Histoire de l`ART I

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Histoire de l`ART I
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:
MART 1
2008/2009
Histoire de l’ART I
1.1. Le maquillage RITUEL dans les sociétés tribales, au Japon et
dans l’Antiquité
MARQUAGES DU CORPS ET PEINTURE TEGUMANTAIRE DANS LES SOCIETES TRIBALES
De tout temps une sorte de nécessité a poussé l’être humain à modifier son aspect extérieur,
car l’image qu’il souhaitait offrir définissait son comportement.
D’autres facteurs sont le besoin de protection, la précaution, la consécration à un dieu
et l’identification par rapport à une entité supérieure: scarifications, tatouages,
peintures tégumentaires, enduits, inclusions sous-cutanées etc.
Parfois ces techniques deviennent les motivations d’une épreuve, qui, si elle est supportée
sans plainte, procure reconnaissance et prestige à son destinataire. Le plus souvent les
marques indiquent désir de se fondre dans un ensemble de personnes.
Les scarifications :Les hommes et femmes de nombreuses régions d’Afrique exposent avec
fierté des scarifications sur le visage et corps. Elles indiquent appartenance à un clan. Elles
varient pour donner précisions sur l’individu à la manière de celle qui figurent sur une
carte d’identité. Elles peuvent fournir nombre de renseignements.
FEMME NOUBA DE KAU, 1975. Le dos et le cou à la surface rendue granuleuse par des
scarifications à inclusions. Les inclusions qui sont effectuées avant cicatrisation de
chaque plaie, consistent en des fragments minéraux ou métalliques insérés dans le derme.
JEUNE FEMME HEMBA D’ETHIOPIE, 1997. Les lignes de scarifications qui traversent le torse
indiquent appartenance à un peuple de l’Afrique nilotique et son degré d’initiation.
Les enduits, maquillages ou peintures tégumentaires répondent à des volontés de
signaler par la peau un moment précis de l’existence.
Au Gabon, les femmes Myéné se couvrent le visage de kaolin, le pembé, pour conduire les
levés de deuil ; elles portent ainsi la couleur de la mort, le blanc, tout en honorant les
défunts appelés pour une période précise, puis renvoyés dans leur monde. Chez les Fang du
Cameroun et du Gabon, les rituels du bwiti offrent la vision d’initiés au visage enduit de
rouge, mélange végétal qui adhère à la peau pendant plusieurs nuits. Le bwiti signale
l’âpreté du combat avec les esprits et la difficulté du cheminement initiatique qui
fait des humains des possibles victimes sacrificielles.
Mutilations socio-rituelles
Les mutilations imposent au corps une transformation profonde. Elles sont exécutées au
moment des rites de passage en particulier. C’est un travail sur les chairs et les os : modifier
de façon radicale la conscience de l’individu et son comportement. Il s’agit d’effectuer un
transfert difficile : l’abandon de l’aspect premier et certaines parties du corps
constitueraient une sorte de prix à payer pour accéder à un état supérieur, mais aussi
une preuve de l’appartenance à un nouveau statut partagé par la majorité des membres
du groupe
Substitutions sexuelles
Indiquent une volonté de séparation : incrustation d’objets de bois ou d’argile, appelés
labrets, sur la lèvre inférieure des femmes africaines du Sud de l’Ethiopie et du Soudan, les
porteuses de plateau
La lèvre est équivalent du phallus : trouée donc féminisée. Chez les femme Dayak,
Bornéo, lobes d’oreilles démesurément distendus pendent jusqu’à la poitrine, lestés de
lourds anneaux de cuivre.
Elles signalent de manière ostensible le sexe de l’individu : en A le sexe se choisit par
un acte délibéré. Percer lèvre ou oreille signifie détruire symboliquement la part mâle
du corps, équivaut à une excision, donc une conquête du sexe féminin.
