De Eugène Durif - Compagnie L`Envers du décor
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De Eugène Durif - Compagnie L`Envers du décor
De Eugène Durif En hommage et d’après l’œuvre de Jean-Pierre Brisset [Conférence théâtrale, musicale et burlesque] CIE L’ENVERS DU DECOR Centre Culturel et de Loisirs – 31 Av. Jean Jaurès – 19100 Brive la Gaillarde Tél. 06 83 35 27 77 – email : [email protected] Quoiqu'on ait dit et écrit pendant des siècles, l’homme descend de la grenouille. Peu de gens le savent, ce qui rend d’autant plus urgente la nécessité de divulguer cette information capitale pour l’humanité… « J’ai découvert Jean-Pierre Brisset quand j’étais étudiant en philosophie à Lyon et que je préparais une maîtrise autour du « langage poétique et du langage psychotique » avec Henri Maldiney. Depuis, c’est un auteur qui a toujours été, pour moi, très présent, à l’égal de Roussel, Fourier, Wolfson et quelques autres…Avec Catherine Beau, nous avons créé un premier petit spectacle d’hommage « Quel est ce sexe qu’ont les anges ? » avec un musicien Jean Marie Gérintes, puis « Les grenouilles qui vont sur l’eau ont-elles des ailes ? ». Avec cette nouvelle tentative d’approche du monde de Jean-Pierre Brisset, je voudrais encore me confronter à cet univers poétique dans lequel les mots, à la recherche de leur origine, se découvrent une autre logique et jouent en toute liberté. Du « pur » Brisset, et aussi, sur ses brisées, des tentatives de jeu sur la langue, de petites investigations où la matière sonore et le sens ne font plus qu’un. Et le tout en musique ( de Pierre-Jules Billon présent sur la scène) et avec chansons… » Eugène Durif Texte de Eugène Durif, en hommage et d’après l’œuvre de Jean-Pierre Brisset Musique de Pierre-Jules Billon Avec la complicité artistique de Karelle Prugnaud Avec Eugène Durif Pierre-Jules Billon Avec le soutien du Conseil Régional du Limousin. La compagnie conventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC du Limousin. Jean Pierre Brisset (1837 – 1919) Commissaire de surveillance administrative aux Chemins de fer et "septième ange de l'Apocalypse", inventeur d’une méthode pour apprendre à nager “ seul, en moins d’une heure ”, Jean-pierre Brisset a révélé le mystère des origines humaines et notamment démontré (irréfutablement) que l'homme descend de la grenouille. Il est ainsi l'inventeur, selon l'expression de M. Pierssens, d'une "merveilleuse machine délirante" qui explore le mystère des origines du monde et du langage. Un groupe d’écrivains et d’artistes, à l’initiative de Jules Romains, lui attribua en 1913 le titre de “ prince des penseurs ”. Canular qu’il prit très au sérieux… Raymond Queneau, André Breton ou Michel Foucault furent de ceux qui s’intéressèrent beaucoup à son œuvre. « Jean-Pierre Brisset se distingue avant tout par l’invention d’une méthode qui lui permit de retracer l’histoire des origines de l’humanité. Cette méthode absolument sérieuse dans l’esprit de Brisset repose sur une décomposition sonore du vocabulaire. Analysant par exemple le mot théologie, il constate que cette science se pratique principalement aux environs de 17 heures, l’heure du thé au logis. Elle traite des choses élevées, puisqu’on dit : T’es haut, logis, hein ? Cependant, elle conduit parfois à l’aveuglement à cause de la taie au logis et ne s’avoue jamais vaincue d’avance puisque l’athée haut loge I (I étant