Assemblée générale de SUD Ce travail qui fait mal

Transcription

Assemblée générale de SUD Ce travail qui fait mal
Fédération syndicale
Service public
Solidaires - Unitaires – Démocratiques
Pl. Chauderon 5 – 1003 Lausanne – Tél. 021 351 22 50 – [email protected]
Aux organisations fédérées à SUD
et par elles à leurs membres
et aux membres individuel.le.s de SUD
Lausanne, le 17 août 2012
Cher-e-s amis-es/collègues/camarades,
Nous vous prions d’abord de nous excuser pour le report de l’assemblée initialement prévue le 30 mai
dernier. Nous avons aujourd’hui le grand plaisir de vous convier à l’
Assemblée générale de SUD
le mercredi 19 septembre 2012 à 18 heures
à la Maison du Peuple, salle Jean-Villard Gilles, à Lausanne
Partie statutaire
1.
2.
3.
4.
Ordre du jour proposé:
Rapport du Secrétariat fédéral sur l’activité de SUD
Présentation et vote des comptes, pistes budgétaires
Election du Secrétariat fédéral
Divers
Conférence-débat dès 19 h 30
Ce travail qui fait mal
Conférence publique de Danièle Linhart, sociologue du travail
(voir au dos)
Nous vous présentons, chers-es amis-es/collègues/camarades, nos salutations syndicalistes et cordiales.
Au 19 septembre !
Secrétariat fédéral de SUD
La Fédération syndicale SUD invite Danièle Linhart, sociologue du travail, à nous exposer son analyse du
management moderne et de ses instruments: cahier des charges, entretien d’évaluation, suivis et contrôles
permanents, précarisation subjective, fragilisation des travailleurs/euses.
Nous aurons ainsi l’occasion de mieux comprendre les éléments déjà en place et en mutation sur nos lieux
de travail, de mieux cerner le pouvoir et le commandement du travail, ses conséquences sur notre vie,
notre travail et notre santé.
Une occasion précieuse de se donner quelques clés de compréhension de la politique du personnel et des
stratégies nouvelles de nos hiérarchies. Une occasion de débattre des moyens de lutter pour la défense de
nos conditions de vie, de travail et de santé.
Son dernier livre :
Changer le monde du travail, accorder à chacun davantage d'autonomie, de reconnaissance matérielle et symbolique, voilà qui semble faire l'unanimité. Pourtant, comme le montrent les enquêtes sociologiques, la "modernisation du travail" ne va pas dans ce sens: sentiment d'abandon, d'isolement, de précarité, peur de ne pas y arriver, méfiance à l'égard des autres, tout concourt en réalité à dénaturer le travail. La société tout entière en est affectée. Symbole de cette modernisation en mauvaise passe, le chassé‐croisé entre secteur public et privé: le management s'acharne, sans y parvenir, à importer au sein des entreprises privées le sens de l'engagement et la loyauté des agents du service public, alors que celui‐ci subit une attaque en règle de ces mêmes valeurs sous les coups de boutoir de la logique gestionnaire. C'est à l'analyse du devenir tourmenté du travail dans notre société que se risque ce livre. (Présentation de l’éditeur) 

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