Têtes pointus des nobles
Ce sont les crânes allongés des dignitaires de l’Egypte pharaonique, de certains ritualistes
indiens de l’Amérique centrale, des femme nobles Mangbetu d’Afrique.
Elles sont des signes de distinction liés à la hiérarchie et à l’activité rituelle. L’usage
millénaire de cette déformation renverrait au souvenir des naissances extraordinaires :
extraction du nouveau-né d’une épaule, du crâne, d’une cuisse etc.
MANGBETU DU CONGO, photo Casimir Zangourski
Fillettes portent planchettes serrées autour de la partie arrière de la tête dès très jeune
âge.
A la puberté, elles sont pourvues d’une capsule crânienne oblongue, continuent
traitement mutilant et augmentent effet visuel par coiffure qui prolonge déformation. Elles
sont considérées comme des beautés, f acquièrent pouvoir : celui d’une sorte de
divinisation pour avoir osé de créer leur propre corps
FEMME DOUBLE LABRET SUD D’ETHIOPIE, photo Michel Huet, 1968
Certaines femmes portent des volumineux double labrets. Pour parler et se nourrir, elles
sont obligées de soutenir les plateaux. Le long processus d’élargissement des lèvres
commence au moment de l’enfance : on introduit des objets de plus en plus grands.
Le maquillage codé au Japon
Le shintoïsme a érigé le blanc en symbole de pureté. Le maquillage traditionnel japonais
est le maquillage blanc : shiro nuri = « appliquer le blanc ». C’est un maquillage sec : une
poudre blanche, compactée dans des pots ou dans des bâtons. On le gratte et on le mélange
avec de l’eau ; on l’applique sur le visage qui a été préalablement préparé avec une base, le
bintsuké : se présente sous forme d’un bâton, d’un parallélépipède d’un blanc-jaune
translucide ; ressemble à de l’albâtre et est composé d’un mélange de cire et d’huiles
essentielles. À l’origine, c’est une pâte destinée à former les coques des coiffures des
femmes : assez collant permet de maintenir un mouvement ou une forme qu’on a imprimés
aux cheveux
Au Japon, l’art est toujours codifié :
Le blanc : Il faut l’appliquer vite, par couches successives, produit très sec et très volatile avec
l’eau ; à la fin pinceau de 12 à 13 cm pour estomper la couleur et fondre dans la peau
L’application commence par la nuque, qui a aussi un dessin codifié : est mise en valeur par
un dessin constitué d’un triangle central maquillé en blanc et de 2 triangles de peau nue.
C’est la région du corps considérée comme zone érotique chez la femme, la seule à rester
visible sous le port du kimono.
Le rose (bâtonnet compact mat et sec, dilué dans de l’eau, sous les paupières et le haut des
joues. Il confère au teint la nuance « fleur de cérisier »
Le poudrage: C’est un mélange de talc et de produits diff., compactés. Avant on utilisait
poudre de riz, qui n’existe plus, composée d’amidon de riz ou de mil (7e siècle) ou des
produits toxiques : la céruse ou le calomel (chlorure de mercure), à l’époque de Heian.
Les couleurs du maquillage Geisha sont limité à 3 : rouge, blanc, noir : fort symbolisme :
Le blanc, signifie partout : image de la pureté, de l’éloignement de la souillure, de la
maladie et de la mort.
Le noir : satanique, maudit, couleur du deuil. Au Japon : le noir est la couleur belle par
excellence, celle de la séduction
A l’époque protohistorique on se noircissait les dents, les lèvres. Il s’agit d’un vestige des
coutumes chamaniques, venues d’Indonésie : fait ressortir blanc du visage
Au Japon, le maquillage à des vertus de protection de la peau, des vertus de séduction,
mais il porte en lui une fonction de symbole et de codification.