ici un signe phallique). Fort de cette méthode, Brisset se lança dans l’explication de l’univers. Impossible de même résumer ici ses découvertes. Disons seulement que Brisset prouva que l’ancêtre de l’homme est un batracien, à cause du cri initial, côa, côa, qui n’était autre que la question primordiale : quoi ? quoi ? La grenouille disait : Je suis , l’eau j’ai, tout au moins à l’origine. Plus tard, elle choisit la terre ferme et dit : “ je suis bien, hors l’eau j’ai ”. Elle acquit ainsi la notion du temps, fut en mesure de le compter, et fut déifiée. Raymond Queneau (Bizarre, n°IV) est un des premiers à avoir attiré l’attention, sur Jean-Pierre Brisset, dont l’œuvre maîtresse, La Grammaire Logique, a été rééditée. Ici la bizarrerie rejoint à n’en pas douter une forme de génie. Chaque page serait à citer. Ajoutons que pour Jean-Pierre Brisset, il ne faisait aucun doute que le français était la langue originelle de l’humanité. Il en fournit des preuves à chaque instant. ” Guy Bechtel, Jean-Claude Carrière « Le livre des bizarres » , Bouquins, Robert Laffont Presse Ancienne version du spectacle : « Les grenouilles qui vont sur l’eau ont-elles des ailes ? » (2002) Le mystère originel du monde disséqué par les jeux de mots du fantaisiste Brisset (Fabienne Darge, LE MONDE | 19.10.02 | 13h50) : « Eugène Durif présente au Rond-Point "Les grenouilles qui vont sur l'eau ont-elles des ailes ?", adaptation tout en finesse d'élucubrations poético-scientifiques inventées il y a un siècle. Couac on ait dit et écrit pendant des siècles, l'homme descend de la grenouille. Peu de gens le savent, ce qui rend d'autant plus urgente la nécessité de divulguer cette information capitale pour l'humanité. La mutation a eu lieu il y a quelques millions d'années, s'accompagnant de l'apparition du sexe et de l'accès au langage, tel que nous le parlons encore : "La venue du sexe chez cet ancêtre fut la nouveauté qui modifia les cris de la grenouille et leur donna une précision déjà parfaite. C'est à ce moment que les mots actuels commencèrent et n'ont jamais changé." Mais de couac on parle ? De théâtre, mais pas d'une pièce, non, d'un travail, réjouissant et subtil, sur les élucubrations poético-scientifiques de Jean-Pierre Brisset, sorte d'ancêtre délirant – mais nettement plus drôle – de Jacques Lacan. (…) C'est à partir de cette prodigieuse machine à explorer le mystère originel du monde et du langage qu'Eugène Durif et Catherine Beau ont bâti leur spectacle, merveille de poésie, de finesse et de drôlerie. Accompagnés en musique par Pierre-Jules Billon, qui a inventé, à coups de casseroles, de crécelles, de castagnettes et de xylophones, une joyeuse couacophonie, ils accomplissent avec un plaisir communicatif cette plongée dans l'univers des anagrammes, palindromes et autres anacoluthes. Il y a des moments hilarants, telle l'explication de l'origine de l'expression "comme une vache espagnole", que l'on se gardera bien de révéler. Et s'il est évidemment beaucoup question des grenouilles, on y parle aussi des bébés, de leurs mères et des hommes ("Au mots"), de sexe, de naissance, de Dieu et de Création ("Eva/Ave"), d'angoisse ("langue où est-ce ?") et de jouissance ("je ouïe sens"), du paradis terrestre et de tous les plaisirs de la langue. La "langue à jeu" contre la "langue à je". » « Gigantesque fatrasie », Jean-Pierre Léonardini (« L’Humanité ») : « Jean-Pierre