Untitled Compter une trentaine de pages publiées - Roche
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Pour les USA Bien documenté [PDF] Untitled Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Version HTML L'histoire de l'immigration aux États-Unis. Hasia Diner ...... Americas%20Newcomers.pdf. Center for Immigration Studies. Immigrants in the ... ars-paris.state.gov/pdf/wwwfso20.pdf – Compter une trentaine de pages publiées par l’Etat américain Autre article long [PDF] Les politiques d'immigration aux Etats-Unis : Vue générale et ... Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Afficher L'histoire de l'immigration aux Etats-Unis est faite de tentatives de contrôle de l'immigration légale et illégale. La législation passée par la nouvelle ... www.robert-schuman.eu/pdf.qe.php?num=sy-53 - Pages similaires Deux gros articles sur internet 1) URL horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/.../010014370.pdf 2) sud du pays vers les zones bordant la frontière entre les États-Unis et le Mexique. 50 . De nombreux travailleurs mexicains ont suivi la migration des ... URL www.cei.ulaval.ca/.../CEI_20VD_20Immigration_20mars_202006_1_.pdf • [PDF] ELLIS ISLAND Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Afficher L'histoire de l'immigration aux Etats-Unis est retracée par le biais de documents variés, en langue anglaise, de la période coloniale à nos jours. ... www.histoire-immigration.fr/.../ext_media_fichier_349_biblio_ellis_forme.pdf - Pages similaires • [PDF] Histoire de l'immigration aux États-unis, un bref état de la question Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Afficher Les chantiers de l'histoire. 15. Décrire l'évolution de l'historiographie de l'immigration aux États-Unis c'est en partie revoir l'histoire du peuplement de ... labo.hommes-et-migrations.fr/.../dossier_1255_15_18.pdf - Pages similaires http://www.blogeurope.net/question_europe.php?num=sy-53 Complements_geo Comprendre la crise déclanchée en 2008, un document pdf de 42 pages ... Ellis Island, histoire de l'immigration aux Etats-Unis : Tous pagesperso-orange.fr/.../Term_complementsGeo.html - En cache les sites sont en ... L'hymne américain version latino pour soutenir les immigrés clandestins LE MONDE | 29.04.06 | 15h45 • Mis à jour le 29.04.06 | 15h45 WASHINGTON CORRESPONDANTE A une époque de patriotisme chatouilleux, il n'est pas sûr que c'était une bonne idée. Le producteur de chansons Adam Kidron, lui-même d'origine britannique, croyait bien faire en réunissant une palette de musiciens latinos pour leur faire enregistrer un disque en signe de solidarité avec les 11 millions de clandestins qui réclament un statut aux Etats-Unis. Titre de l'album : Somos americanos (Nous sommes américains). Parmi les artistes, des vedettes comme Gloria Trevi, Don Omar, ou la star du hip hop, Armando Perez, plus connu sous le nom de Pitbull. Une partie de la recette devait être versée à la Coalition nationale pour l'immigration, à Washington. Le producteur ne se doutait pas qu'une des chansons allait susciter pareille controverse : la version hispanique de l'hymne américain, le Star Spangled Banner, rebaptisé Nuestro himno (notre hymne) pour la circonstance. Le président Bush, qui tenait, vendredi 28 avril, une conférence de presse sur l'Iran et l'exceptionnel taux de croissance de l'économie au premier trimestre (4,8 %), a été obligé de donner son point de vue. "L'hymne national devrait être chanté en anglais, a-t-il tranché. Les gens qui veulent devenir citoyens de ce pays doivent apprendre l'anglais." Ce Parmi les artistes, des vedettes comme Gloria Trevi, Don Omar, ou la star du hip hop, Armando Perez, plus connu sous le nom de Pitbull. Une partie de la recette devait être versée à la Coalition nationale pour l'immigration, à Washington. Le producteur ne se doutait pas qu'une des chansons allait susciter pareille controverse : la version hispanique de l'hymne américain, le Star Spangled Banner, rebaptisé Nuestro himno (notre hymne) pour la circonstance. Le président Bush, qui tenait, vendredi 28 avril, une conférence de presse sur l'Iran et l'exceptionnel taux de croissance de l'économie au premier trimestre (4,8 %), a été obligé de donner son point de vue. "L'hymne national devrait être chanté en anglais, a-t-il tranché. Les gens qui veulent devenir citoyens de ce pays doivent apprendre l'anglais." Ce n'est pas la première fois que l'hymne fait l'objet d'un détournement. En 1969, pendant la guerre du Vietnam, Jimmy Hendrix avait livré une version à la guitare électrique. Mais c'est la première fois que les paroles sont traduites dans une langue étrangère. Tous les médias