonce dedans.
Maintenant il faut convaincre les parents que je puisse prendre ma liberté, ce qui sera peut-être un peu dur
mais je vais tenter ma chance.
-En tout cas, ma fille, tu prends une certaine responsabilité, me dit mon père.
-Mais ne t’inquiète pas, papa, lui dis-je en le rassurant. J’ai seize ans, et je veux prendre ma responsabilité.
Les parents ne disent pas un mot, se regardent dans les yeux et se mettent d’accord.
-Nous sommes d’accord, disent-il s en cœur.
Je saute de joie, et je cours aussi tôt dans ma chambre pour prévenir les filles, et on discutait jusqu’au soir.
Le lundi 19 septembre 2011 à 10h,
Je vis Jesse et on discute ensemble avant de retourner en cours.
-C’est sympa qu’on soit dans la même classe, lui dis-je.
-Oui, et on peut faire un peu plus connaissance pendant les cours qui sont ennuyeux comme les math, dit-il
en plaisantant.
Il a un regard qui me fait fondre, et je ne peux pas m’en détacher car il a des émotions qu’il dégage me
donne envie d’être avec lui. Plus les temps passent, plus j’éprouve des sentiments pour lui. Des sentiments
qui s’évoluent à chaque fois que j’apprends davantage sur lui, et mon cœur bat à trois cent à l’heure. J’ai la
tête dans les nuages, et le cœur qui s’emballe à chaque fois que je le vois, c’est le signe qu’on est follement
amoureux.
Aujourd’hui, à 14h30, je dois aller interviewer le père de Jesse sur la Marine Nationale. C’est ma première
interview, et cela m’existé encore plus. Car par la suite, je me suis dit que ça serait sympa, de le faire
partager dans le journal du lycée, et que madame Delacourt est d’accord.
Avant l’interview, son père me pose des questions, à croire qu’il veut changer les rôles.
-Je suis ravi que Jesse et toi, vous vous entendez bien. En plus qu’on soit voisin, vous allez travailler
beaucoup, dit-il. Il est heureux d’être avec toi, c’est ce qu’il dit dans son sommeil.
Etonnée que Jesse rêve de moi, je me pose des questions sur notre relation.
-Ah bon, il rêve de moi, il ne me le dit pas. Bon est-ce qu’on peut travailler sérieusement monsieur
Perreira ?
-Oui, mettons-nous au travail, dit-il en reprenant son sérieux.
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-Monsieur Perreira, la marine que représente-t-il à vos yeux ?
-Et bien la marine représente beaucoup à mes yeux car on peut découvrir pleins de choses sur terre comme
sur mer.
-Pourquoi ce métier et pas d’autres ?
-C’est un métier intéressant car on apprend tous les jours des nouveautés et à tout âge. Mon métier
maintenant, c’est de faire partager ce que j’aime aux jeunes. De plus recruter des nouveaux pour protéger
notre pays qui est la France. Tout le monde peut y rentrer mais la marine recherche des personnes qui ont
beaucoup de qualités, de compétences pour les unir avec nous.
L’entretien se termina au bout de quelques minutes.
Surprise ce que la marine peut faire tout en gardant la tête haute, et affronter les ennemis en cas de
problème. Sauver notre pays la France de toute influence, d’attaquer avec nos ennemis. La marine est une
grande famille, et une équipe soudée. Car à chaque problème, ils s’aident mutuellement. De plus qu’être
militaire, je trouve ça surprenant. Le travail d’équipe qui fait tous les jours, au travail, en cas de guerre,
m’impressionne beaucoup.
-Je vous remercie beaucoup, monsieur Perreira, dis-je en lui serrant la main.
-En tout cas, mon fils a de la chance de vous avoir comme amie.
Je lui souris et pense à Jesse, de ce qui pense de moi. Des idées que je me fais, me donne la chair de poule.
Maintenant que l’entretien est fini, je rentre au lycée pour mettre l’interview dans le journal. J’ajoute
quelque chose que son père pourrait être surpris.
-En tout cas, Jesse vous admire tellement que je pense qu’il veut rentrer dans la marine, en tant que
journaliste, tout en partageant et montrer le métier militaire.
-Ah bon, c’est ce qu’il a dit !!, surpris le père.
-Oui. Bon normalement, je ne dois pas le dire, mais il est très timide car il ne montre pas assez les sentiments
qu’il a et je pense que cela lui ferait du bien de tout dire.
-Oui, je sais, sa mère est pareille. Je n’y peux rien c’est de famille.
En salle de journal, je commençai à pianoter l’interview que je fis diffuser dans le journal, quand tout à
coup, Jesse me chercha partout pour m’annoncer quelque chose d’important.
-Ah te voilà, me dit-il essoufflé.
-Qu’est-ce qui se passe ? C’est grave ?, dis-je d’une voix inquiète.
-Non, ce n’est pas grave. On m’a dit que tu as interviewé mon père, c’est ce qui me préoccupe tout
simplement.
-Je suis en train de mettre l’interview dans le journal, et arrête de stresser car tu vas avoir des cheveux
blancs. A ton âge, des cheveux blancs, c’est grave, dis-je en rigolant. J’ai aimé de ce que ton père a dit sur la
marine nationale, je trouve ça super.
-Et il ne t’a rien d’y d’autre….
-Mais qu’est-ce que tu crois ? On a parlé que de la marine, dis-je en mentant.
Je sais, je mens bien. Je suis allée à la bonne école, mais tout de même il a des idées tordues, s’il croit que
son père m’a avoué que lui, Jesse rêve de moi, je suis un peu sur le cul, heureusement que j’étais assise.
Le soir venu, je discutai avec Amélie et Radhia de ce qui m’est arrivée aujourd’hui avec Jesse.
-Lena, les mecs sont tous sympas, me dit Amélie.
-Mais en tout cas, je fais attention car il peut avoir une deuxième personnalité, dis-je sérieusement.
-Tu ne serais pas en train de tomber amoureuse de Jesse ?, dit Radhia en perçant mon secret.
-Non, c’est faux.
Je vire au rouge devant la caméra. Elles ont touchées un point sensible. Oui, j’étais en train de tomber
amoureuse de lui.
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Le mardi 20 septembre 2011,
Je passe une nuit agitée. Un cauchemar avec Jesse qui m’avoua ses sentiments sous l’effet de l’alcool. Tout
était dans un brouillard, je vis Jesse titubait et perdit l’équilibre en se jetant sur moi. Je me réveillai tout de
suite. Vis l’heure six heures et demie. Je pris une douche pour effacer ce mauvais rêve, m’habillais et pris le
petit déjeuner avec les parents.
-Tu as mal dormi, ma puce ?, me demande ma mère.
-Juste un mauvais rêve qui va passer.
-Tu as une tête à faire peur, me dit mon père.
Certes une mine qui fait peur. Je passai à la salle de bain pour me rafraichir, regarda dans le miroir. Des
flashs du rêve me reviennent tout à coups. Pourquoi ça, pourquoi je rêve de Jesse ? Est-ce que cela veut me
montrer l’avenir ? Que sais-je ? Mais il fallait que je découvre pourquoi ce rêve met venu, cette nuit, et vite.
Au lycée, Amélie, Radhia et moi, entrons en cours de dessin.
-Lena, ta une tête qui a mal dormi, me dit Amélie surprise de la tête que je fais.
-Mais ça va, ne t’inquiète pas, il faut juste que je prenne un bon café en plus.
On discuta de l’appartement qu’on va prendre dans deux semaines.
-En tout cas, qu’on soit toutes les trois réunies comme on en rêvait depuis le collège, dit Amélie plus excitée.
La prof donna le thème du jour. Dessiner ce que l’on ressent que cela soit notre imagination. Je m’évadai à
travers le crayon de papier, et au final, je fais la caricature de Marilyn Monroe. Tout le monde était surpris
que je dessine sans modèle. Certes des dons de dessin qu’on se transmet de mère en fille.
Jesse vient me voir à la fin du cours pour qu’on rentre ensemble, j’acceptai malgré le cauchemar de la veille.
-Tu n’es pas dans ton assiette, ma petite Lena ?, dit-il avec tel délicatesse.
-Juste mal dormie, mais je vais rattraper ce soir, lui dis-je en souriant.
Même s’il est gentil, sympas avec moi, j’ai des doutes sur lui, de ce qu’il me cache tout en restant méfiante.
On rentre chez nous, tout en se parlant, mais quelque chose m’intrigue.
-Lena, tu es une fille drôle, intelligente, et qui a beaucoup de qualités, et j’aimerais qu’on devienne les
meilleurs amis du monde. Je m’entends super bien avec toi, dit-il avec douceur.
Voilà, c’est ça, il y a toujours un truc qui ne va pas, et je l’ai senti dans ses paroles.
S’il y avait les violons et tous le bizarre de musique, je pense que je me jetterais à ses pieds. Mais je reste
calme car je ne sais pas ce qui pourrais ce passer ensuite.
-Vu qu’on est voisin, qu’on soit dans la même classe, je peux dire, oui.
Heureux, il me serra dans ses bras ; devant nos maisons, nos parents, nous regardaient à travers les rideaux.
J’espère que c’est simplement un rêve, pincé moi pour me sortir de cette histoire étrange.
Le vendredi 7 octobre 2011 à 18h,
J’emménage avec mes meilleures amies. L’appartement est génial, tout ce qu’on voulait et qui nous
correspond à notre image. Bien sûr on va faire attention et garder en bonne état. Nos parents viennent nous
donner un coup de main pour l’aménagement.
-Ouah, super, cuisine américaine, salon dans le style des années soixante, et chaque une a sa chambre avec
la salle bain commune, là faudra faire un emploi du temps, dis-je aux filles.
-Tu as raison, Lena, c’est le paradis entre les trois drôles de dames, dit Amélie en dansant dans le salon.
Le week-end se passe vite.
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Le lundi 10 octobre à 8h, en cours de journalisme.
Madame Delacourt est un peu furieuse du journal.
-J’ai vu le journal de la semaine dernière. Le seul sujet qui tenait bien, et que j’ai appris aussi des choses,
c’est celui de Lena avec l’interview du père de Jesse.
Surprise, Jesse vient s’assoir à côté de moi.
-Bravo mademoiselle Carter pour cette interview, dit-il en imitant son père.
Nous éclatons de rire, certes, Jesse sait bien imiter son père. Son père est un ange, car avoir un père comme
ça c’est absolument génial. Jesse et moi, passons la journée ensemble se qui dérangeaient Amélie et Radhia.
En ce moment, j’avoue, je suis plus souvent avec Jesse et mes sentiments se penchent plus car je l’aime
beaucoup. Peut-être qu’un jour, on sera plus que des amis ? Qui sait, on n’est pas maître de son destin ? On
ne peut pas dire ou prévoir notre avenir sur un claquement de doigt.
Pour moi, j’aimerais voir mon avenir avec un mari qui m’aime comme je suis, et des enfants, tout en
travaillant au journal.
Avec Jesse, une amitié forte tient entre nous. Mais je n’arrive pas à lui avouer mes sentiments que j’éprouve
tant. Je sens qui a quelque chose de grave qui va se produire mais je ne sais pas quand.
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CHAPITRE2
Quelques mois passent nous avons des entretiens avec des professionnels du journal. Jesse veut
m’accompagner au journal où j’aimerais y être en stage.
Le journal de la nouvelle mode jeunesse, dont leur slogan est « Vie ta vie ». C’est immense, avec des
couleurs qui sont jeunes, fraiches et dynamique. Je rencontre le patron, celui qui a créée « Vie ta vie ».
Un homme exceptionnel, que j’admire beaucoup.
Le lundi 7 janvier 2012,
-Je te dis merde, dit Jesse avec douceur. Je vais faire un tour, et une fois que tu as fini tu m’envoies un
message.
-Oui, en tout cas, je stresse un peu.
-Ne t’inquiète pas tout va bien se passer, j’en suis sûr à cent pour cent, me dit-il en me rassurant et déposa
un bisou sur ma joue.
Tout de suite, je repris confiance en moi et me lance à l’entretien.
Je vis monsieur Fabre qui m’accueilli bras ouverts.
-Bonjour, monsieur Fabre. Je suis ravie de vous rencontrer, lui dis-je avec tout mon enthousiasme.
-Moi, aussi, je suis ravi de vous rencontrer mademoiselle Carter. Votre professeur madame Delacourt m’a
montré l’interview sur le marin. Votre article, j’ai adoré, et je me suis dit que vous devriez faire un article sur
la mode, et la finance. Si vous voyez ce que je veux dire.
-Oui, je vois ce que vous voulez dire. Des personnes qui adorent faire les boutiques mais qu’ils n’arrivent pas
à gérer leur argent. Je pense avoir une petite idée.
-Déjà, et bien, j’attends votre article, et vous pouvez prendre votre temps.
-Quand j’ai une idée, je le fais tout de suite pour ne pas perdre les miettes, et vous ne serez pas déçus,
monsieur Fabre. Je peux vous l’envoyer mercredi.
-On est d’accord, sur ce point, et oui, vous pouvez me l’envoyer mercredi, dès que vous l’avez terminé.
Il vit que j’étais sérieuse dans mon travail.
Une fois l’entretien finit, j’envoie un message à Jesse pour qu’on se retrouve chez moi, à travailler l’article
pour monsieur Fabre.
-En tout cas, il a de la chance de t’avoir pris, et j’espère que l’article que tu es en train de faire, va le
surprendre et te garder pour travailler. Car tu es la meilleure et il faut que tu réussisses, tu veux que je
t’apporte quelque chose à manger ?
-Oui, y a des tomates cerise dans le frigo.
-Je te l’apporte, tout de suite et une boisson avec ?, dit-il avec politesse.
-Oui, un jus de pomme.
Il vient avec un plateau et je me mis au travail.
-Il faut absolument que je termine ce soir l’article car des idées bouillonnent et après avant de l’envoyer, la
relire pour que ça soit au top du top.
-Tu veux un coup de main, si tu veux, ou sinon je peux rentrer chez moi ?
-Tu peux rester et tu peux allumer la télé si tu veux.
Je me mis au travail avec la boisson et les tomates qui s’enfilent au fur et à mesure que je travaille.
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Nous les femmes, on adore aller dans les magasins pour essayer, acheter les habits où on a
eu des coups de cœurs. Quand on touche à un foulard qui est comme de la soie, et qu’on voit son
prix, on se dit, que cela fait notre salaire d’un mois. Mais seulement, est-ce qu’on prend le temps de
voir la matière ? Et qu’une fois chez nous, on voit que c’est fabriqué en Chine.
Certes certaines matières ont de la valeur, et c’est comme notre carte de crédit, qui passe entre nos
doigts et qu’on passe à la caissière et une fois, encaisser ça nous appartient. Une fois, que notre
armoire déborde, on se dit : « Est-ce qu’il fallait que j’ai cette robe pour aller à une fête
d’anniversaire ?». C’est une question qu’on doit se la poser avant d’acheter, « Est-ce qu’on a
besoin vraiment ou pas ? »
L’argent est très important dans le monde de la finance, et c’est ce qui fait qu’en ce moment, la
crise est là, économiser est la clé qui pourrait faire disparaître la grosse facture que l’on voit à
chaque fin de mois. Et quand on voit une somme monstrueuse, on se dit : « Ais-je fais le bon choix en
achetant ce sac qui allait avec la robe de l’anniversaire ? »
Des questions qui s’accumulent une fois qu’on voit la facture de nos dépenses.
Alors moi, maintenant, je trie mes affaires. Tout ce qui est petit, je mets à côté pour aller
donner aux personnes qui ont besoins de vêtements pour l’hiver qui les tiennent chauds, tout en
leur donnant un sourire qui les rend heureux. Car on sait qu’après on a fait une bonne action.
Maintenant, faire attention aux achats, comme cela, notre facture sera légère, moins encombrante.
Une fois que j’ai fini l’article, je vis l’heure minuit. Jesse était déjà parti depuis longtemps, et les filles étaient
en train de manger. Pas d’appétit, je m’endors comme une marmotte.
Dans le rêve, je vis Jesse et il était bizarre. Je ne comprenais rien, et tout s’embrouillait. Jesse vient vers moi,
avec une bouteille de vodka à la main. C’était la première fois que je le voyais comme ça. Il me faisait
tellement peur que je me réveillai en sursaut. Les filles courraient pour voir ce qui se passer, et me
remonter le moral. Pourquoi encore rêver de Jesse ? Que cela veut dire ? A trois heures et demie,
impossible à me rendormir. Pour la peine, je regardai l’article que j’ai écrit à monsieur Fabre.
Le mardi 8 janvier 2012,
J’envoie l’article à monsieur Fabre par mail, et attend sa réponse soit par mail, soit par téléphone. J’étais
impatiente et excitée à la fois.
Au lycée, je vis Jesse. Je gardai mes distances avec lui, et resta avec les filles toute la journée. A l’intercours, je croise son regard impossible à décrypter. Tout de même le rêve doit avoir un lien avec Jesse mais je
n’ai pas tout compris dans ce rêve car il me faisait tellement peur que j’ai coupé le film de mon rêve.
Les contrôles s’enchaînent à croire que les profs se sont donnés le mot pour nous coller toute la journée des
contrôles. Ma tête va exploser et me donne le tournis, plus des rêves qui sont in décryptable en ce moment,
je veux un remède.
Pour me changer les idées, j’allais voir mes parents et leur dire un petit bonjour. En plus, ma mère m’a dit
que madame Perreira voulait absolument me voir. J’espère que ce n’est pas inquiétant.
-Ma fille, tu as une tête qui ne dort pas beaucoup. Je vais te préparer un truc qui va te remonter le moral.
Connaissant ma mère, quand je n’ai pas le moral, elle me prépare un chocolat bien chaud sucré, que j’adore
depuis que je suis toute petite.
-Dis-moi, ce qui ne va pas ma fille ?, dit-elle d’une voix douce et calme.
-Oh rien, juste qu’en ce moment, je fais des rêves et je ne comprends pas ce que cela veut dire.
-D’accord, je comprends, ne t’inquiète pas. Et madame Perreira veut te voir, je ne sais pas pourquoi. Tu
pourras lui donner des tomates que j’ai ramassé tout à l’heure.
-Oui, j’y vais maintenant. Merci du chocolat, ma petite maman.
Bu en une gorgée le reste de chocolat, qui me remit un peu en forme. Prit le saladier de tomate, et sonna
chez les Perreira.
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-Bonjour, madame Perreira, dis-je d’une petite voix.
Contente de me voir, elle m’accueillait à bras ouvert. C’est une femme étonnante, belle, intelligente et
pleine de ressource.
-Appelle-moi, Lara.
-D’accord, Lara, lui souris-je. Pourquoi voulez-vous me voir absolument ?
-Je voulais te voir pour la simple raison, que Jesse doit avoir un gros problème. Je ne sais pas pourquoi, il ne
veut jamais parler de ses problèmes. Et je sens qu’il en a beaucoup. Comme tu es très proche de lui, je
pensais que tu pouvais lui demander ce qu’il ne va pas.
-Lara, vous voulez que je fasse l’espionne et de tout vous raconter. Mais cela risque de briser notre amitié.
-Je comprends mais la vie de Jesse ne dépend plus que de toi. Tu peux le faire ou pas ? Et toi ça va ? J’ai
l’impression que tu es surprise de ce que je viens de te dire.
-Et bien, oui, je suis surprise. Car depuis quelque temps, je fais des rêves étranges qui se rapportent à Jesse,
et j’ai peur, je me réveille en sursaut. A vraie dire, j’ai plus que des sentiments d’amitié pour lui. Je suis
tombée amoureuse de lui, madame.
Surprise, ne sait plus quoi dire, elle s’assit sur le fauteuil qui était le plus près. Peut-être que c’est mes rêves
qui la surprise, ou que je sois tombée amoureuse de son fils ?
-Lara, je peux comprendre que vous êtes surprise que je sois amoureuse de votre fils. Mais ce qui me
tracasse, ce sont mes rêves. Je n’arrive pas à les décrypter, ils sont tellement mystérieux et
incompréhensible. Je ne sais pas quoi faire.
Des larmes m’échappaient, et tout à coup la porte de la maison claqua. Monsieur Perreira qui rentra du
travail avait surpris notre conversation. Ne savant plus quoi dire, je me levai et sorti de la maison.
-Lena ne partait pas. Si c’est vrai que mon fils court un grand danger, il faut absolument savoir ce qui se
cache derrière sa tête.
Je ne pouvais plus m’arrêtait de pleurer, et monsieur Perreira me prit dans ses bras pour me réconforter. Je
ne savais plus quoi faire, continuer à pleurer ou rentrer chez moi ?
-Je vais rentrer à l’appartement, car je pense qu’il risque d’entrer dans pas longtemps.
-Je vais vous raccompagner à votre appartement, si vous êtes d’accord ?
-Oui, s’il vous plait, monsieur.
-Appelle-moi, Rodolphe. Et si tu as un problème en pleine nuit, je suis là. Je serais comme un ange gardien
pour toi, ma petite Lena.
-Oui, vous êtes mon ange gardien, monsieur, enfin Rodolphe.