Brisset (1837-1919), délirant sublime salué par Breton dans son Anthologie de l’humour noir, voyait l’homme descendre de la grenouille. Eugène Durif, dans Les grenouilles qui vont sur l’eau ont-elles des ailes ? le suit à la lettre dans un épastrouillant divertissement langagier, mené tambour battant par luimême, Catherine Beau et Pierre-Jules Billon, auteur et interprète de la musique, aussi farfelue que le texte, qui fonctionne comme le Meccano d’une gigantesque fatrasie langagière. C’est un régal d’esprit. » Télérama : "La folie opère... Comment ne pas aimer Brisset? Et l’hilarante liberté d’Eugène Durif?" MHfiNCO$ITRE AIdEC EIJ6ÈNË OU[iIF oètejoueetchante desHalles ..11| I P N.| G r1| tv { F â F E u g è nDeu r i fl ,m p e r t u r b a p a s s e uql u n n on- s e n s ubilatoire, et maîtreenvie EugèneDurifaécritrllreùentaine de textes-poèmes, réc r t s e t p i è c e s- c e f t a i n e s pour enlants,d'autrespour vieux enfants,vous moi; quoi - créées par I met-, teurs en scène les plus connus, et lti-même aime beaucoupfaire l'âcteur. ge! téviter dans la ChapeUe S'"-CIarie:"entIe l'ange et 1 ' s n g e ,t o u t s e m é | a n g e , cltantons louange...", . Sur.lesbdséesde BJisset, l'auteur-interprètenê l,a-t-il pas quelque peu piralé? "C'esf vrsi, ae linguiste |ou estsi obsédont,qu'on se met z, c) z I 6| æ F z tEt F 6 L O z des non-acteurs". taire unèchose joyeuse, mais. A.lorsiljoue. Comrnejouent les enfantset commei1écrit. "enespercnlne jamaissavoir sw quel pied danser".Tandis qu'à I'AIizé se donne I' En- sonsoucunedé sion". Le poète n'est pasrtoujours aussijoyeuxet léger. Directeùr d'une compagnieimmêr:r gée en Limousin,il lant sons nom, Duil interventtons de ioue et chanteavgcsolcopainmusi- textessur dessujetsd'actùati- cien Pieûe-Jules Billon un texte de J.-Pierre Brisset (1837- 19191: un employé des Chemins de fer, délirant complet (et magnifique poète naïf), adopté par les Surréalistes et par Queneau, qui démontie, en lingujste imperturbablement logique, que I'Hoûme descend de la grenouille, Et on fituait par le croire, TantDuriJ etsoû cômplice en poésie solloje, sont convaincants. Et c'est jubilation, Jusqu'à nous faire voir des an- té, Pas drôles, Cornme le disent souvent ses titres, dont celui d'un prochain romanl "Loisse les hommes pleuret'\, Mais l'écoute d'Eugèûe Durif €;stsigénéreuse,et sêprésencesilégère, quesonsoudre flottant se g'lisse dans les larmes des hollulles. q DanièleCarraz ;i.iojiniæ,qi ieigi"nouiir"!i:,' lLes Halles 17h10 . et'lL'9nla4!: ' : i l l s ! o m " l f A l i z é i à2 1 h 5 0 . = = OJ (D a 3 Mercredi 11Juillet2OOz uwvw.lôprovence.com rffis**e$"ë_ffis Unconferencie qurpese sesmots Balayant touteslesthéories écrites surle sujet,le professeurEugène va, en examinantnosmots,nousréexpliquernosorigines, usantsans jeux vergogne de nombreux thèseformidademots.Cette bleet comique estaccompagnéedela prestation dumusicienPierre,qui va I'illustrer aveclemêmetalentet la mêLesdeuxfarfemefantaisie. pasà payerde lusn'hésitent lorsqu'il s'agit leurpersonne devousprouver leurspropos poussant er_r la chansonnette expérienoufaired'étranges aimese ceslinguistiques.0n perdredanslesexplications de ces et lesdélires farfelues deuxdrôlesde scientifiques et profiter d'unepièceamusanteet habilement exécutée.Ettoutfinit en chanson, pour le publiccommepour lescomédiens. m ValentinLéonard > Nosoncêtres Du6 lesgrenouilles. juillet, ou 28 