12. sandra nkake
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CHÂTEAUVALLON CONCERT SANDRA NKAKÉ Sandra Nkaké : voix Jerome Dru : Flute, voix Matthieu Ouaki : Guitare, voix Armel Dupas : Clavier, voix Kenny Ruby : Basse, voix Thibaut Brandalise : Batterie Alan Le Dem : Son Julien Dufour : Lumière Vendredi 20 décembre 2013 à 20h30 Théâtre couvert www.sandrankake.com www.chateauvallon.com SANDRA NKAKÉ Entre énergie soul, feeling pop rock et BO fictive Sandra Nkaké signe ici un album de chansons imaginées et réalisées à la maison. Elle y conte des destins croisés, individuels ou collectifs, tous en proie à des choix existentiels «Nothing For Granted» est un voyage tout en voix, à travers l’énergie que ces personnages déploient pour définir ou redéfinir leur destin. Epique, poétique ou explosive la musique se fait l’écho de leur for intérieur, de leur cri de liberté. « L’album est né de l’envie de porter mon attention sur des petites scènes de tous les jours qui font la poésie de la Vie et qui bout à bout forment la grande histoire » raconte Sandra Nkaké qui a écrit et composé cet album à quatre mains avec son complice de longue date le flutiste et producteur Jî Drû. Pendant une année, dans un appartement transformé en studio ils ont imaginé et donné vie à des personnages touchants, perdus, drôles, tendres : « Une petite fille observe les adultes en cachette (Conversation), une jeune junkie observe sa rue (Same Reality), on pousse un cri de liberté (Mankind), un homme refuse la fatalité et les codes sociaux (Like A Buffalo), tous recherchent une forme d’émancipation et fuient un monde qu’on voudrait trop plein de normes et de préjugés ». Pour dessiner cette fresque enregistrée avec des instruments vintages Sandra Nkaké est accompagnée de Julien Tekeyan (batterie), Christophe Minck (basse) et Matthieu Ouaki (guitare) qui forment une rythmique pop rock soudée, mâte et puissante que le pupitre aérien formé par Jérôme Drû (flûte) et Antoine Berjaut (trompette, bugle) transporte dans une bande originale où l’on croiserait Nancy Sinatra et Tom Waits. Le mix de Jean Baptiste Brunhes (Arthur H, Catherine Ringer, Emily Loizeau, Bertrand Belin…) spatialise cet univers où la voix brute et voilée de Sandra Nkaké prend toute son ampleur. Dans cet univers retro futuriste, les arrangements sans faute et le groove imparable dessinent sa vision de jeune femme, de ses errances et de sa renaissance. Un vrai bonheur ! EXTRAITS DE PRESSE Chanté en anglais, Nothing for granted, le nouvel album de Sandra Nkaké, déroule cette même douceur. Sa voix est feutrée et claire à la fois. Le disque, réalisé par Jérôme Drû, bénéficie d’une impeccable production, dans un mood pop d’avant la distorsion. Avec guitare réverbérée et chaudes sonorités du Fender Rhodes (…) Voici un disque habité, apaisé où plane le fantôme de Lee Hazlewood. Cette fois les musiciens sont au service de Sandra Nkaké, et pas le contraire. Nothing for granted est un album pensé dans le murmure, la respiration, la voix (…) Sur scène, elle est un soleil. Un concert d’elle, et la vie et plus belle. Erwan Perron – TELERAMA SORTIR – avril 2012 « Je ne veux pas être un mensonge », dit-elle. Et c’est bien ce qu’on s’était dit en écoutant Nothing for granted, son deuxième album. Nothing for granted, « rien n’est acquis ». Mais tout est possible. Comme de sortir un disque de chanteuse dans une veine soul-jazzy-groovy sans tomber dans les lieux communs de la tendance retro. Inspirée par quelques décennies de great black music américaine (de Nina Simone aux productions R’n’B contemporaines en gros), Sandra Nkaké réussit à aller de l’avant, à renouveler le(s) genre(s), à imposer sa voix basse et sensuelle dans de magnifiques (et cinématiques) écrins instrumentaux. Stéphane Deschamps – LES INROCKUPTIBLES – mars 2012 Nantie d’une voix de velours maîtrisée, Sandra Nkaké chante le grave et le groove comme personne. Révélée par Mansaadi en 2008, la voici de retour avec ce Nothing for granted, très attendu et fort plaisant, dont elle signe aussi les compositions entêtantes et les textes, tous en anglais. Inspirée, entourée de chœurs, de flûtes et de bugles, la belle Franco-Camerounaise y décline les humeurs de la soul et du suave dans un esprit jazz volontiers insolent, parfois un poil reggae comme sur l’excellent Rock it better. C’est libre, à la fois ludique et engagé, entraînant, toujours élégant. AL. C. – LE JOURNAL DU DIMANCHE – avril 2012