Vous savez que ce n’est pas facile d’appeler par le prénom, le père de votre meilleur ami, qui est en train de
faire souffrir énormément de monde. Au moins, j’ai un ange gardien qui veille sur moi. Se confier à son ange,
rien de mieux dans les moments tristes, pour nous remonter le moral et nous faire sourire. D’après mon
ange gardien, je suis un rayon de soleil. Vous y croyez à ça !
Sur le chemin de l’appartement, les filles m’appellent car elles étaient inquiétées de mon absence. Surtout
que ce matin, elles m’avaient vu dans un mauvais état, qu’elles voulaient de mes nouvelles tous les deux
heures maximum. Je n’ai pas vu l’heure tourner, mais le principal c’est que j’ai discuté avec mon ange
gardien.
-Lena, j’ai entendu de ce que tu as dit à Lara. Si Jesse te fais du mal, il aura à faire à moi. Car frapper une
femme, je trouve cela horrible, et inhumain. Tu peux me faire confiance, Lena, je serais là pour toi.
-Je vous remercie beaucoup Rodolphe, mais je pense que j’arriverais à me débrouiller toute seule. Si y a un
problème je vous contacte, dis-je une fois arrivée en bas de l’appartement. Merci Rodolphe, à bientôt.
Il fit signe, et s’en alla. Le cœur soulageait mais encore inquiète pour l’article que j’ai envoyé dans la
matinée, j’espère avoir des nouvelles quand je vais voir mon courriel.
Arrivée dans le salon, les filles sautèrent sur moi, mortes d’inquiétude, elles me posèrent un tas de questions
que je ne répondis pas sur le coup. Encore choquée de certaines choses, j’ai préféré aller dans ma chambre,
et regarder mes e-mails.
Monsieur Fabre ma renvoyé un message.
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Mademoiselle Carter,
J’ai bien reçu votre article. Je suis resté bouche bée devant cet article qui a été écrit par une délicatesse et
une finesse. J’ai adoré, et je vous prends en stage et peut-être que vous pourriez y travailler dans l’avenir,
enfin si vous voulez toujours que je sois là pour vous guider, à travers le droit chemin pour être la meilleure
journaliste de la région. Vous avez réussis avec votre ticket d’entrée dans le journal de mode « Vie ta Vie ».
J’aimerais avec votre soutien que vous soyez mon assistante, pour votre stage qui aura lieux en mars.
J’espère que vous prendriez le bon choix
Avec tout mon soutien pour votre carrière
Monsieur Fabre
Ce courriel me redonna le sourire et alla le répéter aux filles que j’étais prise dans le journal de mode. Je sais
que j’aurais tout mon temps pour travailler, mais je préfère commencer tout petit et grimper ainsi dans la
cour des grands, et montrer le meilleur de moi-même. Maintenant j’ai mon ticket d’entrer pour y
commencer à travailler dans le journal de mode, peut-être que je n’y resterais pas longtemps, seulement
avoir de l’expérience et ainsi progresser.
Le mercredi 9 Janvier 2012 à 8h30,
J’annonce à madame Delacourt que j’étais prise dans le journal de mode « Vie ta Vie ».
-C’est formidable Lena, en plus monsieur Fabre a une très bonne réputation dans la région parisienne. Mais
c’est difficile en ce moment, de se faire connaître dans le monde. Il essaie du mieux qu’il peut que la boite
marche une peu.
-Madame, il ne va pas être déçu, je vais être au top. Et même si je dois sacrifier certaines choses pour qu’il
ait les articles sur son bureau pour le lendemain, je le ferais toute la nuit s’il le faut.
Madame Delacourt se mit à rire, et moi aussi.
A 10h
Nous avons sport, et en ce moment, c’est du combat qu’on fait. J’en ai vraiment besoin pour me vider la
tête. Car ces rêves avec Jesse qui sont indescriptibles, plus les contrôles qui s’enchaînent, et du secret que
j’ai avec les parents de Jesse, c’est trop lourd à porter. Il faut absolument que je me défoule sur quelques
choses.
-Monsieur Rosny, est-ce que vous avez un punching-ball ?
-Eh bien oui, me sourit-il. A pratiquer quand cas de problème, et je ne suis pas sûr que vous en ayez besoin.
-Si car en ce moment, j’ai pleins de choses que je dois supporter, c’est comme si j’avais le poids du monde
sur mes épaules.
-Dans ce cas, oui, vous pouvez l’utiliser, et si vous voulez l’utiliser en dehors des heures vous pouvez ?
-Je vous adore monsieur Rosny.
C’est vrai ce prof est un amour avec moi, mais faut pas que j’abuse de sa gentillesse avec moi, pour tout
avoir de ce professeur. Tout le monde était surpris de mes performances à me défouler comme une folle.
Certes, j’en avais l’utilité pour me changer les idées. Pour vous dire, ça fait un bien fou de se décompresser,
d’oublier tous les problèmes. Je pense que je vais revenir à mon temps libre. Au bout d’une heure, tout le
monde alla à la douche. Douche froide pour moi. Que demander de mieux, à chaque fois, sa sera ça. Les filles
avaient les yeux ronds et me dévisageaient de la tête au pied.
-Les filles, pourquoi, vous me regardez comme ça ? J’ai demandé gentiment à monsieur Rosny qu’il me prête
le punching-ball car j’en avais la nécessité d’en faire. Et si vous avez des problèmes ou autres choses, utilisez
le, qu’est-ce que ça fait du bien ?
-Ah bon, ta quoi comme problèmes ?, me demanda Amélie. Et pourquoi, en ce moment, tu ne nous dis rien.
On est tes colocataires, on doit savoir si personne n’a de problème. On est une équipe.
-Oui, les filles vous avez raison. J’aurais dut vous dire ce que j’ai en ce moment, mais on en parle ce soir, à
l’appartement car ce n’est pas le moment, et je dois aller voir madame Delacourt, pour qu’elle signe les
papiers pour le stage de journal de mode.
8
-Pour une fois que j’ai raison, s’exclama Amélie. Ok, on en parle ce soir. Moi je dois aller voir le journal de
bateau, j’aimerais qu’il me prenne, c’est mon truc à moi. Et toi Radhia, tu vas voir quoi comme journal ?
-Je ne sais pas encore, peut-être que je vais trouver une idée demain, on en parle ce soir de ça ? Car là je
dois filer pour aider Nicolas, à bidouiller encore des montages.
-Oulla, fait attention avec Nico !!!, dit Amélie et moi en chœur et en riant.
-Il a une copine et c’est Amandine, de toute façon ce n’est pas mon type de mec.
Avec Amélie, on va voir madame Delacourt, et on se redonna rendez-vous, au KFC en centre-ville.
Il restait encore une heure et demie, pour s’y rendre. Amélie devait aller voir une personne qu’elle ne voulait
absolument pas dire le nom. Mais je n’en fais pas tout un fromage, je ne suis pas sa mère.
Au bout du couloir, je croise Jesse.
Bon aller soit forte et on demande s’il va bien, enfin l’air de rien.
-Salut, Jesse, ça va ? Je te trouve bizarre en moment ?
-Ne t’inquiète pas, je vais bien, dit-il pour pas que je m’inquiète pour lui.
Mais le problème, je vois qu’il n’a pas l’air bien. Joue gonflée, petits yeux, on dirait qu’il prend de la drogue.
Je ne fais jamais de jugement sans avoir la réponse nette. Il fallait que j’enquête, pour savoir s’il prend ou
pas de la drogue. Si son père était au courant, il péterait un câble.
-Lena, j’ai l’impression que tu me caches quelques choses, mais je ne sais pas quoi ? Tu me le dirais s’il tu me
caches quelques choses ?
-Mais qu’est-ce que tu crois Jesse ? Arrête les films policiers, et sache que si j’ai un secret que je préfère
garder pour moi. Je n’ai pas envie que cela brise notre amitié, même si ta la tête ailleurs en ce moment. Et
ne me ment pas, tu as un truc en tête, et je vais essayer de le découvrir. Méfie-toi, de ce que je peux faire ?
Je lui tourne le dos fâchée, car je sais qu’il cache lui un énorme secret, que je vais découvrir. Simplement je
dois garder mes distances avec lui. Ce soir, il fallait que je parle à Rodolphe de la dispute que j’ai eu dans la
journée avec Jesse.
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CHAPITRE3
Au bout du couloir, je tombe nez à nez sur Grégoire le surveillant.
Un homme avec qui je discute tout le temps. Son regard doux, et sa voix me redonne un peu plus de
courage, et ça me réchauffe le cœur de s’avoir que je suis sa journaliste préférée du lycée.
Et d’un coup, il m’attrapa comme s’il voulait m’embrasser. Mon cœur s’emballe avec son regard qui me
fusille sur le coup.
Un homme avec qui je m’entend à merveille, à chaque pause, je le croise, au coin des fumeurs. Nos
discussions portent à chaque fois, quand est-ce que je ferais le prochain article ? Car il a adoré mon
interview avec le père de Jesse.
-Ben alors Lena, que se passe-t-il ? Ce n’est pas souvent qu’une aussi jolie fille tombe dans mes bras, dit-il
avec son sourire charmant. Qu’est-ce qu’il se passe ma belle journaliste préférée ?
Je ne pus m’empêcher de rester dans ces bras, qui me donner l’impression d’être en sécurité.
-Ce n’est rien Greg, et puis, il faut que je …..
Je tombai dans les pommes, et il me rattrapa sur le coup. Ma dispute avec Jesse avait augmenté les tensions
que j’avais déjà avant. Il m’emmena à l’infirmerie tout en me portant avec tendresse.
Le lycée a prévenu mes parents et mes colocataires, de mon malaise, et c’est au bout de deux heures que je
repris mes esprits. Mes parents et mes deux colocataires étaient là, autour de moi, morts d’inquiétude, et
Rodolphe qui était là.
-Lena, il faut absolument que tu te reposes, me dis ma mère tout doucement. Ta santé est importante, tu le
sais en plus.
-Madame, je pense que c’est autre chose, dit Rodolphe.
Il a raison, seulement la raison qui a fait de mon malaise, c’est Jesse. Il fallait que je leur dise à mes parents
et à mes colocataires, de la dispute que j’ai eue avec Jesse. Mais je ne voulais pas que son père l’engueule
car il m’a fait du mal. Au contraire, Rodolphe compris qu’il fallait faire attention, et surveiller Jesse.
Seulement, moi, je ne pouvais plus faire miss détective, et il comprit que ma santé est importante.
Je rentrai immédiatement à l’appartement. Mes parents voulaient que je me repose pendant trois jours,
mais les cours sont importants pour ma carrière, enfin c’est juste que je veux devenir journaliste. Je pense
que je vais aller voir mon docteur pour qu’il me fasse un certificat comme quoi, il fallait un temps de repos.
Le directeur allait comprendre mon certificat ?
Pendant mes jours de repos, je me mis en route pour le prochain article. Seulement il fallait trouver un titre.
Pensez-vous qu’on doit se méfier de tout le monde ?
J’ai fait la rencontre d’un ami et qui est à la fois le voisin de mes parents.
Partager, découvrir l’autre, et en baissant notre garde, il nous cache peut-être un petit ou grand secret ?
On a plus des sentiments pour cet ami que l’on croyait se connaître l’un de l’autre. Chacun à des problèmes
personnels, et chaque jour est un défi. Seulement on ne peut pas supporter le poids du monde qui pèse sur
nos épaules.
Chaque personne peut prendre une revanche. Mais faut faire attention.
Le pire, c’est quand vous vous disputez avec votre ami et là que ça fait mal, un sauveur vous attends à
l’autre bout du couloir. Même si on ne veut pas dire ce que l’on a sur le cœur, ses bras sont là et nous
procure une grande sécurité que l’on ne veut pas se délibérer.
Nos émotions disent ce que l’on ressent de plus profond de nous. Nous faisons des rêves qui veulent
expliquer certaines choses. Seulement pour pas que cela influence sur nos émotions, il faut faire le point ou
sinon, on en tombe malade.
J’envoie l’article par mail, à madame Delacourt. Contente de l’avoir finie que je termine pile quand j’avais
sommeil. A vingt-trois heures et demie, je m’endormis sur le coup pas besoin de médicaments, là j’ai fait
plus que le tour de l’horloge.
10
Le jeudi 10 Janvier 2012, à 12h
Les filles m’apportent le petit déjeuner au lit. Rodolphe m’appela pour prendre des nouvelles, car il
s’inquiétait pour moi. Les filles partaient en cuisine pour la préparation et me faire plaisir, pour une fois que
des copines que j’adore plus que tout au monde me fasse la cuisine.
-Bonjour, Rodolphe. Je vais bien ne vous inquiétez pas.
-Cela me rassure, mais dit-moi le sujet de votre dispute d’hier ? Car en ce moment, je vois l’état de Jesse qui
change à toute vitesse, et ça me fait peur.
-Rodolphe, je pense que c’est dut parce qu’il prend une substance ou peut-être de l’alcool. Mais je n’en suis
pas sûre à cent pour cent. Vous voulez toujours que je fasse mon enquête ?
-Non, je ne pense pas, et vu ta santé, je ne préfère pas.
-Mais je peux le faire. Je vous le promets que je vous tiendrais au courant des nouvelles ou des petites
choses que j’apprends, et puis, vous savez qu’une journaliste est toujours curieuse.
-Oui, mais fait attention à toi. S’il te frappe, défend-toi ou appelle-moi en cas d’extrême urgence.
-Oui, je vais vous laissez Rodolphe. Les filles m’ont préparés un repas et c’est une grande surprise pour moi.
-Bon appétit, et repose-toi bien ?
-Merci, et à bientôt.
Notre conversation m’a surprise, car il avait l’air de plus en plus inquiété pour Jesse, et pour moi, si jamais il
s’en prenait à moi.
Je passai un long week-end à me reposer et mon article allait apparaître dans le journal de lundi, que
madame Delacourt apprécie énormément. J’allais attendre le verdict de certaines personnes leur avis si ça
leur choque ou pas. Savoir leurs avis m’aide à progresser dans mes articles, et me donne la force de
continuer à écrire de ce que je pense, car il faut dire ce qu’on pense de plus profond de nous. D’avancer
dans la vie, affronter les problèmes.
Le lundi 14 janvier 2O12, à 10h,
Tout le monde me dévisageait, et compris qu’ils avaient lu mon article.
Beaucoup de personnes arrivent autour de moi, et disent de ce qu’ils en pensent.
-Tu as absolument raison Lena, quand tu parles du sauveur, c’est qui ?
-Ah, une bonne journaliste ne transmet jamais ses sources.
-Et bravo, car grâce à toi, y a une personne que je me méfie, dit une fille de la classe de mode.
Personne ne dit un mot de plus. Je croise Grégoire avec le plus beau sourire qu’il me fait depuis qu’on se
connait. Peut-être il pense que c’est lui, que j’ai qualifié de sauveur dans mon article, et qu’il me donne son
plus beau sourire ?
-Est-ce qu’on peut se parler en privée, s’il te plait Lena, ma journaliste favorite ?
Je ne pus m’empêcher de refuser, je le suivis dans un coin où personne ne pouvais nous voir.
-Lena, je voudrais savoir si tu m’as mis dans ton article, en me désignant comme un sauveur pour toi ? Car je
t’aime énormément, tu es une fille brillante, et qui réussira en tant que la meilleure journaliste.
-Greg, sache que …..
Il me mit un doigt sur mes lèvres et dépose un baiser, que je le lui rendis.
Avoir un sentiment d’être plus qu’en sécurité, et que c’est donnant donnant de chacun de l’autre, je peux
dire que je suis sur un petit nuage. Personne, je dis bien personne ne viendra couper ce moment magique.
Nous revenons à la réalité car on ne sait qui peut nous voir et le faire partager à tout le lycée.
-Il est préférable qu’on se voit en dehors, me dit-il en me donnant des baisers.
On se donne nos numéros, pour se parler plus discrètement. Heureuse d’être avec lui, et je pense qu’il
viendra à l’appartement. Seulement les filles doivent garder en secret notre relation si elles ne veulent pas
qu’on se sépare pour la vie à cause de cette connerie.
Notre relation était plus qu’une aventure, ce qui me plait chez lui, c’est qu’il soit honnête, franc, et qu’on ne
se cache rien, de l’un à l’autre.
11
Ce soir, j’invite Grégoire à l’appartement, et pour le dire aux filles, pour pas qu’elles apprennent par
quelqu’un d’autre notre relation.
Surprises de le voir, elles ne disent pas un mot. Nous dînons ensemble et parlons du prochain article que je
vais mettre.
-Les filles, je sais que la présence de Grégoire vous surprend, mais un secret qui ne dois jamais être dévoilé.
-C’est quoi, dit nous et promis, on ne dira rien à personne, dit Amélie avec son air plus que sérieuse cette
fois ci.
- Grégoire et moi, nous sortons ensemble.
Surprise de la nouvelle, nous discutons un bon moment ensemble.
C’est au bout de vingt-trois heures que Grégoire repartit avec la certitude que notre relation va durer. Même
s’il a vingt-cinq ans, je me dis que l’amour n’a pas d’âge pour s’aimer. Du moment, qu’il est sincère avec moi,
je l’accepte telle qu’il est, l’homme de ma vie peut-être ?
Une idée me vient pour le prochain article, que je commence de suite.
A chaque article, un nouveau sujet. Je vais vous parler d’amour.
Personnellement, en ce moment, je suis en couple, et je ne vous dirais pas qui c’est ?
On se sent heureuse, en sécurité quand on est dans ses bras. Comme toutes les filles, on attend le beau
prince charmant. On l’a croisé dans le couloir, et un beau jour vous tombez dans ses bras, là vous pouvez
vous dire que c’est lui. Lui que vous cherchez depuis x temps, car de nos jours, certains hommes pensent à
eux, et nous on n’existe plus à leurs yeux.
Il faut montrer de quoi on est capable pour attirer leur attention sur nous, et de rester quelques heures
ensemble. Passer des moments inoubliables, avec l’homme qu’on aime tant. Quand on est amoureux, il
faut voir l’avenir, ce qui pourrait se passer.
A ce qu’un homme lève la main sur une femme est horrible. Certaines femmes restent, d’autres partent car
elles ne peuvent plus supporter leur conjoint qui la frappe.
J’envoie à madame Delacourt, l’article, et m’endormis tranquillement.
Durant mon sommeil, je rêve Jesse. Sur un port au près d’un bar avec ses amis. Cela me semble curieux que
j’avance pas à pas pour voir de ce qui se passe, et voit avec des dizaines amis, verre à la main en train de
trinqué, à une victoire. Je sentis que quelqu’un m’observé et me retourne. Un homme de un mètre quatrevingt-dix me prit par les bras et m’emmena ailleurs.
Dans une salle étrange, parsemé de rideau rouge, et j’étais assise au centre de la pièce. Soudain Jesse arrive
avec un objet qu’il cache derrière son dos.
-Jesse, mais qu’est-ce que tu fais ? Je ne te reconnais plus, redonnez-moi mon meilleur ami !!
Jesse se mit à rire si fort que mes tympans faillit exploser, et je me réveillai d’un coup.
Les filles étaient au pied de mon lit, prêtes à me sauter dessus avec un sceau d’eau froide, pour me
rafraîchir.
-Lena, ta criée dans ton sommeil, et du coup, on s’est toutes les deux précipitées dans ta chambre. Tu es
sûre que tu vas mieux ? Amélie va te ramener un verre de lait, dit Radhia en me rassurant.
Le 21 janvier 2012, à 11h,
A la moitié de l’année scolaire, le lycée, nous demande de faire un genre de concours. Les trois premiers
iront pour deux mois aux Etats Unis. Avec les filles ont à l’intention de gagner pour partir toutes les trois.
En cours de journal, madame Delacourt fait une réflexion à toute la classe, car dans pas longtemps y a le
conseil de classe.
- Bon, je ne trouve que personne dans cette classe ne fait des efforts pour écrire les articles ?
-Madame, il faut trouver pleins d’idées mais ce n’est pas facile, dit Jesse d’un ton agacé.
Une envie de dire quelques choses devant toute la classe mais je me retiens, faire une bêtise pour briser
notre amitié, seulement une envie me dit de le faire.
12
-Et si tu faisais un article sur toutes les drogues, je pense que tout le monde aimeraient savoir ce qui existe
sur terre comme drogue, dis-je calmement en me mordant les lèvres.
-Mademoiselle Carter a raison, et monsieur Monroe peut faire cet article. A quoi bon savoir, ce qui a comme
drogue sur terre. Comme ça, on apprendra des choses, vous le commencez aujourd’hui cet article et il sera
sur mon bureau lundi, dit madame Delacourt en passant sa main dans ses cheveux.
Il me lance un regard noir de rage, à croire que j’ai appuyé sur une partie douloureuse. En tout cas, des
petits indices qui vont mettre au courant Rodolphe. Je tiens quelque chose mais il faut que j’insiste la
meilleure solution.