77h 30,relâcheIe 74, Q 0432762457. LA M /ttgciu*tv€ 'l4.o1.ol \ Nos ancêtres les grenouilles Théâtre des Halles, 17h30 Cie L’envers du Décor Sommes-nous donc les petits-enfants de lointaines grenouilles préhistoriques ? Avionsnous la peau verte il y a quelques années ? On ne sait plus trop vraiment qu’en penser après la brillante démonstration d’Eugène Durif et Pierre-Jules Billon. Sophistes new age, rhéteurs brillants, tels les Gorgias des temps modernes, ces deux là auraient fait perdre leur grec à ce cher Platon. Utilisant les expressions de notre langue et les retournant à la manière d’un Devos, nos deux poètes (et musiciens !) réussissent à créer un monde lyrique et attachant. Notre « pas tout à fait » Histoire : celle de l’Homme qui parlait à l’oreille des grenouilles. Un bien beau tour de manche messieurs et un spectacle à en laisser plus d’un « coa ». Sébastien Cotte AvignonMag Juillet 2007 La Compagnie l’Envers du Décor Fondée dans le Limousin en 1992 par Eugène Durif et Catherine Beau, la compagnie « L’Envers du Décor » est une structure de création professionnelle conventionnée par la DRAC Limousin – Ministère de la Culture et de la Communication. Elle créé des spectacles écrits par des auteurs et compositeurs contemporains vivants. Elle veut parler du monde sous une forme carnavalesque, joyeuse et noire en même temps. Parmi les spectacles créés, nombreux sont ceux écrits spécialement pour la compagnie par Eugène Durif : « Eaux dormantes », « Parade éphémère », « De nuit, il n’y en aura plus », « Cabaret mobile et portatif » . Plus récemment : « Filons vers les îles marquises » (1999) - créé au Théâtre de l’Union (Limoges) et jouée au Théâtre des Fédérés (Montluçon), sur la Scène Nationale Jean Lurçat (Aubusson), au Cabaret Sauvage de la Villette, Scène Nationale d’Orléans, Culture Commune de Loos en Gohelle, l’Hippodrome de Douai, … - « Divertissement bourgeois » et « Clampins songeurs » (créations 2001, notamment joués au Théâtre de l’Est Parisien) ; « Le plancher des vaches » (création 2003 aux Sept Collines de Tulle et Théâtre du Rond Point – Paris) ; « Malgré toi, Malgré tout… dernier concert avant rupture », spectacle musical créé en 2004 au Théâtre de Vienne. En 2005 : « Cette fois sans moi », d’Eugène Durif, créé en mai 2005 au CDN de Limoges (Théâtre de l’Union) et joué du 10 mai au 19 juin au Théâtre du Rond Point des Champs-Élysées. « Bloody girl – poupée charogne », créé dans le cadre des chantiers contemporains au Quartz Scène Nationale de Brest (Nov. 2005). En 2006/07 : La compagnie participe au projet triptyque : « A même la Peau / S’écorche / La Révolution », porté par la Compagnie l’Envers du Décor et la Compagnie du Désordre. Créé le 9 février 2007 au Théâtre du Cloître de Bellac. Création de « La femme assise qui regarde autour », de Hédi-Tillette de Clermont-Tonnerre dans une mise en scène de Karelle Prugnaud dans le cadre du festival « Les auteurs vivants ne sont pas tous morts » organisé par la Cie du Désordre (Limoges) Reprise et tournée de « Les grenouilles qui vont sur l’eau ont-elles des ailes ? » : « Nos ancêtres les grenouilles », qui sera présenté au Théâtre des Halles lors du festival d’Avignon 2007. Création de « Kiss-Kiss », du 2 au 7 juillet 2007, dans le cadre du festival de Bellac. En 2008 : Création de « La Nuit des Feux », de Eugène Durif, en coproduction avec le Théâtre National de la