ont publié le texte en espagnol, en le comparant avec la version de 1931. Les critiques ont fusé. "Nous ne sommes pas un pays bilingue", ont réagi les auditeurs à la radio. "Pourquoi pas en swahili" ? Ou encore : "Est-ce que les Français accepteraient que la Marseillaise soit chantée en anglais ?" La controverse sur l'hymne est intervenue alors que le pays se prépare, avec une certaine nervosité, à sa première "Journée sans Latinos", lundi 1er mai. Après deux journées de mobilisation dans la rue, les immigrants entendent montrer leur poids économique, aussi bien en tant que producteurs que consommateurs. Ils ont l'intention de ne pas travailler, de ne pas consommer et de ne pas envoyer les enfants à l'école. Sur la côte Ouest, le soutien est général. Le Sénat de Californie a même adopté une motion de soutien au mouvement. Sur la côte Est, les Latinos sont plus prudents. Après les manifestations de mars, plusieurs dizaines de travailleurs ont été licenciés pour avoir participé à la "protesta" (protestation). Corine Lesnes Article paru dans l'édition du 02.05.06n'est pas la première fois que l'hymne fait l'objet d'un détournement. En 1969, pendant la guerre du Vietnam, Jimmy Hendrix avait livré une version à la guitare électrique. Mais c'est la première fois que les paroles sont traduites dans une langue étrangère. Tous les médias ont publié le texte en espagnol, en le comparant avec la version de 1931. Les critiques ont fusé. "Nous ne sommes pas un pays bilingue", ont réagi les auditeurs à la radio. "Pourquoi pas en swahili" ? Ou encore : "Est-ce que les Français accepteraient que la Marseillaise soit chantée en anglais ?" La controverse sur l'hymne est intervenue alors que le pays se prépare, avec une certaine nervosité, à sa première "Journée sans Latinos", lundi 1er mai. Après deux journées de mobilisation dans la rue, les immigrants entendent montrer leur poids économique, aussi bien en tant que producteurs que consommateurs. Ils ont l'intention de ne pas travailler, de ne pas consommer et de ne pas envoyer les enfants à l'école. Sur la côte Ouest, le soutien est général. Le Sénat de Californie a même adopté une motion de soutien au mouvement. Sur la côte Est, les Latinos sont plus prudents. Après les manifestations de mars, plusieurs dizaines de travailleurs ont été licenciés pour avoir participé à la "protesta" (protestation). Corine Lesnes Article paru dans l'édition du 02.05.06 Je suis une étudiante d'échange en Suisse, mais je suis Latino-Américaine et je fais mes études aux Etats-Unis. Pour moi, c'était intéressant de lire l'éditorial «L'Amérique globophobe» et l'article «L'Amérique a peur de devenir latino» (Le Temps du 7 avril). Bien que j'habite aux Etats-Unis, je n'ai jamais trouvé un article qui décrit le problème de l'immigration de cette façon. Ces articles m'ont attristée au début. J'étais déçue de lire de telles choses négatives sur le pays où j'habite. Mais après brève réflexion, j'ai réalisé que c'était vrai. Seulement, aux EtatsUnis, en plus d'une ligne socio-économique, il existe aussi une ligne raciale. Notons que ce problème n'est pas seulement observé aux Etats-Unis, l'Europe elle aussi fait face à de grands flux migratoires. Vous parlez de la ligne qui divise les pauvres du Mexique des riches des Etats-Unis, mais il y a aussi une ligne divisant la prospérité de l'Europe de l'Ouest de l'Europe de l'Est. Malheureusement, les Etats-Unis - pas l'Amérique parce que l'Amérique, c'est le continent (du Canada jusqu'en Argentine en incluant les Caraïbes) - sont un pays où beaucoup d'habitants ont oublié qu'eux aussi ou leurs ascendants ont été des immigrés. Il y a eu des manifestations dans plusieurs villes pour montrer un soutien aux immigrés. Donc il y a encore de l'espoir. Sulianet Ortiz, Lausanne Jeudi 13 avril 2006 Rubrique: Courrier des lecteurs © Le Temps, 2006. Droits de reproduction et de diffusion réservés. Acheter les droits de reproduction de cet article. http://www.7sur7.be/hln/cch/det/art_200175.html? wt.bron=homeArt7 Les USA pourraient se réveiller sans immigrés latinos le 1er mai Le 1er mai, jour non férié aux Etats-Unis, risque cette année de ne pas ressembler aux précédents. Les organisations de défense des immigrés ont décidé d'organiser "un jour sans immigrés" avec des rassemblements prévus dans tout le pays. Grève générale Les immigrés d'origine hispanique qui représentent la majorité des immigrés aux Etats-Unis, sont appelés à ne pas aller travailler, à ne rien consommer, à ne pas aller à l'école et à rejoindre les manifestations. Des acteurs américains d'origine hispanique comme Edwards James Olmos, Salma Hayek ou John Leguizamo ont