- En plus, il y a que mademoiselle Carter qui a fait beaucoup d’articles par rapport aux autres, dit madame
Delacourt d’un ton posé. Mais on revient au concourt les personnes inscrites pour l’instant sont Lena,
Radhia, Amélie, Jesse et c’est tout. Remuez-vous un peu !! J’ai l’impression de voir des escargots, dit-elle en
tapant sur la table ce qui nous fit sursauter.
Le cours se termina et Jesse me tira par la manche.
-Mais qu’est-ce qui te prend de dire à tout le monde que je dois faire un article sur la drogue ? Ta un
problème ou pas ?, dit-il en me hurlant dessus.
-Jesse, tu me fais mal !! Et non, j’ai aucun problème c’est toi, fait toi soigner !!!
Grégoire vit que Jesse me faisait mal. Un bleu sur l’avant-bras que Grégoire vit, ne pouvait pas supporter de
ce que Jesse ma fait, il alla le voir et lui donna une bonne leçon.
-Si tu lèves encore la main sur Lena, je peux te dire que tu auras de sérieux problèmes, dit Grégoire d’un ton
froid en l’attrapant par l’avant-bras.
-Oh monsieur le pion est amoureux de Lena.
-Je l’apprécie beaucoup pour ses articles, c’est juste ça. Elle a besoin des personnes qui ont lu son article
pour qu’elle progresse, et faire au prochain quelque chose de bien.
-On dirait que tu l’as connait pas cœur, mais dit-moi, vous êtes tellement proche. Y a-t-il plus dans votre
relation amicale entre vous ?
Là je dois m’interposer pour éviter que cela s’aggrave de plus en plus.
-Arrêter, on dirait deux gamins qui se battent, et de toute façon avec Grégoire, on est qu’amis et rien de plus
Jesse arrête tes bêtises.
-Oh et maintenant, tu dis son prénom, que c’est touchant.
-Jesse maintenant arrête, j’en peux plus de tes caprices, je ne sais pas si notre amitié vaut le coup que tu sois
dans cet état.
Je me retourne et là, Jesse m’attrape à nouveau par le bras et me donne un coup de poing au visage, qui
m’assomma sur le coup.
Pendant que j’étais dans les nuages, Rodolphe était là dans le bureau du principal avec Jesse, puis Grégoire.
-J’ai dût m’interposer entre Lena et Jesse, car j’ai vu qu’il lui faisait mal sur l’avant-bras, dit Grégoire devant
le principal le plus sérieusement. Et puis, Lena s’est mise entre nous, et là elle a reçu le coup que Jesse lui a
mis.
Rodolphe ayant entendu que Jesse m’avait frappé lui mit en rogne.
-Jesse, frapper une femme, surtout ta meilleure amie, c’est honteux !, dit Rodolphe en lui criant déçus.
-Depuis quelque temps, elle m’évite, je ne sais pas ce qu’elle a, et quand ce pion nous a séparé, j’ai cru qu’ils
étaient ensemble ?, dit Jesse d’une voix innocente.
-Monsieur, j’apprécie beaucoup Lena pour ses articles et je la soutiens, en tout cas il n’y a rien entre nous, je
peux vous le promettre, dit Grégoire en mentant pour notre secret.
-Donc pour Grégoire sa passe, mais Jesse, ce coup sur mademoiselle Carter, et bien vous avez soit dix heures
de colle, ou si vous préférez faire les corvées de ménage du lycée.
Jesse réfléchis à la meilleure solution faire les heures de colles ou faire le ménage ?
-Je prends le ménage car rester à rien faire sur une chaise cela me déprime.
-Et bien mon fils, la prochaine fois tu feras attention à qui tu frappes et surtout lever la main sur une femme,
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je vais te dire le reste dehors. Je vous remercie monsieur le principal, et s’il refait la moindre bêtise, je lui
donnerais d’autres punitions.
Le principal sourie et tout le monde sortie du bureau.
-Franchement Jesse, tu me déçois énormément, et pour la peine interdiction de sortir pour deux mois.
-Mais papa !! Je sais que je n’aurais pas dût mais c’était plus fort que moi, et je ne sais pas ce qu’il m’a pris
de lui frapper.
-Il faudra que tu lui présente tes excuses.
-Je ne sais pas si elle me pardonnera, je lui ai fait tellement du mal, dit Jesse en pleurant.
Jesse rentra chez lui, et Rodolphe venait me voir, pour voir dans l’état que j’étais depuis que Jesse m’avait
bien assommée.
-Ma pauvre, Lena, quand je pense qu’il a levé la main sur toi, cela me met tellement en rogne.
-Je ne pourrais pas lui pardonner de ce qu’il m’a fait, je me mis à pleurer. Et depuis cette nuit, encore des
rêves qui m’ont fait peur, et aujourd’hui le coup, j’en peux plus Rodolphe. Il faut que je me concentre sur le
concourt qui a en ce moment pour partir avec les filles à New York.
-C’est génial !!! Et je pense que tu vas réussir, vous les filles.
Mon ange gardien à côté de moi, que demander de mieux. Simplement ce que Jesse m’a fait, je ne suis pas
prête à lui pardonner, en tout cas, son état empire de plus en plus. Je sais, pour l’article sur la drogue j’étais
un peu loin, mais en tout cas madame Delacourt veut absolument que Jesse fasse cet article, ou sinon il sera
exclu du concourt.
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CHAPITRE 4
Nous, les filles ont va toutes les trois faires des articles qui vont cartonner et comme cela, on pourra
partir toutes les trois à New York city. Seulement Amélie, Radhia, Jesse et moi, y participons. Il faudrait un
peu plus de personnes ? Peut-être que cela va nous ouvrir les portes d’aller voir les bureaux de New York
City. Maintenant, malgré de ce qui s’est passé y a quelques jours avec Jesse, il faut que je motive les autres
personnes à participer au concourt.
Avec Nicolas, l’animateur de la maison des lycéens, on doit faire un article. Lui, doit faire un montage photos
pour le concourt et moi, l’article que je suis en train de faire.
Cher lycéens, et lycéennes
En ce moment, un concourt est lancé, le thème de ce concourt se porte sur le journal du lycée. Afin
de faire toucher les points sensibles de nos professeurs, principal, et surveillants qui eux auront la
possibilité de juger et voter leur journaliste préféré.
A la fin de ce concourt seulement trois personnes auront la chance d’aller voir, les bureaux de New York,
où ils pourront avoir la clé des portes, de commencer leur carrière dans la plus grande et chaleureuse ville
du monde.
Alors aux journalistes, à vos plumes et merde pour la suite.
Lena Carter, moi aussi, j’y participe et je vais essayer de faire un article qui vous étonnera.
L’article finit, le montage finit, il manque plus qu’à le publier dans le journal. J’espère qui aura un peu plus de
monde au moins une vingtaine de personnes. Enfin voilà, que je motive un peu de monde.
Le mois de mars arrive et mon stage à « Vie ta vie » commence, heureuse d’y être. Il faut que je gère avec le
lycée aussi, des articles pour le journal du lycée, et le stage. C’est un défi à relever.
Le 05 mars 2012, à 9h 30
Aujourd’hui des idées pour l’article du concourt, mais pour le moment, je suis en train de faire le brouillon,
au jour d’aujourd’hui, je dois faire un écrit pour le lycée, et plus pour le stage. Au moins que monsieur Fabre
soit un peu plus connu et le faire connaître davantage autre que Paris. Il faut absolument que je le fasse
connaître aux Etats-Unis, grâce aux personnels de « Vie ta vie ».
Grégoire vient me voir, une fois qu’il avait c’est deux heures de pause.
-Lena, je n’ai pas envie que tu meurs de faim, donc je t’ai apporté ton plat préféré, asiatique.
Vous y croyez ça, les filles, l’homme dont vous êtes amoureuse, ne veut pas que vous mourrez de faim,
franchement, que demander de mieux.
-Tu es un amour, Greg, qu’est-ce que je ferais sans toi ?
-Et bien, ma journaliste préférée n’aurait pas une garde protégée, à cause de ce qui t’es arrivée.
Et oui depuis ce que Jesse m’a fait, je ne lui ai pas pardonné, et plus de rêves étranges, ce qui me rassure
pour bien dormir. Mais je continue toujours à faire mon enquête sur lui, en gardant les distances. Grégoire
n’est pas au courant de mes enquêtes sur Jesse.
Mais le plus important, c’est que je fasse une chronique et avant qu’il passe à la publication, savoir si
monsieur Fabre est d’accord avec mon écrit.
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Dans la vie de tous les jours, on porte des vêtements selon nos humeurs du jour. Sauf qu’il faut faire bien
attention avec les motifs et couleurs. Ne pas faire trop chargé sur soi, sinon cela ferait un effet tapisserie et
pot de peinture.
Aussi nuancer avec notre âge, pas trop jeune, ni trop vieux. Il faut être en accord avec soi-même, c’est ça
le plus important. Pour être bien vu des autres, que ça soit au travail ou avec nos amis.
Maintenant vous ne verrez plus les personnes de la même manière, une fois qu’elle sera passée
chez nous « Vie ta vie », quand vous sortirez, vous vous sentirez mieux qu’avant et vous serez libre.
Une petite chose, faites ce que vous voulez sans qu’une personne est derrière vous. Vivez votre vie à fond,
car elle est courte. On ne sait pas ce qui nous attend le lendemain.
Comme le slogan le dit vraiment « Vie ta vie »
Une fois finie de travailler, Grégoire m’attendit à l’accueil, et on rentra ensemble.
Un homme, un vrai, celui que vous avez rêvé depuis votre enfance se tient près de vous, amoureusement.
-Lena, tu me rends tellement heureux, et j’ai envie qu’on reste ensemble toute notre vie, me dit-il en
chuchotant dans mon oreille.
Quand votre petit ami, vous dis ça, cela vous cloue au sol.
-Greg, moi aussi, je suis heureuse avec toi. Je n’ai pas envie de te perdre.
Certes, je n’avais pas envie de le perdre, car un homme de ce genre à mon âge, on en trouve mais c’est rare.
On arriva en bas de l’appartement, et me déposa un long baisé amoureusement. J’ai l’impression de
m’envoler avec lui dans ses bras qui me procure sécurité et une sensation de chaleur.
J’arrivai dans le salon, avec un sourire jusqu’aux oreilles, les filles ont comprises que j’étais avec Grégoire,
jusqu’en bas.
-Voir notre colocataire heureuse et qui ne souffre plus à cause d’un con, nous rend, Radhia et moi,
heureuses et contentes pour toi.
-Les filles, je suis bien avec lui. Là je suis sur mon petit nuage en forme de cœur rose. Je crois que je vais bien
dormir après mangé.
Certes je m’endormis d’un coup, sous l’effet du travail.
Dans le rêve, je vis plusieurs personnes autour d’une table de poker. Boissons alcoolisées à la main, ries si
fort que je reconnu le rire de Jesse.
-Les gars, j’ai un problème. Un mec me vole ma meilleure amie que je veux récupérer, dit Jesse en frappant
sur la table qui me fit sursauter.
-Jesse, c’est toi le chef, on veut ton bonheur alors ce mec qui c’est ?
-Il travaille en tant que surveillant au lycée, il s’appelle Grégoire.
J’entendis son prénom qui me réveilla en sursaut. Cela faisait depuis janvier que je ne rêvais plus de lui.
Pourquoi à nouveau ? Il fallait que j’en parle à Rodolphe mais en pleine nuit, je ne pense pas. J’attendrais
demain matin.
N’arrivant pas à dormir, j’essaie d’écrire un article pour le journal du lycée.
Au temps des Lords, Lady de Grande-Bretagne, les familles, voulez marier leurs enfants,
filles ou fils, d’une famille noble ; car ils possédaient beaucoup d’argent.
Seulement au jour d’aujourd’hui, au XXI siècle, il y a de moins en moins d’hommes qui font la cour
à la femme en leur demandant leur main. Sauf exception, et oui, j’ai la chance d’avoir un homme qui a
encore la manière d’un gentleman. On n’en trouve pas partout.
Une mise en garde à certains hommes qui voudraient conquérir leur bien aimé, d’être tendre et bien
éduqué envers nous.
Voilà un petit clin d’œil, qui pour moi et une chose d’exception.
J’envoie l’article à madame Delacourt, en espérant qu’elle accepte de mettre dans le journal de la semaine
du 5 au 9 mars.
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Le mardi 6 mars 2012, à 10h30
Monsieur Fabre étonné de l’article me fit une remarque.
-Mademoiselle Carter, j’ai lus votre article et j’adore. Votre touche personnelle m’a beaucoup plu. Le fait que
l’on peut essayer de relooker des personnes, chez nous, sera un plus pour notre marque et des médias pour
nous faire connaître davantage.
Surprise qu’il veuille mettre mon idée en œuvre, avec les médias en plus me redonne la pêche.
Après la pause déjeunée, je consulte ma boite mail. Madame Delacourt, un mail de confirmation.
Mademoiselle Carter,
Votre article ma beaucoup touché, et je pense que votre article sera dans le journal de la semaine.
Ce que vous avez noté et vraie, et que je suis de tout cœur avec vous.
Moi aussi, je vous avoue que j’ai bientôt 30 ans et je n’ai toujours pas trouvé le prince charmant.
Mais cela reste entre nous, et je pense que vous savez tenir une promesse.
J’espère que votre stage se passe bien
Amicalement
Madame Delacourt.
Surprise du mail et du contenu, je préfère garder ça pour moi.
Ne sachant pas quoi faire, j’allais voir les stylistes.
Chaque artiste est différent et le montre dans leur création. Que ça soit dans la mode, peinture,
sculpture, tous les artistes montrent leur sentiment, leurs idées à travers la création.
C’est de l’art de la mode, de la peinture passe à travers les humains pour donner un message.
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Chapitre5
Le mercredi 7 mars 2012,
Tous les mercredis, je ne travaille pas, donc j’en profite pour aller voir Rodolphe à son bureau.
-Lena, ça me fait plaisir de te voir !! dit-il d’un ton joyeux en se levant de sa chaise pour m’accueillir à bras
ouverts.
Je lui souris et je baisse mon regard, il comprit que je n’étais pas au top.
-Il y a une chose d’important à ce que je vois dans tes yeux.
-Oui, cette nuit, j’ai rêvé de Jesse, dis-je d’un ton inquiet.
-Dit moi tout. Car on ne sait pas si ça va se réaliser, et faut que tu sois prudente.
-Dans le rêve, Jesse était le chef d’un groupe. Ils étaient tous assis autour d’une table de poker avec pleins de
bouteilles d’alcool.
Je pris mon temps pour lui expliquer en détails, la scène.
-Il annonce à ses copains qu’il doit supprimer mon petit ami, dis-je en pleurant.
-Comment s’appelle ton petit ami ?
-Grégoire, c’est le surveillant. On s’aime beaucoup, et on ne veut pas se quitter.
-Je comprends mais tu aurais pu dire la vérité au début ?
-Je sais seulement, on devait garder notre secret longtemps. Et là, le rêve d’hier soir me donne la chair de
poule.
-Ma pauvre, reste un peu avec Grégoire et dit lui la vérité.
Prendre la bonne décision rapidement pour être en sécurité, Grégoire et moi.
Je rentre à l’appartement et pris le courrier. Une lettre de Grégoire
Ma chérie,
Je ne suis pas expert pour écrire comme toi.
Tu es mon rayon de soleil depuis que je t’ai vu la première fois.
Depuis qu’on est ensemble ma vie a changé, elle a fait un grand tour à trois cent soixante degrés.
Tu es magnifique, belle, intelligente, tout pour me rendre heureux.
Tu es l’unique femme que j’aimerais rester toute ma vie. J’ai envie de vieillir à tes côtés, me marier, avoir
des enfants, de t’aimer jusqu’à ma mort.
Lena, veux-tu vivre avec moi ? Etre ma femme à tout jamais ?
Tu peux prendre le temps et me dire ce que tu ressens du plus profond de ton cœur.
P.S : J’ai lu ton article et ça m’a fait comprendre la meilleure chose
Je t’aimerais à jamais
Grégoire
Une larme coula sur ma joue.
Une lettre transformait en poème, me donna chaud au cœur.
Les filles sont à leur stage. Je profite de l’après-midi pour prendre un bon bain, séance de relaxation pour
moi. Je fais couler l’eau à la bonne température, et je me glissai dans la baignoire.
Musique douce, et le parfum des bougies allumées me bercent et somnole dans le bain.
Tout d’un coup, j’entendis la porte d’entrée claquait et je crus que les filles étaient là.
-Les filles, je suis dans la salle de bain. Faites ce que vous voulez ?
Pas de réponses, je n’insiste pas et me relaxe.
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Je sentis des mains autour de ma gorge, ouvrit les yeux et vis Jesse. Me débâta dans la baignoire, il me mit la
tête sous l’eau, tout en gardant ses mains autour de ma gorge. Je bus la tasse et m’évanouis.
C’est seulement trois heures, plus tard que je repris connaissance à l’hôpital. Les filles s’étaient endormies
sur le grand fauteuil. Rodolphe consola mes parents.
-Marie et Jacques, je pense qu’il faudrait mettre une sécurité pour les filles. Une sorte de code à l’entrée de
leur appartement.
-Rodolphe a raison, chérie, dit mon père à ma mère morte d’inquiétude. Il faut une sécurité pour les filles.
Grégoire arriva dans ma chambre, et dit la vérité à mes parents qui étaient plus ou moins surpris.
-Le plus important, c’est que vous rendez ma fille heureuse, le reste je m’en fous, dit ma mère.
-C’est pour ça que je suis là pour savoir son état, dit-il calmement.
Etant donné que j’étais sous oxygène, je repris doucement mes esprits que Grégoire vit et appela
l’infirmière.
-Je vais voir si elle va bien.
Elle me consulta et sortit de ma chambre.
-Elle a besoin de repos, beaucoup. Car le fait qu’elle a failli mourir, cette personne l’a étranglé sous l’eau a
fait beaucoup de dégâts.
-Quand est-ce qu’on peut la voir ?, dit ma mère.
-Seulement deux personnes à la fois.
Les filles arrivaient en première.
-Lena, c’est qui ? Ta vue ou reconnu cet abruti ?, dit Radhia.
-Radhia, doucement, elle a repris ses esprits y a quelques temps, dit Amélie d’un ton calme. Bon on va te
laisser les autres veulent te voir, on reviendra, ne t’inquiète pas.
Elles me déposaient chacune à leur tour un bisou sur la joue, et les parents rentraient.
-Lena Sophie Carter, tu nous as fait peur, dit mon père en citant mes prénoms. Avec Rodolphe, ta mère et
moi, nous avons pris une décision de mettre une sécurité code.
-C’est une bonne idée, merci à vous.
Ils virent que je fatiguais et Rodolphe, Grégoire arrivaient pour la fin de la journée.
-Ah ma chérie, dit Grégoire. Si je retrouve ce crétin, il va le payer très cher.
Le regard de Rodolphe était bizarre et froid. A-t-il compris que Jesse est derrière tout ça ?
-Lena sache que tu auras une protection, dit Rodolphe.
-Merci pour tout, qu’est-ce que je ferais sans mon ange gardien et l’homme de ma vie ?
-En tout cas, quoi qu’il t’arrive, je serais toujours là, ma femme, dit Grégoire.
Rodolphe vit que je suis heureuse avec Grégoire.
-Bon on va te laisser te reposer, on reviendra, dit Rodolphe en prenant par le bras de Grégoire.
Une semaine se passa, et depuis une installation de sécurité a été mise à l’entrée de l’appartement.
Je me remets petit à petit de l’accident. Grégoire vit maintenant à l’appartement pour notre protection.
C’est lui qui a décidé et j’aime bien être avec lui pour m’endormir.
-Ma princesse, si ta besoin de quelques choses, je vais te le chercher.
-Ne t’inquiète pas mon ange, je sais me débrouiller toute seule, comme une grande.
Il me regarde d’un air de chien battu qui me fait fondre.
Le Jeudi 15 Mars 2012, à 9h30
L’avant dernier jour du stage.
Demain vendredi, un pot de départ est annoncé depuis une semaine. Apparemment c’est le départ de
Frédéric qui part à la retraite. Il vient me voir à mon bureau.
-Lena, tout se passe bien ?
-Oui, très bien. Demain c’est mon dernier jour de stage pour moi, et j’ai su que vous partez en retraite.
-Oui, je peux m’occuper de mes petits -enfants et de ma famille. Je te dis merde pour la suite de ta carrière.
-Merci beaucoup. Grâce à certaines personnes, j’ai appris certaines choses et je vous remercie.
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-Ce n’est rien. En plus grâce à toi, on a eu un coup de pouce, de plus les médias pour faire connaître plus la
marque « Vie ta vie ».
Frédéric s’en alla, et je regardai autour de moi, le personnel allait et venait, repensai aux semaines que j’ai
passé ici.
Etre journaliste, c’est bien. Seulement savoir quelle spécialité, nous convient et que l’on veut partager aux
citoyens de la ville.
J’ai encore deux ans, à trouver dans quel domaine, je vais m’orienter. Je peux venir travailler pour gagner un
peu d’argent pour payer l’appartement, la nourriture et pleins de choses.