Colline, La Fabrique (Saison Culturelle de Guéret), le Théâtre de l’Union / Centre Dramatique National du Limousin, le Théâtre du Cloître - Scène Conventionnée de Bellac, Le Centre Culturel de Terrasson. Avec la participation du Jeune Théâtre National. Création le 24 avril à Guéret, puis au Théâtre de la Colline du 9 au 29 mai 2008, festival de Bellac (Juin 2008), Centre Culturel de Terrasson… Eugène DURIF Auteur, comédien, metteur en scène Originaire de la région lyonnaise, il a suivi des études de philosophie puis a été secrétaire de rédaction au "Progrès" et au "Matin de Paris". Il a publié de nombreux articles ("dictionnaires des philosophes", P.U.F.) et textes (sur la littérature, le théâtre, la peinture) dans des journaux et revues ( "Actuels", "Action Poétique", "Le journal à Royaumont", "Les Lettres Françaises", "Les cahiers de Prospéro"). Il a adapté "Ulysse" de Joyce pour Bruno Carlucci en 1978 ("Traversées d'Ulysse"), "Les Bostoniennes" de Henry James en 1976 pour André Merle. Il a réalisé des travaux dramaturgiques pour plusieurs metteurs en scène dont Patrick Pineau pour "Peer Gynt" au Festival d'Avignon 2004, collaboré avec Dominique Guihard à l'écriture d'un spectacle de Francesca Solleville , écrit pour la radio, le cinéma et la télévision et participé à plusieurs aventures collectives de Jean-louis Hourdin, avec notamment en 1989 "Hurle France", créé au Festival de Hérisson. Il a participé à la traduction-adaptation de "Orgia" de Pier-Paolo Pasolini ( avec Caroline Michel et Jean-Lambert-wild), mis en scène par Jean Lambert-wild (création mars 2001, Granit à Belfort, reprise novembre 2001 au Théâtre de la Colline à Paris). Il a été boursier du Centre national des Lettres (1988 et 1996) et de la Fondation Beaumarchais (91), a créé en 86 et dirigé, pendant plusieurs années, la collection "L'acte même" aux Editions Comp'Act. Nombreuses activités de formation à l’Ecole du Théâtre national de Strasbourg, l’Université d'Aix-en-provence, au Conservatoire National Supérieur de Théâtre, stages AFDAS, à l'ERAC, à l' "Académie" de Silviu Purcarete, au CNAC ( Centre National des Arts du Cirque)… Il a travaillé avec Catherine Beau, avec laquelle il a fondé la Compagnie "L'Envers du décor" ("De nuit alors il n'y en aura plus", "Il faut que l'une ait raison pour que l'autre ait tort", "Cabaret Mobile et portatif" puis "Cabaret des bonimenteurs vrais", "Quel est ce sexe qu'ont les anges?", “ Maison du Peuple ”) Il a écrit une opérette : "Filons vers les îles Marquises" créée en 1999 au Théâtre de l'Union à Limoges, au Théâtre des Fédérés et reprise en janvier 2000 à La Villette au Cabaret Sauvage et en tournée (Editions Actes Sud Papiers). La Compagnie “ L’envers du décor ” a également créé: “ Les clampins songeurs ” et “ Divertissement bourgeois ” en novembre 2001 au Théâtre des Fédérés (Montluçon), au Théâtre de l’Union (Limoges), au CDN de Dijon, à la Ferme du Buisson (Marne la Vallée) et au TEP à Paris. Egalement, “ Pauvre folle Phèdre ” (juin, juillet 2002). “ La nuit des feux ” sera créé en janvier 2008 au Théâtre de la Colline dans une mise en scène de Karelle Prugnaud. Parmis ses nombreuses œuvres portées à la scène, on peut citer: "Tonkin-Alger", créée à Paris, en 90, à Théâtre Ouvert, par Charles Tordjman, "L'arbre de Jonas" (tapuscrit Théâtre Ouvert),"B.M.C" créé au Théâtre Gérard Philipe à Saint Denis dans une mise en scène de