La bouche est toujours diminuée. Les lèvres sont dessinées plus petites par le rouge à
lèvres. Il se trouve en dépôt séché dans petit bol ; réhumecté à chaque utilisation, appliqué
avec un pinceau spécif. : aspect irisé, rouge profond très pigmenté. Il est obtenue par une
fleur de rouge : connu en Egypte, Inde , Chine, puis 7e s. Japon : la carthamine, tiré du
cartham, sorte de safran à fleurs jaunes.
L’image du visage, plus idéale que réelle, plus graphique que colorée, est stylisée à
l’extrême, comme l’écriture. L’absence de dents lave de toute expression agressive,
à l’image des philos bouddhistes.
LE MAQUILLAGE ÉGYPTIEN
Dans l'Antiquité, femmes et hommes faisaient grand usage des cosmétiques. Le mot
Cosmétique » contient le mot « cosmos ». Il s’agit d’un ordonnancement, d’un ordre,
d’une mesure de l’univers, d’une harmonie. Ainsi la cosmétique qui donne son harmonie
au visage serait à l’image de l’harmonie du cosmos.
En Egypte, ce recours aux cosmétiques était avant tout une nécessité pour protéger la
peau et les yeux de l'air chaud et sec et des vents de sable. Les produits pour les
yeux protégeaient ceux-ci des irritations et des infections, tout en les maquillant dans des
coloris verts, noirs ou bleus, obtenus avec des pigments tirés de minerais (fer, chrome et
plomb), mélangés à des corps gras.
L'Egypte antique se distingue par l'usage important de fards à paupières. Ceux-ci,
retrouvés dans des tombes [3000 ans av. JC], jouaient d'une part un rôle médical pour
protéger les yeux et les paupières des poussières ainsi que du vent, et d'autre part, un rôle
important dans les cérémonies religieuses. Au cours de l'Ancien Empire [2600-2200 av.
JC], l'Age d'Or de la civilisation pharaonique, ces fards existaient essentiellement dans des
tons vert et noir.
Le vert, produit par la malachite (carbonate de cuivre), était la couleur d'Osiris, Dieu de
la terre, de la végétation et de la renaissance. Le noir, symbole d'Horus, Dieu du soleil,
était quant à lui obtenu à partir de galène (le principal minerai de plomb) finement broyée,
parfois mélangée à de la céruse pour donner des dégradés de gris. D'autres couleurs,
comme le jaune et le bleu, également associées aux divinités Egyptiennes, furent utilisées
dans les fards à paupières.
Ils étaient contenus dans des palettes et autres récipients en pierre ou en roseau et appliqués
par les femmes et les hommes sous forme de khôl sur la paupière supérieure, et comme
un eye-liner le long de la paupière inférieure.
Ce sont des véritables produits de synthèse, le fruit de longs processus, spécifiquement
fabriqués pour différentes occasions. Ils se trouvaient parfois dans des véritables coffrets
de maquillage, qui contenaient des miroirs, épingles à cheveux et récipients pleins encore
de produits cosmétiques. Les produits de maquillage étaient essentiellement formulés
avec des composés de plomb.
Une équipe associant le laboratoire de recherche des Musées de France, L’Oréal et le
Synchrotron de Grenoble a étudié une cinquantaine de flacons conservés au Louvre.
Ces produits de synthèse associaient différentes quantités de matières grasses aux
poudres pour leur conférer des textures variables. Sur un bout de roseau étaient inscrits
la marque du produit et sa couleur et son utilisation spécifique. Le département des
Antiquités égyptiennes du Louvre contient plusieurs centaines de flacons à fards en
pierre, en roseau ou en albâtre, dont certains sont encore remplis. Ils étaient placés à côté
du mort dans la tombe et devaient lui servir à se farder pour l’au-delà. Nombre de
flacons datent d’environ 1500 ans avant J.-C., de la grande époque des pharaons,
Aménophis III, Ramsès II, etc.