La fin de l’année approche à grand pas, et le concourt aussi.
Pleins d’idées me viennent que je mets aux brouillons.
Relire chaque idée et trouver celle qui pourrait me faire décrocher une place avec mes copines Radhia et
Amélie qui feront aussi de bon article. Aller ensemble à New York.
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Chapitre6
Le vendredi 16 mars 2012 à 12h,
Aujourd’hui, c’est une journée très spéciale. Mon stage à « Vie ta vie » est fini.
Une réception pour le départ de Frédéric à la retraite est donnée.
-Je vous remercie beaucoup. Durant une partie de ma vie à « Vie ta vie », des personnes exceptionnelles que
j’ai connu, on illuminait ma vie. Encore merci. De plus mademoiselle Carter, c’est aussi son dernier jour.
Monsieur Fabre s’avança vers moi avec un paquet qui me tendit vers moi.
-Merci beaucoup monsieur Fabre, de m’avoir pris en stage.
-C’est moi qui vous remercie. Grâce à vous qui a donné un coup de pouce, sans vous, on n’aurait pas de pub,
à chaque coin de la ville. Maintenant les jeunes stars veulent venir s’habiller chez nous.
Surprise du cadeau, un toast est porté pour Frédéric et moi.
Le lundi 19 mars à 8h
De retour en cours, après deux semaines de stage qui a été mouvementé pour moi.
En cours, j’ai changé de place et me mit à côté des filles. Car je sentis que Jesse me fixait, cela me donna la
chair de poule. Il a tenté de me tuer. Je suis la seule à le savoir, à part Rodolphe qui a des doutes.
-Lena, pourquoi tu n’es pas à côté de Jesse ?, dit Radhia surprise.
-J’ai envie de changer, et puis me concentrer sur un article.
-Radhia et Lena, vous êtes au top, tandis que moi, je ne trouve pas d’idée, dit Amélie désespéramment.
Radhia et moi, nous voulons l’aider à lui donner un coup de plume, des idées pour l’article qui nous
donnerons la clé des portes de New York City.
Les cours finis, ce soir, nous décidons de nous mettre toutes les trois à la plume. S’il faut faire une nuit
blanche, ce n’est pas grave.
-Alors, Amélie, il faut une chose qui te passionne, pour écrire la chronique, lui dis-je.
Nous étions dans le salon, assisses au sol toutes les trois autour de la grande table basse qui nous sert de
bureau à reportages. Avec coca-cola à la main, nous essayons de trouver des idées.
Radhia est inspirée, ce qui chez elle la met de bonne humeur.
Le crime des enfants
Au jour d’aujourd’hui, les enfants veulent que leur parent les fassent confiance.
Seulement quand les parents ne veulent pas d’enfants et que la mère apprend qu’elle est enceinte ; ou que
le père ne voulait pas d’enfant ; les problèmes s’imposent. L’avortement, et d’autres.
Moi je suis CONTRE l’avortement.
D’autres maltraitent les enfants et qui les poussent de faire le travail sous des conditions minables.
Ensuite des patrons de restaurants ou autres prennent des apprentis, les font travailler plus que prévu.
Seulement si un jour les mauvaises personnes les attrapent, les entreprises mettront la clé sous la porte.
De plus la crise qui est en ce moment, il vaut mieux montrer aux jeunes le savoir du métier.
A chaque génération qui évolue différemment sous l’autorité des parents, les enfants auront un autre
point de vue sur notre société.
Maintenant parent, grands-parents, futurs parents, voulez-vous que votre enfant, petits-enfants souffrent
le martyre ?
Montraient- les le respect, la bonne conduite sans que vous levez la voix. Car ils ou elles auront
peurs, et ne voudront plus vous écouter.
Faite le bon choix ?
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Amélie trouve une idée qu’elle écrit aussitôt.
L’AVENIR DES STAGIAIRES
Voilà une chose qui me tient à cœur.
Les étudiants, lycéens veulent découvrir leur métier. Pour cela, des stages en entreprises sont obligatoire
pour leur formation.
Je me suis rendue dans un lycée professionnel. Des vingtaines d’élèves se battent pour avoir un stage dont
le lycée programme pour l’année, à chaque classe. Pour eux c’est une course contre la montre.
Les raisons des entreprises que les élèves commentent : « Ils disent qu’ils n’ont pas assez de travail pour les
stagiaires », « qu’ils ne prennent pas de femmes », « d’avoir au moins 18 ans, car y a des travaux qu’ils ne
peuvent pas faire aux mineurs ».
Voilà la remarque des élèves qui se battent tous pour un stage.
La France et ses entreprises vont être perdues à cause du manque de personnels.
C’est un crime pour eux que les entreprises font en ce monde.
Quant à moi, j’avais depuis longtemps commencé mais c’était au brouillon, je décide de le mettre un peu au
propre.
Le monde du travail Aujourd’hui
La crise est là, depuis un moment.
Avant la crise, et au début que la France évoluait, tous les français cherchaient un travail pour pouvoir
nourrir leurs enfants, fonctionner le foyer, partir en famille.
Mais depuis que les personnes d’origines espagnoles, marocains, turques, et d’autres pays, viennent en
France car dans leur pays, il n’y a pas de travail. Ce n’est pas de la discrimination que je fais, seulement des
français cherchent du travail dans les entreprises petites ou grandes et par la suite, ils mettent la clé sous
la porte en déposant au chômage tous les employés.
Aujourd’hui, il faut trouver un moyen pour que la nouvelle génération puisse travailler et avoir un toit pour
loger.
On a souffert et on souffrira encore du manque de travail. Se battre pour garder notre emploi et un
combat de tous les jours, que nous sommes hommes, femmes, combattons main dans la main.
Manifestations, grèves, on est les champions par rapport aux autres pays.
Dans les pays d’Asie qui sont plus en avance que nous, ont beaucoup de travail pour la nouvelle
génération.
La France est en retard de cinq à dix ans par rapport à L’Asie.
Il faut donner un coup de pied pour que la France remonte à la surface.
Les gens riches sont surpris de ce qu’il se passe en France, donc ils décident de quitter le pays pour aller
vivre dans un pays où l’on n’entend pas la crise.
Qu’est-ce qu’on doit faire face à la crise qui va jamais se finir ? Y aura-t-il une troisième guerre mondiale ?
Si cela se produit, y aura-t-il des survivants ?
Le travail d’aujourd’hui, n’est pas comme avant où l’on trouvait facilement.
Nous relisons nos articles, et un point en commun des trois « le travail, mais où va la France ? ».
Terminons à minuit pile, et nous dormons comme des bébés.
Une nuit de réflexion sur nos articles, et un rêve d’aller à New York City pour les deux mois de vacances
d’été. Demain, nous allons donner en main propre notre article pour le concourt à madame Delacourt.
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CHAPITRE7
Le mardi 20 mars 2012, à 10h,
Pendant le cours d’anglais qui est porté sur notre stage. Je sentis le regard de Jesse sur moi, et cela me
donne toujours la chair de poule, même s’il a tenté de me tuer, je continue mon enquête sur lui.
Le cours se termina, et le portable de Jesse sonna, s’en va, je le suivis quand même.
Pour enregistrer de ce que Jesse dit, je mis mon portable en mode enregistrement. Des dons de détective
sommeil en moi que je mis en œuvre.
-Bon Alexis, il faut qu’on aille après les cours boire un coup. De plus, ma meilleure amie m’évite depuis la
rentrée. Il faut trouver une idée pour que je détruise son mec.
Des larmes m’échappent quand j’entendis qu’il voulait détruire Grégoire, l’homme de ma vie.
Sa conversation se termina et je marchai le plus vite possible pour me réfugier dans les toilettes, et pleurer.
Fallait-il que je fasse entendre l’enregistrement à Rodolphe ? Pour ma sécurité et celle de Grégoire, il le
fallait à tout prix.
Je prie une décision rapidement d’aller voir Rodolphe à la fin des cours.
A 17h30,
Une fois le cours de mathématique finie, je parle aux filles.
-Les filles, je vais faire une course. Je ne vais pas rentrer tard, je pense, dis-je en évitant de contourner le
sujet.
-Je vais préparer ce soir des spaghettis bolognais, dit Radhia ravie de faire la cuisine.
C’est vrai Radhia est un vrai cordon bleu. Quand elle met tout son cœur pour préparer un plat, il est à
tomber par terre.
Ma vie est chamboulée à cause de Jesse. Et d’avoir entendu la conversation qui me tient à cœur, il fallait à
tout prix que Rodolphe l’entende.
Rodolphe me vit dans un état de détresse et que son collègue s’inquiéta pour moi.
-Il t’a fait quoi ? Vient là ma belle, me dit-il en me prenant dans ses bras.
S’avoir que votre ange gardien tient à vous, et que vous dévoilez vos problèmes, c’est rassurant. S’il n’était
pas là, je pense que j’aurais fait autre chose.
Je le fis écouter l’enregistrement de la conversation que Jesse a eu avec un certain Alexis, l’a fait refroidir.
-Comment peut-il faire ça ? Ce n’est pas ce garçon que j’ai élevé, je ne le reconnais plus.
Le visage de Rodolphe changea d’un coup, une peur de perdre un garçon qu’il a adopté, puis élevé, même
s’il n’est pas le père biologique, il a donné tellement de chose à Jesse.
-Pour moi, c’est de la trahison, je ne sais pas si je pourrais lui pardonner. Faire du mal à une personne qu’il a
connu, et au final, la faire souffrir.
-Je te comprends Rodolphe. Jesse a fait souffrir tellement de monde.
On se consolait chacun notre tour. Rodolphe a peut-être perdu son fils qu’il a tant aimé. Il lui a donné ce
qu’un enfant demande à un père même s’il n’a pas le même sang. L’amour entre le père et le fils, c’est
sacrée. Tant qu’à moi, cela fait depuis longtemps que j’ai perdu mon meilleur ami en qui je pouvais lui faire
confiance.
Au final, Jesse a perdu des personnes qui l’aiment beaucoup.
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CHAPITRE8
Les mois passent et le mois de Juin pour le concourt arrive à grand pas.
Tout le monde était impatient du verdict des juges et des résultats qui seront publiés le 20 juin.
Déjà presque un an, au lycée et ma cote de popularité a augmenté. Je suis la personne qui donne des petits
conseils à travers mes articles et qui fait bouger un peu le lycée.
Le lundi 4 juin 2012, à 10h,
Avec madame Delacourt, une discussion s’impose.
-Madame Delacourt, est-ce que je peux vous posez une question ?, dis-je d’une voix assez professionnel.
-Tout à fait, dit moi tout la star du lycée ?
-Je me demande pourquoi le lycée ne ferait pas des journées sports, arts, faire découvrir pleins de choses
aux jeunes. Je voulais l’écrire dans un article mais je voulais savoir de la part des professeurs, et le principal.
-Et bien, c’est une bonne idée. Viens, on va en parler au principal, en même temps demander son accord.
Nous sortons de la salle de cours, et nous marchons jusqu’au bureau du principal.
Mon cœur s’emballe et s’accélère de plus en plus vite. Car aller dans le bureau du principal, cela vous
retourne l’estomac.
Madame Delacourt frappa à la porte et le directeur nous dit de rentrer.
-Mesdames, asseyez-vous ? Alors vous voulez parler de quoi ?
-Voilà, mademoiselle Carter voudrait demander votre avis, dit- elle.
-Dite, ce que vous voulez ?
-Voilà, je voulais écrire un article sur les activités qu’un lycée pourrait organiser. Seulement je pense qu’il y
aurait de l’investissement, un budget pour les activités.
-Quels genres d’activités, vous y pensez ?
-Sportive, art, des choses à faire découvrir aux jeunes et montrer un peu le marché du travail comment ça se
passe. Car une fois adulte, ils seront perdus et voudront de l’aide. Autant commencer maintenant.
-Vous avez mon accord pour l’article et qu’importe le budget que le lycée pourrait investir, cela permettra
pleins de nouveautés. Et vous avez raison, ils ont besoin de connaître un peu le monde du travail.
-Merci beaucoup monsieur, vous ne serez pas déçus.
Nous sortons du bureau et un soulagement, une joie de faire cet article que je commence aussi tôt.
Les activités au lycée
Avant d’écrire cet article, j’ai demandé à monsieur Sanders, si on pouvait introduire au
lycée des activités comme une journée sportive, une fête de l’art, une semaine de goût et pleins d’autres
choses.
Monsieur Sanders est d’accord pour donner un budget, et y participe.
En septembre, les activités seront ouvertes à tous.
Des personnes volontaires pour l’organisation des activités sont les bienvenues.
Une semaine se passe, une émotion m’envahis pour le concourt.
Le lundi 11 juin 2012, à 18h,
Amélie et Radhia, nous laisse l’appartement pour la soirée avec Grégoire. Les filles vont dormir chez leur
parent pour une nuit.
L’appartement rien qu’à nous.
-Lena, qu’est-ce que tu penses, dit moi tout mon cœur ?
-Comme on est que tous les deux, on pourrait faire quelque chose qui me tient à cœur.
-Tu es sûre de toi, chérie ?
-Oui, je veux faire la première fois avec toi, car je sais que c’est toi l’homme de ma vie.
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Grégoire s’avança tout doucement, et moi, je fis la même chose de mon côté.
Nos regards s’emballent, fusionnent comme si une étoile filante jaillit de nos yeux.
Il me prit tendrement et m’embrasse amoureusement. Je me jetai sur lui comme une lionne affamée.
Vêtements à terre, la pièce se réchauffait vite, et nos corps nus sous la couette s’enflamment au fur et à
mesure.
-Lena, chérie, si cela te fais mal dit le moi, dit-il avec délicatesse.
-J’ai confiance en toit, Greg, je t’aime.
-Je t’aime plus que tout.
Il se mit en action, et une sensation agréable et un peu douloureux à la fois.
Je me sentie mieux mais un peu mal de la première fois.
Une nuit qui se passe super bien.
Le mardi 12 juin 2012, à 6h30,
Grégoire m’apporte le petit-déjeuner et me dépose un long et tendre bisou que j’aime.
-C’est en quel honneur ce bisou ?, dis-je en rigolant.
-Car tu es la femme la plus belle dès le matin.
Je lui rendis son bisou long et tendre. Me leva et me prépara, Grégoire aussi.
Au lycée, je croisai les filles avant d’aller en cours.
-Alors Lena, tu es une femme maintenant ?, dit Amélie en plaisantant.
-Hier soir, on a passé le cap. On l’a fait.
-Mademoiselle est fière, alors ?, dit Radhia.
-De quoi Lena doit être fière ?, dit Jesse arrivant de nulle part.
-De quoi tu te mêles, Jesse ?, dis-je.
-Tu es ma meilleure amie, j’ai bien le droit de savoir.
-Ah et depuis quand tu es redevenu le mec que j’ai connu en début d’année !!, dis-je en gueulant. Ta tout
foutu en l’air Jesse, meilleur ami c’est fini !!! Depuis l’accident, que j’ai eu, j’ai bien réfléchi aux blessures que
tu m’as fait, je ne pourrais jamais te pardonner.
Enervée, lui tourne le dos. Les filles me suivaient jusqu’au toilette, et j’allais me rafraichir.
-Lena, ne me dit pas que c’est lui qui a voulu te tuer ?, dit Radhia folle de rage. Je crois qu’il va avoir une
correction ce mec.
-Radhia, calme-toi, regarde Lena. Maintenant elle a la trouille de le voir face à elle, dit Amélie le plus calme
possible et essaya de me rassurer.
Grégoire arriva dans les toilettes, et me consola dans ses bras, là où je me sens en sécurité.
-Est-ce qu’il a voulu te frapper mon amour ?
-Non, ne t’inquiète pas, il ne la pas frapper, mais c’est lui qui a voulu la tuer !!, dit Radhia encore un peu
énervée et se calma petit à petit.
-C’est quoi ce délire ? Lena, c’est vraie, cette histoire ?
-Oui, mais je n’étais pas sûre avant. C’est au fil du temps que je me suis souvenue que c’est lui.
-Il va savoir de quoi, je suis capable mais je ne vais pas le faire car il doit attendre ça.
Nous restons calmes et la sonnerie du cours retentit.
Ne plus penser à Jesse, et me concentrer sur les cours. Penser à moi et aux personnes qui ne lèveront pas la
main sur moi.
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CHAPITRE9
Le mercredi 20 Juin 2012, à 15h,
C’est l’heure du verdict. Le lycée a fait une grande réception pour les trois finalistes.
Monsieur Sanders donna les prénoms des trois personnes qui partent pour New York.
-Aujourd’hui est un grand jour pour les trois futurs journalistes. Maintenant je vais annoncer les trois
personnes qui auront la chance d’aller à New York !!
-Lena, je suis trop existée du verdict, dit Radhia en sautillant sur sa chaise.
-La première personne qui va venir près de moi, est Radhia Bloom.
Un cri de joie qui a failli me percer mes tympans.
Elle alla à côté de monsieur Sanders.
-La deuxième personne est Amélie Rose.
-Je n’y crois pas, trop contente, dit Amélie. Je fonce !!
Mes deux meilleures amies, confidentes sont toute les deux sur le podium. Maintenant il annonce le prénom
de la troisième personne.
-La troisième personne est la star du lycée depuis cette année, et je serais ravi qu’elle vienne me rejoindre
auprès de ses amies. Mademoiselle Lena Carter !!
Je n’en croyais pas mes oreilles. Je me levai et tout le monde m’acclama de joie, Rodolphe est là et me
félicite. J’arrivai près de mes amies et colocataires à la fois. Nous avons réalisé notre rêve à toutes les trois.
-Félicitation les filles !!, acclama monsieur Sanders. Vos articles, nous a tellement touché. De plus ce que
vous avez raconté, c’est la pure vérité. Les articles de tous les participants seront mis à jour en Septembre.
Je souhaite à tout le monde de bonne vacance.
Voilà la fin d’une année finie et des vacances de rêves, deux mois à New York City avec mes copines.
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CHAPITRE10
Le lundi 9 juillet 2012, à 19h 30,
Aujourd’hui, grand départ pour toutes les trois à New York. Nous avons toutes les trois gérées pour le
concourt, et on est fières de nous.
On part de Roissy, et le vol dure huit heures jusqu’à New York.
Voir de nouveaux horizons, découvrir le monde de nos propres yeux, c’est une expérience à faire à tout âge.
-Je suis tellement heureuse d’y être, dit Radhia plus excitée qu’avant.
-Etre dans les rues de New York sera un exploit, dis-je. Ce qui pourrait être le top, c’est de rentrer dans les
bureaux de New York.
Une lueur d’espoir brillait dans nos yeux.
Ce qui est bien dommage, c’est que Grégoire ne puisse pas venir. Des compétitions de surf qu’il a cet été.
Séparés pendant deux mois, ça sera long. Heureusement qui a internet.
Donc voilà huit heures de vol. Je pense qu’on devrait se reposer comme ça, on n’aura pas le décalage
horaire. Nous dormons tout le trajet.
Le lundi 9 juillet 2012, à 13h 35,
New York, l’après-midi, c’est super. Sortons de l’aéroport, et une personne nous attend et nous
accompagne jusqu’à notre appartement.
C’est en pleins centre-ville que nous logeons, à côté d’un café connu le Starbucks. Je crois qu’on ira tous les
jours.
Comme on est là pendant deux mois, il faut trouver un petit travaille pour au moins se nourrir.
La personne, nous dépose devant le bâtiment de notre appartement.
-Voilà, vous êtes au septième étage, numéro cent quatorze. Je vous souhaite de bonne vacance
mesdemoiselles.
Nous remercions le chauffeur.
Amélie poussa la porte de notre appartement.
-Ouah, c’est quoi ce délire !! On est à New York les filles !!!, s’écrie Amélie.
-Oui, on est bien à New York.
On prit chacune notre chambre, rangeons nos affaire et regardons le frigo.
-Ils ont pensé à le remplir, trop bien, di Radhia en nous servant un jus d’orange.
Un programme qu’on doit se faire pour aller voir les bureaux de New York. C’est mercredi que nous y allons
aux bureaux.
Le mercredi 11 juillet 2012, à 15h,
Nous partons visiter les bureaux de New York. C’est au vingtième étage que nous y allons, Amélie, Radhia et
moi.
-Bonjour mesdemoiselles. Alors vous appréciez la vue ?
-Oui !! dit- on en cœur.
-Je vois que vous êtes sur un petit nuage, d’être ici à New York.
On ne répondit pas car il a vu nos yeux qui brillaient de mille feux.
-Vous êtes là pour combien de temps, les trois drôles de dames ?
Aucune des filles voulaient se lancer, elles étaient pétrifiées sur place et ne savent plus quoi dire, donc je me
lance.
-Nous restons deux mois sur New York, et j’aimerais savoir si vous cherchez des personnes pour travailler.
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-Ah !! Eh bien, vous avez de la chance y a trois places de libre pour vous. Vous commencez demain, c’est un
essai pour voir si je peux vous faire confiance.
On saute de joie, trouver un boulot qu’on a dès le premier jour, en dix minutes à peine.
