une enquête donne la parole aux patients apnéiques
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une enquête donne la parole aux patients apnéiques
LE POINT DE VUE DES EXPERTS DU SOMMEIL étude clinique récente(1) a montré que la PPC améliore significativement la qualité de vie des patients apnéiques et de leurs conjoints. On observe après 4 semaines de traitement : • diminution de la somnolence diurne • augmentation de l’énergie et de la vitalité • amélioration de la sociabilité • amélioration de l’équilibre psychologique et émotionnel ■ Une UNE ENQUÊTE DONNE LA PAROLE AUX PATIENTS APNÉIQUES* : (1) Siccoli M.M., Sleep 2008;31 (11):1551-1558 une qualité de vie retrouvée grâce au traitement par PPC étude clinique réalisée au CHU d’Angers montre que la PPC est bien acceptée au long cours notamment chez les patients présentant des apnées sévères(2) • probabilité de poursuivre le traitement de plus de 80 % à 10 ans • observance journalière très satisfaisante ■ Une Enquête menée auprès de 350 patients traités par PPC. Pour en savoir plus sur l’apnée du sommeil www.syndrome-apnee-sommeil.fr La FFAAIR - Fédération Française des Associations et Amicales des malades Insuffisants ou handicapés Respiratoires - regroupe plus de 40 associations de patients. La maison du poumon, 66 bouldevard Saint Michel - 75006 Paris - Tél: 01 55 42 50 40 - www.ffaair.org ResMed conçoit, fabrique et commercialise des solutions pour le dépistage, le diagnostic, le traitement et le suivi des Troubles Respiratoires du Sommeil, et d’autres pathologies respiratoires traitées par Ventilation. ResMed SAS - Parc technologique de Lyon - 292, allée Jacques Monod - 69791 Saint Priest Cedex. Tél. 04 26 100 200 www.resmed.com *Enquête FFAAIR auprès de 350 patients interrogés d’octobre à décembre 2008 (2) Bizieux-Thaminy A, Gagnadoux F : Acceptation à long terme du traitement par pression positive continue. Rev Mal Respir 2005 ; 22 : 951-7 avec le soutien de L’APNÉE DU SOMMEIL, UNE MALADIE MÉCONNUE, UN DIAGNOSTIC QUI SURPREND • Près d’1 personne sur 2 n’avait jamais envisagé souffrir d’apnées du sommeil • 3 personnes sur 4 n’avaient aucun antécédent familial d’apnées du sommeil • 2 personnes sur 3 ont été dépistées alors qu’elles consultaient leur médecin pour un autre motif AVANT LE TRAITEMENT PAR PPC • 95 % ronflaient • 79 % étaient somnolents ou fatigués la journée • 58 % étaient somnolents au volant APRÈS LE TRAITEMENT PAR PPC ■ Les patients interrogés ont pu évaluer le bénéfice de (sur une échelle de 0 à 10, où 0 = aucun bénéfice et 10 = très grand bénéfice) leur traitement • 81 % déclarent un bénéfice significatif (notes comprises entre 6 et 10) • 62 % déclarent un bénéfice très significatif (notes comprises entre 8 et 10) ■ Ce que le traitement par PPC a le plus changé dans la vie des patients : 3% Amélioration qualité de vie 26% 8% SANS LE SAVOIR, CES PATIENTS ENCOURAIENT DES RISQUES POUR LEUR SANTÉ • 66 % étaient en surpoids ou obèses • 43 % souffraient d’hypertension • 15 % ont subi un accident cardiovasculaire • 22 % des femmes étaient en dépression AINSI QUE DES RISQUES D’ACCIDENTS LIÉS À LA SOMNOLENCE • 1 sur 2 rapporte avoir été somnolent au volant • 1 sur 10 rapporte avoir eu un accident de la route “Je me plaignais de bien des petites misères : oublis, manque d’intérêt, débit ralenti de la parole, fatigue dès le matin, somnolence…Ne croyez pas que ces troubles soient soudains et très évidents, non, ils s’installent sournoisement et peuvent à tort s’identifier, et hélas se soigner, sous des prétextes de déprime ou de vieillissement.” Aline, 60 ans, Castres (33) 29% 22% 12% 12% Plus grande vitalité / énergie Amélioration qualité du sommeil du conjoint Amélioration qualité du sommeil Disparition de la somnolence “Depuis 7 ans que je dors avec cet appareil PPC je revis. Je suis bien moins fatigué, à tel point que je n’éprouve plus le besoin de faire une sieste l’après-midi. Aujourd’hui je ne me sépare plus de mon équipement. Cette machine me suit partout, sans cela je ne peux plus dormir, peut être par peur de faire un arrêt respiratoire plus long et définitif… Ce problème est assez sournois, si vous êtes