IMAGES DE RECIPIENTS ET PALETTES A FARD DU MUSEE DU PARFUM DE GRASSE ET DU LOUVRE
Les scientifiques ont essayé de retrouver les formules cosmétiques inventées par les
Égyptiens. Ils ont observé des mélanges complexes de composés de plomb. Les produits
minéraux extraits dans différentes régions en bordure de la mer Rouge.
Quatre composants ont pu être identifiés : la galène, la cérusite, la laurionite et la
phosgénite. [galène : célèbre pour être le principal minéral présent dans les fards noirs de
l’Égypte ancienne ; cérusite : minéral blanc ; laurionite : résidu d’un phénomène
d’altération naturelle par de l’eau de mer de petits déchets métalliques issus des mines]
Textes en hiéroglyphes contemporains de ces flacons prouvent que les Égyptiens yeux. Les
tombeaux contenaient des réserves de maquillage pour l’au-delà et des
« CUILLER A FARD » EN FORME DE JEUNE FILLE NAGEANT, Nouvel Empire, fin de la 18e dynastie,
vers, 1400-1300 av. J.-C.
Couleurs et techniques : Dés début de l’Ancien Empire (2600 à 2200 av. J. C., le
maquillage vert est présent sur la liste des offrandes funéraires : ouadjou = « poudre
verte ». Le maquillage vert semble subsister jusqu’à la 4e Dynastie puis disparaît au profit du
noir. À l’Epoque de Cheops, le fard noir (galène), décrit par le terme mesdemet aurait
comme origine l’expression « rendre les yeux parlants, expressifs ». L’œil noir
prolongé d’une « goutte » est présent sur de nombreux sarcophages [ex. l’œil du dieu
Horus, symbole d’intégrité].
Nombreux maquillages observés dans statuaire et peinture, dès la 4 e dynastie. La princesse
Néfertiabet, p. ex. se maquillait les yeux d’un trait noir allongé vers la tempe et le nez.
[STELE DE NEFERTIABET, Louvre] Les formes varient selon le style artistique de chaque époque,
les coiffures également.
Durant la 18 e dynastie, le trait cosmétique évolue. On en a pour preuve les maquillages
de Senefer, chef du bureau du roi et de son épouse, ou d’Aménophis III. Les premiers
présentent un fin trait noir autour de l’œil prolongé par un large bandeau parallèle à
la ligne des sourcils, noir profond pour elle, bleu-gris pour lui. Par contre, chez le roi
Aménophis, l’œil est parfois cerclé d’un large trait noir, sans être prolongé de part et
d’autre.
Si les maquillages verts et noirs étaient prédominants, les Égyptiens disposaient
néanmoins de pigments variés, comme la cérusite naturelle qui permettait d’obtenir une
poudre blanche qui, ajoutée à la galène noire, offrait toute une gamme de gris. Les
préparateurs de fards jouaient avec les effets de brillance et de texture. Selon le type de
broyage, les poudres gardaient l’éclat métallique brillant de la galène noire bleutée
brute ou devenaient noir mat. Mélangée à des poudres blanches, la galène offrait une
palette de riches nuances de gris irisées ou mates.
La peinture et la statuaire révèlent l’existence d’une palette de couleurs plus large
utilisée principalement par les artistes. Le maquillage représenté ne correspondait pas
toujours à une coloration réelle mais prenait valeur symbolique. Les artistes utilisaient
notamment le « bleu égyptien », un produit de synthèse élaboré à partir de cuivre, de
natron et de calcaire : trait bleu est observé à la place du noir sur certaines statues et
sarcophages, mais aucun pot de cosmétique n’a livré jusqu’à présent une telle matière. Les
artistes utilisaient également le jaune, constitué de poudre d’or ou d’ocre. [Image
Dame Touti]
Hommes, femmes, enfants, pharaons, prêtres, scribes, ouvriers ou servantes, tous les
Egyptiens se maquillaient.