Anne Torrès en 91, "Les Petites Heures" qui a été créé en septembre 97 par Alain Françon, (au Théâtre National de la Colline, éd. Actes Sud Papiers), "Croisements, divagations" (mise en scène de Joël Jouanneau), "Via Négativa (Comédie) mise en scène par Nordine Lahlou à la Cité Internationale, "Nefs et naufrages (sotie)" écrit pour la classe de Dominique Valadié au Conservatoire (pièce qui a été créée en 2004 par Maurice Bénichou) et "Meurtres hors champ" (mise en scène de Jean-Michel Rabeux, en 99 à Théâtre Ouvert et en juillet 2000 à la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, Tapuscrit de Théâtre Ouvert puis “ Actes Sud Papiers ”). Plusieurs de ses pièces ont été réalisées par France Culture (principalement dans le “ Nouveau Répertoire Dramatique ” de Lucien Attoun). Travaille également depuis 1998 avec le groupe de théâtre et musique de rue « Metalovoice »(Participation à "Espèce H", écriture de: "La Presse" créée en mai 2001). Eugène Durif a publié en septembre 2001 un premier roman “ Sale temps pour les vivants ” chez Flammarion et en novembre 2002 “ Ni une ni deux ” (théâtre) chez Actes Sud Papiers. En février 2004 est paru chez Actes Sud “ De plus en plus de gens deviennent gauchers ”, un recueil de nouvelles. BIBLIOGRAPHIE Une Manière Noire (Editions Verdier, 1986) / Conversation sur la Montagne , tirage limité "La maison du livre de Pérouges, 1986 (avec des lithographies de madeleine lambert), puis éditions Michel Chomarat (1990) / L'étreinte, le temps (Edition Comp'Act), 1987 / Salomé, les yeux tus (avec des gravures de Paul Hickin), editions Comp'Act, 1989 / Tonkin-Alger, tapuscrit de Théâtre Ouvert (épuisé), puis éditions Comp'Act (épuisé), puis "Actes Sud papiers" (1995, avec "Maison du peuple") / L'arbre de Jonas, tapuscrit de théâtre Ouvert, 1990, repris chez Comp'Act épuisé), puis en tapuscrit de Théâtre Ouvert (avec la traduction allemande de Klaus Gronau) / Le petit Bois, editions Comp'Act, 1991 (épuisé) / B.M.C. (Bordel Militaire de Campagne), éditions Comp'Act, 1991 (épuisé) / Paroles échappées du choeur, Parole d'Aube,1995 (épuisé) / Croisements, divagations, suivi de "Chorégraphie à blanc" (Actes Sud papiers, 1994) / Via Négativa (Comédie), Actes Sud papiers (1996) / Les Petites heures, suivi de "Eaux dormantes", Actes Sud papiers, septembre 1996 -Nefs et naufrages (sotie), tapuscrit de Théâtre Ouvert / Meurtres hors champ, tapuscrit de Théâtre Ouvert (septembre 97) puis Actes Sud Papiers ( octobre 99) / La petite histoire, L’école des Loisirs (collection théâtre) / Le coup de pied de l’ange, “ La Polygraphe ”, numéro deux, Comp’Act, juillet 1998 / De si peu se souvenir, dans “ Lyon, ville écrite ”, Stock, 1997 / Comme un qui parle tout seul, Parole d’Aube, épuisé / Filons vers les ïles Marquises, (opérette), Actes Sud Papiers, mars 99, traduit en allemand par Almut Lindner. / Pochade Millénariste, Actes Sud Papiers, mars 2000 / Têtes farçues, L’école des Loisirs, septembre 2000 / Maison d’hôtes, radio-drame, Théâtre Ouvert, 2001 / Divertissement bourgeois (oct. 2001)Actes Sud Papiers. / Sale temps pour les vivants (septembre 2001) Flammarion / Ni une, ni deux, (octobre 2002), Actes Sud Papiers. / Le plancher des vaches (octobre 2003), Actes Sud Papiers / De plus en plus de gens deviennent gauchers (nouvelles), actes sud, 2004 / Mais où est donc Mac Guffin? L'écoles des Loisirs ( théâtre), 2004 / Hier, c’est