ronfleur et fatigué, il faut consulter.” Bernard, 62 ans, Saint Priest (69) L’APNÉE DU SOMMEIL, UNE MALADIE MÉCONNUE, UN DIAGNOSTIC QUI SURPREND • Près d’1 personne sur 2 n’avait jamais envisagé souffrir d’apnées du sommeil • 3 personnes sur 4 n’avaient aucun antécédent familial d’apnées du sommeil • 2 personnes sur 3 ont été dépistées alors qu’elles consultaient leur médecin pour un autre motif AVANT LE TRAITEMENT PAR PPC • 95 % ronflaient • 79 % étaient somnolents ou fatigués la journée • 58 % étaient somnolents au volant APRÈS LE TRAITEMENT PAR PPC ■ Les patients interrogés ont pu évaluer le bénéfice de (sur une échelle de 0 à 10, où 0 = aucun bénéfice et 10 = très grand bénéfice) leur traitement • 81 % déclarent un bénéfice significatif (notes comprises entre 6 et 10) • 62 % déclarent un bénéfice très significatif (notes comprises entre 8 et 10) ■ Ce que le traitement par PPC a le plus changé dans la vie des patients : 3% Amélioration qualité de vie 26% 8% SANS LE SAVOIR, CES PATIENTS ENCOURAIENT DES RISQUES POUR LEUR SANTÉ • 66 % étaient en surpoids ou obèses • 43 % souffraient d’hypertension • 15 % ont subi un accident cardiovasculaire • 22 % des femmes étaient en dépression AINSI QUE DES RISQUES D’ACCIDENTS LIÉS À LA SOMNOLENCE • 1 sur 2 rapporte avoir été somnolent au volant • 1 sur 10 rapporte avoir eu un accident de la route “Je me plaignais de bien des petites misères : oublis, manque d’intérêt, débit ralenti de la parole, fatigue dès le matin, somnolence…Ne croyez pas que ces troubles soient soudains et très évidents, non, ils s’installent sournoisement et peuvent à tort s’identifier, et hélas se soigner, sous des prétextes de déprime ou de vieillissement.” Aline, 60 ans, Castres (33) 29% 22% 12% 12% Plus grande vitalité / énergie Amélioration qualité du sommeil du conjoint Amélioration qualité du sommeil Disparition de la somnolence “Depuis 7 ans que je dors avec cet appareil PPC je revis. Je suis bien moins fatigué, à tel point que je n’éprouve plus le besoin de faire une sieste l’après-midi. Aujourd’hui je ne me sépare plus de mon équipement. Cette machine me suit partout, sans cela je ne peux plus dormir, peut être par peur de faire un arrêt respiratoire plus long et définitif… Ce problème est assez sournois, si vous êtes ronfleur et fatigué, il faut consulter.” Bernard, 62 ans, Saint Priest (69) LE POINT DE VUE DES EXPERTS DU SOMMEIL étude clinique récente(1) a montré que la PPC améliore significativement la qualité de vie des patients apnéiques et de leurs conjoints. On observe après 4 semaines de traitement : • diminution de la somnolence diurne • augmentation de l’énergie et de la vitalité • amélioration de la sociabilité • amélioration de l’équilibre psychologique et émotionnel ■ Une UNE ENQUÊTE DONNE LA PAROLE AUX PATIENTS APNÉIQUES* : (1) Siccoli M.M., Sleep 2008;31 (11):1551-1558 une qualité de vie retrouvée grâce au traitement par PPC étude clinique réalisée au CHU d’Angers montre que la PPC est bien acceptée au long cours notamment chez les patients présentant des apnées sévères(2) • probabilité de poursuivre le traitement de plus de 80 % à 10 ans • observance journalière très satisfaisante ■ Une Enquête menée auprès de 350 patients traités par PPC. Pour en savoir plus sur l’apnée du sommeil www.syndrome-apnee-sommeil.fr La FFAAIR - Fédération Française des Associations et Amicales des malades Insuffisants ou handicapés Respiratoires - regroupe plus de 40 associations de patients. La maison du poumon, 66 bouldevard Saint Michel - 75006 Paris - Tél: 01 55 42 50 40 - www.ffaair.org ResMed conçoit, fabrique et commercialise des solutions pour le dépistage, le diagnostic, le traitement et le suivi des Troubles Respiratoires du Sommeil, et d’autres pathologies respiratoires traitées par Ventilation. ResMed SAS - Parc technologique de Lyon - 292, allée Jacques Monod - 69791 Saint Priest Cedex. Tél. 04 26 100 200 www.resmed.com *Enquête FFAAIR auprès de 350 patients interrogés d’octobre à décembre 2008 (2) Bizieux-Thaminy A, Gagnadoux F : Acceptation à long terme du traitement par pression positive continue. Rev Mal Respir 2005 ; 22 : 951-7 avec le soutien de