-Merci monsieur !! , dis-je toute excitée.
-Vous pouvez m’appeler Charles, mademoiselle ?
-Je me présente Lena Carter. Voici Amélie Rose, et Radhia Bloom.
Nous visitons tout l’étage.
Une spécialité me donne envie d’aller travailler, et découvrir, les affaires criminels. De plus, je pourrais
apprendre certaines choses, comme j’ai des dons de détective, que j’ai utilisé récemment, va me permettre
d’approfondir mes capacités.
Pour Amélie, c’est la mode jeunesse et Radhia, en cuisine.
Demain, ça va être une journée splendide.
La visite se termina au bout de trois heures. Il faut garder la suite pour demain, découvrir encore plus de
choses pour se mettre d’appétit.
Le jeudi 12 juillet 2012, à 8h,
Pas de temps de prendre le petit déjeuner, nous prenons un café au Starbucks pour aller travailler au New
York Times.
-Bon les filles, il faut être au top pour qu’on reste toute les trois, dit Radhia d’une voix presque militaire.
Le premier jour au New York Times. Nous installons chacune dans notre choix de bureau.
Je regardai les informations locales. C’est impressionnant en comparant avec la France et l’Amérique.
Le taux de violence est plus élevé en Amérique avec un pourcentage de vingt-huit pourcent par rapport à la
France un pourcentage de dix pourcent.
C’est en 2008, qu’une augmentation de crime en Amérique est le plus fort que les autres pays. De plus, c’est
de la discrimination car un noir sur vingt- et-un est enfermé, et un blanc sur cent trente-huit aussi. Soixantetrois pourcent détenus attendent leur procès qui se fait en un mois, un an ou des années après.
Heureuse d’être en France quand je pense à Jesse, il peut être enfermé pour tentative d’homicide.
Seulement je n’ai pas dit qui voulait me tuer et qu’il soit puni pour ça.
Nous allons déjeuner avec Charles.
-Alors la première matinée, vous vous sentez bien ?, dit Charles.
-En tout cas, dans l’univers de la cuisine, je suis aux anges, dit Radhia en prenant une gorgée d’eau.
-Du moment que vous appreniez en plus à faire la cuisine, c’est un point en plus, dit Charles.
-On apprend la mentalité des jeunes et plus de la personnalité, dit Amélie. En plus, leurs comportements
envers leurs parents me déçoivent.
-C’est vraie, en plus c’est un peu de l’étude de comportement, et vous Lena ?
-Pour ma part, la criminalité est plus élevée ici, qu’en France.
Les filles me regardent d’un air étrange à croire que j’ai dit une chose de grave.
-En France, aussi y a des cons, dit Radhia. Et je pense qu’ils doivent être punis de leurs actes.
Elles pensent à Jesse, enfin c’est ce que j’en conclus.
-C’est vraie, de ce que vous dites mademoiselle Bloom, dit Charles. Ces personnes qui veulent supprimer des
vies innocentes, moi, je les mettrai en prison à vie !!!
Les filles me regardent à nouveau, et Charles se pose des questions.
-Mademoiselle Carter, y a une chose qui ne va pas ?
-Nous, on y va avec Radhia, on doit absolument finir des choses, dit Amélie.
Je leur lance un regard glacial qu’elles n’aiment pas.
-Vos amies sont très travailleuses.
-Oui, quand on a une idée, on va le noter tout de suite pour ne pas en perdre une miette.
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-Dites-moi, pourquoi vos amies, vous ont lancé de regard de méfiance, quand on parlait sur votre pays avec
des personnes qui attaquent des innocents. Je veux avoir une réponse.
Surprise du petit interrogatoire de Charles, je sais qu’il est journaliste. Je lui avoue une partie de ma vie.
-Mon ancien meilleur ami a voulu me tuer. C’est au bout d’une semaine que j’ai pu recoller un visage sur
mon agresseur.
Surpris, je lui cloue le bec.
-Seulement, j’avais peur de dire que c’était lui. Car il a pleins d’amis violents et j’avais peur pour mon petit
ami et moi.
Il comprit ma souffrance, du coup on rentra au bureau.
Plus de questions, j’étais rassurée de pas lui dire toute ma vie.
Charles Brown est un homme qui a de la classe dans les questions que ça soit pour le travail, personnel,
l’amitié, l’amour. Un charme fou qu’il dégage en lui. Un visage d’ange, les yeux marron chocolat, avec les
cheveux en bataille qu’on a l’impression qu’il sort du lit. Une allure de mannequin. Au bureau, il est attentif
envers les autres, à leur écoute, c’est ce qu’il me plait chez lui.
A 15h, Charles vient nous voir toutes les trois, savoir s’il nous garde ou pas.
-Bon les filles, mes trois drôles de dames. Une annonce importante pour vous.
Une attente de deux minutes, nous fait stresser.
-Vous êtes toutes les trois, les bienvenues.
Un cri de joie s’échappe et tout le monde nous félicitent.
-Nous allons fêter ça chez nous, les filles !!!, s’exclame Radhia.
-Oui et Charles, vous pouvez venir si vous voulez, lui dis-je.
-C’est d’accord, je viens avec du champagne, ça vous dit ?
-Oui !!, crions en cœur. A dix-neuf heures tout le monde.
Nous partons en avance du bureau pour préparer la fête de ce soir.
Arrivées à l’appartement, le téléphone sonna, je décrochai et tomba sur Rodolphe, mon ange gardien.
-Bonjour, bien arrivées à New York ?
-Bonjour, à non, bonsoir, Rodolphe. Oui tout va bien. On est bien arrivée et on a fini de travailler.
-Ah bon, raconte-moi ?
-Dès le premier jour, on arrive au New York Times, et je posai la question pour savoir s’ils ont dut travaille
pour nous, et dit qu’aujourd’hui, c’est notre jour d’essai. Là, on va préparer une fête car on est prise.
-Félicitation !!, dit Rodolphe. Je suis fier de vous, et de ma protégée.
-Merci, je pense qu’il est tard chez vous, je ne vais pas vous ennuyer.
-Tu as raison ma belle. Ta le bonjour de Lara.
-Dite lui bonjour, aussi.
Nous raccrochons ensemble.
C’est partie pour l’organisation de la fête. Chacune savait quoi faire.
A 17h30, on se prépare bien avant, car nous les femmes ont met un certain temps. Trouver la bonne tenue,
ensuite maquillage que ça soit au top.
Les collègues et Charles arrivent à l’heure prévue.
Nous passons une soirée agréable, avec les amis du boulot qu’on apprenne à se connaître davantage.
Des liens d’amitiés se construisent et tout le monde heureux de passer une soirée formidable.
Nous nous approchons un peu plus de Charles, même s’il est âgé, nous sympathisons avec lui.
Photos et vidéos pour ne pas perdre une miette de nos vacances à New York City, et en faire un film.
30
Le vendredi 13 juillet 2012 à 10h,
Aujourd’hui, nous ne travaillons pas, et le week-end aussi.
La fête d’hier, nous cloue au lit. Je me réveille petit à petit, prend mon café et m’installe devant l’ordinateur.
Consulte mes mails et une de Jesse me surprend.
Chère Lena,
Je sais que cette année, je t’ai fait souffrir, énormément. C’est que j’ai traversé un passage très
dur. J’aimerai qu’on redevienne les meilleurs amis comme avant.
C’est à toi de choisir. Je t’adore plus que tout.
Jesse
Cela me rend furieuse et envois le mail à Rodolphe pour savoir ce qu’il en pense.
De toute façon, j’ai déjà pris ma décision, ne puis lui parler, ne plus le revoir, couper les ponts avec lui une
bonne fois pour toute.
Maintenant, je devais attendre la réponse de Rodolphe.
Le café me remit en forme et pour la peine, je réveillai les filles.
Aujourd’hui il fallait qu’on bouge, faire du sport c’est ce que j’ai pensé qu’on en fasse toutes les trois.
Nous prenons un petit déjeuner bien copieux pour aller nous défouler.
Nous préparons et allons directement à la salle.
Une salle énorme. Tous les sports différents sont regroupés, dance de rue, boxe, lutte, gym sont coachés.
Les filles allèrent voir la dance de rue plutôt appelé Street Dance.
Quant à moi, je me dirigeai vers la boxe pour aller me défouler.
-Coach, est-ce que je peux emprunter un punching-ball ?, dis-je en jouant de mon charme.
Le coach est surpris et me donnai la permission.
-Bien sur mademoiselle !! dit-il d’un ton suave.
D’un coup l’image de Jesse se colla sur la tête du punching-ball. Je me défoulai en donnant tout mon
énergie.
-La dernière fois que Lena s’est servie du punching-ball, c’est quand elle avait un problème avec Jesse, dit
Amélie en me regardant.
-C’est vrai, ça. Cela explique pourquoi ce matin, elle nous a réveillé et nous a emmené ici, conclut Radhia.
Les filles étaient surprises par la Street Dance et dansaient aussi avec eux.
De mon côté, un homme assez corpulent arriva derrière moi.
-Jolie demoiselle, pourquoi vous faites du mal ?
-Parce qui a des personnes qui me font du mal, et j’ai besoin de passer mes nerfs sur quelque chose.
L’homme me regarda attentivement et me prit les bras.
-C’est bon je crois que le punching-ball a suffisamment reçu de coup pour la matinée.
Il fallait que je serve quelqu’un dans mes bras. C’est cet homme qui en fait les frais. Si Grégoire était là, je
serais dans tous mes états. Lui aussi me manque tellement. Jesse, Grégoire tout ça c’est lourd à porter.
-Si ta besoin, je suis là ma belle, dit-il avec douceur.
Sa voix me berce, je me calmai tout doucement. Les filles venaient pour savoir si j’allais beaucoup mieux.
-Merci beaucoup, monsieur, dit Radhia. Maintenant, on va s’occuper d’elle.
-Je peux la porter jusque chez vous ?
Elles se mirent d’accord et l’homme me porta jusqu’à l’appartement, car je me sentis pas bien du tout.
Epuisée de tout ce que j’ai donné, je m’endormis sur le coup.
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Dans le rêve, je vis Jesse frapper à mort, un homme. Se retourna sur le dos, et c’est Grégoire que Jesse
frappa, de toutes ses forces.
-Arrête Jesse !!, criai-je. Non, ne fait pas ça !!!
J’étais attachée, clouait sur la chaise. Je me débats pour aller secourir Grégoire.
Puis Jesse sort de son manteau un flingue, et le pointa sur Grégoire puis tira.
-Non, Grégoire !!!
Puis tira sur moi, mais il me loupa, le coup dans l’épaule gauche, et s’enfuit loin.
J’hurlai de douleur.
Les filles et l’homme arrivèrent en courant.
-Lena, réveille-toi ?, dit Amélie morte d’inquiétude.
-Pourquoi, elle fait des cauchemars aussi forts ?, dit-il surpris.
-Souvent, elle fait des rêves cauchemars prémonitoires, dit Radhia. Au fil du temps, ça se réalise.
-Cela me donne la chair de poule, dit-il d’une voix grave.
Je vis le visage de Grégoire.
-Lena, je t’aime et je ne t’oublierais jamais. Tu resteras à jamais dans mon cœur.
-Grégoire, je t’aime aussi. Reste avec moi, je t’en prie !!, pleurais-je. Ma vie sans toi ne sera plus pareille.
Réussis à me délivrer, je le pris dans mes bras.
-Ouvre les yeux, je t’en prie !!
-Lena, réveille-toi, bon sang !!, dit Amélie. Là je ne sais pas quoi faire monsieur, aidez-nous ?, dit -elle en le
suppliant.
-Je vais vous aider, dit-il calmement. Pouvez-vous aller chercher une serviette un peu humide. Cela va un peu
la calmer.
Amélie alla chercher une serviette et la passa sous l’eau froide.
C’est au bout de dix minutes que je me calmai, et me réveillai tout doucement.
-Ben ma belle, il faut être zen, dit-il calmement et avec douceur.
-Je suis calme, mais c’est mon subconscient qui me montre certaines choses et je ne peux pas me contrôler,
lui dis-je sincèrement.
-Ah d’accord, c’est sur on ne peut pas le contrôler. Je me présente Jacob Cullen.
Jacob Cullen, un homme avec pleins de charmes dont il dégage en lui. Fort, teint mate, yeux de chien perdu
me rende vulnérable. Perdre tous ses moyens devant un homme que l’on connaît à peine, est une sensation
bizarre, presque une envie de lui sauter dessus. Simplement il faut que je me contrôle si je ne veux pas
perdre, l’homme de ma vie Grégoire.
-Jacob, vous êtes très gentil, seulement j’ai un petit ami en France.
-Je le sais, vous l’avez dit dans votre cauchemar. Si vous voulez qu’un homme soit là pour vous consoler
après vos cauchemars, je suis là, dit-il avec délicatesse que j’admire dès mon réveil.
-Oh que c’est mignon, Lena dit oui, car appeler Grégoire à chaque cauchemar, il va s’inquiéter encore plus,
dit Amélie en regardant Jacob de la tête au pied.
Elle a raison, la présence d’un homme à l’appartement va me consoler et il va nous surveiller.
-Si je suis d’accord, il faudra respecter certaines règles, monsieur Cullen ?, dis-je.
-Vous pouvez m’appeler Jacob, Lena. Et je respecte tout ce qui est autour de moi. Je suis ouvert à pleins de
découvertes et d’expériences.
Radhia et Amélie pouffent de rire, à croire qu’elles pensent à autres choses.
Les semaines passent aux New York Times et à l’appartement avec Jacob qui se passe plus ou moins bien.
Les mêmes cauchemars tous les soirs, j’en peux plus.
L’impression que mes cauchemars prennent toute mon énergie. Grâce au café que je tiens le coup. Sinon je
tomberai dans la dépression. Heureusement que mes copines sont là et qu’on se soutienne toutes les trois.
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Le vendredi 27 juillet 2012, à 11h,
Un mail de Rodolphe que je reçois.
Ma Lena
J’ai bien reçu le mail de Jesse.
Je trouve cela irrespectueux de sa part.
D’une part il reconnait qu’il ta fait souffrir et il veut que tu lui pardonnes, c’est lamentable.
Je pense que tu ne vas pas lui pardonner de ce qu’il ta fait.
J’espère que tu passes un bon séjour, à New York et que tu en profites entre filles.
Fait attention à toi.
Donne-moi de tes news
Ton ange gardien.
Je m’attendais à ce mail et de cette réponse. Je lui réponds aussitôt en lui disant tout.
Mon ange gardien
Ta raison, je ne vais pas lui pardonner de ce qu’il m’a fait et d’avoir tenté de me tuer. Oui, c’est lui. Je le
reconnais de ne pas te l’avoir dit plutôt.
De plus en ce moment, je fais le même cauchemar tous les soirs, que Jesse tue Grégoire et moi.
Je ne sais plus quoi faire de mes cauchemars à répétition.
Est-ce ça montre l’avenir pour Grégoire et moi ? J’ai peur, envie de rentrer et voir une personne pour mes
cauchemars ou bien, voir au fur et à mesure si cela se produit.
Je te tiens au courant au fil du temps.
Ta protégée.
Voilà, c’est fait, dire la vérité sur Jesse me libère d’un poids immense.
Les jours aux New York Times se passent à merveille. Toujours les mêmes cauchemars qui n’en finissent plus.
Grégoire me manque tellement, envie de le serrer dans mes bras. Plus qu’un mois et on se revoit, partir
avant car deux mois à New York, c’est trop long.
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CHAPITRE11
Le mardi 4 septembre 2012, à 9h,
Enfin rentrée en septembre, les deux mois à New York étaient formidable, des expériences, des rencontres a
été une belle découverte.
Une nouvelle année commence et des nouveaux arrivent comme un troupeau de mouton.
Monsieur Sanders m’a demandé si je pouvais être la conseillère du lycée. Etant donné que j’ai leur âge, je
pourrais les aider dans leur choix d’orientation. Du coup pour moi, les cours se sont finit pour moi.
Je fis un discours de bienvenue aux nouveaux élèves.
-A tous les nouveaux élèves, je vous souhaite les bienvenus. Que la spécialité que vous avez choisie, vous
ouvre les portes, je serais là si vous avez besoin d’aide, je serai au bureau du journal tous les jours.
Un petit discours que les filles ont apprécié de ma part, et Grégoire me fit un clin d’œil à la sortie du bureau.
Un garçon vient me voir et se présente.
-Bonjour, mademoiselle, je me présente Gaylord Snow. Votre discours j’ai adoré.
Des manières de filles me fit rire, mais je n’ai rien contre les homos. Du moment, qu’ils ne nous attaquent
pas, tout va bien.
-Je me présente Lena Carter, journaliste en deuxième années. Que faite-vous comme spécialité ?
-Je ne sais pas encore ce que je veux le métier de journaliste me plait, seulement y a la spécialité de la mode
qui me plait depuis mon enfance, je ne sais pas trop quoi choisir ? Vous pouvez m’aider pour ça ?
-Bien, je le peux, je serais ta marraine au lycée. Je vais t’aider dans le choix de ton orientation.
Content il me serra dans ses bras, ce qui ne me déplut pas. Un courant électrique passa entre nous. Tout
d’abord, il faut que j’apprenne à le connaître pour ne pas faire la même chose avec Jesse, et qu’après on est
déçus.
La rentrée se passa à merveille. Le lycée est une vrai fourmilière tout le monde va partout pour l’orientation,
et Gaylord me suivit jusqu’au bureau du journal.
-C’est là que vous faites tous vos articles ?, s’étonne-t-il.
-Oui, c’est là, et aussi on fait chez nous. Quant à moi, je ne dors presque pas, car quand une idée me vient je
l’écris pour ne pas l’oublier, et qu’après je la relis et si cela me plait je le mets dans le journal.
Je vis dans ses yeux, une lueur d’espoir même s’il est passionné par la mode, il fallait que je l’aide, et une
idée me vient en tête.
-Je peux t’aider, car je connais une boite qui marche super bien, depuis que j’y ai mis les pieds, et je travaille
pour eux.
-Ah bon, et c’est quoi ? Je veux tout savoir !!! dit-il avec l’excitation.
-C’est à « Vie ta vie » que tu vas faire un stage. De toute façon, le patron dira oui, pour t’accepter car je lui ai
rendu un immense service.
-C’est quoi le grand service ?
-C’est grâce à moi, qu’il s’est fait connaître dans Paris, et maintenant que tous les adolescents stars viennent
s’habiller chez lui. Je vais lui téléphoner demain et sûre à cent pour cent qu’il te prenne en stage de
découverte.
Il ne savait plus quoi dire, à part un grand merci. Là il va pouvoir savoir si la mode lui plait vraiment. Un
passage à « Vie ta vie » va le transformer.
Le jeudi 6 septembre 2012, à 9h30,
Gaylord Snow vient me voir au bureau.
-Alors Gaylord prêt pour savoir si tu seras pris ?
-Oh que oui, je suis tout excité, dit-il d’une voix rassurante.
Je téléphone à « Vie ta vie » et mis le haut-parleur.
-Bonjour, vous êtes à « Vie ta vie », que voulez-vous ?, dit la réceptionniste.
-Bonjour, Gabrielle, c’est mademoiselle Carter. J’aimerais avoir monsieur Fabre, s’il vous plait.
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-Ah bonjour, Lena, oui, je vais vous le passer, dit-elle surprise. Je vous le passe, à bientôt Lena.
-A bientôt, Gabrielle.
-Lena, ravi de vous avoir au téléphone. Alors votre voyage aux Etats-Unis, c’est bien passé ?, dit monsieur
Fabre d’un ton joyeux.
-Oui, c’est magnifiquement bien passé, et j’ai fait un peu de pub pour vous, là-bas.
-Oh que vous êtes gentille. Je suppose que vous voulez quelque chose, si vous appelez ?
-Oui, monsieur Fabre !! Y a des nouveaux élèves depuis la rentrée, et un élève ne sait pas trop quoi
s’orienter, il adore la mode depuis son enfance, et le journalisme aussi. Et j’ai pensé à vous, qui cherche des
jeunes pour les former et devenir stylistes ou de grand créateur par la suite.
-Je serais ravi de le prendre. Qu’il passe lundi dix septembre au bureau.
-Merci, beaucoup monsieur Fabre !, dis-je ravie.
-C’est normal, vous m’avez donné le plus grand service, et je vous dois bien ça. Je vous dis à bientôt, Lena.
-A bientôt, monsieur Fabre.
Je raccroche, et vis que Gaylord était ravi que je lui donne un coup de main.
-Vous êtes formidable, Lena !! Je vous adore, et vous êtes la meilleure des marraines.
La semaine se passe paisiblement, je ne vais plus en cours, et oui, maintenant je m’occupe et je suis gérante
des activités du lycée. Cela est plutôt sympas, seulement remplir les papiers, faire la navette entre le bureau
du directeur et du conseiller principal en éducation, me met de préférence en forme.
De plus, je suis conseillère pour les jeunes, et j’ai mon propre bureau rien qu’à moi. Je continue toujours à
écrire des articles pour le journal du lycée.