mon anniversaire, mai 2005 (Actes Sud Papiers) / L’enfant sans nom, octobre 2006, Actes Sud Papiers. Pierre-Jules BILLON MUSICIEN percussionniste, poly-instrumentiste, Créateur musical pour le spectacle vivant, Conseiller musical CIRQUES CONTEMPORAINS Plus de1 000 représentations à travers le monde 2005-2007 Compagnie Salam toto Danse de peaux : Chorégraphie : Eva Shakmundès 2004-2006 Festival Mondial du Cirque de Demain Cirque d’hiver Bouglione Paris 2001-2004. Compagnie Ici ou là Cabane jeu de cirque mise en scène Marc Proux Avignon, Paris, Le Caire, Monténégro 1992-2001 Le Cirque Baroque Noir Baroque chorégraphie : Corine Lancel Candide : mise en scène : Mauricio Celedon Ningen mise en scène : Agustin Letellier Frankeinstein mise en scène : Agustin Letellier. Bruxelle, Tokyo, New Heaven (USA), Manchester Paris, Londres, Manille 1987-1991. Cirque Archaos Mise en scène : Franco Dragon, Michel Dallaire et Pierrot Bidon. Création musicale avec Nino Ferrer Avignon, Berlin, Cologne, Edimbourg, Grenade, Jerusalem, Londres, Melbourne, Toronto…. THEATRE (Musicien Comédien) 2002-2007, avec Eugène Durif Le banquet des aboyeurs : Créations àl’Auditorium St Germain Paris 6 mise en scène Sophie Loucachevsky Créations au théâtre du Rond-Point : Cette fois sans moi : mise en scène Karelle Prugnaud Le plancher des vaches : mise en scène Catherine Beau Les grenouilles qui vont sur l’eau… mise en scène Catherine Beau 2007 Cabaret Henri Michaux mise en scène Olivier Couder (Création en cours) 2006-2007 L’encens et le goudron Création au Théâtre de Bligny de Violène de Carné- mise en scène Marie Paule Ramo 2006 Actes avec ou sans paroles s. beckett mise en scène Sophie Loucachevsky Création à la Ferme du Buisson 2003. Antigone de Sophocle Création au Théâtre de Bourg en Bresse mise en scène de Dominique Ferrier Macbeth : adaptation de Jean Claude Carrière, mise en scène de Camille et Manolo Création du Théâtre du Centaure 2006-2007 Intervenant pédagogique à L’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de la ville de Paris DIVERS Musique de documentaire : Bouinax in Love d’Andy Wilson Channel four La route de la soie de Michel Marier France 3 national La Villa Medicis de Bertrand Schmit France 5 Tankers en plein ciel de Bertrand Schmit France 5 / Arte Evénementiel : Puma : présentation de la collection Puma Amphitéâtre de Florence Jacques Higelin : Concert du nouvel an Zenith, Paris Les Enfoirés : soirée télévisée Grand Palais, Paris Concert de soutien aux victimes de Tian an Men Tempodrome, Berlin Conférence de l’eau : spectacle d’ouverture Lisbonne Tames Day : spectacle officiel, Journée de la Tamise Londres Fête de la science, animation de la cité des sciences Cité des Sciences et de l’Industrie, Paris Ouverture du Spectacle de la Haute Ecole de Vienne Palais des sports d’Anvers Cabarets / Variétés Cabaret Equestre, Salam Toto Les Baltringues, Christian Taguet Retro Latino, chanson cubaines Orchestre de Jacky Mallerey Grand Orchestre Crescendo Chanson Franz.K trio Fred Amster Annie Papin « Nos ancêtres les grenouilles » CONDITIONS DE VENTE : Cession : 1600 EUR HT (+TVA 5,5%) A étudier pour plusieurs représentations Transport : un véhicule à 0,50 € / km Défraiements (repas, et nuits le cas échéant) : 2 personnes Sur base syndéac ou prise en charge directe par l’organisateur. Contact : Fabien Méalet T – 06 83 35 27 77 Email : [email protected]