apporté leur soutien aux appels à la grève et au boycott. Cet appel a pour but de démontrer le poids économique des Latinos dans l'économie américaine. Législation Cette initiative intervient après le succès des manifestations des 9 et 10 avril qui ont rassemblé des milliers de personnes alors que le débat sur l'immigration fait rage. Les organisations de défense des immigrés souhaitent faire pression sur le Sénat pour obtenir une réforme juste et humaine de la législation sur les immigrés. Mais les organisations les plus modérées craignent que les grèves entraînent des licenciements et que le boycott des produits américains n'aient un impact négatif et renforce la détermination des législateurs qui souhaitent durcir les lois sur l'immigration. D'autres estiment au contraire que c'est la seule solution pour empêcher l'approbation d'une loi qui criminalise les clandestins. Esclaves "Le peuple américain respecte ceux qui luttent, pas ceux qui baissent la tête. Les Latinos des Etats-Unis disent: Ca suffit! Nous ne serons pas des esclaves", affirme ainsi Juan José Gutierrez, responsable du Mouvement Latino USA de Los Angeles, une des organisations en pointe du mouvement. "Nous ne pouvons pas nous contenter de marcher pour nous faire entendre", a-t-il ajouté en faisant référence aux manifestations du début avril. Réforme Si les défilés ont galvanisé les électeurs hispano-américains qui représentent plus de 8% de l'électorat, ils ont aussi stimulé les partisans de mesures contre l'immigration clandestine. Il y aurait entre 11 et 12 millions d'immigrés clandestins aux Etats-Unis. M. Bush a réuni cette semaine les responsables des sénateurs de sa majorité et de l'opposition démocrate pour discuter de cette réforme. Le président plaide pour une réforme "globale" associant sécurisation des frontières et programme de "travailleurs invités". M. Bush a également signalé qu'il souhaitait une possibilité de régularisation pour une partie des clandestins, soulignant qu'il serait irréaliste de tenter de tous les expulser. Criminalisation Un compromis laborieusement négocié entre républicains et démocrates, mais critiqué par la frange la plus conservatrice de la majorité craignant qu'il ouvre la voie à une "amnistie" des clandestins, est bloqué au Sénat depuis le 7 avril. En décembre, la chambre des représentants a adopté un projet coercitif criminalisant le séjour clandestin et prévoyant la construction d'un mur de plus de 1.000 km à la frontière mexicaine. Les Hispaniques représentent la première minorité aux Etats-Unis, avec 40 millions de personnes. http://www.indymedia.org/fr/2006/04/837393.shtml La mobilisation continu contre la loi antiimmigration au USA Ajor 14 Apr 2006 12:02 GMT (traduit par Ajor) Suite aux énormes manifestations du 25 mars et aux grèves d’étudiants pendant la semaine suivante, le 10 avril a été marqué par une journée d’action historique de la part des immigrés sur tout le territoire américain.Des dizaines de milliers de personnes sont descendus dans les rues de Los Angeles ( 1 | 2 ) et de Santa Ana. 5000 personnes ont marché dans les rues de Saint Louis. Les 10000 manifestants de la ville de Fresno ont créé la plus grande mobilisation jamais réalisé dans cette ville. De la même manière, San Diego a réalisé quelque chose d’historique grâce à une mobilisation de 100.000 personnes le 9 avril. Des manifestation ont eu lieu aussi à Bay Area, Tennessee, Rochester et Washington. A Portland, 8000 personnes ont remplis les rues, alors que des milliers se rassemblaient dans Love Park à Philadelphie. De grands rassemblement ont eu lieu aussi à Pittsburg, à Flagstaff dans l’Arizona. Les plus grands rassemblement ont eu lieu du côté de New York City et Boston. Au Texas, Houston Indymedia a pu aider fortement les mobilisations. A Porto Rico, des centaines de manifestants sont descendus dans les quartiers de Barrio Obrero. Toutes ces histories ne sont que quelques exemples de ce qui s’est passé le 10 avril à travers le pays, si vous désirez en savoir plus, conectes vous aux sites d’indymedia locaux. Le Congrès a été forcé de mettre en attente la loi anti-immigration. Le Congrès est en ce moment sous presión des demandes du mouvement populaire, c’est à dire un retrait complet de cette loi ainsi qu’une amnistie pour tous les immigrants. Cependant le congrès refuse pour l’instant toutes discussions, les protestations vont donc grandissantes, des actions de grandes envergures sont prévues pendant les prochaines semaines: une journée d’action nationale des étudiants le 15 avril. Ensuite le 1er mai devrait creer un événement historique dans l’histoire américaine avec un appel à la