Gaylord est content car il est pris en stage, de plus monsieur Fabre me devait une faveur. Je suis contente de
moi, car j’ai pu faire rentrer une recrue dans la boîte où j’ai travaillé, et travaille en ce moment. Même si je
dois gérer les activités du lycée, cela ne m’empêche pas de trouver à chaque fois de bonnes idées à mettre
au sein de l’entreprise.
Faire la publication des articles des participants au concourt de l’année dernière, sont au programme.
Le vendredi 14 septembre 2012, à 7h,
Aujourd’hui, c’est mon anniversaire et tout le lycée est au courant.
Que faire pour ne pas être la vedette et être appeler à tous les coins du couloir pour notre anniversaire.
-Lena, bon anniversaire, dit Gaylord avec une boite de chocolat qui me tendit.
-Merci Gaylord, du chocolat ça me fait plaisir.
-Non, merci à toi, car je vais faire mon stage à « Vie ta vie » et si je ne t’avais pas connu, je crois que je serais
en dépression. Tu es la meilleure journaliste que je connais et tu vas faire un carton plus tard.
-Ce soir, tu es invité chez moi, à l’appartement, car je faite mes dix-sept ans. Ce n’est pas tous les jours qu’on
a dix-sept ans.
Ce soir une grande fête à l’appartement prévu depuis mon retour de New York.
Une soirée qui va être de bonne humeur. Quand je pense aux obstacles que j’ai passés pendant un an avec
Jesse, je mérite de fêter mon anniversaire avec des personnes que j’aime et qui m’aime sans me torturer.
Tout le monde arrive à dix-huit heures, l’heure pour distribuer les cadeaux et commencer l’apéritif, entre
amis, malheureusement et pour garder notre secret, Grégoire ne vient pas. Il sera là demain, être en weekend avec mon amoureux, c’est ce que je demande tout simplement.
Boissons à volonté, et certains de nouveaux élèves étaient les bienvenus, en même temps connaître un peu
plus de monde grâce à ma fête qui va être inoubliable.
C’est à trois heures du matin que tout le monde partait, fatigués de la journée. Moi aussi je commençai à
avoir sommeil. C’est rare que je dorme comme une marmotte, cette fois si, je pris un peu de temps pour
moi. C’est dernier temps, je me suis donnée à fond pour le stage de Gaylord, faire un programme d’activités
avec le directeur, et encore d’autres choses que je n’ai pas encore finis.
Une bonne nuit s’impose avec grâce matin que demander de plus.
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CHAPITRE12
Le samedi 15 septembre à 11h30,
C’est Grégoire qui me réveilla en douceur, avec petit déjeuner au lit, des croissants chauds me chatouillent
les narines, plus le café.
-Ma princesse, bien dormie ?
-Oui, majestueusement bien dormie. De voir mon prince charmant qui m’apporte le petit déjeuner au lit, je
suis la plus heureuse du monde.
Ses yeux brillent de mille feux, et une impression qu’il veut me demander une chose importante.
-Tu as quelque chose à me demander, mon amour ?, dis-je avec sensualité.
Il se lève, puis posa un genou à terre, pris ma main, et sortit une boite.
-Lena Carter, veux-tu devenir ma femme à tout jamais, être à mes côtés pour toute la vie ?
Une larme coula sur ma joue, ne sachant plus quoi dire, il fallait que je lui donne une réponse.
-Oui, oui, mon amour, je t’aime et j’ai envie de passer le reste de ma vie avec toi. Tu es unique au monde, je
t’aime tant, dis-je en l’embrassant amoureusement.
Un week-end que je n’oublierais jamais, car l’homme de ma vie m’a demandé en mariage. Je ferais tout pour
qu’on soit ensemble à jamais.
Le lundi 17 septembre 2012, à 9h,
Je discute avec les surveillantes qui admirent ma bague de fiançailles, et Grégoire est à côté.
-Félicitation !! Lena, je suppose que ton fiancé soit heureux, dit-il en me regardant dans les yeux.
-Oui, il est heureux, que demander de plus, lui dis-je en lui tournant le dos pour pas que les autres aient des
doutes.
-En tout cas, félicitation à toi, et je vous souhaite pleins d’amour, ton fiancé et toi, dit Grégoire.
Heureusement que Jesse n’est pas là car il serait furax. Il fallait que je l’annonce à Rodolphe et à mes
parents, un choc que ça va leur faire. Du coup, je décide de le faire par téléphone pour les parents.
-Bonjour, papa, et maman, dis-je d’une petite voix.
-Oui, comment tu vas ? J’ai l’impression que tu veux nous annoncer quelque chose d’important, dit ma mère
en mettant le haut-parleur.
-Papa, maman, asseyez-vous ?
-Ne me dis pas que tu es enceinte ?, dit ma mère surprise.
-Mais non, ce n’est pas ça. Simplement qu’il m’a demandé en fiançailles, c’est tout.
-Non, sérieux, Lena !!, demande mon père.
-Oui, c’est du sérieux, j’ai ma bague sur mon doigt, et tout le monde est surpris.
-Bon on te téléphone plus tard ma puce, encore félicitation. On doit y aller maintenant !!
-Merci, à bientôt.
Voilà avec les parents, c’est fait maintenant le dire à Rodolphe, mon ange gardien.
C’est à la pause déjeunée que je décide de me faire un déjeuner asiatique à côté du bureau de Rodolphe.
Je vis Rodolphe sûre qu’il mangeait là, je m’approche de lui.
-Ah !! Rodolphe quel hasard, de te voir ici, dis-je surprise.
-Bien, cette cuisine je l’apprécie beaucoup, parfois faut se faire plaisir, dit-il amusément. Mais que vois-je ?
Une bague de fiançailles et il te la demandé quand ?
-Ce week-end, au petit matin avec le petit déjeuné qu’il a apporté. Et j’ai dit oui, car je me sens tellement
bien avec lui, c’est l’homme de ma vie.
-Je vois, tu es heureuse avec. Ne t’inquiète pas Jesse ne le saura pas. Et bon anniversaire, un peu en retard.
Je sais que Rodolphe ne dira rien sur ça. Mais qu’importe Jesse le sera un jour où l’autre.
Bientôt les vacances de la toussaint, et un petit séjour s’impose pour aller voir ma famille dans le nord de la
France.
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CHAPITRE13
C’est partie pour des vacances que je pars toute seule dans le Nord, voir la famille. Repas de famille, passer
un bon moment ensemble sont au programme.
Mon tonton et ma tante m’accueillent pour une semaine chez eux
Le dimanche 28 octobre 2012.
C’est le grand jour de revoir la famille au bout de six ans.
Tontons, tantes, cousins, cousines, petits-cousins et petites-cousines sont là.
C’est à midi, on fait la photo de famille, presque au complet mais on fait avec, c’est les aléas de la vie.
Ensuite apéritif, et rigolades, des bons souvenirs qu’on a passé ensemble dans le passé refont surface.
Revoir mon parrain au bout de quatre ans, ça me touche beaucoup, car beaucoup d’étapes qu’il a fait et de
problème qu’il a eût ma fait tellement peur.
Tenir le moral pour ne pas montrer à mon parrain que je n’ai pas envie de le perdre. De plus, ce soir il repart
chez lui, et je vais le serrer très fort dans mes bras pour garder un maximum de souvenirs.
Parler avec toute la famille ça fait du bien.
A table, je me mis à côté de mon petit-cousin même s’il me dépasse, c’est le mot pour la famille. Il me sert
tous pleins de vins différents, de plus mon tonton surveille de ce que mon petit-cousin me sert en boisson.
C’est à consommer avec modération quand même.
-Lena, félicitation, et je vois qui te rend heureuse, dit mon cousin surpris de la bague de fiançailles.
-Oui, je suis la plus heureuse, il a fait sa demande le lendemain de mon anniversaire.
-C’est très beau comme cadeau d’anniversaire. Je vous souhaite pleins de bonheur.
Je discute avec mon parrain pour en profiter.
-Alors ma filleule, c’est pleins de bonheur maintenant !!
-Oui, je suis tellement heureuse avec lui, et il a dit que nous serons ensemble pour la vie, jusqu’à notre mort.
-C’est pas bon de parler de mort tout de suite !!, dit mon parrain sérieusement même s’il avait un petit coup
dans le nez, je vis qu’il était sérieux pour ce genre de chose.
-Oui, mais bon, une vie riche en émotion, lui dis-je en souriant.
Le repas dura jusqu’à dix-huit heures, six heures de repas, des fous rires en famille ça fait tellement du bien
et c’est qu’une fois par an, qu’on se voit tous.
De retour à la maison de l’Oasis, encore un autre apéritif. On parle du programme qu’on va faire pendant
que je suis là, dans le nord. Passer quelques jours à Stella.
Le mardi 30 octobre 2012,
Séjour à Stella avec mon tonton, ma tante, et mes deux petits –cousins.
-Nico, Paul, on va faire un tour au bord de la plage ?, dis-je aux garçons.
- Allez-y comme ça je peux m’occuper de l’appartement, dit ma tante ravie que je les emmène.
Nous sortons, et promenons tous les trois. Photos avec eux, fous rire, mais tout de même garder un œil sur
eux comme je leur ai promis à leur père.
Stella est un magnifique paysage. Seulement une chose m’intrigue un peu. Malgré la crise économique, on
est à la Toussaint, et pas un chat dans les rues. Tous les appartements sont vides.
Je pense que pendant l’été, ça doit être bien remplis tous les appartements.
Des photos souvenirs et peut-être que l’une des photos pourra faire la une d’un article qui pourra se faire
pendant mon séjour.
Le soir venu, les petits-cousins sont excités car ils veulent absolument aller à la piscine demain.
Là où y a pleins de choses, d’attractions. Simplement ceux sont leurs grands-parents qui se mettent d’accord
de leur choix.
Je fis un article et que j’envoie à madame Delacourt.
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Une chose importante et qui m’a beaucoup surprise.
Les grands-parents font un boulot monstre pour que leurs petits-enfants soient heureux.
Ils donnent pleins d’amour, mais les enfants quand ils sont petits veulent de tout.
Seulement les enfants seront trop gâtés ?
Il faut qu’ils apprennent que les grands-parents ne sont pas crésus, que l’argent ne tombe pas du ciel d’un
claquement de doigt. Ils ont travaillé dur, pendant des années pour donner maintenant pleins de bonheur.
C’est un clin d’œil que j’ai observé pendant mon séjour de vacance en famille.
Le mercredi 31 octobre 2012,
Finalement la pluie est au rendez-vous, donc pas piscine pour aujourd’hui. Cela sera promenade à la Baie
d’Oti.
Dans l’après-midi, nous sortons pour aller voir à Berque, la Baie d’Oti, là où les phoques se posent sur un
banc de sable.
Paysage magnifique et les petits monstres s’éclatent sur les dunes et comme cela, ils dormiront bien ce soir.
Une journée riche en sport, et tout le monde dormait comme des bébés.
Le jeudi 1 novembre 2012
Comme le temps n’est pas fameux, nous décidons de rentrer aujourd’hui, à l’Oasis. En même temps, ma
petite cousine, la sœur des petits monstres, rentrent aujourd’hui, de son séjour de pèlerinage.
Nous arrivons pile à dix-huit heures, l’heure de l’apéritif chez mon tonton.
J’ai l’impression que mon oncle a une horloge qui est réglée à l’heure apéritive, c’est ce qu’il fait depuis
longtemps, comme ses fils.
Nous passons une soirée agréable comme d’habitude.
Le vendredi 2 novembre 2012,
Les enfants et moi, nous allons au cinéma, voir le film Ted.
Un film comique, dramatique, et touchant à la fois, qui nous fait pleurer, et rire.
Une après-midi agréable.
Le soir venu, nous faisons l’apéritif avec toute la famille.
-Lena, ça nous fait tellement plaisir de te revoir, dit la femme de mon cousin.
-Cela fait tellement longtemps, et en plus de revoir la région où je suis née, me rende heureuse.
-C’est le principal, dit mon oncle. Et encore félicitation, pour tes fiançailles !! Pleins de bonheur à vous deux.
On trinquait à mes fiançailles et nous discutons jusqu’au bout de la nuit.
La soirée se termina à vingt-trois heures.
Le samedi 3 novembre 2012
Aujourd’hui, ma tante, ma cousine, et moi décidons d’aller faire du shopping qu’entre filles.
Une journée avec beaucoup de marche, et faire chauffer le porte-monnaie.
Nous mangeons à Flunch, pour se recharger. C’est reparti pour l’après-midi shopping.
Le soir, nous arrivons à l’heure de l’apéritive que mon oncle à préparer quand il entendit notre voiture.
-Alors vous avez acheté quoi les filles ?, dit mon oncle en nous apportant nos verres kir-mûre.
-Merci pour le verre tonton.
-De rien ma belle !!
-Tonton, je trouve que tu es plus sage que les années quand j’étais plus jeune.
-Ah bon, t’en es sûre ma nièce ?
-Oui, la vérité.
Nous éclatons de rire et nous parlons de notre journée passée entre femmes.
-En tout cas, j’étais contente d’avoir passé une semaine avec vous.
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Tout d’un coup, quelqu’un sonne, mon oncle va ouvrir et c’est mon cousin qui vient prendre l’apéritif avec
nous et en même temps passer la dernière soirée ensemble.
-Bonsoir ma cousine !! Alors ta aimé ton séjour dans le Ch’nord !!
-J’ai adoré et de revoir tout le monde ça m’a fait tellement plaisir.
-Tu pars demain à quelle heure ?
-A neuf heures dix-sept, j’arrive vers midi, chez moi à l’appartement.
-Déjà un appartement !!! , s’exclame mon cousin.
-Oui, on est en colocation avec mes copines et moi. Les parents ont été d’accord.
Nous passons une soirée agréable.
Le shopping, nous a tellement épuisés que je m’endors comme un bébé.
Le dimanche 4 novembre 2012
Debout à sept heures pour partir de la maison à huit heures quarante-cinq, et arriver à neuf heures, à la gare
de Lille Europe.
Des souvenirs d’une semaine formidable avec les personnes que j’aime tant.
Je pense à mon parrain et une larme coula, je sais que maintenant tout le monde fait sa vie. Perdre une
personne de sa famille, ça fait mal au cœur, mais quand il a survécu trois fois à des catastrophes naturelles,
on ne peut s’empêcher de penser à le perdre à nouveaux.
Je reste forte et pour ma part, il faut que je pense à mon avenir.
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CHAPITRE14
De retour, sur Paris, revoir les filles et Grégoire me fait un bien fou.
Le lundi 12 novembre, à 9h 30
Maintenant, c’est reparti pour pleins de paperasse, et des conseils avec le directeur et professeurs qu’on va
avoir pour les activités extra-scolaires qui commenceront dès janvier.
Cette année, je veux montrer aux jeunes de quoi se passe dans la vie active.
De plus, mes rêves sur Jesse augmentent de plus en plus.
Il faut que je voie Rodolphe, à la pause déjeunée.
-Rodolphe, mes cauchemars augmentent j’arrive plus à tenir, tu connais quelqu’un pour ça, ou tu aurais un
remède ?
-Ben si jamais Jesse te fait du mal, il aura à faire à moi. Je vais te donner une montre assez spéciale. Si tu te
sens vraiment en danger, il suffit de tourner le cadran.
-C’est une montre de James Bond, plaisantai-je. Merci, pour mes rêves je vais attendre.
C’est sur attendre, que ça se réalise, ça me donne la chair de poule.
Dans l’après-midi, dans mon bureau une jeune fille vient pour son orientation.
-Bonjour, mademoiselle Lena Carter, je me présente Pauline Sparow.
-Bonjour, Pauline, tu peux dire Lena. Alors de quoi veux-tu parler ?
-Et bien, voilà, je veux faire quelque chose que j’aime, simplement je ne sais pas vers quoi m’orienter ?
Pouvez-vous m’aider, Lena ?
-Mais oui, je peux, et de toute façon maintenant que je ne vais plus en cours, je peux aider les élèves dans
leur orientation. De quoi aimes-tu faire ?, dis-je en prenant papier et crayon.
-J’aime faire des animations et aider les jeunes un peu ce que vous faites.
-Tu veux qu’on s’associe, ensemble pour les activités du lycée ? Cela ne me pose aucun problème, mais en
parallèle tu dois être en cours. Je ferais la commission au directeur, comme ça je ne serais pas toute seule.
Ravie que tu sois avec moi. Y aura beaucoup de travail à faire.
-Vous êtes géniale, Lena. Heureusement qui a une personne comme vous, que ferait le lycée sans vous ?
-Et bien, d’une part on peut se tutoyer, et le directeur est content qu’une personne s’investisse énormément
pour sauver le lycée, et donner un peu de dynamisme.
Contente, elle quitte le bureau dans la bonne humeur.
Je dois absolument voir le directeur pour lui expliquer que Pauline Sparow veut travailler avec moi pour les
activités du lycée.
Je frappai à la porte du directeur.
-Entré !! A mademoiselle Carter, il fallait que je vous voie, à propos d’un élève en particulier. Mais je pense
que vous avez quelque chose d’important à me dire, dit-il avec politesse d’un gentleman.
-Voilà, y a mademoiselle Pauline Sparow qui veut être mon assistante, pour faire les activités du lycée, et je
me suis dit qu’il faut que vous soyez au courant. Je lui ai fait comprendre, qu’il faut qu’elle aille en cours, et
même si c’est beaucoup de travail, qu’elle peut venir quand elle veut, dans mon bureau.
-Ah c’est d’accord, mademoiselle Sparow peut être votre assistante, comme ça vous ne serez pas toute seule
à tout gérer.
-C’est qui l’élève qui ne va plus en cours ?
Il se racle la gorge, et il me dit m’assoir.
-Voilà, l’élève en question est Jesse Monroe.
C’est une chose importante, car je dois prévenir les parents pour ça. Mais quand c’est une personne avec qui
vous avez coupé les ponts et que vous ne voulez plus le voir, là c’est encore plus dur.
-Je vais prévenir son père. Cela fait combien de temps qu’il n’est plus en cours ?
Même si je ne m’occupe plus de lui, j’ai tellement de travail que je ne vois plus le temps passé.
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-Cela fait depuis presque deux mois. Il était là, à la rentrée quand vous avez fait le discours de bienvenu aux
nouveaux arrivants.
-Ah oui quand même, dis-je surprise. Il faut un conseil de discipline et savoir de ce qu’il en ait pour lui.
-J’y ai pensé mais ça ne vaut pas la peine, car il ne viendra pas au lycée.
-Vous avez raison, il faut que j’aille prévenir quand même son père.
Sortis du bureau, je vais tranquillement à mon bureau. Je croisai le regard de Grégoire, inquiet, il me posa
des questions.
-Tout va bien mon cœur, dit-il à voix basse.
-Tout va bien, ne t’inquiète pas, faut que j’aille travailler, et téléphoner à plusieurs personnes.
-Repose-toi, ma belle, je n’ai pas envie de te perdre, tu es tout pour moi, ma femme.
Là une surveillante a tout entendu, et on discute ensemble.
-Aurélie, promet-nous que tu ne diras à personne de ce que tu as entendu ?, dis-je en l’a suppliant.
-Ne vous inquiétez pas, je ne dis pas un mot. Cela fait depuis combien de temps ?
-Un an, maintenant, dit Grégoire avec le sourire. Je sais que c’est la femme de ma vie, et donc voilà.
-Je vous souhaite tout le bonheur du monde.
Voilà une personne le sait pour notre secret. Je vais à mon bureau et réfléchis à ce que je dois dire, à
Rodolphe. Je fis le numéro.
-Bonjour, je suis mademoiselle Lena Carter, puis-je avoir le premier maître Perreira ?
-Ah bonjour, Lena, comment allez-vous ?, dit Fabien son collègue.
-Tout va bien, beaucoup de travail, paperasse, mais j’arrive à m’en sortir dans tout ça.
-D’accord, je vous le passe.
-Bonjour Lena, ça va ma belle ?
-Je vais bien. Simplement j’appelle car Jesse n’est pas en cours depuis deux mois, depuis la rentrée de
septembre.
-Ah bon, dit-il abasourdi. Je ne comprends pas, pourquoi sèche-t-il les cours ?
-Je ne sais pas, c’est à lui de poser la question, Rodolphe. Sachant que j’ai beaucoup de travail au lycée, c’est
vrai que je ne l’ai pas vu depuis un certain temps. Je pense qu’il doit préparer quelque chose, si c’est mon
cauchemar qui se réalise …
-J’espère que ce n’est pas ce que tu penses, ce soir, je vais lui parler pourquoi, il n’est pas en cours.
-Fait attention, et tu m’appelles si ta des infos ?
-Ne t’inquiète pas ma gracieuse Lena, dit d’une voix rassurante. Je t’appelle une fois que j’aurais fini de
discuter avec lui, il va avoir de mes nouvelles, crois-moi.
-Je te crois, bon je vais te laisser, j’ai du travail qui m’attend partout.
-Merde pour ta corvée, dit-il en rigolant.
Voilà téléphoner à Rodolphe, c’est fait maintenant, je vais pouvoir faire quelque article.
