Le paysage bluffant de la journée. (Noellie Montalat et Marion Caillot)
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Le paysage bluffant de la journée. (Noellie Montalat et Marion Caillot)
Le paysage bluffant de la journée. (Noellie Montalat et Marion Caillot) A la frontière du Portugal. Au sommet de la route de montagne qui monte en lacets : un Castro. Depuis ces vieilles pierres alignées, on embrasse tout le paysage : panoramique géant à 180°. En contrebas, le fleuve qui sépare le Portugal de l’Espagne d’un côté, l’Atlantique de l’autre jusqu’à l’horizon. Très loin, tout en bas, la frange blanche de l’écume sur les rochers. De l’autre côté les reflets des nuages sur la largeur du fleuve entre les bancs de sable. En face, au milieu des cultures et des forêts d’eucalyptus, les villages blancs et rouges dispersés. Portugal y España son paίses muy bonitos. La découverte du jour. (Par Alexandre Subirats) Museo Castro (sobre el pueblo galaico antes y después de la invasiόn romana) presenta piezas de estas épocas. El museo se sitύa en lo alto y está cerca del castro. Los habitantes de este castro comerciaban con los fenicios porque Galicia era en efecto muy rica en metales como cobre y estaño que permtίan fabricar bronce. Los Gallegos trocaban metales por perlas ya que no conocίan el vidrio. Test comparatif : le guide extérieur versus le guide intérieur. (Mélissa Boj) Et c’est parti pour deux heures de marche, de découverte. Le paysage était magnifique, vue sur la mer, sur le Portugal, et de plus près le site historique : Castro de la Tegra. Pour cette visite, nous avons eu droit à une guide. Mais très vite le calvaire, qui s’est transformé en chemin de croix, bref l’enfer! Elle ne parlait qu’aux espagnols et très très vite. Heureusement que Madame Parra était là pour nous traduire le plus important. Même les profs et les élèves espagnols se rendaient compte qu’elle ne s’occupait pas de nous malgré leur demande. Visite enfin terminée, ultime étape de ce calvaire : le musée archéologique. Désespoir absolu en voyant un guide! Mais nous nous sommes rendus compte qu’il aimait son travail. Il parlait quelques mots de français, lentement, souriait tout le temps et nous attendait. La visite du musée a duré moins longtemps. Mais c’était bien. Nous étions sauvés! L’incident du jour. (Par Eva Orloff et Chloé Dervin) Nous sommes allés visiter « un castro ». C’est un petit village préromain où les maisons, du moins ce qui en reste, sont de forme circulaire ou rectangulaire. Le groupe est rentré sur le site pour prendre des photos. Chloé, comme toujours très dégourdie, s’est « entravée » sur une pierre. Résultat : une douleur persistante lui a pris le pied. Et cette Chlo-éclopée a été aidée et portée par d’héroïques camarades et « l’homme du jour », toute la journée. La Pinta : un équipage très sonore. (Par William Ruiz) Nous venons d’arriver au port de Baiona. Là se dresse devant nous un grand bateau qui s’appelle la Pinta. La Pinta est une réplique de la caravelle de Cristόbal Colόn de retour d’Amérique. Nous sommes tous allés visiter ce bateau qui était immense. On a aussi pris une photo de groupe qui est d’ailleurs très belle. J-R avec sa guitare a commencé à jouer un morceau, mais bien sûr, tu sais bien, « l’homme du jour » a sorti de sa sacoche deux œufs (était-ce les œufs de Colomb ?) avec du sable dedans, comme des maracas en fait, il a accompagné J-R puis il a commencé à chanter. Tout en accompagnant J-R, il a pris les commandes de la chorale improvisée dans la cale. Et les uns après les autres, les français et les espagnols, alternativement en écho puis ensemble, de plus en plus fort ont répondu al Capitán. C’était magnifique! Ce fut une journée sonore et mouvementée. L’homme du jour et ses faits d’arme. (Natasha Taal et Tiffany Gil) Après que Chloé l’éclopée a voulu jouer les supergirls, en sautant d’une muraille et s’est foulée la cheville, devinez qui s’est porté volontaire pour jouer le superman? Eh bien, c’est … SUPER EUSEBE!! Il l’a placée sur son dos comme un guerrier Gaélique. On aurait dit qu’il portait un sac de patates!! C’était très impressionnant et courageux de sa part. Interview de l’éclopée. (Chloé Dervin par Lise Laporta) - Que t‘est-il arrivé ? - Je suis partie à la conquête du monde et j’ai malencontreusement trébuché sur un rocher [Rires!!!] - Et alors, c’est tout? - J’ai mal au pied, mais je ne sais pas ce que j’ai exactement! Je verrai sûrement un médecin avant la fin de la semaine. - Et tu es restée toute seule ? - Mais non! Madame Parra est intervenue avec bandage et pommade, une commerçante m’a gentiment interpelée pour me proposer une autre pommade, et enfin Monsieur Eusèbe m’a mis de la glace et a refait mon bandage. La classe toujours solidaire m’a aidée, portée, supportée, attendue. Monsieur Eusèbe va sûrement souffrir d’un lumbago. [Rires] - Comment envisages-tu le reste de ton séjour ? - Bien, car Romain m’a prêté ses béquilles. [Sourires]