Les sépultures des notables, qui consacrent beaucoup de temps à l’hygiène et à la
beauté, ont révélé de nombreux trésors : emportaient pour le voyage vers l’au-delà
leurs palettes de maquillage, mais aussi leurs trousses de toilette et toutes les matières
premières nécessaires à la fabrication des fards.
S’EMBELLIR EN GRECE
On rompt avec le fard égyptien puisque les peintures faciales, les peintures corporelles
égyptiennes interviennent dans le domaine de la religion et du sacré.
En revanche, en Grèce, l’usage du fard est profane, n’est réservé aux femmes de
mauvaise vie, aux courtisanes. On se peint le visage et le corps avec de la céruse. Les
femmes grecques se fardent de plus en plus à partir lu Ve siècle avant J.-C.
Sur une base blanche,on se noircit les sourcils et se trace le fameux sourcil grec qui lie les
deux sourcils au-dessus du front. Les joues sont teintées avec des produits minéraux ou des
fruits broyés, de la mûre, par exemple, ou des fleurs d’orcanette qui sont écrasées, pilées. Les
lèvres sont teintes également. Le blanc, rouge et noir sont des couleurs constantes dans
l’histoire du fard.
LA CORE AU PEPLOS DE L’ACROPOLE D’ATHENES, Vers 525 av. J.-C.
Des boucles d’oreilles et le diadème en bronze étaient ajoutés.
Les cheveux et lèvres sont peints en rouge, cils et sourcils en noir, les dessins de la
robe en vert.
L’artiste a distribué de manière égale les tresses, il lui a fait les yeux pareils, pareils les
seins, d’une égale justesse les jambes et les bras, pareils et rythmés les plis du
vêtement, symétriques les commissures des lèvres relevées en ce sourire vague, typique
de ces statues. Nous sommes encore face à une notion assez rigide de proportion.
LES PREMIERS PORTRAITS : LE FAYOUM
Le district du Fayoum, à l’est du désert libyque, était occupé dans l’Antiquité par des
populations égyptiennes. Il nous a laissé des centaines de portraits, le plus vaste corpus
de peintures antiques connu à ce jour. Ils sont réalisés d’après nature (les modèles
semblent tous jeunes).
Les portraits étaient placés sur le visage du défunt, encadrés de bandelettes enveloppant
le corps embaumé.
Les « Fayoum » entrent ainsi dans la mythologie du portrait. Leur réalisme
physionomique, égal à celui des portraits pompéiens, et leur forte iconicité n’allaient
pas tarder à fasciner quantité d’écrivains et d’artistes.
PORTRAIT DE FEMME DITE "L'EUROPEENNE ", 120-130 ap. J.-C., Égypte, Antinoopolis (Antinoé)
Bois de cèdre peint à l'encaustique et doré, Louvre
Au moment de son utilisation funéraire, la planche de bois, rectangulaire à l'origine, a
été adaptée à la forme de la momie selon une découpe dite « à épaulures »,
technique qui semble caractéristique de la ville d'Antinoopolis. On a aussi appliqué
plusieurs petites feuilles d'or carrées qui couvrent le cou et, en partie, le vêtement, mais sans
masquer l'ovale du visage.
L'éclat de l'or, semblable à celui du soleil, en fait un métal magique, symbole
d'immortalité
Souvent appliqué sur les portraits de momies pour couvrir le fond gris autour de la tête, le
cadre en stuc qui entoure le portrait ou, comme ici, cacher le cou. Mais il ne dissimule jamais
les traits du visage car l'individualité du défunt doit être préservée.
Une planche de bois de cèdre, essence importée en Égypte : sur une couche de
préparation noire a été posée la couche picturale à l'encaustique. Le peintre a
exploité à la perfection la densité de la cire. Ainsi, les touches fines ont été juxtaposées
en suivant le modelé du visage, la courbe des sourcils et la disposition de la
chevelure. Pour les cils, la matière picturale a même été gravée avec un outil dur et
pointu pour découvrir la préparation noire.

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