Bientôt noël et avec les filles, nous allons passer notre premier noël toutes les trois enfin à quatre avec
Grégoire. Il faut absolument que je trouve un cadeau pour les filles et aussi à mon homme.
Grégoire était partis hier pour voir sa famille, depuis aucune nouvelle, peut-être que son portable ne marche
plus ? Mais je sais qu’il allait me donner de ses nouvelles dans pas longtemps.
J’allais faire un tour, à la sortie de la ville, près du port qu’une boutique m’intrigue et je rentre quand même.
Tout était magnifique dans les rayons et aussi le prix.
Un homme, d’un mètre quatre-vingt-dix voulait me renseigner sur les choix que je regarde attentivement.
-Mademoiselle, puis-je vous renseigner ?, dit d’une voix rauque.
-Cela fait longtemps que vous avez ouvert ? Car c’est la première fois que je viens ici.
-Nous sommes ouverts depuis mars, beaucoup de travaux que nous avons dussent faire.
Je regarde une chemise d’homme qui me plait beaucoup.
-C’est pour votre frère la chemise ?
-Non pour mon petit ami.
La boutique n’est pas grande. Un côté glamour avec les rideaux rouges pour les cabines.
Une impression de déjà-vu.
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C’est dans le rêve que je l’ai vu, là où je me retrouve au milieu d’une pièce. Je me sentis mal et veut prendre
la fuite. Seulement le big boss m’empêche de sortir.
-Mademoiselle, savez-vous qu’on recherche des femmes pour nos défilés et que vous êtes la personne qui
nous faut, dit-il pour que je reste plus longtemps.
-Pourquoi moi, y a d’autres femmes qui sont encore plus belle que moi, dis-je d’un ton sec.
-C’est faux, vous êtes la perfection.
Je me retournai et vis Jesse. Il me donna un coup de poing qui m’assomma d’un coup.
Jesse me réveille avec une plume douce qui frôle mon coup.
-Ah ma chérie, tu es réveillée. Désolé pour le coup mais il le fallait pour que tu restes avec moi.
-Jesse qu’est-ce que tu veux ?
-Toi, maintenant tu m’appartiens à jamais !!, dit-il avec une telle cruauté que je ne le reconnaissais plus.
Est-ce un rêve ou un cauchemar ? Etre face à Jesse, me fait penser à la dernière dispute qu’on a eût en début
d’année. Je me souviens que Rodolphe avait dit : « Voilà une montre spéciale, il suffit que tu tournes deux
fois le cadran, si ta un problème grave, je serais là ».
Jesse me tourna le dos, et je tournai deux fois le cadran de la montre. En tout cas, j’espère que ça marchera.
Quelque minutes passent, et Jesse revient cette fois si avec Grégoire, qu’il le prit par la chemise.
-Allez mon mignon, assis-toi, et regarde ce que je vais faire à ta douce chérie.
Jesse me donna la nausée, car il voulait m’embrasser comme un homme qui attende d’une femme, du désir
d’elle. Grégoire se débat pour se libérer mais l’homme derrière lui le frappa à la tête et saigna.
Une larme se mit à couler sur ma joue, et Jesse m’attrapa les cheveux.
-Regarde le mourir lentement.
-Pourquoi Jesse ? Dit-moi ce que j’ai fait ? Grégoire n’à rien avoir dans tout ça.
-Lui, m’a pris ma meilleure amie.
-Et toi ?! Tu m’as fait beaucoup de mal, j’avais des sentiments pour toi, seulement ta plongé dans l’alcool, et
c’est à ce moment-là que j’ai perdu mon meilleur ami. C’est Grégoire qui m’a sauvé et que j’ai trouvé.
Jesse surpris se mit à cogner Grégoire de toutes ses forces.
-Arrêtes, non !!!! Je t’en supplie, ne fait pas ça !!, dis-je en pleurant.
-Je veux qu’il meure à tout jamais.
Je vie Grégoire couchait au sol, ne bougeait plus, du sang coula partout.
J’aimerais tellement que Rodolphe soit là, vient s’il te plait, à l’aide.
-Lena est en danger, dit Rodolphe à son collège Fabien Tech Wood.
-Oh, on lance, le GPS de sa montre, dit Fabien en pianotant l’ordinateur.
Les recherches lançaient Rodolphe fit les cent pas dans la pièce.
-Si Jesse lui fait su mal, je ne sais ce que je ferais. Alors Fabien, tu as des nouvelles ?
-Oui, c’est près du port dans une boutique.
-On fonce, la police attend notre feu vert.
-C’est quoi ce délire ? Comment les flics, nous on retrouvait ? On fiche le champ, je fais une dernière chose
et j’arrive dans dix minutes, dit Jesse en criant à ses amis.
Un révolver que Jesse sortis et pointa sur Grégoire et tira ensuite. Je m’effondrai en larme et le révolver sur
moi, me loupa en tirant sur mon épaule gauche, et il prit la fuite.
Je rampais jusqu’à Grégoire, cherchant son pouls mais il était déjà mort. Le prit dans mes bras et pleura.
-Lena !!, dit Rodolphe en me cherchant et me trouvant près du corps de Grégoire. C’est finit maintenant.
N’arrive pas à me lever, à cause de la mort de l’homme de ma vie que je vis sous mes yeux s’éteindre. Sous
le choc Rodolphe me porta jusqu’à la sortie.
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A présent Jesse était en cavale et recherchait dans les autres pays autour de la France.
L’enterrement de Grégoire se fit au bout d’une semaine.
Je ne dors plus, revois encore la scène où je vois Grégoire mourir.
Reprendre les cours au lycée, là où j’ai rencontré Grégoire, passais dans le couloir où on a eût notre premier
baisé, me glaça le sang.
Maintenant je dois faire le deuil et ça sera dur.
Tout le lycée me soutient et je pense que maintenant qu’il va avoir une rentrée spéciale, où l’on détecte les
armes dangereuses.
Je me plonge dans le travail, le programme des activités pour Janvier se mit en route, les articles pour le
lycée, et pour monsieur Fabre, que je continuai à y travailler.
Tout le monde me dis de faire une pause, mais je ne peux pas c’est ma vie maintenant. Si je ne travaille pas,
je plongerais dans la dépression et personnes ne me reconnaîtra.
Les filles s’inquiètent tellement qu’elle me voit changer à une grande vitesse.
Grégoire me manque tellement, son parfum, ses câlins, ses bisou que je prends son écharpe pour me
rappeler de lui. J’ai envie de le rejoindre à ses côtés.
Ma vie sans lui, lui qui allait devenir mon homme à tout jamais, c’est trop dur.
Je ne pourrais jamais tourner la page.
J’ai appris une chose depuis la mort de Grégoire.
Que l’alcool qui touche n’importe qui, peut lui faire basculer la vie et qu’il en plonge à tout jamais.
Il a cru qu’il pouvait avoir des amis d’un claquement de doigt, au final, il a fait souffrir sa famille, et ses amis
qui lui restaient très peu.
Il m’a fait souffrir en supprimant la personne que j’ai aimé, l’aimera tout le reste de ma vie. Maintenant, je
ne suis plus rien sans l’homme de ma vie. Faire le deuil et refaire confiance à un homme sera extrêmement
dur pour moi, j’en souffrirai à jamais.
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CHAPITRE15
Voilà l’année 2012 finit et je dois partir vers de nouveaux projets, et de continuer à vivre. Il ne faut pas que je
tombe dans la dépression, ce n’est pas mon style.
Partir à l’aventure avec le rêve que je veux devenir journaliste-historique, c’est ce que je veux maintenant.
Montrer au monde ce que la Terre cache, enfouis à quelques mètres en dessous de nous, de nos pieds, la
magie que nos descendants nous ont laissés.
Le lundi 7 janvier 2013,
De retour au lycée, je fais fasse aux problèmes que j’ai eu l’année d’avant. Faire le deuil tout simplement
pour repartir de nouveaux.
Une nouvelle Lena Carter, mais avec l’envie de partir jusqu’au bout du monde à la rencontre des trésors
cachés.
Je me plongeai à travers l’histoire, là où tout a commencé.
La création de la Terre avec pleins d’étapes, et d’années, où l’homme a commencé à se développer.
Des heures de la journée que je passe sur ordinateur, et une pause s’impose pour moi.
Tous mes amis, professeurs me voient me crouler dans le travail.
Maintenant je fais l’organisation des thèmes du lycée, l’orientation des élèves avec leurs choix et désirs, le
journal du lycée, le journal de « Vie ta vie », et maintenant celui de l’histoire du monde.
Au lycée, on me surnomme Le Caméléon.
-Lena, tu devrais un peu freiner la caféine, on dirait une fusée, dit le directeur.
-Monsieur, je n’aime pas à rester à rien faire, j’ai envie de partir à l’aventure découvrir tout ce qui
m’entoure, lui dis-je sincèrement.
-Je vous comprends mais vous passez tout votre temps dans votre bureau…..
-Oui, je sais, et j’ai Pauline Sparow qui m’aide et c’est elle qui reste au bureau pendant que je pars à gauche
et à droite pour faire tenir tout ce qui a autour de moi. Comme le journal du lycée, de « Vie ta vie »,
l’organisation du lycée, et un nouveau projet en tête de devenir journaliste-historienne, dis-je sans
m’arrêter. Mais je veille à dormir, manger équilibré et faire du sport, ne vous inquiétez pas.
Le directeur surpris de ma réaction, ne dit plus un mot, je retournai à mes occupations.
Avec Pauline Sparow, on s’entend à merveille. C’est une fille douce et qui veut connaître de tout ce qui
l’entoure. Une personnalité débordante, et que j’admire, même si elle est mon assistante et plus. Car je lui ai
dit à partir de maintenant qu’elle travaille et touche un salaire en m’aidant pour le lycée. Elle donne un
sacrifice car elle aime ce genre de métier, je la soutiens jusqu’au bout. C’est fait pour ça les amis.
Le soir venu, je prends un bon bain pour me détendre de la reprise. Les filles font la même chose, sauf
qu’elles sont devant la télé avec leurs pots de crème de glace Häagen-d’As, et de McFleurry kit-kat.
Un nouveau voisin sonna à notre porte pour se présenter à tous les voisins.
-Bonsoir mesdemoiselles, je suis le nouveau voisin, dit-il avec douceur.
-Entré donc, on va prévenir notre amie que vous êtes arrivés, dit Amélie.
Radhia le fit assoir dans le salon.
Amélie me coupa un rêve magnifique, mais bon c’était trop beau.
-Eh, miss rêveuse !! Y a le nouveau voisin qui est dans le salon, saute dans un truc et ramène-toi.
-J’arrive.
Pris la serviette et en dix minutes, j’arrivai dans le salon.
-Excusez-nous, voilà la dernière.
Nos regards fusionnaient et un coup de cœur que j’ai eu, seulement il est encore trop tôt pour que je refasse
confiance à un homme, depuis ce qui m’est arrivée récemment.
-Je me présente Loïc James.
-Lena Carter, ravie de vous rencontrer, dis-je d’une petite voix douce en lui souriant.
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-Vous êtes seul Loïc ?, dit Radhia curieuse. Excusez-moi, c’est que nous sommes journalistes et nous sommes
curieuses.
-Ah, alors j’ai trois journalistes célèbres !!, dit-il d’un ton joyeux.
-Nous ne sommes pas célèbre, dis-je. Mais on est au lycée et ils nous restent un an d’étude.
-C’est très dure. Vous en avez du courage. Oui, je vis seul dans mon appartement.
-Et vous faites quoi comme métier ?, dit Amélie.
-On dirait un interrogatoire, dit-il en riant. Je suis historien, et avec mon équipe, nous regardons ce qui a en
France, et d’autres pays à travers les secrets enfouis sous nos pieds.
-Oh, vous êtes Indiana Jones, alors !!, dit Radhia. En plus ça tombe bien, Lena est passionnée par l’histoire
des secrets de la Terre de nos ancêtres.
Je lançai un regard noir à Radhia, et je me dis que c’est une chance qui s’offre à moi. Il faut que j’apprenne
plus sur ce Loïc James quand je demanderais à Pauline qu’elle fasse miss détective.
-Oui, j’aimerais devenir journaliste-historienne, et j’apprends grâce à mon professeur monsieur Petit. Y a des
sites archéologies partout en France et dans le monde.
Loïc vie l’étincelle qui a dans mes yeux, de ce que je lui raconte, et qui me passionne tant. Et lui aussi, à une
étincelle dans les yeux. On aime l’histoire, et je sens une grande excitation d’aventure, qui nous réunis Loïc
et moi.
-C’est surprenant de trouver une personne qui partage la même passion de que moi, dit Loïc avec telle joie.
-Lena est une Caméléon au lycée, dit Amélie.
-Ah bon !!!, s’étonne Loïc. Pourquoi ?
-Elle croule sous le travail. Le journal du lycée, et celui qu’elle travaille à « Vie ta vie », elle organise les
évènements du lycée comme les fêtes sportives, artistiques, et aussi l’orientation des élèves avec l’aide du
Conseiller Principale en Education. Lena est une vraie machine.
Loïc surpris reste sans voix, devant le travail que je fais à dix-sept ans.
Nous passons une soirée agréable, et Loïc et moi, nous nous rapprochons de plus en plus.
-Est-ce que je peux venir demain, voir où vous travaillez ?, dit Loïc sincèrement. Moi, je suis curieux, des
personnes que j’apprécie bien.
L’année 2013 s’annonce bien pour moi, je vois déjà en première page du journal de la région « Loïc James et
Lena Carter découvrant les mystères du monde ». Sauf qu’avec lui pour le moment, il faut aller en douceur,
pas trop vite. Car le plus important, c’est qu’il faut qu’on apprenne à ce connaître d’avantage.
Le mardi 8 Janvier 2013,
À mes premières heures de la journée, je me sers une grande tasse de café que j’emmène au bureau avec
Pauline.
-Bonjour, Lena !! C’est parti pour une journée de folie ?, dit Pauline avec humour.
-Oui, avec une grande tasse de café, je suis partie pour la matinée. Pauline fait une recherche sur Loïc James,
il faut que j’apprenne plus sur cet homme mystérieux.
Pauline pianota, et trouva aussitôt.
-Alors, il a fait plein de voyage, à la recherche des trésors du monde. Célibataire, beau jeune homme, il
pense qu’à son travail. Comme vous, Lena, dit-elle pour détendre l’atmosphère.
Une fois la conversation finie, je plonge à travers l’archéologie du monde.
Il se trouve que les mayas avaient prédit la fin du monde en 2012, sauf qu’on est vivant et encore là pour des
années. Sont-ils trompés de dates les Mayas, ou les traducteurs se sont trompés dans la traduction de la
langue Mayenne ? Tel est ma question.
Radhia vit Loïc arriver, à l’accueil du lycée.
-Ah Loïc, comment allez-vous ?, dit Radhia d’un ton joyeux. Il faut que vous sachiez une chose importante sur
Lena.
-Justement Lena est une fille charmante et elle me plait beaucoup. C’est grave ou pas ?, dit-il d’un ton
inquiet.
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-Lena a fait le deuil de son fiancé qui a été tué l’année dernière, enfin c’est dernier temps. Je pense qu’il lui
faudrait du temps pour qu’elle ouvre à nouveau son cœur à un homme.
-Perdre un être cher, c’est comme perdre une partie de son cœur. Je comprends qu’elle veuille attendre de
se remettre à nouveau avec quelqu’un. Elle sait qui a torturé son fiancé ?
-Elle a vu la scène, c’était son ancien meilleur ami, Jesse Monroe qui est maintenant en fuite. Elle a vu son
fiancé mourir dans ses bras, dit Radhia en lâchant une larme.
-Il faut beaucoup de tendresse à Lena, de ce qu’elle a vécu, y a pas longtemps, dit-il en raisonnant.
-C’est pour ça qu’elle croule dans le travail.
-Je comprends, faut que j’aille la voir, et promis je ne dis pas un mot sur notre conversation.
Sur le chemin, Radhia vit Pauline allant remplir la tasse de Lena.
-Lena s’est endormie, je vais lui remplir sa tasse, ça va la réveiller.
-Oh, puis-je lui apporter ?, dit Loïc poliment.
-Volontiers, je pense qu’elle sera ravie de vous voir, elle m’a parlé de vous.
Surpris ne dit pas un mot, attendant Pauline avec la tasse bien remplie.
-Voilà, et elle rajoute elle-même, la dose de sucre pour rester éveillée.
Entra dans le bureau, et une odeur de caféine vint me chatouiller les narines. Cela me réveilla et vit Loïc avec
un magnifique sourire.
-Alors ma princesse, il faut se réveiller, dit-il avec humour.
-Je suis réveillée, seulement je n’avais pu de café qui coule dans mes veines, c’est pour ça, très cher Loïc.
Une sensation me donne la chair de poule quand je le vois, les yeux dans les yeux.
Pauline et Radhia me laissaient seule avec Loïc à faire des recherches qui durent toute la journée.
Car des sites y en a pleins, sauf qu’il faut trouver la bonne. C’est comme essayer de trouver une aiguille dans
un tas de foin.
-Ma chère Lena, faut aller manger, car il est l’heure en plus, je connais un bon petit restaurant assez rapide,
juste à côté, c’est McDonald.
-C’est d’accord, allons manger, j’ai le ventre qui crie famine.
Nous sortons du bureau et là tout le monde nous observe de la tête aux pieds. Ils doivent se faire pleins
d’idées.
-Aller en cours, ou sinon je vais voir le directeur et vous discuterez avec lui de votre orientation, dis-je d’un
ton sec et énervée.
-Je pense que depuis ça, ils ne voudront pas trop vous approcher.
Je ne dis pas un mot.
En arrivant au McDonald, je commande une salade et un McFleurry avec pleins de kit-kat. Loïc prit sa
commande et nous installons.
-Je vois que tu adores le McFleurry avec pleins de kit-kat.
-Oui, c’est mon péché mignon, j’en raffole et mes copines aussi.
-Radhia m’a raconté une chose sur toi, ne te fâche pas, c’est que j’ai envie de te connaître un peu plus. Tu as
l’air d’une fille sympa, drôle, travailleuse avec comme remède la caféine. Je sais ce que tu as vécu, et je
pense que tu as besoin beaucoup de tendresse, d’amour. C’est ce que j’ai envie de te donner.
Une larme coula sur ma joue. Cela fait tellement longtemps, depuis la mort de Grégoire, qu’aucun homme
ne m’as dit ça. Rodolphe est en mission en ce moment, à la recherche de Jesse. Tout ça qui remonte à la
surface, ça fait mal au cœur. Mes larmes coulent à flot et Loïc vient à côté de moi pour me consoler.
-Lâche tout ce que tu as ma belle, je comprends de ce que tu as vécu, ça fait mal. Maintenant je suis là, et je
ferais n’importe quoi pour que tu retrouves la joie de vivre.
Je sens la tendresse qu’il veut me donner pour que je retrouve la joie de vivre. Je suis sans voix à ses côtés,
que dire de plus à un homme qui veut vous donner tant d’amour. Une impression d’être sur une autre
planète.
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Partir avec lui, à l’aventure, à la découverte du monde, et qu’on partage la même passion.
-Loïc, je ne sais pas quoi te dire. Je ressens tout ton énergie que tu veux me donner, la tendresse, et l’amour.
Tu es un ange tombé du ciel.
-Tu es un amour Lena, sache que tu comptes à mes yeux comme la plus belle prunelle de ma vie. Envie de
partir avec toi, à la découverte du monde.
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CHAPITRE16
Le mardi 15 janvier 2013,
Cela fait une semaine maintenant que Loïc et moi partageons la même passion pour l’histoire.
Tant qu’à moi, je prépare un nouvel article pour le journal
Très chers lecteurs,
Voilà une nouvelle Lena Carter, et sachiez que cette année sera mouvementé pour le lycée.
Dans quelques jours, le bal de début d’année sera là.
Alors mesdemoiselles et messieurs, le thème du bal sera les années 50, un peu de disco pour commencer
l’année bien sympathique.
Pour ma part, à partir de Février, je serais absente pour trois mois, stage dans l’archéologie pour mon
avenir. Je vous tiendrais au courant,
Lena Carter.
Voilà l’article finit, je le mis en ligne dans le journal, et madame Delacourt sera au courant de mon absence
en Février.
Le jeudi 17 janvier, à 18h,
Voilà le bal du lycée. Tout le monde est beau, magnifique dans le thème des années cinquante.
Même le directeur joue le jeu.
-Alors ce soir, on fait la fête, dit-il en dansant devant moi.
-Oui, ce soir c’est la fête, et amusez-vous monsieur Sanders, qu’importe quelle âge on a faut s’amuser.
-Oui, et vous aussi, vous en avez besoin, miss caméléon.
Nous rions et je passe la soirée avec les filles, nous dansons jusqu’à minuit.
Pour partir à la découverte, je ne sais pas où je pars, c’est la surprise de Loïc qu’il veut me faire.
-Lena, on partira en Egypte, dit-il avec excitation.
-En Egypte !!! C’est ce que j’en rêve depuis mon enfance, voir l’Egypte ancienne.