grève genérale, à la fermeture des magasins, a des actions contre les centres financiers et les centres de détentions anti-immigration. http://archquo.nouvelobs.com/cgi/articles?ad=etranger/20060416.OBS4132.html&host=http:/ /permanent.nouvelobs.com/ USA : défilé de soutien aux clandestins Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Los Angeles pour réclamer la légalisation des clandestins. Conduites par la famille d'un adolescent qui s'est suicidé le 30 mars, plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi 15 avril à Los Angeles pour réclamer la légalisation des clandestins. Les proches d'Anthony Soltero, 14 ans, ouvraient la marche qui s'est achevée par un rassemblement devant la mairie de la ville. Ils portaient des pancartes avec sa photo sur lesquelles on pouvait lire "Continuer la lutte au nom d'Anthony". "Nous le soutenons et nous voulons la justice pour notre fils", a expliqué sa mère, Louise Corales, 32 ans, de l'Ontario. Une lettre L'adolescent s'est tué d'une balle dans la tête à son domicile le 30 mars. Selon les avocats de la famille, il avait laissé une lettre dans laquelle il se disait peiné après que le vice-principal de son collège l'ait menacé contre des sanctions pour avoir manqué les cours le jour d'un rassemblement pour les droits des immigrés clandestins. Les défenseurs de l'immigration ont décrit Soltero comme une victime de leur campagne. Les autorités académiques ont contesté les accusations selon lesquelles il aurait été menacé et le fait même qu'il aurait participé à un rassemblement ce jour-là. Selon la police, environ 3.000 personnes, nombre d'entre elles accompagnées d'enfants, se sont rassemblés devant la mairie, soit bien moins que les manifestations de ces dernières semaines qui ont réuni des centaines de milliers de militants. Ils réclament l'adoption d'une réforme sur l'immigration afin de légaliser le statut de 11 millions de clandestins. L'immigration au coeur du sommet USAMexique-Canada à Cancun THX107-0330061509 CANCUN, Mexique (AP) -- Le président américain George W. Bush s'est redit favorable vendredi à la délivrance de permis de travail temporaires pour les immigrés aux Etats-Unis lors du sommet Etats-Unis-Mexique-Canada à Cancun. A l'issue de la rencontre, les trois chefs d'Etat et de gouvernement se sont félicité des relations économiques qui unissent leurs pays, malgré les différends qui demeurent entre eux, notamment sur les questions d'immigration et de politique tarifaire. Le locataire de la Maison Blanche, le président mexicain Vicente Fox et le Premier ministre canadien Stephen Harper se sont entretenus pendant une heure vendredi. Un projet de loi républicain sur l'immigration qui divise le Capitole a été le thème central des discussions entre MM. Bush et Fox. Le texte prévoit de créer un programme permettant aux clandestins, dont environ six millions sont originaires du Mexique, de travailler temporairement aux Etats-Unis dans des emplois souspayés. Le texte est examiné cette semaine par les sénateurs. La version approuvée fin 2005 par la Chambre des représentants adoptait une approche beaucoup plus répressive, avec la construction de nouvelles clôtures le long de la frontière et des amendes plus lourdes pour les contrevenants. Elle n'introduisait pas ce programme que George W. Bush souhaite voir adopté. "J'ai dit au président (Vicente Fox, NDLR) que j'étais déterminé à obtenir un projet de loi complet sur mon bureau", a déclaré le président américain lors d'une conférence de presse. "Et par complet, je veux non seulement dire une loi comprenant la question de la sécurité aux frontières, (...) mais également un texte incluant un programme de permis de travail". Malgré les déclarations finales de M. Bush, M. Fox et M. Harper, qui ont insisté sur la qualité de leurs discussions, certains différends demeuraient. La bonne entente entre MM. Fox et Bush sur l'immigration est atténuée par le débat houleux sur le sujet à Washington, ainsi que les demandes répétées des Etats-Unis aux autorités mexicaines de mieux surveiller leur frontière. Par ailleurs, le différend qui oppose les Etats-Unis et le Canada au sujet des tarifs sur le bois canadien n'a même pas été soulevé vendredi, alors que l'exigence des Etats-Unis envers tous les voyageurs canadiens et mexicains de présenter une pièce d'identité patentée à la frontière américaine à partir de 2007 faisait toujours l'objet d'inquiétudes. "Le Congrès a promulgué une loi et j'entends appliquer cette loi", s'est défendu M. Bush, tout en rajoutant que "cela peut être fait d'une manière qui rendra les voyages futurs, les relations futures plus forts, pas plus faibles". AP