Le samedi 2 février 2013,
Depuis tant d’années, les archéologues essayent de trouver le mystère des pharaons qui sont encore enfouis
sous terre, et par la suite, ils refont sur ordinateur la ville entière de l’Egypte.
L’équipe de Loïc et moi, nous partons à la recherche des trésors de l’Egypte, comme Indiana Jones à la
recherche de la cité perdu.
Nous prenons un petit avion en direction de Thèbes, c’est ce qui est prévu au programme, trois mois en
Egypte.
Soudain une immense tempête de sable fait perdre les moyens à l’avion. Le pilote essaie de reprendre les
commandes mais impossible, le sable s’est introduit partout. Nous nous posons à côté d’une oasis que je ne
connais pas.
L’équipe de Loïc se repère et virent un temple. Nous prenons nos affaires et le pilote regarda le moteur,
pendant que nous partons voir l’identité du temple.
-Loïc, je suis toute excitée. Merci de tout cœur pour ce voyage qui va faire un bon dans ma vie.
-De rien mon ange, dit-il d’une voix si douce tout en me serrant contre lui.
-Nous sommes à six heures de Thèbes, dit Romain le spécialiste de hiéroglyphes.
Nous marchons, et Romain fait les premiers rapports.
-A l’entrée du temple, y a le dieu Horus sur son piédestal et à ses côtés Min-Ré et Mout.
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-Donc on est au temple de Deir el Hagar, si je me souviens bien, dit Loïc.
-C’est ça.
Nous avançons et virent une allée processionnelle que j’en conclu de mes cours avec monsieur Petit.
Chacun alla de son côté, par deux, avec Loïc à mes côtés, j’étais en sécurité.
Plus loin un portique qui donne dans la salle hypostyle, où l’on voit sur un montant Thot.
Sa représentation est d’une tête d’ibis, avec un plumage blanc et noir. C’était un dieu chargé de l’écriture, de
la lecture, des mathématiques. Il contrôlait la magie, et les magiciens.
Selon une légende Egyptienne, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du livre de Thot
pouvait espérer surpasser les dieux.
A quelques pas, on vit un sanctuaire. Le prénom de Thot était représentait en hiéroglyphe. Loïc et moi, nous
y aventurons, et prévenaient les autres de notre découverte.
-C’est absolument magnifique, dis-je en observant le sanctuaire de Thot.
L’intérieur est parsemé d’or, et que la lumière du jour envahis la pièce.
-C’est vraie, que c’est la première fois, que je vois un sanctuaire encore intact avec tout l’or qui a sur les
murs, dit Romain surpris. Faut décrypter ce qui se cache dans ce sanctuaire. Je propose qu’on reste ici, pour
découvrir un peu plus. Qui est d’accord pour que tout le monde reste ici ?
Tout le monde se mirent d’accord pour rester ici.
Nous préparons le campement, avec l’aide du pilote, qui a réussis à déplacer l’avion jusqu’au temple, ce qui
nous permet de faire le campement.
La première nuit, au temple.
Avec Loïc, nous restons dans une tente, que tous les deux sans les autres autour de nous.
-Ma Lena, tu es tout pour moi, et tu seras gravée à jamais dans mon cœur, dit-il en me prenant les mains.
-Je suis tellement heureuse, d’être avec toi. Au lycée, j’étais plongée trop dans le travail, et je n’étais plus
heureuse comme avant, dis-je en pleurant. Tu es arrivé dans ma vie, quand j’ai eu besoin d’une personne
comme toi.
Il me prit dans ses bras, et nous nous endormons ensemble. Notre première nuit ensemble.
Dans mon sommeil, je vis le dieu Thot et la déesse Hathor.
-Vous êtes chez nous, et sachez qu’on ne veut pas d’intrus dans notre sanctuaire, dit Thot énervé.
-Nous ne sommes pas des intrus, nous voulons savoir le secret du sanctuaire.
-Je vois qu’il donne beaucoup d’amour, votre ami, dit la déesse. Il fera n’importe quoi pour vous donner tant
de bonheur, de tendresse, pour pas que vous souffrez comme avant. C’est grâce à moi, que vous n’êtes pas
seule.
-Je vous remercie déesse Hathor.
Ils repartirent, appuyant sur un mécanisme dont il représente une tête d’aigle, une porte s’ouvrit et ils
disparurent.
Le dimanche 3 février 2013,
Aujourd’hui, tout le monde est dans le sanctuaire. Pinceau à la main, je me mis à l’endroit où j’ai vu dans
mon sommeil, le dieu Thot et la déesse Hathor partirent derrière un mur.
-Pourquoi, tu vas si loin mon ange ?
-C’est que j’ai une intuition, je ne sais pas encore.
Sur un endroit du mur, un paquet de toile d’araignée que je dégage avec le pinceau. Là je tombe nez à nez
avec une grande épaisseur de pierre. Finit de dégager, une tête d’aigle magnifique, bien précis, en couleur.
J’appuie sur la tête de l’aigle, et tout le monde sursautaient.
-Qu’est-ce qui se passe ?, dit Romain un peu surpris.
-J’ai trouvé une tête d’aigle et j’ai pensé appuyer dessus pour savoir ce qui se cache, tout simplement, dis-je
en mentant. On va voir ce qui se cache derrière le mur ?
-On doit aller chercher nos outils, dit Loïc clairement.
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Quand je pense qu’aucunes filles de mon âge ne pourraient voir ça, je me dis que j’ai de la chance de
découvrir de mes propres yeux, le mystère de l’Egypte.
Loïc, Romain et moi, nous partons voir ce qui se cache derrière le mur, tandis que les autres essayent de
comprendre les lieux.
C’est un labyrinthe, cela va nous prendre des jours et des jours, pour tout explorer dans ce sanctuaire.
Chaque jour, des trésors cachés que nous découvrons et qu’on ramène près du campement.
Nous découvrons le livre magie de Thot, qui est parsemé, de fleurs, et de lauriers. Romain en prend soin et
déchiffre le livre magie.
Si la légende dit vrai, Romain pourrait devenir et surpasser les dieux d’Egypte.
Au coin du couloir, une statuette avec un récipient remplit de toile d’araignée. Cela m’écœure mais il faut
que je trouve ce qu’elle cache dans ce récipient. Petit à petit, je vois des bijoux en or. Et un bracelet en
particulier m’intrigue.
-Loïc, c’est quoi comme bracelet ? Il me plait beaucoup, car c’est en or, dis-je émerveillée.
-C’est le bracelet de Douch. Ses feuilles d’or et la pierre précieuse de l’Agathe et de la cornaline représente
l’amour de la déesse Hathor.
Surprise, je me demande si la déesse veut me montrer pleine de chose de l’amour que Loïc veut me donner.
Le mois de Février se passe vite. Les recherches sur le temple avancent petit à petit.
Des rêves étranges que je fais me font réveillés en sursaut.
Au centre de l’autel, j’aperçois la déesse Hathor, et le dieu Thot.
Un cordage plongea dans un récipient et la déesse cita une formule dans la langue Egyptienne.
Thot lut un passage de son livre magique que je reconnus que Romain est en train de décrypter.
-Que ce cordage soit béni par les dieux et l’amour qui relie, les deux êtres aimants pour la vie, dit Thot en
jetant rose rouge dans le récipient.
Tout à coup, je sens mon cœur battre à une grande vitesse que je me réveillai en sursaut.
-Mon amour, ça va !!!, dit Loïc inquiet pour moi.
-C’est mon rêve, où y a la déesse Hathor, et le dieu Thot. Ils ont jeté une sorte de magie sur nous.
-Ah bon !, s’étonne-t-il. Quoi comme magie ?
-Pour que notre amour dure l’éternité.
Surpris ne dit plus un mot, nous nous rendormons, moi dans les bras de Loïc pour me sentir plus en sécurité.
Le jeudi 14 mars,
Tout le monde se mit au travail. Je pars de mon côté avec pinceau et lampe de poche à la recherche de
nouveaux trésors.
Un couloir immense avec les statues d’Amon, Horus, Hathor, Osiris, Rê, Seth, Thot, Hâpi, Isis, et Imhotep, qui
ont gardés leurs couleurs d’origine, tous forment un cercle.
Au milieu, je vis une sorte d’autel où j’ai vu dans mon rêve de la nuit dernière.
Autour des hiéroglyphes et au pied de l’autel, je dégageai avec le pinceau et je découvris encore une tête
d’aigle, mais cette fois si avec une rose, dont une épaisseur de pierre comme à l’entrée du sanctuaire.
Un mécanisme secret que j’actionne de suite.
Un faisceau de lumière se propage dans toute la pièce, et éclaire les statues de la tête au pied.
Leur grandeur, et leur posture colossale m’impressionne. Je vis chaque statue avec la même position, ils
portent tous une tablette avec un disque qui s’oriente vers l’autel.
Je m’approche de l’autel et vis un récipient avec à l’intérieur pleins de toiles d’araignées que je dégage avec
le pinceau. J’éclaire le récipient.
Un cordage qui parait neuve, et une rose fraiche qui parait être cueillit y a quelque minute.
Il fallait à tout prix que les autres voient ça.
Je cours pour prévenir les autres tout en observant autour de moi pour revenir sur mes pas.
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C’est au bout de vingt minutes que je revienne avec le reste de l’équipe.
-Ma chère Lena, tu as mis la main sur un trésor énorme !!!, dit Romain avec excitation et l’étincelle dans les
yeux.
Je pris la main de Loïc et l’emmène auprès de l’autel pour lui montrer ma découverte.
Quand tout à coup, une lueur de lumière sort du récipient.
La corde vient sur nous, impossible de bouger, on resta pétrifié. La corde s’enroula autour de nos poignées
et la rose se posa sur la corde. Une onde de chaleur, nous envahit. Les autres ne pouvaient pas s’approcher
car un champ magnétique nous sépare de l’autel et des dieux.
-Je ne comprends rien, que se passe-t-il ?, dit Loïc mort de peur.
-J’ai l’impression d’avoir déjà vu ça, c’était dans mon rêve. Depuis tellement longtemps, je vois que ça dans
mon rêve, lui dis-je.
Le cordage nous serre de plus en plus.
Le champ magnétique s’ouvre, et Romain s’introduit, hypnotisé plus que tout. S’avance vers nous se dirigea
vers l’autel.
-Que tous les dieux et déesses de l’Egypte que j’invoque, soit parmi nous, dit Romain en levant les mains.
Amon bénit les deux êtres pour la vie. Isis, vous marie, et Hathor, vous donne un foyer pour élever vos
enfants. Hâpi, Rê, vous donnerez l’eau pour la purification, le soleil pour leur donner la lumière, et que Seth,
vous protège du mal.
Une fois que Romain a fini d’invoquer et fini la formule, nous nous endormons dans un profond sommeil.
Le samedi 16 mars, à 10h,
Nous nous réveillons dans notre tente avec Martin, le pilote, qui nous surveille.
-Quel jour, on est Martin ?, dit Loïc d’une petite voix. Combien de temps, on a dormi ?
-Vous avez dormi deux jours, donc on est le samedi 16 mars. On a suspendu les fouilles, et on fait des gardes
devant le temps, ne t’inquiète pas Loïc.
Rassuré, il se rallonge auprès de moi.
Je me sentis bizarre, mais ça passe petit à petit depuis qu’on s’est réveillé.
-Romain, comment il va ?, dis-je en prenant des nouvelles.
Martin fit une tête étrange, je m’inquiète de la santé de Romain.
Le jour où Romain a été transformé, on ne le reconnaissait plus. Hypnotisé et envouté par les dieux pour
nous lancer un maléfice pour que notre amour, Loïc et moi, dure pour l’éternité. La vie de Romain a été
sacrifiée pour nos deux âmes. Maintenant il fallait qu’il revienne sur terre.
-Romain ne va pas fort, depuis jeudi, fiévreux. On ne sait pas quoi faire, dit Martin dans un état inquiétant.
Je me lève aussitôt et j’eux le tournis.
-Rallonge-toi, Lena !!! Ordre du médecin qu’on a fait venir.
-Ah bon !!, surpris Loïc. Par la radio de l’avion ?
-Oui, j’ai réussi à enlever tout le sable, et j’ai contacté Thèbes. Seulement le moteur est mort, le sable s’est
introduit dedans. Nous partons mardi matin. Sachant qu’on a plusieurs heures de marche et que Romain ne
risque pas d’aller mieux, faudra partir de bonne heure.
-C’est d’accord, Martin, c’est toi le chef maintenant. L’Egypte, c’est beau mais faut faire attention aux
légendes des dieux et déesses, dit Loïc plus méfiant que jamais.
Je reste encore quelques heures allongée pour que ça passe.
C’est à quinze heures, que je vais voir Romain, voir son état. Martin a dit vrai. Romain fiévreux, en sueur, je
mis une serviette froide pour baisser sa température. Au bout de quelques minutes, il va mieux mais il n’a
pas repris ses esprits.
En sortant de la tente, je vis le docteur.
-Docteur, comment on peut guérir notre ami ? Car il est très fiévreux.
-Mardi matin, on part pour Thèbes et là-bas y a une personne qui donnera ce qui faut à votre ami.
-Merci docteur.
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Le week-end se passe et je conclus que depuis mon arrivée en Egypte, que c’est un hasard le rêve et tout ce
qu’on avait découvert sur ce fameux temple Deir el Hagar. Tous pleins de secrets qu’on a découverts depuis
février.
On préviendra Paris de notre découvert au temple de Deir el Hagar, où se trouve enfouis sous le sable des
trésors cachés.
Mardi, direction Thèbes et après de retour en France, à Paris, où je vais retrouver mes amies qui m’ont
manqué tellement.
Maintenant vue que je suis avec Loïc, et qu’on est voisin, je pense qu’on devra acheter un studio pour six, les
filles vont ramener leurs copains donc faut agrandir notre foyer. Et comme avec Loïc, on bougera pour les
voyages, il est préférable que quelqu’un s’occupe de l’appartement. Les filles travailleront sur Paris, à
quelques pas du journal de leur rêve.
Le mardi 19 mars, à 6h,
Nous levons le camp et partons pour Thèbes. Beaucoup d’heures de marches nous attendent.
Les hommes portent le brancard où Romain est, ne va toujours pas mieux.
Tous les deux heures, une pause est chacun son tour porte Romain.
Nous arrivons à Thèbes, au coucher du soleil.
Le spécialiste voit l’état de Romain
-Votre ami est maintenant éloigné du maléfice, et du lieu. Je voudrais savoir, où vous étiez ?
Je pris la parole, et pris mon courage à deux mains.
-Nous étions au temple de Deir el Hagar. Notre ami a découvert le livre sacrée de Thot. Est-ce pour cela, qu’il
est comme ça ?
Le spécialiste fit une tête inquiète.
-Celui qui touche le livre sacrée de Thot, doit se sacrifier pour marier, et donner son âme à Amon. Si dans
une semaine, il n’est pas éloigné du temple, il donnera sa vie à ceux qu’il a fait le serment. Vous avez de la
chance. Il faut le soigner avec la médecine des plantes.
Nous étions surpris de ce que la spécialiste, nous a annoncé. On a failli perdre Romain et on l’a sauvé du dieu
Amon.
Au début, on devait être à Thèbes pour les fouilles.
Tout le monde se reposait quelques jours avant de repartir pour les fouilles sur Thèbes.
J’espère qui n’aura pas de sortilège quand on découvrira un autre trésor.
Le vendredi 22 Mars, à 9h
Nous allons sur les ruines du temple funéraire de Ramsès II. Sur une des colonnes, on vit la représentation
d’Amon sur l’un des premiers pylônes. Amon, nous suit depuis le temps Deir el Hagar jusqu’à Thèbes. C’est
vrai qu’Amon a parcouru toute l’Egypte d’où l’on voit son prénom en hiéroglyphe partout.
Nous entrons dans la première cour du temple.
Au loin, je crus voir une personne partir vers le siège de Da pour.
-Tout va bien mon ange, dit Loïc en me voyant sur mes gardes.
-Oui, ça va !! J’ai cru voir quelqu’un partir vers le siège de Da pour.
-Si tu en es sûre mon amour, on va voir. Les gars venaient avec moi, on va voir une chose.
Je m’inquiète pour Loïc de ce qu’il va trouver, je le suis avec les autres.
Nous nous cachons derrières les colonnes et nous avançons chacun de notre tour dans la salle hypostyle.
Une main m’attrapa le cou et m’assomma d’un coup de pierre.
Je sentis qu’on me porta avec délicatesse.
Ce n’était pas Loïc qui me porta, car il me porte avec tendresse et je le serai si s’était lui.
-J’espère que tu te souviens de moi, ma petite Lena !!!
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Cette voix, je la connais mais impossible de mettre le nom. Je me concentre sur cette voix si familière en
trouvant le nom, je serai qui m’a assommé.
-Où est Lena ?, dit Loïc plus inquiet que jamais. LENAAAAAAAA !!!, crie-t-il.
Tout le monde se mit à me rechercher. La voix de Loïc que j’entendis au loin. Je devais être à quelques
mètres au loin de la salle hypostyle.
-Tu veux être avec ton homme, très chère ? Mais tu m’appartiens, tu es à moi, et je veux que tu sois à moi
pour toujours !!!
Voilà, trouver c’est Jesse qui se cache, je me souviens de la phrase qu’il avait dite quand il a tué Grégoire
sous mes yeux. Je me souviendrai toute ma vie, de ce qu’il m’a fait, mais pas cette fois si, par Loïc.
Une larme m’échappa, je n’arrivais pas à me contrôler.
-Tu as trouvé qui j’étais, ma petite Lena, et oui, c’est moi Jesse. Je suis revenu de loin, je t’ai retrouvé et tu
seras à moi pour la vie.
-Non !!, dis-je. Je ne suis pas à toi, je ne suis pas ton jouet, et sache que tu ne comptes pu à mes yeux. De ce
que tu m’as fait je ne l’oublierai jamais.
Rodolphe, le père de Jesse, arriva avec son équipe.
Loïc le reconnut, et surpris de le voir en Egypte.
-Bonjour, Loïc, pourquoi vous êtes ici ?
-Eh bien, avec Lena, et mon équipe on est venu ici pour les fouilles archéologiques. J’ai l’impression qu’il va
se passer quelque chose de grave, quand dite vous Rodolphe ?
-Je pense que vous avez raison, on doit absolument retrouver Lena, et vite avant qu’il lui fasse du mal.
-Romain vient avec moi, on va vers le grenier, Rodolphe vous pouvez venir aussi. Pour les autres, vous allez
faire le tour du temple.
Tous partaient de pied ferme, et essaya de me retrouver dans ce temple labyrinthe.
-Personne ne pourra te trouver, j’ai envie de m’amuser avec toi. Depuis le temps, je voulais te voir. Mais au
faites ça fait que quelques mois que Grégoire est mort et ta trouvé un autre mec, je suis étonné Lena !!
-Et alors, si tu fais du mal encore à l’homme que j’aime, et qu’il me donnera pleins d’amours, je préfère que
ça soit toi qui souffre. Tu as fait souffrir tellement de monde, tu dois payer le prix.
Je vis la tête de Rodolphe, j’étais sauvée encore une fois, il ne faut pas que Loïc soit là, je n’ai pas envie de
perdre encore une personne de cher.
-Mon fils, tu vas payer de ce que tu as fait !!, dit Rodolphe avec l’arme à la main.
-Je suis ton fils, tu veux me tuer. Papa, je t’aime, et je sais que j’ai fait du mal à beaucoup de gens, seulement
Lena est la femme de ma vie, elle est à moi.
-Non, elle est maintenant avec quelqu’un d’autre, et lui, il est fou d’elle. Je te connais trop Jesse, tu dis ça
simplement pour m’influencer.
- Non, papa, ce n’est pas pour t’influencer, c’est pour te dire la vérité, que je vous aime maman et toi, dit
Jesse avec tellement de pitié qu’une seule envie de lui donner une claque.
-Jesse, c’est bon, écoute ton père !!!, dis-je en criant. C’est ton père, montre lui un peu de respect.
Jesse et Rodolphe se regardent les yeux dans les yeux. Quand tout à coup, Loïc saute sur Jesse pour le
mettre à terre en lui mettant les menottes.
Maintenant Jesse est en prison pour dix ans, pour avoir tué un homme de sang-froid, et de m’avoir tenté de
me tuer à deux fois. Il a payé où il en est maintenant.
Je suis au moins rassurée qu’il soit là, car quand il était en cavale j’avais peur de sortir en ville.
Ma vie amoureuse avec Loïc se passe à merveille. Avec les filles, et Loïc, on essaie de trouver un studio.
Encore une année pour les filles, tandis que moi, je pars à travers le monde pour l’aventure et j’espère qui
n’aura pu de maléfices, et pleins de découvertes de trésors cachés.
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Loïc et moi, c’est pour la vie, et ce que Romain a dit dans la formule où il a convoqué les dieux et déesses de
l’Egypte. Pour vous dire, l’Egypte c’est magnifique, avec toute l’histoire antique. Seulement faut se méfier
aux légendes qui courent.
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